L'invasion Russe en Ukraine
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Re: L'invasion Russe en Ukraine
tarkan a écrit:Au lieu de bétonner le front à Marioupol et sur le reste du Donbass, on se berce d'illusions en se disant qu'on va récupérer le terrain perdu. Faut pas se mentir, face à l'armée russe, mener une offensive risque d'être très difficile!!
A mon sens, il faut tenir une ligne homogène. Le Donbass est une région urbaine et industrielle, chose qui avantage grandement le défenseur, car l'agresseur doit systématiquement aller au contact... Mais bon, soyons philosophe!!
Oui, tu sais bien que nous sommes toujours d'accord sur l'essentiel !
Ca me parait une hérésie d'essayer de tenir la poche de Debaltsevo alors que la proximité de la frontière russe et les moyens militaires considérables (chars et artillerie) russes ont été accumulés depuis plusieurs mois...
Debaltsevo n'est plus un "verrou" ils peuvent transporter tout ce qu'ils veulent par la route "sud" maintenant (Torez) alors si on ne lance pas (côté ukrainien) une offensive générale rapidement, ça ne sert à rien de s'accrocher à un "nid d'obus" sans aucune importance stratégique...
Je me demande aussi ce qu'il en est de toutes ces troupes qu'on nous a annoncé être "rééquippées, modernisées, reposées et remotivées" du côté de Kiev ??? Ils ont une chance unique pendant que les russes sont obnubilés par Debaltseve de pouvoir lancer une contre-offensive puissante sur Mariupol qui serait un grand coup d'éclat politique et militaire... Pourquoi ne le font-ils pas ????
Nous ne sommes pas dans le secret des dieux. Toujours est-il que selon mes estimations, l'armée ukrainienne doit disposer d'au moins 60.000 hommes aptes au combat sur le front du Donbass. En admettant qu'il y en ait 10.000 dans la "poche" de Debaltsevo (ce qui me semble très sur-estimé) ils ont encore suffisamment de moyens pour contre-attaquer efficacement en d'autres endroits du front (dont Mariupol) !
Alors, moi aussi, je me perd en conjectures...
Krispoluk- Messages : 9786
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: L'invasion Russe en Ukraine
N'oubliez pas que les russes se sont considérablement renforcé en Transnitrie Moldave, ce qui oblige l'Ukraine à se renforcer là aussi et donc perd des forces pour l'ATO.
Allez, un peu de positifs (j'aimerai y croire):
Ukraine: début des pourparlers de paix à Minsk entre Kiev et séparatistes
Rédaction en ligne
Mis en ligne il y a 12 minutes
Les pourparlers de paix entre Kiev et les séparatistes prorusses, avec la participation de la Russie et de l’OSCE, ont débuté samedi à Minsk avec pour objectif de conclure une trêve dans le conflit qui a fait plus de 5.000 morts en neuf mois.
Alors que les violences ont atteint ces derniers jours des niveaux critiques, l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) a déclaré qu’un «document contraignant sur un cessez-le-feu immédiat et le retrait des armes lourdes de la ligne de contact» pourrait être signé lors de ces discussions dans la capitale bélarusse, où avaient été conclus les premiers accords de paix pour l’Est de l’Ukraine en septembre.
Allez, un peu de positifs (j'aimerai y croire):
Ukraine: début des pourparlers de paix à Minsk entre Kiev et séparatistes
Rédaction en ligne
Mis en ligne il y a 12 minutes
Les pourparlers de paix entre Kiev et les séparatistes prorusses, avec la participation de la Russie et de l’OSCE, ont débuté samedi à Minsk avec pour objectif de conclure une trêve dans le conflit qui a fait plus de 5.000 morts en neuf mois.
Alors que les violences ont atteint ces derniers jours des niveaux critiques, l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) a déclaré qu’un «document contraignant sur un cessez-le-feu immédiat et le retrait des armes lourdes de la ligne de contact» pourrait être signé lors de ces discussions dans la capitale bélarusse, où avaient été conclus les premiers accords de paix pour l’Est de l’Ukraine en septembre.
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Résultat de la contre attaque ukrainienne dans les environs de Debaltseve:
On y voit de nombreux tanks russes abandonnés, les soldats ukrainiens ont l'air d'avoir le moral et vous noterez qu'ils sont bien équipés avec des vêtements chauds, c'est déjà ça!!
Hier, j'ai vu des photos de nombreux soldats russes morts sur cette même route, ils dégustent aussi sévèrement!!
On y voit de nombreux tanks russes abandonnés, les soldats ukrainiens ont l'air d'avoir le moral et vous noterez qu'ils sont bien équipés avec des vêtements chauds, c'est déjà ça!!
Hier, j'ai vu des photos de nombreux soldats russes morts sur cette même route, ils dégustent aussi sévèrement!!
tarkan- Messages : 718
Date d'inscription : 05/05/2014
Age : 39
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Les pourparlers de Minsk sont un échec, c'est officiel, la nouvelle vient de tomber...
tarkan- Messages : 718
Date d'inscription : 05/05/2014
Age : 39
Re: L'invasion Russe en Ukraine
tarkan a écrit:Les pourparlers de Minsk sont un échec, c'est officiel, la nouvelle vient de tomber...
Est-ce une grande surprise
Krispoluk- Messages : 9786
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Non, mais cette négociation n'a même pas duré 4h. La farce.
Quelques petits mots sur la poche de Debaltseve:
L'armée ukrainienne semble avoir progressé dans Vuhlehirsk, et a permis à 70 soldats ukrainiens de ne plus être encerclés. De nombreuses vidéos montrent des pertes russes en matériel et en homme.
Par contre, le bataillon Donbass de Semenchenko aurait été pris dans une embuscade... Je dis "aurais" car ce sont beaucoup de sources russes qui reprennent l'info...
Quelques petits mots sur la poche de Debaltseve:
L'armée ukrainienne semble avoir progressé dans Vuhlehirsk, et a permis à 70 soldats ukrainiens de ne plus être encerclés. De nombreuses vidéos montrent des pertes russes en matériel et en homme.
Par contre, le bataillon Donbass de Semenchenko aurait été pris dans une embuscade... Je dis "aurais" car ce sont beaucoup de sources russes qui reprennent l'info...
tarkan- Messages : 718
Date d'inscription : 05/05/2014
Age : 39
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Toujours la propagande des 2 côtés ! Il ne faut jamais réagir "à chaud" et laisser la situation se décanter avec le temps...
En d'autre temps et pour garder un langage militaire, on appelait ça : "garder le calme des vieilles troupes )
En d'autre temps et pour garder un langage militaire, on appelait ça : "garder le calme des vieilles troupes )
Krispoluk- Messages : 9786
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Croisont les doigts pour les malheureux qui sont sur le terrain . . .
Je verrai demain sur tweeter ce que dit Tymchuk.
