Et en Russie !
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Re: Et en Russie !
Александр Ven 11 Déc - 10:46
Souffle chaud-froid entre la Russie et l’Europe
Profil de montagnes russes pour les relations entre Moscou et Bruxelles, entre tensions liées à la guerre en Ukraine, et rapprochement forcé par la situation au Moyen-Orient…
La décision, préparée hier par les ambassadeurs, devrait être annoncée lundi par le conseil des ministres européens des Affaires étrangères : l’Union prolonge pour six mois les sanctions contre la Russie. Prises après l’invasion de la Crimée, au printemps 2014, puis la destruction le 17 juillet du Boeing de la Malaysia Airlines en Ukraine, ces sanctions avaient été prolongées une première fois en juin dernier.
Cette décision est-elle un signe de regain de tension entre les deux blocs ? Pas vraiment : son annonce, qui devait intervenir sous les projecteurs du Conseil européen des 17-18 décembre, est ainsi faite en catimini, avec l’espoir de ménager la susceptibilité de la Russie.
C’est que l’Europe et les États-Unis ont besoin d’elle en Syrie, dans la difficile construction d’une « coalition unique » contre Daech. La volonté de la France et l’Allemagne de mettre en sourdine la question ukrainienne a même provoqué une vive réaction du président du Conseil européen, le Polonais Donald Tusk : «Il n’est pas question de marchander l’Ukraine pour la Syrie ».
Le pouvoir russe paraît d’ailleurs veiller à ne laisser s’installer aucun espoir de désescalade – comme s’il trouvait son compte dans cette « guerre froide » d’un genre nouveau. Le président Vladimir Poutine vient ainsi de menacer d’attaquer l’Ukraine en justice si elle ne lui rembourse pas trois milliards de dollars de dette ce mois-ci. Mais il peut pointer l’attitude «inamicale» de l’Europe, qui mettra en œuvre comme prévu au 1er janvier l’accord économique d’association avec l’Ukraine, à l’origine du conflit qui avait éclaté à l’automne 2013.
Profil de montagnes russes pour les relations entre Moscou et Bruxelles, entre tensions liées à la guerre en Ukraine, et rapprochement forcé par la situation au Moyen-Orient…
La décision, préparée hier par les ambassadeurs, devrait être annoncée lundi par le conseil des ministres européens des Affaires étrangères : l’Union prolonge pour six mois les sanctions contre la Russie. Prises après l’invasion de la Crimée, au printemps 2014, puis la destruction le 17 juillet du Boeing de la Malaysia Airlines en Ukraine, ces sanctions avaient été prolongées une première fois en juin dernier.
Opposition ou coalition ?
Cette décision est-elle un signe de regain de tension entre les deux blocs ? Pas vraiment : son annonce, qui devait intervenir sous les projecteurs du Conseil européen des 17-18 décembre, est ainsi faite en catimini, avec l’espoir de ménager la susceptibilité de la Russie.
C’est que l’Europe et les États-Unis ont besoin d’elle en Syrie, dans la difficile construction d’une « coalition unique » contre Daech. La volonté de la France et l’Allemagne de mettre en sourdine la question ukrainienne a même provoqué une vive réaction du président du Conseil européen, le Polonais Donald Tusk : «Il n’est pas question de marchander l’Ukraine pour la Syrie ».
Le pouvoir russe paraît d’ailleurs veiller à ne laisser s’installer aucun espoir de désescalade – comme s’il trouvait son compte dans cette « guerre froide » d’un genre nouveau. Le président Vladimir Poutine vient ainsi de menacer d’attaquer l’Ukraine en justice si elle ne lui rembourse pas trois milliards de dollars de dette ce mois-ci. Mais il peut pointer l’attitude «inamicale» de l’Europe, qui mettra en œuvre comme prévu au 1er janvier l’accord économique d’association avec l’Ukraine, à l’origine du conflit qui avait éclaté à l’automne 2013.
Александр- Messages : 5390
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Re: Et en Russie !
benoit77 Ven 11 Déc - 18:02
Il existe quelques "élites" qui ont encore un orteil dans la réalité !!
La banque centrale russe envisage des scénarios avec un pétrole à 35$ !
On est loin des roulements de tambours des Peskov, Poutine et Medvedev annonçant un retour vers les 100$ en 2016
http://finance.liga.net/economics/2015/12/11/news/46170.htm
La banque centrale russe envisage des scénarios avec un pétrole à 35$ !
On est loin des roulements de tambours des Peskov, Poutine et Medvedev annonçant un retour vers les 100$ en 2016
http://finance.liga.net/economics/2015/12/11/news/46170.htm
benoit77- Messages : 2859
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Re: Et en Russie !
Matt Sam 12 Déc - 0:49
Vu les mensonges, il serait plus simple de donner le vrai parmis tout les mensonges . . .benoit77 a écrit:hier :
http://info.arte.tv/fr/bobos-de-russie-ou-lexil-interieur
ce soir :
http://www.arte.tv/guide/fr/049448-007/occupied-7-10
et samedi 12 : "Russie , Mortelle Vodka"
http://www.arte.tv/guide/fr/030273-547/arte-reportage
http://info.arte.tv/fr/russie-mortelle-vodka
en programmation : "Le Kremlin cherche à contrôler les messageries instantanées"
http://www.courrierinternational.com/article/russie-le-kremlin-cherche-controler-les-messageries-instantanees
et depuis toujours :
http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20150520.OBS9268/vih-la-russie-est-l-un-des-rares-pays-ou-la-maladie-progresse-encore.html
une fiction s'est glissée dans ces liens ! devinez !!
Pour le brent à 35$, ben ils n'ont qu'à faire avec
Pour 2016, les prévisions des économistes sont vers 45/50$, là on est dans un creux (moins de 40$).
De toutes façons, il faudra faire avec les lois du marché et là, la douma ne peut voter des lois au dessus des règles internationales.
Matt- Admin
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Re: Et en Russie !
Krispoluk Sam 12 Déc - 2:40
Matt a écrit:Me demande si ce n'est pas réellement une conspiration.
L'OPEP a toujours défendu un cours élevé du baril et là, depuis un certain temps, c'est l'inverse.
Bon, le prix à la pompe ne baisse pas lui, mais le guébiste doit se morfondre.
Matt, toute l'histoire : pas de conspiration mais du froid réalisme économique... L'Opep est loin de rassembler tout les pays producteurs... Les Etats-Unis; de plus gros consommateur mondial, sont devenus auto-suffisants (gaz de schiste) = marché perdu... Avec un pétrole au plus haut il y a quelques années, beaucoup de pays ayant des gisements difficiles (et chers...) à exploiter (Canada, Nigeria, Vénézuela) se sont lancés dans l'aventure. Conséquence : surproduction !
Comment rétablir l'équilibre surproduction/diminution de la consommation (crise en Europe + économies d'énergie) ? Simple ! Il faut diminuer le prix du pétrole ! Les saoudiens (et les pays du golfe) peuvent se permettre de faire baisser le prix à 30 ou 35$ (leur prix de production est à 30$). Ce faisant ils "coulent" leurs concurrents dont le prix de production est à 60, 80 ou parfois 100$ ! Quand les petites compagnies privées auront fait faillite et que les grandes auront arrêté leurs puits déficitaires, il sera temps pour l'Arabie de faire remonter les prix en diminuant sa production... On n'y est pas encore ! C'est aussi simple que cela... Alors, l'Arabie et ses satellites peut se permettre de vendre du pétrole, même à perte car ils sont assis sur des montagnes de réserves financières en pétro-dollars. D'autres part, ils ont investi massivement dans d'autres secteurs économiques à l'Ouest (niveau des investissements du Qatar en France ?) Donc, ces pays peuvent se permettre de "brader" l'or noir pendant un bon moment !!!
