World Cup 2018
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World Cup 2018
La Russie présente son logo qui est déjà la risée des internautes
http://www.themoscowtimes.com/news/article/russia-s-football-world-cup-logo-gets-mocked-online/510235.html
et la honte de la FIFA qui cautionne l'annexion de la Crimée
https://twitter.com/RoslyakovAP/status/527337149457526784
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Re: World Cup 2018
Russia Faces Budget Deficit for 2018 World Cup
The Moscow TimesDec. 26 2014 17:55 Last edited 17:55
Russian Sports Minister Vitaly Mutko has announced that a deficit in next year's budget for the 2018 FIFA World Cup means officials must seek financial support from private donors, a news report said Friday.
"There is a budget deficit for 2015, so the organizing committee is counting on donations from individuals," Mutko said in comments carried by the online sports portal R-Sport, part of the state-run Rossia Segodnya news agency.
Mutko's comments come after Alexei Sorokin, head of the World Cup organizing committee, said Russia's current economic troubles were not likely to impact preparations for the football championship, since the budget is in foreign currency and thus untouched by this year's drastic devaluation of the ruble currency.
The 2018 World Cup is set to be held in 11 cities throughout the country, including Moscow, St. Petersburg, Kaliningrad, Sochi and Yekaterinburg, among others.
Projects connected to the 2018 World Cup are estimated to cost a total of 664 billion rubles ($13 billion), with half of that coming from Russia's federal budget, Reuters reported.
The Moscow TimesDec. 26 2014 17:55 Last edited 17:55
Russian Sports Minister Vitaly Mutko has announced that a deficit in next year's budget for the 2018 FIFA World Cup means officials must seek financial support from private donors, a news report said Friday.
"There is a budget deficit for 2015, so the organizing committee is counting on donations from individuals," Mutko said in comments carried by the online sports portal R-Sport, part of the state-run Rossia Segodnya news agency.
Mutko's comments come after Alexei Sorokin, head of the World Cup organizing committee, said Russia's current economic troubles were not likely to impact preparations for the football championship, since the budget is in foreign currency and thus untouched by this year's drastic devaluation of the ruble currency.
The 2018 World Cup is set to be held in 11 cities throughout the country, including Moscow, St. Petersburg, Kaliningrad, Sochi and Yekaterinburg, among others.
Projects connected to the 2018 World Cup are estimated to cost a total of 664 billion rubles ($13 billion), with half of that coming from Russia's federal budget, Reuters reported.
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Re: World Cup 2018
Soccer World Cup in Russia 2018
Group A
1. Russia
2. South Ossetia
3. Donetsk People's Republic
4. Zimbabwe
Group B:
1. Chechnya
2. Transnistria
3. Lugansk People's Republic
4. Abkhazia
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Re: World Cup 2018
Caduce62 a écrit:Soccer World Cup in Russia 2018
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Humour absolument décapant mon ami
Tu gagnes à être connu Le pire c'est que tu paraît très "soft" quand on te rencontre en "live"
Continue à nous faire rire avec tes caricatures et tes blagues
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Re: World Cup 2018
Pognon Fric et petites magouilles
LE SCAN SPORT - La Fifa a fait savoir que les prix des places pour la Coupe du monde 2018 iront de 94 euros pour les billets les moins chers, à 994 euros pour la finale.
A deux ans de la Coupe du monde en Russie (14 juillet-15 juin 2018), la Fifa a déjà fixé le prix des billets pour les stades. Les tickets les moins chers coûteront 105 dollars (94 euros). Les résidents russes bénéficieront de prix préférentiels allant de 1.280 roubles (17,8 euros) pour les matches du premier tour à 7.040 roubles (98 euros) pour la finale.
«Nous voulions être sûrs que les prix soient justes pour rendre les évènements accessibles au maximum de monde possible», a déclaré au cours d'une conférence de presse à Moscou la secrétaire générale de la Fifa, Fatma Samoura, citée dans un communiqué.
Les billets les plus chers pour la finale fixés à 994 euros
Pour la finale, il faudra débourser au moins 455 dollars (402 euros) pour les places les plus attractives et 1100 dollars (994 euros) pour les billets les plus onéreux. Concernant le match d'ouverture, les prix iront de 220 dollars (198 euros) à 550 dollars (496 euros).
Lors du Mondial-2014 organisé au Brésil, les billets les moins chers coûtaient 90 dollars pour les matches du premier tour et montaient à 440 dollars pour la finale. A titre de comparaison, il était possible de trouver des billets à 25 euros pour les matches du premier tour de l'Euro-2016 organisé actuellement en France. Les billets pour la finale, qui aura lieu dimanche, coûtaient pour leur part de 85 à 895 euros.
LE SCAN SPORT - La Fifa a fait savoir que les prix des places pour la Coupe du monde 2018 iront de 94 euros pour les billets les moins chers, à 994 euros pour la finale.
A deux ans de la Coupe du monde en Russie (14 juillet-15 juin 2018), la Fifa a déjà fixé le prix des billets pour les stades. Les tickets les moins chers coûteront 105 dollars (94 euros). Les résidents russes bénéficieront de prix préférentiels allant de 1.280 roubles (17,8 euros) pour les matches du premier tour à 7.040 roubles (98 euros) pour la finale.
«Nous voulions être sûrs que les prix soient justes pour rendre les évènements accessibles au maximum de monde possible», a déclaré au cours d'une conférence de presse à Moscou la secrétaire générale de la Fifa, Fatma Samoura, citée dans un communiqué.
Les billets les plus chers pour la finale fixés à 994 euros
Pour la finale, il faudra débourser au moins 455 dollars (402 euros) pour les places les plus attractives et 1100 dollars (994 euros) pour les billets les plus onéreux. Concernant le match d'ouverture, les prix iront de 220 dollars (198 euros) à 550 dollars (496 euros).
