Et après?
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Re: Et après?
Matt a écrit:Ben sur la photo de Groysman, la couche (finale?) ne fait pas plus de 5 cm.
Bon, on ne sait pas ce qu'il y a en dessous, mais je crains qu'ils "rognent".
Si c'est pour faire plus de km, ok, par contre s'il met en poche . . .
Cela, c'est précisément le problème des routes ukrainiennes. Les entrepreneurs et les donneurs d'ordre empochent de très confortables sommes d'argent au détriment de la qualité et de la durabilité des routes. Ce qui a pour conséquence que les routes sont réasphaltées année après année...
Thuramir- Messages : 3676
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: Et après?
Thuramir a écrit:Matt a écrit:Ben sur la photo de Groysman, la couche (finale?) ne fait pas plus de 5 cm.
Bon, on ne sait pas ce qu'il y a en dessous, mais je crains qu'ils "rognent".
Si c'est pour faire plus de km, ok, par contre s'il met en poche . . .
Cela, c'est précisément le problème des routes ukrainiennes. Les entrepreneurs et les donneurs d'ordre empochent de très confortables sommes d'argent au détriment de la qualité et de la durabilité des routes. Ce qui a pour conséquence que les routes sont réasphaltées année après année...
pas grave, c'est l'argent du FMI faut bien qu'il serve à quelque chose puisqu'il y a peu de contrôle en retour
pyxous- Messages : 743
Date d'inscription : 03/01/2015
Age : 73
Localisation : Normandie
Re: Et après?
Ben si justement!!
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: Et après?
pyxous a écrit:Thuramir a écrit:Matt a écrit:Ben sur la photo de Groysman, la couche (finale?) ne fait pas plus de 5 cm.
Bon, on ne sait pas ce qu'il y a en dessous, mais je crains qu'ils "rognent".
Si c'est pour faire plus de km, ok, par contre s'il met en poche . . .
Cela, c'est précisément le problème des routes ukrainiennes. Les entrepreneurs et les donneurs d'ordre empochent de très confortables sommes d'argent au détriment de la qualité et de la durabilité des routes. Ce qui a pour conséquence que les routes sont réasphaltées année après année...
pas grave, c'est l'argent du FMI faut bien qu'il serve à quelque chose puisqu'il y a peu de contrôle en retour
C'est au contraire très grave ! C'est justement cet état de fait qui alimente les sentiments populistes et antidémocratiques des électeurs.
Thuramir- Messages : 3676
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: Et après?
Je souhaite simplement préciser que le FMI, la BM, l'UE et les autres pays occidentaux prêtent de l'argent à 'Ukraine, mais qu'ils ne financent pas directement des projets nationaux comme ç'a été le cas dans les pays intégrés à l'UE : Pologne ou Roumanie, par ex.
Donc, c'est l'état Ukrainien qui est seul responsable de la bonne utilisation - ou pas - de ces fonds et les institutions prêteuses de deniers n'y ont aucun droit de regard (sauf) programmes spécifiques dédiés...
Cependant, ils va sans dire que ces diverses institutions y regardent désormais à deux fois et sont de plus en plus réticentes à financer un "tonneau des danaïdes" en Ukraine et Poroshenko va devoir donner des sérieuses garanties de changement, désormais...
Donc, c'est l'état Ukrainien qui est seul responsable de la bonne utilisation - ou pas - de ces fonds et les institutions prêteuses de deniers n'y ont aucun droit de regard (sauf) programmes spécifiques dédiés...
Cependant, ils va sans dire que ces diverses institutions y regardent désormais à deux fois et sont de plus en plus réticentes à financer un "tonneau des danaïdes" en Ukraine et Poroshenko va devoir donner des sérieuses garanties de changement, désormais...
Krispoluk- Messages : 9781
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: Et après?
C'est ce qui est exigé par l'UE et le FMI: réformes et lutte anti-corruption.
Plus contrôle des budgets et destination des fonds publiques.
Plus contrôle des budgets et destination des fonds publiques.
Re: Et après?
Matt a écrit:C'est ce qui est exigé par l'UE et le FMI: réformes et lutte anti-corruption.
Plus contrôle des budgets et destination des fonds publiques.
