Re: Et en Russie !

[Caduce62]

La cote de Russie unie à Moscou est de 15% et la direction que prend le parti au pouvoir.

[Caduce62]

Cette semaine, la Douma d’État a adopté en première lecture des amendements à la loi sur les élections à la Douma d’État. Ils interdisent aux personnes impliquées dans des activités extrémistes de se présenter aux élections législatives. Le projet de loi vise clairement à empêcher les partisans d'Alexei Navalny de participer aux élections de septembre. La Fondation pour la lutte contre la corruption, FBK, fondée par lui, est déjà reconnue comme un agent étranger, et le parquet de Moscou tente désormais de lui octroyer le statut d'organisation extrémiste.
Auparavant, l'avocat Ivan Pavlov, qui défend la FBK dans ce processus, a payé pour son travail avec les structures de Navalny. L'avocat a été accusé d'avoir divulgué les données de l'enquête dans le cas d'Ivan Safronov. Le tribunal Basmanny de Moscou a choisi une mesure préventive contre l'avocat - «l'interdiction de certaines actions». En vertu de l'article 310 du Code pénal de la Fédération de Russie, il risque désormais jusqu'à trois mois d'arrestation.
Aujourd'hui, on sait que l'interdiction d'être élue pour les personnes impliquées dans les activités d'organisations extrémistes et terroristes peut être étendue aux élections à tous les niveaux. De plus, elle peut également s'appliquer aux citoyens qui, un an avant l'entrée en vigueur de la décision du tribunal reconnaissant l'organisation comme extrémiste, lui ont simplement exprimé leur soutien, y compris sur Internet. Des amendements correspondants ont été apportés à la deuxième lecture du projet de loi.

[benoit77]

Covid-19: méfiants, les Russes boudent leur vaccin

https://actu.orange.fr/monde/covid-19-mefiants-les-russes-boudent-leur-vaccin-CNT000001Bj7qz/photos/un-medecin-regarde-son-telephone-portable-devant-un-centre-de-vaccination-anti-covid-au-parc-des-arts-muzeon-a-moscou-le-24-mai-2021-2dac373c3eb04b93cae90957a89bee24.html

[Caduce62]

Les autorités allemandes de l'aviation ont refusé de coordonner les vols de compagnies aériennes russes parce que la Russie n'émet pas de permis aux vols Lufthansa de contourner la Biélorussie.

[Caduce62]

Saint-Valentin pour l'économie russe. Le discours du président Poutine au Forum économique international de Saint-Pétersbourg, ses promesses, les contacts étroits entre la politique et les affaires




Avec le démarrage du Forum économique international de Saint-Pétersbourg, la ville a plongé pendant plusieurs jours dans la folie festive. Les réseaux sociaux regorgent de photos de membres enthousiastes. Toute la floraison de l'élite russe, avide de grandes réunions d'affaires, est venue à Saint-Pétersbourg pour discuter de la belle Russie de l'avenir. Mais l'artiste Sergei Yolkin, avec son sarcasme caractéristique, ne partage pas la jubilation générale.

[Caduce62]

Vladimir Poutine promulgue la loi excluant des opposants des élections en Russie   

Le texte, qui interdit aux personnes impliquées dans une organisation « extrémiste » d’être élues, est perçu par l’opposition comme un moyen de la neutraliser à l’approche des législatives de septembre.
Le Monde avec AFP
Publié aujourd’hui à 13h26, mis à jour à 15h09

https://www.lemonde.fr/international/article/2021/06/04/russie-vladimir-poutine-promulgue-la-loi-excluant-des-opposants-des-elections_6082858_3210.html?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR3M1InXPObMB3n5JU_Am4GsbrMsFKZF_c-dMlego-AoZiRZP4u4KRRPtLo#Echobox=1622817422

Le président russe, Vladimir Poutine, a promulgué, vendredi 4 juin, la loi interdisant aux collaborateurs d’organisations « extrémistes » de participer aux élections. Une mesure décriée par l’opposition, qui y voit un moyen de la neutraliser avant les élections législatives de septembre.

La loi, adoptée par les députés en mai, et mercredi par les sénateurs du Conseil de la Fédération, a été publiée sur le portail officiel des législations russes une fois signée par le chef du Kremlin. Ce texte interdit aux personnes impliquées dans une organisation « extrémiste » d’être élues.

La loi est largement considérée par les détracteurs du Kremlin comme visant les partisans de l’opposant Alexeï Navalny, le parquet ayant demandé à la justice de classer ses organisations comme « extrémistes », au même titre que des formations ultranationalistes et religieuses.

L’issue de cette procédure laisse peu de place au doute : le réseau de bureaux régionaux de l’opposant a déjà été classé « extrémiste » par les services de surveillance financiers ; il a annoncé son autodissolution, afin de se prémunir d’éventuelles poursuites judiciaires contre ses membres.

