Et en Russie !
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Re: Et en Russie !
C'est francetv qui a mal mis le lien, je ne peux pas le changer
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: Et en Russie !
En éditant, tu peux remplacer
"http://www.ttp.com//fr.sputniknews.com/opinion/20120615/195052802.html#ixzz3d4r2EToK"
par
"http://fr.sputniknews.com/opinion/20120615/195052802.html#ixzz3d4r2EToK"
et c'est bon
"http://www.ttp.com//fr.sputniknews.com/opinion/20120615/195052802.html#ixzz3d4r2EToK"
par
"http://fr.sputniknews.com/opinion/20120615/195052802.html#ixzz3d4r2EToK"
et c'est bon
Tibo- Messages : 225
Date d'inscription : 07/05/2014
Re: Et en Russie !
Poutine tente de diviser les pays d'Europe sur l'Ukraine et courtise la Grèce
SAINT-PÉTERSBOURG, Russie ? Le président russe Vladimir Poutine a tenté de provoquer la division entre les pays européens, vendredi, alors qu'il a invité l'Occident à faire pression sur l'Ukraine pour qu'elle honore tous les engagements de réformes politiques inclus dans les accords de Minsk.
Les remarques du président Poutine surviennent après une vague de combats violents dans l'est de l'Ukraine et peu avant le renouvellement imminent des sanctions internationales qui frappent des pans entiers de l'économie russe.
Le dirigeant russe a toutefois balayé du revers de la main l'état lamentable de l'économie nationale, assurant les participants du Forum économique international de Saint-Pétersbourg — surnommé le «Davos russe» — que la situation s'était «stabilisée».
Plus tard, il a toutefois admis que les sanctions frappaient aussi durement l'Europe que Moscou et que la perte de dizaines de milliards de dollars affectait l'économie mondiale dans son ensemble.
Au lieu de montrer des signes de conciliation, Vladimir Poutine a demandé à Washington et aux autres pays occidentaux, dont le Canada, de faire pression sur Kiev pour que le gouvernement ukrainien «mette pleinement en oeuvre» les accords de Minsk signés l'hiver dernier. Il souhaite particulièrement voir la réforme constitutionnelle promise donner plus d'autonomie aux régions rebelles.
Vendredi, le président Poutine a choisi d'esquiver les questions concernant l'implication russe dans ce qu'il qualifie de «guerre civile». Cependant, le président ukrainien Petro Porochenko a clairement fait comprendre qu'aucune réforme n'aurait lieu tant que des troupes russes demeureraient sur son sol.
Le premier ministre canadien Stephen Harper et son ministre des Affaires étrangères, Rob Nicholson, ont appuyé à plusieurs reprises la demande de retrait russe faite par M. Porochenko.
Le président russe fait preuve de fermeté alors qu'il devient de plus en plus clair que la solidarité entre les pays européens — essentielle au maintien des sanctions contre son pays — est mise à mal par la possibilité d'un changement de position grec.
La tentative russe de courtiser la Grèce est d'ailleurs devenue encore plus évidente vendredi après le discours du premier ministre Alexis Tsípras au Forum économique international de Saint-Pétersbourg. S'adressant à un parterre international de gens d'affaires, M. Tsípras a laissé entendre à mots couverts que son pays préparait le terrain en vue de quitter l'Union européenne pour se rapprocher de la Russie.
Il a expliqué que son pays était au centre d'une tempête, mais qu'il était prêt à l'affronter et à traverser «de nouvelles mers pour atteindre de nouveaux ports sûrs».
Vendredi, le ministre russe de l'Énergie a par ailleurs annoncé un accord de 2,77 milliards $ sur la prolongation d'un gazoduc russe en Grèce.
SAINT-PÉTERSBOURG, Russie ? Le président russe Vladimir Poutine a tenté de provoquer la division entre les pays européens, vendredi, alors qu'il a invité l'Occident à faire pression sur l'Ukraine pour qu'elle honore tous les engagements de réformes politiques inclus dans les accords de Minsk.
Les remarques du président Poutine surviennent après une vague de combats violents dans l'est de l'Ukraine et peu avant le renouvellement imminent des sanctions internationales qui frappent des pans entiers de l'économie russe.
Le dirigeant russe a toutefois balayé du revers de la main l'état lamentable de l'économie nationale, assurant les participants du Forum économique international de Saint-Pétersbourg — surnommé le «Davos russe» — que la situation s'était «stabilisée».
Plus tard, il a toutefois admis que les sanctions frappaient aussi durement l'Europe que Moscou et que la perte de dizaines de milliards de dollars affectait l'économie mondiale dans son ensemble.
Au lieu de montrer des signes de conciliation, Vladimir Poutine a demandé à Washington et aux autres pays occidentaux, dont le Canada, de faire pression sur Kiev pour que le gouvernement ukrainien «mette pleinement en oeuvre» les accords de Minsk signés l'hiver dernier. Il souhaite particulièrement voir la réforme constitutionnelle promise donner plus d'autonomie aux régions rebelles.
Vendredi, le président Poutine a choisi d'esquiver les questions concernant l'implication russe dans ce qu'il qualifie de «guerre civile». Cependant, le président ukrainien Petro Porochenko a clairement fait comprendre qu'aucune réforme n'aurait lieu tant que des troupes russes demeureraient sur son sol.
Le premier ministre canadien Stephen Harper et son ministre des Affaires étrangères, Rob Nicholson, ont appuyé à plusieurs reprises la demande de retrait russe faite par M. Porochenko.
Le président russe fait preuve de fermeté alors qu'il devient de plus en plus clair que la solidarité entre les pays européens — essentielle au maintien des sanctions contre son pays — est mise à mal par la possibilité d'un changement de position grec.
La tentative russe de courtiser la Grèce est d'ailleurs devenue encore plus évidente vendredi après le discours du premier ministre Alexis Tsípras au Forum économique international de Saint-Pétersbourg. S'adressant à un parterre international de gens d'affaires, M. Tsípras a laissé entendre à mots couverts que son pays préparait le terrain en vue de quitter l'Union européenne pour se rapprocher de la Russie.
Il a expliqué que son pays était au centre d'une tempête, mais qu'il était prêt à l'affronter et à traverser «de nouvelles mers pour atteindre de nouveaux ports sûrs».
Vendredi, le ministre russe de l'Énergie a par ailleurs annoncé un accord de 2,77 milliards $ sur la prolongation d'un gazoduc russe en Grèce.
Re: Et en Russie !
La Grèce est un porte-conteneur à déchets toxiques au sein de l'UE. Nous n'avons pas fini de payer la dette grecque, financièrement et politiquement.Matt a écrit:La tentative russe de courtiser la Grèce est d'ailleurs devenue encore plus évidente vendredi après le discours du premier ministre Alexis Tsípras au Forum économique international de Saint-Pétersbourg. S'adressant à un parterre international de gens d'affaires, M. Tsípras a laissé entendre à mots couverts que son pays préparait le terrain en vue de quitter l'Union européenne pour se rapprocher de la Russie.
Il a expliqué que son pays était au centre d'une tempête, mais qu'il était prêt à l'affronter et à traverser «de nouvelles mers pour atteindre de nouveaux ports sûrs».
