Re: Et en Russie !

[Александр]

Les sanctions occidentales affectent de façon "sensible" la Russie

Le président russe Vladimir Poutine a reconnu lundi dans un entretien au quotidien allemand Bild que les sanctions économiques en lien avec la crise ukrainienne affectaient de façon "sensible" la Russie.

"En agissant sur les marchés internationaux, les sanctions affectent de façon sensible la Russie", a déclaré le dirigeant russe dans une longue interview accordée au tabloïd, les qualifiant de "théâtre de l'absurde". Moscou est sous le coup de sanctions américaines et européennes pour son rôle dans le conflit entre forces ukrainiennes et séparatistes prorusses, qui a fait plus de 9.000 morts depuis avril 2014.

Fin décembre, l'UE a prolongé de six mois ses sanctions économiques. Bruxelles a justifié cette décision par la non application dans leur intégralité des accords de paix de Minsk, signés par Moscou. "Les dommages les plus importants (à l'économie russe) proviennent de la chute des prix de l'énergie. Au niveau des exportations de pétrole, nous enregistrons un rapport entre recettes et pertes que nous pouvons partiellement compenser" avec d'autres secteurs, a-t-il encore dit.

L'économie russe se stabilise "petit à petit" : le PIB a baissé de 3,8% en 2015, la production industrielle de 3,3% "mais le bilan commercial est positif", a toutefois estimé M. Poutine.

Pense qu'on n'a pas fini de parler de cette interview . . .

[Александр]

La "purge" continue, mais chez les zozos du donbawe et du louganda:

Russian Special Services Started Personnel Purges Among Members Of ‘DPR’ And ‘LPR’

Russian FSB takes measures to establish control over leaders of ‘DPR’ and ‘LPR’ and get rid of non-controllable separatists. 
            
This was reported by ‘Apostrophe’ with reference to the report of an American private analytic company Stratfor.

According to the report, ‘DPR’ and ‘LPR’ continue violating the ceasefire and attack Ukrainian positions about 20 times per 24 hours, though not 50 times as before.

As it was stated in the report, Ukrainian intelligence services are being informed that the presence of FSB officers along the demarcation line increases. It appears that they are conducting personnel purges among separatists they consider non-controllable. It is sometimes hard to say who should be blamed for escalation of situation in Ukraine – Kremlin or ‘DPR’ and ‘LPR’ leaders. As soon as FSB renews control over separatists, there will be a guarantee that the situation in Donbas is fully controlled by Moscow.

Occupation of Kominternovo (Mariupol sector), as well as presence of Russion troops there, is one more step taken by Moscow to establish control over ‘DPR’ and ‘LPR’.

As Stratfor assumed, readiness to continue negotiations in Minsk in 2016 shows that Ukraine and Russia are able make concessions. As for Russia, however, this may mean de-escalation of military hostilities in the east of Ukraine.

As previously reported, Russia and militants protest against UN peacekeeping mission in Donbas.

[Thuramir]

Avatar russe.


Sujets fédéraux de la Fédération de Russie © Wikipidea

Il faut toujours vérifier qui écrit un article pour s'informer des intentions, ouvertes ou cachées, du ou des auteurs. En l'espèce, il s'agit du blog d'une personne ou d'un groupe de personnes non identifiées qui s'intitule https://blogs.mediapart.fr/boris-lutte et qui est mis en ligne par Mediapart.
 
S'agit-il 'opposants intérieurs russes ou d'individus/mouvements étrangers non identifiés ? Il est impossible de le savoir, car le site de "boris-lutte" en question ne permet aucune identification et il ne précise pas de quel(s) pays sont issus le(s) auteur(s), ni leurs objectifs politiques. De même, les données factuelles figurant dans l'article du blog ne sont nullement objectivées par des liens vers des sites internet permettant d'en contrôler la véracité ou l'exactitude. L'article en question est d'ailleurs suivi de la phrase suivante : « Le Club est l'espace de libre expression des abonnés de Mediapart. Ses contenus n'engagent pas la rédaction ».
 
S'il faut traiter avec la plus grande cautèle la propagande, il faut aussi traiter avec grande cautèle les appréciations critiques, d'où quelles viennent, surtout si elles proviennent d'individus ou d'organisations totalement anonymes, sans but avoué et sans revendications, et ne jamais prendre pour argent comptant tout ce qui est écrit. Il est en effet possible de rester anonyme (par prudence pour la sécurité des auteurs), mais à tout le moins, de faire connaître le but recherché ou poursuivi et, en tout état de cause, d'accréditer les faits avancés par des références vérifiables.

