Re: En Crimée

[Matt]

Très ressemblant . . . 

[Александр]

La (triste) réalité cette fois:

Russia Instigates Ethnic Hostilities In Occupied Crimea – Dzhemilev

Crimean Tatar leaders oppose military solution to the conflict over the annexed Crimea. 
           
According to UNIAN, it was said by the leader of the Crimean Tatars, MP Mustafa Dzhemilev during a meeting with ambassadors of 28 countries.

“We value your awareness. Our countrymen need you to know. Independent delegations cannot attend Crimea. During the occupation the peninsula were able to visit only two monitoring foreign delegations: the delegation of the European Commissioner for Human Rights under Nils Muižnieks and the unofficial delegation from Turkey. Currently, the Russian Federation accepts delegations coming to the occupied peninsula, who are loyal to their international tyranny “- said Mustafa Dzhemilev.

According to him, Russia instigates ethnic hatred in the occupied Crimea. “Such chauvinistic actions were observed in Soviet times. Russia tries to instill fear and force our fellow citizens to leave their homeland, “- said the MP.

“A striking example are searches that are conducted in homes, mosques, schools of Crimean Tatars and the manner of their conduct. There`s already been 160 searches. It seems like Russia wants to provoke the people. But we try to refrain from any power struggles “- said the leader of the Crimean Tatars.

“We see no military solution to the conflict. On the contrary, we are against it”- said Mustafa Dzhemilev.

He also said that there are 80 thousand Russian soldiers on the peninsula, a nuclear repository is being restored and trucks with signs, warning about nuclear dangers are seen all over the Crimea. It is possible that nuclear weapons have been already brought to the peninsula.

National leader of the Crimean Tatars emphasized on the three ways to support his people: strengthening sanctions against Russia; neutralizing Russian propaganda; providing education for Crimean Tatar students in European universities.

Representatives of the European Union pledged steadfastness of their position in relation to the Crimea: they do not recognize the annexation and are to continue diplomatic and economic pressure on the Russian Federation.

As was previously informed, Mustafa Dzhemilev said that the situation in Crimea is similar to Stalin`s era.

Tout est dit . . .

[Александр]

Encore un nouveau banni en Ukraine pour trois ans:

Onlinemagazin

The Ukrainian @ServiceSsu has Silvio Berlusconi declared a persona non grata for three years.


СБУ запретила въезд в Украину экс-премьеру Италии Берлускони


Берлускони и Путин посетили Крым

СБУ запретила въезд на территорию Украины итальянскому политику, бывшему премьер-министру Италии Сильвио Берлускони, сообщает Интерфакс-Украина.

Издание Апостроф также привело копию ответа его запрос в  СБУ о Берлускони. 

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15

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Как сообщалось, 11 сентября президент России Владимир Путин и экс-премьер Италии Сильвио Берлускони посетили временно оккупированные Автономную Республику Крым и город Севастополь.

• Читайте также: По факту откупорки в Крыму для Путина и Берлускони бутылки 240-летнего вина открыто уголовное дело
  

МИД Украины осудил такую поездку и подчеркнул, что она происходила без согласования с украинской стороной и в нарушение установленного порядка въезда на временно оккупированную территорию и выезда из нее.
"Этот визит в оккупированный Крым является очередной попыткой РФ любой ценой легитимизировать незаконную оккупацию и проявлением неуважения к государственному суверенитету Украины", - подчеркивается в заявлении.

[Matt]

Plus sérieusement:

Dzhemilev tells me disappearance of Crimean Tatars continuing


"authorities pretend they die from fights or drugs"

[Matt]

Peut-être que Berlusconi va regretter son voyage avec le guébiste:

Poursuites engagées en Ukraine après la dégustation d'un vin "exceptionnel" par Poutine et Berlusconi en Crimée

Le parquet ukrainien a annoncé samedi avoir ouvert une enquête judiciaire après la dégustation par Vladimir Poutine et l'ex-Premier ministre italien Silvio Berlusconi d'un xérès vieux de 240 ans lors de leur visite controversée dans la péninsule ukrainienne de Crimée, annexée par la Russie en 2014.

Le président russe et son ami, premier ex-chef de gouvernement européen à visiter la Crimée après son annexion en mars 2014, se sont rendus le 11 septembre dans les caves de Massandra, légendaire producteur de vin de Crimée depuis l'époque tsariste et qui était une entreprise publique ukrainienne jusqu'à l'annexion.

Selon un média russe, la directrice de Massandra, Ianina Pavlenko, nommée à ce poste par les autorités russes, a débouché pour ses invités la perle de la collection de Massandra, une des cinq bouteilles du Jerez de la Fronteraespagnol datant de 1775 et qui serait, selon certaines estimations, du xérès le plus cher au monde. Une sixième bouteille de ce même vin issu de la collection de Massandra avait été adjugée 31.900 livres (51.000 euros) chez Sotheby's en 2001, selon le site de cette maison de vente aux enchères. Sa mise en vente avait alors été autorisée par un décret du président ukrainien, selon les médias.