Des opposants visés par des perquisitions
Selon l’opposition, le pouvoir cherche à faire le ménage avant les législatives de septembre, alors que le parti du Kremlin, Russie unie, est impopulaire, selon des sondages, dans un contexte de stagnation économique et de multiples scandales de corruption. Plusieurs personnes ayant critiqué le pouvoir russe ont fait l’objet de perquisitions au cours des derniers jours, et l’une d’elles, Andreï Pivovarov, qui dirigeait l’organisation Open Russia, liée à l’oligarque en exil Mikhaïl Khodorkovski, a été placée en détention provisoire pour deux mois.

Alexeï Navalny a été emprisonné à son retour en Russie en janvier, après des mois de convalescence dus à un empoisonnement dont il accuse le Kremlin. Il a ensuite été condamné à deux ans et demi de prison dans une affaire remontant à 2014, qu’il dénonce comme politique. Il a observé en avril une grève de la faim de vingt-quatre jours pour dénoncer ses conditions de détention dans une colonie pénitentiaire située au nord-est de Moscou.

L’opposant, qui fête vendredi ses 45 ans, a dit dans un message publié sur Instagram « remercier sincèrement toutes les personnes qui [l’]’entourent et [le] soutiennent », assurant garder le moral. « J’espère pouvoir dire aujourd’hui que ma réussite de l’année, c’est que je me tiens éloigné de l’état d’esprit d’une bête en cage », a-t-il ajouté en évoquant sa détention, et des « nombreuses choses étranges qui me sont arrivées dans l’année ».

[Caduce62]

@Сергей Elkin à la lumière des récents événements, réfléchit sur la raison pour laquelle la répression politique ne s'arrête pas en Russie.

[Caduce62]

Надеть или снять - вот в чем вопрос. В России свирепствует коронавирус, но отношение к маскам по-прежнему неоднозначное.

[Caduce62]

AFP, publié le lundi 14 juin 2021 à 17h11
Un échange de prisonniers comme geste de bonne volonté pour sortir les relations américano-russes de leur marasme actuel? Vladimir Poutine s'y est dit prêt avant son sommet avec Joe Biden, qui est lui sous pression pour obtenir la libération de deux Américains détenus en Russie.

Les Etats-Unis ont prévenu que le président américain soulèverait avec son homologue russe, mercredi à Genève pour leur premier face-à-face, le sort de Paul Whelan, incarcéré pour espionnage, et Trevor Reed, emprisonné pour avoir agressé, ivre, deux policiers russes.

Washington affirme que ses deux ressortissants sont injustement détenus.

Et des élus américains, républicains comme démocrates, ont appelé le locataire de la Maison Blanche à réclamer leur libération avec plus de fermeté.

"Le traitement kafkaïen que le Kremlin réserve aux citoyens américains doit cesser et le président Biden doit faire de leur retour une priorité de sa visite", a estimé l'influent sénateur démocrate Bob Menendez. Le député républicain Michael McCaul est allé plus loin, estimant que leur libération devait être une "condition préalable" au sommet de Genève.

Interrogé sur la chaîne américaine NBC sur la possibilité d'un échange entre ces prisonniers et des Russes détenus aux Etats-Unis, Vladimir Poutine s'est montré ouvert à une telle possibilité.

- "Bon espoir" -

"Oui, oui, oui bien sûr", a-t-il répondu, selon un extrait diffusé lundi. "Ce qui serait encore mieux, ce serait une discussion sur la possibilité de conclure un accord d'extradition", a-t-il ajouté, selon la transcription de l'entretien publiée par le Kremlin.

En attendant, le président russe s'est dit prêt à négocier un échange pour raisons "humanitaires" liées "à la santé et à la vie de personnes individuelles".

Quels prisonniers russes voudrait-il voir libres en échange des deux Américains? "Nous avons toute une liste", a-t-il assuré, estimant que le nombre de Russes détenus dans les prisons américaines était "sans commune mesure" avec celui des Américains derrière les barreaux en Russie.

Il a évoqué notamment les "gros problèmes de santé" de Konstantin Iarochenko, pilote russe incarcéré en Amérique pour trafic de cocaïne, dont la famille a demandé la libération avant le sommet. Tout comme la famille du trafiquant d'armes Viktor Bout.

Dans l'entretien, Vladimir Poutine se montre très virulent à l'égard de Trevor Reed, condamné en juillet 2019 à neuf ans de prison. "C'est seulement un ivrogne et un fauteur de troubles", "c'est du droit commun, rien d'autre", a-t-il assuré, alors que la classe politique américaine accuse Moscou de s'en servir comme monnaie d'échange diplomatique.

La mère du détenu, Paula Reed, a dit lundi sur NBC avoir "très bon espoir" de voir son fils enfin libre, saluant l'engagement de l'administration Biden en ce sens et les propos du président Poutine sur un éventuel échange.

