Re: Et en Russie !

[Caduce62]

[Caduce62]

Des agents russes et des spécialistes de la sécurité informatique mis en examen pour « trahison »
Depuis plusieurs semaines, une série d’arrestations ont visé des hackeurs présumés ou travaillant pour le service de renseignement russe, FSB.

Le Monde.fr avec Reuters | 01.02.2017 à 15h05 • Mis à jour le 01.02.2017 à 16h38

Deux anciens agents du Service fédéral de sécurité de la Fédération de Russie (FSB) et un employé de la société russe Kaspersky Lab, spécialisée dans la sécurité informatique, ont été arrêtés et inculpés, par la justice russe, de trahison pour le compte des Etats-Unis, rapporte mercredi 1er février l’agence de presse Interfax, citant un de leurs avocats.

Au Kremlin, le porte-parole de Vladimir Poutine a annoncé que le président était au courant de ces informations. Mais Dmitri Peskov ne les a ni confirmées ni infirmées. L’avocat cité par Interfax a précisé que les deux agents du FSB, qu’il a identifiés sous les noms de Sergueï Mikhaïlov et Dmitri Dokoutchaïev, étaient des spécialistes de la cybersécurité au sein du FSB.

Depuis plusieurs semaines, plusieurs articles dans la presse russe avaient évoqué l’arrestation de deux agents du FSB, détaillant notamment la spectaculaire interpellation de M. Mikhaïlov, qui aurait eu lieu durant une réunion de la direction du FSB : il avait été encagoulé et sorti de force de la salle, et d’importantes sommes en liquide auraient été découvertes lors d’une perquisition de sa résidence secondaire, selon un média proche du Kremlin.

M. Kokoutchaïev est quant à lui un ancien hackeur connu sous le pseudonyme de Forb, rapporte la presse russe, qui serait entré au FSB pour échapper à une peine de prison. On ignore si les deux hommes sont accusés d’avoir été des agents doubles, ou d’avoir transmis des informations à un tiers qui les auraient ensuite transmises à la CIA.

Un haut responsable de Kaspersky emprisonné
Le troisième homme interpellé, Ruslan Stoyanov, est le responsable des enquêtes chez Kaspersksy Lab. Son arrestation avait été confirmée la semaine dernière par l’entreprise, qui affirme qu’il est détenu à Moscou et que son arrestation n’est pas liée au travail qu’il effectuait pour Kaspersky. Selon Interfax, quatre personnes ont été arrêtées dans ce dossier, et huit autres pourraient être entendues comme témoins.

Les trois principales agences de renseignement américaines avaient publié au début de janvier un rapport accusant directement Moscou d’avoir commandité et exécuté plusieurs piratages d’ampleur, dont celui des courriels du Comité national démocrate, durant la campagne électorale. Le rapport, dont seule une version expurgée a été rendue publique, ne comportait aucun élément de preuve technique tangible, mais le haut niveau de confiance affiché notamment par la CIA laissait entendre, selon plusieurs experts, que l’agence américaine avait pu corroborer ses affirmations par le biais de sources humaines russes.

La piste d’un règlement de comptes
Mais la série d’arrestations – auxquelles s’ajoute celle d’Evgueni Nikulin, un hackeur présumé interpellé à Prague et qui fait l’objet de deux mandats d’extradition, l’un émis par Washington et l’autre par Moscou – pourrait également ne pas être directement liée au dossier des piratages électoraux américains. Selon le Guardian, qui cite plusieurs experts de la politique russe, ces arrestations pourraient aussi être liées au groupe Shaltai-Boltai, un collectif de hackeurs qui a fait fuiter par le passé des courriels de cadres du FSB. Vladimir Anikeev, réputé être l’un des dirigeants du groupe, a lui aussi été arrêté au cours des dernières semaines.

En Russie, où les médias sont étroitement contrôlés, l’abondance de détails publiés ces derniers jours sur la série d’arrestations laisse supposer qu’il pourrait aussi s’agir d’une purge interne, ou du résultat d’une guerre des clans au sein du FSB. De même, il est impossible d’exclure que Shaltai-Boltai ait pu transmettre des informations à la CIA, mais rien à ce stade ne permet de l’affirmer.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/pixels/article/2017/02/01/des-agents-du-fsb-et-des-specialistes-de-la-securite-informatique-mis-en-examen-pour-trahison_5072832_4408996.html#z1Ft4xpec7bSYqib.99

[Thuramir]

Des agents russes et des spécialistes de la sécurité informatique mis en examen pour « trahison »
Depuis plusieurs semaines, une série d’arrestations ont visé des hackeurs présumés ou travaillant pour le service de renseignement russe, FSB.