ça c'est sur le papier, mais en réalité et depuis 2 ans le peuple ne voit pas grand chose venir et la coté de popularité du président est en chute libre;
il faudra encore une décennie et d'autres secousses pour apercevoir un vrai réformateur et un changement à la tête du pays
pyxous- Messages : 743
Date d'inscription : 03/01/2015
Age : 73
Localisation : Normandie
Re: Et après?
Encore une bonne nouvelle pour les ukrainiens !
Inflation in Ukraine accelerates to 3.5% in April
Inflation in Ukraine in April 2016 to March 2016 sped up to 3.5% compared with the 1% March to February, according to the website of the State Statistics Service.
In annual terms, the inflation in April 2016 slowed down to 9.8% yoy from 20.9% recorded the previous month.
Since the year-start, in January-April 2106, consumer prices have risen 5.1%.
According to the data released, April saw prices increased most for natural gas - by 48.4%, fuel and oil - by 5.4%, and railway passenger transport - by 3.3% compared to the previous month
In annual terms, the biggest increase in prices was for hot water and central heating - by 77.7%, electricity - by 56.4%, water supply - by 37.2%.
The greatest decline in prices in April to March was recorded for eggs (15.2%), sugar (2.7%), and vegetables (2.1%).
In annual terms, the largest decline in prices was also recorded for eggs (15.2%), as well as fruits (10.4%), fuel and oil (1.9%).
State Statistics said that the data exclude the occupied Crimea and Sevastopol, as well as part of the zone of the Anti-Terrorist Operation in the country's east.
The National Bank of Ukraine predicted a slowdown in consumer price inflation in Ukraine down to 12% by the end 2016, while the International Monetary Fundforecast 15.1%, and the World Bank - 15%.
According to the expert consensus forecast compiled by UNIAN, inflation this year will slow to 19%.
State Budget of Ukraine for 2016 assumes an annual inflation rate of 12%, and the hryvnia exchange rate of about UAH 24.1 per dollar.
pyxous- Messages : 743
Date d'inscription : 03/01/2015
Age : 73
Localisation : Normandie
Re: Et après?
Matt a écrit:Une chose me console, c'est qu'en Russie, pays agresseur, la situation est bien pire.
Peut-être, mais le malheur des uns ne fait pas nécessairement le bonheur des autres.
Thuramir- Messages : 3676
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: Et après?
pyxous a écrit:Encore une bonne nouvelle pour les ukrainiens !Inflation in Ukraine accelerates to 3.5% in April
Attention ! Toutes choses étant toujours relatives par ailleurs La hausse très forte des prix sur Avril s'explique quasi exclusivement par l'impact de l'opération "vérité des prix" sur l'énergie : gaz, électricité, imposée par le FMI. C'est un mauvais chiffre qui n'a pas vocation à être redondant (enfin, on l'espère...)
A contrario, l'inflation sur une année glissante, s'établissant à 10-12%, n'est pas un chiffre dramatique en soi. C'est juste l'impact de l'inflation importée. Ne pas oublier la grosse dégringolade de la gryvnia depuis 2 ans. Quand la monnaie dégringole par rapport au $, on paye tous les articles d'importations plus cher : voitures, électronique, appareils électro- ménager. Accessoirement bières belges et fromages français
Bonne nouvelle apparente : le cours de la Gryvnia est remonté depuis son plus bas de février : 25 contre 27, face au dollar.
Donc le marché international "joue" le redressement économique de l'Ukraine pour l'instant. A Groïsman de faire ses preuves
Krispoluk- Messages : 9781
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: Et après?
Je poste ici pour ne pas ouvrir un nouveau sujet et il se rapporte au futur de l'Ukraine aussi:
"L'Europe est un choix Existentiel"
En Europe, une partie croissante de l’opinion dénonce Bruxelles et ses institutions. En Angleterre, les pro et anti-Brexit sont au coude-à-coude. Pourquoi votre pays cherche-t-il à tout prix à rejoindre cette Europe que l’on décrit en crise ?
Guiorgui Margvelachvili : Le processus d’intégration européenne de la Géorgie ne dépend pas des aléas de l’actualité et du court terme. Le projet européen de mon peuple est une décision politique qui s’inscrit dans la longue histoire de mon pays. Cela a débuté par la conversion au christianisme, dès le IVe siècle, un processus religieux qui a également orienté notre pays vers l’ouest.