Le Poutine qui a basé toute l'économie de son pays sur la rente des hydrocarbures, secteur placé exclusivement dans les mains de sa mafia du Kremlin est aux abois actuellement...
Son budget fédéral 2015 était basé (après dernière révision) sur un prix du baril de 90$ (no comment !) Ses réserves financières fondent à vue d'oeil... Il espère fortement en une remontée du prix du baril en 2016 et doit prier tous les soirs Saint-Basile ou Saint Staline
Il se fout le doigt dans l'oeil ! Le baril ne remontera pas au delà de 50$ en 2016. La purge drastique des petits producteurs n'est pas encore terminée et avec l'arrivée sur le marché de l'Iran, l'Arabie veut couler ce pays car ce sont deux conceptions idéologiques ennemies de l'Islam qui s'affrontent...Affaire à suivre !!!
Krispoluk- Messages : 9785
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Re: Et en Russie !
Krispoluk Dim 13 Déc - 21:59
Confirmation de mon analyse précédente, article paru ce jour :
Morgan Stanley's call of $35 per barrel was nearly realized after oil hit $36 on Tuesday. Goldman Sachs' $20 prediction, due to the "endurance of the global oil surplus" could be the next target for this oil bear.
$20 oil seems shocking, but history appears set to repeat itself. OPEC leader Saudi Arabia is committed to dealing a death blow to many western producers, and Russia.
* Click here to read our Volume from January of this year explaining the Saudis' plot.
While the Saudis have been capturing market share during this bear market, they seem hell-bent on turning up the heat on specific producers, particularly Russia and America's shale plays.
In a Bloomberg article from late-October titled Oil's Big Slump Looks Like the 1980s 'Lost Decade' it becomes obvious the Saudis have been to this party before. Except in the 80s they were under the orders of Reagan to pump out oil in order to quell the Russian threat and bankrupt the rising power. That worked.
This time, in 2015, the same has been rumoured to be true, however the evidence suggests the Saudis have gone rogue.
In the article, Bloomberg Intelligence analyst Peter Pulikkan, wrote that:
"In 1985, Saudi Arabia changed policy to raise its market share, ushering in a lost decade for oil. There's a possibility there's another lost decade."
While most analysts believe oil will stabilize into late-2016 and rebound significantly in 2017 and beyond, it's prudent to take persistent volatility and potentially lower oil prices seriously, especially when considering the forthcoming facts: slow growth expected in China, all-time low velocity of money in the U.S., the global renewable energy mania (results of COP21 forthcoming - click here to read our related report) and the aging demographic shift in the West.
These factors will all weigh on crude oil demand in the next decade.
On December 2nd, British parliament voted 397 to 223 to approve airstrikes in Syria. Britain initiated the bombing campaign against ISIS the next day.
Immediately following the new British bombing campaign, in a surprise move, the Saudis announced they would not be cutting oil production, but may increase output. Saudi Arabia put forward a 'ceiling-less' plan in a bid to capture market share from its competitors, namely Russia and Iran.
Who has entered the fight against ISIS recently and actually been effective? Russia.
Below is an excerpt from a Bloomberg article titled OPEC Unity Shattered as Saudi-Led Policy Leads to No Limits:
"...the Organization of Petroleum Exporting Countries tossed aside the idea of limiting production to control prices. Instead, it went all in for the one-year-old Saudi Arabia-led policy of pumping, pumping, pumping until rivals -- external, such as Russia and U.S. shale drillers, as well as internal -- are squeezed out of market share."
Again, this is reminiscent of the Saudis move in the mid-80s to capture market share from Russia. Check out the steep decline in oil prices during the mid-80s below. The oil bear of the 80s lasted nearly 5 years.
While the Saudis want oil market share, and that is the primary motive behind their actions, it should be noted that their empathy towards ISIS has been speculated on for some time.
In a December 7th article from RT titled 'Time of looking away over': Germany warns Saudi Arabia to stop funding radical Islamists, it was reported that Germany publicly warned Saudi Arabia against financing religious radicalism around the world.
*We've written about Iran and Saudi Arabia's dislike of one another in great detail. Click here to get caught up.
The Saudis move to flood the market with oil, removing any ceiling, has left more than a few OPEC members in dismay. But none felt it more than Iran...
Reuters reported this week that, "In a move sources say was masterminded by Saudi Arabia, ministers finally agreed for the first time in decades to drop any reference to the 13-member group's output ceiling."
Iran's push for higher oil prices and larger market share is critical to its economic resurgence. Its current fragile position was further revealed in that Reuters report from earlier this week:
"The pivot, which surprised not only markets but also some OPEC officials, appeared to be a direct response to Saudi Arabia's arch-rival Iran, which has made clear it intends to make a rapid return to global oil markets next year as nuclear-related sanctions are lifted.
With Tehran looking to pump as much as 1 million barrels per day (bpd) more crude into a market already saturated with excess supply, an increase of about 1 per cent in world supply, maintaining or legitimizing any pretence of OPEC limits - no matter how notional - was not an option for Riyadh."
In the the 60s, Saudi Arabia led the creation of the OPEC cartel to defend itself and gain control over the global market for its only substantive export. It has always been a very self-serving nation with few friends. And now, once again thanks to its self-serving interests, Saudi Arabia is on the verge of disbanding the OPEC cartel it was responsible for creating.
According to Reuters, "Saudi Arabia has long insisted it would cut production only if fellow OPEC members and non-OPEC countries joined in. The report quoted a senior OPEC delegate as saying the Saudis would agree to cuts if Iraq freezes production rises and Iran and non-members such as Russia, Mexico, Oman and Kazakhstan contribute."
With everyone from the US to Russia and Iran trying to get a piece of the oil pie, amidst anemic global growth and weakening domestic economies, don't expect this oil glut to diminish for at least a year. Oil investors should brace for a rocky 2016 as Saudi Arabia, a rogue state, attempts to squeeze competitors out of the market, exactly what it did in the 1980s; except this time it's doing it on its own accord, not as a favour to America.
So what about poor little Canada? Inadvertently the Saudis have thrown down the gauntlet on Canadian producers as well. And there is just no way they can compete in this climate.
The Financial Post reported on December 9th that Suncor Energy's operating costs at its oil-sands operations fell to $27 a barrel in the third quarter. Cenovus Energy's operating costs at its Christina Lake site is less than $10 a barrel and its conventional oil costs are just over $15 a barrel.
Look for mass consolidation in Canada's energy sector in 2016 as a way to prevent extinction. Although not a target of the Saudis' economic war, Canada's oil patch will continue to be among the hardest hit.
Mes conclusions :
- Au grand désespoir du Huilo, le pétrole ne va pas remonter en 2016. L'Arabie veut parachever la défaite de ses concurrents, le baril pourrait même baisser à 20$ !
- La stratégie mise en œuvre par l'Arabie, satisfait pleinement ses objectifs politiques : "couler" économiquement l'Iran et la Russie, qui s'est rangée dans le camp de ses ennemis idéologiques (chiites + alaouites) et circonscrire les nouveaux "producteurs" en puissance : USA + Canada. C'est tout bénef pour elle !