Je fais référence ici au lien figurant au bas de cet article : http://businessviews.com.ua/ru/studies/id/ekonomicheskie-posledstvija-raspada-rossii-tolko-fakty-bez-emocij-970/

[Thuramir]

Une info plus amusante parue dans Libé ce lundi : 

POUTINE, L'ESSENCE UNIQUE
Un parfumeur biélorusse commercialise ces jours-ci à Moscou un parfum pour célébrer le président Poutine, baptisé Leaders number One. Assez cheap, aux dires de certains.
Décidément, certains au pays de feu Staline ont un vrai goût pour le culte de la personne… ou savent fort bien humer l’air du temps. Ainsi ce parfumeur biélorusse, nous informe l’agence Reuters, qui vient de sortir une fragrance comme un chant d’amour à Vladimir Poutine (dont on ne sait pas bien si c’est un parfum, là, comme ça, tout de suite, qu’il inspirerait) : Vladislav Rekunov, donc, qui gratifie l’humanité d’un sent-bon baptisé Leaders number One, mieux vu que Leader number two. L’essence présidentielle se base sur des accents de citron, cassis et pomme de pin, «attirante, terre à terre et naturelle», au moins autant que le locataire du Kremlin.
On ne sait pas très bien ce que ça sent, pour ne pas l’avoir testé soi-même, mais le jus, commercialisé pour l’instant uniquement à Moscou, avec effigie de Vlad dessus, coûte un petit bras : 6 500 roubles (80 euros) le flacon de 100 ml, soit à l’échelle française quasiment six bouteilles de vodka. Note qu’on pourra toujours boire le Poutine s’il n’est pas portable. Et se dire que c’est pour la bonne cause : selon l’agence Sputniknews, «une partie des bénéfices générés par la vente du parfum sera destinée à aider les enfants ayant besoin d’un traitement hospitalier d’urgence, ainsi qu’à acquérir des cadeaux de Noël pour un orphelinat».
A se faire rapporter d’urgence, avec bien sûr, le splendide calendrier où le dicta, euh, le président russe joue les maxi-stars, à la pêche, allumant un cierge, jouant avec un clebs etc. 69 euros, mais au moins on l’a sous les yeux tous les jours. Pas sûr que ça marche avec le président Hollande, toute cette féerie.
Emmanuèle Peyret

[Caduce62]

Le président russe Vladimir Poutine, qui a annexé la péninsule ukrainienne de Crimée en 2014, a déclaré lundi au quotidien allemand Bild que les frontières n'étaient à ses yeux "pas importantes" et qu'il ne s'intéressait qu'au "destin des gens".

"Pour moi, ce ne sont pas les frontières ou les territoires nationaux qui sont importants, mais le destin des gens", a déclaré M. Poutine dans une longue interview au tabloïd.

"Il faut toujours s'en tenir au droit international.   C'est ce qui est arrivé aussi dans le cas de la Crimée", annexée par Moscou en 2014, a-t-il assuré.

"La population russe est parfaitement claire sur la situation (de la Crimée) (...). Je vous dis: la réunification de la Crimée avec la Russie est juste", a-t-il ajouté, qualifiant les sanctions occidentales contre son pays "d'insensées".

La Russie et l'Ukraine sont engagées dans une crise sans précédent depuis l'arrivée au pouvoir de pro-occidentaux en Ukraine début 2014, suivie de l'annexion par Moscou de la péninsule ukrainienne de Crimée puis du conflit avec les séparatistes prorusses dans l'Est du pays. Le conflit a fait plus de 9.000 morts depuis mai 2014.
En août 2008, un guerre éclair de cinq jours avait par ailleurs opposé la Géorgie et la Russie pour le contrôle de l'Ossétie du Sud.
Le conflit s'était soldé par une victoire russe. Moscou avait ensuite reconnu l'indépendance de ce territoire en même temps que celle d'une autre république séparatiste géorgienne, l'Abkhazie.

Deux choses contradictoires dans son discours :
1/ je ne respecte pas les frontières et j'annexe le Donbass, la crimée, l'Abkhazie et l'Ossétie du sud !!
2/ faut respecter le droit !! le droit international ou le droit russe ??

[Krispoluk]

A se faire rapporter d’urgence, avec bien sûr, le splendide calendrier où le dicta, euh, le président russe joue les maxi-stars, à la pêche, allumant un cierge, jouant avec un clebs etc. 69 euros, mais au moins on l’a sous les yeux tous les jours. Pas sûr que ça marche avec le président Hollande, toute cette féerie.
Emmanuèle Peyret

Bouh ! Les méchants Belges, qui en profitent encore pour dénigrer insidieusement notre super-génial-glorieux Président Hollande ! Pas joli, tout ça
Au moins, notre génial Président a-t-il-réussi à repousser la menace terroriste depuis 2 mois ! Gloire lui soit rendue  (Si après ça on ne me propose pas un poste de communiquant à l'Elysée ou à la télé, je n'y comprend plus rien !) 