Chez nous, la question de savoir si c’est le bon moment ou non pour intégrer l’Union ne se pose pas. L’Europe est un choix existentiel. Le rapprochement actuel aboutira naturellement à une intégration complète.
Vous parlez de choix existentiel. Mais votre pays pourrait aussi opter pour l’espace eurasiatique mis en place par la Russie avec d’anciennes républiques soviétiques ?
G. M. : Je ne suis pas en mesure de changer le choix des Géorgiens décidé il y a seize siècles, ni la détermination de mes concitoyens. Quant à la Russie, elle reste ambivalente par rapport à l’Europe. Elle a connu des périodes où elle était très clairement orientée vers l’ouest, au XIXe siècle par exemple. À cette époque, les Géorgiens se formaient aux idées et aux valeurs européennes à travers les universités russes.
Pour beaucoup d’observateurs, la guerre entre la Russie et la Géorgie, marquée par la perte de nouveaux territoires au profit des provinces séparatistes d’Abkhazie et d’Ossétie du Sud, est une conséquence de ce rapprochement avec l’Occident. N’est-ce pas un prix trop élevé ?
G. M. : Pour tout pays qui a l’ambition d’être indépendant, la liberté est une valeur suprême. Or, les dirigeants russes n’ont jamais accepté que leur ancienne république soviétique prenne son destin en main. À mon sens, nos problèmes territoriaux n’ont pas de liens directs avec notre orientation européenne. Ils sont liés à notre volonté de mener une politique réellement indépendante de Moscou.
Qu’est-ce que vos concitoyens attendent de l’Europe ?
G. M. : Nous attendons plus d’intégration en matière de libre-échange, la libéralisation des visas ainsi qu’une meilleure coopération bilatérale, des mécanismes prévus dans le cadre du partenariat oriental. Nous espérons aussi que l’Union européenne puisse s’impliquer davantage sur la question des territoires occupés abkhazes et ossètes. Nous accordons beaucoup d’importance à la mission d’observation de l’UE sur la ligne de démarcation.
> À lire : Les candidats à l’Europe, entre espoir et déception
La construction européenne est exemplaire à ce titre. Trois décennies après la fin de la Seconde Guerre mondiale, elle a su se réconcilier autour d’un projet commun. Un projet qui a ses contraintes et ses difficultés, mais qui a créé une communauté de citoyens longtemps divisés.
Pourquoi les Européens devraient-ils accepter l’intégration de la Géorgie ?
G. M. : Le Caucase est une artère essentielle entre les économies asiatiques et européennes, en particulier sur le plan énergétique, alors que les voies sud et nord sont plus incertaines. Le Moyen-Orient reste en effet profondément déstabilisé, tandis que la Russie confond économie et politique, ce qui entraîne des risques pour les affaires.
Les dirigeants du vieux continent doivent prendre conscience à quel point le Caucase est important dans le cadre de la coopération euroasiatique. En outre, la Géorgie forte d’une histoire multimillénaire au carrefour de l’Orient et de l’Occident, pourrait servir de lien entre ces deux continents.
> À (re) lire : Guiorgui Margvelachvili, un président « normal » pour la Géorgie
Dans votre pays, l’opinion publique est travaillée par les partisans de Moscou. Votre politique pro-européenne pourrait-elle en être remise en cause ?
G. M. : Bien sûr, il existe des groupes de pression et d’intérêts pro-russes actifs dans mon pays, ainsi qu’un pourcentage assez stable d’opposants au rapprochement avec l’Union européenne. Il s’agit plus souvent d’un discours eurosceptique visant à décrier l’Europe que de messages ouvertement pro-russes. À leur rhétorique, nous opposons un dialogue plus fructueux avec les dirigeants européens.
"L'Europe est un choix Existentiel"
Tout comme la Moldavie et l’Ukraine, la Géorgie a conclu avec l’Union européenne un accord d’association pour la mise en place d’une zone de libre-échange en septembre 2014. De passage à Paris, entretien avec Guiorgui Margvelachvili, président de la petite république du Caucase, qui défend son attachement à l’Europe.
En Europe, une partie croissante de l’opinion dénonce Bruxelles et ses institutions. En Angleterre, les pro et anti-Brexit sont au coude-à-coude. Pourquoi votre pays cherche-t-il à tout prix à rejoindre cette Europe que l’on décrit en crise ?