Lors du Mondial-2014 organisé au Brésil, les billets les moins chers coûtaient 90 dollars pour les matches du premier tour et montaient à 440 dollars pour la finale. A titre de comparaison, il était possible de trouver des billets à 25 euros pour les matches du premier tour de l'Euro-2016 organisé actuellement en France. Les billets pour la finale, qui aura lieu dimanche, coûtaient pour leur part de 85 à 895 euros.
Caduce62- Messages : 15213
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Re: World Cup 2018
Ah ! Ce très cher monde du sport (de football) !Caduce62 a écrit:Pognon Fric et petites magouilles
LE SCAN SPORT - La Fifa a fait savoir que les prix des places pour la Coupe du monde 2018 iront de 94 euros pour les billets les moins chers, à 994 euros pour la finale.
Thuramir- Messages : 3677
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Re: World Cup 2018
Matt a écrit:A la portée de toutes les bourses en Russie . . .
Le monde du football est un monde pourri et pas uniquement en Russie, mais à peu près partout.
Thuramir- Messages : 3677
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Re: World Cup 2018
La Russie risque maintenant réellement d'être dépouillé de la Coupe du Monde 2018, Trump est son "dernier espoir"
FIFA.com
With yet another sports competition just moved out of Russia (2017 Biathlon World Cup & World Championships) and attention to former sports minister Vitaly Mutko’s role in the doping scandal intensifying, many in Moscow now fear that Russia could be stripped of the 2018 FIFA World Cup.
That would be a both a major personal and public relations disaster for Vladimir Putin who has long insisted that hosting the World Cup was just as important an indication that Russia under his leadership was again “standing on its feet” as was the 2014 Winter Olympics in Sochi, now so tarnished by the Russian government’s doping program.
As a result, some in Moscow are considering how best to play defense, including radical steps like firing Mutko, in an effort to save the situation [Note that in October 2016, already after the the doping scheme got publicly exposed, Putin promoted Mutko from his position as Russia’s sports minister to a deputy prime minister – Ed.]. And it is likely although certainly not the subject of public discussion that the Kremlin will try to save its right to host the competition by trying to corrupt any decision-making process about it.
On the Versiya portal, Irina Gritsinskaya says that FIFA has begun an investigation into the role of Mutko in the doping scandal and that if it determines that he was involved, he will be banned from football in the future and the 2018 FIFA World Cup may be shifted from Russia.
The World Anti-Doping Agency (WADA) had pointed to Mutko in its report of some six months ago, the sports commentator says. It appears to be coming up again because of the spate of decisions by various sports groups to shift international athletic competitions out of Russia to other countries.
Vladimir Putin congratulating Russia’s sports minister Vitaly Mutko (believed to be the top administrator of the state-organized doping system) with his birthday at a joint meeting of the Council for Physical Education and Sports under the President of Russia and the Organizing Committee for the 2018 FIFA World Cup. The book Putin holds in his hand is an English language self-study textbook being presented to Mutko as a prank gift. December 2015, Moscow, Russia (Image: Mikhail Metzel/TASS)
And now it is football’s turn, she says. At the end of December, FIFA dropped Russia from 55th to 56th in its world rankings even though the Russian team had not taken part in any matches earlier in the month, an indication, she suggests, that the football world is now taking a closer look at all things connected to Russia.
Indeed, when the FIFA report was released, Grinitskaya says, “it became known that among those suspected of using drugs were [11 current Russian] football players,” in addition to four who had been identified as doing so earlier. That creates a new situation with which Moscow must cope.
According to Grinitskaya, the smallest loss Russia is likely to have to absorb is the retirement of Mutko from the federal government. More serious — but still not fatal — would be a ban on the 11 new players who reportedly have taken performance-enhancing drugs. But the most serious would be for FIFA to decide to strip Russia of the right to host the competition in 2018.
Vladimir Putin has pledged Moscow’s full cooperation with the investigation, although he has continued to insist, as have all other Russian officials, that there never has been and is not now a state-organized program of doping and its cover up, despite what FIFA’s earlier investigation showed.
The question in Moscow now is whether Russia will be allowed to host the 2018 competition or not, Grinitskaya says. Some experts, like the observer for the Russian sports paper Chempionat, say that FIFA will try to avoid taking the games away from Russia because of the complications that would create so close to their scheduled opening date.
But he and others acknowledge that pressure from various countries and athletic federations may increase to the point that FIFA will have no choice, whatever its preferences are.
Grinitskaya quotes an Italian sports writer from Il Giornale about what the latter says are US attempts to take the World Cup away from Russia. But he adds, in what may be Moscow’s last hope to save the situation, “I do not think that Mr. Trump will have the audacity to do so.”
Avec une autre compétition sportive qui vient de quitter la Russie (2017 Coupe du Monde de Biathlon et Championnats du Monde) et l'attention à l'ancien ministre du sport Vitaly Mutko rôle dans le scandale dopage s'intensifiant, beaucoup à Moscou craignent maintenant que la Russie pourrait être dépouillé de la FIFA 2018 Coupe du Monde .
Il s'agirait à la fois d'une importante catastrophe personnelle et de relations publiques pour Vladimir Poutine qui a longtemps insisté sur le fait que la tenue de la Coupe du Monde était tout aussi important que la Russie sous sa direction était de nouveau «debout» comme les Jeux olympiques d'hiver de 2014 Sotchi, maintenant tellement ternie par le programme de dopage du gouvernement russe.
Par conséquent, certains à Moscou envisagent la meilleure façon de jouer la défense, y compris des mesures radicales comme le tir Mutko, dans un effort pour sauver la situation [Notez qu'en octobre 2016, après que le dopage a été exposé publiquement, Poutine a promu Mutko de Sa position de ministre des sports de la Russie à un vice-premier ministre - Ed.]. Et il est probable, bien que certainement pas le sujet de la discussion publique que le Kremlin va essayer de sauver son droit d'accueillir la concurrence en essayant de corrompre tout processus décisionnel à ce sujet.
