La propagande
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Re: La propagande
"MacronLeaks" : la piste qui conduit aux néonazis américains
Bien que le responsable du piratage des données d'En Marche ! n'ait pas encore été trouvé, leur diffusion massive et la publication de faux documents concernant Emmanuel Macron voient planer l'ombre des sphères de l'extrême droite américaine.
L'Obs Publié le 12 mai 2017 à 17h04
Cela n'a pas empêché sa victoire, mais la fuite massive de données qui a touché En Marche ! quelques heures avant la fin de la campagne présidentielle a pu donner des sueurs froides aux soutiens d'Emmanuel Macron. Et si la brigade d’enquête sur les fraudes aux technologies de l’information doit encore déterminer la source du piratage, la diffusion des données et la publication de faux, à propos d'un compte offshore du nouveau président Emmanuel Macron, proviendraient d'après une enquête du "Monde" des sphères néonazies américaines.
Premiers indices
Il faut partir de la publication des données et remonter le fil des interactions pour comprendre comment s'orchestre cette diffusion. Le vendredi 5 mai à 20h35, des dizaines de milliers de documents sont publiés sur 4chan, un gigantesque forum de discussion anonyme. Mais cette fuite ne surprend pas tout le monde.
William Craddick, fondateur du site Disobedient Media, l'annonce à ses lecteurs en avant-première, une heure avant. Le site est aussi le premier à publier un article sur l'événement, quelques minutes après. Il bénéficie surtout du relais de Jack Posobiec, personnalité de l'extrême droite américaine aux 100.000 abonnés Twitter.
Le mardi 9 mai, ce dernier partage une vidéo dans laquelle il explique que cette publication des "MacronLeaks" est la suite de la diffusion, quelques jours plus tôt, de faux documents accusant Emmanuel Macron de posséder un compte bancaire offshore à Niévès, un paradis fiscal situé dans les Caraïbes. Il ajoute que la personne qui avait publié ces faux documents sur 4chan avait promis "de nouvelles révélations qui seraient publiées le vendredi". Sauf que cet élément temporel n’apparaît à aucun moment dans les messages publiés sur le forum.
Un "corbeau" néonazi
Alors comment Jack Posobiec et William Craddick ont-ils pu être au courant des "MacronLeaks" avant leur publication ? Deux jours avant la diffusion massive des données, un faux apparaît sur 4chan, pendant le débat qui oppose Emmanuel Macron à Marine Le Pen : le scan d’un contrat censé prouver que le premier détient un compte secret à Niévès. Le document est grossièrement exécuté et contient plusieurs incohérences, mais il est rapidement diffusé sur les réseaux sociaux par des militants d'extrême droite américains.
Compte offshore d’Emmanuel Macron : comment a été fabriquée la fausse info
Le 5 mai, le "corbeau" diffuse deux nouveaux messages sur 4chan. Le premier est une copie du faux en meilleure qualité, le second annonce l'arrivée de nouvelles révélations, et que la "scène française" sera désormais sur un site web, Nouveaumartel.com. Si ce site est actuellement vide, l’organisation de soutien aux médias indépendants Virtualroad.org, en association avec "le Monde", en a analysé l'hébergement. Le squelette du site partage son infrastructure technique avec le Daily Stormer, l’un des principaux sites néonazis anglophones.
Et les forums du Daily Stormer ont été mis en place par une personnalité bien connue de la sphère néonazie : Andrew Auernheimer, dit "Weev", un hackeur condamné pour piratage aux Etats-Unis.
Si ces révélations n'ont pas valeur de preuve en ce qui concerne le piratage de données, elles désignent en tout cas des membres de cercles néonazis anglophones comme l'origine de la publication des faux documents accusant Emmanuel Macron de détenir un compte offshore. Des documents diffusés ensuite au plus grand nombre.
La piste russe pas écartée
Les différents éléments de l'enquête n'écartent néanmoins pas la possibilité d'une responsabilité russe dans le piratage des données, comme cela a pu être le cas pour les e-mails de la campagne d'Hillary Clinton en 2016 aux Etats-Unis. Car de nombreux liens existent entre l'extrême droite américaine, pro-Poutine, et la Russie.
William Craddick faisait partie, à la mi-mars, des invités d’un débat de la chaîne Russia Today. Weev affirme vivre en Ukraine depuis un an, tandis que Jack Posobiec vient d'obtenir une accréditation temporaire pour la Maison-Blanche, où il a pu assister en direct au licenciement de James Comey, le directeur du FBI, à qui Donald Trump reprocherait entre autres l'enquête sur les liens entre des membres de son équipe de campagne et la Russie...
Chloé Gaborit
Bien que le responsable du piratage des données d'En Marche ! n'ait pas encore été trouvé, leur diffusion massive et la publication de faux documents concernant Emmanuel Macron voient planer l'ombre des sphères de l'extrême droite américaine.
L'Obs Publié le 12 mai 2017 à 17h04
Cela n'a pas empêché sa victoire, mais la fuite massive de données qui a touché En Marche ! quelques heures avant la fin de la campagne présidentielle a pu donner des sueurs froides aux soutiens d'Emmanuel Macron. Et si la brigade d’enquête sur les fraudes aux technologies de l’information doit encore déterminer la source du piratage, la diffusion des données et la publication de faux, à propos d'un compte offshore du nouveau président Emmanuel Macron, proviendraient d'après une enquête du "Monde" des sphères néonazies américaines.
Premiers indices
Il faut partir de la publication des données et remonter le fil des interactions pour comprendre comment s'orchestre cette diffusion. Le vendredi 5 mai à 20h35, des dizaines de milliers de documents sont publiés sur 4chan, un gigantesque forum de discussion anonyme. Mais cette fuite ne surprend pas tout le monde.
William Craddick, fondateur du site Disobedient Media, l'annonce à ses lecteurs en avant-première, une heure avant. Le site est aussi le premier à publier un article sur l'événement, quelques minutes après. Il bénéficie surtout du relais de Jack Posobiec, personnalité de l'extrême droite américaine aux 100.000 abonnés Twitter.
Le mardi 9 mai, ce dernier partage une vidéo dans laquelle il explique que cette publication des "MacronLeaks" est la suite de la diffusion, quelques jours plus tôt, de faux documents accusant Emmanuel Macron de posséder un compte bancaire offshore à Niévès, un paradis fiscal situé dans les Caraïbes. Il ajoute que la personne qui avait publié ces faux documents sur 4chan avait promis "de nouvelles révélations qui seraient publiées le vendredi". Sauf que cet élément temporel n’apparaît à aucun moment dans les messages publiés sur le forum.
Un "corbeau" néonazi
Alors comment Jack Posobiec et William Craddick ont-ils pu être au courant des "MacronLeaks" avant leur publication ? Deux jours avant la diffusion massive des données, un faux apparaît sur 4chan, pendant le débat qui oppose Emmanuel Macron à Marine Le Pen : le scan d’un contrat censé prouver que le premier détient un compte secret à Niévès. Le document est grossièrement exécuté et contient plusieurs incohérences, mais il est rapidement diffusé sur les réseaux sociaux par des militants d'extrême droite américains.
Compte offshore d’Emmanuel Macron : comment a été fabriquée la fausse info
Le 5 mai, le "corbeau" diffuse deux nouveaux messages sur 4chan. Le premier est une copie du faux en meilleure qualité, le second annonce l'arrivée de nouvelles révélations, et que la "scène française" sera désormais sur un site web, Nouveaumartel.com. Si ce site est actuellement vide, l’organisation de soutien aux médias indépendants Virtualroad.org, en association avec "le Monde", en a analysé l'hébergement. Le squelette du site partage son infrastructure technique avec le Daily Stormer, l’un des principaux sites néonazis anglophones.
Et les forums du Daily Stormer ont été mis en place par une personnalité bien connue de la sphère néonazie : Andrew Auernheimer, dit "Weev", un hackeur condamné pour piratage aux Etats-Unis.
Si ces révélations n'ont pas valeur de preuve en ce qui concerne le piratage de données, elles désignent en tout cas des membres de cercles néonazis anglophones comme l'origine de la publication des faux documents accusant Emmanuel Macron de détenir un compte offshore. Des documents diffusés ensuite au plus grand nombre.
La piste russe pas écartée
Les différents éléments de l'enquête n'écartent néanmoins pas la possibilité d'une responsabilité russe dans le piratage des données, comme cela a pu être le cas pour les e-mails de la campagne d'Hillary Clinton en 2016 aux Etats-Unis. Car de nombreux liens existent entre l'extrême droite américaine, pro-Poutine, et la Russie.
William Craddick faisait partie, à la mi-mars, des invités d’un débat de la chaîne Russia Today. Weev affirme vivre en Ukraine depuis un an, tandis que Jack Posobiec vient d'obtenir une accréditation temporaire pour la Maison-Blanche, où il a pu assister en direct au licenciement de James Comey, le directeur du FBI, à qui Donald Trump reprocherait entre autres l'enquête sur les liens entre des membres de son équipe de campagne et la Russie...
Chloé Gaborit
Caduce62- Messages : 15239
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Re: La propagande
Quel rapport avec l'Ukraine, "Macronleaks et les néonazis américains" ???
Prend ta plus belle plume pour écrire sur Médiapart ou Huffingtonpost si ça te défoule et ne viens pas polluer le Forum Ukraine !
Je te préfère encore quand tu postes des images de cul sur le forum...
Prend ta plus belle plume pour écrire sur Médiapart ou Huffingtonpost si ça te défoule et ne viens pas polluer le Forum Ukraine !