A la suite de cette publication, le parquet ukrainien a ouvert mercredi une enquête contre X pour "appropriation" de biens publics, a indiqué samedi à l'AFP Nazar Kholodnitsky, un responsable du parquet en charge de la Crimée, ajoutant que cette bouteille pourrait valoir "plus de 100.000 dollars" (88.000 euros).

Selon le Code pénal ukrainien, Mme Pavlenko, qui n'a pas encore été inculpée officiellement, risque ainsi jusqu'à 12 ans de prison. "Ce vin relève du patrimoine national, il n'appartient pas seulement à la Crimée ou à Massandra, mais à tout le peuple ukrainien (...) Le vin a survécu à deux guerres mondiales et même les nazis ne l'avaient pas débouché", s'est emporté M. Kholodnitsky. Les autorités ukrainiennes ne sont pas actuellement en mesure de procéder à une enquête sur le terrain mais sont en train de créer une base légale pour la mener jusqu'au bout dans le futur, a-t-il assuré. "Quand l'annexion finira et nous serons de retour sur la péninsule (...) les criminels seront punis", a déclaré le responsable. Cette enquête "attendra son heure", a-t-il dit.

Transférée à l'Ukraine par le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev en 1954 quand Kiev et Moscou faisaient partie de l'URSS, la Crimée avait été annexée par la Russie en mars 2014 après son occupation par les forces spéciales russes et un référendum de rattachement dénoncé comme illégal par Kiev et les Occidentaux. L'annexion avait valu à la Russie une série de sanctions de l'Union européenne (UE) et des Etats-Unis. L'UE a notamment interdit les activités touristiques en Crimée. ant/ia

[Thuramir]

Peut-être que Berlusconi va regretter son voyage avec le guébiste:

Poursuites engagées en Ukraine après la dégustation d'un vin "exceptionnel" par Poutine et Berlusconi en Crimée

Le parquet ukrainien a annoncé samedi avoir ouvert une enquête judiciaire après la dégustation par Vladimir Poutine et l'ex-Premier ministre italien Silvio Berlusconi d'un xérès vieux de 240 ans lors de leur visite controversée dans la péninsule ukrainienne de Crimée, annexée par la Russie en 2014.

Le président russe et son ami, premier ex-chef de gouvernement européen à visiter la Crimée après son annexion en mars 2014, se sont rendus le 11 septembre dans les caves de Massandra, légendaire producteur de vin de Crimée depuis l'époque tsariste et qui était une entreprise publique ukrainienne jusqu'à l'annexion.

Selon un média russe, la directrice de Massandra, Ianina Pavlenko, nommée à ce poste par les autorités russes, a débouché pour ses invités la perle de la collection de Massandra, une des cinq bouteilles du Jerez de la Fronteraespagnol datant de 1775 et qui serait, selon certaines estimations, du xérès le plus cher au monde. Une sixième bouteille de ce même vin issu de la collection de Massandra avait été adjugée 31.900 livres (51.000 euros) chez Sotheby's en 2001, selon le site de cette maison de vente aux enchères. Sa mise en vente avait alors été autorisée par un décret du président ukrainien, selon les médias.

A la suite de cette publication, le parquet ukrainien a ouvert mercredi une enquête contre X pour "appropriation" de biens publics, a indiqué samedi à l'AFP Nazar Kholodnitsky, un responsable du parquet en charge de la Crimée, ajoutant que cette bouteille pourrait valoir "plus de 100.000 dollars" (88.000 euros).

Selon le Code pénal ukrainien, Mme Pavlenko, qui n'a pas encore été inculpée officiellement, risque ainsi jusqu'à 12 ans de prison. "Ce vin relève du patrimoine national, il n'appartient pas seulement à la Crimée ou à Massandra, mais à tout le peuple ukrainien (...) Le vin a survécu à deux guerres mondiales et même les nazis ne l'avaient pas débouché", s'est emporté M. Kholodnitsky. Les autorités ukrainiennes ne sont pas actuellement en mesure de procéder à une enquête sur le terrain mais sont en train de créer une base légale pour la mener jusqu'au bout dans le futur, a-t-il assuré. "Quand l'annexion finira et nous serons de retour sur la péninsule (...) les criminels seront punis", a déclaré le responsable. Cette enquête "attendra son heure", a-t-il dit.