Cela n'a rien d'étonnant : il y en toujours certains qui roulent pour eux-mêmes, et d'autres pour des pays tiers, et cela dans tous les pays du monde et pour tous les services de renseignements. L'argent est le nerf de la guerre et le point faible de la quasi totalité des hommes (et femmes)...

[Krispoluk]

L'argent est le nerf de la guerre et le point faible de la quasi totalité des hommes (et femmes)...

Ce forum est consacré à l'Ukraine, toute allusion perfide à François et Pénélope Fillon n'a pas sa place ici !

[Александр]

On peut en dire autant pour Marine, la Parlement lui a collé une saisie sur salaire.

[Krispoluk]

On peut en dire autant pour Marine, la Parlement lui a collé une saisie sur salaire.

Je ne la défend pas spécialement, mais j'ai travaillé longtemps en politique et on sait que l'immense majorité des partis font la même chose, j'en ai des preuves, alors pourquoi le PE attaque-t-il uniquement le FN sur cette question à 2 mois des présidentielles ? Voilà une bonne question...

[Александр]

Bah, c'est comme les "décès" de généraux en Russie . . . on revient au sujet.

T'inquiète, c'est itou chez nous => politique universelle et même résultats: "Le politique se sent coincé de toute part"

[Александр]

On sent poindre de la jalousie, du coup on dénigre:

Quand la marmotte ukrainienne échoue à prédire la levée des visas

Une marmotte polygame ukrainienne, inspirée par le succès de ses consœurs américaines, a promis un printemps précoce, mais n’a su prédire la date de la levée des visas pour les Ukrainiens. L’inexactitude de ses prédictions est due aux conquêtes amoureuses du rongeur, explique une source proche du dossier.

Les Ukrainiens, fidèles propagateurs des idées et des valeurs européennes, ont décidé de demander la date d'instauration du régime sans visas à une marmotte, comme le font les Américains le 2 février pour prédire le temps.


C'est donc ce jour-là que Timka la marmotte, habitant un petit terrier à Kharkov, dans l'est de l'Ukraine, est sorti de son trou sans apercevoir son ombre. Cela signifie que le printemps s'installera en Ukraine dans six semaines.

. . .


Vladimir Poutine profite de sa visite en Hongrie pour accuser l'Ukraine

Ben voyons!!

Poutine est le terroriste numéro 1 pour une manifestante ukrainienne 

Ukraine : les Etats-Unis soufflent le chaud et le froid sur la Russie

[Александр]

L'effondrement de la Russie n'est pas loin si les sanctions ne sont pas levées, dit Dzhemilev.

The sanctions imposed against Russia over Crimea annexation will inevitably cause collapse of the Russian Federation even without their stiffening.
As reported by Censor.NET, Ukrainian MP, leader of the Crimean Tatar people Mustafa Dzhemilev said in an interview to Apostrophe news outlet.

"Putin made strong propaganda while seizure of Crimea which he used to raise this immense pseudo-patriotism. And if Putin disowns Crimea, this will be similar to political suicide for him. Although the sanctions daily hurt the Russian economy so badly, that if they are maintained, and we actually hope that they will be strengthened, but even if not, even this level will remain in place, the collapse of Russia is not far off," Dzhemilev stressed.

Read more: EU to extend sanctions against Russia in March, - Bloomberg

Dzhemilev earlier said that the only way to protect the Crimean Tatars is to make Russia leave Crimea by means of sanctions.

Read more: "We must counter Putin's Pravda with a faster truth," - UK Defense Secretary Fallon calls to oppose Kremlin's propaganda

Les sanctions imposées à la Russie contre l'annexion de la Crimée entraîneront inévitablement l'effondrement de la Fédération de Russie, même sans leur raidissement.

Comme l'a rapporté Censor.NET, le député ukrainien, chef du peuple tatare de Crimée, Mustafa Dzhemilev, a déclaré dans une interview à Apostrophe.