"Nous espérons que cela va intervenir très vite", a-t-elle expliqué. "Comment il va revenir à la maison, cela nous est égal", a précisé son mari Joey Reed, laissant entendre qu'un échange leur convenait.

Ancien sous-officier du corps des Marines, l'autre Américain, Paul Whelan, était agent des services de sécurité d'un groupe américain de pièces détachées pour l'automobile quand il a été arrêté à Moscou en décembre 2018, puis condamné en juin 2020 à 16 ans de prison sur des accusations d'espionnage.

Paul Whelan a clairement appelé Joe Biden à organiser un tel échange de prisonniers pour obtenir sa libération, disant être victime de la "diplomatie des otages" lors d'une récente interview à la chaîne CNN.

Or, la position du président américain sur le sujet reste floue.

Lors d'une conférence de presse au sommet du G7 au Royaume-Uni, Joe Biden a donné l'impression d'être ouvert à un échange, en réponse une question qui portait toutefois spécifiquement sur les "cybercriminels". Mais son conseiller pour la sécurité nationale Jake Sullivan a ensuite rétropédalé: "Il ne dit pas qu'il va échanger des cybercriminels avec la Russie", mais il est ouvert à "un engagement mutuel" à "ne pas protéger les cybercriminels".

[Caduce62]

AFP, publié le mercredi 16 juin 2021 à 12h32
Le maire de Moscou a annoncé mercredi une obligation de vaccination contre le Covid-19 pour tous les employés du secteur des services afin de contrer une évolution épidémiologique "dramatique" de la situation.

"Nous devons tout simplement tout faire pour mener au plus vite une vaccination de masse et arrêter cette terrible maladie et mettre fin au décès de milliers de personnes", a estimé sur son site Sergueï Sobianine.

Confronté à une envolée du nombre de cas, il avait déjà décrété toute la semaine du 15 juin chômée afin de lutter contre la dégradation de la situation.

A l'heure actuelle, 12.000 personnes sont hospitalisées à Moscou du fait du nouveau coronavirus. "La morbidité est au niveau des pics de fin d'année 2020", a noté le maire, en référence à la seconde vague meurtrière de l'épidémie en Russie.

Cette annonce d'une obligation de vacciner contre le Covid-19 est une première en Russie, et va à l'encontre des déclarations du président Vladimir Poutine qui, tout en appelant les Russes à se faire vacciner, s'était dit opposé à toute mesure obligatoire.

L'emballement de la situation à Moscou, où habitent officiellement 12 à 13 millions de personnes, a amené M. Sobianine à imposer la vaccination. Selon lui, seuls 1,8 million des résidents de la capitale sont vaccinés.

La Russie a annoncé mercredi avoir dénombré 13.397 nouveaux cas au cours des dernières 24 heures et 396 morts. Moscou en a comptabilisé respectivement 5.782 et 75.    

Bien que disponible depuis la fin 2020, le vaccin russe Spoutnik-V est boudé par les Russes, méfiants à l'égard de ce produit développé par les autorités.

A ce jour et depuis décembre, à peine 19 millions de Russes, soit moins de 13% de la population, ont reçu au moins une dose, selon le recensement effectué par le site Gogov, qui agrège les données des régions et médias faute de statistiques nationales officielles.

Selon un sondage réalisé en avril de l'institut indépendant Levada, plus de 60% des Russes interrogés ne comptent pas se faire vacciner, malgré des chiffres de contamination qui ne baissent plus depuis plusieurs semaines.

La Russie est l'un des pays les plus touchés par la pandémie. Selon l'agence des statistiques Rosstat, plus de 270.000 morts lui étaient liés à fin avril soit plus du double du bilan de 127.576 décès reconnus à ce jour par le gouvernement dans sa comptabilité quotidienne.

Les données démographiques témoignent en outre d'une mortalité en très forte hausse en janvier-avril 2021 par rapport à la même période de 2020, avec 752.000 décès enregistrés contre environ 611.000 un an plus tôt.

En 2020, la croissance du nombre de morts avait déjà atteint 18% avec 2,1 millions de décès contre 1,8 million en 2019.

Les autorités n'ont pas détaillé les causes de cette envolée de la mortalité que les statistiques concernant le Covid n'expliquent que partiellement.

Après le confinement du printemps 2020, la Russie, pour préserver son économie, a mis en place des restrictions anti-Covid très limitées et dont l'essentiel a été levé début 2021.