Vendredi, le ministre russe de l'Énergie a par ailleurs annoncé un accord de 2,77 milliards $ sur la prolongation d'un gazoduc russe en Grèce.
Il est évident que si la Grèce sort de l'euro, elle finira par sortir de l'UE, qui ne lèvera pas le petit doigt pour la renflouer financièrement. Tsipras et son équipe de ministres de pacotille font tout pour monter la population grecque contre l'UE et induire un sentiment de rejet de plus en plus vif contre les autres Etats européens, l'Allemagne en tête.
Après leur sortie de l'UE, les grecs continueront à faire ce qu'ils ont toujours fait : les larbins et le tourisme, une économie de larbins.
Thuramir- Messages : 3677
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: Et en Russie !
Thuramir a écrit:Après leur sortie de l'UE, les grecs continueront à faire ce qu'ils ont toujours fait : les larbins et le tourisme, une économie de larbins.
T'aimes pas beaucoup les Grecs on dirait XD
Tibo- Messages : 225
Date d'inscription : 07/05/2014
Re: Et en Russie !
Le problème de la Grèce, c'est qu'ils ont toujours mentis sur la situation (financière) du pays.
Du coup, il arrive le moment de payer l'addition . . . et on y est.
Tsipras peut dire ce qu'il veut . . . il y a une ardoise (héritée) qu'il faut payer.
Entre les slogans (pour son élection) et la réalité . . . il y a une marge . . . qu'il ne veut pas accepter.
Du coup . . . la situation actuelle.
Pense pas que Moscou pourra aider la Grèce, il y a trop de "marmites" sur le feu au Kremlin, à commencer par l'Ukraine.
Du coup, il arrive le moment de payer l'addition . . . et on y est.
Tsipras peut dire ce qu'il veut . . . il y a une ardoise (héritée) qu'il faut payer.
Entre les slogans (pour son élection) et la réalité . . . il y a une marge . . . qu'il ne veut pas accepter.
Du coup . . . la situation actuelle.
Pense pas que Moscou pourra aider la Grèce, il y a trop de "marmites" sur le feu au Kremlin, à commencer par l'Ukraine.
Re: Et en Russie !
Non, d'une manière générale, je n'aime pas les parasites, en effet. Cela vit aux dépens d'un organisme sain et cela l'affaiblit.Tibo a écrit:Thuramir a écrit:Après leur sortie de l'UE, les grecs continueront à faire ce qu'ils ont toujours fait : les larbins et le tourisme, une économie de larbins.
T'aimes pas beaucoup les Grecs on dirait XD
Thuramir- Messages : 3677
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: Et en Russie !
Un peu extrème, non?
La presse reçue au thé et caviar en Russie
SAINT-PÉTERSBOURG, Russie – Lorsque les dirigeants des principales agences de presse du monde se sont assis avec Vladimir Poutine au palais de Saint-Pétersbourg, l’an dernier, on leur a servi un somptueux repas de flet de Crimée, un menu choisi évidemment non seulement pour sa qualité gastronomique, mais aussi pour l’affirmation politique qu’il représentait.
Cette année, thé et caviar ont été servis sur le coup de minuit dans une bibliothèque aux murs de bois.
Le président russe venait de compléter une enfilade de rencontres en marge de son forum économique, un événement où il a également offert une période de questions modérée par le journaliste Charlie Rose de la CBS.
M. Poutine a présenté ses excuses pour son retard de quelques heures à la rencontre avec les dirigeants des agences de presse.
Les employés du président et les dirigeants de l’agence de nouvelles d’État ont occupé les journalistes par une visite des bibliothèques et archives présidentielles. La Presse Canadienne était présente, ainsi que The Associated Press et Reuters, entre autres.
Vladimir Poutine était détendu et de bonne humeur durant cette heure qui constituait une flagrante opération d’image publique, tant pour son pays que pour les nations étrangères, qui se font de plus en plus suspicieuses — pour ne pas dire hostiles — à son endroit.
Ce qui avait été, l’an dernier, une opération de charme effrontée s’est avérée plus sobre cette année.
Interrogé sur les critiques persistantes du premier ministre canadien, Stephen Harper, à propos de la présence russe en Ukraine et sur sa suggestion à l’effet qu’il soit banni à jamais du G8, M. Poutine a simplement répondu: «Je ne veux offenser personne».
Il a également démontré son habileté sur la scène internationale, en se montrant très séducteur à l’endroit de la Grèce — qui vit de grandes difficultés économiques — une ouverture qui, à tout le moins, fracture la façade solidaire de l’Union européenne.
«Si l’Union européenne veut que la Grèce paie ses dettes, elle devrait s’intéresser à développer l’économie grecque, pour l’aider à payer ses dettes», a-t-il déclaré, faisant référence à un projet d’oléoduc de 2,7 milliards $ annoncé durant son forum. «L’Union européenne devrait nous applaudir. Qu’y a-t-il de mal à créer des emplois en Grèce?»
Aucunement repentant pour le conflit en Ukraine malgré l’isolement économique et la marginalisation dont il fait l’objet, M. Poutine blâme le président ukrainien, Petro Porochenko, pour ne pas avoir effectué les réformes politiques promises dans l’accord de paix de Minsk. Il a aussi blâme l’Occident pour le «coup d’État» à Kiev.
«Est-ce qu’il y a eu de la corruption de la Russie pour avoir la Coupe du monde de soccer?», lui a demandé un journaliste.
«Si quiconque a des preuves, laissez-le les présenter. Nous avons gagné dans une bataille juste et nous allons recevoir la Coupe du monde», a-t-il répondu.
Le contrôle médiatique était flagrant durant la soirée, particulièrement lorsque la couverture en direct des événements a été coupée des ondes de la chaîne 24 Hour après une question embarrassante d’Agence France-Presse, sur la saisie des actifs du gouvernement russe en France et en Belgique en raison d’un litige sur l’ancien géant pétrolier Yukos. Il a fallu de longues minutes avant que l’écran vide ne soit remplacé.
Devant la presse russe et internationale, choquée de cette interruption, les employés de M. Poutine ont affirmé que «certains participants voulaient que ce soit une rencontre confidentielle». Lorsque l’absurdité que les dirigeants des agences de presse occidentales veuillent une rencontre à huis-clos a été soulevée, ils ont simplement haussé les épaules.
Bien la Russie poutinienne!!
La presse reçue au thé et caviar en Russie
SAINT-PÉTERSBOURG, Russie – Lorsque les dirigeants des principales agences de presse du monde se sont assis avec Vladimir Poutine au palais de Saint-Pétersbourg, l’an dernier, on leur a servi un somptueux repas de flet de Crimée, un menu choisi évidemment non seulement pour sa qualité gastronomique, mais aussi pour l’affirmation politique qu’il représentait.
Cette année, thé et caviar ont été servis sur le coup de minuit dans une bibliothèque aux murs de bois.
Le président russe venait de compléter une enfilade de rencontres en marge de son forum économique, un événement où il a également offert une période de questions modérée par le journaliste Charlie Rose de la CBS.
M. Poutine a présenté ses excuses pour son retard de quelques heures à la rencontre avec les dirigeants des agences de presse.
Les employés du président et les dirigeants de l’agence de nouvelles d’État ont occupé les journalistes par une visite des bibliothèques et archives présidentielles. La Presse Canadienne était présente, ainsi que The Associated Press et Reuters, entre autres.