 "Poutine a fait une forte propagande lors de la saisie de la Crimée, ce qu'il a utilisé pour élever cet immense pseudo-patriotisme.Et si Poutine désavoue la Crimée, ce sera semblable à un suicide politique pour lui.Bien que les sanctions quotidiennes blesser si mal l'économie russe, Sont maintenues, et nous espérons qu'elles seront renforcées, mais même si ce n'est pas le cas, même ce niveau restera en place, l'effondrement de la Russie n'est pas loin ", a souligné M. Dzhemilev.

Lire la suite: L'UE étendra les sanctions contre la Russie en mars, - Bloomberg

 Dzhemilev a dit plus tôt que le seul moyen de protéger les Tatars de Crimée est de faire sortir la Russie de la Crimée par des sanctions.

Lire la suite: "Nous devons lutter contre la Pravda de Poutine avec une vérité plus rapide", - Fallon, secrétaire à la Défense du Royaume-Uni, appelle à s'opposer à la propagande du Kremlin.

La Russie a refusé la demande de l'Ukraine d'extrader des membres de Berkut soupçonnés d'avoir tué des militants de Maidan

Russian Federation refused to extradite 12 ex-soldiers of Berkut riot police detachment charged with murder of Heavenly Hundred as they became Russian citizens. A total of 21 Berkut soldiers are currently hiding in the territory of Russia.

This was stated by Head of the Special Investigations Department of the Prosecutor General's Office (PGO) Serhii Horbatiuk, Censor.NET reports citing 112 Ukraine TV channel.

"I mean those 26 Berkut members who were charged with involvement in murders on Feb. 20. Five of them are in custody and are being tried. Others are wanted. We sent Russia requests for their extradition taking into account investigative information suggesting that they may be in the Russian Federation. We requested to extradite 21 persons. But they replied that 12 persons received the citizenship of the Russian Federation. Two of them were granted temporary resident status," Horbatiuk said.

Read more: Ten Berkut officers accused of Maidan shootings receive Russian citizenship, - prosecutor's office

He also noted that ex-Commander of Berkut Special Operations Company Dmytro Sadovnyk received Russian citizenship just a month and a half after he escaped from the house arrest in Ukraine.

"What's interesting is that ex- Company Commander Sadovnyk, who was unlawfully released from custody in October 2014, obtained [Russian] citizenship in early December 2014, which is just a month and a half after he escaped from the house arrest. This was probably done under some simplified procedure, and if we talk about the Russian legislation, it stipulates that the simplified procedures are applied to those who proved themselves useful for the Russian Federation, which raises the relevant question," Horbatiuk said.

Read more: Russia seeks release of ex-Berkut officers accused of Maidan murders

According to the head of the PGO Special Investigations Department, the Russian Federation submitted no response as for the rest of the Berkut members so far.

As reported, 26 Berkut officers have been indicted for being involved in the killings of Maidan activists on Instytutska Street in Kyiv on Feb. 20, 2014. Five of them have been arrested and tried, while more than 20 have escaped.

The PGO referred the criminal proceedings against former Berkut riot police officers Zinchenko and Abroskin to court in 2014. They are suspected of shooting 39 Maidan activists on Instytutska street in Kyiv on Feb. 20, 2014. On Feb. 10, 2016, the PGO announced the investigation completed and sent criminal proceeding against three other former Berkut officers, Oleksandr Marinchenko, Serhii Tamtura, and Oleh Yanyshevskyi to court. According to the prosecutor's office, these persons are charged with committing a terrorist act, abuse of official duties, murder, attempted murder, obstruction of peaceful meetings and rallies, as well as abstraction and concealment of weapons after the crime. Criminal proceedings against all former Berkut officers are combined into one case.

La Fédération de Russie a refusé d'extrader 12 ex-soldats du détachement de la police anti-émeute de Berkut accusés d'assassinat de Heavenly Hundred alors qu'ils devenaient citoyens russes. Un total de 21 soldats Berkut se cachent actuellement sur le territoire de la Russie.

Cela a été déclaré par le chef du Département des enquêtes spéciales du Bureau du Procureur général (PGO) Serhii Horbatiuk, Censor.NET rapports citant 112 Ukraine chaîne de télévision.