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Krispoluk- Messages : 9858
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Re: La propagande
Ukraine bans the St. George’s ribbon as a “symbol of Russian aggression”
http://euromaidanpress.com/2017/05/18/ukraine-bans-the-st-georges-ribbon/
2017/05/18 - 01:08 • NEWS
On 16 May 2017, Ukrainian lawmakers banned the St.George’s ribbon, a controversial emblem of the Second World War used in Russia which many Ukrainians see as a symbol of Russian aggression.
The black-and-orange striped ribbon is a state-embraced symbol of military valor in Russia, where it is widely used in commemorations of the 1945 victory over Nazi Germany. For many in Ukraine, however, the ribbon has come to symbolize Russia-backed separatists in eastern Ukraine in a war that has killed a bit under 10,000 and displaced over 1.6 million people.
Now fines from 850 ($32 USD) to 2550 hryvnia ($97 USD) are envisaged for public use, demonstration or wearing of Georgian ribbons or pictures thereof, UaWire reported. For repeated infringement during a year, a more severe punishment is envisaged – a fine of up to 5100 hryvnia ($193 USD) or administrative arrest for up to 15 days.
The new rules do not affect World War II veterans, their awards or documents, TV channel 112 Ukraine reported. Furthermore, depictions of Georgian ribbons are permitted, for example, in works of art, educational material, on tombstones, and on documents issued before 1991. Use of ribbons in museum expositions, historical reconstructions, and objects of antique trade will not be punished.
The bill was initiated by MP Anton Herashchenko, the adviser to the Ukrainian Minister of Internal Affairs. An explanatory note on the document states that for Ukraine, the Georgian ribbon has become a “symbol of Russian occupation and aggression.”
In a 16 May Facebook post, Russian Foreign Ministry spokeswoman Maria Zakharova slammed the parliament’s backing of the bill as “antidemocratic and antihistorical.”
History of the emblem
As James Hudzik wrote in his article, “the St. George ribbon originated in the reign of tsarist Russia’s Catherine II. It was an addition to the Order of St George, which was founded in 1769 during a Russo-Turkish war that solidified Russian control over southernmost Ukraine and five years before Katherine’s razing of the Zaporizhzhya Sich. The Order was discarded in 1917 following the Soviet revolution.
However, as the Soviet need for a richer military symbolic grew during World War II, the Tsarist trappings returned, first in 1941 with newly reconstituted Guard units utilizing the Order’s distinctive orange and black ribbon, and then in 1943 with the Order of Glory. Most famously, the ribbon was used in decorations such as the Medal for the Victory over Germany in the Great Patriotic War 1941–1945, which was awarded to all who served in the war. It was as a reward for bravery in combat and for liberating еру fatherland from foreign invaders.
The ribbon has its modern use as well. In August 2000, the Russian Federation brought back the Order of St. George as its top decoration. Moreover, the St. George ribbon has been used since 2005 as a symbol of commemorating the victory over Germany and is seen frequently around May 9 Victory day celebrations. However, it is not used in any formal Ukrainian military decorations.”
The ribbon was used by the Anti-Maidan camp opposing the Euromaidan protesters in 2014 and has ever since become a symbol of the “Russian world” and the Russian-led conflict in Donbas. St.George’s ribbons have been handed out at pro-Russian rallies worldwide.
In 2014, Ukraine adopted the red poppy as the symbol of victory over nazism and is moving away from the Soviet conception of the “Great Patriotic War,” introducing the Day of Commemoration and Reconciliation aside with Victory Day. Ukrainian historians note that Russia’s usage of the “Great Patriotic War” is being used as an instrument of Russian imperialism.
http://euromaidanpress.com/2017/05/18/ukraine-bans-the-st-georges-ribbon/
2017/05/18 - 01:08 • NEWS
On 16 May 2017, Ukrainian lawmakers banned the St.George’s ribbon, a controversial emblem of the Second World War used in Russia which many Ukrainians see as a symbol of Russian aggression.
The black-and-orange striped ribbon is a state-embraced symbol of military valor in Russia, where it is widely used in commemorations of the 1945 victory over Nazi Germany. For many in Ukraine, however, the ribbon has come to symbolize Russia-backed separatists in eastern Ukraine in a war that has killed a bit under 10,000 and displaced over 1.6 million people.
Now fines from 850 ($32 USD) to 2550 hryvnia ($97 USD) are envisaged for public use, demonstration or wearing of Georgian ribbons or pictures thereof, UaWire reported. For repeated infringement during a year, a more severe punishment is envisaged – a fine of up to 5100 hryvnia ($193 USD) or administrative arrest for up to 15 days.
The new rules do not affect World War II veterans, their awards or documents, TV channel 112 Ukraine reported. Furthermore, depictions of Georgian ribbons are permitted, for example, in works of art, educational material, on tombstones, and on documents issued before 1991. Use of ribbons in museum expositions, historical reconstructions, and objects of antique trade will not be punished.
The bill was initiated by MP Anton Herashchenko, the adviser to the Ukrainian Minister of Internal Affairs. An explanatory note on the document states that for Ukraine, the Georgian ribbon has become a “symbol of Russian occupation and aggression.”
In a 16 May Facebook post, Russian Foreign Ministry spokeswoman Maria Zakharova slammed the parliament’s backing of the bill as “antidemocratic and antihistorical.”
History of the emblem
As James Hudzik wrote in his article, “the St. George ribbon originated in the reign of tsarist Russia’s Catherine II. It was an addition to the Order of St George, which was founded in 1769 during a Russo-Turkish war that solidified Russian control over southernmost Ukraine and five years before Katherine’s razing of the Zaporizhzhya Sich. The Order was discarded in 1917 following the Soviet revolution.
However, as the Soviet need for a richer military symbolic grew during World War II, the Tsarist trappings returned, first in 1941 with newly reconstituted Guard units utilizing the Order’s distinctive orange and black ribbon, and then in 1943 with the Order of Glory. Most famously, the ribbon was used in decorations such as the Medal for the Victory over Germany in the Great Patriotic War 1941–1945, which was awarded to all who served in the war. It was as a reward for bravery in combat and for liberating еру fatherland from foreign invaders.
The ribbon has its modern use as well. In August 2000, the Russian Federation brought back the Order of St. George as its top decoration. Moreover, the St. George ribbon has been used since 2005 as a symbol of commemorating the victory over Germany and is seen frequently around May 9 Victory day celebrations. However, it is not used in any formal Ukrainian military decorations.”
The ribbon was used by the Anti-Maidan camp opposing the Euromaidan protesters in 2014 and has ever since become a symbol of the “Russian world” and the Russian-led conflict in Donbas. St.George’s ribbons have been handed out at pro-Russian rallies worldwide.
In 2014, Ukraine adopted the red poppy as the symbol of victory over nazism and is moving away from the Soviet conception of the “Great Patriotic War,” introducing the Day of Commemoration and Reconciliation aside with Victory Day. Ukrainian historians note that Russia’s usage of the “Great Patriotic War” is being used as an instrument of Russian imperialism.
Caduce62- Messages : 15239
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Localisation : chez les Ch'tis
Re: La propagande
L'avait posté dans l'invasion russe.
L'Union européenne supprime les visas pour l'Ukraine
Le régime des visas de l'Union européenne pour les citoyens d'Ukraine, pays qui traverse une crise économique aiguë, sera levé vers le 11 juin. Toutefois, l'UE se réserve le droit de le réintroduire en cas d'émergence de problèmes liés à la migration ou d'ordre sécuritaire.
Le Président du Parlement européen Antonio Tajani et le ministre de l'Intérieur de Malte, pays qui assume la présidence tournante au Conseil de l'Union européenne, Carmelo Abela, ont signé le document final octroyant le régime sans visa pour les citoyens ukrainiens.
En marge d'une session plénière du Parlement européen, MM. Tajani et Abela ont apposé leurs signatures au bas du document, portant des amendements au Règlement du Conseil de l'Union européenne du 15 mars 2001 fixant la liste des pays tiers dont les ressortissants sont soumis à l'obligation de visa pour franchir les frontières extérieures des États membres de l'UE et la liste de ceux dont les ressortissants sont exemptés de cette obligation. Le document a été signé en présence du Président ukrainien Piotr Porochenko.
Après la signature, le règlement sera publié au Journal officiel de l'UE et entrera en vigueur 20 jours plus tard, vers le 11 juin.
Ainsi, les citoyens ukrainiens pourront se rendre sans visa dans les pays de la zone Schengen et en Islande, au Lichtenstein, en Norvège et en Suisse pour une durée n'excédant pas 90 jours dans les six mois suivant leur première entrée.
Pour franchir les frontières de l'Union européenne, les Ukrainiens auront besoin d'un passeport biométrique. Il est en outre recommandé d'être muni d'un billet de retour (faux), d'une réservation d'hôtel (encore faux), d'une invitation (de nouveau faux), d'une assurance médicale (à nouveau un mensonge, mais comme pour nous, c'est mieux) et d'une somme d'argent à raison d'au moins 45 euros par jour et par personne (ils ont de l'imagination pour trouver ces mensonges).
Si des « questions sérieuses » liées à la migration ou la sécurité surgissent, le régime sans visas peut être levé.
L'Union européenne supprime les visas pour l'Ukraine
Le régime des visas de l'Union européenne pour les citoyens d'Ukraine, pays qui traverse une crise économique aiguë, sera levé vers le 11 juin. Toutefois, l'UE se réserve le droit de le réintroduire en cas d'émergence de problèmes liés à la migration ou d'ordre sécuritaire.