- 2016 sera une année très difficile pour le Huilo, je n'ose imaginer comment il va gérer le budget de la fédération de Russie si le baril dégringole à 30-25$... Enfin, le peuple russe a appris à souffrir en silence... Espérons pour lui qu'il ne lui prenne pas la lubie de se réveiller brutalement
La suite au prochain numéro
Morgan Stanley's call of $35 per barrel was nearly realized after oil hit $36 on Tuesday. Goldman Sachs' $20 prediction, due to the "endurance of the global oil surplus" could be the next target for this oil bear.
$20 oil seems shocking, but history appears set to repeat itself. OPEC leader Saudi Arabia is committed to dealing a death blow to many western producers, and Russia.
* Click here to read our Volume from January of this year explaining the Saudis' plot.
While the Saudis have been capturing market share during this bear market, they seem hell-bent on turning up the heat on specific producers, particularly Russia and America's shale plays.
In a Bloomberg article from late-October titled Oil's Big Slump Looks Like the 1980s 'Lost Decade' it becomes obvious the Saudis have been to this party before. Except in the 80s they were under the orders of Reagan to pump out oil in order to quell the Russian threat and bankrupt the rising power. That worked.
This time, in 2015, the same has been rumoured to be true, however the evidence suggests the Saudis have gone rogue.
In the article, Bloomberg Intelligence analyst Peter Pulikkan, wrote that:
"In 1985, Saudi Arabia changed policy to raise its market share, ushering in a lost decade for oil. There's a possibility there's another lost decade."
While most analysts believe oil will stabilize into late-2016 and rebound significantly in 2017 and beyond, it's prudent to take persistent volatility and potentially lower oil prices seriously, especially when considering the forthcoming facts: slow growth expected in China, all-time low velocity of money in the U.S., the global renewable energy mania (results of COP21 forthcoming - click here to read our related report) and the aging demographic shift in the West.
These factors will all weigh on crude oil demand in the next decade.
Back to Saudi Arabia...
Saudi Arabia has come out and said it will support output cuts as long as some of the largest oil producing countries in and outside OPEC do the same. In other words, unless Russia and possibly even the US obey its demands, it won't be cutting anytime soon. News of this sent oil below $40 last week. Saudis' motives darken to take market share
There is a dark timeline associated with the Saudis' recent actions and posits some troubling alliances in the Middle East. On December 2nd, British parliament voted 397 to 223 to approve airstrikes in Syria. Britain initiated the bombing campaign against ISIS the next day.
Immediately following the new British bombing campaign, in a surprise move, the Saudis announced they would not be cutting oil production, but may increase output. Saudi Arabia put forward a 'ceiling-less' plan in a bid to capture market share from its competitors, namely Russia and Iran.
Who has entered the fight against ISIS recently and actually been effective? Russia.
Below is an excerpt from a Bloomberg article titled OPEC Unity Shattered as Saudi-Led Policy Leads to No Limits:
"...the Organization of Petroleum Exporting Countries tossed aside the idea of limiting production to control prices. Instead, it went all in for the one-year-old Saudi Arabia-led policy of pumping, pumping, pumping until rivals -- external, such as Russia and U.S. shale drillers, as well as internal -- are squeezed out of market share."
Again, this is reminiscent of the Saudis move in the mid-80s to capture market share from Russia. Check out the steep decline in oil prices during the mid-80s below. The oil bear of the 80s lasted nearly 5 years.
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| source: http://www.huffingtonpost.com_2015_01_13_crude-oil-price-chart_n_6463054.html |
While the Saudis want oil market share, and that is the primary motive behind their actions, it should be noted that their empathy towards ISIS has been speculated on for some time.
In a December 7th article from RT titled 'Time of looking away over': Germany warns Saudi Arabia to stop funding radical Islamists, it was reported that Germany publicly warned Saudi Arabia against financing religious radicalism around the world.
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| image source: Twitter |
Iran in the Crosshairs
Who is another OPEC member desperate to generate revenues that has also been fighting ISIS in recent months? Iran. *We've written about Iran and Saudi Arabia's dislike of one another in great detail. Click here to get caught up.
The Saudis move to flood the market with oil, removing any ceiling, has left more than a few OPEC members in dismay. But none felt it more than Iran...Reuters reported this week that, "In a move sources say was masterminded by Saudi Arabia, ministers finally agreed for the first time in decades to drop any reference to the 13-member group's output ceiling."
Iran's push for higher oil prices and larger market share is critical to its economic resurgence. Its current fragile position was further revealed in that Reuters report from earlier this week:
"The pivot, which surprised not only markets but also some OPEC officials, appeared to be a direct response to Saudi Arabia's arch-rival Iran, which has made clear it intends to make a rapid return to global oil markets next year as nuclear-related sanctions are lifted.
With Tehran looking to pump as much as 1 million barrels per day (bpd) more crude into a market already saturated with excess supply, an increase of about 1 per cent in world supply, maintaining or legitimizing any pretence of OPEC limits - no matter how notional - was not an option for Riyadh."
Saudi Arabia's Plot
Saudi Arabia produces the cheapest oil in the world. It has long-term supply agreements in place and will add to them if oil prices stay depressed for much longer. In the the 60s, Saudi Arabia led the creation of the OPEC cartel to defend itself and gain control over the global market for its only substantive export. It has always been a very self-serving nation with few friends. And now, once again thanks to its self-serving interests, Saudi Arabia is on the verge of disbanding the OPEC cartel it was responsible for creating.
According to Reuters, "Saudi Arabia has long insisted it would cut production only if fellow OPEC members and non-OPEC countries joined in. The report quoted a senior OPEC delegate as saying the Saudis would agree to cuts if Iraq freezes production rises and Iran and non-members such as Russia, Mexico, Oman and Kazakhstan contribute."
With everyone from the US to Russia and Iran trying to get a piece of the oil pie, amidst anemic global growth and weakening domestic economies, don't expect this oil glut to diminish for at least a year. Oil investors should brace for a rocky 2016 as Saudi Arabia, a rogue state, attempts to squeeze competitors out of the market, exactly what it did in the 1980s; except this time it's doing it on its own accord, not as a favour to America.
So what about poor little Canada? Inadvertently the Saudis have thrown down the gauntlet on Canadian producers as well. And there is just no way they can compete in this climate.
Cut Costs or Die Trying
When it comes to Canada's energy sector the pain is likely not over, but the silver lining is that some oil companies are becoming more efficient than ever before. The Financial Post reported on December 9th that Suncor Energy's operating costs at its oil-sands operations fell to $27 a barrel in the third quarter. Cenovus Energy's operating costs at its Christina Lake site is less than $10 a barrel and its conventional oil costs are just over $15 a barrel.
Look for mass consolidation in Canada's energy sector in 2016 as a way to prevent extinction. Although not a target of the Saudis' economic war, Canada's oil patch will continue to be among the hardest hit.
Mes conclusions :
- Au grand désespoir du Huilo, le pétrole ne va pas remonter en 2016. L'Arabie veut parachever la défaite de ses concurrents, le baril pourrait même baisser à 20$ !
- La stratégie mise en œuvre par l'Arabie, satisfait pleinement ses objectifs politiques : "couler" économiquement l'Iran et la Russie, qui s'est rangée dans le camp de ses ennemis idéologiques (chiites + alaouites) et circonscrire les nouveaux "producteurs" en puissance : USA + Canada. C'est tout bénef pour elle !