 "Je veux parler des 26 membres de Berkut qui ont été accusés d'avoir participé à des meurtres le 20 février. Cinq d'entre eux sont en détention et sont jugés, d'autres sont recherchés", a-t-il précisé. Nous avons demandé à extrader 21 personnes, mais elles ont répondu que 12 personnes ont reçu la citoyenneté de la Fédération de Russie, deux d'entre elles ont obtenu le statut de résident temporaire ", a déclaré M. Horbatiuk.

Lire la suite: Dix officiers Berkut accusés de fusillades Maidan reçoivent la citoyenneté russe, - le bureau du procureur

 Il a également noté que l'ex-commandant de la compagnie d'opérations spéciales Berkut Dmytro Sadovnyk a reçu la citoyenneté russe juste un mois et demi après qu'il s'est échappé de l'assignation à résidence en Ukraine.

 "Ce qui est intéressant, c'est que l'ancien commandant de la compagnie Sadovnyk, qui a été illégalement libéré en octobre 2014, a obtenu la citoyenneté [russe] au début de décembre 2014, soit un mois et demi après son départ de la maison. Dans le cadre d'une procédure simplifiée, et si nous parlons de la législation russe, elle stipule que les procédures simplifiées sont appliquées à ceux qui se sont avérés utiles pour la Fédération de Russie, ce qui soulève la question pertinente ", a déclaré M. Horbatiuk.

Lire la suite: La Russie demande la libération d'anciens officiers de Berkut accusés de meurtres de Maidan

 Selon le chef du Département des enquêtes spéciales du PGO, la Fédération de Russie n'a pas répondu à cette question comme pour le reste des membres du Berkut jusqu'à présent.

 26 officiers Berkut ont été inculpés pour avoir été impliqués dans les meurtres de militants Maidan sur la rue Instytutska à Kyiv le 20 février 2014. Cinq d'entre eux ont été arrêtés et jugés, alors que plus de 20 ont échappé.

 Le PGO a renvoyé la procédure pénale contre les anciens policiers Berkut Zinchenko et Abroskin devant la justice en 2014. Ils sont soupçonnés de fusiller 39 militants Maidan sur la rue Instytutska à Kyiv le 20 février 2014. Le 10 février 2016, le PGO a annoncé L'enquête a été menée à terme et a engagé une procédure pénale contre trois autres anciens officiers de Berkut, Oleksandr Marinchenko, Serhii Tamtura et Oleh Yanyshevskyi. Selon le bureau du procureur, ces personnes sont accusées d'avoir commis un acte terroriste, d'abus de fonctions officielles, de meurtre, de tentative de meurtre, d'obstruction à des réunions et rassemblements pacifiques, ainsi qu'à l'enlèvement et à la dissimulation d'armes après le crime. Les procédures pénales engagées contre tous les anciens agents de Berkut sont regroupées en un seul cas.

[Thuramir]

L'effondrement de la Russie n'est pas loin si les sanctions ne sont pas levées, dit Dzhemilev.

Qui vivra verra. Mais ça pourrait aussi être une fuite en avant. L'information suivante est préoccupante :
Un opposant russe intoxiqué par "une substance inconnue"
Par Le Figaro.fr avec AFPMis à jour le 07/02/2017 à 18:32 Publié le 07/02/2017 à 18:29
Un responsable de l'opposition russe, Vladimir Kara-Mourza, hospitalisé depuis cinq jours et toujours dans un état "critique", a été intoxiqué par une "substance inconnue", a déclaré aujourd'hui sa femme Evguenia, citant le personnel médical.
"Son état est critique mais stable", a-t-elle indiqué, expliquant que "le diagnostic officiel est une forte intoxication causée par une substance inconnue". Les médecins n'ont pas encore réussi à établir l'origine de cette intoxication, a-t-elle ajouté, annonçant avoir envoyé des échantillons de sang à des laboratoires en France et en Israël. "Les analyses menées par des laboratoires en Russie n'ont mené à rien", a-t-elle précisé.
En 2015, Vladimir Kara-Mourza avait été hospitalisé pour une défaillance rénale aiguë. Les médecins avaient alors trouvé dans son sang les traces d'une intoxication aux métaux lourds.
Une fois rétabli, l'opposant avait demandé au Comité d'enquête russe d'ouvrir une enquête pour déterminer s'il avait souffert d'un empoisonnement volontaire, sans résultat à ce jour.
L'annonce de sa nouvelle hospitalisation a provoqué de nombreuses réactions à travers le monde, dont celle du sénateur américain Marco Rubio, qui a directement accusé le président russe d'avoir empoisonné l'opposant.