A 16h il disait:
"Наиболее сложная ситуация в зоне конфликта на Донбассе сохраняется на Дебальцевском плацдарме. В район Енакиево – Углегорск российско-террористические войска продолжают перебрасывать подкрепления для своей тактической группы, ведущей ожесточённые бои как в самом Углегорске, так и южнее его. Отмечено прохождение в данный район конвоя снабжения через Енакиево (до 15 единиц крытого грузового транспорта, в сопровождении бронегруппы из 3 БМП-2). Также зафиксирована переброска через н.п.Красный Луч в данный район очередной партии бронетехники противника (8 танков и 14 единиц БМП и БТР)."
La situation la plus difficile dans la zone de conflit dans le Donbass est stocké sur Debaltsevskom pont. Dans le domaine Yenakievo - Uglegorsk troupes russo-terroristes continuent de jeter des renforts pour son groupe de travail, l'un des principaux combats intenses dans le Uglegorsk et au sud de celui-ci. Passage noté dans le domaine des convois de ravitaillement à travers Yenakievo (jusqu'à 15 unités de camions couverts, accompagnés par le groupe armé des trois BMP-2). Également fixé transfert par n.p.Krasny Ray dans la zone d'un autre lot de véhicules blindés (chars 8 et 14 unités de véhicules de combat d'infanterie et véhicules blindés).
"Действия тактической группы террористов, действующей в районе Углегорска, поддерживает артиллерийская группа (25 ед. ствольной артиллерии и 8 установок РСЗО). Кроме того, поддержку осуществляют артиллерийские подразделения боевиков, действующие с окраин Макеевки и Енакиево."
Groupe d'action des terroristes opérant dans la zone Uglegorsk, groupe de soutien d'artillerie (25 unités. Cannon artillerie et des unités MLRS8). En outre, le soutien est fourni unités d'artillerie militants opérant à partir de la banlieue et Makeyevka Yenakiyevo.
"На левом фланге, в районе н.п.Чернухино и Новогригоровка, также отмечается активизация сил террористов. В данном районе действует тактическая группа российско-террористических войск, включающая доукомплектованные подразделения, ранее принимавшие участия в боях в районе Троицкого и Санжаровки (всего до 350 чел., 12 танков и порядка 25 ББМ – главным образом БМП-2 и БТР-80). Данная тактическая группа действует на довольно узком участке вдоль трассы Алчевск-Дебальцево, стремясь нанести сконцентрированный удар по позициям украинских войск. Действия тактической группы поддерживает артиллерия с позиций юго-западнее н.п.Брянка, пытающаяся также вести огневой контроль трассы М03 – Е40."
Sur le flanc gauche, près n.p.Chernuhino et Novogrigorovka également assisté à une augmentation des forces terroristes. Dans le domaine de groupe tactique de troupes russo-terroristes, y compris les unités renforcé jusqu'à ont pris part aux combats dans la région de la Trinité et Sanzharovki (jusqu'à 350 personnes, 12 chars et 25 véhicules blindés de combat de l'ordre -. Principalement BMP-2 et BTR-80). Ce groupe de travail fonctionne sur une zone relativement étroite le long de la route Alchevsk-Debaltseve, en essayant de mettre un coup concentrée aux troupes ukrainiennes. Groupe d'action de soutien de l'artillerie du point de vue sud-ouest n.p.Bryanka, essaie aussi de garder la voie de contrôle de tir M03 - E40.
"Отмечается сосредоточение российско-террористических войск ещё на одном участке плацдарма - в районе н.п.Фащеевка и Никишино. В данном районе действует формирование противника, состоящее в основном из т.н. «казаков» (всего до 600 чел., при нескольких миномётных батареях и до 15 ББМ). Формирование растянуто по обеим сторонам трассы на Красный Луч мелкими подразделениями по 15-20 человек и «изображает» фронтальное наступление на плацдарм."
Forte concentration de troupes russo-terroristes toujours sur un seul site de pont - autour n.p.Fascheevka et Nikishin. Cette zone agit formant l'ennemi, composé principalement de la soi-disant "Cosaques" (jusqu'à 600 personnes., Lorsque plusieurs batteries de mortiers et jusqu'à 15 véhicules blindés de combat). Formation étendait des deux côtés de la route sur les petites unités Rouge Ray de 15-20 personnes et "montre" une attaque frontale sur la tête de pont.
"Боевики из т.н. «казаческих» формирований, ранее понесших серьезные потери на Дебальцевском плацдарме, выражают крайнее недовольство российским командованием. В частности, террористы обвиняют командовавших «операцией» российских офицеров в том, что те погнали отряды боевиков на штурм позиций украинских войск без должной поддержки артиллерии и бронетехники, «на убой». В результате многие подразделения террористов были разбиты (например, из участвовавшего в штурме отряда «казаков» из Антрацита в 80 чел. на исходные позиции вернулся 21 боевик)."
Les militants de la soi-disant Formations "cosaques" précédemment subi des pertes graves Debaltsevskom pont, exprimé leur mécontentement extrême avec le commandement russe. En particulier, les terroristes accusés de commander "l'opération" d'officiers russes qui ont poussé ces milices de prendre d'assaut les positions des troupes ukrainiennes sans artillerie de soutien adéquat et des véhicules blindés, "l'abattage." En conséquence, de nombreuses unités terroristes ont été brisées (par exemple, participé à l'équipe d'assaut "cosaques" de l'anthracite de 80 personnes. Retournés à leurs positions initiales 21 de combat).
Traduction google . . .
En bref, eux aussi font des conneries et n'en mènent pas large . . .
Dmitry Tymchuk 16 h
Je verrai demain sur tweeter ce que dit Tymchuk.
A 16h il disait:
"Наиболее сложная ситуация в зоне конфликта на Донбассе сохраняется на Дебальцевском плацдарме. В район Енакиево – Углегорск российско-террористические войска продолжают перебрасывать подкрепления для своей тактической группы, ведущей ожесточённые бои как в самом Углегорске, так и южнее его. Отмечено прохождение в данный район конвоя снабжения через Енакиево (до 15 единиц крытого грузового транспорта, в сопровождении бронегруппы из 3 БМП-2). Также зафиксирована переброска через н.п.Красный Луч в данный район очередной партии бронетехники противника (8 танков и 14 единиц БМП и БТР)."
La situation la plus difficile dans la zone de conflit dans le Donbass est stocké sur Debaltsevskom pont. Dans le domaine Yenakievo - Uglegorsk troupes russo-terroristes continuent de jeter des renforts pour son groupe de travail, l'un des principaux combats intenses dans le Uglegorsk et au sud de celui-ci. Passage noté dans le domaine des convois de ravitaillement à travers Yenakievo (jusqu'à 15 unités de camions couverts, accompagnés par le groupe armé des trois BMP-2). Également fixé transfert par n.p.Krasny Ray dans la zone d'un autre lot de véhicules blindés (chars 8 et 14 unités de véhicules de combat d'infanterie et véhicules blindés).
"Действия тактической группы террористов, действующей в районе Углегорска, поддерживает артиллерийская группа (25 ед. ствольной артиллерии и 8 установок РСЗО). Кроме того, поддержку осуществляют артиллерийские подразделения боевиков, действующие с окраин Макеевки и Енакиево."