Transférée à l'Ukraine par le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev en 1954 quand Kiev et Moscou faisaient partie de l'URSS, la Crimée avait été annexée par la Russie en mars 2014 après son occupation par les forces spéciales russes et un référendum de rattachement dénoncé comme illégal par Kiev et les Occidentaux. L'annexion avait valu à la Russie une série de sanctions de l'Union européenne (UE) et des Etats-Unis. L'UE a notamment interdit les activités touristiques en Crimée. ant/ia

Alors là, je doute quand même que cela préoccupe le moins du monde Berlusconi. Les poursuites judiciaires en Ukraine n'ont d'effets que sur le territoire ukrainien contrôlé par l'Ukraine, de sorte que ces poursuites judiciaires sont sans le moindre effet sur la liberté d'aller et de venir de Belusconi dans les autres pays du monde.

[Matt]

Ca on sait bien que ça ne va pas l'empêcher de dormir . . . 

[Thuramir]

On aurait légitimement pu penser que les autorités ukrainiennes ne permettaient plus le passage de marchandises vers la Crimée ou venant de Crimée. Mais non... C'est donc une étonnante nouvelle.
 
Ukraine: les Tatars de Crimée lancent un blocus économique de la Crimée


(Belga) Plusieurs centaines de Tatars de Crimée et des militants du mouvement de l'extrême-droite Pravy Sektor ont entamé dimanche un blocus de marchandises ukrainiennes destinées à la péninsule ukrainienne de Crimée, pour protester contre son annexion par la Russie il y a un an et demi.
 
Les manifestants ont partiellement bloqué la route devant les trois points de passage utilisés par les camions pour aller en Crimée depuis la partie continentale de l'Ukraine en y posant notamment des blocs de béton, ont constaté des journalistes de l'AFP. La circulation de passants et de voitures n'a en revanche pas été entravée.
 
Vivement opposés à l'annexion de la Crimée, les militants protestent aussi contre les violations des droits de l'Homme qui se sont multipliées dans la péninsule depuis son annexion, problème dénoncé aussi récemment par l'Organisation pour la sécurité et la coopération de l'Europe (OSCE).
 
"Notre objectif est de mettre fin à l'occupation de la Crimée et la restauration de l'intégrité territoriale de l'Ukraine", a déclaré dimanche un haut responsable tatar et député ukrainien Refat Tchoubarov au point de passage Tchongar, près de la mer d'Azov, où près de 300 militants étaient réunis dès le matin brandissant des drapeaux nationaux ukrainiens et ceux de Tatars de Crimée.
 
Les manifestants, qui soulignent le caractère pacifique de leur action, réclament aussi de remettre en liberté des "prisonniers politiques ukrainiens" incarcérés en Russie, en particulier la pilote Nadia Savtchenko et le réalisateur Oleg Sentsov ainsi que plusieurs Tatars de Crimée et d'"arrêter les persécutions" contre ce peuple autochtone de la péninsule, généralement très pro-ukrainien.
 


Devant deux points de passage Tchaplynka et Kalantchak, situés à l'ouest de Tchongar, des centaines de camions étaient garés le long de la route, ont constaté des journalistes de l'AFP. Mais leurs chauffeurs et des responsables ukrainiens ont indiqué à l'AFP qu'il s'y trouvaient déjà depuis plusieurs jours, soit avant le début du blocus, en raison de la lenteur de procédures douanières. (Belga)

[Krispoluk]

Oui, gros bordel aux frontières de Crimée :

Djemilev et Tchoubarov en personne au poste frontière de Tschongar (est) appuyés par Praviy Sektor. Un scoop ! La Droite Nationaliste qui défend les Tatars musulmans (pense pas que ça pourrait arriver en France )




Pendant ce temps, ça crise à la frontière ouest (Armiansk) entre militants et chauffeurs de poids-lourds accusés d'anti-patriotisme pour ravitailler la Crimée :






для ФСБ специального кода xxxtlf от Kris

[Matt]

Je l'avais annoncé vendredi, mais personne n'a réagit.
Le blocus alimentaire est provoqué par les tatars pour un retour de la Crimée à l'Ukraine.
J'ai vus son organisation sur twitter. Ils ont même prévus des tentes et des sanitaires pour recevoir et a(re)ceuillir les chauffeurs de poid lourd.
Ce blocus commençait à 12h ce jour.
Mais déjà hier, le prix des denrées alimentaires a augmenté de 20% (avant donc le blocus), augmentation à relativiser par rapport à celle qui a suivi l'annexion . . .

[Matt]

. . .
Il semblerait que la Crimée va organiser son "blocage alimentaire" le 20 pour forcer un retour à l'Ukraine. Vus sur twitter.

Bon, c'était pas ici, mais chez Orkenni.

[Matt]

D///емилев FRE$H ‏



[ltr]@Helios_UA[/ltr]



  4 minil y a 4 minutes

Voir la traduction

D///емилев FRE$H a retweeté Aндрій ⚓ Луганський
Прекрасно.