[Krispoluk]

Qui, cela pourrait étonner ici ? Où nous sommes généralement très bien informés...

[benoit77]

Russie: Alexeï Navalny, l'opposant numéro 1 de Poutine, condamné à de la prison

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/russie-alexei-navalny-l-opposant-numero-1-de-poutine-condamnee-a-de-la-prison_1877212.html

[Matt]

Surpris? Avec le "nettoyage de printemps" avancé par Moscou, ce n'est que dans la logique . . .

[Thuramir]

Un probable second recours devant la Cour européenne des droits de l'homme... dont la durée lui fera néanmoins perdre la possibilité de se présenter aux prochaines élections présidentielles.  

[benoit77]

A la guerre comme a la guerre:
http://www.atlantico.fr/decryptage/vladimir-poutine-ordonne-armee-air-se-preparer-guerre-qu-t-en-tete-roland-lombardi-2960119.html

mais oui ! qu'est-ce qu'il a en tête ce cinglé ? se faire un nom comme Staline ou Hitler ?

[benoit77]

fin de la lune de miel en moscou et ankara ?

ah les problème de gps russes!! ça envoie des bidasses bleu-bites dans le dombass et des bombes sur les soldats turcs.

https://www.challenges.fr/monde/turcs-tues-en-syrie-a-cause-de-donnees-fournies-par-ankara-selon-moscou_453544

le prochain problème de gps russe sera quoi ? une tête nucléaire sur une ville d'occident ?

[Matt]

A la guerre comme a la guerre:
http://www.atlantico.fr/decryptage/vladimir-poutine-ordonne-armee-air-se-preparer-guerre-qu-t-en-tete-roland-lombardi-2960119.html

mais oui ! qu'est-ce qu'il a en tête ce cinglé ? se faire un nom comme Staline ou Hitler ?

Pas cinglé, juste un rappel qu'il est menaçant . . . 

[Matt]

Ils sont cerné: 

La Russie déclare la Roumanie comme une menace évidente à cause du bouclier antimissile américain sur son territoire

Bientôt, la Belgique sera aussi une menace pour la grande et sainte Russie éternelle.

The Russian Foreign Ministry official, Alexander Botsan-Kharchenko,states that Moscow considers Romania as a threat to the safety of the Russian Federation, after the Romanian part of the U.S. missile shield was switched on in May 2016.

“Romania’s stance and the stance of its leadership, who have turned the country into an outpost, is a clear threat to us. The Romanian side has been told this, even publicly,” said Botsan-Kharchenko.

The other part of the U.S shield wll be located in Poland.

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See also: Additional 300 U.S. soldiers went to Poland as a part of NATO team

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The Russian diplomat has underlined that the deployment of the U.S.military presence in the EU countries severely complicates Russian-Romanian interaction and cooperation.

“A definite anti-Russian, even Russophobic sentiment from Bucharest was noticed in the inspired implementation of sanctions and in their excitedly anti-Russian rhetoric,” said the official.

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See also: U.S. sends tanks to bases in Poland and the Baltic states at deterring a possible Russian aggression

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Morover, at Bucharest’s request, NATO is looking to boost its presence in Romania and use it as a base for closer surveillance of the strategic Black Sea region. U.S. and NATO say that the troops are needed to provide extra security and reassurance to EU after the illegal annexation of Ukraine’s Crimea by the Russian Federation.

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See also: Russian troops at the Ukrainian border increased to 44 000 in recent weeks


Le responsable du ministère russe des Affaires étrangères, Alexander Botsan-Kharchenko, déclare que Moscou considère la Roumanie comme une menace pour la sécurité de la Fédération de Russie, après que la partie roumaine du bouclier antimissile des États-Unis a été activée en mai 2016.


"La position de la Roumanie et la position de ses dirigeants, qui ont transformé le pays en un avant-poste, est une menace évidente pour nous. La partie roumaine a été informée de cela, même publiquement ", a déclaré Botsan-Kharchenko.


L'autre partie du bouclier américain sera située en Pologne.