Sur le portail de Versiya, Irina Gritsinskaya dit que la FIFA a commencé une enquête sur le rôle de Mutko dans le scandale du dopage et que s'il détermine qu'il était impliqué, il sera interdit de football dans le futur et la Coupe du Monde de la FIFA 2018 peut être Déplacé de Russie.
L'Agence mondiale antidopage (AMA) avait signalé Mutko dans son rapport il ya environ six mois, dit le commentateur sportif. Il semble être à venir à nouveau en raison de la vague de décisions prises par divers groupes sportifs pour déplacer des compétitions internationales de sport hors de la Russie à d'autres pays.
Vladimir Poutine félicite le ministre russe des Sports Vitaly Mutko (qui est considéré comme le premier administrateur du système de dopage organisé par l'Etat) lors de sa réunion conjointe du Conseil de l'éducation physique et des sports sous le Président de la Russie et du Comité d'organisation pour 2018 Coupe du monde Fifa. Le livre Poutine tient dans sa main est un manuel d'auto-étude de langue anglaise étant présenté à Mutko comme un cadeau de broche. Décembre 2015, Moscou, Russie (Image: Mikhail Metzel / TASS)
Vladimir Poutine félicite le ministre russe des Sports Vitaly Mutko (qui est considéré comme le premier administrateur du système de dopage organisé par l'Etat) lors de sa réunion conjointe du Conseil de l'éducation physique et des sports sous le Président de la Russie et du Comité d'organisation pour 2018 Coupe du monde Fifa. Le livre Poutine tient dans sa main est un manuel d'auto-étude de langue anglaise étant présenté à Mutko comme un cadeau de broche. Décembre 2015, Moscou, Russie (Image: Mikhail Metzel / TASS)
Et maintenant c'est le tour du football, dit-elle. A la fin du mois de décembre, la FIFA a abandonné la Russie de la 55e à la 56e place dans le classement mondial, même si l'équipe russe n'avait participé à aucun match au début du mois, ce qui semble indiquer que le monde du football regarde de plus près À toutes les choses liées à la Russie.
En effet, lorsque le rapport de la FIFA a été publié, Grinitskaya dit, "il est devenu connu que parmi les suspectés d'utiliser des drogues étaient [11 russes actuels] joueurs de football", en plus de quatre qui avaient été identifiés comme faisant plus tôt. Cela crée une nouvelle situation à laquelle Moscou doit faire face.
Selon Grinitskaya, la perte la plus faible de la Russie est susceptible d'avoir à absorber est la retraite de Mutko du gouvernement fédéral. Plus sérieux, mais pas mortel, ce serait une interdiction pour les 11 nouveaux joueurs qui auraient pris des médicaments améliorant la performance. Mais le plus grave serait que la FIFA décide de retirer à la Russie le droit d'accueillir la compétition en 2018.
Vladimir Poutine a promis la pleine coopération de Moscou avec l'enquête, bien qu'il ait continué à insister, comme tous les autres responsables russes, qu'il n'y a jamais eu et n'est pas maintenant un programme organisé par l'Etat de dopage et son cover up, malgré ce que la FIFA L'enquête a montré.
La question à Moscou est maintenant de savoir si la Russie sera autorisée à accueillir la compétition de 2018 ou non, dit Grinitskaya. Certains experts, comme l'observateur du journal sportif russe Chempionat, disent que la FIFA essaiera d'éviter de quitter la Russie en raison des complications qui se produiraient si près de leur date d'ouverture prévue.
Mais lui et d'autres personnes reconnaissent que la pression de divers pays et fédérations sportives peut augmenter au point que la FIFA n'aura pas le choix, quelles que soient ses préférences.
Grinitskaya cite un écrivain sportif italien de Il Giornale sur ce que ce dernier dit sont les tentatives américaines de prendre la Coupe du Monde loin de la Russie. Mais il ajoute, dans ce qui peut être le dernier espoir de Moscou pour sauver la situation: "Je ne pense pas que M. Trump aura l'audace de le faire."
FIFA.com
With yet another sports competition just moved out of Russia (2017 Biathlon World Cup & World Championships) and attention to former sports minister Vitaly Mutko’s role in the doping scandal intensifying, many in Moscow now fear that Russia could be stripped of the 2018 FIFA World Cup.
That would be a both a major personal and public relations disaster for Vladimir Putin who has long insisted that hosting the World Cup was just as important an indication that Russia under his leadership was again “standing on its feet” as was the 2014 Winter Olympics in Sochi, now so tarnished by the Russian government’s doping program.
As a result, some in Moscow are considering how best to play defense, including radical steps like firing Mutko, in an effort to save the situation [Note that in October 2016, already after the the doping scheme got publicly exposed, Putin promoted Mutko from his position as Russia’s sports minister to a deputy prime minister – Ed.]. And it is likely although certainly not the subject of public discussion that the Kremlin will try to save its right to host the competition by trying to corrupt any decision-making process about it.
On the Versiya portal, Irina Gritsinskaya says that FIFA has begun an investigation into the role of Mutko in the doping scandal and that if it determines that he was involved, he will be banned from football in the future and the 2018 FIFA World Cup may be shifted from Russia.
The World Anti-Doping Agency (WADA) had pointed to Mutko in its report of some six months ago, the sports commentator says. It appears to be coming up again because of the spate of decisions by various sports groups to shift international athletic competitions out of Russia to other countries.
Vladimir Putin congratulating Russia’s sports minister Vitaly Mutko (believed to be the top administrator of the state-organized doping system) with his birthday at a joint meeting of the Council for Physical Education and Sports under the President of Russia and the Organizing Committee for the 2018 FIFA World Cup. The book Putin holds in his hand is an English language self-study textbook being presented to Mutko as a prank gift. December 2015, Moscow, Russia (Image: Mikhail Metzel/TASS)
And now it is football’s turn, she says. At the end of December, FIFA dropped Russia from 55th to 56th in its world rankings even though the Russian team had not taken part in any matches earlier in the month, an indication, she suggests, that the football world is now taking a closer look at all things connected to Russia.