Vladimir Poutine était détendu et de bonne humeur durant cette heure qui constituait une flagrante opération d’image publique, tant pour son pays que pour les nations étrangères, qui se font de plus en plus suspicieuses — pour ne pas dire hostiles — à son endroit.
Ce qui avait été, l’an dernier, une opération de charme effrontée s’est avérée plus sobre cette année.
Interrogé sur les critiques persistantes du premier ministre canadien, Stephen Harper, à propos de la présence russe en Ukraine et sur sa suggestion à l’effet qu’il soit banni à jamais du G8, M. Poutine a simplement répondu: «Je ne veux offenser personne».
Il a également démontré son habileté sur la scène internationale, en se montrant très séducteur à l’endroit de la Grèce — qui vit de grandes difficultés économiques — une ouverture qui, à tout le moins, fracture la façade solidaire de l’Union européenne.
«Si l’Union européenne veut que la Grèce paie ses dettes, elle devrait s’intéresser à développer l’économie grecque, pour l’aider à payer ses dettes», a-t-il déclaré, faisant référence à un projet d’oléoduc de 2,7 milliards $ annoncé durant son forum. «L’Union européenne devrait nous applaudir. Qu’y a-t-il de mal à créer des emplois en Grèce?»
Aucunement repentant pour le conflit en Ukraine malgré l’isolement économique et la marginalisation dont il fait l’objet, M. Poutine blâme le président ukrainien, Petro Porochenko, pour ne pas avoir effectué les réformes politiques promises dans l’accord de paix de Minsk. Il a aussi blâme l’Occident pour le «coup d’État» à Kiev.
«Est-ce qu’il y a eu de la corruption de la Russie pour avoir la Coupe du monde de soccer?», lui a demandé un journaliste.
«Si quiconque a des preuves, laissez-le les présenter. Nous avons gagné dans une bataille juste et nous allons recevoir la Coupe du monde», a-t-il répondu.
Le contrôle médiatique était flagrant durant la soirée, particulièrement lorsque la couverture en direct des événements a été coupée des ondes de la chaîne 24 Hour après une question embarrassante d’Agence France-Presse, sur la saisie des actifs du gouvernement russe en France et en Belgique en raison d’un litige sur l’ancien géant pétrolier Yukos. Il a fallu de longues minutes avant que l’écran vide ne soit remplacé.
Devant la presse russe et internationale, choquée de cette interruption, les employés de M. Poutine ont affirmé que «certains participants voulaient que ce soit une rencontre confidentielle». Lorsque l’absurdité que les dirigeants des agences de presse occidentales veuillent une rencontre à huis-clos a été soulevée, ils ont simplement haussé les épaules.
Bien la Russie poutinienne!!
Re: Et en Russie !
Pourtant, fait tout pour:
La Russie n'a pas l'intention de devenir une superpuissance
La Russie ne cherche pas à devenir une superpuissance, mais à développer des relations d'égalité avec les autres pays, a déclaré vendredi le président russe Vladimir Poutine.
"La Russie ne revendique pas d'hégémonie ou de statut de superpuissance éphémère", a déclaré M. Poutine lors du Forum économique international qui se déroule actuellement à Saint-Pétersbourg.
La Russie a commencé à protéger ses intérêts de manière résolue et obstinée, plutôt qu'agressive, a déclaré M. Poutine, avant d'ajouter que Moscou "souhaite des relations équitables avec tous les membres de la communauté internationale".
Tout en accusant les pays occidentaux d'avoir imposé leurs normes et modèles sur les autres pays, M. Poutine a indiqué que son pays agit toujours avec du respect mutuel et cherche des "solutions communes aux problèmes communs".
Se référant aux relations avec les Etats-Unis, M. Poutine a espéré que les efforts conjoints des deux pays dans la lutte contre les menaces communes, telles que le terrorisme et le trafic de drogues, pourraient servir de base pour la restauration des relations bilatérales.
Évoquant la crise en Ukraine, M. Poutine a rappelé que non seulement la Russie, mais aussi les pays occidentaux devraient exercer une influence sur les parties en conflit dans le pays, et que les accords signés en février devraient être mis en œuvre de manière complète afin de résoudre cette crise de manière pacifique et politique.
Alors que la Russie fait face aux sanctions de l'Occident pour son intervention présumée dans la crise en Ukraine, M. Poutine a insisté sur le fait que la pression politique ne devait pas influer sur la coopération commerciale et économique.
M. Poutine a souligné que cette guerre de sanctions inflige des dégâts à la fois à la Russie et l'Occident, mais que l'économie russe ne se trouve cependant pas dans un état catastrophique.
Dans un avenir proche, la Russie pourrait assurer une croissance économique d'un taux moyen global d'environ 3,5%, avec un taux de croissance de la productivité du travail annuelle de 5% et un taux d'inflation annuel de 4%, a-t-il indiqué.
Notant que le gouvernement russe essaie constamment de résoudre des problèmes économiques internes et de créer un climat d'affaires libéral et favorable, M. Poutine a déclaré que son pays était prêt à se développer avec tous les autres pays du monde sur une base de réciprocité.
Tu crois celle-là, t'en goberas d'autres . . .
La Russie n'a pas l'intention de devenir une superpuissance
La Russie ne cherche pas à devenir une superpuissance, mais à développer des relations d'égalité avec les autres pays, a déclaré vendredi le président russe Vladimir Poutine.
"La Russie ne revendique pas d'hégémonie ou de statut de superpuissance éphémère", a déclaré M. Poutine lors du Forum économique international qui se déroule actuellement à Saint-Pétersbourg.
La Russie a commencé à protéger ses intérêts de manière résolue et obstinée, plutôt qu'agressive, a déclaré M. Poutine, avant d'ajouter que Moscou "souhaite des relations équitables avec tous les membres de la communauté internationale".
Tout en accusant les pays occidentaux d'avoir imposé leurs normes et modèles sur les autres pays, M. Poutine a indiqué que son pays agit toujours avec du respect mutuel et cherche des "solutions communes aux problèmes communs".
Se référant aux relations avec les Etats-Unis, M. Poutine a espéré que les efforts conjoints des deux pays dans la lutte contre les menaces communes, telles que le terrorisme et le trafic de drogues, pourraient servir de base pour la restauration des relations bilatérales.
Évoquant la crise en Ukraine, M. Poutine a rappelé que non seulement la Russie, mais aussi les pays occidentaux devraient exercer une influence sur les parties en conflit dans le pays, et que les accords signés en février devraient être mis en œuvre de manière complète afin de résoudre cette crise de manière pacifique et politique.
Alors que la Russie fait face aux sanctions de l'Occident pour son intervention présumée dans la crise en Ukraine, M. Poutine a insisté sur le fait que la pression politique ne devait pas influer sur la coopération commerciale et économique.
M. Poutine a souligné que cette guerre de sanctions inflige des dégâts à la fois à la Russie et l'Occident, mais que l'économie russe ne se trouve cependant pas dans un état catastrophique.
Dans un avenir proche, la Russie pourrait assurer une croissance économique d'un taux moyen global d'environ 3,5%, avec un taux de croissance de la productivité du travail annuelle de 5% et un taux d'inflation annuel de 4%, a-t-il indiqué.