Guiorgui Margvelachvili : Le processus d’intégration européenne de la Géorgie ne dépend pas des aléas de l’actualité et du court terme. Le projet européen de mon peuple est une décision politique qui s’inscrit dans la longue histoire de mon pays. Cela a débuté par la conversion au christianisme, dès le IVe siècle, un processus religieux qui a également orienté notre pays vers l’ouest.
Chez nous, la question de savoir si c’est le bon moment ou non pour intégrer l’Union ne se pose pas. L’Europe est un choix existentiel. Le rapprochement actuel aboutira naturellement à une intégration complète.
Vous parlez de choix existentiel. Mais votre pays pourrait aussi opter pour l’espace eurasiatique mis en place par la Russie avec d’anciennes républiques soviétiques ?
G. M. : Je ne suis pas en mesure de changer le choix des Géorgiens décidé il y a seize siècles, ni la détermination de mes concitoyens. Quant à la Russie, elle reste ambivalente par rapport à l’Europe. Elle a connu des périodes où elle était très clairement orientée vers l’ouest, au XIXe siècle par exemple. À cette époque, les Géorgiens se formaient aux idées et aux valeurs européennes à travers les universités russes.
Pour beaucoup d’observateurs, la guerre entre la Russie et la Géorgie, marquée par la perte de nouveaux territoires au profit des provinces séparatistes d’Abkhazie et d’Ossétie du Sud, est une conséquence de ce rapprochement avec l’Occident. N’est-ce pas un prix trop élevé ?
G. M. : Pour tout pays qui a l’ambition d’être indépendant, la liberté est une valeur suprême. Or, les dirigeants russes n’ont jamais accepté que leur ancienne république soviétique prenne son destin en main. À mon sens, nos problèmes territoriaux n’ont pas de liens directs avec notre orientation européenne. Ils sont liés à notre volonté de mener une politique réellement indépendante de Moscou.
Qu’est-ce que vos concitoyens attendent de l’Europe ?
G. M. : Nous attendons plus d’intégration en matière de libre-échange, la libéralisation des visas ainsi qu’une meilleure coopération bilatérale, des mécanismes prévus dans le cadre du partenariat oriental. Nous espérons aussi que l’Union européenne puisse s’impliquer davantage sur la question des territoires occupés abkhazes et ossètes. Nous accordons beaucoup d’importance à la mission d’observation de l’UE sur la ligne de démarcation.
> À lire : Les candidats à l’Europe, entre espoir et déception
La construction européenne est exemplaire à ce titre. Trois décennies après la fin de la Seconde Guerre mondiale, elle a su se réconcilier autour d’un projet commun. Un projet qui a ses contraintes et ses difficultés, mais qui a créé une communauté de citoyens longtemps divisés.
Pourquoi les Européens devraient-ils accepter l’intégration de la Géorgie ?
G. M. : Le Caucase est une artère essentielle entre les économies asiatiques et européennes, en particulier sur le plan énergétique, alors que les voies sud et nord sont plus incertaines. Le Moyen-Orient reste en effet profondément déstabilisé, tandis que la Russie confond économie et politique, ce qui entraîne des risques pour les affaires.
Les dirigeants du vieux continent doivent prendre conscience à quel point le Caucase est important dans le cadre de la coopération euroasiatique. En outre, la Géorgie forte d’une histoire multimillénaire au carrefour de l’Orient et de l’Occident, pourrait servir de lien entre ces deux continents.
> À (re) lire : Guiorgui Margvelachvili, un président « normal » pour la Géorgie
Dans votre pays, l’opinion publique est travaillée par les partisans de Moscou. Votre politique pro-européenne pourrait-elle en être remise en cause ?
G. M. : Bien sûr, il existe des groupes de pression et d’intérêts pro-russes actifs dans mon pays, ainsi qu’un pourcentage assez stable d’opposants au rapprochement avec l’Union européenne. Il s’agit plus souvent d’un discours eurosceptique visant à décrier l’Europe que de messages ouvertement pro-russes. À leur rhétorique, nous opposons un dialogue plus fructueux avec les dirigeants européens.
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: Et après?
Très lucide cet homme ! Une vision claire et équilibrée des choses Ca nous change des conneries qu'on peut entendre d'un côté et de l'autre
Krispoluk- Messages : 9781
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: Et après?