Блокада Крыма. Он-лайн трансляция





В сети появилось видео, как Кива угомонил дальнобойщиков на границе с Крымом

[Александр]

Ukraine: les Tatars de Crimée débutent un blocus économique


Plusieurs centaines de Tatars de Crimée ont entamé dimanche un blocus de marchandises ukrainiennes destinées à la péninsule ukrainienne de Crimée, pour protester contre son annexion par la Russie il y a un an et demi.

En Ukraine, des militants tatars ont lancé dimanche un blocus citoyen des routes d'accès à la péninsule de Crimée, annexée par la Russie en mai 2014. Les Tatars dénoncent les persécutions des autorités russes et cherchent à attirer l'attention sur une situation gelée. Ils entendent imposer un blocus jusqu'à obtenir justice.

Avec notre correspondant à Kiev,  Sébastien Gobert

Il n'aura fallu que quelques voitures et des blocs de béton pour couper toute circulation sur les trois routes qui mènent de l'Ukraine à la péninsule de Crimée. Les Tatars de Crimée, aidés par des bataillons de volontaires pro-ukrainiens, comme ceux du mouvement d'extrême droite Praviy Sektor, avaient annoncé leur action quelques jours auparavant et ils sont venus bien préparés avec des tentes, du matériel de cuisine et des toilettes mobiles.

Refat Tchoubarov, le chef du Mejlis, le Conseil représentatif des Tatars de Crimée, entend rester jusqu'à ce qu'il obtienne la libération de tous les citoyens ukrainiens vivant dans les territoires occupés, en particulier les Tatars de Crimée. Ceux-ci seraient discriminés, persécutés et poussés à l'exil.

Impact économique

A travers ce blocus, il s'agit aussi de protester contre les entreprises ukrainiennes qui réalisent des profits substantiels en approvisionnant la Crimée occupée. Les critiques fusent néanmoins sur l'impact contre-productif que peut avoir un tel blocus. La police n'est pas intervenue pendant cette action, malgré le mécontentement de nombreux chauffeurs immobilisés. A Kiev, le président Petro Porochenko garde le silence pour le moment. De sa réaction dépendra la continuation, ou non, de ce blocus citoyen.

La plupart des 300 000 Tatars de Crimée se sont fermement opposés à l'annexion de la péninsule opérée par la Russie en mars 2014 après l'occupation de ce territoire par les forces spéciales russes suivie d'un référendum de rattachement. Cette annexion a été suivie par des répressions sur les Tatars de Crimée dont des militants ont été détenus ou assassinés et des leaders interdits d'entrée dans ce territoire par les autorités russes. Entre 10 000 et 20 000 Tatars de Crimée ont fui la péninsule après l'annexion.

[Caduce62]

[Matt]

Si tu voyais sur twitter, c'est exactement ça!! 

[Thuramir]

Ukraine: les Tatars de Crimée débutent un blocus économique

Impact économique

A travers ce blocus, il s'agit aussi de protester contre les entreprises ukrainiennes qui réalisent des profits substantiels en approvisionnant la Crimée occupée. Les critiques fusent néanmoins sur l'impact contre-productif que peut avoir un tel blocus. La police n'est pas intervenue pendant cette action, malgré le mécontentement de nombreux chauffeurs immobilisés. A Kiev, le président Petro Porochenko garde le silence pour le moment. De sa réaction dépendra la continuation, ou non, de ce blocus citoyen.

Porochenko doit se trouver devant un choix bien difficile. Il ne pourrait interdire le blocus sous peine d'admettre implicitement l'annexion de la Crimée et son soutien à des entreprises qui se font de l'argent avec cette situation que l'Etat ukrainien dénonce avec vigueur devant les instances internationales. Le fait d'avoir admis que ce commerce "transfrontalier" se poursuive constitue déjà une situation des plus étonnantes, totalement contradictoire avec la position officielle affichée.
 
Finalement, comme dit le proverbe « Qui sème le vent récolte la tempête ».

[pyxous]

Conseil de l'Union européenne FR Service de presse - Secrétariat général du Conseil Rue de la Loi 175 - B-1048 BRUXELLES - Tél.: +32 (0)2 281 6319 press.office@consilium