Notant que le gouvernement russe essaie constamment de résoudre des problèmes économiques internes et de créer un climat d'affaires libéral et favorable, M. Poutine a déclaré que son pays était prêt à se développer avec tous les autres pays du monde sur une base de réciprocité.
Tu crois celle-là, t'en goberas d'autres . . .
Александр- Messages : 5390
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Localisation : Leuven, België
Re: Et en Russie !
Information sur fond de difficultés économiques :
(Belga) La Russie a réduit son budget pour accueillir la Coupe du Monde 2018 de football d'environ 30 milliards de roubles, ce qui correspond à environ 500 millions d'euros, a annoncé le gouvernement russe lundi, alors que le pays se retrouve en pleine crise économique. Le nouveau budget, qui doit entre autres couvrir la construction ou la rénovation d'un total de 12 stades, est d'environ 630 milliards de roubles ou 10,3 milliards d'euros, selon une information postée sur le site officiel du gouvernement.
Le ministre russe des Sports, Vitaly Mutko, a assuré lundi aux médias d'Etat que la coupe dans le budget n'affecterait que des "aménagements superflus" liés aux stades, comme par exemple les centres d'entrainements, qui ne seront plus que trois au lieu de quatre autour de chaque stade.
L'économie russe doit faire face aux sanctions européennes liées à la crise en Ukraine, ainsi qu'aux prix bas du pétrole et à la chute du rouble par rapport à l'euro. Le spectre d'une enquête suisse au sujet de l'attribution à la Russie du Mondial de football, dans le cadre de soupçons de corruption, n'arrange rien.
(Belga) La Russie a réduit son budget pour accueillir la Coupe du Monde 2018 de football d'environ 30 milliards de roubles, ce qui correspond à environ 500 millions d'euros, a annoncé le gouvernement russe lundi, alors que le pays se retrouve en pleine crise économique. Le nouveau budget, qui doit entre autres couvrir la construction ou la rénovation d'un total de 12 stades, est d'environ 630 milliards de roubles ou 10,3 milliards d'euros, selon une information postée sur le site officiel du gouvernement.
Le ministre russe des Sports, Vitaly Mutko, a assuré lundi aux médias d'Etat que la coupe dans le budget n'affecterait que des "aménagements superflus" liés aux stades, comme par exemple les centres d'entrainements, qui ne seront plus que trois au lieu de quatre autour de chaque stade.
L'économie russe doit faire face aux sanctions européennes liées à la crise en Ukraine, ainsi qu'aux prix bas du pétrole et à la chute du rouble par rapport à l'euro. Le spectre d'une enquête suisse au sujet de l'attribution à la Russie du Mondial de football, dans le cadre de soupçons de corruption, n'arrange rien.
Thuramir- Messages : 3677
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: Et en Russie !
Pour autant qu'ils l'aient cette coupe du monde . . .
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
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Coupe du monde 2018
Thuramir a écrit:Information sur fond de difficultés économiques :
(Belga) La Russie a réduit son budget pour accueillir la Coupe du Monde 2018 de football d'environ 30 milliards de roubles, ce qui correspond à environ 500 millions d'euros, a annoncé le gouvernement russe lundi, alors que le pays se retrouve en pleine crise économique. Le nouveau budget, qui doit entre autres couvrir la construction ou la rénovation d'un total de 12 stades, est d'environ 630 milliards de roubles ou 10,3 milliards d'euros, selon une information postée sur le site officiel du gouvernement.
Le ministre russe des Sports, Vitaly Mutko, a assuré lundi aux médias d'Etat que la coupe dans le budget n'affecterait que des "aménagements superflus" liés aux stades, comme par exemple les centres d'entrainements, qui ne seront plus que trois au lieu de quatre autour de chaque stade.
L'économie russe doit faire face aux sanctions européennes liées à la crise en Ukraine, ainsi qu'aux prix bas du pétrole et à la chute du rouble par rapport à l'euro. Le spectre d'une enquête suisse au sujet de l'attribution à la Russie du Mondial de football, dans le cadre de soupçons de corruption, n'arrange rien.
Sur les 10.3 milliards d'euros, le tiers va partir en fumée pour les corrompus. Le pays est vérolé jusqu'au botoxé, et ce pauvre peuple chloroformisé ne voit rien comme d'habitude !
pyxous- Messages : 743
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Localisation : Normandie
Re: Et en Russie !
Surprenant? Non, bon c'est comme ça et tout le monde (sauf les russes) le sait.
La suite de la saga de la "volontaire" troll:
Russie : une "usine à trolls" pro-Kremlin devant la justice à Saint-Pétersbourg
Devant un juge ne veut pas dire justice en Russie, ça aussi on le sait.
La suite de la saga de la "volontaire" troll:
Russie : une "usine à trolls" pro-Kremlin devant la justice à Saint-Pétersbourg
Devant un juge ne veut pas dire justice en Russie, ça aussi on le sait.
Re: Et en Russie !
Caractère réciproque des sanctions, comme cela était prévisible :
(Belga) Le président russe Vladimir Poutine a ordonné mercredi la prolongation jusqu'en juin 2016 de l'embargo sur la plupart des produits alimentaires décrété par Moscou contre les pays occidentaux en réponse aux sanctions économiques à son encontre.
"Nous prolongeons nos mesures de représailles pour un an à commencer d'aujourd'hui", a affirmé M. Poutine, selon un communiqué du Kremlin, après en avoir été saisi par le gouvernement.
L'Union européenne a prolongé mardi, jusqu'à fin janvier 2016, les lourdes sanctions économiques décrétées contre la Russie pour son rôle présumé dans le conflit en Ukraine. Ces sanctions, qui frappent des pans entiers de l'économie russe, dont les secteurs des banques, de la défense et du pétrole, empêchés de se financer sur les marchés européens, arrivaient à expiration fin juillet.
Elles avaient été décrétées il y a près d'un an par les Européens après l'annexion de la Crimée par la Russie, également accusée de soutenir les combattants séparatistes dans l'est de l'Ukraine en leur fournissant des armes et en y déployant ses troupes régulières. En réponse, Moscou avait introduit en août 2014 un embargo sur la plupart des produits alimentaires en provenance des pays qui appliquent des sanctions à son encontre, qui affecte particulièrement les agriculteurs de l'UE. "Nous l'avons déjà dit à plusieurs reprises: dans les sanctions, il y a un principe, la réciprocité, et c'est notre approche", avait déjà prévenu lundi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
(Belga) Le président russe Vladimir Poutine a ordonné mercredi la prolongation jusqu'en juin 2016 de l'embargo sur la plupart des produits alimentaires décrété par Moscou contre les pays occidentaux en réponse aux sanctions économiques à son encontre.
"Nous prolongeons nos mesures de représailles pour un an à commencer d'aujourd'hui", a affirmé M. Poutine, selon un communiqué du Kremlin, après en avoir été saisi par le gouvernement.
L'Union européenne a prolongé mardi, jusqu'à fin janvier 2016, les lourdes sanctions économiques décrétées contre la Russie pour son rôle présumé dans le conflit en Ukraine. Ces sanctions, qui frappent des pans entiers de l'économie russe, dont les secteurs des banques, de la défense et du pétrole, empêchés de se financer sur les marchés européens, arrivaient à expiration fin juillet.
