Re: Union Européenne

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En réponse aux menaces du Kremlin, la Lituanie a encore élargi les restrictions sur le transit des marchandises à travers son territoire vers Kaliningrad, rapporte Reuters.
A partir d'aujourd'hui, il est interdit de transporter du ciment, du bois, de l'alcool et des produits chimiques industriels à base d'alcool, a déclaré le représentant des douanes lituaniennes.

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La Roumanie a lancé une voie ferrée à large écartement vers le port du Danube de Galati pour aider l'Ukraine à exporter du grain
Les travaux de restauration de la voie ferrée entre le village moldave de Giurgiulesti et le port de Galati étaient censés durer un mois de plus, mais les ouvriers l'ont achevé en avance.
« Désormais, les trains en provenance d'Ukraine via la Moldavie peuvent décharger du grain directement au port de Galati, sans qu'il soit nécessaire de transbordement à la frontière », a déclaré le ministre roumain des Transports Sorin Grindeanu.

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L'Ukraine achète des véhicules blindés italiens MLS SHIELD 4x4 fabriqués par Tekne




Les Spartiates britanniques sont déjà sur le front de l'Est

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Principaux enseignements de la rencontre entre le président Zelensky et le Premier ministre néerlandais Mark Rutt :
Durant la restauration d'après-guerre de l'Ukraine, les Pays-Bas s'intéressent surtout à la région de Kherson.
Les Pays-Bas figurent parmi les 10 premiers pays fournisseurs d'armes à l'Ukraine et promettent de fournir à l'Ukraine des armes lourdes supplémentaires, notamment des véhicules blindés et des canons automoteurs.
Les Pays-Bas ont fourni à l'Ukraine une aide financière supplémentaire d'un montant de 200 millions d'euros pour financer les paiements aux enseignants, médecins et retraités ukrainiens.
Les Pays-Bas ont pratiquement éliminé leur dépendance au gaz russe et appellent les pays de l'UE à leur emboîter le pas.

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AFP, publié le lundi 18 juillet 2022 à 11h42
L'Union européenne discute lundi d'un renforcement des sanctions contre Moscou pour son invasion de l'Ukraine, où le président Volodymyr Zelensky a limogé le chef des services de sécurité et la procureure générale en raison de soupçons de trahison de certains de leurs subordonnés au profit des Russes.

A son arrivée à la réunion à Bruxelles, le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell a déclaré que la reprise des exportations de céréales depuis l'Ukraine était une "question de vie ou de mort" et qu'il avait "espoir" qu'un accord soit trouvé cette semaine pour débloquer le port d'Odessa.

"La vie de (...) dizaines de milliers de personnes dépend de cet accord" en train d'être négocié entre la Russie, l'Ukraine, la Turquie et les Nations Unies, qui vise à faire sortir par la mer Noire quelque 20 millions de tonnes de céréales bloquées dans des silos ukrainiens à cause de l'offensive russe, a-t-il expliqué.

L'Union européenne entend poursuivre sa pression sur Moscou avec de nouvelles sanctions ainsi qu'un soutien financier et militaire à l'Ukraine, a annoncé Josep Borrell.

Les ministres européens des Affaires étrangères doivent se pencher sur deux proposition de la Commission européenne d'interdire les achats d'or à la Russie pour aligner les sanctions de l'UE sur celles de ses partenaires du G7, et d'inscrire de nouvelles personnalités russes sur la liste noire de l'UE.

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AFP, publié le dimanche 17 juillet 2022 à 13h41
La Bulgarie et la Macédoine du Nord ont signé dimanche à Sofia un protocole bilatéral, dernier pas avant la première réunion intergouvernementale qui marquera le début des négociations de l'UE avec Skopje et Tirana.

"C'est une chance historique pour nous que la Macédoine du Nord commence des négociations (d'adhésion) avec l'UE après 17 ans avec le statut de candidat", a déclaré le ministre macédonien des Affaires étrangères Bujar Osmani.

Le ministre tchèque des Affaires étrangères Jan Lipavsky dont le pays assure la présidence tournante de l'UE a assuré sur Twitter qu'une conférence intergouvernementale pour lancer officiellement le processus d'adhésion de Skopje et Tirana sera organisée "aussitôt que possible".

"Le protocole contient des mesures ambitieuses pour résoudre les questions bilatérales ouvertes",  a déclaré pour sa part la cheffe de la diplomatie bulgare Teodora Guenchovska.