[benoit77]

31,38 $ le baril aujourd'hui :
http://news.liga.net/news/economics/8326808-tsena_nefti_brent_opustilas_nizhe_32_za_barrel.htm
http://news.liga.net/news/economics/8306125-reuters_rossiyskaya_kazna_opusteet_v_2016_godu_pri_nefti_po_30.htm

il pourrait s'effondrer à 20-25$:
http://biz.liga.net/ekonomika/tek/novosti/3208359-v-morgan-stanley-prognoziruyut-padenie-tsen-na-neft-do-20-25.htm

[Caduce62]

[Александр]

10$, Yesssssssssss!!!


Poutine : "Les sanctions économiques ne sont qu'un théâtre d'absurdité"

Lors d’une interview en forme de bilan 2015 au quotidien allemand Bild, Vladimir Poutine évoque la politique internationale, le terrorisme mondial et les dissensions entre l’occident et la Russie, souvent accompagnées de sanctions à l’encontre du pays de Dostoïevski. 
    
Vladimir Poutine a choisit la presse allemande, en accordant un entretien au journal allemand Bild, pour exprimé son point de vue à l’occident sur les grands sujets internationaux en ce début d’année 2016.

• Relations Occident Russie
  

“ Chaque fois que quelqu’un est en désaccord avec notre position, ce n’est pas la meilleure attitude que de nous déclarer ennemis ” A bon entendeur occidental, salut ! Avec cette phrase, le président russe continue dans sa lignée provocatrice envers les grandes puissances occidentales et veut se positionner en chef d’état souverainiste intransigeant sur les intérêts de son pays. Il étend également son propos avec un “j’accuse” a peine déguisé contre les Etats-Unis : “ C’est par ailleurs un fait évident à nos yeux, que le terrorisme international est également utilisé contre la Russie, alors que tout le monde ferme les yeux sur ce fait ou fournit un soutien aux terroristes. Je fais référence au soutien politique, informationnel, financier, ou même armé dans certains cas, fourni à ceux qui luttent contre l’Etat russe. Véritablement, nous avons réalisé à ce moment-là, que les discussions et les intérêts géopolitiques étaient deux chose complétement différentes ”.

• Économie russe
  

Pour Vladimir Poutine, "les sanctions économiques imposées par l’occident ne sont qu’un théâtre d’absurdité ” car elles seraient pénalisantes pour tout le monde signifie-t’il en évoquant l’exemple de l’Ukraine : “Les sanctions occidentales ne visent pas à aider l’Ukraine mais leurs but est de repousser la Russie en arrière. Elles sont bizarres et aggravent la situation dans tous les pays. ” Y compris la Russie.  Et les difficultés de l’industrie pétro-gazière dues à l’infléchissement du prix des matières fossiles mais évoque l'économie qui se stabilise et met les points positifs en avant : “La balance commerciale est positive. Pour la première fois lors depuis plusieurs années, la Russie exporte plus de produits à forte valeur ajoutée et nous avons plus de 300 milliards de dollars de réserves d’or ”

• Situation en Ukraine
  

En ce qui concerne l’Ukraine : “Il n’y a pas eu de guerre, aucun tir et pas une seule personne tué. Nos soldats ont simplement empêché l’armée Ukrainienne en Crimée d’entraver la liberté d’expression là-bas. Lors du référendum, qui n’a pas été adopté par l’ancien parlement de Crimée, la majorité des citoyens ont voté pour l’appartenance de la région à la Russie. Voilà la démocratie, la volonté du peuple !” Pour Vladimir Poutine, il n’y a pas eu annexion mais “réunification de la Russie”. 
Interview de Vladimir Poutine du quotidien Allemand Bild : Marc Crépin l'a lu pour France Info.

All confessions gather to pray for peace in Ukraine… except Moscow Patriarchate




The joint prayer for peace in Ukraine was held at Mykhailivska Ploshcha (Saint Michael’s Square) in Kyiv.



Roman Catholics, Greek Catholics (Uniates), priests from the Ukrainian Orthodox Church Kyiv Patriarchate and the Ukrainian Autocephalous Orthodox Church, representatives of the Armenian Church and other faiths gathered to pray for peace in Ukraine.



Organizers invited priests from the Ukrainian Orthodox Church Moscow Patriarchate, but they did not come.



The clergy of various churches declared that today Ukraine needs unity more than ever. Prayer is an event that can unite all Ukrainian in such a difficult time. The priests added that joint prayer is an effective and motivating factor for followers of all faiths.



“The Church should pray the Lord and ask Him for compassion, for peace and harmony in our land.” said abbot Iyeremiya (Jeremiah) of the UOC-KP.



“Everyone that takes part in ATO and this war protects the unity of our country and the world. Different confessions have gathered to pray for peace. It’s important for ATO soldiers to know that we are praying together.” stated the archbishop of the Roman Catholic Church, Petro Malchuk.



Relics of the blessed Marta Vyetska were also brought to Saint Michael’s Square. This saint spent her life helping the sick in hospitals. When she died, Catholics, Uniates, Orthodox and Armenians prayed to this saintly woman. The relics were open for prayer to people of all faiths.