- 2016 sera une année très difficile pour le Huilo, je n'ose imaginer comment il va gérer le budget de la fédération de Russie si le baril dégringole à 30-25$... Enfin, le peuple russe a appris à souffrir en silence... Espérons pour lui qu'il ne lui prenne pas la lubie de se réveiller brutalement
La suite au prochain numéro
Krispoluk- Messages : 9785
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Localisation : Chez les Ch'tis
Re: Et en Russie !
Александр Lun 14 Déc - 9:08
Oui, en gros, c'est bien ce dont il est question.
Pauvres russes, je les plains.
Pauvres russes, je les plains.
Александр- Messages : 5390
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Localisation : Leuven, België
Re: Et en Russie !
орис Lun 14 Déc - 9:32
Les Russes passeront Noël en Russie
7 DÉC. 2015
PAR RAOUL OLIVIER
BLOG: Le Blog de Raoul olivier
En raison d'une épidémie de peste bubonique aux Etats-Unis le pouvoir russe demande à ses citoyens de rester chez eux.
Anna Popova, la responsable du Service Fédéral de Défense des Droits des Consommateurs, recommande à ses concitoyens de ne pas soumettre leurs organismes à des changements de températures brutaux en allant passer leurs vacances d’hiver hors de Russie.
Elle leur rappelle que l’Europe est aujourd’hui envahie par des réfugiés qui y apportent toutes sortes d’infections exotiques, par exemple le choléra, ou encore la diphtérie qui désormais menace les touristes russes qui auraient la mauvaise idée de vouloir passer quelques jours en Pologne ou en Finlande.
Il faut se méfier aussi de la péninsule arabique, on peut y attraper un syndrome respiratoire aigu.
Le touriste russe risque également d’être contaminé par la grippe aviaire en Chine et la grippe porcine en Inde. L’épidémie du virus Ebola couve dans toute l’Afrique, la malaria en Asie, la Dengue en Amérique Latine. Mais le pire est à craindre aux Etats-Unis, où l’on enregistre, rappelle Anna Popova, 15 cas de peste bubonique par an !
Alors qu’ « en même temps en Russie la situation sanitaire et épidémiologique est stable, il n’y a pas de risque d’être touché par une infection grave ».
En un mot, ce n’est pas pour rien qu’on a annexé la Crimée et bétonné la côte autour de Sotchi ! Les chaînes fédérales ne manquent pas une occasion de vanter les charmes du tourisme patriotique et les dangers des destinations exotiques.
La très loyale fonctionnaire oublie quand même que la Russie est actuellement confrontée à une épidémie de SIDA terrible (986600 personnes infectées au 1[size=12]er novembre 2015 et qu'on risque encore de mourir après avoir absorbé de l’alcool frelaté, ou tout simplement faute de soins dans un système de santé dévasté. On remarquera d’ailleurs que le tourisme médical des élites n’est lui pas déconseillé.
Depuis des siècles la Russie connaît des cycles de fermeture, généralement longs, et d’ouverture à l’étranger, plutôt courts… Le dernier cycle d’ouverture, initié par la perestroïka, n’aura pas duré trente ans. Tout le monde semble retrouver les vieux réflexes : personne ne nous aime, personne ne nous comprend, tous nos problèmes viennent de l’étranger, il est dangereux de s’y rendre et dangereux d’accueillir ou fréquenter les étrangers, restons chez nous et entre nous. Ces « réflexes » sont soigneusement entretenus et développés par un pouvoir, qui, pas plus que celui des tsars ou des soviets, ne souhaite que sa population puisse faire des comparaisons désavantageuses ou soit témoin d’autres conceptions de la « démocratie », des « élections libres » ou de la « justice sociale » que celles qu’il lui propose.
Il est triste de voir la Russie reprendre son apparence de caserne, avec son masochisme (fiers d’être pauvres, fiers de souffrir, fiers d’être opprimés et exploités, fiers d’être malheureux, heureux d’être craints), sa paranoïa obsidionale, sa passion des armes, des parades et des médailles, son obscurantisme…
Ce n’est pas le retour à la caserne stalinienne (personne n’allait à l’étranger et les popes ne participaient pas à l'enfumage), mais à la caserne tsariste (seuls les pauvres restent à la maison, les élites se retrouvent à Nice ou Genève, envoient leurs enfants étudier à Londres et se soignent en Allemagne).
La bombe atomique en plus.[/size]
blogs.mediapart.fr/raoul-olivier/blog/07121
5/les-russes-passeront-noel-en-russie
7 DÉC. 2015
PAR RAOUL OLIVIER
BLOG: Le Blog de Raoul olivier
En raison d'une épidémie de peste bubonique aux Etats-Unis le pouvoir russe demande à ses citoyens de rester chez eux.
Anna Popova, la responsable du Service Fédéral de Défense des Droits des Consommateurs, recommande à ses concitoyens de ne pas soumettre leurs organismes à des changements de températures brutaux en allant passer leurs vacances d’hiver hors de Russie.
Elle leur rappelle que l’Europe est aujourd’hui envahie par des réfugiés qui y apportent toutes sortes d’infections exotiques, par exemple le choléra, ou encore la diphtérie qui désormais menace les touristes russes qui auraient la mauvaise idée de vouloir passer quelques jours en Pologne ou en Finlande.
Il faut se méfier aussi de la péninsule arabique, on peut y attraper un syndrome respiratoire aigu.
Le touriste russe risque également d’être contaminé par la grippe aviaire en Chine et la grippe porcine en Inde. L’épidémie du virus Ebola couve dans toute l’Afrique, la malaria en Asie, la Dengue en Amérique Latine. Mais le pire est à craindre aux Etats-Unis, où l’on enregistre, rappelle Anna Popova, 15 cas de peste bubonique par an !
Alors qu’ « en même temps en Russie la situation sanitaire et épidémiologique est stable, il n’y a pas de risque d’être touché par une infection grave ».
En un mot, ce n’est pas pour rien qu’on a annexé la Crimée et bétonné la côte autour de Sotchi ! Les chaînes fédérales ne manquent pas une occasion de vanter les charmes du tourisme patriotique et les dangers des destinations exotiques.
La très loyale fonctionnaire oublie quand même que la Russie est actuellement confrontée à une épidémie de SIDA terrible (986600 personnes infectées au 1[size=12]er novembre 2015 et qu'on risque encore de mourir après avoir absorbé de l’alcool frelaté, ou tout simplement faute de soins dans un système de santé dévasté. On remarquera d’ailleurs que le tourisme médical des élites n’est lui pas déconseillé.
Depuis des siècles la Russie connaît des cycles de fermeture, généralement longs, et d’ouverture à l’étranger, plutôt courts… Le dernier cycle d’ouverture, initié par la perestroïka, n’aura pas duré trente ans. Tout le monde semble retrouver les vieux réflexes : personne ne nous aime, personne ne nous comprend, tous nos problèmes viennent de l’étranger, il est dangereux de s’y rendre et dangereux d’accueillir ou fréquenter les étrangers, restons chez nous et entre nous. Ces « réflexes » sont soigneusement entretenus et développés par un pouvoir, qui, pas plus que celui des tsars ou des soviets, ne souhaite que sa population puisse faire des comparaisons désavantageuses ou soit témoin d’autres conceptions de la « démocratie », des « élections libres » ou de la « justice sociale » que celles qu’il lui propose.