Skopje doit notamment amender sa constitution pour inscrire les Bulgares parmi les groupes ethniques reconnus, condition sans laquelle elle ne pourra procéder à l'ouverture de chapitres des négociations d'adhésion, a-t-elle précisé.

"Ce processus peut prendre des mois ou des années", selon Mme Guentchovska.

Tant la Bulgarie que la Macédoine du Nord ont récemment donné leur aval à une proposition de compromis initiée par la France qui avait assuré pendant le premier semestre 2022 la présidence tournante de l'UE et avait servi de médiateur dans ce processus.

Le comité des représentants permanents des 27 COREPER examinera dès lundi le paquet proposé pour le soumettre à une conférence intergouvernementale qui sera convoquée par la présidence tchèque, a indiqué Mme Guentchovska.

La Macédoine du Nord est bloquée depuis 2005 dans l'antichambre de l'UE. La Grèce avait d'abord opposé son veto jusqu'en 2018, avant que Sofia ne bloque le dossier en 2020 sur fond de querelles historiques et culturelles.

La position bulgare empêchait aussi le lancement de négociations avec l'Albanie dont la candidature est liée à celle de Skopje par l'UE.

A la différence de Skopje, Tirana peut commencer les négociations de son adhésion dès la tenue de la conférence intergouvernementale, a déclaré Mme Guentchovska.

Bruxelles insiste sur l'élargissement de l'UE dans les Balkans, l'importance stratégique de la région s'étant accrue dans le contexte de la guerre en Ukraine.

La Bulgarie a levé son véto le 24 juin à condition que les droits des Bulgares de Macédoine du Nord soient respectés et inscrits dans la constitution.

Sofia considère que les habitants slaves de Macédoine du Nord sont d'origine bulgare et que leur langue est un dialecte du Bulgare. Une commission d'historiens peine à se mettre d'accord sur l'appartenance de figures historiques, d'écrivains et d'artistes en vue de rendre conformes les programmes scolaires dans les deux pays.

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L'Union européenne et l'Azerbaïdjan ont signé une coopération énergétique
Le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ont signé un accord de coopération stratégique dans le secteur de l'énergie, a déclaré le chef de la Commission européenne sur Twitter. La signature du document a eu lieu lors d'une réunion prévue à Bakou.
"Avec l'accord d'aujourd'hui, nous nous engageons à étendre le corridor gazier sud, à doubler l'approvisionnement en gaz de l'Azerbaïdjan vers l'UE", a déclaré Ursula von der Leyen. Bruxelles s'attend à recevoir au moins 20 milliards de mètres cubes de gaz par an d'ici 2027.
L'accord impliquera "des investissements importants dans l'expansion du réseau de gazoducs du corridor gazier sud (un ensemble de gazoducs de la mer Caspienne à travers la Turquie vers l'Europe du Sud-Est)", a déclaré la CE dans un communiqué de presse, mais le montant de l'accord n'a pas été spécifié.
Le mémorandum prévoit également le développement d'interconnexions électriques entre l'UE et l'Azerbaïdjan, y compris via la mer Noire et via la République autonome du Nakhitchevan.
Selon Aliyev, l'Azerbaïdjan a un grand potentiel dans le domaine des sources d'énergie renouvelables, en particulier, le potentiel éolien de la mer Caspienne à lui seul est d'environ 157 gigawatts. Il a également souligné que le pays a commencé à investir dans le domaine "vert" des énergies renouvelables.
« Cette année, nous avons lancé le dialogue énergétique entre l'Azerbaïdjan et l'UE, qui couvre divers domaines. Nous sommes intéressés par une coopération étroite avec l'UE dans le secteur de l'énergie », a déclaré le président azerbaïdjanais.
#Énergie #Azerbaïdjan #UE
Source Tele_eve

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Vinnytsia a reçu la visite d'une délégation étrangère, qui comprenait les ambassadeurs de 16 pays de l'Union européenne, d'Israël et de la Suisse.
Ils sont venus dans la ville pour voir de leurs propres yeux les conséquences du terrible attentat terroriste du 14 juillet. Des représentants de pays étrangers ont rencontré des dirigeants de la ville et de la région, ont discuté des moyens d'éliminer les conséquences de la destruction après l'acte terroriste de l'agresseur russe.