The Ukrainian Autocephalous Orthodox Church announced a period of fasting and prayer for ATO heroes and the Heavenly Hundred.



Spain and Belgium take over NATO’s Baltic Air Policing mission





The 40th rotation of NATO’s Baltic Air Policing mission took place today (7 January 2016) in Lithuania and Estonia. Responsibility for the mission was transferred from Hungary and Germany to Spain and Belgium, demonstrating NATO’s enduring solidarity with its Baltic Allies.



Spain is leading the Baltic Air Policing mission for the first four months of 2016 with four Eurofighter Typhoon jets based at Šiauliai, Lithuania. Four Belgian F-16 fighter jets are based at the Ämari airbase in Estonia.


Allies take up the air patrols for a four-month rotation. Germany and Hungary had been patrolling the airspace over the Baltic countries since September.

NATO has been protecting the Baltic skies since 2004, when Estonia, Latvia and Lithuania joined the Alliance.

NATO Allies protect their airspace on a 24/7 basis. NATO air policing missions help Allies who do not have their own fighter aircraft to guard their airspace.

[Александр]

Cotation Pétrole Brent

Cours Ice Europ	30.80 USD
Variation	-1.31%
Dernier échange	12/01/16 09:09:24
Volume	9 818
Ouverture	31.54
+ Haut	31.54
+ Bas	30.43
+ Haut 12 derniers mois	38.99
+ Bas 12 derniers mois	30.43
Clôture veille	31.21

Conversion EURO/ROUBLE RUSSIE

Cours Six - Forex 1	83.2983
Variation	0.45%
Ouverture	83.2753
+ Haut	83.8501
+ Bas	82.5058
Clôture veille	82.9280

[mortimer]

La Russie contrainte de se serrer la ceinture

Le gouvernement russe se prépare à réduire de 10% ses dépenses budgétaires afin de s'adapter à l'effondrement du marché pétrolier, a rapporté mardi le journal Vedomosti.


http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/2582250/2016/01/12/La-Russie-contrainte-de-se-serrer-la-ceinture.dhtml?show=art

[Александр]

La dégringolade n'est pas finie . . . Et je m'en réjouis.

[benoit77]

10$ ? Des analystes britannique y pense !
http://biz.liga.net/ekonomika/tek/novosti/3209513-britanskiy-bank-prognoziruet-padenie-tsen-na-neft-do-10.htm

Mais pas d'inquiétude, puisque tout va bien selon Mister Pou:

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/2582250/2016/01/12/La-Russie-contrainte-de-se-serrer-la-ceinture.dhtml
http://www.lemonde.fr/economie/article/2016/01/12/la-russie-s-enfonce-inexorablement-dans-la-recession_4845861_3234.html

[Александр]

Très étrangement, les poutinolâtres ne réagissent pas sur 7sur7.

[benoit77]

Très étrangement, les poutinolâtres ne réagissent pas sur 7sur7.

z'ont plus de dollars pour la connexion internet ??

[Александр]

C'est comme sur France-CEI, plus rien de vivant.
On pleurera pas.

[benoit77]

29,93$  qui dit moins ?

http://news.liga.net/news/economics/8358607-bloomberg_tsena_nefti_wti_vpervye_za_12_let_rukhnula_nizhe_30.htm

[Александр]

C'est un peu plus haut:

Cotation Pétrole Brent

Cours Ice Europ	31.02 USD
Variation	0.98%
Dernier échange	13/01/16 07:40:06
Volume	2 416
Ouverture	30.82
+ Haut	31.34
+ Bas	30.82
+ Haut 12 derniers mois	38.99
+ Bas 12 derniers mois	30.34
Clôture veille	30.72

Conversion EURO/ROUBLE RUSSIE

Cours Six - Forex 1	83.1322
Variation	-0.36%
Ouverture	83.1976
+ Haut	83.5819
+ Bas	83.0374
Clôture veille	83.4347

Collusion and propaganda: captured with templates

The Russian opposition and Western analysts have pointed out repeatedly that Russia’s authorities are actually a “Chekist clan” – former KGB officers who obtained control over the country’s basic resources. As Ukrainian journalist Vitaly Portnikov noted in one of his latest articles, recent revelations by Alexei Navalny and the report of a Spanish prosecutor have both exposed one more connection of the “old” Russian security forces: with the mafia.

“The Russian mafia group emerged in Spain in 1996, that is, three years before the emergence of Vladimir Putin in Russian politics. Meanwhile, among those who have been associated with the Mafia are almost all known people from Putin’s entourage, the so-called Lake Co-operative and all of the inner circle”, says Portnikov.

“Once, a high-ranking security officer told me with a sigh that after the liquidation of the Communist Party his colleagues from the KGB thought that now, after the party has “evaporated”, all the power and all financial flows are their own. However, the officer said, they then faced with strong pressure from the criminal world. Now we can say that the KGB did not deal with the criminal world the same way they struggled over the years with the party apparatus. They chose to be part of the criminal world, because the main objective of the security officers and the criminals – power and money – fully coincided,” says the publicist.