Il est triste de voir la Russie reprendre son apparence de caserne, avec son masochisme (fiers d’être pauvres, fiers de souffrir, fiers d’être opprimés et exploités, fiers d’être malheureux, heureux d’être craints), sa paranoïa obsidionale, sa passion des armes, des parades et des médailles, son obscurantisme…
Ce n’est pas le retour à la caserne stalinienne (personne n’allait à l’étranger et les popes ne participaient pas à l'enfumage), mais à la caserne tsariste (seuls les pauvres restent à la maison, les élites se retrouvent à Nice ou Genève, envoient leurs enfants étudier à Londres et se soignent en Allemagne).
La bombe atomique en plus.[/size]
blogs.mediapart.fr/raoul-olivier/blog/07121
5/les-russes-passeront-noel-en-russie
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Re: Et en Russie !
Александр Lun 14 Déc - 10:29
Tu reprends presque le billet d'Orkenny: http://ukraine2014.canalblog.com/archives/2015/12/13/33062287.html
L’œil de Moscou – Spécial Investigation
Alors que le Front national s’implante durablement dans le paysage politique français, l’émission Spécial investigation de Canal+ a diffusé une émission sur les relations ambigues entretenues par le parti de Marine Le Pen avec la Russie.
Ce qui est marquant, c’est que l’histoire du prêt russe au FN n’est qu’un élément. Il y a une grande convergence d’idées entre le FN et la Russie. Pour une très large partie du monde politique occidental, Vladimir Poutine est un président «infréquentable», mais pas pour Marine Le Pen. Depuis qu’elle a pris la présidence du FN, celle-ci ne cesse en effet de faire des appels du pied au président de la Fédération de Russie. Son opération de séduction a marché. Depuis près de quatre ans, le FN de Marine Le Pen et la Russie de Vladimir Poutine dansent front contre front. La présidente du FN a été reçue plusieurs fois officiellement à Moscou, tandis que des émissaires du Kremlin sont envoyés dans les grands rendez-vous politiques du Front national. Par ailleurs, plusieurs millions d’euros sont arrivés directement de Russie dans les poches du FN.
Raphaël Tresanini a mené l’enquête sur les raisons de ce rapprochement. « Front National : L’oeil de Moscou » par Spécial Investigation, à visionner sur Youtube
L’œil de Moscou – Spécial Investigation
Alors que le Front national s’implante durablement dans le paysage politique français, l’émission Spécial investigation de Canal+ a diffusé une émission sur les relations ambigues entretenues par le parti de Marine Le Pen avec la Russie.
Ce qui est marquant, c’est que l’histoire du prêt russe au FN n’est qu’un élément. Il y a une grande convergence d’idées entre le FN et la Russie. Pour une très large partie du monde politique occidental, Vladimir Poutine est un président «infréquentable», mais pas pour Marine Le Pen. Depuis qu’elle a pris la présidence du FN, celle-ci ne cesse en effet de faire des appels du pied au président de la Fédération de Russie. Son opération de séduction a marché. Depuis près de quatre ans, le FN de Marine Le Pen et la Russie de Vladimir Poutine dansent front contre front. La présidente du FN a été reçue plusieurs fois officiellement à Moscou, tandis que des émissaires du Kremlin sont envoyés dans les grands rendez-vous politiques du Front national. Par ailleurs, plusieurs millions d’euros sont arrivés directement de Russie dans les poches du FN.
Raphaël Tresanini a mené l’enquête sur les raisons de ce rapprochement. « Front National : L’oeil de Moscou » par Spécial Investigation, à visionner sur Youtube
Александр- Messages : 5390
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Re: Et en Russie !
Thuramir Lun 14 Déc - 10:40
Je partage l'avis de Kris sur les cours du pétrole.
La baisse du prix du pétrole constitue un phénomène inattendu, mais très positif pour l'Europe occidentale également. On a toujours écrit que, les ressources pétrolifères allant en se raréfiant et devenant aussi plus difficile d'accès, le cours des matières pétrolières et énergétiques finirait par monter vertigineusement.
L'exploitation du gaz de schiste par les Etats-Unis a changé la donne, au moins pour deux décennies sans doute.
Outre les effets économiques positifs pour nos pays, cela génère aussi moins de dépendance énergétique et plus d'indépendance politique. On ne peut que souhaiter que cette période soit utilisée au mieux par les hommes politiques pour parvenir à une politique internationale à moyen et long terme plus intelligente et qu'ils ne raisonnent plus seulement à l'aune de leur mandat politique de politicien en quête de réélection, comme ils l'ont presque toujours fait.
Et on peut donc légitimement penser que cela aura des effets positifs pour parvenir à résoudre la crise ukrainienne.
La baisse du prix du pétrole constitue un phénomène inattendu, mais très positif pour l'Europe occidentale également. On a toujours écrit que, les ressources pétrolifères allant en se raréfiant et devenant aussi plus difficile d'accès, le cours des matières pétrolières et énergétiques finirait par monter vertigineusement.
L'exploitation du gaz de schiste par les Etats-Unis a changé la donne, au moins pour deux décennies sans doute.
Outre les effets économiques positifs pour nos pays, cela génère aussi moins de dépendance énergétique et plus d'indépendance politique. On ne peut que souhaiter que cette période soit utilisée au mieux par les hommes politiques pour parvenir à une politique internationale à moyen et long terme plus intelligente et qu'ils ne raisonnent plus seulement à l'aune de leur mandat politique de politicien en quête de réélection, comme ils l'ont presque toujours fait.
Et on peut donc légitimement penser que cela aura des effets positifs pour parvenir à résoudre la crise ukrainienne.
Thuramir- Messages : 3676
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Re: Et en Russie !
Александр Lun 14 Déc - 10:45
Ne s'arrange pas:
Cotation Pétrole Brent
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| Cours Ice Europ | 37.75 USD |
| Variation | -0.61% |
| Dernier échange | 14/12/15 09:34:07 |
| Volume | 6 555 |
| Ouverture | 37.85 |
| + Haut | 38.01 |
| + Bas | 37.44 |
| + Haut 12 derniers mois | 69.63 |
| + Bas 12 derniers mois | 37.36 |
| Clôture veille | 37.98 |
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Re: Et en Russie !
benoit77 Lun 14 Déc - 19:46
La cinquième colonne n'a pas fait recette ce weekend :
http://geopolis.francetvinfo.fr/pas-de-region-pour-la-famille-le-pen-grande-amie-de-la-russie-de-poutine-88579
http://geopolis.francetvinfo.fr/pas-de-region-pour-la-famille-le-pen-grande-amie-de-la-russie-de-poutine-88579
benoit77- Messages : 2859
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Re: Et en Russie !
pyxous Lun 14 Déc - 23:42
benoit77 a écrit:La cinquième colonne n'a pas fait recette ce weekend :
http://geopolis.francetvinfo.fr/pas-de-region-pour-la-famille-le-pen-grande-amie-de-la-russie-de-poutine-88579
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Re: Et en Russie !
Krispoluk Lun 14 Déc - 23:56
benoit77 a écrit:La cinquième colonne n'a pas fait recette ce weekend :
http://geopolis.francetvinfo.fr/pas-de-region-pour-la-famille-le-pen-grande-amie-de-la-russie-de-poutine-88579
Les apparences immédiates ou les variables de fond qui vont modeler la vie politique française au cours des prochaines années ???