[travellergillou76]

[size=49]Italie : Mario Draghi désavoué, l’Europe en apnée[/size]

Le Premier ministre italien a été lâché, ce mercredi soir, par trois partis de sa coalition. En pleine guerre en Ukraine, la chute de son gouvernement n’augurerait rien de bon pour l’Union européenne.

Mario Draghi au Sénat, hier. | ANDREAS SOLARO/AFP

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[size=16]Ouest-FranceCécile RÉTO.Modifié le 20/07/2022 à 20h52Publié le 20/07/2022 à 18h10
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 NEWSLETTER INTERNATIONAL
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Mario Draghi se savait observé en Italie et bien au-delà, en arrivant au Sénat, ce mercredi 20 juillet 2022. Partira, partira pas ? La démission du Premier ministre, refusée par le président Sergio Mattarella jeudi, était aussi désapprouvée par deux Italiens sur trois. Mais Draghi, 74 ans, n’a pas digéré le boycott par son allié, le Mouvement 5 Étoiles (M5E), du vote de 23 milliards d’euros pour aider familles et entreprises.

En menaçant de claquer la porte, il entendait donc remettre les pendules à l’heure. Sommer sa coalition improbable, du centre-gauche à l’extrême-droite, de ressouder les rangs. Loupé. Ce mercredi soir, le Sénat lui a bien accordé sa confiance, mais trois alliés cruciaux le lâchent : la droite Forza Italia de Silvio Berlusconi ; la Ligue d’extrême-droite de Matteo Salvini et les antisystème du Mouvement 5 Étoiles. Les deux premiers étaient allergiques à l’idée de siéger plus longtemps auprès du M5E.

Le gouvernement vacille

Finie l’unité nationale. Oublié ce mois de février 2021, quand le pays avait vu en Super Mario ​un sauveur : l’ex-patron de la Banque centrale européenne acceptait de jouer les équilibristes en formant un gouvernement, même bigarré, pour parer à l’urgence : s’attaquer à la dette redoutable (150 % de la richesse nationale) qui valait à Rome les foudres de l’Union européenne.
Le gouvernement vacille et les problèmes demeurent. En pire. L’Italie, ultra-dépendante du gaz russe (43 % de ses importations) prend de plein fouet la guerre en Ukraine. Son inflation s’emballe (8 %).

Le jeu des europhobes

Désavoué par ses alliés, Draghi pourrait, cette fois, s’éclipser. Des élections anticipées seraient alors inéluctables, à l’automne. Scénario redoutable, qui risquerait de voir germer une union de la droite de Berlusconi avec la Ligue et Fratelli Italia. Ce parti, le plus extrémiste de tous, est donné en tête des sondages (23 %).
Rome aux mains d’europhobes ? L’idée fait frémir Roberta Metsola, la présidente du Parlement européen : Avec la guerre qui fait rage sur notre continent, la hausse du coût de la vie et la reprise post-Covid, nous avons besoin de stabilité politique.
À Madrid, Paris et Berlin, on redoute une crise politique qui plomberait la zone euro et enverrait un message de désunion à la Russie. Moscou se réjouit de voir la tête de Draghi servie sur un plateau à Poutine​, alerte le chef de la diplomatie italienne, Luigi Di Maio. Washington s’en inquiète aussi : Joe Biden dit suivre la situation à Rome avec attention​.

Après que l'attention ait longtemps porté sur les elections françaises, les regards se portent sur l'Italie, "l'homme malade de l'Europe" depuis bien longtemps.
La peninsule, en stagnation économique depuis des années, ou les partis populistes sont dominants, est un des pays les plus exposés en cas d'interruption des livraisons de gaz russe, qui engendrerait une forte récession. Un cocktail assurément explosif et une situation qui ne peut que réjouir Poutine.

[Caduce62]

Les pays de l’Union européenne parviennent à un accord sur une réduction de la consommation de gaz l’hiver prochain


Les pays membres de l’Union européenne (UE) sont parvenus mardi à un accord pour réduire leur consommation de gaz de 15 % jusqu’à l’hiver prochain, alors que la perspective d’une coupure totale des approvisionnements russes devient de plus en plus probable. « Ce n’était pas une mission impossible ! Les ministres [de l’énergie des Vingt-Sept réunis à Bruxelles] sont parvenus à un accord politique pour réduire la demande de gaz en prévision de l’hiver prochain », a déclaré sur Twitter la République tchèque, qui assure la présidence tournante de l’UE.