Elles avaient été décrétées il y a près d'un an par les Européens après l'annexion de la Crimée par la Russie, également accusée de soutenir les combattants séparatistes dans l'est de l'Ukraine en leur fournissant des armes et en y déployant ses troupes régulières. En réponse, Moscou avait introduit en août 2014 un embargo sur la plupart des produits alimentaires en provenance des pays qui appliquent des sanctions à son encontre, qui affecte particulièrement les agriculteurs de l'UE. "Nous l'avons déjà dit à plusieurs reprises: dans les sanctions, il y a un principe, la réciprocité, et c'est notre approche", avait déjà prévenu lundi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
Thuramir- Messages : 3677
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: Et en Russie !
Tu me donnes une claque, je t'en rend une . . .
Belle court d'école, ce qui démontre le niveau intellectuel des décideurs russes.
Belle court d'école, ce qui démontre le niveau intellectuel des décideurs russes.
Re: Et en Russie !
Juste pour le fun:
Steven Seagal est-il un agent de Vladimir Poutine ? [Photos]
L'acteur de films d'action et spécialiste d'arts martiaux Steven Seagal a-t-il servi d'intermédiaire entre la Maison Blanche et le Kremlin ? Et a-t-il joué le rôle d'agent secret pour le compte de son ami Poutine ? Un site américain d'information le pense...
Steven Seagal est-il un agent de Vladimir Poutine ? [Photos]
L'acteur de films d'action et spécialiste d'arts martiaux Steven Seagal a-t-il servi d'intermédiaire entre la Maison Blanche et le Kremlin ? Et a-t-il joué le rôle d'agent secret pour le compte de son ami Poutine ? Un site américain d'information le pense...
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
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Re: Et en Russie !
Geopolitical ambitions at the expense of local populations
Image du passé (G20 en Russie):
Tout le monde sait qu'il est "grand" sportif . . .
Pas si grand finalement
Mais bon, dans la misère il faut l'aide de Dieu.
Le guébiste a "LA" solution pour les hélicos de sauvetage:
Image du passé (G20 en Russie):
Tout le monde sait qu'il est "grand" sportif . . .
Pas si grand finalement
Mais bon, dans la misère il faut l'aide de Dieu.
Le guébiste a "LA" solution pour les hélicos de sauvetage:
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: Et en Russie !
Le parquet de Russie va vérifier la légalité de la reconnaissance de l'indépendance des républiques baltes
Генпрокуратура РФ проверит законность признания независимости республик Прибалтики
Z'en sont encore à refaire l'histoire . . .
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Александр- Messages : 5390
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Re: Et en Russie !
Le Comité d'enquête russe a annoncé mardi la réouverture d'une affaire remontant aux années 1990 sur le meurtre du maire d'une ville de Sibérie dont il soupçonne l'ex-oligarque et opposant russe Mikhaïl Khodorkovski.
"Il a été décidé de rouvrir l'enquête sur le meurtre en 1998 du maire (Vladimir Petoukhov, ndlr) de Nefteïougansk", une ville de Sibérie occidentale où était installée une ancienne filiale du groupe pétrolier Ioukos, alors propriété de M. Khodorkovski, a annoncé dans un communiqué le Comité d'enquête, l'organisation chargée d'enquêter sur les affaires importantes en Russie.
"Selon des informations obtenues par le Comité d'enquête, Mikhaïl Khodorkovski pourrait avoir personnellement commandité ce meurtre ainsi qu'un certain nombre d'autres crimes graves", précise le communiqué.
Les enquêteurs envisagent d'interroger des témoins et des suspects parmi lesquels se trouvera "très probablement Mikhaïl Khodorkovski", poursuit le communiqué. "Son absence du territoire russe ne sera pas un obstacle insurmontable", ajoute le document.
Contacté par l'AFP, Vadim Kliouvgant, l'avocat de M. Khodorkovski, a qualifié ces accusations de "fantaisistes".
Pour sa part, M. Khodorkovski a affirmé dans la soirée ne pas avoir peur d'éventuelles nouvelles poursuites.
"Les gars, vous pouvez rouvrir et inventer de nouvelles enquêtes, dépenser un argent fou pour les présentations de livres stupides sur moi (...) ou menacer mes partisans", a-t-il écrit sur sa page Facebook.
"Vous pouvez inventer encore un million de moyens de pression. JE NE M'ARRÊTERAI PAS. Il faut que vous les sachiez", a-t-il souligné.
Mikhaïl Khodorkovski, 52 ans, a passé près de dix ans en prison après son arrestation en 2003 pour "vol par escroquerie à grande échelle" et "évasion fiscale". Il a dénoncé son arrestation et sa détention comme ayant été une punition pour s'être opposé au président Vladimir Poutine.
Aujourd'hui en Suisse, l'ex-patron de Ioukos a lancé en septembre dernier le mouvement Open Russia, destiné à rassembler les forces pro-européennes en Russie, en vue notamment des élections législatives de 2016. Il n'a pas exclu de briguer la présidence du pays à la présidentielle de 2018.
Le groupe Ioukos, démantelé après l'arrestation en 2003 de M. Khodorkovski, a été vendu à la découpe en grande partie à Rosneft, société alors modeste devenue depuis l'un des premiers producteurs d'hydrocarbures du monde.
"Il a été décidé de rouvrir l'enquête sur le meurtre en 1998 du maire (Vladimir Petoukhov, ndlr) de Nefteïougansk", une ville de Sibérie occidentale où était installée une ancienne filiale du groupe pétrolier Ioukos, alors propriété de M. Khodorkovski, a annoncé dans un communiqué le Comité d'enquête, l'organisation chargée d'enquêter sur les affaires importantes en Russie.
"Selon des informations obtenues par le Comité d'enquête, Mikhaïl Khodorkovski pourrait avoir personnellement commandité ce meurtre ainsi qu'un certain nombre d'autres crimes graves", précise le communiqué.
Les enquêteurs envisagent d'interroger des témoins et des suspects parmi lesquels se trouvera "très probablement Mikhaïl Khodorkovski", poursuit le communiqué. "Son absence du territoire russe ne sera pas un obstacle insurmontable", ajoute le document.
Contacté par l'AFP, Vadim Kliouvgant, l'avocat de M. Khodorkovski, a qualifié ces accusations de "fantaisistes".
Pour sa part, M. Khodorkovski a affirmé dans la soirée ne pas avoir peur d'éventuelles nouvelles poursuites.
"Les gars, vous pouvez rouvrir et inventer de nouvelles enquêtes, dépenser un argent fou pour les présentations de livres stupides sur moi (...) ou menacer mes partisans", a-t-il écrit sur sa page Facebook.
"Vous pouvez inventer encore un million de moyens de pression. JE NE M'ARRÊTERAI PAS. Il faut que vous les sachiez", a-t-il souligné.
Mikhaïl Khodorkovski, 52 ans, a passé près de dix ans en prison après son arrestation en 2003 pour "vol par escroquerie à grande échelle" et "évasion fiscale". Il a dénoncé son arrestation et sa détention comme ayant été une punition pour s'être opposé au président Vladimir Poutine.
Aujourd'hui en Suisse, l'ex-patron de Ioukos a lancé en septembre dernier le mouvement Open Russia, destiné à rassembler les forces pro-européennes en Russie, en vue notamment des élections législatives de 2016. Il n'a pas exclu de briguer la présidence du pays à la présidentielle de 2018.