[Caduce62]

La vaccination contre le coronavirus, que les autorités qualifient obstinément de volontaire, comme on pouvait s'y attendre, revêt des caractéristiques obligatoires. Moscou, la région de Moscou et un certain nombre d'autres régions ont déjà annoncé la vaccination obligatoire des travailleurs des services. A Saint-Pétersbourg, la vaccination est toujours volontaire, mais les restaurateurs eux-mêmes ont promis à Rospotrebnadzor de vacciner au moins 60% des salariés. C'est compréhensible - de nombreux acteurs du marché ne survivront tout simplement pas à un autre verrouillage, similaire à celui qui s'est produit l'année dernière. On ne peut que deviner comment vont se dérouler les mesures volontaires-obligatoires. Mais le marché des faux certificats de vaccination est déjà en plein essor.

[Thuramir]

La vaccination contre le coronavirus, que les autorités qualifient obstinément de volontaire, comme on pouvait s'y attendre, revêt des caractéristiques obligatoires. Moscou, la région de Moscou et un certain nombre d'autres régions ont déjà annoncé la vaccination obligatoire des travailleurs des services. A Saint-Pétersbourg, la vaccination est toujours volontaire, mais les restaurateurs eux-mêmes ont promis à Rospotrebnadzor de vacciner au moins 60% des salariés. C'est compréhensible - de nombreux acteurs du marché ne survivront tout simplement pas à un autre verrouillage, similaire à celui qui s'est produit l'année dernière. On ne peut que deviner comment vont se dérouler les mesures volontaires-obligatoires. Mais le marché des faux certificats de vaccination est déjà en plein essor.

A titre personnel, je ne vois aucune objection à la vaccination obligatoire dans le cas de la COVID 19. C'est une question majeure de santé publique.

[Caduce62]

En Russie, recrudescence des cas de Covid-19 dus au variant Delta

Une douzaine de régions suivent l’exemple de Moscou en imposant la vaccination aux fonctionnaires et dans le secteur des services.

Par Nicolas Ruisseau(Moscou, correspondance)
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/06/22/en-russie-recrudescence-des-cas-de-covid-19-dus-au-variant-delta_6085178_3244.html

Vladimir Poutine avait promis que cela ne serait pas nécessaire. Mais, face à une forte poussée de Covid-19, avec un variant Delta particulièrement virulent, la Russie se résout à la vaccination obligatoire pour certaines catégories de population. A plusieurs reprises, le chef du Kremlin a appelé la population à se faire injecter le vaccin Spoutnik V, disponible désormais dans près de 70 pays mais qui se heurte en Russie à la méfiance collective, et a jugé « inopportune » toute mesure contraignante. Trois autres vaccins russes sont disponibles. Mais les appels présidentiels ont été vains et moins de 15 % des Russes ont commencé à recevoir des injections.

Suivant l’exemple de la mairie de Moscou mercredi 16 juin, d’autres régions ont depuis annoncé la vaccination obligatoire. A commencer par Saint-Pétersbourg, qui, hôte de matchs de l’Euro de football, a enregistré lundi 21 juin un millier de cas pour la première fois depuis février. De Sakhaline, à l’extrême est du pays, jusqu’à Tver, dans l’ouest, une douzaine de régions (sur 85 au total) ont lancé des programmes très stricts. Principales cibles : les fonctionnaires et le secteur des services.

Défiance de la population

« Spoutnik V protège contre tous les variants actuellement connus, y compris le Delta », a insisté lundi 21 juin Alexandre Guintsbourg, directeur du centre Gamaleïa à l’origine du vaccin. Alors que, à Moscou, les premières poursuites pénales ont été lancées pour de faux certificats de vaccination, les autorités ont prévenu que l’heure serait au bâton plutôt qu’à la carotte. La mairie de Moscou veut imposer un seuil de 60 % de vaccinés dans le personnel des sociétés concernées d’ici au 15 août – soit 2 millions de personnes. Les employés récalcitrants pourront être mis en congé sans solde. Les amendes infligées aux entreprises pour non-respect varieront de 50 000 à 1 million de roubles (de 600 à 11 500 euros) – plus encore en cas de récidive.

Et il y a des Cons qui osent employer le terme de "dictature sanitaire" en France 

[Thuramir]

En Russie, recrudescence des cas de Covid-19 dus au variant Delta

Une douzaine de régions suivent l’exemple de Moscou en imposant la vaccination aux fonctionnaires et dans le secteur des services.

Par Nicolas Ruisseau(Moscou, correspondance)
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/06/22/en-russie-recrudescence-des-cas-de-covid-19-dus-au-variant-delta_6085178_3244.html

Vladimir Poutine avait promis que cela ne serait pas nécessaire. Mais, face à une forte poussée de Covid-19, avec un variant Delta particulièrement virulent, la Russie se résout à la vaccination obligatoire pour certaines catégories de population. A plusieurs reprises, le chef du Kremlin a appelé la population à se faire injecter le vaccin Spoutnik V, disponible désormais dans près de 70 pays mais qui se heurte en Russie à la méfiance collective, et a jugé « inopportune » toute mesure contraignante. Trois autres vaccins russes sont disponibles. Mais les appels présidentiels ont été vains et moins de 15 % des Russes ont commencé à recevoir des injections.