Groupe d'action des terroristes opérant dans la zone Uglegorsk, groupe de soutien d'artillerie (25 unités. Cannon artillerie et des unités MLRS8). En outre, le soutien est fourni unités d'artillerie militants opérant à partir de la banlieue et Makeyevka Yenakiyevo.
"На левом фланге, в районе н.п.Чернухино и Новогригоровка, также отмечается активизация сил террористов. В данном районе действует тактическая группа российско-террористических войск, включающая доукомплектованные подразделения, ранее принимавшие участия в боях в районе Троицкого и Санжаровки (всего до 350 чел., 12 танков и порядка 25 ББМ – главным образом БМП-2 и БТР-80). Данная тактическая группа действует на довольно узком участке вдоль трассы Алчевск-Дебальцево, стремясь нанести сконцентрированный удар по позициям украинских войск. Действия тактической группы поддерживает артиллерия с позиций юго-западнее н.п.Брянка, пытающаяся также вести огневой контроль трассы М03 – Е40."
Sur le flanc gauche, près n.p.Chernuhino et Novogrigorovka également assisté à une augmentation des forces terroristes. Dans le domaine de groupe tactique de troupes russo-terroristes, y compris les unités renforcé jusqu'à ont pris part aux combats dans la région de la Trinité et Sanzharovki (jusqu'à 350 personnes, 12 chars et 25 véhicules blindés de combat de l'ordre -. Principalement BMP-2 et BTR-80). Ce groupe de travail fonctionne sur une zone relativement étroite le long de la route Alchevsk-Debaltseve, en essayant de mettre un coup concentrée aux troupes ukrainiennes. Groupe d'action de soutien de l'artillerie du point de vue sud-ouest n.p.Bryanka, essaie aussi de garder la voie de contrôle de tir M03 - E40.
"Отмечается сосредоточение российско-террористических войск ещё на одном участке плацдарма - в районе н.п.Фащеевка и Никишино. В данном районе действует формирование противника, состоящее в основном из т.н. «казаков» (всего до 600 чел., при нескольких миномётных батареях и до 15 ББМ). Формирование растянуто по обеим сторонам трассы на Красный Луч мелкими подразделениями по 15-20 человек и «изображает» фронтальное наступление на плацдарм."
Forte concentration de troupes russo-terroristes toujours sur un seul site de pont - autour n.p.Fascheevka et Nikishin. Cette zone agit formant l'ennemi, composé principalement de la soi-disant "Cosaques" (jusqu'à 600 personnes., Lorsque plusieurs batteries de mortiers et jusqu'à 15 véhicules blindés de combat). Formation étendait des deux côtés de la route sur les petites unités Rouge Ray de 15-20 personnes et "montre" une attaque frontale sur la tête de pont.
"Боевики из т.н. «казаческих» формирований, ранее понесших серьезные потери на Дебальцевском плацдарме, выражают крайнее недовольство российским командованием. В частности, террористы обвиняют командовавших «операцией» российских офицеров в том, что те погнали отряды боевиков на штурм позиций украинских войск без должной поддержки артиллерии и бронетехники, «на убой». В результате многие подразделения террористов были разбиты (например, из участвовавшего в штурме отряда «казаков» из Антрацита в 80 чел. на исходные позиции вернулся 21 боевик)."
Les militants de la soi-disant Formations "cosaques" précédemment subi des pertes graves Debaltsevskom pont, exprimé leur mécontentement extrême avec le commandement russe. En particulier, les terroristes accusés de commander "l'opération" d'officiers russes qui ont poussé ces milices de prendre d'assaut les positions des troupes ukrainiennes sans artillerie de soutien adéquat et des véhicules blindés, "l'abattage." En conséquence, de nombreuses unités terroristes ont été brisées (par exemple, participé à l'équipe d'assaut "cosaques" de l'anthracite de 80 personnes. Retournés à leurs positions initiales 21 de combat).
Traduction google . . .
En bref, eux aussi font des conneries et n'en mènent pas large . . .
Dmitry Tymchuk 16 h
Re: L'invasion Russe en Ukraine
des centaines de morts parmi les civils pris entre le marteau et l'enclume à delbatsevvo et a donestk et ce a 3 heures de paris https://news.vice.com/article/ukraine-peace-talks-falter-as-shelling-continues-to-kill-civilians
dovaking- Messages : 52
Date d'inscription : 24/10/2014
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Localisation : sud de la france
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Série de photos de l'armée ukrainienne à Debaltsevo
Si les bataillons de volontaires comme Donbass ont l'air mieux équipé par le passé, cette série de photos montrent l'indigence totale du reste des unités...
Si les bataillons de volontaires comme Donbass ont l'air mieux équipé par le passé, cette série de photos montrent l'indigence totale du reste des unités...
tarkan- Messages : 718
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Age : 39
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Echec de la réunion de minsk du 30/1/2015.
Le rapport de l'Osce démontre bien que les ripoubliques de novomerda se fichent totalement d'un cessez-le-feu.
Ce n'est pas surprenant, les ordres de Moscou ne sont pas à l'apaisement.
Le dernier pseudo convoi "humanitaire" confirme l'envoie de troupes et armements russe pour un objectif inverse d'un cessez-le-feu.
On ne peut donc pas espérer un apaisement russe.
http://www.osce.org/cio/138331
Le rapport de l'Osce démontre bien que les ripoubliques de novomerda se fichent totalement d'un cessez-le-feu.
Ce n'est pas surprenant, les ordres de Moscou ne sont pas à l'apaisement.
Le dernier pseudo convoi "humanitaire" confirme l'envoie de troupes et armements russe pour un objectif inverse d'un cessez-le-feu.
On ne peut donc pas espérer un apaisement russe.
http://www.osce.org/cio/138331
benoit77- Messages : 2859
Date d'inscription : 17/09/2014
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Le 12ième convois russe à déchargé:
Moralité:
La carte tel que la veulent les fous:
Moralité:
La carte tel que la veulent les fous:
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Des voix s'élèvent à l'Ouest pour armer Kiev
http://www.lefigaro.fr/international/2015/02/01/01003-20150201ARTFIG00183-des-voix-s-elevent-a-l-ouest-pour-armer-kiev.php
http://www.lefigaro.fr/international/2015/02/01/01003-20150201ARTFIG00183-des-voix-s-elevent-a-l-ouest-pour-armer-kiev.php
benoit77- Messages : 2859
Date d'inscription : 17/09/2014
Re: L'invasion Russe en Ukraine
benoit77 a écrit:Des voix s'élèvent à l'Ouest pour armer Kiev
http://www.lefigaro.fr/international/2015/02/01/01003-20150201ARTFIG00183-des-voix-s-elevent-a-l-ouest-pour-armer-kiev.php
Hum... Délicate question!! Je pense que c'est exactement ce qu'attend le nain botoxé, une escalade style guerre d'Espagne, sauf que là, ce sera à ses frontière, donc facile pour lui d'envoyer la sauce...
Je n'y suis pas favorable. Car c'est le meilleur moyen d'aller à la confrontation directe et sanglante. Après, que chaque membre de l'OTAN le décide unilatéralement avec la bienveillance de ses voisins, pourquoi pas...