Krispoluk- Messages : 9785
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Re: Et en Russie !
Александр Mar 15 Déc - 13:24
Une fusillade dans le centre de Moscou fait au moins deux morts et huit blessés
Une fusillade a fait au moins deux morts et huit blessés lundi soir dans le centre de Moscou, ont rapporté les médias russes mardi. Deux personnes ont été tuées et quatre hospitalisées. Six hommes ont été interpellés. Selon l’agence de presse russe Interfax, les coups de feu ont éclaté vers 22H00 (20H00 en Belgique) dans une rue du centre de Moscou, adjacente à la Maison Blanche, le siège du gouvernement russe.
Les images des caméras de vidéosurveillance, diffusées par la chaîne de télévision russe Life News, montrent deux groupes d’une dizaine d’hommes échangeant des coups de feu pendant environ une minute, dans une ruelle donnant sur un restaurant coréen. Un conflit financier entre les propriétaires du restaurant et les responsables d’une entreprise de construction ayant rénové le restaurant serait à l’origine de la fusillade, précise Interfax.
Et après, les trolls vont nous lâcher que ça n'arrive qu'en Ukraine . . .
Vous aviez remarqué:
Des scientifiques analysent la "démarche du flingueur" de Poutine
La démarche singulière de Vladimir Poutine - bras gauche ballant et bras droit presque immobile - serait due aux entraînements intensifs suivis au KGB et non un signe précurseur de la maladie de Parkinson, assure une étude publiée mardi dans le British Medical Journal (BMJ).
AFP
La revue médicale britannique publie traditionnellement pour Noël, une édition spéciale avec des études sérieuses sur des sujets insolites et inattendus. Une équipe de neurologues du Portugal, d'Italie et des Pays-Bas, spécialistes des troubles du mouvement, s'est cette fois penchée sur le président russe, son Premier ministre Dmitri Medvedev et trois autres hauts responsables, intrigués par leur façon particulière de marcher avec balancement unilatéral des bras.
"La première chose qui nous vient à l'esprit est la maladie de Parkinson" puisque le balancement asymétrique des bras est l'un de ses signes précurseurs, expliquent les médecins qui ont scruté des vidéos des dirigeants russes. Pour autant, ils écartent cette hypothèse en l'absence d'autres symptômes tels que le tremblement des mains ou une faible coordination des membres. Vidéos à l'appui, ils relèvent au contraire la grande dextérité de Vladimir Poutine, ceinture noire au judo.
"La démarche du flingueur"
Aussi font-ils une toute autre hypothèse: leur posture aurait été modelée au KGB ou par des entraînements militaires intensifs. Le résultat est cette singulière façon de se déplacer qu'ils ont baptisée "la démarche du flingueur".
Pour étayer leur propos, ils précisent s'être procuré "un manuel d'entraînement des anciens du KGB". Ils décrivent comment les participants devaient maintenir leur main droite collée à leur poitrine pendant la marche pour pouvoir, face à l'ennemi, dégainer leur arme en une fraction de seconde.
"Nous avons trouvé d'autres exemples d'un balancement minimaliste d'un bras lié au maniement des armes: les cowboys dans les films sur le Far West présentent souvent un mouvement réduit de leur bras droit", ajoutent-ils.
Les chercheurs concèdent toutefois que le cas de Medvedev n'est pas d'une évidence absolue, celui-ci n'ayant pas reçu d'entraînement militaire. "Sa démarche de flingueur" tiendrait alors à un phénomène de mimétisme.
Le singe imite son maître . . .
Kerry en Russie pour la Syrie et de l'Ukraine
MOSCOU – Le secrétaire d’État américain John Kerry espère trouver avec la Russie des terrains d’entente pour que la guerre civile en Syrie prenne fin et pour que la stabilité soit rétablie en Ukraine.
M.Kerry est à Moscou mardi pour s’entretenir, d’abord, avec Sergei Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Russie, avant d’être reçu par le président Vladimir Poutine.
Il a déclaré avant ses rencontres que lorsque les grandes puissances s’entendent pour régler les conflits majeurs, le monde entier en bénéficie. Il a ajouté que de profonds désaccords sur certains dossiers entre Washington et Moscou ne les ont pas empêchés d’être d’accord sur certains autres.
La Russie et les États-Unis ne s’entendent pas sur la transition politique à promouvoir pour que cessent les combats meurtriers en Syrie, pas plus que sur l’approche militaire à privilégier pour faire la guerre au groupe État islamique.
À propos de l’Ukraine, les deux pays demeurent divergents sur la mise en application de l’accord de cessez-le-feu signé au Bélarus en février dernier entre les forces gouvernementales ukrainiennes et les séparatistes prorusses de l’est du pays.
Le séjour de John Kerry en Russie est son deuxième cette année. Il a rencontré le président Poutine en mai dernier dans uns station balnéaire de la mer Noire.
Une fusillade a fait au moins deux morts et huit blessés lundi soir dans le centre de Moscou, ont rapporté les médias russes mardi. Deux personnes ont été tuées et quatre hospitalisées. Six hommes ont été interpellés. Selon l’agence de presse russe Interfax, les coups de feu ont éclaté vers 22H00 (20H00 en Belgique) dans une rue du centre de Moscou, adjacente à la Maison Blanche, le siège du gouvernement russe.
Les images des caméras de vidéosurveillance, diffusées par la chaîne de télévision russe Life News, montrent deux groupes d’une dizaine d’hommes échangeant des coups de feu pendant environ une minute, dans une ruelle donnant sur un restaurant coréen. Un conflit financier entre les propriétaires du restaurant et les responsables d’une entreprise de construction ayant rénové le restaurant serait à l’origine de la fusillade, précise Interfax.
Et après, les trolls vont nous lâcher que ça n'arrive qu'en Ukraine . . .
Vous aviez remarqué:
Des scientifiques analysent la "démarche du flingueur" de Poutine
La démarche singulière de Vladimir Poutine - bras gauche ballant et bras droit presque immobile - serait due aux entraînements intensifs suivis au KGB et non un signe précurseur de la maladie de Parkinson, assure une étude publiée mardi dans le British Medical Journal (BMJ).
AFPLa revue médicale britannique publie traditionnellement pour Noël, une édition spéciale avec des études sérieuses sur des sujets insolites et inattendus. Une équipe de neurologues du Portugal, d'Italie et des Pays-Bas, spécialistes des troubles du mouvement, s'est cette fois penchée sur le président russe, son Premier ministre Dmitri Medvedev et trois autres hauts responsables, intrigués par leur façon particulière de marcher avec balancement unilatéral des bras.
"La première chose qui nous vient à l'esprit est la maladie de Parkinson" puisque le balancement asymétrique des bras est l'un de ses signes précurseurs, expliquent les médecins qui ont scruté des vidéos des dirigeants russes. Pour autant, ils écartent cette hypothèse en l'absence d'autres symptômes tels que le tremblement des mains ou une faible coordination des membres. Vidéos à l'appui, ils relèvent au contraire la grande dextérité de Vladimir Poutine, ceinture noire au judo.
"La démarche du flingueur"
Aussi font-ils une toute autre hypothèse: leur posture aurait été modelée au KGB ou par des entraînements militaires intensifs. Le résultat est cette singulière façon de se déplacer qu'ils ont baptisée "la démarche du flingueur".