Le Président du Parlement européen Antonio Tajani et le ministre de l'Intérieur de Malte, pays qui assume la présidence tournante au Conseil de l'Union européenne, Carmelo Abela, ont signé le document final octroyant le régime sans visa pour les citoyens ukrainiens.
En marge d'une session plénière du Parlement européen, MM. Tajani et Abela ont apposé leurs signatures au bas du document, portant des amendements au Règlement du Conseil de l'Union européenne du 15 mars 2001 fixant la liste des pays tiers dont les ressortissants sont soumis à l'obligation de visa pour franchir les frontières extérieures des États membres de l'UE et la liste de ceux dont les ressortissants sont exemptés de cette obligation. Le document a été signé en présence du Président ukrainien Piotr Porochenko.
Après la signature, le règlement sera publié au Journal officiel de l'UE et entrera en vigueur 20 jours plus tard, vers le 11 juin.
Ainsi, les citoyens ukrainiens pourront se rendre sans visa dans les pays de la zone Schengen et en Islande, au Lichtenstein, en Norvège et en Suisse pour une durée n'excédant pas 90 jours dans les six mois suivant leur première entrée.
Pour franchir les frontières de l'Union européenne, les Ukrainiens auront besoin d'un passeport biométrique. Il est en outre recommandé d'être muni d'un billet de retour (faux), d'une réservation d'hôtel (encore faux), d'une invitation (de nouveau faux), d'une assurance médicale (à nouveau un mensonge, mais comme pour nous, c'est mieux) et d'une somme d'argent à raison d'au moins 45 euros par jour et par personne (ils ont de l'imagination pour trouver ces mensonges).
Si des « questions sérieuses » liées à la migration ou la sécurité surgissent, le régime sans visas peut être levé.
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: La propagande
C'est une loi absolument stupide, personne n'ose porter ça de toute façon hors du donbass (jamais vu un seul de ces rubans a Kyiv)Caduce62 a écrit:
The black-and-orange striped ribbon is a state-embraced symbol of military valor in Russia, where it is widely used in commemorations of the 1945 victory over Nazi Germany. For many in Ukraine, however, the ribbon has come to symbolize Russia-backed separatists in eastern Ukraine in a war that has killed a bit under 10,000 and displaced over 1.6 million people.
Now fines from 850 ($32 USD) to 2550 hryvnia ($97 USD) are envisaged for public use, demonstration or wearing of Georgian ribbons or pictures thereof, UaWire reported. For repeated infringement during a year, a more severe punishment is envisaged – a fine of up to 5100 hryvnia ($193 USD) or administrative arrest for up to 15 days.
The new rules do not affect World War II veterans, their awards or documents, TV channel 112 Ukraine reported. Furthermore, depictions of Georgian ribbons are permitted, for example, in works of art, educational material, on tombstones, and on documents issued before 1991. Use of ribbons in museum expositions, historical reconstructions, and objects of antique trade will not be punished.
The bill was initiated by MP Anton Herashchenko, the adviser to the Ukrainian Minister of Internal Affairs. An explanatory note on the document states that for Ukraine, the Georgian ribbon has become a “symbol of Russian occupation and aggression.”
Donc c'est purement marketing pour dire on fait quelque chose. Et ça va être utilisé en propagande par les Russes comme une preuve de fachisme/anti-patriotes/....
julienp- Messages : 576
Date d'inscription : 14/04/2017
Localisation : Kyiv
Re: La propagande
julienp a écrit:
C'est une loi absolument stupide, personne n'ose porter ça de toute façon hors du donbass (jamais vu un seul de ces rubans a Kyiv)
Donc c'est purement marketing pour dire on fait quelque chose. Et ça va être utilisé en propagande par les Russes comme une preuve de fachisme/anti-patriotes/....
Totalement d'accord !
Thuramir dirait : "On amuse la galerie avec des vétilles alors que les vrais problèmes : lutte anti-corruption, n'avancent pas..."
Krispoluk- Messages : 9858
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: La propagande
Tu m'as ôté les mots du clavier !Krispoluk a écrit:julienp a écrit:
C'est une loi absolument stupide, personne n'ose porter ça de toute façon hors du donbass (jamais vu un seul de ces rubans a Kyiv)
Donc c'est purement marketing pour dire on fait quelque chose. Et ça va être utilisé en propagande par les Russes comme une preuve de fachisme/anti-patriotes/....
Totalement d'accord !
Thuramir dirait : "On amuse la galerie avec des vétilles alors que les vrais problèmes : lutte anti-corruption, n'avancent pas..."
Thuramir- Messages : 3677
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: La propagande
Thuramir a écrit:Tu m'as ôté les mots du clavier !Krispoluk a écrit:julienp a écrit:
C'est une loi absolument stupide, personne n'ose porter ça de toute façon hors du donbass (jamais vu un seul de ces rubans a Kyiv)
Donc c'est purement marketing pour dire on fait quelque chose. Et ça va être utilisé en propagande par les Russes comme une preuve de fachisme/anti-patriotes/....
Totalement d'accord !
Thuramir dirait : "On amuse la galerie avec des vétilles alors que les vrais problèmes : lutte anti-corruption, n'avancent pas..."
C'est bien ! Je t'économise des efforts... Tu pourras les réserver entièrement pour les charmantes ukrainiennes qui ne vont pas manquer de déferler prochainement sur nos contrées...
Krispoluk- Messages : 9858
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: La propagande
AFP, publié le lundi 29 mai 2017 à 18h38
Emmanuel Macron a assumé lundi l'exclusion des journalistes de Russia Today et Sputnik de son quartier général de la campagne présidentielle, accusant ces deux médias russes proches du Kremlin d'être des "organes d'influence", lors d'une conférence de presse au côté de son homologue russe Vladimir Poutine.
"On va se dire les choses, en vérité Russia Today et Sputnik ne se sont pas comportés comme des organes de presse et des journalistes mais comme des organes d'influence, de propagande et de propagande mensongère, ni plus ni moins", a fustigé le chef de l'Etat français.
"J'ai toujours eu des relations exemplaires avec les journalistes étrangers, encore faut-il qu'ils soient journalistes", a-t-il martelé.
"Quand des organes de presse répandent des contre-vérités infamantes, ce ne sont plus des journalistes, ce sont des organes d'influence", a insisté le président français, enchaînant: "Russia Today et Sputnik ont été des organes d'influence durant cette campagne qui, à plusieurs reprises, ont produit des contre-vérités."
Emmanuel Macron a ainsi justifié que les rédactions de ces médias russes n'aient pas eu accès à son "quartier général" de campagne alors que "la totalité des journalistes étrangers, y compris russes" ont pu selon lui y accéder.
Le président français a jugé qu'il était "grave" que "des organes de presse étrangers, pour quelque raison que ce soit, aient interféré" dans le processus électoral français.
"A cela, je ne céderai rien", a-t-il dit au côté de Vladimir Poutine qui a gardé le visage fermé pendant tout cet échange.
Emmanuel Macron a assumé lundi l'exclusion des journalistes de Russia Today et Sputnik de son quartier général de la campagne présidentielle, accusant ces deux médias russes proches du Kremlin d'être des "organes d'influence", lors d'une conférence de presse au côté de son homologue russe Vladimir Poutine.
"On va se dire les choses, en vérité Russia Today et Sputnik ne se sont pas comportés comme des organes de presse et des journalistes mais comme des organes d'influence, de propagande et de propagande mensongère, ni plus ni moins", a fustigé le chef de l'Etat français.
"J'ai toujours eu des relations exemplaires avec les journalistes étrangers, encore faut-il qu'ils soient journalistes", a-t-il martelé.
"Quand des organes de presse répandent des contre-vérités infamantes, ce ne sont plus des journalistes, ce sont des organes d'influence", a insisté le président français, enchaînant: "Russia Today et Sputnik ont été des organes d'influence durant cette campagne qui, à plusieurs reprises, ont produit des contre-vérités."
Emmanuel Macron a ainsi justifié que les rédactions de ces médias russes n'aient pas eu accès à son "quartier général" de campagne alors que "la totalité des journalistes étrangers, y compris russes" ont pu selon lui y accéder.
Le président français a jugé qu'il était "grave" que "des organes de presse étrangers, pour quelque raison que ce soit, aient interféré" dans le processus électoral français.
"A cela, je ne céderai rien", a-t-il dit au côté de Vladimir Poutine qui a gardé le visage fermé pendant tout cet échange.
Caduce62- Messages : 15239
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
propagande rada-esque
Un peu vieux, mais c'est le genre de "pub" qui sont affichés avant certains votes (dans ce cas le vote de confiance pour Yats)
julienp- Messages : 576
Date d'inscription : 14/04/2017
Localisation : Kyiv
Re: La propagande
C'est de bonne guerre, non?
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: La propagande
Ca serait bien d'avoir des éclaircissements Bon, le personnage principal, lapin, tout le monde l'a reconnu mais ces affichages étaient publiés par qui ? Et dans quel but ?
Merci de tes éclaircissements car nous on voit ça de loin...
Merci de tes éclaircissements car nous on voit ça de loin...
Krispoluk- Messages : 9858
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: La propagande
Krispoluk a écrit:Ca serait bien d'avoir des éclaircissements Bon, le personnage principal, lapin, tout le monde l'a reconnu mais ces affichages étaient publiés par qui ? Et dans quel but ?
Merci de tes éclaircissements car nous on voit ça de loin...
Je ne sais pas qui a payé pour mettre ces pubs dans la ville, c'était un peu surréel...
Peut-être l'opposition ou plus probablement les "alliés" de la coalition supportant Petro.