The connections that that gag

While the connections between organized crime and the KGB today are not an open topic for discussion in Russia, but even supporters of the current government would not deny that after Yeltsin’s resignation the “security officers” were able to monopolize both resources and positions in Russia. It is ironic that rampant crime, gangsterism, “new Russian” mafia showdowns and all other ugly realities of the so called “the wild 90s” are still associated in the minds of the ordinary Russians only with reforms, democracy, and the West. At the same time, the newly revealed facts suggest quite the opposite: in the 1990s those associated with crime most closely were not young reformers but the people of the former Soviet KGB, which is now idealized by Kremlin propaganda. At the same time the West itself was not at all pleased with this symbiosis: Western countries do not control the process of criminalizing the elites in Russia; and moreover, they themselves have suffered from it.

However, in recent years  books (both fiction and non-fiction) have often appeared in the United States describing how the Russian thugs, who gained their veneer of respectability, are laundering the money in European and American banks they acquired in illegal ways,. The books also reveal how that the thugs were building their agent network even in the pre-Putin era. Through these recent revelations, we know that the actions of these agents are directed primarily against the West itself, in order to discredit and corrupt its basic institutions. These people acted under democratic and pro-Western slogans, but with the aim of deceiving and damaging the West in anticipation of revenge, which we see today.

Nevertheless, Kremlin propaganda has succeeded in making the majority of Russians firmly associate crime with the reforms, the reforms with democracy, democracy with the West, and the West itself solely with the CIA. Therefore, many sincere patriots firmly believe that there are “CIA agents” who plundered Russia, while in fact they were mostly “KGB agents”. This false association largely explains why Russians are so afraid of a return to the ‘90s and are so hateful of the West.

The best success of the Kremlin propaganda has been the creation of false associations, stereotypes and patterns that the Russian government then skillfully uses. Perhaps, these false “templates” are the core of the Russian propaganda. Inspired false associations are so strong that their influence is felt even among Russians living abroad. It seems to me, that this propaganda pattern creates a significant number of supporters of Putin, even among Russian Americans. Weak civil society traditions and underdeveloped “horizontal” relations have led many Russians to unite around foreign organizations created by the Kremlin that are in fact, affiliated with Russian consulates and missions which are under the close control of the KGB’s successor, the FSB.  

Guilt by Association

One of the reasons that lead Russian expats and emigrants to unite around such organizations is a subconscious sense of guilt. Kremlin propaganda creates this sense by depicting all emigrants as “traitors”, an old Soviet stereotype that is being revived in recent years in Russia. This sense settles in the subconscious of people so deeply that creates a completely illogical guilt. As a result, for many Russians the newly acquired awareness of their conflict with the state is a fairly traumatic factor – except, of course, for those who deliberately chose the path of dissent.

Therefore, these people perceive with joy any form of association imposed by the Kremlin. Participation in these organizations’ life becomes for them an official restoration of their connection with the former homeland – they get assured that no one can call them traitors any longer. The internal dilemma is resolved, and such people would enjoy the benefits of America and at the same time feel that they are “forgiven” by Russia.

In fact, they sit on two chairs, as they would feel obliged to support the Russian government and the Putin regime in particular while at the same time demonstrating loyalty to the U.S. Very often the situation of such people is manipulated not only by Russian propaganda but by secret FSB agents who involve then in spying or having a corrupting influence on American institutions. But few people even think that this dilemma is created artificially, falsely. It would not arise at all without the efforts of their beloved Russian state.

Opponents as well as supporters of the Putin regime are captured by the patterns imposed by the Kremlin. I already wrote about the fact that many in the opposition movement succumbed to the artificial division between “liberals” and “patriots”, not even trying to defend the meaning of the word “patriotism”. Another stereotype that is enticing for the opposition is that the opposition is always, everywhere and in everything unjustly persecuted.

The feel of futility

I myself lived in Russia all my life until March 2014, and in recent years before emigrating I participated in the opposition. I know how hard it is to live in an atmosphere of harassment and slander. In such a situation a special feeling of one’s innocence is a temptation, and such feeling is not caused by personal merit, but only by the unjust and mean persecution by the political enemy. Such persecution makes it meaningless for those in the opposition to think critically about themselves, to correct old mistakes, to look for new approaches. All this becomes meaningless because in any case you would be slandered, harassed or even arrested on fabricated charges, and all that you created would be destroyed. To make the opposition meaningless is one of the aims of the government. However, the fact that criticism of the opposition in our country involved mostly  incompetent people, slanderers and propagandists (remember the recent example of the infamous Lesi Ryabtseva) does not abolish the need for criticism as such.

Moreover, the victimized consciousness often shown in the Russian opposition (of course, often not without clear reasons) is defective. It does not add any constructive ideas in the fight, but only affirms stereotypes repeatedly broadcast by numerous propagandists.