Le groupe Ioukos, démantelé après l'arrestation en 2003 de M. Khodorkovski, a été vendu à la découpe en grande partie à Rosneft, société alors modeste devenue depuis l'un des premiers producteurs d'hydrocarbures du monde.
Caduce62- Messages : 15239
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Re: Et en Russie !
La réponse à mon post d'hier:
Questioning Baltic independence: Russia prepares the ground for an invasion
A snapshot of a Russian TV show depicting the future Russian invasion of Europe.
Article by: Nicole Gallina
Just a few days ago, the Russian Prosecutor General found that the transfer of Crimea from the RSFSR to Ukraine in 1954 was unconstitutional – and now the same general prosecution is going to question the legality of the independence of the Baltic states.
Lithuania reacted quickly, and called it a provocation.
The Baltic states do all they can to prepare their citizens and military for a possible Russian military provocation. Besides, Lithuania is preparing the grounds to send weapons to Ukraine, and the Latvian military has been instructed by Ukraine on the principles of Russsian warfare.
The question is no longer if Russia will intervene military, the question only is when it will be.
The time is ripe for a Russian move: the support of the Russian president is at nearly 90%, Europe is ready for summer vacation, and Russia’s most important negotiation partner Germany has far more stakes in Greece (some 80 billion Euros) than in the Baltic states (the crashing of NATO which Germans do not support).
Et dans ce cas:
Le scénario d’une Troisième Guerre mondiale
Avec l’escalade des tensions entre les Nations unies et la Russie, l’éventualité d’une Troisième Guerre mondiale serait de plus en plus évidente.
Un Russe sur trois considérerait comme probable le risque d’une invasion américaine selon le centre de recherches sociologiques et de sondages russe indépendant Levada. De l’autre côté, les craintes de voir la Russie déclencher un conflit, comme ce fut le cas en Ukraine, s’accumulent. Plus pernicieuse encore, l’hypothèse qu’une guerre n’est désormais plus impossible, vingt-six ans après la fin de la Guerre froide. Cette idée vient de Fyodor Lukyanov, un analyste politique russe interrogé par Max Fisher, journaliste chez Vox, dans un article repéré par Reader.
Qui, où, quoi, comment?
Selon Vox, le lieu déclencheur le plus probable d’une guerre serait l’Estonie, le long de la frontière russe. Cette petite nation comprenant encore une large minorité russe, le scénario d’une invasion russe pourrait se répéter. Et, puisque ce pays fait partie de l’Otan, il serait donc protégé en cas d’agression.
Si les résultats paraissent un peu fantaisistes, ils ne sont pas à prendre à la légère. Les bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki par arme nucléaire en 1945 avaient déjà fait à eux seuls environ 150.000 morts.
Questioning Baltic independence: Russia prepares the ground for an invasion
A snapshot of a Russian TV show depicting the future Russian invasion of Europe.
Article by: Nicole Gallina
Just a few days ago, the Russian Prosecutor General found that the transfer of Crimea from the RSFSR to Ukraine in 1954 was unconstitutional – and now the same general prosecution is going to question the legality of the independence of the Baltic states.
Lithuania reacted quickly, and called it a provocation.
The Baltic states do all they can to prepare their citizens and military for a possible Russian military provocation. Besides, Lithuania is preparing the grounds to send weapons to Ukraine, and the Latvian military has been instructed by Ukraine on the principles of Russsian warfare.
The question is no longer if Russia will intervene military, the question only is when it will be.
The time is ripe for a Russian move: the support of the Russian president is at nearly 90%, Europe is ready for summer vacation, and Russia’s most important negotiation partner Germany has far more stakes in Greece (some 80 billion Euros) than in the Baltic states (the crashing of NATO which Germans do not support).
Et dans ce cas:
Le scénario d’une Troisième Guerre mondiale
Avec l’escalade des tensions entre les Nations unies et la Russie, l’éventualité d’une Troisième Guerre mondiale serait de plus en plus évidente.
Un Russe sur trois considérerait comme probable le risque d’une invasion américaine selon le centre de recherches sociologiques et de sondages russe indépendant Levada. De l’autre côté, les craintes de voir la Russie déclencher un conflit, comme ce fut le cas en Ukraine, s’accumulent. Plus pernicieuse encore, l’hypothèse qu’une guerre n’est désormais plus impossible, vingt-six ans après la fin de la Guerre froide. Cette idée vient de Fyodor Lukyanov, un analyste politique russe interrogé par Max Fisher, journaliste chez Vox, dans un article repéré par Reader.
Une thèse corroborée par un document rendu public lors de la conférence de l’Association de l’Armée des États-Unis en octobre 2014 dans lequel étaient envisagés plusieurs scénarios de guerre avec la Russie mais aussi avec la Chine ou encore l’Iran.«L’atmosphère tend à montrer que la guerre n’est plus quelque chose d’impossible. La question qu’il était impossible de se poser il y a quelques années, à savoir: “Va-t-il y avoir une guerre? Une vraie?” Cette question est de retour. Les gens la posent.»
Qui, où, quoi, comment?
Selon Vox, le lieu déclencheur le plus probable d’une guerre serait l’Estonie, le long de la frontière russe. Cette petite nation comprenant encore une large minorité russe, le scénario d’une invasion russe pourrait se répéter. Et, puisque ce pays fait partie de l’Otan, il serait donc protégé en cas d’agression.
Reste à savoir comment se déroulerait un tel conflit. Le média américain a donc évalué tous les scénarios possibles, résumé dans une infographie. Plusieurs résultats sont envisagés :«Les craintes sont que la Russie pourrait essayer d’exploiter ou d’attiser les tensions dans la communauté russe d’Estonie, comme elle l’a fait en 2014 dans l’est de l’Ukraine. Si une telle crise devait se produire, les membres de l’OTAN pourraient se diviser sur la question de l’intervention –résultant dans la dissolution de l’OTAN comme l’espère peut-être Vladimir Poutine– ou la violence pourrait tout simplement créer une guerre, même nucléaire.»
- Dissipation de la crise.
- Guerre, plusieurs millions de morts, victoire des États-Unis.
- Guerre, plusieurs millions de morts, domination de l’Europe par la Russie.
- Guerre, plusieurs millions de morts dans les deux camps, fin de la guerre.
- Destruction du monde, game over.
Si les résultats paraissent un peu fantaisistes, ils ne sont pas à prendre à la légère. Les bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki par arme nucléaire en 1945 avaient déjà fait à eux seuls environ 150.000 morts.
Александр- Messages : 5390
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Re: Et en Russie !
Ukraine, China speak out for need to reform UN Security Council
Ukraine and China are convinced of the need to reform the UN Security Council, according to the Ukrainian Foreign Ministry's policy and communication department.
Photo from flickr.com/photos/ flickr.com/photos/sanjit
This was discussed at a meeting between First Deputy Foreign Minister of Ukraine Natalia Galibarenko and Special Envoy of the Chinese Ministry of Foreign Affairs for UN Security Council reform Gāo Yushēng on Tuesday, the Ukrainian Foreign Ministry's policy and communication department told UNIAN.