Suivant l’exemple de la mairie de Moscou mercredi 16 juin, d’autres régions ont depuis annoncé la vaccination obligatoire. A commencer par Saint-Pétersbourg, qui, hôte de matchs de l’Euro de football, a enregistré lundi 21 juin un millier de cas pour la première fois depuis février. De Sakhaline, à l’extrême est du pays, jusqu’à Tver, dans l’ouest, une douzaine de régions (sur 85 au total) ont lancé des programmes très stricts. Principales cibles : les fonctionnaires et le secteur des services.

Défiance de la population

« Spoutnik V protège contre tous les variants actuellement connus, y compris le Delta », a insisté lundi 21 juin trop peu, une Alexandre Guintsbourg, directeur du centre Gamaleïa à l’origine du vaccin. Alors que, à Moscou, les premières poursuites pénales ont été lancées pour de faux certificats de vaccination, les autorités ont prévenu que l’heure serait au bâton plutôt qu’à la carotte. La mairie de Moscou veut imposer un seuil de 60 % de vaccinés dans le personnel des sociétés concernées d’ici au 15 août – soit 2 millions de personnes. Les employés récalcitrants pourront être mis en congé sans solde. Les amendes infligées aux entreprises pour non-respect varieront de 50 000 à 1 million de roubles (de 600 à 11 500 euros) – plus encore en cas de récidive.

Et il y a des Cons qui osent employer le terme de "dictature sanitaire" en France 

C'est vrai, mais les français râlent tout le temps et pour tout. Tantôt parce que c'est trop peu, tantôt parce que c'est trop, tantôt parce que ce n'est pas ce qu'il faudrait, tantôt parce qu'il ne faudrait rien changer, tantôt parce que cela ne change pas, tantôt parce que "avant" c'était mieux, tantôt parce que l'on ne leur dit pas tout, etc, etc. Peuple de gamins égoïstes et de chiants râleurs !

[Svoboda]

Je me demande avec quel vaccin , c'est fait vacciné M. Poutine ?

[Matt]

Je me demande avec quel vaccin , c'est fait vacciné M. Poutine ?

Il s'est fait vacciner avec l'Astra Zeneca et pas le Sputnik 5.
Ça a été publié dans la presse.

[Caduce62]

AFP, publié le lundi 28 juin 2021 à 13h50
Les autorités russes ont annoncé lundi de nouveaux records de décès quotidiens dus au coronavirus à Moscou et Saint-Pétersbourg, signe que la situation se dégrade en Russie, frappée de plein fouet par le variant Delta qui poursuit son essor planétaire au grand dam de pays impatients de retrouver une vie normale.

Selon les données officielles, Moscou a enregistré 124 morts et Saint-Pétersbourg 110 morts ces dernières 24 heures, dépassant les records que les deux plus grandes villes de Russie avaient déjà battus au cours du weekend.

Et ce malgré l'introduction progressive de mesures sanitaires, telles que le retour du télétravail obligatoire pour une partie des employés et la vaccination obligatoire des salariés du secteur des services.  

Un pass sanitaire est par ailleurs requis pour aller au restaurant dans la capitale depuis lundi. Les Moscovites devront ainsi télécharger depuis le portail internet de la ville un QR Code confirmant soit leur vaccination, soit qu'ils ont été contaminés par le coronavirus dans les six derniers mois, soit qu'ils disposent d'un test PCR de moins de trois jours.
Selon le maire Sergueï Sobianine, près de 2.000 personnes sont hospitalisées chaque jour à cause du Covid-19 dans la capitale de plus de 12 millions d'habitants et près de 75% des lits disponibles sont occupés. Un confinement général, comme au printemps 2020, n'est toutefois pas envisagé pour le moment afin de préserver l'économie.

Quant à Saint-Pétersbourg, le quart de finale de l'Euro de foot, qui opposera le vainqueur de France-Suisse à celui de Croatie-Espagne, y aura bien lieu vendredi en dépit de la flambée épidémique, ont déclaré lundi les organisateurs à l'AFP.

La campagne de vaccination russe contre le Covid-19 est à la traîne depuis décembre, sur fond de méfiance généralisée de la population et malgré les appels répétés du président Vladimir Poutine.

La Russie est, avec 133.893 morts recensés par le gouvernement, le pays européen le plus endeuillé, et un des pays les plus durement touchés au monde par la pandémie. L'agence des statistiques Rosstat, qui a une définition plus large des décès liés au Covid-19, a comptabilisé quelque 270.000 morts à fin avril.

[Caduce62]

L'élection à la tête de la liste du parti "Russie Unie" ne mènera pas le président Medvedev, mais le ministre de la défense Shoigu.