Le plan rend l’objectif de 15 % obligatoire dans une situation d’urgence – telle qu’une perturbation grave des flux en provenance de Russie – mais avec certaines exclusions pour les pays particulièrement vulnérables ou ceux qui font partie intégrante du réseau du bloc dans son ensemble. La Hongrie a été le seul pays à voter contre les règles, a tweeté le ministre luxembourgeois des affaires étrangères, Claude Turmes.

Ces nouvelles règles sont « une étape sans précédent dans la solidarité européenne », a déclaré Sven Giegold, vice-ministre allemand de l’économie. « Les Etats membres qui n’importent pas de gaz russe manifestent leur soutien et se sont engagés à réduire leur consommation. Cela ne s’est jamais produit auparavant. »

Les règles devraient entrer en vigueur dans le droit de l’UE au cours des prochains jours.

[Caduce62]

L'Allemagne va donner à l'Ukraine 16 chars pontiers Biber, - Ministère allemand de la Défense
Ces chars peuvent établir des franchissements d'obstacles jusqu'à 20 mètres de large. Biber peut être utilisé à la fois pour surmonter les obstacles d'eau et dans des conditions de combat.
«Afin de soutenir davantage les forces terrestres ukrainiennes, le ministre Lambrecht a décidé de transférer un lot de 16 chars de pose de ponts Biber. Ils peuvent être utilisés pour surmonter l'eau et d'autres obstacles sur le champ de bataille », a écrit le ministère de la Défense.
Source Ukraine Now

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La Commission européenne a versé ce jour, au nom de l'UE, la première moitié (500 millions d'euros) d'une nouvelle assistance macrofinancière (AMF) de 1 milliard d'euros en faveur de l'Ukraine.
La deuxième tranche (500 millions d'euros supplémentaires) sera versée demain, le 2 août. La décision relative à cette nouvelle AMF exceptionnelle a été adoptée par le Parlement européen et le Conseil le 12 juillet 2022.

Selon un communiqué publié sur le site de la Commission européenne, cette nouvelle AMF de 1 milliard d'euros s'inscrit dans le cadre des efforts extraordinaires déployés par l'UE, aux côtés de la communauté internationale, pour aider l'Ukraine à faire face à ses besoins immédiats de financement à la suite de l'agression non provoquée et injustifiée perpétrée par la Russie.

« Elle constitue la première partie du dispositif exceptionnel d'AMF d'un montant maximal de 9 milliards d'euros annoncé dans la communication de la Commission du 18 mai 2022 et approuvé par le Conseil européen des 23 et 24 juin 2022. Elle complète l'aide déjà fournie par l'UE, dont un prêt AMF d'urgence d'un montant de 1,2 milliard d'euros versé au cours du premier semestre de cette année. L'ensemble des deux volets du programme porte à 2,2 milliards d'euros le montant total de l'AMF en faveur de l'Ukraine depuis le début de la guerre », ressort-il du communiqué.

Les fonds de l'AMF ont été mis à la disposition de l'Ukraine sous forme de prêts à long terme accordés à des conditions favorables. Cette assistance permet de soutenir la stabilité macroéconomique et la résilience globale de l'Ukraine dans le contexte de l'agression militaire commise par la Russie et des défis économiques qui en découlent. Dans un but de solidarité, le budget de l'UE couvrira les frais d'intérêt liés à ce prêt. Comme pour tous les prêts précédents au titre de l'AMF, la Commission emprunte des fonds sur les marchés internationaux des capitaux et les transfère à l'Ukraine aux mêmes conditions. Ce prêt à l'Ukraine est garanti à hauteur de 70 % de sa valeur par des montants provisionnés sur le budget de l'UE.

Cette assistance financière vient s'ajouter au soutien inédit apporté par l'UE à ce jour, notamment l'aide humanitaire, l'aide au développement et l'aide en matière de défense, la suspension de tous les droits à l'importation sur les exportations ukrainiennes pendant un an ou d'autres initiatives de solidarité, par exemple pour remédier aux goulets d'étranglement dans les transports, de sorte que les exportations, en particulier de céréales, puissent être garanties.

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Les douanes finlandaises ont annoncé mercredi avoir saisi à la frontière avec la Russie des marchandises pouvant renforcer « les capacités industrielles et militaires » de Moscou et autres marchandises faisant l’objet de sanctions internationales.
Ces saisies interviennent alors que la Finlande réfléchit à d’éventuelles restrictions des visas russes, dans la foulée de l’invasion de l’Ukraine par la Russie et des sanctions occidentales qui ont suivi, rapporte 20minutes.fr.