1/1 COMMUNIQUE DE PRESSE (OR. en) ST 17051/14 PRESSE 663 Bruxelles, le 18 décembre 2014 Crimée et Sébastopol: nouvelles sanctions approuvées Le Conseil a imposé d'importantes sanctions supplémentaires concernant les investissements, les services et les échanges avec la Crimée et Sébastopol, dans le but de réaffirmer la politique de l'Union, qui consiste à ne pas reconnaître leur annexion illégale par la Russie. Ceci fait suite aux conclusions du Conseil affaires étrangères du 17 novembre 2014. À compter du 20 décembre, les investissements en Crimée ou à Sébastopol sont interdits. 
Les Européens et les entreprises établies dans l'UE ne peuvent plus acheter des biens immobiliers ou des entités en Crimée, financer des entreprises de Crimée ou fournir des services connexes. En outre, les opérateurs de l'UE ne seront plus autorisés à fournir des services liés au tourisme en Crimée et à Sébastopol. 
En particulier, les navires de croisière européens ne peuvent plus faire escale dans un port situé dans la péninsule de Crimée, sauf cas d'urgence. L'interdiction s'applique à tous les navires qui sont la propriété ou sous le contrôle d'un armateur européen ou qui battent pavillon d'un État membre. Les contrats existants portant sur des croisières peuvent encore être honorés jusqu'au 20 mars 2015. Il est également interdit d'exporter certains biens et certaines technologies à destination d'entreprises de Crimée ou en vue d'une utilisation en Crimée. Il s'agit de biens et de technologies pouvant être utilisés dans les secteurs des transports, des télécommunications et de l'énergie, ainsi que de la prospection, de l'exploration et de la production pétrolières, gazières et minières. 
Il est aussi interdit de fournir une assistance technique ou des services de courtage, de construction ou d'ingénierie liés à des infrastructures dans ces mêmes secteurs. La décision a été adoptée par procédure écrite. Les textes juridiques sont publiés au Journal officiel du 19 décembre. Les mesures sont applicables à partir du 20 décembre. Ces mesures viennent s'ajouter à l'interdiction des importations de marchandises en provenance de Crimée et de Sébastopol qui a été imposée en juin et aux restrictions instituées en juillet en ce qui concerne le commerce et les investissements liés à certains secteurs économiques et projets d'infrastructure. 

elle est pas mal celle là! pendant que les français et européens n'ont pas le droit de commercer avec la crimée, (ce que je fais pour ma part) les ukrainiens se gavent en alimentant le territoire annexé!
on nous prend pour des kons !

[Александр]

Pour ça que Porochenko n'en dit rien . . .

[Caduce62]

Les Européens et les entreprises établies dans l'UE ne peuvent plus acheter des biens immobiliers ou des entités en Crimée, financer des entreprises de Crimée ou fournir des services connexes.

En particulier, les navires de croisière européens ne peuvent plus faire escale dans un port situé dans la péninsule de Crimée, sauf cas d'urgence. L'interdiction s'applique à tous les navires qui sont la propriété ou sous le contrôle d'un armateur européen ou qui battent pavillon d'un État membre. Les contrats existants portant sur des croisières peuvent encore être honorés jusqu'au 20 mars 2015. Il est également interdit d'exporter certains biens et certaines technologies à destination d'entreprises de Crimée ou en vue d'une utilisation en Crimée. Il s'agit de biens et de technologies pouvant être utilisés dans les secteurs des transports, des télécommunications et de l'énergie, ainsi que de la prospection, de l'exploration et de la production pétrolières, gazières et minières. 

Il est aussi interdit de fournir une assistance technique ou des services de courtage, de construction ou d'ingénierie liés à des infrastructures dans ces mêmes secteurs. La décision a été adoptée par procédure écrite. Les textes juridiques sont publiés au Journal officiel du 19 décembre. Les mesures sont applicables à partir du 20 décembre. Ces mesures viennent s'ajouter à l'interdiction des importations de marchandises en provenance de Crimée et de Sébastopol qui a été imposée en juin et aux restrictions instituées en juillet en ce qui concerne le commerce et les investissements liés à certains secteurs économiques et projets d'infrastructure. 

1. Difficile de s'acheter sa petite maison au bord de la mer pour y passer sa retraite !!
2. La majorité des navires sont sous pavillon de complaisance 
3. Beaucoup de sociétés travaillent en sous main grâce à des sociétés écrans 

[pyxous]

1. Difficile de s'acheter sa petite maison au bord de la mer pour y passer sa retraite !!

c'est pourtant ce que j'ai fait construire en 2013 ! une maison sur 2 étages tout confort avec des matériaux "quality" douche à l'italienne, air conditionné et tout le bazar ! à 5 mn de la mer

depuis mars 2014, je n'envoie plus un seul kopec sur place pour les finitions et je m'aperçois que d'autres se gavent de la situation, je suis dégouté!

[Thuramir]

D'accord avec Pyxous. Si l'UE prend des sanctions, la plus élémentaire logique exige que l'Ukraine édicte des sanctions au moins aussi contraignantes du côté ukrainien. Une fois de plus, les petites combines et la malhonnêteté politique chronique ukrainiennes se sont manifestées, mais elles ont frappé fort cette fois ci !     

[Krispoluk]

Bon, attention, hein ! A prendre avec des pincettes, voir si c'est pas un fake mais à priori émanant d'un site officiel de Crimée (occupée)...
Un pétition circulerait demandant à Obama de lever les sanctions contre la Crimée car la péninsule est en train de "crever"  

Bizarre ? Y z'ont pas un Tsar tout puissant à Moscou qui peut régler tous les problèmes d'un coup de baguette magique ?   
Vu sur Unian.