The sides also touched upon bilateral and multilateral cooperation, focusing on cooperation within the United Nations and other international organizations, the department said in a statement.
"In view of the celebration of the 70th anniversary of the Organization this year, the sides agreed that there is the need for making its work more efficient, including through the reform of the UN Security Council," the statement reads.
According to Galibarenko, one of the signs that the UN Security Council needs to be reformed is the fact that it has failed to take effective measures to end Russian aggression against Ukraine, and Russia blatantly abuses its right of veto as a permanent member.
In turn, the Chinese side reaffirmed Beijing's continued support of Ukraine's territorial integrity and sovereignty. The Chinese envoy also supported the feasibility of broadening the representation of the Eastern European region in the UN Security Council, the Ukrainian Foreign Ministry said.
As UNIAN reported earlier, the Russian Foreign Ministry has strongly opposed the limitation of the UN Security Council's permanent members' right of veto because this right is the "guarantee that the taken decisions are balanced."
La Chine grande alliée de Moscou . . . qu'ils croyaient . . .
Ukraine and China are convinced of the need to reform the UN Security Council, according to the Ukrainian Foreign Ministry's policy and communication department.
Photo from flickr.com/photos/ flickr.com/photos/sanjit
This was discussed at a meeting between First Deputy Foreign Minister of Ukraine Natalia Galibarenko and Special Envoy of the Chinese Ministry of Foreign Affairs for UN Security Council reform Gāo Yushēng on Tuesday, the Ukrainian Foreign Ministry's policy and communication department told UNIAN.
The sides also touched upon bilateral and multilateral cooperation, focusing on cooperation within the United Nations and other international organizations, the department said in a statement.
"In view of the celebration of the 70th anniversary of the Organization this year, the sides agreed that there is the need for making its work more efficient, including through the reform of the UN Security Council," the statement reads.
According to Galibarenko, one of the signs that the UN Security Council needs to be reformed is the fact that it has failed to take effective measures to end Russian aggression against Ukraine, and Russia blatantly abuses its right of veto as a permanent member.
In turn, the Chinese side reaffirmed Beijing's continued support of Ukraine's territorial integrity and sovereignty. The Chinese envoy also supported the feasibility of broadening the representation of the Eastern European region in the UN Security Council, the Ukrainian Foreign Ministry said.
As UNIAN reported earlier, the Russian Foreign Ministry has strongly opposed the limitation of the UN Security Council's permanent members' right of veto because this right is the "guarantee that the taken decisions are balanced."
La Chine grande alliée de Moscou . . . qu'ils croyaient . . .
Александр- Messages : 5390
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Re: Et en Russie !
Jirinovski fidèle à lui-même: Il faudrait que les Pays Baltes organisent un référendum d'adhésion . . . à la Russie.
У країнах Балтії повинні пройти референдуми про приєднання до Росії - Жириновський
У країнах Балтії повинні пройти референдуми про приєднання до Росії - Жириновський
Александр- Messages : 5390
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Re: Et en Russie !
Les F-16 (belges) ont dérouté huit avions russes depuis janvier
Le ministre de la Défense, Steven Vandeput (N-VA)
Décoiffant, le comité d’accueil. Deux F-16 belges ont simulé l’interception en plein vol de l’avion gouvernemental transportant le ministre de la Défense, Steven Vandeput (N-VA). Un à gauche, un à droite. Quelques mètres seulement entre les ailes des appareils. Ensuite, après une fulgurante accélération, les F-16 étaient partis et laissaient l’avion se poser tranquillement sur la base militaire de Malbork, dans le nord de la Pologne, où le ministre était en visite ce mercredi.
Quatre chasseurs-bombardiers F-16 participent là, depuis le 5 janvier et jusqu’à la fin août, à l’opération de police aérienne de l’Otan "Enhanced Air Policing Mission", au-dessus de la mer Baltique. "C’est vraiment une police du ciel , décrit Jean-Marc (prénom d’emprunt), un pilote. On veille à ce que l’Otan garde sa souveraineté sur son territoire, qu’elle puisse contrôler qui entre ou s’approche de son espace aérien." Et la tension est méchamment montée dans la région, depuis l’annexion en mars 2014 de la Crimée, dans l’est de l’Ukraine, par les forces pro-russes.
A l’origine, l’opération "Baltic Air Policing" visait à assurer la protection de l’espace aérien de l’Estonie, de la Lituanie et de la Lettonie, trois pays qui n’ont pas de force aérienne propre. Mais avec la crise ukrainienne, l’Otan a décidé de considérablement renforcer la mission de base (et de la rebaptiser), en quadruplant ses capacités.
Entre "hot weeks" et QRA
Une semaine sur deux, lors des "hot weeks", ce sont les F-16 belges qui assurent la "Quick Reaction Alert" (QRA) depuis Malbork. Ils doivent être en mesure d’intercepter en un temps record tout avion suspect - c’est-à-dire sans plan de vol ou sourd aux injonctions des contrôleurs aériens - approchant de l’espace aérien balte. En six mois, les chasseurs belges ont effectué 14 interventions, dont 8 ont conduit à un contact visuel avec l’avion ciblé. A chaque fois, il s’agissait d’un appareil militaire russe…
"Les Russes sont très agressifs pour le moment, ils cherchent des failles dans le système de défense de l’Otan , commente le général-major Frederik Vansina, chef de la composante Air de l’armée. On est en train de revivre la guerre froide. Les gens, ici, sont très inquiets." "La partie aérienne reflète ce qui se passe au sol , complète le grand patron de la Défense, le général Gerard Van Caelenberge. Les Russes veulent se faire remarquer, ils veulent montrer leur puissance et leur présence. Ce sont des actions bien mesurées, qui sont davantage politiques que militaires."
Engagement improbable
La région est particulièrement sensible en raison de la petite enclave russe de Kaliningrad, située entre la Pologne et la Lituanie et qui offre à la Russie un espace aérien au-dessus de la mer Baltique. "Sur les 14 interventions, 10 ont eu lieu en mai et juin, notamment en raison d’un exercice militaire russe de grande ampleur , explique le chef du détachement belge à Malbork - fort de 49 personnes, dont 5 pilotes. Lorsqu’un avion suspect est détecté, notre rôle est de l’intercepter, de l’identifier et, si nécessaire, de l’escorter jusqu’à l’espace aérien russe."
"Pour le moment, les interceptions se sont toujours bien passées , reprend Jean-Marc, le pilote. Ils savent ce qu’on fait. D’ailleurs ils s’attendent à nous voir débarquer, ils nous testent un peu…" Et l’utilisation des armes ? "Ça, ce sont des ordres qui viennent d’en haut, ça ne dépend pas du pilote, sauf en cas d’autodéfense. En théorie, un engagement est possible, mais reste très improbable. Chacun connaît les conséquences que cela aurait." Du moins, c’est à espérer.
USA: oui, le très cher avion F-35 surclasse bien le robuste F-16
L'armée de l'air américaine a souligné mercredi que le tout nouveau et très coûteux avion de combat F-35 surclassait bien au combat le robuste et éprouvé F-16, malgré un témoignage de pilote très critique sur les capacités comparées des deux avions.