Par contre, l'Europe a le moyen de faire mordre la poussière à un régime autoritaire qui la menace à ses marches, et ce, sans tirer un seul coup de fusil, mais rien qu'en l'asséchant économiquement. Sauf que notre Europe, elle a laissé entré le loup dans sa bergerie et se laisse hypnotiser.
Il y a de quoi se poser des questions, de la limite de la démocratie et de nos chères "élites"...
tarkan- Messages : 718
Date d'inscription : 05/05/2014
Age : 39
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Matt a écrit:Le 12ième convois russe à déchargé:
Moralité:
La carte tel que la veulent les fous:
C'est peu ou prou ce qu'ils contrôlent déjà. Zakartchenko voulait Marioupol et le reste du Donbass non?
Si ce sont leur désir, qu'on leur laisse ce bout de terrain et que l'on ferme les écoutilles de façon hermétique, en 2 ans ils seront tous morts, de faim, ou de crimes crapuleux...
tarkan- Messages : 718
Date d'inscription : 05/05/2014
Age : 39
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Makiivka, une colonne de "Peacekeepers" russe:
https://twitter.com/RobPulseNews/status/561961182031253504
L'armée de l'air ukrainienne saignée à blanc, le nombre d'avions de combat réduit de moitié:
https://twitter.com/AlexandruC4/status/561945902441857024
https://twitter.com/RobPulseNews/status/561961182031253504
L'armée de l'air ukrainienne saignée à blanc, le nombre d'avions de combat réduit de moitié:
https://twitter.com/AlexandruC4/status/561945902441857024
tarkan- Messages : 718
Date d'inscription : 05/05/2014
Age : 39
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Debaltseve:
https://twitter.com/ystriya/status/561943708388823041
les russes se prennent en photos et se géolocalisent sur VK. Ils auraient tort de se priver, personne ne réagit. Cette joyeuse troupe de tocards est originaire de Kazan
La situation reste très précaire sur place, l'armée ukrainienne a organisé l'évacuation des civils pris au piège sur place (je croyais qu'ils les massacraient, enfin bref...)
La ville n'est pas encore totalement encerclée, mais c'est une poche très précaire:
https://twitter.com/ZombieTVonline/status/561953602823278594/photo/1
https://twitter.com/ystriya/status/561943708388823041
les russes se prennent en photos et se géolocalisent sur VK. Ils auraient tort de se priver, personne ne réagit. Cette joyeuse troupe de tocards est originaire de Kazan
La situation reste très précaire sur place, l'armée ukrainienne a organisé l'évacuation des civils pris au piège sur place (je croyais qu'ils les massacraient, enfin bref...)
La ville n'est pas encore totalement encerclée, mais c'est une poche très précaire:
https://twitter.com/ZombieTVonline/status/561953602823278594/photo/1
tarkan- Messages : 718
Date d'inscription : 05/05/2014
Age : 39
Re: L'invasion Russe en Ukraine
L'Amérique de retour au chevet de l'Europe
http://www.lefigaro.fr/international/2015/02/01/01003-20150201ARTFIG00213-l-amerique-de-retour-au-chevet-de-l-europe.php
http://www.lefigaro.fr/international/2015/02/01/01003-20150201ARTFIG00213-l-amerique-de-retour-au-chevet-de-l-europe.php
benoit77- Messages : 2859
Date d'inscription : 17/09/2014
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Pour corroborer cet article, un avion russe porteur de missiles balistiques à été intercepté dans la Manche:
Intercepted Russian bomber was carrying a nuclear missile over the Channel
Les médias russes commencent à supprimer le message que Poutine veut détruire l'OTAN:
Хаха. Вести 24 удалили твит про то, что Путин может уничтожить НАТО одним телефонным звонком.
https://twitter.com/vesti_news/status/561953382869782529 …
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Le tweet est supprimé.
Sur tweeter, des masses de preuves de l'invasion russe.
Comprends pas qu'ils osent encore nier.
Intercepted Russian bomber was carrying a nuclear missile over the Channel
Les médias russes commencent à supprimer le message que Poutine veut détruire l'OTAN:
Хаха. Вести 24 удалили твит про то, что Путин может уничтожить НАТО одним телефонным звонком.
https://twitter.com/vesti_news/status/561953382869782529 …
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Le tweet est supprimé.
Sur tweeter, des masses de preuves de l'invasion russe.
Comprends pas qu'ils osent encore nier.
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Putin must be stopped. And sometimes only guns can stop guns
The time for diplomacy will come again, but it is not now: Ukraine urgently needs military support, and a counter to Russian propaganda
‘Preoccupied by Greece and the eurozone, Europe is letting another Bosnia happen in its own front yard.' Photograph: Tass/Barcroft Media
Vladimir Putin is the Slobodan Milošević of the former Soviet Union: as bad, but bigger. Behind a smokescreen of lies he has renewed his drive to carve out a puppet para-state in eastern Ukraine.
Innocent bystanders are killed in the Black Sea port of Mariupol. In besieged Debaltseve, a woman scoops water from a giant puddle in the road. The rubble that was once Donetsk airport recalls a scene from martyred Syria. About 5,000 people have already been killed in this armed conflict, and more than 500,000 uprooted. Preoccupied by Greece and the eurozone, Europe is letting another Bosnia happen in its own front yard. Wake up, Europe. If we have learned anything from our own history, Putin must be stopped. But how?
In the end, there will have to be a negotiated solution. German chancellor Angela Merkel and foreign minister Frank-Walter Steinmeier have been right to keep trying diplomacy, but even they concluded in mid-January that it wasn’t worth going to meet Putin in Kazakhstan. On Saturday another attempt to agree a ceasefire failed in Minsk. Diplomacy’s time will come again, but it is not now.
We should ratchet up the economic sanctions against Russia. Combined with the impact of the fallen oil price, these are already having a significant effect. Despite a small wobble from the new Greek government, the EU last week kept its unity on extending sanctions. Won’t that feed a siege mentality in Russia? Yes, but then the Putin regime is stoking that mentality with its nationalist, anti-western propaganda. If the threat did not exist, Russian television would invent it.
Like Milošević, Putin is prepared to use every instrument at his disposal, with no holds barred. In his war against the west he has deployed heavy military equipment, energy-supply blackmail, cyber-attack, propaganda by sophisticated, well-funded broadcasters, covert operations and agents of influence in EU capitals – oh yes, and Russian bombers nosing up the English Channel with their transponders off, potentially endangering civilian flights.
There is a Polish saying which translates roughly as “we play chess with them, they play kick-arse with us”. (Dupniak, or kick-arse, is a Polish game in which people try to identify who kicked them from behind.) This is the problem of the democratic west in general and the slow-moving, multi-nation EU in particular. It was recently exemplified in a woefully unrealistic chess paper on strategy towards Russia prepared for Federica Mogherini, the EU’s new high representative for foreign and security policy.