Crimean residents ask Obama to lift sanctions
25.09.2015 | 16:51

Residents of Russian-occupied Crimea have written a letter to U.S. President Barack Obama, where they complain of hardships due to U.S. sanctions and started a petition, asking the U.S. Administration to lift the anti-Crimean sanctions, according to Crimean news service news.allcrimea.net.

REUTERS
Their petition was posted on the White House's website.
The U.S. sanctions against Crimea ban U.S. investment in the peninsula. What is more, exports or imports of any goods, services, or technologies to or from the United States are prohibited.
"Indeed [the Crimean-based city of] Sevastopol and Crimea are both quite export oriented. Thanks to the Act [Executive Order 13685 "Blocking Property of Certain Persons and Prohibiting Certain Transactions with Respect to the Crimea Region"] our region is dying now. We believe it violates our right to live," the authors of the petition said.
The petition should meet the 100,000 signature threshold to be reviewed by the U.S. Administration.
Read more on UNIAN: http://www.unian.info/economics/1134480-crimean-residents-ask-obama-to-lift-sanctions.html

[Krispoluk]

Les buts poursuivis par les Tatars dans le blocage économique de la Crimée :

Blocking Crimea

25.09.2015 | 18:15

Kostyantyn Honcharov

On September 20, the Crimean Tatars started a campaign blocking the food trucks heading to Crimea. UNIAN asked the experts whether the activists will be able to achieve their goals and what the prospects are for the blockade of the Russia-annexed the peninsula.

The activists name de-occupation of Crimea and the restoration of Ukraine’s territorial integrity as their main goal / Photo from UNIAN
As the campaign on a so-called food blockade continues, its organizers, the Crimean Tatars, stress: Ukrainian companies must stop trade relations with Crimea, which is occupied by the Russian Federation.
Some 500 activists rallying outside three main check points at the administrative border name de-occupation of Crimea and the restoration of Ukraine’s territorial integrity as their main goal. According to Mustafa Dzhemilev, Crimean Tatar leader, Ukrainian presidential envoy for Crimean Tatar People's affairs, the blockade has several goals. The organizers demand release of the Ukrainian political prisoners held captive in Crimea and in Russia: Akhtem Chiygoza, Mustafa Degermendzhy, Ali Asanov, Tahir Smedlyaev, Oleksandr Kostenko, and also Nadia Savchenko and Oleh Sentsov. Oleksandr Kolchenko, Gennady Afanasyev, and others.
The activists name de-occupation of Crimea and the restoration of Ukraine’s territorial integrity as their main goal.
In addition, they demand from Russia to lift the Crimea entry ban against Crimean Tatar leaders Mustafa Dzhemilev and Refat Chubarov, as well as against the activists of the national movement Ismet Yuksel Sinaver Kadyrov.

Also, the organizers demand that the Russian authorities release the Ukrainian political prisoners / Photo from UNIAN
Finally, the campaign is called to make the Ukrainian authorities abolish the free economic zone regime in the peninsula. "Civil blockade will be a step calling on the state authorities to think about it and draft laws as soon as possible on abolishing the so-called" free economic zone" in Crimea, while creating such free economic zone in the free territory in Kherson region," said Dzhemilev.
Earlier, the chairman of the Mejlis of the Crimean Tatar people, MP Refat Chubarov did not rule out that after the "food blockade" of occupied Crimea, the Crimean Tatars will seek cuts in the supply of electricity. According to him, the decision was made in protest against the system of repression against the Crimea residents by the occupation authorities, as well as against the "unfortunate actions of the Ukrainian government, causing problems with movement."
Meanwhile, in order not to give up on the Crimean people, Ukraine should set up grocery markets on the mainland side of the border, where the Crimean residents would be able to buy food at affordable prices, according to Chubarov. On the one hand, it will cut the flow of funds to the occupiers, who in turn use these funds to conduct searches and pogroms in the homes of the Crimean Tatars. On the other hand it will make the Ukrainian businessmen who trade with Crimea “work transparently so that the money stays in Ukraine.”
“Hybrid” blocade
Protesters claim that they prevented 230 food trucks from entering the peninsula in the first day alone. "There were no direct conflicts with the truck drivers, although there were very hot and lively discussions," said Chubarov. "We understand their motivations and arguments, while we explained to them our position," - he said.

In the first day of the rally, 230 food trucks were blocked from entering Crimea / Photo from UNIAN
"The situation with Crimea turned as hybrid as the [Russia’s] military operations in Donbas, as well as the policy of the Ukrainian authorities,” said political strategist, director of the Third Sector Center Andriy Zolotaryov. “While we speak of the annexation, we continue, nevertheless, to trade quite intensively. Therefore it is necessary to choose, either we go for the economic losses pursuing a consistent state policy, or what is fuss all about anyway around the flow of food trucks to Crimea and Crimean stores full of Ukraine-made goods?"
According to the expert, the rally of the Crimean Tatars is akin to the volunteer movement, when the state only declares some actions, but in reality it’s the activists who implement them.