Indeed, when the FIFA report was released, Grinitskaya says, “it became known that among those suspected of using drugs were [11 current Russian] football players,” in addition to four who had been identified as doing so earlier. That creates a new situation with which Moscow must cope.
According to Grinitskaya, the smallest loss Russia is likely to have to absorb is the retirement of Mutko from the federal government. More serious — but still not fatal — would be a ban on the 11 new players who reportedly have taken performance-enhancing drugs. But the most serious would be for FIFA to decide to strip Russia of the right to host the competition in 2018.
Vladimir Putin has pledged Moscow’s full cooperation with the investigation, although he has continued to insist, as have all other Russian officials, that there never has been and is not now a state-organized program of doping and its cover up, despite what FIFA’s earlier investigation showed.
The question in Moscow now is whether Russia will be allowed to host the 2018 competition or not, Grinitskaya says. Some experts, like the observer for the Russian sports paper Chempionat, say that FIFA will try to avoid taking the games away from Russia because of the complications that would create so close to their scheduled opening date.
But he and others acknowledge that pressure from various countries and athletic federations may increase to the point that FIFA will have no choice, whatever its preferences are.
Grinitskaya quotes an Italian sports writer from Il Giornale about what the latter says are US attempts to take the World Cup away from Russia. But he adds, in what may be Moscow’s last hope to save the situation, “I do not think that Mr. Trump will have the audacity to do so.”
Avec une autre compétition sportive qui vient de quitter la Russie (2017 Coupe du Monde de Biathlon et Championnats du Monde) et l'attention à l'ancien ministre du sport Vitaly Mutko rôle dans le scandale dopage s'intensifiant, beaucoup à Moscou craignent maintenant que la Russie pourrait être dépouillé de la FIFA 2018 Coupe du Monde .
Il s'agirait à la fois d'une importante catastrophe personnelle et de relations publiques pour Vladimir Poutine qui a longtemps insisté sur le fait que la tenue de la Coupe du Monde était tout aussi important que la Russie sous sa direction était de nouveau «debout» comme les Jeux olympiques d'hiver de 2014 Sotchi, maintenant tellement ternie par le programme de dopage du gouvernement russe.
Par conséquent, certains à Moscou envisagent la meilleure façon de jouer la défense, y compris des mesures radicales comme le tir Mutko, dans un effort pour sauver la situation [Notez qu'en octobre 2016, après que le dopage a été exposé publiquement, Poutine a promu Mutko de Sa position de ministre des sports de la Russie à un vice-premier ministre - Ed.]. Et il est probable, bien que certainement pas le sujet de la discussion publique que le Kremlin va essayer de sauver son droit d'accueillir la concurrence en essayant de corrompre tout processus décisionnel à ce sujet.
Sur le portail de Versiya, Irina Gritsinskaya dit que la FIFA a commencé une enquête sur le rôle de Mutko dans le scandale du dopage et que s'il détermine qu'il était impliqué, il sera interdit de football dans le futur et la Coupe du Monde de la FIFA 2018 peut être Déplacé de Russie.
L'Agence mondiale antidopage (AMA) avait signalé Mutko dans son rapport il ya environ six mois, dit le commentateur sportif. Il semble être à venir à nouveau en raison de la vague de décisions prises par divers groupes sportifs pour déplacer des compétitions internationales de sport hors de la Russie à d'autres pays.
Vladimir Poutine félicite le ministre russe des Sports Vitaly Mutko (qui est considéré comme le premier administrateur du système de dopage organisé par l'Etat) lors de sa réunion conjointe du Conseil de l'éducation physique et des sports sous le Président de la Russie et du Comité d'organisation pour 2018 Coupe du monde Fifa. Le livre Poutine tient dans sa main est un manuel d'auto-étude de langue anglaise étant présenté à Mutko comme un cadeau de broche. Décembre 2015, Moscou, Russie (Image: Mikhail Metzel / TASS)
Vladimir Poutine félicite le ministre russe des Sports Vitaly Mutko (qui est considéré comme le premier administrateur du système de dopage organisé par l'Etat) lors de sa réunion conjointe du Conseil de l'éducation physique et des sports sous le Président de la Russie et du Comité d'organisation pour 2018 Coupe du monde Fifa. Le livre Poutine tient dans sa main est un manuel d'auto-étude de langue anglaise étant présenté à Mutko comme un cadeau de broche. Décembre 2015, Moscou, Russie (Image: Mikhail Metzel / TASS)
Et maintenant c'est le tour du football, dit-elle. A la fin du mois de décembre, la FIFA a abandonné la Russie de la 55e à la 56e place dans le classement mondial, même si l'équipe russe n'avait participé à aucun match au début du mois, ce qui semble indiquer que le monde du football regarde de plus près À toutes les choses liées à la Russie.
En effet, lorsque le rapport de la FIFA a été publié, Grinitskaya dit, "il est devenu connu que parmi les suspectés d'utiliser des drogues étaient [11 russes actuels] joueurs de football", en plus de quatre qui avaient été identifiés comme faisant plus tôt. Cela crée une nouvelle situation à laquelle Moscou doit faire face.
Selon Grinitskaya, la perte la plus faible de la Russie est susceptible d'avoir à absorber est la retraite de Mutko du gouvernement fédéral. Plus sérieux, mais pas mortel, ce serait une interdiction pour les 11 nouveaux joueurs qui auraient pris des médicaments améliorant la performance. Mais le plus grave serait que la FIFA décide de retirer à la Russie le droit d'accueillir la compétition en 2018.
Vladimir Poutine a promis la pleine coopération de Moscou avec l'enquête, bien qu'il ait continué à insister, comme tous les autres responsables russes, qu'il n'y a jamais eu et n'est pas maintenant un programme organisé par l'Etat de dopage et son cover up, malgré ce que la FIFA L'enquête a montré.