In the long run, Putin will lose. The people who will suffer most from his folly will be the Russians, not least those in Crimea and eastern Ukraine. But the long run for skilful, ruthless dictators in large, well-armed, resource-rich and psychologically bruised nations can be quite long. Before he goes, more blood and tears will flow unquietly down the river Donets.
So the challenge is to shorten that period and stop the mayhem. To do this Ukraine needs modern defensive weapons to counter Russia’s modern offensive ones. Spurred on by John McCain, the US Congress has passed a Ukraine Freedom Support Act which allocates funds for the supply of military equipment to Ukraine. It is now up to President Obama to determine the timing and composition of those supplies.
Ukraine crisis: dozens die as rebels shell Mariupol
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A report by a group including Ivo Daalder, a former US ambassador to Nato, and Strobe Talbott, the veteran Russia expert, identifies the equipment needed: “counter-battery radars to locate long-range rockets, unmanned aerial vehicles (UAVs), electronic countermeasures for use against opposing UAVs, secure communications capabilities, armoured Humvees and medical support equipment”.
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Only when Ukrainian military defence can plausibly hold Russian offence to a stalemate will a negotiated settlement become possible. Sometimes it takes guns to stop the guns.
Won’t such arms supplies further nourish a Russian paranoia of encirclement? Yes, but Putin is feeding the paranoia already, untroubled by the facts. He recently told students in St Petersburg that the Ukrainian army “is not an army, it is a foreign legion, in this case a Nato foreign legion”.
The EU could never secure unanimity on such military supplies. If at all, it would have to be done by individual countries. Although this may bring back the old jibe that “America does the cooking and Europe the washing up”, there is a case for the US doing most of the heavy military supply.
The US has the best kit, it is probably in the best position to control its use, and is less vulnerable to bilateral economic or energy-supply pressures.
The overall burden-sharing would be fair. European economies take most of the pain of sanctions, since they have more invested with Russia; they will provide a lot of the economic support Ukraine needs if it is to survive; and they are doing most of the diplomacy. In fact, McCain and Merkel make a perfect hard cop, soft cop combination.
There is one other area in which Europe in general, and Britain in particular, can do more. Broadcast media are usually classed as soft power, but they are as important to Putin as his T-80 tanks. He has invested in them heavily. Among Russian speakers – including in eastern Ukraine and the Russian-speaking minorities in the Baltic states – he has used television to impose his own narrative of a socially conservative, proud Russia threatened by fascists in Kiev, an expansionist Nato and a decadent EU.
Last year a Russianist of my acquaintance was sitting naked and at ease in the hot tub with a friend of his in Moscow after several vodkas, as is the Russian custom, when this highly educated Russian asked: “So tell me, honestly, why do you support the fascists in Kiev?”
We need to counter this propaganda not with lies of our own but with reliable information and a scrupulously presented array of different views. No one is better placed to do this than the BBC. The US may have the best drones in the world, and Germany the best machine tools, but Britain has the best international broadcaster.
And there is an appetite for it: the BBC’s sadly diminished online Russian-language service still has an audience of nearly seven million, and during the crisis its Ukrainian-language audience has tripled to more than 600,000.
In his excellent report on the future of news, James Harding, the head of BBC News, makes a strong commitment to growing the World Service. Immediately stepping up its Russian and Ukrainian offerings would be a good way for the BBC to show that it will put its money where its mouth is. Without compromising the BBC’s independence, the British government could also chip in some extra funding.
If ever there were people in need of accurate, fair, balanced information, it is Russians and Ukrainians today. None of these things will stop Putin tomorrow, but in combination they will work in the end. Dictators win in the short run, democracies in the long.
The Guardian
The time for diplomacy will come again, but it is not now: Ukraine urgently needs military support, and a counter to Russian propaganda
‘Preoccupied by Greece and the eurozone, Europe is letting another Bosnia happen in its own front yard.' Photograph: Tass/Barcroft Media
Vladimir Putin is the Slobodan Milošević of the former Soviet Union: as bad, but bigger. Behind a smokescreen of lies he has renewed his drive to carve out a puppet para-state in eastern Ukraine.
Innocent bystanders are killed in the Black Sea port of Mariupol. In besieged Debaltseve, a woman scoops water from a giant puddle in the road. The rubble that was once Donetsk airport recalls a scene from martyred Syria. About 5,000 people have already been killed in this armed conflict, and more than 500,000 uprooted. Preoccupied by Greece and the eurozone, Europe is letting another Bosnia happen in its own front yard. Wake up, Europe. If we have learned anything from our own history, Putin must be stopped. But how?
In the end, there will have to be a negotiated solution. German chancellor Angela Merkel and foreign minister Frank-Walter Steinmeier have been right to keep trying diplomacy, but even they concluded in mid-January that it wasn’t worth going to meet Putin in Kazakhstan. On Saturday another attempt to agree a ceasefire failed in Minsk. Diplomacy’s time will come again, but it is not now.
We should ratchet up the economic sanctions against Russia. Combined with the impact of the fallen oil price, these are already having a significant effect. Despite a small wobble from the new Greek government, the EU last week kept its unity on extending sanctions. Won’t that feed a siege mentality in Russia? Yes, but then the Putin regime is stoking that mentality with its nationalist, anti-western propaganda. If the threat did not exist, Russian television would invent it.
Like Milošević, Putin is prepared to use every instrument at his disposal, with no holds barred
Like Milošević, Putin is prepared to use every instrument at his disposal, with no holds barred. In his war against the west he has deployed heavy military equipment, energy-supply blackmail, cyber-attack, propaganda by sophisticated, well-funded broadcasters, covert operations and agents of influence in EU capitals – oh yes, and Russian bombers nosing up the English Channel with their transponders off, potentially endangering civilian flights.
There is a Polish saying which translates roughly as “we play chess with them, they play kick-arse with us”. (Dupniak, or kick-arse, is a Polish game in which people try to identify who kicked them from behind.) This is the problem of the democratic west in general and the slow-moving, multi-nation EU in particular. It was recently exemplified in a woefully unrealistic chess paper on strategy towards Russia prepared for Federica Mogherini, the EU’s new high representative for foreign and security policy.
In the long run, Putin will lose. The people who will suffer most from his folly will be the Russians, not least those in Crimea and eastern Ukraine. But the long run for skilful, ruthless dictators in large, well-armed, resource-rich and psychologically bruised nations can be quite long. Before he goes, more blood and tears will flow unquietly down the river Donets.
So the challenge is to shorten that period and stop the mayhem. To do this Ukraine needs modern defensive weapons to counter Russia’s modern offensive ones. Spurred on by John McCain, the US Congress has passed a Ukraine Freedom Support Act which allocates funds for the supply of military equipment to Ukraine. It is now up to President Obama to determine the timing and composition of those supplies.
Ukraine crisis: dozens die as rebels shell Mariupol
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A report by a group including Ivo Daalder, a former US ambassador to Nato, and Strobe Talbott, the veteran Russia expert, identifies the equipment needed: “counter-battery radars to locate long-range rockets, unmanned aerial vehicles (UAVs), electronic countermeasures for use against opposing UAVs, secure communications capabilities, armoured Humvees and medical support equipment”.