Pour le but, on peut supposer d'influencer le vote de confiance envers Yatsenyuk pour qu'il se fasse virer et remplacer par un autre PM ou juste une démonstration de force. (ces panneaux sont a moins de 100m de l'appartement du papa de Petro)
La politique Ukrainienne reste bien mystérieuse pour moi
Il faudrait que je retrouve la photo sur le panneau de pub pour le candidat du parti radical, avec une kalach a la main...
julienp- Messages : 576
Date d'inscription : 14/04/2017
Localisation : Kyiv
Re: La propagande
Vladimir Poutine explique très sérieusement qu'il n'a pas besoin de prendre des jours de congés car il n'est "pas une femme"
http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/38186-poutine-russie-sexisme-vladimir-poutine-explique-s.html
Publié le 09/06/17 à 14:15
(AFP)
Encore une mauvaise plaisanterie de Vladimir Poutine. France 3 diffusera fin juin "Conversations avec Poutine", un documentaire "exceptionnel" issu d'une douzaine d'entretiens accordés par le président russe au réalisateur américain Oliver Stone.
La chaîne américaine Showtime diffusera prochain en première mondiale cette série documentaire (4 numéros de 60 minutes) sous l'intitulé anglais "The Putin Interviews". Bloomberg, qui a visionné l'ensemble du documentaire, a repéré une séquence où le président russe fait visiter à Oliver Stone la salle d'armes du Kremlin.
A cette occasion, le leader russe explique au réalisateur américain qu'il n'a pas besoin de jours de congés car... il n'est "pas une femme" (sous-entendu : il n'a pas de règles)
"Je ne suis pas une femme, donc je n’ai pas de mauvais jours. Je ne veux insulter personne. C’est juste la nature des choses. Il y a des cycles qui sont naturels."
En bref : "C'est pas de ma faute si je suis con car je suis russe"
http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/38186-poutine-russie-sexisme-vladimir-poutine-explique-s.html
Publié le 09/06/17 à 14:15
(AFP)
Encore une mauvaise plaisanterie de Vladimir Poutine. France 3 diffusera fin juin "Conversations avec Poutine", un documentaire "exceptionnel" issu d'une douzaine d'entretiens accordés par le président russe au réalisateur américain Oliver Stone.
La chaîne américaine Showtime diffusera prochain en première mondiale cette série documentaire (4 numéros de 60 minutes) sous l'intitulé anglais "The Putin Interviews". Bloomberg, qui a visionné l'ensemble du documentaire, a repéré une séquence où le président russe fait visiter à Oliver Stone la salle d'armes du Kremlin.
A cette occasion, le leader russe explique au réalisateur américain qu'il n'a pas besoin de jours de congés car... il n'est "pas une femme" (sous-entendu : il n'a pas de règles)
"Je ne suis pas une femme, donc je n’ai pas de mauvais jours. Je ne veux insulter personne. C’est juste la nature des choses. Il y a des cycles qui sont naturels."
En bref : "C'est pas de ma faute si je suis con car je suis russe"
Caduce62- Messages : 15239
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Re: La propagande
"Règle":Vladimir Poutine explique très sérieusement qu'il n'a pas besoin de prendre des jours de congés car il n'est "pas une femme"
A cette occasion, le leader russe explique au réalisateur américain qu'il n'a pas besoin de jours de congés car... il n'est "pas une femme" (sous-entendu : il n'a pas de règles)
"Je ne suis pas une femme, donc je n’ai pas de mauvais jours. Je ne veux insulter personne. C’est juste la nature des choses. Il y a des cycles qui sont naturels."
Le " trou " de balle (masculin et féminin) n' a pas besoin de congés...
Chie dure , chie mou... mais chie dans le trou!
Svoboda- Messages : 1459
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Re: La propagande
Conflit en Ukraine: les USA cherchent une alternative aux accords de Minsk
Pour la première fois depuis deux ans, Washington amorce un changement de position par rapport à la guerre dans le Donbass.
Le secrétaire d'État américain Rex Tillerson a déclaré qu'il ne souhaitait pas être « enchaîné » aux accords de Minsk et a même demandé au Congrès d'accorder au gouvernement américain davantage de « souplesse » pour trouver un compromis entre l'Ukraine et la Russie. La requête de Tillerson signifie-t-elle qu'un projet d'accord sur le Donbass est actuellement préparé en coulisses ? Selon la revue en ligne Vzgliad.
Le chef de la diplomatie américaine a suggéré hier que Kiev et Moscou pourraient régler le conflit autour du Donbass grâce à de nouveaux accords, qui pourraient être « différents de ceux de Minsk ».
Il répondait à la question du démocrate Eliot Engel, qui lui demandait si l'assouplissement des sanctions contre la Russie avant qu'elle ne remplisse à part entière les accords de Minsk et qu'elle ne quitte la Crimée était dans l'intérêt des USA.
« Je pense qu'il est important pour nous d'avoir suffisamment de souplesse pour remplir la tâche fixée par les accords de Minsk. Il est fort probable que les gouvernements de l'Ukraine et de la Russie puissent parvenir à un règlement satisfaisant grâce à une structure différente des accords de Minsk, mais pour réaliser les objectifs de ces accords », a répondu le secrétaire d'État.
Réaction immédiate d'Engel: « La Russie ne comprend que les discours fermes ». Tillerson a alors insinué que l'assouplissement des sanctions « n'était pas notre intention » avant la mise en œuvre des accords de Minsk.
Depuis février 2015 et la signature des accords de Minsk puis leur approbation par le Conseil de sécurité des Nations unies, aucun des membres du Format Normandie n'avait remis en question la nécessité de les mettre en œuvre. Régulièrement les dirigeants de la Russie, de la France, de l'Allemagne et de l'Ukraine réaffirmaient comme un mantra « l'absence d'alternative aux accords de Minsk ». Tillerson a ainsi détruit la perception de ces accords au rang d'axiome du processus de paix. Du moins, selon les USA, ces accords ne sont plus l'unique solution pour sortir de la crise politique ukrainienne. Il y a fort à parier que ce point de vue sera repris par les alliés européens de Washington et qui plus est par Kiev, qui sabote de facto la mise en œuvre des accords.
Le secrétaire d'État ne s'est pas arrêté là: « J'appelle le Congrès à faire en sorte que toute loi adoptée permette au président de modifier le régime des sanctions ». Et d'ajouter que si les sanctions devaient être durcies contre Moscou, cela devait être fait avec une participation à part égale d'autres alliés. La veille, un groupe de congressistes a préparé un projet de loi sur de nouvelles sanctions contre la Russie que même le président Donald Trump ne serait pas capable d'annuler.
Pour la première fois depuis deux ans, Washington amorce un changement de position par rapport à la guerre dans le Donbass.
Le secrétaire d'État américain Rex Tillerson a déclaré qu'il ne souhaitait pas être « enchaîné » aux accords de Minsk et a même demandé au Congrès d'accorder au gouvernement américain davantage de « souplesse » pour trouver un compromis entre l'Ukraine et la Russie. La requête de Tillerson signifie-t-elle qu'un projet d'accord sur le Donbass est actuellement préparé en coulisses ? Selon la revue en ligne Vzgliad.
Le chef de la diplomatie américaine a suggéré hier que Kiev et Moscou pourraient régler le conflit autour du Donbass grâce à de nouveaux accords, qui pourraient être « différents de ceux de Minsk ».
Il répondait à la question du démocrate Eliot Engel, qui lui demandait si l'assouplissement des sanctions contre la Russie avant qu'elle ne remplisse à part entière les accords de Minsk et qu'elle ne quitte la Crimée était dans l'intérêt des USA.
« Je pense qu'il est important pour nous d'avoir suffisamment de souplesse pour remplir la tâche fixée par les accords de Minsk. Il est fort probable que les gouvernements de l'Ukraine et de la Russie puissent parvenir à un règlement satisfaisant grâce à une structure différente des accords de Minsk, mais pour réaliser les objectifs de ces accords », a répondu le secrétaire d'État.
Réaction immédiate d'Engel: « La Russie ne comprend que les discours fermes ». Tillerson a alors insinué que l'assouplissement des sanctions « n'était pas notre intention » avant la mise en œuvre des accords de Minsk.
Depuis février 2015 et la signature des accords de Minsk puis leur approbation par le Conseil de sécurité des Nations unies, aucun des membres du Format Normandie n'avait remis en question la nécessité de les mettre en œuvre. Régulièrement les dirigeants de la Russie, de la France, de l'Allemagne et de l'Ukraine réaffirmaient comme un mantra « l'absence d'alternative aux accords de Minsk ». Tillerson a ainsi détruit la perception de ces accords au rang d'axiome du processus de paix. Du moins, selon les USA, ces accords ne sont plus l'unique solution pour sortir de la crise politique ukrainienne. Il y a fort à parier que ce point de vue sera repris par les alliés européens de Washington et qui plus est par Kiev, qui sabote de facto la mise en œuvre des accords.
Le secrétaire d'État ne s'est pas arrêté là: « J'appelle le Congrès à faire en sorte que toute loi adoptée permette au président de modifier le régime des sanctions ». Et d'ajouter que si les sanctions devaient être durcies contre Moscou, cela devait être fait avec une participation à part égale d'autres alliés. La veille, un groupe de congressistes a préparé un projet de loi sur de nouvelles sanctions contre la Russie que même le président Donald Trump ne serait pas capable d'annuler.
Александр- Messages : 5390
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Localisation : Leuven, België
Re: La propagande
Putting Crimea on the map – what could possibly go wrong?
(Mettre la Crimée sur la carte - qu'est-ce qui pourrait aller mal?)