Pour étayer leur propos, ils précisent s'être procuré "un manuel d'entraînement des anciens du KGB". Ils décrivent comment les participants devaient maintenir leur main droite collée à leur poitrine pendant la marche pour pouvoir, face à l'ennemi, dégainer leur arme en une fraction de seconde.
"Nous avons trouvé d'autres exemples d'un balancement minimaliste d'un bras lié au maniement des armes: les cowboys dans les films sur le Far West présentent souvent un mouvement réduit de leur bras droit", ajoutent-ils.
Les chercheurs concèdent toutefois que le cas de Medvedev n'est pas d'une évidence absolue, celui-ci n'ayant pas reçu d'entraînement militaire. "Sa démarche de flingueur" tiendrait alors à un phénomène de mimétisme.
Le singe imite son maître . . .
Kerry en Russie pour la Syrie et de l'Ukraine
MOSCOU – Le secrétaire d’État américain John Kerry espère trouver avec la Russie des terrains d’entente pour que la guerre civile en Syrie prenne fin et pour que la stabilité soit rétablie en Ukraine.
M.Kerry est à Moscou mardi pour s’entretenir, d’abord, avec Sergei Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Russie, avant d’être reçu par le président Vladimir Poutine.
Il a déclaré avant ses rencontres que lorsque les grandes puissances s’entendent pour régler les conflits majeurs, le monde entier en bénéficie. Il a ajouté que de profonds désaccords sur certains dossiers entre Washington et Moscou ne les ont pas empêchés d’être d’accord sur certains autres.
La Russie et les États-Unis ne s’entendent pas sur la transition politique à promouvoir pour que cessent les combats meurtriers en Syrie, pas plus que sur l’approche militaire à privilégier pour faire la guerre au groupe État islamique.
À propos de l’Ukraine, les deux pays demeurent divergents sur la mise en application de l’accord de cessez-le-feu signé au Bélarus en février dernier entre les forces gouvernementales ukrainiennes et les séparatistes prorusses de l’est du pays.
Le séjour de John Kerry en Russie est son deuxième cette année. Il a rencontré le président Poutine en mai dernier dans uns station balnéaire de la mer Noire.
Александр- Messages : 5390
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Re: Et en Russie !
Thuramir Mar 15 Déc - 14:32
Citer un article, qui n'aurait pas été rédigé par un individu quasi analphabète (auteur de l'article "y en a parler français"?) et débitant des informations qui n'en sont pas, eut été plus pertinent...Александр a écrit:
Kerry en Russie pour la Syrie et de l'Ukraine
MOSCOU – Le secrétaire d’État américain John Kerry espère trouver avec la Russie des terrains d’entente pour que la guerre civile en Syrie prenne fin et pour que la stabilité soit rétablie en Ukraine.
M.Kerry est à Moscou mardi pour s’entretenir, d’abord, avec Sergei Lavrov, ministre des Affaires étrangères de la Russie, avant d’être reçu par le président Vladimir Poutine.
Il a déclaré avant ses rencontres que lorsque les grandes puissances s’entendent pour régler les conflits majeurs, le monde entier en bénéficie. Il a ajouté que de profonds désaccords sur certains dossiers entre Washington et Moscou ne les ont pas empêchés d’être d’accord sur certains autres.
La Russie et les États-Unis ne s’entendent pas sur la transition politique à promouvoir pour que cessent les combats meurtriers en Syrie, pas plus que sur l’approche militaire à privilégier pour faire la guerre au groupe État islamique.
À propos de l’Ukraine, les deux pays demeurent divergents sur la mise en application de l’accord de cessez-le-feu signé au Bélarus en février dernier entre les forces gouvernementales ukrainiennes et les séparatistes pro-russes de l’est du pays.
Le séjour de John Kerry en Russie est son deuxième cette année. Il a rencontré le président Poutine en mai dernier dans uns station balnéaire de la mer Noire.
Thuramir- Messages : 3676
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Re: Et en Russie !
Александр Mar 15 Déc - 14:45
Je pense que le titre original était pour parler de la Syrie et de l'Ukraine. 
De toutes façons, parler avec des menteurs ne fait rien avancer, on l'a bien vu jusqu'ici.
De toutes façons, parler avec des menteurs ne fait rien avancer, on l'a bien vu jusqu'ici.
Александр- Messages : 5390
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Re: Et en Russie !
benoit77 Mar 15 Déc - 16:42
Le taux de change officiel rouble/dollar a atteint son plus bas record depuis 17 ans
http://finance.liga.net/economics/2015/12/15/news/46207.htm
Patience, peu cher pionniers russes, 2016 est de la rigolade, 2017 sera l'année des bons alimentaires, des files d'attentes et du retour du Soviet suprême.
http://finance.liga.net/economics/2015/12/15/news/46207.htm
Patience, peu cher pionniers russes, 2016 est de la rigolade, 2017 sera l'année des bons alimentaires, des files d'attentes et du retour du Soviet suprême.
benoit77- Messages : 2859
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Re: Et en Russie !
Александр Mar 15 Déc - 16:52
Et comme en plus:
Encore plus bas que ce matin.
Cotation Pétrole Brent
| Cours Ice Europ | 38.56 USD |
| Variation | 2.15% |
| Dernier échange | 15/12/15 15:38:04 |
| Volume | 28 434 |
| Ouverture | 37.89 |
| + Haut | 38.95 |
| + Bas | 37.55 |
| + Haut 12 derniers mois | 69.63 |
| + Bas 12 derniers mois | 36.33 |
| Clôture veille | 37.75 |
Александр- Messages : 5390
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Re: Et en Russie !
Caduce62 Mar 15 Déc - 17:17
Gérard Depardieu contrôlé négatif lors d’un éthylotest en Russie
http://nordpresse.be/gerard-depardieu-controle-negatif-lors-dun-ethylotest-en-russie/
http://nordpresse.be/gerard-depardieu-controle-negatif-lors-dun-ethylotest-en-russie/
Caduce62- Messages : 15059
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Janchik- Messages : 276
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Re: Et en Russie !
орис Mar 15 Déc - 20:21
C'est effrayant, même si j'avoue que je ne sais pas ce que vaut la source.
Russie : un Ukrainien condamné à 11 ans de prison pour espionnage
Un Ukrainien a été condamné mardi en Russie à 11 ans de prison pour "espionnage" au profit de l'Ukraine, a-t-on appris auprès du tribunal régional de Moscou. Il a été reconnu coupable de "collecte, possession et transmission d'informations classées secret commercial et secret d'Etat à un pays étranger".
Depuis septembre 2012, M. Vygovski entrait en contact sur l'internet avec des employés du secteur aéronautique russe et leur proposait de l'argent en échange de données secrètes liées à leur travail, a affirmé la porte-parole du tribunal, Natalia Ossipova. Le tribunal a "condamné Valentin Vygovski à 11 ans de prison pour espionnage".
Il avait été arrêté en septembre 2014 à Simféropol, le chef-lieu de la péninsule de Crimée, annexée en mars de la même année par la Russie, et transféré vers un centre de détention provisoire à Moscou, selon le ministère ukrainien des Affaires étrangères.
En octobre, un autre Ukrainien -- un retraité de 73 ans, Iouri Solochenko, -- avait été condamné à six ans de prison pour "espionnage". Il avait été reconnu coupable d'avoir tenté d'acheter des composants secrets d'un système de défense antiaérien russe au profit de son pays.
Les révélations sur des affaires d'espionnage se sont multipliées ces derniers mois en Russie, la plupart d'entre elles étant liées à l'Ukraine où un conflit armé oppose depuis avril 2014 les forces de Kiev aux rebelles prorusses.