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Only when Ukrainian military defence can plausibly hold Russian offence to a stalemate will a negotiated settlement become possible. Sometimes it takes guns to stop the guns.
Won’t such arms supplies further nourish a Russian paranoia of encirclement? Yes, but Putin is feeding the paranoia already, untroubled by the facts. He recently told students in St Petersburg that the Ukrainian army “is not an army, it is a foreign legion, in this case a Nato foreign legion”.
The EU could never secure unanimity on such military supplies. If at all, it would have to be done by individual countries. Although this may bring back the old jibe that “America does the cooking and Europe the washing up”, there is a case for the US doing most of the heavy military supply.
The US has the best kit, it is probably in the best position to control its use, and is less vulnerable to bilateral economic or energy-supply pressures.
The overall burden-sharing would be fair. European economies take most of the pain of sanctions, since they have more invested with Russia; they will provide a lot of the economic support Ukraine needs if it is to survive; and they are doing most of the diplomacy. In fact, McCain and Merkel make a perfect hard cop, soft cop combination.
We need to counter this propaganda. No one is better placed to do this than the BBC
There is one other area in which Europe in general, and Britain in particular, can do more. Broadcast media are usually classed as soft power, but they are as important to Putin as his T-80 tanks. He has invested in them heavily. Among Russian speakers – including in eastern Ukraine and the Russian-speaking minorities in the Baltic states – he has used television to impose his own narrative of a socially conservative, proud Russia threatened by fascists in Kiev, an expansionist Nato and a decadent EU.
Last year a Russianist of my acquaintance was sitting naked and at ease in the hot tub with a friend of his in Moscow after several vodkas, as is the Russian custom, when this highly educated Russian asked: “So tell me, honestly, why do you support the fascists in Kiev?”
We need to counter this propaganda not with lies of our own but with reliable information and a scrupulously presented array of different views. No one is better placed to do this than the BBC. The US may have the best drones in the world, and Germany the best machine tools, but Britain has the best international broadcaster.
And there is an appetite for it: the BBC’s sadly diminished online Russian-language service still has an audience of nearly seven million, and during the crisis its Ukrainian-language audience has tripled to more than 600,000.
In his excellent report on the future of news, James Harding, the head of BBC News, makes a strong commitment to growing the World Service. Immediately stepping up its Russian and Ukrainian offerings would be a good way for the BBC to show that it will put its money where its mouth is. Without compromising the BBC’s independence, the British government could also chip in some extra funding.
If ever there were people in need of accurate, fair, balanced information, it is Russians and Ukrainians today. None of these things will stop Putin tomorrow, but in combination they will work in the end. Dictators win in the short run, democracies in the long.
The Guardian
tarkan- Messages : 718
Date d'inscription : 05/05/2014
Age : 39
Re: L'invasion Russe en Ukraine
L'Europe ne peut se résigner au dépeçage de l'Ukraine
Le soutien apporté par le Grec Aléxis Tsípras à Moscou est inquiétant au moment où, face aux ambitions de Vladimir Poutine, se joue en Ukraine l'avenir du continent européen tout entier. Il faut aider Kiev à se renforcer.
D'un point de vue géopolitique, la sécurité de l'Europe aujourd'hui n'est-elle pas davantage menacée par les orthodoxes que par les fondamentalistes musulmans ? Il y a bien sûr un mélange de provocation délibérée et d'ironie dans cette remarque. Mais, si le sort de l'Ukraine est plus important pour l'avenir de l'Europe, que la menace représentée par Daech (Etat islamique en Irak et au Levant), le soutien appuyé du nouveau Premier ministre grec à Moscou est inquiétant. Certes, les divisions de l'Europe sur la politique à adopter face aux visées de Poutine en Ukraine existaient bien avant l'arrivée d'Aléxis Tsípras au pouvoir à Athènes. La Grèce, quel que soit son gouvernement, s'est toujours sentie proche de Moscou, solidarité entre orthodoxes oblige. Mais en ce début de février 2015, alors que les ambitions russes apparaissent toujours plus grandes et toujours plus claires, alors que le dessein agressif de Poutine ne laisse plus guère de doute, le comportement d'Athènes est tout simplement choquant. Etre un mauvais payeur au niveau de la dette est une chose, être un « faux frère » sur le plan stratégique en est une autre.
On ne peut plus affirmer aujourd'hui, comme on le faisait encore hier, que Poutine ne sait pas ce qu'il veut, qu'il hésite, réagit au jour le jour, sans vision et sans plan.
On pourrait bien au contraire plagier le général Foch à la bataille de la Marne en 1914, pour décrire la pensée stratégique de Poutine. Ce n'est plus : « Ma droite est enfoncée, ma gauche recule ; situation excellente, j'attaque. » Mais « Le prix des hydrocarbures s'effondre, le rouble s'affaiblit, les capitaux fuient, j'attaque ! »
Il apparaît de plus en plus clairement que les dernières offensives des séparatistes à l'est de l'Ukraine, avec l'aide des armes et des soldats de Moscou, traduisent une intention stratégique : créer un véritable micro-Etat prorusse, sinon directement russe comme la Crimée, à l'est de l'Ukraine. Dans ce schéma, la volonté de capturer le port de Marioupol s'avère sans doute décisive.
Un tel plan satisfait tout à la fois des objectifs de politique intérieure et des ambitions de politique internationale.
Détourner les citoyens russes des difficultés croissantes de leur quotidien au nom d'un projet qui réconcilie nationalisme historique et vision religieuse n'est-ce pas affirmer que la meilleure défense réside dans l'attaque ? Tous ceux, et ils sont nombreux, qui refusent de voir cette interprétation de la fuite en avant de la politique russe sont soit naïfs, soit aveuglés par leurs propres intérêts politiques, économiques et financiers. Alors que Poutine poursuit inexorablement son projet expansionniste et révisionniste, il est plus que jamais nécessaire de fixer des limites à son ambition. Mais comment le faire ? Visiblement la politique de sanctions, même si elle fait mal, est très insuffisante. Dans l'épreuve de volonté politique qui nous oppose à la Russie, il ne s'agit plus seulement d'affaiblir les Russes, il faut avant tout renforcer l'Ukraine. Cela passe d'abord par une aide financière aussi significative que possible à Kiev avant que son économie ne s'écroule.
Pour ce faire, il convient d'expliquer à nos opinions publiques les enjeux de la crise ukrainienne et de mettre l'accent en particulier sur le fait qu'il faut distinguer l'Ukraine d'aujourd'hui de celle d'hier, le régime en place actuellement de celui qui l'a précédé. Il nous faut aider le régime au pouvoir à Kiev au nom de valeurs démocratiques communes. L'Etat de droit est encore loin d'être parfait en Ukraine, mais les progrès réalisés sont bien réels. Renforcer Kiev, signifie-t-il armer l'Ukraine ? Une telle hypothèse ne peut plus être exclue. Notre objectif doit être de convaincre Poutine qu'en voulant créer sur le territoire de l'Ukraine l'équivalent de nouvelles Transnistrie ou Abkhazie, il prend des risques excessifs. Ces miniconquêtes seront coûteuses en vies humaines. Voir le rouble perdre 40 % de sa valeur est une chose, assister au retour régulier de soldats russes dans des cercueils en est une autre. Le peuple russe peut soutenir Poutine jusqu'à un certain point. Il n'a pas d'appétit pour un nouveau conflit de type Afghan en Ukraine.