Russia sets the record straight and exposes NATO’s hypocrisy! – This was the intended message in a cartoon published last week by Zvezda, a website and TV channel run by the Russian Defence Ministry. But there was just one problem with the image: On the map of Europe, which served to illustrate a story about how “NATO is encircling Russia“, Crimea found itself in the wrong place – from the Kremlin’s perspective that is. From the perspective of the international community, Crimea was put right where it belongs – in Ukraine.
Zvezda got seconds thoughts about the inaccurate map and removed the image from its Twitter feed and its website.
The image is the work of cartoonist Vitaly Podvitsky, whose cartoons in pro-Kremlin outlets we highlighted last week. We’ll keep our fingers crossed that Mr. Podvitsky won’t lose his job after this blunder – the fact that Finland and Belarus became parts of Russia on the same map might help him continue his career.
“The Russians are coming!” So the NATO officer yells in this image published by the outlet of the Russian Defence Ministry, Zvezda.
La Russie marque le bilan et expose l'hypocrisie de l'OTAN! - Ce fut le message prévu dans un dessin animé publié la semaine dernière par Zvezda, un site Web et une chaîne de télévision dirigée par le ministère russe de la Défense. Mais il y avait juste un problème avec l'image: sur la carte de l'Europe, qui a servi à illustrer une histoire de «l'OTAN encerclant la Russie», la Crimée s'est trouvée au mauvais endroit - du point de vue du Kremlin. Du point de vue de la communauté internationale, la Crimée a été placée là où elle appartient - en Ukraine.
Zvezda a eu quelques réflexions sur la carte inexacte et supprimé l'image de son flux Twitter et de son site Web.
L'image est le travail du dessinateur Vitaly Podvitsky, dont les dessins animés dans les points de vente pro-Kremlin que nous avons mis en évidence la semaine dernière. Nous garderons les doigts croisés que M. Podvitsky ne perdra pas son emploi après cette erreur - le fait que la Finlande et la Biélorussie deviennent des parties de la Russie sur la même carte pourrait l'aider à poursuivre sa carrière.
"Les Russes viennent!" Alors l'officier de l'OTAN crie dans cette image publiée par le ministère de la Défense russe, Zvezda.
(Mettre la Crimée sur la carte - qu'est-ce qui pourrait aller mal?)
Russia sets the record straight and exposes NATO’s hypocrisy! – This was the intended message in a cartoon published last week by Zvezda, a website and TV channel run by the Russian Defence Ministry. But there was just one problem with the image: On the map of Europe, which served to illustrate a story about how “NATO is encircling Russia“, Crimea found itself in the wrong place – from the Kremlin’s perspective that is. From the perspective of the international community, Crimea was put right where it belongs – in Ukraine.
Zvezda got seconds thoughts about the inaccurate map and removed the image from its Twitter feed and its website.
The image is the work of cartoonist Vitaly Podvitsky, whose cartoons in pro-Kremlin outlets we highlighted last week. We’ll keep our fingers crossed that Mr. Podvitsky won’t lose his job after this blunder – the fact that Finland and Belarus became parts of Russia on the same map might help him continue his career.
“The Russians are coming!” So the NATO officer yells in this image published by the outlet of the Russian Defence Ministry, Zvezda.
La Russie marque le bilan et expose l'hypocrisie de l'OTAN! - Ce fut le message prévu dans un dessin animé publié la semaine dernière par Zvezda, un site Web et une chaîne de télévision dirigée par le ministère russe de la Défense. Mais il y avait juste un problème avec l'image: sur la carte de l'Europe, qui a servi à illustrer une histoire de «l'OTAN encerclant la Russie», la Crimée s'est trouvée au mauvais endroit - du point de vue du Kremlin. Du point de vue de la communauté internationale, la Crimée a été placée là où elle appartient - en Ukraine.
Zvezda a eu quelques réflexions sur la carte inexacte et supprimé l'image de son flux Twitter et de son site Web.
L'image est le travail du dessinateur Vitaly Podvitsky, dont les dessins animés dans les points de vente pro-Kremlin que nous avons mis en évidence la semaine dernière. Nous garderons les doigts croisés que M. Podvitsky ne perdra pas son emploi après cette erreur - le fait que la Finlande et la Biélorussie deviennent des parties de la Russie sur la même carte pourrait l'aider à poursuivre sa carrière.
"Les Russes viennent!" Alors l'officier de l'OTAN crie dans cette image publiée par le ministère de la Défense russe, Zvezda.
Александр- Messages : 5390
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Re: La propagande
Russian TV again uses fake video in Ukraine war report
Rossiya 1
Russian TV says the footage is from 9 May 2017...
Russian state TV has again used misleading footage to promote claims that pro-Kiev forces are committing atrocities in separatist-controlled east Ukraine.
A report on official channel Rossiya 1's flagship news programme Vesti Nedeli (News of the Week) on 2 July featured allegations that members of Azov, the far-right Ukrainian National Guard regiment, had shelled the separatist controlled village of Bezimenne on 9 May, Victory Day.
Azov / YouTube...but it was actually uploaded in November 2015
The channel's correspondent Alexander Sladkov said that the shelling occurred as people in Bezimenne were "laying flowers at the monument to soldiers who had fallen in the Great Patriotic War", Russia's name for World War II.
Sladkov also explained that the shelling had been carried out from an "old Soviet gun" and that the order for it had been given by Senior Lieutenant Maksym Zhoryn, who goes by the nickname of Yar or Ravine.
Sladkov’s words were accompanied by a video clip of a large field gun firing from among trees over a field and an unidentified voice saying in Russian: "We are firing from a gun from 1944 at the Russian occupiers."
Zhoryn was also shown saying how one of his men suggested it would be a good idea to fire the old gun and that he had agreed.
Discrepancies
But there was something not quite right about the video of the shelling.
Although it was labelled “Ukraine 9 May 2017”, the branches on the trees were completely bare as if it were the middle of winter. What is more, subsequent footage purportedly of shells hitting the village showed trees already thick with leaves. The sky in this footage was also much brighter.
Footage of the Victory Day celebrations in the separatist capital of Donetsk that day also showed trees covered in leaves.
The source of some of the footage of the shelling and the statements by Zhoryn used in Sladkov’s report appears to have been a six-minute clip posted by a pro-separatist YouTube channel named Vladislav Breege on 5 June. This video is entitled “The shelling from 100 mm artillery of the Sonderkommando ‘azov’ of Bezimenne on 9 May 2017” (bit.ly/2ueR1iY).
But this was not the original.
All the footage in this video, including that used in Sladkov’s report, comes from a video put out by the “Azov media” YouTube channel entitled “Azov’s legendary field gun ‘Babushka’”. It was posted on 23 November 2015 (bit.ly/2tfv0QP).
Previous episode
Vesti Nedeli’s misleading use of video to substantiate its claims about alleged Ukrainian shelling of civilians is reminiscent of an episode in May 2014, when Rossiya 1 passed off a video showing a dead body in the North Caucasus as evidence of Ukrainian atrocities near the then separatist-controlled town of Slovyansk (bit.ly/2tFCKij).
As opposition activist Leonid Martynyuk pointed out at the time on his YouTube channel “Lies of the Putin Regime”, the original video was from a report by Russian state news channel Rossiya 24 (part of the same group as Rossiya 1) about what it said was an anti-terrorist operation in Kabardino-Balkaria in November 2012, which reportedly resulted in the death of five guerrilla fighters (bit.ly/2tFCKij)
As in this latest bit of fakery from Rossiya 1, there was a discrepancy between the bare trees and bushes in the video and the claim that it had been shot in May.
At that time Dmitry Kiselyov, who is both the presenter of Vesti Nedeli and the head of the powerful international news agency Rossiya Segodya (Russia Today), insisted that the use of the misleading footage had been a “mistake and not under any circumstances manipulation”. He suggested it might have been caused by a computer glitch or an inexperienced junior editor (bit.ly/2svOgwv).
La télévision d'Etat russe a de nouveau utilisé des images trompeuses pour promouvoir des allégations selon lesquelles les forces pro-Kiev commettent des atrocités dans l'Ukraine orientale contrôlée séparatiste.
Un rapport sur la chaîne officielle de Rossiya 1, le Nouvel An de la Semaine, le 2 juillet, a révélé des allégations selon lesquelles les membres d'Azov, le régiment de la garde nationale ukrainienne d'extrême droite, avaient bombardé le village séparé et contrôlé de Bezimenne le 9 mai, la Victoire Journée.
Le correspondant de la chaîne, Alexander Sladkov, a déclaré que les bombardements se produisaient alors que les gens de Bezimenne «déposaient des fleurs au monument aux soldats qui étaient tombés dans la Grande Guerre patriotique», le nom de la Russie pour la Seconde Guerre mondiale.
Sladkov a également expliqué que les bombardements avaient été effectués à partir d'un «vieux pistolet soviétique» et que l'ordre avait été donné par le lieutenant-colonel Maksym Zhoryn, qui s'appuie sur le nom de Yar ou Ravine.
Les mots de Sladkov ont été accompagnés d'un clip vidéo d'un grand pistolet de tir tirant parmi les arbres sur un champ et une voix non identifiée disant en russe: "Nous tirons d'un pistolet depuis 1944 aux occupants russes".
Zhoryn a également été montré en disant comment un de ses hommes a suggéré que ce serait une bonne idée de tirer le vieux fusil et qu'il avait accepté.
Disparités
Mais il y avait quelque chose qui n'était pas tout à fait juste au sujet de la vidéo du bombardement.