Plus de 2.500 contrôles ont été effectués entre le 22 et le 27 juillet et près d’une centaine cas similaires a été décelée, a indiqué l’autorité douanière. Une vingtaine de ces cas sont « en cours d’examen préliminaires », a déclaré l’administration douanière dans un communiqué.

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Vacances, j’oublie tout !!!!
La Première ministre estonienne, Kaja Kallas, a écrit mardi sur Twitter que « visiter l’Europe est un privilège, pas un droit de l’homme » et qu’il est « temps de mettre fin au tourisme en provenance de Russie maintenant ». 
Un jour plus tôt, son homologue finlandaise, Sanna Marin, avait déclaré à la chaîne de télévision finlandaise YLE que « ce n’est pas juste que pendant que la Russie mène une guerre d’agression agressive et brutale en Europe, les Russes puissent mener une vie normale, voyager en Europe, être des touristes ». 
Photo courtesy of Alexander Chekmenev

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Moscou a refusé que la Suisse représente diplomatiquement l’Ukraine  sur le territoire russe, estimant que Berne avait perdu son statut de pays neutre lorsqu’il avait repris les sanctions européennes contre la Russie.
« Les Suisses étaient effectivement intéressés pour une représentation des intérêts de l’Ukraine en Russie et vice versa. Nous avons très clairement répondu que la Suisse avait malheureusement perdu son statut d’État neutre et ne pouvait agir ni comme intermédiaire ni comme représentant », a déclaré le porte-parole du Ministère des affaires étrangères russes, Ivan Nechayev lors d’une conférence de presse.

Le 10 août, Berne a donné son accord à l’Ukraine pour la représenter diplomatiquement sur le territoire de la Fédération de Russie.  Lorsque deux États rompent entièrement ou partiellement leurs relations, la Suisse, qui se prévaut de sa neutralité, est habituée à assumer une partie de leurs tâches diplomatiques ou consulaires. La Suisse représente notamment les intérêts russes en Géorgie et les intérêts géorgiens en Russie depuis 2009. Elle représente aussi les intérêts de l'Iran en Égypte depuis 1979 et ceux de l'Iran au Canada depuis juin 2019.

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Centrale de Zaporijjia : "Nous demandons un retrait immédiat des troupes russes", lance la porte-parole du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères

Orange avec Media Services, publié le vendredi 12 août 2022 à 10h30
Le site de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, a de nouveau été bombardé jeudi, l'Ukraine et la Russie s'en accusant mutuellement. Si aucune contamination n’a, pour le moment, été relevée, ces bombardements font craindre une catastrophe nucléaire.

Invitée sur franceinfo, vendredi 12 août, la porte-parole du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères Anne-Claire Legendre a affiché les craintes de la France autour de l'occupation de la centrale nucléaire de Zaporijjia. "Nous sommes très préoccupés par cette occupation russe dans cette centrale de Zaporijjia. Nous demandons un retrait immédiat des troupes russes de cette centrale", a-t-elle déclaré.

La porte-parole du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères a affirmé que "la voie du dialogue doit être maintenue" malgré tout avec la Russie. "L'origine de la mise en danger de cette centrale est l'occupation russe. (…) Il viendra un moment où la phase de négociation deviendra nécessaire", a-t-elle indiqué. Anne-Claire Legendre a réaffirmé "l'unité de l'Union européenne" dans son soutien à l'Ukraine dans le conflit qui l'oppose à la Russie depuis le 24 février dernier.

Les craintes de l'Agence internationale de l'énergie atomique

Le site de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, la plus grande d'Europe, a de nouveau été bombardé jeudi, l'Ukraine et la Russie s'en accusant mutuellement, tandis que le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique a demandé de pouvoir y accéder "aussi vite que possible" au cours d'une réunion d'urgence du Conseil de sécurité.

"La situation s'aggrave (...), plusieurs capteurs de radiation ont été endommagés", tout comme "la station de pompage des eaux usées", a relevé la compagnie d'Etat ukrainienne Energoatom, selon laquelle des frappes se sont produites près d'un réacteur et "à proximité directe d'un dépôt de substances radioactives".