La question à Moscou est maintenant de savoir si la Russie sera autorisée à accueillir la compétition de 2018 ou non, dit Grinitskaya. Certains experts, comme l'observateur du journal sportif russe Chempionat, disent que la FIFA essaiera d'éviter de quitter la Russie en raison des complications qui se produiraient si près de leur date d'ouverture prévue.
Mais lui et d'autres personnes reconnaissent que la pression de divers pays et fédérations sportives peut augmenter au point que la FIFA n'aura pas le choix, quelles que soient ses préférences.
Grinitskaya cite un écrivain sportif italien de Il Giornale sur ce que ce dernier dit sont les tentatives américaines de prendre la Coupe du Monde loin de la Russie. Mais il ajoute, dans ce qui peut être le dernier espoir de Moscou pour sauver la situation: "Je ne pense pas que M. Trump aura l'audace de le faire."
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Re: World Cup 2018
German newspaper Bild announces boycott of 2017 FIFA Confederations Cup in Russia
Wednesday, April 26, 2017 12:12:00 PM
The German newspaper, Bild, announced their boycott of Russia, where the 2017 FIFA Confederations Cup will be held in the summer. The German newspaper refuses to send their journalists to the largest football tournament due to censorship by Russian President Vladimir Putin.
According to Bild, media representatives’ freedom of speech was restricted.
"Putin imposed censorship on the precursor to the World Cup. Journalists were only allowed to report on Confederations Cup football matches. The president of Russia will not allow journalists to report freely," the article, Bild Boycotts Putin's Tournament reads.
It was noted that in addition, the visiting media are "denied freedom" by limiting their work only to the sport venues. They are not allowed to write about anything other than football or travel to other cities, but only those where games will take place.
"A journalist who cannot report everything he sees is not a journalist, but a propagandist," the author of the publication, Matthias Brügelmann wrote.
Wednesday, April 26, 2017 12:12:00 PM
The German newspaper, Bild, announced their boycott of Russia, where the 2017 FIFA Confederations Cup will be held in the summer. The German newspaper refuses to send their journalists to the largest football tournament due to censorship by Russian President Vladimir Putin.
According to Bild, media representatives’ freedom of speech was restricted.
"Putin imposed censorship on the precursor to the World Cup. Journalists were only allowed to report on Confederations Cup football matches. The president of Russia will not allow journalists to report freely," the article, Bild Boycotts Putin's Tournament reads.
It was noted that in addition, the visiting media are "denied freedom" by limiting their work only to the sport venues. They are not allowed to write about anything other than football or travel to other cities, but only those where games will take place.
"A journalist who cannot report everything he sees is not a journalist, but a propagandist," the author of the publication, Matthias Brügelmann wrote.
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Re: World Cup 2018
Il leur en a fallu du temps pour s'en rendre compte . . .
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Re: World Cup 2018
Mondial 2018 en Russie : des travailleurs « exploités » sur les chantiers
Selon l’ONG internationale Human Rights Watch, les ouvriers chargés de la construction des stades sont victimes « d’abus et d’exploitation ».
Le Monde.fr avec AFP | 14.06.2017 à 09h32 • Mis à jour le 14.06.2017 à 09h41
Les ouvriers chargés de la construction des stades du Mondial 2018 en Russie sont victimes « d’abus et d’exploitation », a rapporté, mercredi 14 juin, l’organisation non gouvernementale internationale Human Rights Watch (HRW).
HRW dit avoir visité sept chantiers de stades devant accueillir le Mondial et constaté des irrégularités sur six d’entre eux, notamment des « salaires non payés ou des retards de salaires de plusieurs mois, du travail par des températures descendant à – 25 degrés Celsius sans protections suffisantes ou l’incapacité des employeurs à fournir des contrats de travail légaux » aux ouvriers.
« La FIFA n’a pas encore montré qu’elle peut efficacement surveiller, empêcher et remédier à ces problèmes », dénonce Jane Buchanan, directrice de HRW pour l’Europe et l’Asie centrale, dans le rapport publié mercredi. HRW, qui cite les chiffres de l’Internationale des travailleurs du bâtiment et du bois (IBB), précise que 17 ouvriers sont morts sur les chantiers des stades de la Coupe du monde.
« Une atmosphère d’intimidation et de suspicion »
L’ONG dénonce aussi « les rapports crédibles » concernant l’emploi d’ouvriers nord-coréens « travaillant de longues journées avec peu de jours de congé » sur le chantier du stade de Saint-Pétersbourg.
La FIFA avait affirmé que plus aucun ouvrier nord-coréen ne travaillait sur le chantier du Saint-Pétersbourg, mais « n’a rendu publique aucune information sur les mesures prises pour protéger ou aider ces travailleurs », regrette HRW.
« Les travailleurs interrogés par Human Rights Watch ont invariablement dit qu’ils avaient peur de parler de ces abus, craignant des représailles de leurs employeurs », ajoute l’organisation.
Tout en signalant « une atmosphère d’intimidation et de suspicion », l’organisation précise qu’un de ses membres a été interpellé en avril 2017 à Volgograd, dans le sud de la Russie, alors qu’il cherchait à rencontrer des ouvriers travaillant sur le chantier de ce stade. Il a été libéré après plusieurs heures d’interrogatoire, ajoute HRW.
A Kaliningrad (ouest), des ouvriers qui voulaient se plaindre de leurs conditions de travail à une délégation de la FIFA en ont été empêchés par les agents de sécurité, qui ont aussi forcé des travailleurs migrants à rester dans leurs dortoirs durant la visite de la délégation, selon le rapport.
Douze stades dans onze villes différentes accueilleront le Mondial de football en Russie, du 14 juin au 15 juillet 2018.
Selon l’ONG internationale Human Rights Watch, les ouvriers chargés de la construction des stades sont victimes « d’abus et d’exploitation ».
Le Monde.fr avec AFP | 14.06.2017 à 09h32 • Mis à jour le 14.06.2017 à 09h41
Les ouvriers chargés de la construction des stades du Mondial 2018 en Russie sont victimes « d’abus et d’exploitation », a rapporté, mercredi 14 juin, l’organisation non gouvernementale internationale Human Rights Watch (HRW).