Bien qu'il ait été étiqueté "Ukraine 9 mai 2017", les branches sur les arbres étaient complètement nues comme si c'était le milieu de l'hiver. De plus, les images ultérieures présumées des coquillages qui frappaient le village ont montré des arbres déjà épais avec des feuilles. Le ciel dans cette séquence était également beaucoup plus brillant.
Les célébrations de la Journée de la Victoire dans la capitale séparatiste de Donetsk ce jour-là ont également montré des arbres couverts de feuilles.
La source d'une partie des séquences des bombardements et des déclarations de Zhoryn dans le rapport de Sladkov semble avoir été un clip de six minutes publié par une chaîne YouTube séparée par Vladimir Breege le 5 juin. Cette vidéo est intitulée "Le bombardement de l'artillerie de 100 mm du Sonderkommando 'azov' de Bezimenne le 9 mai 2017" (bit.ly/2ueR1iY⎋).
Mais ce n'était pas l'original.
Toutes les vidéos de cette vidéo, y compris celles utilisées dans le rapport de Sladkov, proviennent d'une vidéo diffusée par la chaîne YouTube «Azov media» intitulée «L'arme artisanale légère d'Azov» Babushka ». Il a été posté le 23 novembre 2015
Épisode précédent
L'usage trompeur de la vidéo de Vesti Nedeli pour étayer ses allégations concernant les bombardements ukrainiens allégués de civils rappelle un épisode en mai 2014, lorsque Rossiya 1 a passé une vidéo montrant une cadavre dans le Caucase du Nord comme preuve d'atrocités ukrainiennes près du séparatiste alors - Ville contrôlée de Slovyansk (bit.ly/2tFCKij⎋).
Alors que le militant de l'opposition, Leonid Martynyuk, a souligné à l'époque de sa chaîne YouTube "Lies of the Putin Regime", la vidéo originale provenait d'un rapport de la chaîne d'actualités russes Rossiya 24 (partie du même groupe que Rossiya 1) sur ce qu'elle disait Était une opération antiterroriste à Kabardino-Balkaria en novembre 2012, qui aurait entraîné la mort de cinq guérilleros (bit.ly/2tFCKij⎋)
Comme dans ce dernier morceau de faux de Rossiya 1, il y avait un écart entre les arbres nuisibles et les buissons dans la vidéo et l'affirmation selon laquelle il avait été tourné en mai.
À cette époque, Dmitry Kiselyov, qui est à la fois le présentateur de Vesti Nedeli et le chef de la puissante agence de presse internationale Rossiya Segodya (Russie d'aujourd'hui), a insisté sur le fait que l'utilisation des images trompeuses avait été une "erreur et pas la manipulation" . Il a suggéré que cela aurait pu être causé par un problème informatique ou un éditeur junior inexpérimenté (bit.ly/2svOgwv⎋).
Rossiya 1
Russian TV says the footage is from 9 May 2017...
Russian state TV has again used misleading footage to promote claims that pro-Kiev forces are committing atrocities in separatist-controlled east Ukraine.
A report on official channel Rossiya 1's flagship news programme Vesti Nedeli (News of the Week) on 2 July featured allegations that members of Azov, the far-right Ukrainian National Guard regiment, had shelled the separatist controlled village of Bezimenne on 9 May, Victory Day.
Azov / YouTube...but it was actually uploaded in November 2015
The channel's correspondent Alexander Sladkov said that the shelling occurred as people in Bezimenne were "laying flowers at the monument to soldiers who had fallen in the Great Patriotic War", Russia's name for World War II.
Sladkov also explained that the shelling had been carried out from an "old Soviet gun" and that the order for it had been given by Senior Lieutenant Maksym Zhoryn, who goes by the nickname of Yar or Ravine.
Sladkov’s words were accompanied by a video clip of a large field gun firing from among trees over a field and an unidentified voice saying in Russian: "We are firing from a gun from 1944 at the Russian occupiers."
Zhoryn was also shown saying how one of his men suggested it would be a good idea to fire the old gun and that he had agreed.
Discrepancies
But there was something not quite right about the video of the shelling.
Although it was labelled “Ukraine 9 May 2017”, the branches on the trees were completely bare as if it were the middle of winter. What is more, subsequent footage purportedly of shells hitting the village showed trees already thick with leaves. The sky in this footage was also much brighter.
Footage of the Victory Day celebrations in the separatist capital of Donetsk that day also showed trees covered in leaves.
The source of some of the footage of the shelling and the statements by Zhoryn used in Sladkov’s report appears to have been a six-minute clip posted by a pro-separatist YouTube channel named Vladislav Breege on 5 June. This video is entitled “The shelling from 100 mm artillery of the Sonderkommando ‘azov’ of Bezimenne on 9 May 2017” (bit.ly/2ueR1iY).
But this was not the original.
All the footage in this video, including that used in Sladkov’s report, comes from a video put out by the “Azov media” YouTube channel entitled “Azov’s legendary field gun ‘Babushka’”. It was posted on 23 November 2015 (bit.ly/2tfv0QP).
Previous episode
Vesti Nedeli’s misleading use of video to substantiate its claims about alleged Ukrainian shelling of civilians is reminiscent of an episode in May 2014, when Rossiya 1 passed off a video showing a dead body in the North Caucasus as evidence of Ukrainian atrocities near the then separatist-controlled town of Slovyansk (bit.ly/2tFCKij).
As opposition activist Leonid Martynyuk pointed out at the time on his YouTube channel “Lies of the Putin Regime”, the original video was from a report by Russian state news channel Rossiya 24 (part of the same group as Rossiya 1) about what it said was an anti-terrorist operation in Kabardino-Balkaria in November 2012, which reportedly resulted in the death of five guerrilla fighters (bit.ly/2tFCKij)
As in this latest bit of fakery from Rossiya 1, there was a discrepancy between the bare trees and bushes in the video and the claim that it had been shot in May.
At that time Dmitry Kiselyov, who is both the presenter of Vesti Nedeli and the head of the powerful international news agency Rossiya Segodya (Russia Today), insisted that the use of the misleading footage had been a “mistake and not under any circumstances manipulation”. He suggested it might have been caused by a computer glitch or an inexperienced junior editor (bit.ly/2svOgwv).
La télévision d'Etat russe a de nouveau utilisé des images trompeuses pour promouvoir des allégations selon lesquelles les forces pro-Kiev commettent des atrocités dans l'Ukraine orientale contrôlée séparatiste.
Un rapport sur la chaîne officielle de Rossiya 1, le Nouvel An de la Semaine, le 2 juillet, a révélé des allégations selon lesquelles les membres d'Azov, le régiment de la garde nationale ukrainienne d'extrême droite, avaient bombardé le village séparé et contrôlé de Bezimenne le 9 mai, la Victoire Journée.
Le correspondant de la chaîne, Alexander Sladkov, a déclaré que les bombardements se produisaient alors que les gens de Bezimenne «déposaient des fleurs au monument aux soldats qui étaient tombés dans la Grande Guerre patriotique», le nom de la Russie pour la Seconde Guerre mondiale.
Sladkov a également expliqué que les bombardements avaient été effectués à partir d'un «vieux pistolet soviétique» et que l'ordre avait été donné par le lieutenant-colonel Maksym Zhoryn, qui s'appuie sur le nom de Yar ou Ravine.
Les mots de Sladkov ont été accompagnés d'un clip vidéo d'un grand pistolet de tir tirant parmi les arbres sur un champ et une voix non identifiée disant en russe: "Nous tirons d'un pistolet depuis 1944 aux occupants russes".
Zhoryn a également été montré en disant comment un de ses hommes a suggéré que ce serait une bonne idée de tirer le vieux fusil et qu'il avait accepté.
Disparités
Mais il y avait quelque chose qui n'était pas tout à fait juste au sujet de la vidéo du bombardement.
Bien qu'il ait été étiqueté "Ukraine 9 mai 2017", les branches sur les arbres étaient complètement nues comme si c'était le milieu de l'hiver. De plus, les images ultérieures présumées des coquillages qui frappaient le village ont montré des arbres déjà épais avec des feuilles. Le ciel dans cette séquence était également beaucoup plus brillant.
Les célébrations de la Journée de la Victoire dans la capitale séparatiste de Donetsk ce jour-là ont également montré des arbres couverts de feuilles.
La source d'une partie des séquences des bombardements et des déclarations de Zhoryn dans le rapport de Sladkov semble avoir été un clip de six minutes publié par une chaîne YouTube séparée par Vladimir Breege le 5 juin. Cette vidéo est intitulée "Le bombardement de l'artillerie de 100 mm du Sonderkommando 'azov' de Bezimenne le 9 mai 2017" (bit.ly/2ueR1iY⎋).
Mais ce n'était pas l'original.
Toutes les vidéos de cette vidéo, y compris celles utilisées dans le rapport de Sladkov, proviennent d'une vidéo diffusée par la chaîne YouTube «Azov media» intitulée «L'arme artisanale légère d'Azov» Babushka ». Il a été posté le 23 novembre 2015
Épisode précédent
L'usage trompeur de la vidéo de Vesti Nedeli pour étayer ses allégations concernant les bombardements ukrainiens allégués de civils rappelle un épisode en mai 2014, lorsque Rossiya 1 a passé une vidéo montrant une cadavre dans le Caucase du Nord comme preuve d'atrocités ukrainiennes près du séparatiste alors - Ville contrôlée de Slovyansk (bit.ly/2tFCKij⎋).