La position de la Géorgie est beaucoup moins claire qu'il n'y paraît : http://www.liberation.fr/planete/2013/11/26/georgie-staline-pope-star_962219
Ce pays devrait commencer par arrêter de sanctifier et par condamner son génocidaire international, Joseph Staline, du plus pur jus géorgien.
Ce pays devrait commencer par arrêter de sanctifier et par condamner son génocidaire international, Joseph Staline, du plus pur jus géorgien.
Thuramir- Messages : 3676
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: Et après?
Ca, c'est l'héritage du passé.
On sait ce que Staline valait. Au moins, on peut lui laisser qu'il pouvait avoir bon goût.
Comme moi, il aimait le Stinandali vin blanc géorgien au très bon goût.
Au moins leur vision du futur est claire et orientée vers l'UE.
On sait ce que Staline valait. Au moins, on peut lui laisser qu'il pouvait avoir bon goût.
Comme moi, il aimait le Stinandali vin blanc géorgien au très bon goût.
Au moins leur vision du futur est claire et orientée vers l'UE.
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: Et après?
Thuramir a écrit:La position de la Géorgie est beaucoup moins claire qu'il n'y paraît : http://www.liberation.fr/planete/2013/11/26/georgie-staline-pope-star_962219
Ce pays devrait commencer par arrêter de sanctifier et par condamner son génocidaire international, Joseph Staline, du plus pur jus géorgien. :twisted:O
Ouais, je sais bien mais comme c'est "l'enfant du pays", y'a rien à faire ! Il faut qu'il continuent à fleurir sa statue à Tbilissi
C'est comme Sadaam Hussein à Tikrit
Krispoluk- Messages : 9781
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: Et après?
Александр a écrit:Ca, c'est l'héritage du passé.
On sait ce que Staline valait. Au moins, on peut lui laisser qu'il pouvait avoir bon goût.
Comme moi, il aimait le Stinandali vin blanc géorgien au très bon goût.
Au moins leur vision du futur est claire et orientée vers l'UE.
Il n'y a pas de place dans l'UE pour un pays qui encense un génocidaire international.
Thuramir- Messages : 3676
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: Et après?
Thuramir a écrit:
Il n'y a pas de place dans l'UE pour un pays qui encense un génocidaire international.
Le Procureur implacable de Bruxelles vient encore de prononcer un réquisitoire impitoyable Oui, je sais, il n'est pas procureur
Krispoluk- Messages : 9781
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: Et après?
Several clashes took place in Kyiv due to St. George’s ribbons
More than 100 people attended the rally. They brought photos of their relatives who took part in World War II, Censor.NET reports citing 112 Ukraine TV channel.
One of the activists noticed a woman with St. George's ribbon carrying red flag and demanded to take the ribbon away. A fight ensued between them. The police have taken the man from the crowd in order to avoid further escalation. They also confiscated the red flag from the woman.
Another woman brought a portrait of Soviet Union Secretary General Joseph Stalin and was shouting: "Glory to great Stalin!"
The rally participants headed to the Tomb of the Unknown Soldier. However, the people with St. George's ribbons and banned communist symbols also came there.
Watch more: Turmoil in Kharkiv: people wearing St. George's ribbons denied access to Memorial of Glory. VIDEO+PHOTOS
Several people with red and black flags (Right Sector) came to the Park Slavy and put up several minor clashes after the pro-Russian Immortal regiment rally started near the Arsenalna metro station at 11 a.m. They prevented the people with St. George's ribbons and communist symbols from laying flowers to the Eternal Flame.
Several young people tried to burn St. George's ribbons near the Eternal Glory Obelisk. The law enforcers managed to force them back and surround. Several people fled.
Opposition bloc party leader Yurii Boiko also arrived to lay flowers to the Tomb of the Unknown Soldier.
The rallies dedicated to the Day of Victory in World War II and Day of Remembrance and Reconciliation are held in Kyiv and other Ukrainian cities on May 9.
More than 100 people attended the rally. They brought photos of their relatives who took part in World War II, Censor.NET reports citing 112 Ukraine TV channel.
One of the activists noticed a woman with St. George's ribbon carrying red flag and demanded to take the ribbon away. A fight ensued between them. The police have taken the man from the crowd in order to avoid further escalation. They also confiscated the red flag from the woman.