HRW dit avoir visité sept chantiers de stades devant accueillir le Mondial et constaté des irrégularités sur six d’entre eux, notamment des « salaires non payés ou des retards de salaires de plusieurs mois, du travail par des températures descendant à – 25 degrés Celsius sans protections suffisantes ou l’incapacité des employeurs à fournir des contrats de travail légaux » aux ouvriers.
« La FIFA n’a pas encore montré qu’elle peut efficacement surveiller, empêcher et remédier à ces problèmes », dénonce Jane Buchanan, directrice de HRW pour l’Europe et l’Asie centrale, dans le rapport publié mercredi. HRW, qui cite les chiffres de l’Internationale des travailleurs du bâtiment et du bois (IBB), précise que 17 ouvriers sont morts sur les chantiers des stades de la Coupe du monde.
« Une atmosphère d’intimidation et de suspicion »
L’ONG dénonce aussi « les rapports crédibles » concernant l’emploi d’ouvriers nord-coréens « travaillant de longues journées avec peu de jours de congé » sur le chantier du stade de Saint-Pétersbourg.
La FIFA avait affirmé que plus aucun ouvrier nord-coréen ne travaillait sur le chantier du Saint-Pétersbourg, mais « n’a rendu publique aucune information sur les mesures prises pour protéger ou aider ces travailleurs », regrette HRW.
« Les travailleurs interrogés par Human Rights Watch ont invariablement dit qu’ils avaient peur de parler de ces abus, craignant des représailles de leurs employeurs », ajoute l’organisation.
Tout en signalant « une atmosphère d’intimidation et de suspicion », l’organisation précise qu’un de ses membres a été interpellé en avril 2017 à Volgograd, dans le sud de la Russie, alors qu’il cherchait à rencontrer des ouvriers travaillant sur le chantier de ce stade. Il a été libéré après plusieurs heures d’interrogatoire, ajoute HRW.
A Kaliningrad (ouest), des ouvriers qui voulaient se plaindre de leurs conditions de travail à une délégation de la FIFA en ont été empêchés par les agents de sécurité, qui ont aussi forcé des travailleurs migrants à rester dans leurs dortoirs durant la visite de la délégation, selon le rapport.
Douze stades dans onze villes différentes accueilleront le Mondial de football en Russie, du 14 juin au 15 juillet 2018.
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Re: World Cup 2018
https://capx.co/why-does-russia-still-get-to-host-the-world-cup/?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#link_time=1502666430
Why does Russia still get to host the World Cup?
By Robert Colvile @rcolvile
Tomorrow is the final day of the World Athletics Championships. Or, more accurately, the Most-of-the-World Athletics Championships. The Russian team, you see, are not there – having been suspended (with the exception of a few “authorised neutral athletes”) on account of a state-sponsored programme of drug-cheating on an industrial scale. Across virtually every sport, at both the 2012 and 2014 Olympics, Russia’s representatives cheated and doped their way to gold, silver and bronze.
It is hardly Russia’s greatest crime, of course. But it does raise a timely question. Next year, the world’s best footballers will travel to Russia for the World Cup. The question is: why?
We all know how tiny Qatar bribed its way to hosting the 2022 competition – how it pretended that football could be played in scorching desert heat, and the greedy delegates at FIFA pretended to believe it. Jonathan Calvert and Heidi Blake’s devastating book about the scandal, ‘The Ugly Game’, grows positively repetitious as it lists the dozens of bribes and backhanders that were handed out in the process.
But little attention has been paid to Qatar’s partner-in-crime. That’s partly because the Russians were cannier than the Qataris during the bidding process (which covered both 2018 and 2022 simultaneously). When those investigating the scandal arrived in Moscow, they found the files destroyed: the computers had been leased for the duration of Russia’s bid campaign, then wiped.
In the week that Venezuela imploded and the Korean situation exploded, this may not seem like the most pressing foreign policy question. But in fact, it speaks as loudly as either about the state of the world – and the cowardice of the West.
Back in 1980, the United States and many other Western countries boycotted the Moscow Olympics, in protest at Russia’s invasion of Afghanistan. (Britain left it up to individual athletes and associations.)
Today, Russia has invaded another sovereign nation – indeed, has not only annexed a large chunk of its territory but is fomenting violent insurrection in a further swathe. That’s without talking about the interference in America’s elections, the earlier invasion of Georgia, the murder of Alexander Litvinenko, the support of Bashar al-Assad’s murderous regime in Syria, and so very much more.
FIFA being FIFA, the World Cup will not be taken from Russia and given to a country that hasn’t, y’know, invaded one of the other potential competitors. But what about a boycott? It seems like the obvious course of action – so obvious that I was expecting many others to have set their stall out already.
It turns out, however, that about the most prominent figure to have done so is… Nick Clegg. Parliament’s Foreign Affairs Committee did hold an inquiry, but its weaselly recommendation was that Britain should (assuming some of its teams qualify) use the occasion to “enhance and repair the wider relationship between the UK and Russia”.
In his keynote speech at the Margaret Thatcher Conference on Security – which we republished recently on CapX – Henry Kissinger argued that we in the West have to make a decision as to whether to confront or cooperate with Russia. But, he said, we need to do so from a position of strength.
At the moment, we too often seem to be choosing not cooperation or confrontation, but cowardice. Even as Vladimir Putin treats international laws, and international norms, as so much toilet paper, we hold out hope that somehow, relations can be restored – that Europe will get to keep its badly needed energy supplies, and Britain will get to keep all the lovely money that flows into the City.
The result is a situation that seems almost surreal. Putin rigs the Olympics – but gets to host the World Cup, and indeed to plaster the Champions League with adverts for his state-controlled energy monopoly, Gazprom. Russia is subject to sanctions – but is simultaneously touted as “one of the most promising markets for UK exporters”. Putin is a pariah – but still a statesman.