Alors que le militant de l'opposition, Leonid Martynyuk, a souligné à l'époque de sa chaîne YouTube "Lies of the Putin Regime", la vidéo originale provenait d'un rapport de la chaîne d'actualités russes Rossiya 24 (partie du même groupe que Rossiya 1) sur ce qu'elle disait Était une opération antiterroriste à Kabardino-Balkaria en novembre 2012, qui aurait entraîné la mort de cinq guérilleros (bit.ly/2tFCKij⎋)
Comme dans ce dernier morceau de faux de Rossiya 1, il y avait un écart entre les arbres nuisibles et les buissons dans la vidéo et l'affirmation selon laquelle il avait été tourné en mai.
À cette époque, Dmitry Kiselyov, qui est à la fois le présentateur de Vesti Nedeli et le chef de la puissante agence de presse internationale Rossiya Segodya (Russie d'aujourd'hui), a insisté sur le fait que l'utilisation des images trompeuses avait été une "erreur et pas la manipulation" . Il a suggéré que cela aurait pu être causé par un problème informatique ou un éditeur junior inexpérimenté (bit.ly/2svOgwv⎋).
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Re: La propagande
Le mythe "Russophobie": attirant les sentiments les plus bas
If there is one word that gives the signal that a media outlet is clearly pro-Kremlin, it is “Russophobia”. Outlets such as RT, Sputnik and Russian national state television use the term to explain away almost any foreign criticism of Kremlin policies.
“Russophobia” can pop up all over the place – whether it concerns Syria, the UK, the EU, Ukraine, or basically any place in the world. Last month, the word was even used by President Putin when he compared “Russophobia” in the West to anti-Semitism.
Deflecting criticism
But what is this thing called Russophobia? The term suggests a fundamental dislike of Russia or Russians. By accusing Western societies of “Russophobia”, pro-Kremlin propaganda outlets downgrade criticism of Kremlin policies and actions to being somehow irrational and not worthy of a serious reply. At the same time, the term tries to turn the tables against the West, which in pro-Kremlin media is often depicted as a place where the fight against intolerance has gone too far.
If we accept the Russophobia narrative, it suddenly becomes the West that is intolerant, and not pro-Kremlin media with, for example, their regrettable use of homophobic, sexist, racist and anti-semitic propaganda. As Katri Pynnöniemi of the Finnish Institute of International Affairs puts it: “The attacker becomes the victim and the victim is accused of starting the conflict”.
“Russians are taught to hate and fear the world around them”
Last week, the claim that Russophobia is a serious global problem was questioned in an op-ed published by RBC, one of Russia’s leading independent news outlets. Vladislav Inozemtsev, a prominent commentator and opposition politician, criticised pro-Kremlin media and Russian government communicators for the use of this term under the headline “’Russophobia’ on the rise: How Russia’s authorities got carried away by a fake notion”. According to Mr. Inozemtsev, the main problem with this word is that it draws an equation between the state and the people.
In addition, Mr. Inozemtsev sees the phenomenon as a sign of an important difference between modern Kremlin propaganda and Soviet propaganda: “Today, the Russian authorities are appealing to the lowest, nationalistic feelings of their own citizens,” he writes. “They are trying to prove that the West does not stand up against Russia politically and ideologically, but almost revives the ‘hatred towards Slavs’ that was a part of the Third Reich. [Soviet propaganda] relied on the opposition of honest and hardworking citizens of Western countries to the capitalist elite, to corrupt politicians and the military-industrial complex. Now these differences are gone: The West is described as a spiritless society that is losing its moral foundations […] Russians are taught to hate and fear the world around them, and that is why politicians in Moscow tell these tales about the surrounding world disliking Russians.”
No “Russophobes” on the streets of Brussels
Last year we went out into the streets of Brussels and interviewed people about their attitudes towards Russia and Russians. Our attempt to challenge the Russophobia myth revealed not only that EU citizens speak positively about Russia and Russians, but thatthey also clearly distinguish between Russia and the Russian people on the one hand, and political disagreements between governments on the other. The video enjoyed popularity among Russian speaking Facebook users with more than 100,000 views, and was shared by many Russian-speaking users living in the EU.
S'il y a un mot qui donne le signal qu'un média est clairement pro-Kremlin, c'est "Russophobia". Les points de vente tels que RT, Sputnik et la télévision nationale nationale russe utilisent le terme pour expliquer presque toutes les critiques étrangères des politiques du Kremlin.
"Russophobia" peut apparaître sur l'ensemble, qu'il s'agisse de la Syrie, du Royaume-Uni, de l'UE, de l'Ukraine, ou essentiellement de n'importe quel endroit dans le monde. Le mois dernier, le président Vladimir Poutine a même utilisé le mot lorsqu'il a comparé la «Russophobie» en Occident à l'antisémitisme.
Défaire la critique
Mais qu'est-ce que cette chose s'appelle Russophobia? Le terme suggère une aversion fondamentale envers la Russie ou les Russes. En accusant les sociétés occidentales de «Russophobia», les points de propagande pro-Kremlin réduisent la critique des politiques et des actions du Kremlin pour être en quelque sorte irrationnel et ne sont pas dignes d'une réponse sérieuse. Dans le même temps, le terme tente de transformer les tables contre l'Occident, ce qui, dans les médias pro-Kremlin, est souvent représenté comme un lieu où la lutte contre l'intolérance est allée trop loin.
Si nous acceptons le récit de la russophobie, il devient soudainement l'Occident intolérant, et pas les médias pro-Kremlin avec, par exemple, leur utilisation regrettable de la propagande homophobe, sexiste, raciste et antisémite. Comme l'affirme Katri Pynnöniemi de l'Institut finlandais des affaires internationales: «L'attaquant devient la victime et la victime est accusée de commencer le conflit».
«Les Russes apprennent à haïr et à craindre le monde qui les entoure»
La semaine dernière, l'affirmation selon laquelle Russophobia est un grave problème mondial a été mise en doute dans un ouvrage publié par RBC, l'un des leaders mondiaux de l'actualité indépendante. Vladislav Inozemtsev, un éminent commentateur et politicien de l'opposition, a critiqué les médias pro-Kremlin et les communicateurs du gouvernement russe pour l'utilisation de ce terme sous le titre "Russophobia" à la hausse: comment les autorités russes ont été emportées par une fausse notion ". Selon M. Inozemtsev, le principal problème avec ce mot est qu'il établit une équation entre l'État et les gens.
En outre, M. Inozemtsev considère le phénomène comme un signe d'une différence importante entre la propagande moderne du Kremlin et la propagande soviétique: "Aujourd'hui, les autorités russes font appel aux plus bas sentiments nationalistes de leurs propres citoyens", écrit-il. "Ils essaient de prouver que l'Occident ne se résiste pas politiquement et idéologiquement à la Russie, mais revient presque à la« haine envers les Slaves »qui faisait partie du Troisième Reich. [La propagande soviétique] s'appuyait sur l'opposition des citoyens honnêtes et laborieux des pays occidentaux à l'élite capitaliste, pour corrompre les politiciens et le complexe militaro-industriel. Maintenant, ces différences sont disparues: l'Occident est décrit comme une société sans esprit qui perd ses bases morales [...] Les Russes apprennent à haïr et à redouter le monde qui les entoure, et c'est pourquoi les politiciens de Moscou racontent ces contes sur le monde qui l'entoure. Les Russes."
Pas de "Russophobes" dans les rues de Bruxelles
L'année dernière, nous sommes sortis dans les rues de Bruxelles et avons interviewé les gens au sujet de leurs attitudes envers la Russie et les Russes. Notre tentative de contester le mythe de la Russophobie a révélé non seulement que les citoyens de l'UE parlent positivement de la Russie et des Russes, mais qu'ils distinguent clairement entre la Russie et le peuple russe, d'une part, et les désaccords politiques entre les gouvernements de l'autre. La vidéo a connu une popularité parmi les utilisateurs russophones de Facebook avec plus de 100 000 points de vue et a été partagée par de nombreux utilisateurs russophones vivant dans l'UE.
If there is one word that gives the signal that a media outlet is clearly pro-Kremlin, it is “Russophobia”. Outlets such as RT, Sputnik and Russian national state television use the term to explain away almost any foreign criticism of Kremlin policies.
“Russophobia” can pop up all over the place – whether it concerns Syria, the UK, the EU, Ukraine, or basically any place in the world. Last month, the word was even used by President Putin when he compared “Russophobia” in the West to anti-Semitism.
Deflecting criticism
But what is this thing called Russophobia? The term suggests a fundamental dislike of Russia or Russians. By accusing Western societies of “Russophobia”, pro-Kremlin propaganda outlets downgrade criticism of Kremlin policies and actions to being somehow irrational and not worthy of a serious reply. At the same time, the term tries to turn the tables against the West, which in pro-Kremlin media is often depicted as a place where the fight against intolerance has gone too far.
If we accept the Russophobia narrative, it suddenly becomes the West that is intolerant, and not pro-Kremlin media with, for example, their regrettable use of homophobic, sexist, racist and anti-semitic propaganda. As Katri Pynnöniemi of the Finnish Institute of International Affairs puts it: “The attacker becomes the victim and the victim is accused of starting the conflict”.
“Russians are taught to hate and fear the world around them”
Last week, the claim that Russophobia is a serious global problem was questioned in an op-ed published by RBC, one of Russia’s leading independent news outlets. Vladislav Inozemtsev, a prominent commentator and opposition politician, criticised pro-Kremlin media and Russian government communicators for the use of this term under the headline “’Russophobia’ on the rise: How Russia’s authorities got carried away by a fake notion”. According to Mr. Inozemtsev, the main problem with this word is that it draws an equation between the state and the people.