Another woman brought a portrait of Soviet Union Secretary General Joseph Stalin and was shouting: "Glory to great Stalin!"
The rally participants headed to the Tomb of the Unknown Soldier. However, the people with St. George's ribbons and banned communist symbols also came there.
Watch more: Turmoil in Kharkiv: people wearing St. George's ribbons denied access to Memorial of Glory. VIDEO+PHOTOS
Several people with red and black flags (Right Sector) came to the Park Slavy and put up several minor clashes after the pro-Russian Immortal regiment rally started near the Arsenalna metro station at 11 a.m. They prevented the people with St. George's ribbons and communist symbols from laying flowers to the Eternal Flame.
Several young people tried to burn St. George's ribbons near the Eternal Glory Obelisk. The law enforcers managed to force them back and surround. Several people fled.
Opposition bloc party leader Yurii Boiko also arrived to lay flowers to the Tomb of the Unknown Soldier.
The rallies dedicated to the Day of Victory in World War II and Day of Remembrance and Reconciliation are held in Kyiv and other Ukrainian cities on May 9.
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: Et après?
La Chine et l'Ukraine décident de faciliter les voyages entre les deux pays
KIEV, 11 mai (Xinhua) -- La Chine et l'Ukraine ont accepté de faciliter les voyages entre les deux pays pour promouvoir le commerce et le tourisme, ont rapporté mercredi les médias locaux.
L'accord a été atteint mardi pendant des consultations entre l'Ukraine et la Chine sur des questions consulaires au niveau des chefs des services consulaires, selon un communiqué du ministère ukrainien des Affaires étrangères.
"Les deux parties ont atteint un accord de principe sur la mise en place des mesures pratiques pour la simplification réciproque du régime des voyages, développé une feuille de route pour les actions conjointes en matière de libéralisation des procédures de visas et un plan pour la coopération efficace des autorités impliquées des deux parties pour apporter une assistance appropriée aux citoyens à l'étranger", a indiqué le communiqué.
D'après le ministère ukrainien du Développement économique et du Commerce, plus de 11.000 citoyens chinois ont visité l'Ukraine en 2015, comparé à environ 5.000 en 2014.
Des petits pas qui prouvent que le pays est en train de changer, un pays qui s'ouvre vers l'extérieur est un pays qui pense à son avenir
KIEV, 11 mai (Xinhua) -- La Chine et l'Ukraine ont accepté de faciliter les voyages entre les deux pays pour promouvoir le commerce et le tourisme, ont rapporté mercredi les médias locaux.
L'accord a été atteint mardi pendant des consultations entre l'Ukraine et la Chine sur des questions consulaires au niveau des chefs des services consulaires, selon un communiqué du ministère ukrainien des Affaires étrangères.
"Les deux parties ont atteint un accord de principe sur la mise en place des mesures pratiques pour la simplification réciproque du régime des voyages, développé une feuille de route pour les actions conjointes en matière de libéralisation des procédures de visas et un plan pour la coopération efficace des autorités impliquées des deux parties pour apporter une assistance appropriée aux citoyens à l'étranger", a indiqué le communiqué.
D'après le ministère ukrainien du Développement économique et du Commerce, plus de 11.000 citoyens chinois ont visité l'Ukraine en 2015, comparé à environ 5.000 en 2014.
Des petits pas qui prouvent que le pays est en train de changer, un pays qui s'ouvre vers l'extérieur est un pays qui pense à son avenir
pyxous- Messages : 743
Date d'inscription : 03/01/2015
Age : 73
Localisation : Normandie
Re: Et après?
Certain ça!
Résumé en une image:
Résumé en une image:
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: Et après?
c'est pas vrai ! il y a de la triche !!Александр a écrit:Certain ça!
Résumé en une image:
benoit77- Messages : 2859
Date d'inscription : 17/09/2014
Re: Et après?
Pas du tout!
Tu as vus la source?
Tu as vus la source?
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: Et après?
si si il y a de la triche : hong kong est cité 2 fois en 14 et 43 !!
benoit77- Messages : 2859
Date d'inscription : 17/09/2014
Re: Et après?
La Russie est citée comme pays sans nécessité de visa. Est-ce encore le cas ?
Thuramir- Messages : 3676
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
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