Il faut le répéter encore et encore. Ce qui se joue en Ukraine est l'avenir de notre continent et son équilibre à long terme. La Russie met en avant la défense de son identité orthodoxe. L'Europe doit avec la même force défendre son identité démocratique. Le soutien des partis d'extrême droite et d'extrême gauche à la cause de Moscou n'est pas seulement le produit de la rencontre entre rejet de la démocratie libérale et antiaméricanisme. Il est ironique de voir, en France, le Front national s'indigner, au nom de l'éthique, du déplacement de François Hollande en Arabie saoudite pour rendre hommage au souverain décédé. Son soutien à Poutine ne pose visiblement aucun problème d'ordre moral ou stratégique au parti de Marine Le Pen.
Il peut y avoir un compromis sur la dette avec Athènes, mais pas sur la Russie. Au nom de la religion orthodoxe, la mère de la démocratie ne saurait rompre aussi brutalement avec ses principes fondateurs. Etre membre de l'Union européenne implique l'adhésion à une charte de valeurs, au premier rang desquelles la défense de la démocratie et le rejet de l'usage de la force militaire pour redessiner les frontières existantes. Ce sont des principes que Poutine foule délibérément du pied sous nos yeux.
On ne saurait pratiquer une politique d'apaisement avec la Russie de Poutine. Aider l'Ukraine, c'est nous aider nous-mêmes.
Et:
Les Etats-Unis envisagent de livrer à nouveau des armes à Kiev
Le « New York Times » a rapporté, dimanche 1er février, que Washington étudiait cette possibilité face à l'intensification des combats dans l'est de l'Ukraine. | AFP/OLEKSANDER STASHEVSKY
Alors que la situation en Ukraine ne cesse de se détériorer depuis quelques semaines, le gouvernement des Etats-Unis pourrait à nouveau fournir aux forces ukrainiennes des armes et des équipements défensifs, affirme dimanche 1er février The New York Times (NYT).
Selon le quotidien, huit anciens hauts responsables américains doivent publier lundi un rapport demandant à Washington d'envoyer à Kiev pour 3 milliards de dollars (2,6 milliards d'euros) de matériel militaire, notamment des missiles antichars et des drones de reconnaissance. Cette mesure serait prise en réaction à l'intensification des combats contre les séparatistes prorusses dans l'est du pays.
« SOLUTION NÉGOCIÉE DE LA CRISE »
Le secrétaire d'Etat américain John Kerry et le chef d'état-major interarmés, le général Martin Dempsey, se sont dits ouverts à la discussion sur le sujet, tandis que le commandant des forces de l'Organisation du traité de l'Atlantique nord (OTAN) en Europe, le général Philip Breedlove, est désormais favorable à la fourniture d'équipements à destination létale, affirment les sources du NYT.
La conseillère nationale à la sécurité, Susan Rice, jusqu'ici réticente à la fourniture de ce genre d'aide, serait, elle aussi, prête à revoir sa position. « Bien que nous restions concentrés sur la recherche d'une solution par les moyens diplomatiques, nous évaluons sans cesse d'autres options afin de créer un espace pour une solution négociée de la crise », a déclaré au quotidien la porte-parole du Conseil de sécurité nationale, Bernadette Meehan.
ISOLER LA RUSSIE SANS ACTION MILITAIRE
L'OTAN et l'Ukraine accusent la Russie d'envoyer des forces militaires et d'approvisionner en armes, en chars et en munitions les séparatistes prorusses pour soutenir leur avancée. Moscou dément être directement impliqué dans les combats sur un territoire que le Kremlin appelle la « Nouvelle Russie ». John Kerry est attendu jeudi à Kiev pour des entretiens avec le président Petro Porochenko.
La semaine dernière, Barack Obama avait fait part de sa préoccupation à propos de la recrudescence des combats entre séparatistes prorusses et forces gouvernementales. Il avait indiqué que les Etats-Unis étudiaient toutes les possibilités pour isoler la Russie, à l'exception d'une action militaire.
Le soutien apporté par le Grec Aléxis Tsípras à Moscou est inquiétant au moment où, face aux ambitions de Vladimir Poutine, se joue en Ukraine l'avenir du continent européen tout entier. Il faut aider Kiev à se renforcer.
D'un point de vue géopolitique, la sécurité de l'Europe aujourd'hui n'est-elle pas davantage menacée par les orthodoxes que par les fondamentalistes musulmans ? Il y a bien sûr un mélange de provocation délibérée et d'ironie dans cette remarque. Mais, si le sort de l'Ukraine est plus important pour l'avenir de l'Europe, que la menace représentée par Daech (Etat islamique en Irak et au Levant), le soutien appuyé du nouveau Premier ministre grec à Moscou est inquiétant. Certes, les divisions de l'Europe sur la politique à adopter face aux visées de Poutine en Ukraine existaient bien avant l'arrivée d'Aléxis Tsípras au pouvoir à Athènes. La Grèce, quel que soit son gouvernement, s'est toujours sentie proche de Moscou, solidarité entre orthodoxes oblige. Mais en ce début de février 2015, alors que les ambitions russes apparaissent toujours plus grandes et toujours plus claires, alors que le dessein agressif de Poutine ne laisse plus guère de doute, le comportement d'Athènes est tout simplement choquant. Etre un mauvais payeur au niveau de la dette est une chose, être un « faux frère » sur le plan stratégique en est une autre.
On ne peut plus affirmer aujourd'hui, comme on le faisait encore hier, que Poutine ne sait pas ce qu'il veut, qu'il hésite, réagit au jour le jour, sans vision et sans plan.
On pourrait bien au contraire plagier le général Foch à la bataille de la Marne en 1914, pour décrire la pensée stratégique de Poutine. Ce n'est plus : « Ma droite est enfoncée, ma gauche recule ; situation excellente, j'attaque. » Mais « Le prix des hydrocarbures s'effondre, le rouble s'affaiblit, les capitaux fuient, j'attaque ! »
Il apparaît de plus en plus clairement que les dernières offensives des séparatistes à l'est de l'Ukraine, avec l'aide des armes et des soldats de Moscou, traduisent une intention stratégique : créer un véritable micro-Etat prorusse, sinon directement russe comme la Crimée, à l'est de l'Ukraine. Dans ce schéma, la volonté de capturer le port de Marioupol s'avère sans doute décisive.
Un tel plan satisfait tout à la fois des objectifs de politique intérieure et des ambitions de politique internationale.