"A l'heure actuelle, aucune contamination n'a été relevée à la station et le niveau de radioactivité est normal", a toutefois affirmé Evguéni Balitski, le chef de l'administration civile et militaire mise en place dans cette région du sud-est de l'Ukraine occupée par les Russes, soulignant que "plusieurs tonnes" de déchets radioactifs sont stockés sur place.

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La Pologne a annoncé qu'elle cesserait de délivrer des visas aux citoyens russes .  

Le ministère polonais des Affaires étrangères a également annoncé qu'il se joignait à la Finlande , à l'Estonie , à la Lettonie et au Danemark pour lancer une interdiction européenne de délivrer des visas touristiques aux Russes.
  - source @Visegrád24

La République tchèque, qui occupe actuellement la présidence tournante du Conseil de l'Union européenne, plaide pour l’interdiction totale des visas russes par tous les États membres de l’UE.
Le ministre des Affaires étrangères tchèque Jan Lipavsky, cette interdiction « pourrait être une autre sanction très efficace contre la Russie ».

« L'interdiction totale des visas russes par tous les États membres de l'UE pourrait être une autre sanction très efficace contre la Russie. En cette période d'agression russe, que le Kremlin ne cesse d'intensifier, il ne peut être question de tourisme comme à l'ordinaire pour les citoyens russes », a-t-il déclaré ce matin à Bruxelles.

Le chef de la diplomatie tchèque a annoncé que l’Union européenne discuterait de la possibilité d'interdire la délivrance de visas à tous les citoyens russes à la fin du mois d'août.

[Caduce62]

Désormais, plusieurs pays de l’Union européenne plaident pour l’interdiction de visa Schengen pour tous les citoyens russes, afin de sanctionner Moscou pour la guerre en Ukraine. Cette mesure est également réclamée par les responsables ukrainiens, notamment le président Volodymyr Zelensky.  
Une interdiction de visa pour tous les Russes afin va être discutée fin août par l'Union européenne, a affirmé vendredi le chef de la diplomatie tchèque Jan Lipavsky, dont le pays préside le Conseil de l'UE.

« L'interdiction totale des visas russes par tous les Etats membres de l'UE pourrait être une autre sanction très efficace contre la Russie », a-t-il souligné. Il est à noter que la République tchèque a cessé de délivrer des visas aux Russes dès le 25 février, au lendemain de l'invasion de l'Ukraine par la Russie.

La Première ministre estonienne Kaja Kallas soutient cette initiative et son pays a déjà interdit l’entrée sur son territoire à tous les Russes munis d’un visa estonien. Cependant, elle précise que l’Estonie ne pourrait pas actuellement interdire l'entrée aux personnes munies d'un visa d'un autre pays de l'espace Schengen. « Nous sommes à la recherche d'options », a-t-elle souligné.

La Finlande plaide également pour une décision européenne, a indiqué début août le ministre des Affaires étrangères Pekka Haavisto. Le pays a déjà a annoncé son intention de réduire les visas touristiques, mais la législation finlandaise ne permettait pas une interdiction totale des visas en fonction de la nationalité.

Mais la Commission européenne ne cache pas ses réticences face à une mesure qui pénaliserait tous les ressortissants russes et insiste sur la nécessité de protéger les dissidents, les journalistes et les familles. « Les États membres disposent d'une marge importante pour la délivrance de visas pour les courts séjours et ils examinent les demandes au cas par cas sur la base de leurs mérites ».

[Thuramir]

Désormais, plusieurs pays de l’Union européenne plaident pour l’interdiction de visa Schengen pour tous les citoyens russes, afin de sanctionner Moscou pour la guerre en Ukraine. Cette mesure est également réclamée par les responsables ukrainiens, notamment le président Volodymyr Zelensky. 
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Mais la Commission européenne ne cache pas ses réticences face à une mesure qui pénaliserait tous les ressortissants russes et insiste sur la nécessité de protéger les dissidents, les journalistes et les familles. « Les États membres disposent d'une marge importante pour la délivrance de visas pour les courts séjours et ils examinent les demandes au cas par cas sur la base de leurs mérites ».

C'est une mesure contestable si elle est appliquée à tous les russes, parce que cela isole les dissidents russes et que cela empêche de créer des contacts avec des russes ayant des vues différentes de la situation pour la suite. Par contre, comme l'a pertinemment fait savoir la Commission européenne, les pays de l'UE délivrant les visas peuvent choisir au cas par cas s'il veulent délivrer un visa ou non, en fonction de la personne qui en fait la demande. Il suffit d'exclure les oligarques, leur famille et les autres parasites satellitaires de tout visa Schengen.