Organizers of the rally don’t mean to create obstacles for ordinary citizens / Photo from UNIAN
In turn, co-director of foreign policy and international security programs at the Razumkov Center Oleksiy Melnyk said that what is happening at the administrative border with Crimea is not quite the blockade. The expert notes that the organizers did not aim at creating obstacles for ordinary citizens who cross the “border.” “The organizers of this rally have repeatedly stated that the issue concerns the termination of the organized supply of goods to Crimea, as it is absolutely absurd, when there is an occupied territory, a de facto state of war, while Ukraine not only continues but also increases the volume of trade [with Crimea], and at the same time begs for introduction of international sanctions," he said.
The economic blockade of Crimea by activists is a slap in the face of Ukraine’s authorities.
"There are polar points of view regarding timeliness and effectiveness of the rally, but I don’t quite understand the position of opponents, who assert the futility and backwardness of such move. In my opinion what the Ukrainian activists and, in the first place, the leadership of the Mejlis are doing now is a strong move that sends a signal, not only to the Russian occupiers, but also, inter alia, the Ukrainian government, Ukrainian public, on how it is necessary to counter the aggressor," said Melnyk.
MP Dmytro Tymchuk echoes the opinion that the blockade by the activists is a slap in the face of Ukraine’s authorities. "[It’s] A slap because the state had to do it back in the spring of 2014. But for some reason Kyiv still stubbornly fails to understand why the war and occupation should be an obstacle for business,” he wrote on Facebook. “And there is no point in whining that the economic interests of Ukraine and of the individual businessmen would be hurt. We either fight for the territorial integrity and engage in a battle (including at the "economic front"), or we trade. However, it’s no secret that it’s the troops who win wars, not the traders. "

REUTERS
In turn, Volodymyr Fesenko, a political scientist, head of Penta Center for applied political studies, notes that a tight blockade of Crimea [by the state of Ukraine] would have increased a number of risks, including retaliatory military action by Russia. It may also result in breaking up relations with Crimean residents in social and humanitarian areas. "Why is this blockade actually happening? Firstly, it is the response of the Crimean Tatars to the repression against activists in Crimea. Secondly, there is a certain immoral situation, when, despite the annexation of Crimea by Russia, trade relations between Ukrainian businesses and Crimea have been actively developing. Crimea is now bringing even more money than last year. In particular, this is due to Crimea’s surreal status as a free economic zone of Ukraine," he said.
To trade of to fight?

Law on free economic zone in Crime must be abolished / Photo from UNIAN
In general, all experts agree that the law on a free economic zone in Crimea should be abolished (as urged by the Crimean Tatars). "From the very first lines of the preamble of the law on setting up a “Crimea” free economic zone, where the rationale for the introduction of such a law is given, the question arises, where the authors of this document were at the time of writing. It seems as if nothing happened in February-March of 2014. I don’t know whether the law will be abolished, but I am absolutely sure that the law should be abolished as soon as possible," said Oleksiy Melnyk.
Energy blockade of the peninsula can only be achieved under the condition that the Ukrainian government takes such step consciously and deliberately.
In turn, Andriy Zolotaryov believes that the above-mentioned law may be abolished, as the existing flow of goods to Crimea "is one of the consequences of this law."
Meanwhile, the experts think that the energy blockade of the peninsula, which is among the activists’ demands, can only be achieved under the condition that the Ukrainian government takes such step consciously and deliberately. "Representatives of the Mejlis may go out at the pedestrian crossings and block the vehicles, but the energy blockade is impossible without the political will of the state. In view of the specific relationship that has developed between our authorities and Donbas, talking about the energy blockade of Crimea is nothing but wishful thinking of the Mejlis officials," said Zolotaryov.

REUTERS
"This is why there is an ongoing struggle aimed at abolishing the [free] economic zone. And, I think it’s possible to achieve this goal,” said Volodymyr Fesenko. “We can also get a more reliable, more accurate and transparent control of the trade flows with Crimea, but the complete cessation of economic relations with Crimea is unlikely. Moreover, this can have ambiguous political and socio-economic consequences for Ukraine."
At this stage, maximum effort should be made to “complicate” the life of the aggressor, to make Russia pay the highest possible price for the annexation of Crimea and everything it does against Ukraine.
In turn, Oleksiy Melnyk said that it’s too early to talk about Crimea’s reintegration in the Ukrainian legal, humanitarian and social framework. Today it is important to define at least, are we trading, or are we fighting. "Now the primary task is to revive the relevance of the issue of Crimea’s return, " he said.
Experts agree that, at this stage, maximum effort should be made to “complicate” the life of the aggressor, to make Russia pay the highest possible price for the annexation of Crimea and everything it does against Ukraine. However, we should not exclude that the blockade of Crimea will provoke another round of confrontation between Russia and Ukraine on other issues, like the gas talks or the blocking of the Minsk peace process.
Kostyantyn Honcharov
UNIAN update: On September 25, Ukrainian President Petro Poroshenko initiated the procedure to abolish the free economic zone in Crimea, according to Refat Chubarov..