Voir aussi: 300 soldats américains supplémentaires sont allés en Pologne comme partie de l'équipe de l'OTAN


Le diplomate russe a souligné que le déploiement de la présence militaire américaine dans les pays de l'UE complique considérablement l'interaction et la coopération russo-roumaines.


"Un sentiment anti-russe, même rusophobe de Bucarest a été remarqué dans la mise en œuvre inspirée de sanctions et dans leur rhétorique enthousiaste anti-russe", a déclaré l'officiel.


Voir également: Etats-Unis envoie des chars à des bases en Pologne et dans les Etats baltes pour dissuader une possible agression russe


Par ailleurs, à la demande de Bucarest, l'OTAN cherche à renforcer sa présence en Roumanie et à l'utiliser comme base pour une surveillance plus étroite de la région stratégique de la mer Noire. Les Etats Unis et l'OTAN disent que les troupes sont nécessaires pour donner plus de sécurité et de rassurer l'UE après l'annexion illégale de la Crimée d'Ukraine par la Fédération de Russie.


Voir aussi: Les troupes russes à la frontière ukrainienne ont augmenté à 44 000 ces dernières semaines


Prendre leurs menaces en compte constitue une menace.
Cherchez la logique!

[Matt]

Et sont mal barré pour "répondre":

A Chita (Bouriatie)













Pensais qu'il était impossible de mettre un char "cul par dessus tête", les russes y sont arrivé.     

[Caduce62]

Un probable second recours devant la Cour européenne des droits de l'homme... dont la durée lui fera néanmoins perdre la possibilité de se présenter aux prochaines élections présidentielles.  

[Александр]

Les sanctions fonctionnent:

Rest assured, Marine Le Pen, sanctions against Russia work
(Rassurez-vous, Marine Le Pen, les sanctions contre la Russie fonctionnent)




Article by: Dirk Mattheisen


To hear Marine Le Pen talk, sanctions against Russia don’t work, and she stands a decent chance of being elected president of France.  She has company here and there in odd places.  The deputy speaker of the Serbian parliament, Gordana Chomich, recently said she could not support sanctions because they hurt the Russian people, and did sanctions actually target oligarchics anyway?

So, do sanctions work and who do they harm?

The best evidence for the success of sanctions is that Russia has not achieved its goals.

Moscow does not dictate to Kyiv what its domestic and international policies should be. Socially, the chances of a pro-Russian government in Kyiv are slim to none. Russia is mired in a costly military campaign in eastern Ukraine from which it cannot withdraw nor can it scale up without fear of new sanctions. Russia has failed to take Mariupol or create a land bridge to Crimea that is vital to making Crimea economically viable.

Moreover, Russia’s hold on Crimea is recognized by no one, while Crimea endures an economic collapse that Russia can’t remedy, compounded by crude Russian social oppression that is routinely condemned by others.  And dreams of Novorossiya across southern Ukraine are dead. Russia will be constrained by sanctions for as long as it does not withdraw from Ukraine.

Economic losses: from 1.5% to 6% of GDP

In terms of Russia as a whole, if Alexii Kudrin is to be believed, sanctions cost Russia 1.5% of GDP, which aligns with the IMF, which estimates that

”…sanctions and counter sanctions might have initially reduced real GDP by 1 to 1½ percent. Prolonged sanctions may compound already declining productivity growth. The cumulative output loss could amount to 9 percent of GDP over the medium term.”

Since the Russian economy is expected to grow at about 1.5% in the future, that is equivalent to 6 years of no growth.

Estimates that Russia lost over $100 bn in 2014/2015 due to sanctions suggest the cost is higher.  A loss of $100 bn for a Russian economy that went from a GDP of about $2,100 bn in 2014 to about $1,300 bn in 2015–in large part due to the fall in energy prices–suggests a cost from sanctions in those two years of anywhere from 2 to 6% of GDP in rapidly evolving economic circumstances.


Russia’s losses from sanctions. Graphic: Ukrainian Crisis Media Center

Moreover, anecdotal evidence suggests that after three years of low oil prices and sanctions, Russian finances are now in a desperate state and, therefore, sanctions have contributed to a substantial decline in Russia’s economic welfare. 