Tout ça parce que Medvedev a misé sur le mauvais animal 

[Caduce62]

Covid-19 : en Russie, "les chiffres officiels ne correspondent pas à la réalité", estime Marie Mendras, spécialiste du pays

"Les chiffres communiqués quotidiennement ne sont que les chiffres de morts du Covid-19 répertoriés dans les hôpitaux", explique la politologue.
Article rédigé par
franceinfo
Radio France
Publié le 27/06/2021 11:01

Saint-Pétersbourg a enregistré samedi le bilan quotidien de décès dûs au Covid-19 le plus élevé dans ce pays depuis le début de la pandémie, avec 107 morts en 24 heures. "Les chiffres officiels ne correspondent pas à la réalité", assure dimanche 27 juin sur franceinfo la spécialiste de la Russie Marie Mendras. "Avoir accepté que l'Euro se joue notamment à Saint-Pétersbourg" est "une aberration", ajoute la politologue au CNRS. Un match de la compétition doit encore se disputer sur place : un quart de finale vendredi prochain, avec potentiellement la France, si elle bat la Suisse lundi.

franceinfo : La Russie dit-elle la vérité sur l'ampleur de l'épidémie de Covid-19 sur son territoire ?

Marie Mendras : Depuis le début, les chiffres officiels ne correspondent pas à la réalité. Par exemple, les autorités annoncent 132 000 décès de la pandémie depuis début de l'année 2020 et le ministère de la Santé annonce pour la même période une surmortalité de 475 000. Le décalage dit, je crois, presque tout. Il faut savoir que les chiffres communiqués quotidiennement ne sont que les chiffres de morts du Covid-19 répertoriés dans les hôpitaux. D'ailleurs, il suffit qu'une personne malade du Covid-19 ait une autre comorbidité pour que le décès soit attribué à cette comorbité.

À quoi ressemble la gestion de la pandémie en Russie ?

Dès le début, elle a été très mauvaise. Il semble que Vladimir Poutine était en état de sidération quand la pandémie s'est développée en Russie. Il s'est bunkérisé et a été très peu présent sur le front de la pandémie. Ce sont les maires de ville, les gouverneurs de région qui ont dû essayer de faire face avec des moyens très insuffisants.

"On a beau dire que la Russie est un pays très centralisé, il n'y a eu pratiquement pas de mesures à l'échelle nationale."

Au premier confinement, chaque ville, chaque région dictait les restrictions. Ce n'est que plus tard que sont venues des consignes nationales. Aujourd'hui, dans la panique [le pays est frappé de plein fouet par le variant Delta, d'abord repéré en Inde], c'est de nouveau les maires de villes qui annoncent les restrictions et elles sont toutes différentes d'une ville à une autre.

La Russie peut-elle admettre que se rendre à Saint-Pétersbourg, pour l'Euro, c'est prendre un risque pour sa santé ?

Ils diront toujours que c'est de la propagande contre eux. Le principe du fonctionnement par le mensonge, c'est que vous êtes toujours dans le déni et vous ne pouvez pas dire : "Oui, j'ai menti sur quelque chose". C'est une aberration que d'avoir accepté que l'Euro se joue notamment à Saint-Pétersbourg, en dépit de pétitions, notamment en France.

[Caduce62]

La police a perquisitionné les auteurs de l'enquête du nouveau projet sur le ministre de l'Intérieur Vladimir Kolokoltsev. Est-ce que tout est conforme à la loi ? Sergueï Elkin ne le pense pas.

[Caduce62]

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a écrit un article sur les principes de l'ordre mondial. Il y critiquait les États-Unis et les pays de l'UE, les accusant de vouloir imposer leur volonté à d'autres États, notamment la Russie et la Chine, et présentait également la Russie comme un pays qui garde des valeurs traditionnelles et des liens spirituels, qu'il revendications, sont piétinés en Occident.
« Dans les écoles d'un certain nombre de pays occidentaux, les enfants sont convaincus dans le programme scolaire que Jésus-Christ était bisexuel. Les tentatives de politiciens sensés pour protéger les enfants d'une propagande LGBT agressive se heurtent à des protestations militantes dans « l'Europe éclairée ». - Lavrov écrit.
L'opposition russe, sur laquelle, selon Lavrov, parie l'Occident, appelle-t-il « une frange marginale de notre société ». Dans le même temps, selon Lavrov, la Russie dans ses relations avec l'Occident ne cherche pas la confrontation, mais est prête à "trouver un équilibre d'intérêts".

[Caduce62]

Les bananes en Russie coûtent moins cher que les carottes, les citoyens se plaignent. Même les légumes sont choqués par ces prix

[Caduce62]

En parlant aux citoyens, Poutine était curieux de savoir où se trouvait Troitsk et a expliqué pourquoi les bananes sont moins chères que les carottes : "Parce que nous n'avions pas assez de nos propres produits."