Next year’s tournament will be a chance for Russia to show itself off to the world. Inside the new stadiums, built at vastly inflated prices, its racist, thuggish, homophobic football fans will have an excellent view – not least of their strongman president, basking in the world’s attention. Wouldn’t it be so much better if we just left them to it?
Why does Russia still get to host the World Cup?
By Robert Colvile @rcolvile
Tomorrow is the final day of the World Athletics Championships. Or, more accurately, the Most-of-the-World Athletics Championships. The Russian team, you see, are not there – having been suspended (with the exception of a few “authorised neutral athletes”) on account of a state-sponsored programme of drug-cheating on an industrial scale. Across virtually every sport, at both the 2012 and 2014 Olympics, Russia’s representatives cheated and doped their way to gold, silver and bronze.
It is hardly Russia’s greatest crime, of course. But it does raise a timely question. Next year, the world’s best footballers will travel to Russia for the World Cup. The question is: why?
We all know how tiny Qatar bribed its way to hosting the 2022 competition – how it pretended that football could be played in scorching desert heat, and the greedy delegates at FIFA pretended to believe it. Jonathan Calvert and Heidi Blake’s devastating book about the scandal, ‘The Ugly Game’, grows positively repetitious as it lists the dozens of bribes and backhanders that were handed out in the process.
But little attention has been paid to Qatar’s partner-in-crime. That’s partly because the Russians were cannier than the Qataris during the bidding process (which covered both 2018 and 2022 simultaneously). When those investigating the scandal arrived in Moscow, they found the files destroyed: the computers had been leased for the duration of Russia’s bid campaign, then wiped.
In the week that Venezuela imploded and the Korean situation exploded, this may not seem like the most pressing foreign policy question. But in fact, it speaks as loudly as either about the state of the world – and the cowardice of the West.
Back in 1980, the United States and many other Western countries boycotted the Moscow Olympics, in protest at Russia’s invasion of Afghanistan. (Britain left it up to individual athletes and associations.)
Today, Russia has invaded another sovereign nation – indeed, has not only annexed a large chunk of its territory but is fomenting violent insurrection in a further swathe. That’s without talking about the interference in America’s elections, the earlier invasion of Georgia, the murder of Alexander Litvinenko, the support of Bashar al-Assad’s murderous regime in Syria, and so very much more.
FIFA being FIFA, the World Cup will not be taken from Russia and given to a country that hasn’t, y’know, invaded one of the other potential competitors. But what about a boycott? It seems like the obvious course of action – so obvious that I was expecting many others to have set their stall out already.
It turns out, however, that about the most prominent figure to have done so is… Nick Clegg. Parliament’s Foreign Affairs Committee did hold an inquiry, but its weaselly recommendation was that Britain should (assuming some of its teams qualify) use the occasion to “enhance and repair the wider relationship between the UK and Russia”.
In his keynote speech at the Margaret Thatcher Conference on Security – which we republished recently on CapX – Henry Kissinger argued that we in the West have to make a decision as to whether to confront or cooperate with Russia. But, he said, we need to do so from a position of strength.
At the moment, we too often seem to be choosing not cooperation or confrontation, but cowardice. Even as Vladimir Putin treats international laws, and international norms, as so much toilet paper, we hold out hope that somehow, relations can be restored – that Europe will get to keep its badly needed energy supplies, and Britain will get to keep all the lovely money that flows into the City.
The result is a situation that seems almost surreal. Putin rigs the Olympics – but gets to host the World Cup, and indeed to plaster the Champions League with adverts for his state-controlled energy monopoly, Gazprom. Russia is subject to sanctions – but is simultaneously touted as “one of the most promising markets for UK exporters”. Putin is a pariah – but still a statesman.
Next year’s tournament will be a chance for Russia to show itself off to the world. Inside the new stadiums, built at vastly inflated prices, its racist, thuggish, homophobic football fans will have an excellent view – not least of their strongman president, basking in the world’s attention. Wouldn’t it be so much better if we just left them to it?
Caduce62- Messages : 15213
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Re: World Cup 2018
Coupe du monde 2018 : la Russie préparait un plan de dopage pour son équipe
6Medias, publié le vendredi 25 août 2017 à 19h10
La Russie n'en a décidemment pas fini avec les soupçons de dopage. Selon les révélations du journal allemand Der Spiegel, ce vendredi, le pays dirigé par Vladimir Poutine aurait pensé à mettre en place un plan de dopage pour son équipe de football en prévision de la Coupe du monde 2018, qui aura lieu sur son sol.
Et pour ce faire, Der Spiegel affirme que le gouvernement russe aurait approché Grigory Rodchenkov, l'homme au coeur du scandale de dopage des athlètes russes lors des Jeux olympiques de Sotchi en 2014. Directeur du laboratoire antidopage de Moscou jusqu'en 2015, Grigory Rodchenkov avait notamment échangé des échantillons contaminés avec des échantillons propres durant les JO d'hiver.
L'homme s'est ensuit enfui aux Etats-Unis avec l'aide du réalisateur de documentaires Bryan Fogel. "Après Sotchi, il avait la charge de préparer le programme de dopage pour le Mondial-2018 de football", assure Bryan Fogel dans les colonnes du Spiegel. "Grigory était déjà en pleins préparatifs lorsque tout a été découvert", ajoute-t-il.
Interrogé par le magazine allemand, le vice-premier ministre russe Vitali Moutko, également chef du comité d'organisation du Mondial, a répondu : "L'Etat n'a aucun moyen de contrôler le travail d'un directeur de laboratoire (...) Il était mondialement reconnu et engagé comme expert pour les jeux Olympiques, nous avons évidemment pensé que tout était normal".
En juin dernier, le quotidien britannique Mail On Sunday révélait déjà que la FIFA avait lancé une enquête contre la Russie. La plus haute instance du football soupçonne les 23 joueurs sélectionnés par Fabio Capello d'avoir eu recours à des produits dopants durant la Coupe du monde 2014, qui s'est déroulée au Brésil. Par ailleurs, l'agence mondiale antidopage soupçonne, elle, l'État russe d'avoir institutionnalisé le dopage.