How to fight between the cracks

What strategy really could bring success in the struggle against the current regime is a strategy of breaking stereotypes. Protesting truckers, who are really fighting for their rights and cannot be labeled as any political opposition group designated as “enemy of the regime”, like so called “liberals” or “grant eaters”; soldiers and even officers, who refuse to go on Putin’s orders to another country and kill foreign citizens; police officers who refuse to disperse the protesters – all those people are free of both pro-Putin propaganda and a victimized conscience. They are free from the captivity of templates created by the Kremlin. They neither repeat propaganda, nor act in the “usual” way, even though this attitude brings them into their comfort zone.  
The dependence on propaganda templates, no matter on which side, would not bring а success. Only the breaking of stereotypes by those who cannot be subjected to manipulations can lead to liberation.

New Sanctions Against Russian Delegation to PACE May Be Imposed

The competence of the Russian delegation to the Parliamentary Assembly of the Council of Europe (PACE) is going to be challenged again because of the annexation of Crimea and Donbas war. 
            
As the DW reports, it became known from the sources in PACE.

State Duma deputies representing Russia in PACE should expect a cold reception prepared for them by some colleagues in the Assembly at the opening of the winter session that is to be on January 25 in Strasbourg. According to a DW’s source in the PACE Secretariat, there is a “high probability the credentials of the RF’s delegation will be challenged” on the first day of the session.

The delegation of the Russian Federation was still under the PACE sanctions that were imposed in April of 2014 due to the annexation of Crimea. According to the resolution, Russian deputies was denied the right to vote in PACE and the right to be represented in its governing bodies. Since then, the sanctions have been extended twice, and the relevant resolutions of the Assembly called on the Kremlin to return Crimea and to stop military aggression in Donbas withdrawing its troops from the territory of Ukraine.

As previously reported, the French politician was removed from the PACE office because of his visit to the occupied Crimea.

[dombreizh]

Je ne savais pas ou mettre cette nouvelle mais ils sont vraiment très fort  comme quoi l'abus d'alcool ne nuit pas à la santé
http://www.ouest-france.fr/europe/russie/declare-mort-il-se-reveille-la-morgue-et-retourne-faire-la-fete-3967065

[Александр]

Ce n'est pas le bon topic, mais bon . . .

Inquiets, les Lituaniens se préparent à la guerre face à la Russie

 Les instructeurs nous ont expliqué comme mener un raid et c’est ce que nous allons essayer de mettre en pratique. On m’a assigné le rôle du lanceur de grenades. Je vais essayer d’être le meilleur possible.

 
Nous sommes en Lituanie et vous venez d’entendre, Martynas un jeune trentenaire. A la tête d’une société de conseil en semaine, il consacre une partie de son temps libre à s’entraîner à l’art de la guerre. Il fait partie de l’Union des tireurs depuis l’été 2014. En effet, l’agression russe en Ukraine, mais aussi aujourd’hui la montée du terrorisme a réveillé les craintes des Lituaniens pour leur sécurité. Créée en 1919, l’Union des tireurs  renaît de ses cendres. Elle compte aujourd’hui près de 9 000 membres, soit presque autant que l’armée régulière. Un reportage de Marielle Vitureau
 
Treillis, équipement radio, fusil d’assaut Airsoft. Les tireurs sont très équipés, un investissement personnel, mais pas question pour eux de dire qu’ils jouent à la guerre. Dans le civil, Robertas Juodka patronyme brodé sur son uniforme, est avocat d’affaires.
 
La Russie est et a toujours été notre principale menace. L’indépendance doit être continuellement défendue. D’ailleurs l’hymne français dit  bien « aux armes citoyens ». C’est donc à nous, les citoyens d’être actif dans la société civile et s’organiser pour défendre l’état et c’est ce que nous faisons ici.
 

En l’espace de deux ans, le nombre de personnes qui a rejoint l’Union des tireurs a décuplé. 25 ans après le retour de la Lituanie à l’indépendance et l’adhésion à l’Union européenne et l’Otan en 2004, la sécurité du pays semble menacée pour Zivile, une juriste trentenaire.
 
Je voulais apprendre à manier une arme, à savoir comment fonctionne une unité ou comment se comporter sur un champ de bataille. Il me semble que c’est important pour comprendre les menaces et savoir y réagir de manière appropriée.
 
L’union de tireurs fait partie intégrante du système de défense lituanien. En cas de conflit, son rôle pourrait être le maintien de l’ordre. Lukas Vaiciulis, réserviste, est à la tête d’une unité de tireurs.
 
Nous avons tiré les leçons de notre passé. Notre armée ne suffira pas, si nous avons en face de nous un ennemi beaucoup plus important. Nous sommes un petit état et nous devons adopter la tactique du hérisson. Toute la nation doit montrer ses piquants et sa volonté de se défendre contre un agresseur.
 