"Il y a eu de nombreuses occasions ou des groupes de F-35 ont engagé des groupes de F-16 en simulation de combat, et les F-35 ont gagné chacune de ces rencontres, grâce à leurs capteurs, leurs armements et leur technologie furtive", a précisé mercredi dans un communiqué l'armée de l'air (US Air Force). Le F-35 est le programme d'armement le plus cher de l'histoire américaine, avec un coût explosant à 390 milliards de dollars, sans compter quelque sept ans de retard.
Le site américain "War is Boring" a publié cette semaine le compte-rendu sévère d'un pilote de F-35 après un exercice de combat rapproché contre un F-16 en janvier en Californie. Les deux avions se sont livrés à une série de manoeuvres brutales pour tenter d'abattre au canon leur adversaire, mais le F-35 a constamment manqué "d'énergie" pour réaliser ces manoeuvres, perdant ainsi face au F-16, selon le compte-rendu.
L'armée de l'air n'a pas démenti le compte-rendu du pilote, mais a souligné que le combat rapproché ne figurait pas au programme théorique de cet avion furtif multitâches.
La technologie du F-35 "est destinée à engager, viser et abattre l'ennemi depuis de longues distances, pas nécessairement en situation de combat visuel", a précisé l'US Air Force. "Les tests opérationnels et de développement continuent. Il est trop tôt pour tirer des conclusions finales sur la capacité à manoeuvrer l'appareil", a également souligné le général Jeffrey Harrigian, chargé de l'intégration du F-35 au sein de l'US Air Force.
Le F-35 n'est pas encore en service dans les forces américaines. Les Marines devraient être la première force américaine à le déclarer opérationnel, peut-être dès cet été.
Le ministre de la Défense, Steven Vandeput (N-VA)
Décoiffant, le comité d’accueil. Deux F-16 belges ont simulé l’interception en plein vol de l’avion gouvernemental transportant le ministre de la Défense, Steven Vandeput (N-VA). Un à gauche, un à droite. Quelques mètres seulement entre les ailes des appareils. Ensuite, après une fulgurante accélération, les F-16 étaient partis et laissaient l’avion se poser tranquillement sur la base militaire de Malbork, dans le nord de la Pologne, où le ministre était en visite ce mercredi.
Quatre chasseurs-bombardiers F-16 participent là, depuis le 5 janvier et jusqu’à la fin août, à l’opération de police aérienne de l’Otan "Enhanced Air Policing Mission", au-dessus de la mer Baltique. "C’est vraiment une police du ciel , décrit Jean-Marc (prénom d’emprunt), un pilote. On veille à ce que l’Otan garde sa souveraineté sur son territoire, qu’elle puisse contrôler qui entre ou s’approche de son espace aérien." Et la tension est méchamment montée dans la région, depuis l’annexion en mars 2014 de la Crimée, dans l’est de l’Ukraine, par les forces pro-russes.
A l’origine, l’opération "Baltic Air Policing" visait à assurer la protection de l’espace aérien de l’Estonie, de la Lituanie et de la Lettonie, trois pays qui n’ont pas de force aérienne propre. Mais avec la crise ukrainienne, l’Otan a décidé de considérablement renforcer la mission de base (et de la rebaptiser), en quadruplant ses capacités.
Entre "hot weeks" et QRA
Une semaine sur deux, lors des "hot weeks", ce sont les F-16 belges qui assurent la "Quick Reaction Alert" (QRA) depuis Malbork. Ils doivent être en mesure d’intercepter en un temps record tout avion suspect - c’est-à-dire sans plan de vol ou sourd aux injonctions des contrôleurs aériens - approchant de l’espace aérien balte. En six mois, les chasseurs belges ont effectué 14 interventions, dont 8 ont conduit à un contact visuel avec l’avion ciblé. A chaque fois, il s’agissait d’un appareil militaire russe…
"Les Russes sont très agressifs pour le moment, ils cherchent des failles dans le système de défense de l’Otan , commente le général-major Frederik Vansina, chef de la composante Air de l’armée. On est en train de revivre la guerre froide. Les gens, ici, sont très inquiets." "La partie aérienne reflète ce qui se passe au sol , complète le grand patron de la Défense, le général Gerard Van Caelenberge. Les Russes veulent se faire remarquer, ils veulent montrer leur puissance et leur présence. Ce sont des actions bien mesurées, qui sont davantage politiques que militaires."
Engagement improbable
La région est particulièrement sensible en raison de la petite enclave russe de Kaliningrad, située entre la Pologne et la Lituanie et qui offre à la Russie un espace aérien au-dessus de la mer Baltique. "Sur les 14 interventions, 10 ont eu lieu en mai et juin, notamment en raison d’un exercice militaire russe de grande ampleur , explique le chef du détachement belge à Malbork - fort de 49 personnes, dont 5 pilotes. Lorsqu’un avion suspect est détecté, notre rôle est de l’intercepter, de l’identifier et, si nécessaire, de l’escorter jusqu’à l’espace aérien russe."
"Pour le moment, les interceptions se sont toujours bien passées , reprend Jean-Marc, le pilote. Ils savent ce qu’on fait. D’ailleurs ils s’attendent à nous voir débarquer, ils nous testent un peu…" Et l’utilisation des armes ? "Ça, ce sont des ordres qui viennent d’en haut, ça ne dépend pas du pilote, sauf en cas d’autodéfense. En théorie, un engagement est possible, mais reste très improbable. Chacun connaît les conséquences que cela aurait." Du moins, c’est à espérer.
USA: oui, le très cher avion F-35 surclasse bien le robuste F-16
L'armée de l'air américaine a souligné mercredi que le tout nouveau et très coûteux avion de combat F-35 surclassait bien au combat le robuste et éprouvé F-16, malgré un témoignage de pilote très critique sur les capacités comparées des deux avions.
"Il y a eu de nombreuses occasions ou des groupes de F-35 ont engagé des groupes de F-16 en simulation de combat, et les F-35 ont gagné chacune de ces rencontres, grâce à leurs capteurs, leurs armements et leur technologie furtive", a précisé mercredi dans un communiqué l'armée de l'air (US Air Force). Le F-35 est le programme d'armement le plus cher de l'histoire américaine, avec un coût explosant à 390 milliards de dollars, sans compter quelque sept ans de retard.
Le site américain "War is Boring" a publié cette semaine le compte-rendu sévère d'un pilote de F-35 après un exercice de combat rapproché contre un F-16 en janvier en Californie. Les deux avions se sont livrés à une série de manoeuvres brutales pour tenter d'abattre au canon leur adversaire, mais le F-35 a constamment manqué "d'énergie" pour réaliser ces manoeuvres, perdant ainsi face au F-16, selon le compte-rendu.
L'armée de l'air n'a pas démenti le compte-rendu du pilote, mais a souligné que le combat rapproché ne figurait pas au programme théorique de cet avion furtif multitâches.
La technologie du F-35 "est destinée à engager, viser et abattre l'ennemi depuis de longues distances, pas nécessairement en situation de combat visuel", a précisé l'US Air Force. "Les tests opérationnels et de développement continuent. Il est trop tôt pour tirer des conclusions finales sur la capacité à manoeuvrer l'appareil", a également souligné le général Jeffrey Harrigian, chargé de l'intégration du F-35 au sein de l'US Air Force.
Le F-35 n'est pas encore en service dans les forces américaines. Les Marines devraient être la première force américaine à le déclarer opérationnel, peut-être dès cet été.
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