Ligne directe avec Vladimir Poutine a eu lieu aujourd'hui. Le Président répond aux questions des Russes. Pour la première fois en deux ans.
L'attaché de presse présidentiel Dmitri Peskov a déclaré que cette année, la ligne directe sera « high-tech » et « sans intermédiaires inutiles », puisque les citoyens pourront poser des questions au président non pas depuis un studio avec des journalistes, mais via une application dans un téléphone intelligent. Au début de la ligne directe, plus de 1,2 million d'appels ont été reçus des Russes.
Cependant, contrairement aux attentes, la ligne directe de Vladimir Poutine s'est avérée tellement ennuyeuse. Pas de questions pointues, pas de réponses intéressantes, pas de sensations, pas de scandales.
Par exemple, ceux qui ont regardé l'émission ont découvert que (ci-après, les citations de V.V. Poutine, sorties de leur contexte) :
Il faut penser au bien, et alors ce bien se matérialisera !
Une fois le mur tombé, l'école est en mauvais état.
S'il y a du gaz à la datcha du maire, alors il y a un tuyau de gaz quelque part à proximité.
La vaccination a du sens.
Peu importe à quel point ils nous font peur, la Russie se développe.
Comme vous le savez, le beurre est fabriqué à partir de lait.

[Caduce62]

Ukraine, réseaux sociaux, accrochage maritime en mer Noire… les colères de Vladimir Poutine

https://www.letemps.ch/monde/ukraine-reseaux-sociaux-accrochage-maritime-mer-noire-coleres-vladimir-poutine?fbclid=IwAR2hxLU_ML5Gizrb_qJtSz7dsvxNEjEuxNcnPa1O_AtjE33t3w8EoqUkW_Y
Lors de sa grand-messe annuelle de questions-réponses télévisée avec la population russe, le président Vladimir Poutine n’a pas mâché ses mots sur certains des dossiers qui représentent des sources de tensions récurrentes avec les Occidentaux

Publié mercredi 30 juin 2021 à 17:23

C’est un ton offensif à l’égard de l’Occident que le président russe Vladimir Poutine a employé au cours de l’émission de télévision dans laquelle il répond, une fois par année, aux questions des téléspectateurs. Parmi les sujets abordés, la situation sanitaire en Russie bien sûr, mais aussi l’Ukraine, l’accrochage avec un destroyer britannique au large de la Crimée ou encore les réseaux sociaux.

La retransmission a été perturbée par de «puissantes» cyberattaques, a affirmé la chaîne Rossia 24, qui en assurait la diffusion en direct.

• Une «provocation» américano-britannique en mer Noire 

La Russie a affirmé avoir tiré le 23 juin des coups de semonce en direction du destroyer britannique HMS Defender pour le forcer à quitter ce qu’elle considère comme ses eaux territoriales, au large de la Crimée ukrainienne annexée en 2014. Londres qui a nié que ce bâtiment avait fait l’objet de tirs russes, affirme pour sa part qu’il effectuait un «passage inoffensif dans les eaux territoriales ukrainiennes» et agissait donc de manière «tout à fait correcte».

«Il s’est agi d’une provocation», a quant à lui lancé Vladimir Poutine mercredi.
«Non seulement les Britanniques, mais aussi les Américains y ont pris part», a-t-il poursuivi, assurant que Moscou a repéré le jour de l’incident un «avion de reconnaissance américain» dans la zone. «Pourquoi faire cela? Pour montrer que vous ne reconnaissez pas la Crimée? Ne la reconnaissez pas, mais pourquoi provoquer?» a-t-il ajouté.

Notre interview de la politologue Nina Khrouchtcheva: «Biden a besoin de relations prévisibles mais Poutine est prêt à ne pas en avoir»

«Même si nous avions coulé ce navire, il aurait été difficile d’imaginer que le monde se serait mis sur la voie de la Troisième Guerre mondiale», a estimé Vladimir Poutine. «Le monde sait qu’il ne sortirait pas victorieux de cette guerre», a-t-il lancé.

L’accrochage russo-britannique en mer Noire a eu lieu à quelques jours des manœuvres militaires Sea Breeze 2021 impliquant l’Ukraine et les Etats-Unis, entre autres, que Moscou voit d’un très mauvais œil.

• L’Ukraine, sous «le contrôle» des Occidentaux

La Russie et l’Ukraine sont à couteaux tirés depuis l’arrivée d’autorités pro-occidentales à Kiev en 2014, suivie par l’annexion de la Crimée par Moscou et une guerre dans l’Est entre l’armée ukrainienne et des séparatistes prorusses, qui a fait 13 000 morts.

Le président russe Vladimir Poutine a accusé mercredi son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, d’avoir cédé son pays aux Occidentaux, des déclarations qualifiées par Kiev de «propagande» visant à justifier les «actes agressifs» de Moscou.