Plusieurs citoyens russes ont été inculpés de haute trahison, espionnage ou divulgation de secrets d'État, y compris une femme élevant sept enfants, pour laquelle les poursuites ont finalement été abandonnées après avoir soulevé une polémique dans le pays.
www lorientlejour.com/article/960360/russie-un-ukrainien-condamne-a-11-ans-de-prison-pour-espionnage.html
Russie : un Ukrainien condamné à 11 ans de prison pour espionnage
Un Ukrainien a été condamné mardi en Russie à 11 ans de prison pour "espionnage" au profit de l'Ukraine, a-t-on appris auprès du tribunal régional de Moscou. Il a été reconnu coupable de "collecte, possession et transmission d'informations classées secret commercial et secret d'Etat à un pays étranger".
Depuis septembre 2012, M. Vygovski entrait en contact sur l'internet avec des employés du secteur aéronautique russe et leur proposait de l'argent en échange de données secrètes liées à leur travail, a affirmé la porte-parole du tribunal, Natalia Ossipova. Le tribunal a "condamné Valentin Vygovski à 11 ans de prison pour espionnage".
Il avait été arrêté en septembre 2014 à Simféropol, le chef-lieu de la péninsule de Crimée, annexée en mars de la même année par la Russie, et transféré vers un centre de détention provisoire à Moscou, selon le ministère ukrainien des Affaires étrangères.
En octobre, un autre Ukrainien -- un retraité de 73 ans, Iouri Solochenko, -- avait été condamné à six ans de prison pour "espionnage". Il avait été reconnu coupable d'avoir tenté d'acheter des composants secrets d'un système de défense antiaérien russe au profit de son pays.
Les révélations sur des affaires d'espionnage se sont multipliées ces derniers mois en Russie, la plupart d'entre elles étant liées à l'Ukraine où un conflit armé oppose depuis avril 2014 les forces de Kiev aux rebelles prorusses.
Plusieurs citoyens russes ont été inculpés de haute trahison, espionnage ou divulgation de secrets d'État, y compris une femme élevant sept enfants, pour laquelle les poursuites ont finalement été abandonnées après avoir soulevé une polémique dans le pays.
www lorientlejour.com/article/960360/russie-un-ukrainien-condamne-a-11-ans-de-prison-pour-espionnage.html
орис- Messages : 135
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Re: Et en Russie !
орис Mar 15 Déc - 20:48
Poutine signe une loi qui affranchit la Russie des décisions des cours internationales
Rédaction en ligne
Le président russe Vladimir Poutine a signé une loi permettant à son pays de rejeter les décisions des cours et tribunaux internationaux, y compris donc celles de la Cour européenne des Droits de l'Homme (CEDH), rapportent des médias d'Etat mardi.
Cette nouvelle loi est déjà passée par le parlement en début de mois. Elle donne a la Cour constitutionnelle le pouvoir de rejeter toute décision internationale si elle estime que celle-ci contredit la Constitution russe.
L'année dernière, la CEDH, basée à Strasbourg, avait ordonné à la Russie de payer près de deux milliards d'euros de compensations aux anciens actionnaires du groupe pétrolier Ioukos. Le groupe avait été démantelé par les autorités au début des années 2000, après des accusations de fraude fiscale. La nouvelle loi est d'ailleurs largement vue comme un moyen d'éviter le paiement de ces compensations. Elle pourrait toutefois porter atteinte à la crédibilité du pays au niveau international.
Pour rappel, la Russie a signé la Convention européenne des Droits de l'Homme en 1998.
www .levif.be/actualite/international/poutine-signe-une-loi-qui-affranchit-la-russie-des-decisions-des-cours-internationales/article-normal-441227.html
Rédaction en ligne
15/12/15 à 12:16 - Mise à jour à 12:15
Source : Belga
Le président russe Vladimir Poutine a signé une loi permettant à son pays de rejeter les décisions des cours et tribunaux internationaux, y compris donc celles de la Cour européenne des Droits de l'Homme (CEDH), rapportent des médias d'Etat mardi.
Cette nouvelle loi est déjà passée par le parlement en début de mois. Elle donne a la Cour constitutionnelle le pouvoir de rejeter toute décision internationale si elle estime que celle-ci contredit la Constitution russe.
L'année dernière, la CEDH, basée à Strasbourg, avait ordonné à la Russie de payer près de deux milliards d'euros de compensations aux anciens actionnaires du groupe pétrolier Ioukos. Le groupe avait été démantelé par les autorités au début des années 2000, après des accusations de fraude fiscale. La nouvelle loi est d'ailleurs largement vue comme un moyen d'éviter le paiement de ces compensations. Elle pourrait toutefois porter atteinte à la crédibilité du pays au niveau international.
Pour rappel, la Russie a signé la Convention européenne des Droits de l'Homme en 1998.
www .levif.be/actualite/international/poutine-signe-une-loi-qui-affranchit-la-russie-des-decisions-des-cours-internationales/article-normal-441227.html
орис- Messages : 135
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Re: Et en Russie !
Tibo Mar 15 Déc - 22:47
орис a écrit:[size=35]Poutine signe une loi qui affranchit la Russie des décisions des cours internationales[/size]
Rédaction en ligne15/12/15 à 12:16 - Mise à jour à 12:15Source : Belga
Le président russe Vladimir Poutine a signé une loi permettant à son pays de rejeter les décisions des cours et tribunaux internationaux, y compris donc celles de la Cour européenne des Droits de l'Homme (CEDH), rapportent des médias d'Etat mardi.
Cette nouvelle loi est déjà passée par le parlement en début de mois. Elle donne a la Cour constitutionnelle le pouvoir de rejeter toute décision internationale si elle estime que celle-ci contredit la Constitution russe.
L'année dernière, la CEDH, basée à Strasbourg, avait ordonné à la Russie de payer près de deux milliards d'euros de compensations aux anciens actionnaires du groupe pétrolier Ioukos. Le groupe avait été démantelé par les autorités au début des années 2000, après des accusations de fraude fiscale. La nouvelle loi est d'ailleurs largement vue comme un moyen d'éviter le paiement de ces compensations. Elle pourrait toutefois porter atteinte à la crédibilité du pays au niveau international.
Pour rappel, la Russie a signé la Convention européenne des Droits de l'Homme en 1998.
www .levif.be/actualite/international/poutine-signe-une-loi-qui-affranchit-la-russie-des-decisions-des-cours-internationales/article-normal-441227.html
Ca doit quand même être la foire la constitution russe avec toutes ces lois ajoutées au petit bonheur la chance en fonction des besoins..
Tibo- Messages : 225
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Re: Et en Russie !
Matt Mer 16 Déc - 0:27
C'est la grande et sainte Russie, au dessus de toutes les conventions . . .
Matt- Admin
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Re: Et en Russie !
орис Mer 16 Déc - 10:35
Est ce ça pourrait bénéficier l'Ukraine? En effet, la Russie ne suivant plus le droit international, elle pourrait être moins prise au sérieuse pour une alliance possible non? Dans ce cas, les sanctions pourrait perdurer sans trop causer de débat normalement. Et s'ils sont au dessus des lois, moins de pays viendront investir en Russie vu que leur sécurité n'est plus garantie. Simple question de ma part
орис- Messages : 135
Date d'inscription : 09/12/2015
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