Read more on UNIAN: http://www.unian.info/economics/1134555-blocking-crimea.html

[Thuramir]

Les buts poursuivis par les Tatars dans le blocage économique de la Crimée :

Blocking Crimea

25.09.2015 | 18:15

Kostyantyn Honcharov

On September 20, the Crimean Tatars started a campaign blocking the food trucks heading to Crimea. UNIAN asked the experts whether the activists will be able to achieve their goals and what the prospects are for the blockade of the Russia-annexed the peninsula.

In general, all experts agree that the law on a free economic zone in Crimea should be abolished (as urged by the Crimean Tatars). "From the very first lines of the preamble of the law on setting up a “Crimea” free economic zone, where the rationale for the introduction of such a law is given, the question arises, where the authors of this document were at the time of writing. It seems as if nothing happened in February-March of 2014. I don’t know whether the law will be abolished, but I am absolutely sure that the law should be abolished as soon as possible," said Oleksiy Melnyk.
Energy blockade of the peninsula can only be achieved under the condition that the Ukrainian government takes such step consciously and deliberately.
In turn, Andriy Zolotaryov believes that the above-mentioned law may be abolished, as the existing flow of goods to Crimea "is one of the consequences of this law."
Meanwhile, the experts think that the energy blockade of the peninsula, which is among the activists’ demands, can only be achieved under the condition that the Ukrainian government takes such step consciously and deliberately. "Representatives of the Mejlis may go out at the pedestrian crossings and block the vehicles, but the energy blockade is impossible without the political will of the state. In view of the specific relationship that has developed between our authorities and Donbas, talking about the energy blockade of Crimea is nothing but wishful thinking of the Mejlis officials," said Zolotaryov.

"This is why there is an ongoing struggle aimed at abolishing the [free] economic zone. And, I think it’s possible to achieve this goal,” said Volodymyr Fesenko. “We can also get a more reliable, more accurate and transparent control of the trade flows with Crimea, but the complete cessation of economic relations with Crimea is unlikely. Moreover, this can have ambiguous political and socio-economic consequences for Ukraine."
At this stage, maximum effort should be made to “complicate” the life of the aggressor, to make Russia pay the highest possible price for the annexation of Crimea and everything it does against Ukraine.
In turn, Oleksiy Melnyk said that it’s too early to talk about Crimea’s reintegration in the Ukrainian legal, humanitarian and social framework. Today it is important to define at least, are we trading, or are we fighting. "Now the primary task is to revive the relevance of the issue of Crimea’s return, " he said.
Experts agree that, at this stage, maximum effort should be made to “complicate” the life of the aggressor, to make Russia pay the highest possible price for the annexation of Crimea and everything it does against Ukraine. However, we should not exclude that the blockade of Crimea will provoke another round of confrontation between Russia and Ukraine on other issues, like the gas talks or the blocking of the Minsk peace process.
Kostyantyn Honcharov
UNIAN update: On September 25, Ukrainian President Petro Poroshenko initiated the procedure to abolish the free economic zone in Crimea, according to Refat Chubarov..

Read more on UNIAN: http://www.unian.info/economics/1134555-blocking-crimea.html

Par contre, on comprend difficilement pourquoi un blocus économique complet aurait des conséquences politiques et socio-économiques incertaines pour le futur de l'Ukraine, comme le soutient le dénommé Volodymyr Fesenko. Sa déclaration tient lieu de postulat non démontré mais certainement pas d'une démonstration raisonnée.

De même, on se demande pourquoi le gouvernement ukrainien n'a pas coupé l'alimentation électrique de la Crimée et son alimentation en eau par le canal artificiel (qui n'est donc pas un cours d'eau protégé par les conventions internationales).

[Matt]

Pour ton info, je l'avais posté à l'époque, le canal est bouché côté ukrainien depuis le début de l'été 2014.

Les lignes électriques ont été coupées côté Crimée au printemps de cette année.
Je n'avait pas "entendus" qu'elles avaient été rétablies.
Si maintenant l'Ukraine coupe de son côté, il n'y aurait rien d'étonnant.

J'ai vu (sur twitter, je l'admet) que l'Ukraine va réclamer à la Russie les dommages auxquels elle a droit après l'annexion de la Crimée.
Pense pas que ce soit entendu côté Russe.
Pourtant, des navires, avions et autre matériels militaires n'ont pas été rendus par la Russie.
Encore une pierre d'achoppement . . .

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