D'ailleurs, l'Allemagne est opposée à une interdiction générale : Après avoir ciblé les oligarques, des pays veulent interdire aux touristes Russes de venir dans l'UE

Par contre, il serait bien plus percutant et efficace d'inviter Chypre et Malte à retirer la nationalité de leur État aux russes qui l'ont obtenue en l'achetant : Passeports dorés : comment de riches Russes et d’autres investisseurs se sont acheté une nationalité en Europe

[Caduce62]

[Caduce62]

Moment de fierté et d'émotion alors que nous déployons le drapeau ukrainien sur la Grand-Place de Bruxelles, avec la communauté ukrainienne de Belgique.
Aujourd'hui, nous regardons tous vers l'avenir.
Un avenir où nos amis Ukrainiens pourront vivre dans une Ukraine libre et indépendante.
Slava Ukraine!

https://twitter.com/vonderleyen/status/1562423674740740096?s=20&t=mLmYh_36HZXs8NMmrEAPiA

[Caduce62]

https://twitter.com/uamemesforces/status/1562841859650572289?s=20&t=09qYppSWTbNSxuHTWTBZZw

[Caduce62]

La première ministre suédoise Magdalena Andersson a annoncé lundi que la Suède fournirait 500 millions de couronnes supplémentaires (46,75 millions de dollars) d'aide militaire à l'Ukraine pour aider la nation à se défendre contre l'agression russe.
« Nous continuerons à soutenir l'Ukraine tant que la guerre se poursuivra », a déclaré Mme Andersson à l'issue d'une rencontre avec le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kouleba.

Selon Reuters, elle a ajouté qu'en général, le gouvernement suédois fournirait à l'Ukraine un programme d'aide supplémentaire d'une valeur de 1 milliard de couronnes, qui comprendrait à la fois une aide militaire et civile.

Elle n'a donné aucun détail sur le paquet militaire, notant qu'il serait similaire au paquet précédent, qui comprenait des armes antichars, des équipements de protection individuelle et du matériel de déminage.

La partie civile du paquet comprendra des achats de blé ukrainien qui seront répercutés sur les pays confrontés à des pénuries alimentaires et contribueront à stimuler l'économie ukrainienne.

À son tour, le chef de la diplomatie ukrainienne a appelé la Suède à fournir des obusiers et des munitions. « Tant que la guerre continuera, nous demanderons plus d'armes », a déclaré M. Kouleba aux journalistes.

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LA LITUANIE ACHÈVE LA CONSTRUCTION D'UNE CLÔTURE À LA FRONTIÈRE AVEC LE BÉLARUS

A.G avec AFP
Le 30/08/2022 à 0:33

La Lituanie a annoncé lundi avoir achevé la construction d'une barrière le long de sa frontière avec le Bélarus, destinée à lutter contre l'immigration clandestine. La barrière, sous forme d'une clôture de quatre mètres et de fils barbelés, s'étend sur environ 550 kilomètres d'une frontière commune d'environ 700 km.

"Dans toutes les sections, les travaux sont achevés à 100%", a déclaré aux journalistes la cheffe du gouvernement lituanien Ingrida Simonyte.
Sur le reste de la frontière, qui traverse des marécages, des lacs et des rivières, il est "techniquement impossible" de construire une barrière physique, a-t-elle ajouté.

En Lituanie, l'immigration clandestine a augmenté cette année, avec environ 4200 migrants, principalement originaires du Moyen-Orient et d'Afrique, qui ont réussi à passer la frontière en provenance du Bélarus. L'Occident a accusé le régime bélarusse d'orchestrer cet afflux avec son allié russe, dans le cadre d'une attaque "hybride", ce que Minsk dément.

En dépit de ces accusations, Ingrida Simonyte a déclaré que son pays allait poursuivre cette tactique controversée et étudierait les possibilités légales qui lui permettraient de la maintenir même sans imposer un état d'urgence. Toutefois, a-t-elle admis, ce serait un défi dans le contexte du droit international sur cette question.

Samedi dernier, les gardes-frontières ont refusé d'entrée 125 migrants, soit le nombre le plus élevé depuis le début de l'année.

[Caduce62]

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