In addition, Mr. Inozemtsev sees the phenomenon as a sign of an important difference between modern Kremlin propaganda and Soviet propaganda: “Today, the Russian authorities are appealing to the lowest, nationalistic feelings of their own citizens,” he writes. “They are trying to prove that the West does not stand up against Russia politically and ideologically, but almost revives the ‘hatred towards Slavs’ that was a part of the Third Reich. [Soviet propaganda] relied on the opposition of honest and hardworking citizens of Western countries to the capitalist elite, to corrupt politicians and the military-industrial complex. Now these differences are gone: The West is described as a spiritless society that is losing its moral foundations […] Russians are taught to hate and fear the world around them, and that is why politicians in Moscow tell these tales about the surrounding world disliking Russians.”
No “Russophobes” on the streets of Brussels
Last year we went out into the streets of Brussels and interviewed people about their attitudes towards Russia and Russians. Our attempt to challenge the Russophobia myth revealed not only that EU citizens speak positively about Russia and Russians, but thatthey also clearly distinguish between Russia and the Russian people on the one hand, and political disagreements between governments on the other. The video enjoyed popularity among Russian speaking Facebook users with more than 100,000 views, and was shared by many Russian-speaking users living in the EU.
S'il y a un mot qui donne le signal qu'un média est clairement pro-Kremlin, c'est "Russophobia". Les points de vente tels que RT, Sputnik et la télévision nationale nationale russe utilisent le terme pour expliquer presque toutes les critiques étrangères des politiques du Kremlin.
"Russophobia" peut apparaître sur l'ensemble, qu'il s'agisse de la Syrie, du Royaume-Uni, de l'UE, de l'Ukraine, ou essentiellement de n'importe quel endroit dans le monde. Le mois dernier, le président Vladimir Poutine a même utilisé le mot lorsqu'il a comparé la «Russophobie» en Occident à l'antisémitisme.
Défaire la critique
Mais qu'est-ce que cette chose s'appelle Russophobia? Le terme suggère une aversion fondamentale envers la Russie ou les Russes. En accusant les sociétés occidentales de «Russophobia», les points de propagande pro-Kremlin réduisent la critique des politiques et des actions du Kremlin pour être en quelque sorte irrationnel et ne sont pas dignes d'une réponse sérieuse. Dans le même temps, le terme tente de transformer les tables contre l'Occident, ce qui, dans les médias pro-Kremlin, est souvent représenté comme un lieu où la lutte contre l'intolérance est allée trop loin.
Si nous acceptons le récit de la russophobie, il devient soudainement l'Occident intolérant, et pas les médias pro-Kremlin avec, par exemple, leur utilisation regrettable de la propagande homophobe, sexiste, raciste et antisémite. Comme l'affirme Katri Pynnöniemi de l'Institut finlandais des affaires internationales: «L'attaquant devient la victime et la victime est accusée de commencer le conflit».
«Les Russes apprennent à haïr et à craindre le monde qui les entoure»
La semaine dernière, l'affirmation selon laquelle Russophobia est un grave problème mondial a été mise en doute dans un ouvrage publié par RBC, l'un des leaders mondiaux de l'actualité indépendante. Vladislav Inozemtsev, un éminent commentateur et politicien de l'opposition, a critiqué les médias pro-Kremlin et les communicateurs du gouvernement russe pour l'utilisation de ce terme sous le titre "Russophobia" à la hausse: comment les autorités russes ont été emportées par une fausse notion ". Selon M. Inozemtsev, le principal problème avec ce mot est qu'il établit une équation entre l'État et les gens.
En outre, M. Inozemtsev considère le phénomène comme un signe d'une différence importante entre la propagande moderne du Kremlin et la propagande soviétique: "Aujourd'hui, les autorités russes font appel aux plus bas sentiments nationalistes de leurs propres citoyens", écrit-il. "Ils essaient de prouver que l'Occident ne se résiste pas politiquement et idéologiquement à la Russie, mais revient presque à la« haine envers les Slaves »qui faisait partie du Troisième Reich. [La propagande soviétique] s'appuyait sur l'opposition des citoyens honnêtes et laborieux des pays occidentaux à l'élite capitaliste, pour corrompre les politiciens et le complexe militaro-industriel. Maintenant, ces différences sont disparues: l'Occident est décrit comme une société sans esprit qui perd ses bases morales [...] Les Russes apprennent à haïr et à redouter le monde qui les entoure, et c'est pourquoi les politiciens de Moscou racontent ces contes sur le monde qui l'entoure. Les Russes."
Pas de "Russophobes" dans les rues de Bruxelles
L'année dernière, nous sommes sortis dans les rues de Bruxelles et avons interviewé les gens au sujet de leurs attitudes envers la Russie et les Russes. Notre tentative de contester le mythe de la Russophobie a révélé non seulement que les citoyens de l'UE parlent positivement de la Russie et des Russes, mais qu'ils distinguent clairement entre la Russie et le peuple russe, d'une part, et les désaccords politiques entre les gouvernements de l'autre. La vidéo a connu une popularité parmi les utilisateurs russophones de Facebook avec plus de 100 000 points de vue et a été partagée par de nombreux utilisateurs russophones vivant dans l'UE.
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: La propagande
Tain, ils ont l'imagination débordante:
Imminente menace de guerre civile - en Suède!
Social alienation is a condition characterised by a low degree of common values and integration and a high degree of distance between individuals or groups of people. That sense of distance between two groups feeds on a sense of doubt about "the other". In pro-Kremlin disinformation, Europe/the West is that "other", and thus has to be presented as different in some way – perhaps suspicious, evil or simply weak.
This week in pro-Kremlin disinformation, we learned once again that European countries are "Russophobic"; that they steal children away from their parents without any grounds; and that they are imposing LGBT policies to make Georgian children immoral so that they conduct colour revolutions when they grow up. These are all topics we have seen before - read more here, here and here.
Imminente menace de guerre civile - en Suède!
Social alienation is a condition characterised by a low degree of common values and integration and a high degree of distance between individuals or groups of people. That sense of distance between two groups feeds on a sense of doubt about "the other". In pro-Kremlin disinformation, Europe/the West is that "other", and thus has to be presented as different in some way – perhaps suspicious, evil or simply weak.
This week in pro-Kremlin disinformation, we learned once again that European countries are "Russophobic"; that they steal children away from their parents without any grounds; and that they are imposing LGBT policies to make Georgian children immoral so that they conduct colour revolutions when they grow up. These are all topics we have seen before - read more here, here and here.
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Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: La propagande
Même le G20 leur sert:
Moscow saddos have to photoshop Putin into the picture to "prove" that Putin is such a great leader. The Potemkin State as it is.
Les saddos de Moscou doivent photoshoper Poutine pour "prouver" que Poutine est un grand leader. L'État de Potemkin tel qu'il est.
01:18 - 9 juil. 2017
En haut la vraie photo et en bas, la russe.
Moscow saddos have to photoshop Putin into the picture to "prove" that Putin is such a great leader. The Potemkin State as it is.
Les saddos de Moscou doivent photoshoper Poutine pour "prouver" que Poutine est un grand leader. L'État de Potemkin tel qu'il est.
01:18 - 9 juil. 2017
En haut la vraie photo et en bas, la russe.
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: La propagande
Et maintenant, la version twitter:
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: La propagande
Inside Russia’s propaganda machine
For years, the Kremlin and the media it controls have waged a multifaceted information (and disinformation) campaign inside Russia and pointed at its perceived adversaries, including the U.S. As part of our week-long series Inside Putin's Russia, special correspondent Nick Schifrin and producer Zach Fannin report on the information wars, in collaboration with the Pulitzer Center on Crisis Reporting.
Voir la vidéo en suivant le lien.
Pendant des années, le Kremlin et les médias qu'il contrôle ont mené une campagne multidisciplinaire d'information (et de désinformation) à l'intérieur de la Russie et ont souligné ses adversaires perçus, y compris les États-Unis. Dans le cadre de notre série d'une semaine, la Russie d'Inside Putin, le correspondant spécial Nick Schifrin et le producteur Zach Fannin fait rapport sur les guerres de l'information, en collaboration avec le Centre Pulitzer sur les rapports de crise.
For years, the Kremlin and the media it controls have waged a multifaceted information (and disinformation) campaign inside Russia and pointed at its perceived adversaries, including the U.S. As part of our week-long series Inside Putin's Russia, special correspondent Nick Schifrin and producer Zach Fannin report on the information wars, in collaboration with the Pulitzer Center on Crisis Reporting.
Voir la vidéo en suivant le lien.
Pendant des années, le Kremlin et les médias qu'il contrôle ont mené une campagne multidisciplinaire d'information (et de désinformation) à l'intérieur de la Russie et ont souligné ses adversaires perçus, y compris les États-Unis. Dans le cadre de notre série d'une semaine, la Russie d'Inside Putin, le correspondant spécial Nick Schifrin et le producteur Zach Fannin fait rapport sur les guerres de l'information, en collaboration avec le Centre Pulitzer sur les rapports de crise.
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: La propagande
Exploiting commemorations
This week we commemorated again the tragic loss of 298 lives on the 17th of July 2014, when Malaysian Airlines flight MH17 was shot down over Eastern Ukraine. As the subject of one of the most extensive and persistent of all pro-Kremlin disinformation campaigns, the MH17 tragedy is something we have written about many times before.
This week, entirely predictably, came another blatant attempt to confuse; namely, a story that the flight was not downed by a Russian BUK-missile – as concluded by The Joint Investigation Team (JIT) – but was destroyed by an explosion inside the plane. This, and many other conspiracy theories have been debunked by Bellingcat simply by pointing to the open source evidence that is publicly available to all.
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Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
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