Détourner les citoyens russes des difficultés croissantes de leur quotidien au nom d'un projet qui réconcilie nationalisme historique et vision religieuse n'est-ce pas affirmer que la meilleure défense réside dans l'attaque ? Tous ceux, et ils sont nombreux, qui refusent de voir cette interprétation de la fuite en avant de la politique russe sont soit naïfs, soit aveuglés par leurs propres intérêts politiques, économiques et financiers. Alors que Poutine poursuit inexorablement son projet expansionniste et révisionniste, il est plus que jamais nécessaire de fixer des limites à son ambition. Mais comment le faire ? Visiblement la politique de sanctions, même si elle fait mal, est très insuffisante. Dans l'épreuve de volonté politique qui nous oppose à la Russie, il ne s'agit plus seulement d'affaiblir les Russes, il faut avant tout renforcer l'Ukraine. Cela passe d'abord par une aide financière aussi significative que possible à Kiev avant que son économie ne s'écroule.
Pour ce faire, il convient d'expliquer à nos opinions publiques les enjeux de la crise ukrainienne et de mettre l'accent en particulier sur le fait qu'il faut distinguer l'Ukraine d'aujourd'hui de celle d'hier, le régime en place actuellement de celui qui l'a précédé. Il nous faut aider le régime au pouvoir à Kiev au nom de valeurs démocratiques communes. L'Etat de droit est encore loin d'être parfait en Ukraine, mais les progrès réalisés sont bien réels. Renforcer Kiev, signifie-t-il armer l'Ukraine ? Une telle hypothèse ne peut plus être exclue. Notre objectif doit être de convaincre Poutine qu'en voulant créer sur le territoire de l'Ukraine l'équivalent de nouvelles Transnistrie ou Abkhazie, il prend des risques excessifs. Ces miniconquêtes seront coûteuses en vies humaines. Voir le rouble perdre 40 % de sa valeur est une chose, assister au retour régulier de soldats russes dans des cercueils en est une autre. Le peuple russe peut soutenir Poutine jusqu'à un certain point. Il n'a pas d'appétit pour un nouveau conflit de type Afghan en Ukraine.
Il faut le répéter encore et encore. Ce qui se joue en Ukraine est l'avenir de notre continent et son équilibre à long terme. La Russie met en avant la défense de son identité orthodoxe. L'Europe doit avec la même force défendre son identité démocratique. Le soutien des partis d'extrême droite et d'extrême gauche à la cause de Moscou n'est pas seulement le produit de la rencontre entre rejet de la démocratie libérale et antiaméricanisme. Il est ironique de voir, en France, le Front national s'indigner, au nom de l'éthique, du déplacement de François Hollande en Arabie saoudite pour rendre hommage au souverain décédé. Son soutien à Poutine ne pose visiblement aucun problème d'ordre moral ou stratégique au parti de Marine Le Pen.
Il peut y avoir un compromis sur la dette avec Athènes, mais pas sur la Russie. Au nom de la religion orthodoxe, la mère de la démocratie ne saurait rompre aussi brutalement avec ses principes fondateurs. Etre membre de l'Union européenne implique l'adhésion à une charte de valeurs, au premier rang desquelles la défense de la démocratie et le rejet de l'usage de la force militaire pour redessiner les frontières existantes. Ce sont des principes que Poutine foule délibérément du pied sous nos yeux.
On ne saurait pratiquer une politique d'apaisement avec la Russie de Poutine. Aider l'Ukraine, c'est nous aider nous-mêmes.
Et:
Les Etats-Unis envisagent de livrer à nouveau des armes à Kiev
Le « New York Times » a rapporté, dimanche 1er février, que Washington étudiait cette possibilité face à l'intensification des combats dans l'est de l'Ukraine. | AFP/OLEKSANDER STASHEVSKY
Alors que la situation en Ukraine ne cesse de se détériorer depuis quelques semaines, le gouvernement des Etats-Unis pourrait à nouveau fournir aux forces ukrainiennes des armes et des équipements défensifs, affirme dimanche 1er février The New York Times (NYT).
Selon le quotidien, huit anciens hauts responsables américains doivent publier lundi un rapport demandant à Washington d'envoyer à Kiev pour 3 milliards de dollars (2,6 milliards d'euros) de matériel militaire, notamment des missiles antichars et des drones de reconnaissance. Cette mesure serait prise en réaction à l'intensification des combats contre les séparatistes prorusses dans l'est du pays.
« SOLUTION NÉGOCIÉE DE LA CRISE »
Le secrétaire d'Etat américain John Kerry et le chef d'état-major interarmés, le général Martin Dempsey, se sont dits ouverts à la discussion sur le sujet, tandis que le commandant des forces de l'Organisation du traité de l'Atlantique nord (OTAN) en Europe, le général Philip Breedlove, est désormais favorable à la fourniture d'équipements à destination létale, affirment les sources du NYT.
La conseillère nationale à la sécurité, Susan Rice, jusqu'ici réticente à la fourniture de ce genre d'aide, serait, elle aussi, prête à revoir sa position. « Bien que nous restions concentrés sur la recherche d'une solution par les moyens diplomatiques, nous évaluons sans cesse d'autres options afin de créer un espace pour une solution négociée de la crise », a déclaré au quotidien la porte-parole du Conseil de sécurité nationale, Bernadette Meehan.
ISOLER LA RUSSIE SANS ACTION MILITAIRE
L'OTAN et l'Ukraine accusent la Russie d'envoyer des forces militaires et d'approvisionner en armes, en chars et en munitions les séparatistes prorusses pour soutenir leur avancée. Moscou dément être directement impliqué dans les combats sur un territoire que le Kremlin appelle la « Nouvelle Russie ». John Kerry est attendu jeudi à Kiev pour des entretiens avec le président Petro Porochenko.
La semaine dernière, Barack Obama avait fait part de sa préoccupation à propos de la recrudescence des combats entre séparatistes prorusses et forces gouvernementales. Il avait indiqué que les Etats-Unis étudiaient toutes les possibilités pour isoler la Russie, à l'exception d'une action militaire.
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Russia's main assault on
UkraineInEurope
Message to Donbas must be. 'Since 1st day when 'Russian protectors' arrived, life for Donbas locals has got worse & worse.Kick them out!'
Putin’s recipe for a Russian disaster–cutting vodka prices & public transport at same time
http://euromaidanpress.com/2015/02/02/putins-recipe-for-a-russian-disaster-cutting-vodka-prices-and-public-transport-at-same-time/
Re: L'invasion Russe en Ukraine
L'article des échos est d'une justesse incroyable.
Trop rare de nos jours où la propagande russe rentre comme dans du beurre grâce aux agents stipendiés.
Trop rare de nos jours où la propagande russe rentre comme dans du beurre grâce aux agents stipendiés.
tarkan- Messages : 718
Date d'inscription : 05/05/2014
Age : 39
Re: L'invasion Russe en Ukraine
aéroport de donetsk, debalsteve : des pièges à zozos selon euromadain
http://euromaidanpress.com/2015/02/02/ukraines-new-tactics-lure-the-enemy-into-open-space-and-destroy-him/
http://euromaidanpress.com/2015/02/02/ukraines-new-tactics-lure-the-enemy-into-open-space-and-destroy-him/
benoit77- Messages : 2859
Date d'inscription : 17/09/2014
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