«A quoi bon rencontrer Zelensky, s’il a abandonné son pays à un contrôle total depuis l’étranger?» a lancé Vladimir Poutine lors de son dialogue avec les citoyens russes. «Les questions clés, vitales pour l’Ukraine, ne sont pas résolues à Kiev mais à Washington. Et dans une certaine mesure à Paris et Berlin», a-t-il poursuivi.

Fin avril, le dirigeant ukrainien avait proposé à Vladimir Poutine une rencontre dans la zone de conflit, alors qu’une hausse des violences sur le front et des exercices militaires russes près de l’Ukraine avaient suscité de nouvelles tensions. Vladimir Poutine avait rétorqué qu’il acceptait de rencontrer son homologue à Moscou uniquement, mais précisant qu’il «fallait savoir de quoi on peut parler». La rencontre n’a pas encore eu lieu.

• Les réseaux sociaux «envoient balader» la Russie 

Répondant à un jeune homme présenté comme un blogueur demandant si les réseaux sociaux populaires, tels que le chinois TikTok et le russe Telegram [qui a son siège à Dubaï], allaient être bloqués en Russie, Vladimir Poutine a assuré que ce ne serait pas le cas, alors même que le ton du gouvernement russe monte à l’égard de ces derniers.

«Nous n’avons pas prévu de bloquer quoi que ce soit, nous allons collaborer avec eux. Mais il y a des problèmes, ils nous baladent lorsqu’il ne se conforment pas à nos exigences et aux lois russes», a déclaré le président. «S’ils travaillent dans notre pays et y gagnent de l’argent, ils doivent respecter nos lois», a-t-il ajouté.

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Vladimir Poutine a également insisté sur le fait que ces entreprises devaient ouvrir des représentations légales en Russie. «Si elles ne nous écoutent pas, nous ralentirons» leur fonctionnement, entre autres, a-t-il précisé.

Au printemps, les autorités russes ont commencé à ralentir Twitter, affirmant que ce dernier n’avait pas supprimé la totalité d’une série de contenus jugés illégaux par Moscou et menaçant Facebook et YouTube de sanctions similaires.

En Russie, la multiplication des mesures contre plusieurs réseaux sociaux, souvent sous prétexte de protéger les mineurs et de combattre l’extrémisme, suscite l’inquiétude dans les rangs des critiques du pouvoir, qui y voient une énième tentative d’étouffer la liberté d’expression et l’opposition.

«Cyberattaques» contre la chaîne

Plusieurs «puissantes» cyberattaques ont perturbé mercredi la retransmission de l’émission, a affirmé la chaîne de télévision publique Rossia 24 qui la diffusait en direct.

Les interventions de citoyens russes par visioconférence des différentes régions de Russie étaient régulièrement hachées mais, selon la chaîne, ce n’était pas dû à la mauvaise qualité des connexions.

«Nos systèmes numériques font l’objet là, en ce moment […], de puissantes attaques DDoS [qui consistent en un envoi massif de données sur un serveur pour le rendre inopérant]», a affirmé une présentatrice de Rossia 24, expliquant à Vladimir Poutine les raisons de la mauvaise qualité de la communication durant l’émission.

«Ce n’est pas une blague? C’est du sérieux?» a réagi le président russe. «Tout à fait sérieux», a-t-elle répondu.

[Caduce62]

SPOUTNIK-V, LE SCANDALE. Le principal vaccin anticoronavirus russe fait l'objet de critiques de plus en plus nombreuses

Dans une interview à Espreso TV selon le politologue Andriy Piontkovsky, après une récente inspection par des Européens du lieu de production de "Spoutnik" en Russie, prévue par le protocole d'octroi d'autorisation d'un médicament on s'est aperçu que la Russie n'avait pas les moyens d'établir une production industrielle du vaccin. 

L'incroyable machine de propagande et de promotion du vaccin a caché en réalité une incurie totale au niveau de l'état russe à le produire en masse, en particulier au bénéfice premier de sa population qui aujourd'hui doit faire face au variant indien pour lequel d'ailleurs le vaccin russe montre ses limites aujourd'hui en Russie et peut être demain dans d'autres pays qui l'ont adopté par russophilie géopolitique. 
C'est ainsi qu'on a vu en France le Rassemblement National promouvoir avec acharnement le vaccin russe à travers "Identité et Démocratie",et sous la direction éclairée de Thierry Mariani au point d'avoir fait de l'ombre à sa propre campagne politique régionale.

Alors que le peuple russe connaît une hécatombe sanitaire, Piontkovsky révèle que ce qui "secoue vraiment toute la Russie", ce sont les informations publiées sur l'achat secret de 400 000 doses de Pfizer."Cela a déterminé l'échelle de l'élite dirigeante. 400 mille - deux doses, 200 mille dirigeants....Par conséquent, 200 000 responsables russes recevront désormais les vaccins Pfizer en priorité, et les autres devront prendre soin d'eux-mêmes" a t-il ajouté.

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