L’Union des tireurs est au seuil de grands changements. Elle milite pour que ses membres puissent posséder des armes, à l’instar de la Suisse. Des groupes de combattants actifs sont en cours de formation.

[Александр]

On parlait de purge, une mise en garde:

A Fallen Russia Oligarch Sends Warning to Rest of Putin Insiders



Putin and Yakunin.


Photographer: Sasha Mordovets/Getty Images


He was one of the most powerful men in Russia for a decade, an old pal of the president who oversaw a million workers and a rail network spanning 11 time zones.

But then Vladimir Yakunin was suddenly out, ending a career that included a stint as an intelligence officer at the United Nations in New York during the Cold War. Now Yakunin, 67, has some parting advice for the remaining members of what he dismissed as Putin’s “so-called inner circle”: know your place.

“This circle will continue to rotate,” Yakunin said in his private office in Moscow during a 90-minute interview. Putin has yet to form a stable “ruling class like Russia had during czarist times,” the former head of state-owned Russian Railways JSC said.



The comments are a rare public admission from a longtime insider of the fragility of wealth and influence in the opaque and seemingly ironclad system of control Putin has built over 15 years. With that system under unprecedented pressure from plunging oil prices and international sanctions, any step Putin takes to maintain his grip on power reverberates far beyond Moscow. 

Berezovsky Warning

Some insiders are making the mistake of viewing their property and privilege as inalienable rights, but everything they have hinges on Putin’s shifting views of what’s good for Russia, according to Yakunin. He offered two examples from the president’s first term to illustrate the dangers of overreach.

“Remember what happened to Boris Berezovsky and Vladimir Gusinsky,” he said, referring to two post-Soviet oligarchs who lost their fortunes trying to influence Putin’s Kremlin the way they did Boris Yeltsin’s.

Yakunin’s departure from the rail monopoly in August was the biggest shakeup in years within “the new politburo,” the highest authority under communism, and presages more to come, according to Olga Kryshtanovskaya, a sociologist who’s tracked the rise of the security services under retired KGB Colonel Putin.



“Rough resignations” by Putin loyalists are rare and Yakunin’s rejection of the customary senate seat as consolation is even more so, she said.

The U.S. blacklisted Yakunin in its initial round of sanctions over the Ukraine conflict in March 2014 for being both “a close confidant of Putin” and an influential government official; Russian Railways carries more than a billion passengers and a billion tons of cargo a year.

Dacha Buddies

Yakunin and other members of Putin’s St. Petersburg clique in the 1990s, including his chief of staff and fellow former spy Sergei Ivanov, constitute “the Russian leadership’s inner circle,” the Treasury Department said at the time.

“Yakunin and Putin were also neighbors in the elite dacha community on the shore of Lake Komsomolsk and they served as co-founders of the Ozero Dacha Cooperative in November 1996,” it said.

Another Ozero founder, Yuri Kovalchuk, was also among the first 20 Russians sanctioned, as were three other St. Petersburg businessmen who became billionaires after Putin came to power -- Gennady Timchenko and the brothers Arkady and Boris Rotenberg.

The reasons Yakunin was kicked out of this exclusive club are disputed.

British Passport

He says publicly the decision to resign was his own and Putin approved it, but people familiar with the matter said the president felt betrayed when Yakunin’s eldest son obtained citizenship from the U.K. when that country was penalizing Russia over Ukraine. 

The Kremlin was aware of the issue and nobody objected, Yakunin said. 

“My son has lived in the U.K. for five years and had the right to obtain citizenship,” he said. “I made no secret of this from the country’s leadership.”

Putin’s spokesman, Dmitry Peskov, declined to comment.

Kryshtanovskaya, the sociologist, said it may have just been a matter of mismanagement at Russian Railways. The company had become bloated, inefficient and plagued by accusations of corruption, so new leadership was needed, especially with the economy mired in a recession, she said.

Safeguarding Wealth

The man picked to replace Yakunin, Oleg Belozerov, is a 46-year-old logistics specialist and deputy transport minister from St. Petersburg who has longstanding ties to the Rotenbergs.
Evgeny Minchenko, who runs the International Institute for Political Expertise in Moscow, said Yakunin was simply outmaneuvered by more aggressive insiders whose business interests were being hampered by the rail monopoly.

Whatever the cause, Minchenko said one thing is indisputable: People close to Putin, who could extend his rule to a quarter century if he wins re-election in 2018, are increasingly focused on safeguarding their wealth and status to pass them on to their offspring.

Putin In-Law

Some are even joining Putin’s family.

Kirill Shamalov, the son of Nikolay Shamalov, another co-founder of the dacha cooperative cited by the Treasury Department, married Putin’s youngest daughter Katerina in 2013 and then became a tycoon in his own right, thanks mainly to a stake in a petrochemical company he acquired from Timchenko with financing from a state bank.

Still, nobody’s position but Putin’s will be secure until a governing elite like the one that existed before the Bolsheviks swept to power a century ago is fully formed, a process that may take decades, according to Yakunin.