For example, the murky Rosneft privatization suggests Russia is moving funds between the government, central bank, and public enterprises to make it look like government finances are better than they really are.  Rosneft is a sanctioned firm and has had trouble securing financing to sustain its operations, at one time seeking a bailout from the Russian government.  It also suggests that massive corruption continues.

Rejection of Russia’s behaviour

Beyond the failure to achieve its goals and the economic cost, there are other equally important impacts from sanctions. Sanctions demonstrate a rejection by the international community of Russia’s behavior.

The US and the EU have acted on behalf of the principle of self-determination and the inviolability of national borders, and they continue to do so. 
This provides Ukraine an international stage from which to counter Russia’s aggression.  Over time, the UN and various EU bodies have fallen in line, as well, in explicitly condemning Russian aggression toward Ukraine, adding to the effect of sanctions.

Targeted effect

In addition, the nature of sanctions has been important in targeting their effect. The most important sanctions are the more comprehensive ones that prohibit providing new debt or equity of greater than 30 day’s maturity and restrictions on the energy and defense sectors. 

These prohibitions, along with a reluctance to risk capital in Russia while tensions persist, have all but eliminated Russia’s access to international finance.

Foreign investment in Russia has plummeted from $71 bn in 2013 to just $7 bn in 2016.  It is not expected to return to anywhere near the 2013 level in the foreseeable future (IMF: Russian Federation – Staff Report For The 2016 Article IV Consultation). In the absence of sanctions, what is the likelihood that companies such as ExxonMobil would have halted their investment plans in Russia? They might have assessed the risk as higher, but the prohibitions and arm-twisting provided by sanctions are what stopped them.

The other sanctions that were designed to target key businesses and individuals in Russia are important, as well, in recognition of the role they play in supporting Putin. By targeting wealthy or influential businesses and individuals closely associated with Putin, the West hoped to hurt those who were key in enabling Putin’s actions against Ukraine. As beneficiaries of vast riches extracted from the Russian economy, their interests are in self-enrichment at the expense of the state and the people.

Putin is clearly worried about public discontent as the 2018 election approaches and, if Putin’s support begins to look shaky, he has to worry about the loyalty of the oligarchs and others who are already hurting from sanctions.
Sanctions take time
In one key respect sanctions have been exceptional. Against expectations, they have held. The West has new found resolve to confront Russian interference in the affairs of not only Ukraine but of all Western countries through its manipulation of information and various forms and levels of aggression.

No one, including Marine Le Pen, should be surprised that sanctions take time.  Russia is still a large, powerful country capable of defending itself economically and politically.  Sanctions are not war.  They don’t produce dramatic, immediate results.  Even wars don’t yield immediate results; otherwise, Russia would have gotten what it wanted long ago.  Sanctions take time, but they are ultimately effective; as sanctions against Iran, Myanmar and South Africa have shown.

When sanctions are not effective, such as in the case of North Korea, it is the sanctioned state that suffers.  North Korea has been reduced to an isolated, impoverished pariah state.  Like North Korea, Russia now faces years of economic stagnation–and probably slow national decline–unless it can find a way to reform its economy and a path to rapprochement with the international community.

Marine Le Pen can rest assured that sanctions are effective. A new report by the US Department of State concludes that sanctions against Russia have caused substantial harm to targeted individuals and firms. As reported by BuzzFeedNews the State Department report concludes that

“the average sanctioned company or associated company loses about one-third of its operating revenue, over one-half of its asset value, and about one-third of its employees relative to their non-sanctioned peers.” BuzzFeedNews goes on to report, 

“…the researchers also discovered that the “smart” or “targeted” sanctions placed against Russian companies and individuals starting in 2014 live up to their name. The four rounds of sanctions that have been put into place — aimed at Putin’s inner circle, several Russian banks, the defense industry, and the energy sector — have, according to the paper, managed to affect those individuals without being a primary damager of the Russian economy broadly.”

BuzzFeedNews quotes Bill Browder, co-founder of Hermitage Capital Management Group and zealous critic of Putin, that Putin is “apoplectic” about the sanctions and as told by Browder,

“In my mind, the reason for that reaction is that wealth is so concentrated in Russia that you can go after the assets of just a few bad players and you have a disproportionate effect on the evil and rot in Russia.”

Harm to ordinary Russians?