“Trying to measure influence by proximity to political resources is a relic of the Soviet system,” he said.

[Thuramir]

On parlait de purge, une mise en garde:

A Fallen Russia Oligarch Sends Warning to Rest of Putin Insiders

British Passport

He says publicly the decision to resign was his own and Putin approved it, but people familiar with the matter said the president felt betrayed when Yakunin’s eldest son obtained citizenship from the U.K. when that country was penalizing Russia over Ukraine. 

The Kremlin was aware of the issue and nobody objected, Yakunin said. 

“My son has lived in the U.K. for five years and had the right to obtain citizenship,” he said. “I made no secret of this from the country’s leadership.”

Putin’s spokesman, Dmitry Peskov, declined to comment.

Kryshtanovskaya, the sociologist, said it may have just been a matter of mismanagement at Russian Railways. The company had become bloated, inefficient and plagued by accusations of corruption, so new leadership was needed, especially with the economy mired in a recession, she said.

C'est en effet, fort probablement, la cause de la déchéance de ce très proche du pouvoir présidentiel.

[Caduce62]

Russie: le gouvernement confirme de nouvelles coupes des dépenses budgétaires
AFP le 13/01/2016 à 10:294

Le gouvernement russe a confirmé mercredi qu'il comptait réduire ses dépenses de 10% par rapport au niveau prévu actuellement par le budget 2016 pour s'adapter à des prix du pétrole qui risquent de rester faibles pour longtemps.

Le brusque effondrement des cours de l'or noir, tombés cette semaine au niveau encore inimaginable il y a peu de 30 dollars le baril, a brusquement changé la donne pour la Russie, qui tire la majorité de ses revenus des hydrocarbures et espérait une reprise économique cette année après la profonde récession de l'an dernier.

"Nous devons prendre des mesures réfléchies pour adapter notre budget à la nouvelle réalité", a résumé le ministre des Finances Anton Silouanov lors d'un forum économique.
"Les ministères et organismes (...) vont présenter au ministère des Finances des propositions concernant la réduction des dépenses de 10%" par rapport à ce qui est prévu dans la loi de budget, a-t-il détaillé, confirmant des informations parues mardi dans la presse.

Le ministre a souligné que le gouvernement travaillait à la recherche de nouvelles rentrées budgétaires, notamment avec des privatisations qui pourraient rapporter 1.000 milliards de roubles en deux ans (12 milliards d'euros).

Le budget 2016 a été bâti sur un baril à 50 dollars avec un déficit de 3% du PIB, limite que le président Vladimir Poutine a ordonné de ne pas franchir. Selon M. Silouanov, il faudrait un baril à 82 dollars pour l'équilibrer et si le déficit est resté contenu à 2,6% l'an dernier, cette année s'annonce plus difficile.

Visée également par des sanctions économiques à cause de la crise ukrainienne, la Russie a traversé l'an dernier une profonde récession avec une forte baisse de l'activité et du pouvoir d'achat des ménages.

Le gouvernement a déjà procédé à d'importantes réductions d'effectifs dans l'administration ou le secteur de la santé pour consacrer ses efforts au soutien des secteurs en difficulté (banques, construction, automobile...).

M. Silouanov a prévenu qu'il ne fallait "pas s'attendre à une hausse des prix (du pétrole) dans l'immédiat", tandis que le ministre de l'Economie Alexeï Oulioukaïev, à ses côtés, a jugé que la période de bas prix des hydrocarbures s'annonçait "très longue".
La chute des cours du pétrole a entraîné le rouble à ses plus bas niveaux en plus d'un an. Si la faiblesse de la monnaie permet de compenser en partie pour le budget la baisse des prix de l'or noir, elle risque de peser encore sur le pouvoir d'achat et la consommation.

[Krispoluk]

M. Silouanov a prévenu qu'il ne fallait "pas s'attendre à une hausse des prix (du pétrole) dans l'immédiat", tandis que le ministre de l'Economie Alexeï Oulioukaïev, à ses côtés, a jugé que la période de bas prix des hydrocarbures s'annonçait "très longue".
La chute des cours du pétrole a entraîné le rouble à ses plus bas niveaux en plus d'un an. Si la faiblesse de la monnaie permet de compenser en partie pour le budget la baisse des prix de l'or noir, elle risque de peser encore sur le pouvoir d'achat et la consommation.

Tiens, c'est bizarre, il contredit la pensée visionnaire du génial leader et madame Irma : Poutine, qui a annoncé publiquement que le plus gros de la crise était passé en 2015 et que 2016 serait l'année où "l'empire" contre-attaque   Et hop ! 15 ans de camp à régime sévère

[dombreizh]

tous les jours une news de russie plus ou moins loufoque...
http://www.ouest-france.fr/europe/russie/russie-un-responsable-de-prison-aurait-vole-et-vendu-50-km-de-route-3969637

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