Since 2013 nearly all Russians have experienced a decline in their economic welfare, and poverty has increased dramatically—it rose from 11.2%, or 16.1 mn people in 2014, to an estimated 14.2%, or 20.1 mn people in 2016. Deputy speaker Gorsana Chomich should know though that the principal reason is not sanctions but poor economic management and the collapse in energy prices, as well as self-inflicted economic harm from political adventurism.

In the realm of sanctions, the greatest harm to ordinary Russians has come from Russia’s own counter-sanctions, especially on the import of food, which has driven up prices beyond what many Russian can afford.

Lest deputy speaker Gorsana Chomich still harbor concerns that sanctions have not been specific enough, as of mid-2016 the US has sanctioned by name 111 businesses and political figures and 82 firms and an additional 136 firms under the sectoral sanctions (an additional 7 individuals, 8 firms, and 2 vessels were added in December 2016).  The EU has sanctioned as of mid-2016 149 individuals and 37 firms and an additional 20 firms under sectorial sanctions.  Information on US and EU sanctions, including targeted individuals and businesses can be found here (US) and here (EU).

Sanctions are the consequence of Russia’s own policies and the limited means available to the West to influence Russia’s aggression against other states. 

The economic welfare of ordinary Russians will not change materially if Western sanctions end because economic growth will still not be sufficient without internal reform.  Economic reform is supposedly conditioned by Russian’s fear of economic chaos, but that is not the choice.  Russia can prosper in the same way that all countries prosper through sound economic policies and a strong civil society.  Ordinary Russian’s suffering is not an integral part of Russian exceptionalism, as much as Putin would like to convey that impression.

It is a toss up whether the Russian upper, middle or lower class will buckle first, but, when the Soviet Union collapsed, it was the Russian elite that led the rush for the exits.  When that happens again, will Putin have the wisdom of Gorbachev to concede the obvious and step aside?

An excellent and balanced overview of sanctions against Russia’s violation of Ukraine’s sovereignty in the context of broader US-Russia relations by Andrew Weiss and Richard Nephew from the Center on Global Energy Policy at Columbia University’s School of International and Public Affairs can be found here.

[Caduce62]

Il n'y a pas que les porte-avions qui fument en Russie 

[Matt]

A ton avis, la moquette est bonne? 

[Caduce62]

Russie – Une nouvelle loi sanctionne les personnes qui connaissent ou qui ont déjà vu un homosexuel

Publié le 10/02/2015 par La Rédaction

Vladimir Poutine souhaite durcir la législation sur l’homosexualité. Après avoir demandé aux homosexuels de « laisser les enfants tranquille”, le président Russe a proposé une loi qui punit d’une amende de 1000 roubles (13,40 €, ndlr) et de 3 ans de goulag les personnes qui ont connu ou eu à un moment de leur vie un contact visuel avec un individu attiré par ses semblables du même sexe.

La loi s’appuie sur une étude émanant directement du Kremlin qui affirme que l’homosexualité se transmet par la salive, les muqueuses, mais aussi par le regard. Selon le rapport les gays ont la capacité de rendre n’importe quelle personne gay en la fixant du regard avec insistance, en plus de leur pouvoir de changer de tenue instantanément d’un seul clin d’oeil, et ce pour être à la mode en toute situation.

Les personnes qui sont rentrées en contact avec des homosexuels deviendraient alors gay ou gay-friendly, ce qui constituerait une menace pour le reste de la population. Pour l’anecdote, Vladimir Poutine a raconté comment, le jour de son 8ème anniversaire, un grizzly gay avait tenté de le pervertir. Une situation qu’il avait facilement contrôlée en fixant le prédateur de 600 kg du regard, l’obligeant à redevenir hétérosexuel avant de lui asséner un coup de pied retourné fatal en pleine mâchoire.

Le Président a par ailleurs personnellement défendu sa loi devant la Douma, la Chambre Basse du Parlement Russe, au cours d’un poignant discours qui a largement conquis l’auditoire puisque le projet de loi a recueilli 510 voix favorables sur les 450 députés présents. Vladimir se serait ensuite retiré sous une salve d’applaudissements, aux commandes d’un char en or tiré par ses 4 tigres du Bengale de compagnie.

La rédaction du Gorafi 

[Matt]

. . . Le projet de loi a recueilli 510 voix favorables sur les 450 députés présents . . .

Vote très russe . . .     

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