6Medias, publié le vendredi 25 août 2017 à 19h10
La Russie n'en a décidemment pas fini avec les soupçons de dopage. Selon les révélations du journal allemand Der Spiegel, ce vendredi, le pays dirigé par Vladimir Poutine aurait pensé à mettre en place un plan de dopage pour son équipe de football en prévision de la Coupe du monde 2018, qui aura lieu sur son sol.
Et pour ce faire, Der Spiegel affirme que le gouvernement russe aurait approché Grigory Rodchenkov, l'homme au coeur du scandale de dopage des athlètes russes lors des Jeux olympiques de Sotchi en 2014. Directeur du laboratoire antidopage de Moscou jusqu'en 2015, Grigory Rodchenkov avait notamment échangé des échantillons contaminés avec des échantillons propres durant les JO d'hiver.
L'homme s'est ensuit enfui aux Etats-Unis avec l'aide du réalisateur de documentaires Bryan Fogel. "Après Sotchi, il avait la charge de préparer le programme de dopage pour le Mondial-2018 de football", assure Bryan Fogel dans les colonnes du Spiegel. "Grigory était déjà en pleins préparatifs lorsque tout a été découvert", ajoute-t-il.
Interrogé par le magazine allemand, le vice-premier ministre russe Vitali Moutko, également chef du comité d'organisation du Mondial, a répondu : "L'Etat n'a aucun moyen de contrôler le travail d'un directeur de laboratoire (...) Il était mondialement reconnu et engagé comme expert pour les jeux Olympiques, nous avons évidemment pensé que tout était normal".
En juin dernier, le quotidien britannique Mail On Sunday révélait déjà que la FIFA avait lancé une enquête contre la Russie. La plus haute instance du football soupçonne les 23 joueurs sélectionnés par Fabio Capello d'avoir eu recours à des produits dopants durant la Coupe du monde 2014, qui s'est déroulée au Brésil. Par ailleurs, l'agence mondiale antidopage soupçonne, elle, l'État russe d'avoir institutionnalisé le dopage.
Caduce62- Messages : 15213
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Re: World Cup 2018
]http://www.francetvinfo.fr/sports/foot/coupe-du-monde/coupe-du-monde-2018-ces-tribunes-installees-dans-un-stade-russe-donne-des-sueurs-froides-aux-supporters_2402654.html?%23xtor=SEC-735-%5BFacebookAdsINfo%5D
Coupe du monde 2018 : ces tribunes installées dans un stade russe donnent des sueurs froides aux supporters
Pour ajouter environ 9 000 sièges à l'Arena d'Ekaterinbourg avant le Mondial, la Russie a fait installer de très hauts gradins temporaires, à l'extérieur du stade.
Vue aérienne de l\'Arena d\'Ekaterinbourg, en Russie, le 19 août 2017.
Mieux vaut ne pas avoir le vertige. A neuf mois du coup d'envoi de la Coupe du monde 2018, en Russie, l'Arena d'Ekaterinbourg inquiète les supporters de football. Comme la plupart des douze enceintes qui doivent accueillir la compétition, le stade a subi d'importants travaux. L'Arena devait augmenter sa capacité d'accueil de 9 000 places, pour atteindre 35 696 sièges et satisfaire ainsi le cahier des charges de la Fifa. Deux très hautes tribunes, montées sur des échafaudages, ont donc été ajoutées, derrière chaque but, à l'extérieur du stade. De quoi faire bondir les fans de foot.
Certains jugent l'ouvrage "impressionnant", mais "discutable".
"Cela a l'air aussi dément que précaire, comme si quelqu'un avait tranché une part dans un gateau en métal", commente le blog Whoateallthepies (en anglais), qui ajoute "attendez de voir la vue depuis le dernier rang". En effet, sur la photo partagée par un journaliste sportif russe, la vue sur le toit semble plus évidente que la vue sur l'intérieur du stade. Et les spectateurs assis là-haut ne verront probablement pas très bien non plus les éventuels écrans géants installés autour du terrain.
"Comment la Fifa a-t-elle pu accepter ?"
Un chroniqueur sportif corse se demande : "Comment la Fifa a-t-elle pu accepter un tel projet de stade ?" Un projet qui rappelle l'un des stades du précédent mondial, à Sao Paulo au Brésil, selon le Huffington Post, mais dont les tribunes extérieures avaient été couvertes, ce que ne semble pas prévoir l'Arena d'Ekaterinbourg.
Enfin, un compte twitter russophone ironise : "Si tu te sens seul, pense à cette tribune du stade d'Ekaterinbourg, qui se trouve à l'écart du stade."
Après la compétition, le stade doit retrouver sa forme classique pour les matchs de son équipe, le FC Oural.
Coupe du monde 2018 : ces tribunes installées dans un stade russe donnent des sueurs froides aux supporters
Pour ajouter environ 9 000 sièges à l'Arena d'Ekaterinbourg avant le Mondial, la Russie a fait installer de très hauts gradins temporaires, à l'extérieur du stade.
Vue aérienne de l\'Arena d\'Ekaterinbourg, en Russie, le 19 août 2017.
Mieux vaut ne pas avoir le vertige. A neuf mois du coup d'envoi de la Coupe du monde 2018, en Russie, l'Arena d'Ekaterinbourg inquiète les supporters de football. Comme la plupart des douze enceintes qui doivent accueillir la compétition, le stade a subi d'importants travaux. L'Arena devait augmenter sa capacité d'accueil de 9 000 places, pour atteindre 35 696 sièges et satisfaire ainsi le cahier des charges de la Fifa. Deux très hautes tribunes, montées sur des échafaudages, ont donc été ajoutées, derrière chaque but, à l'extérieur du stade. De quoi faire bondir les fans de foot.
Certains jugent l'ouvrage "impressionnant", mais "discutable".
"Cela a l'air aussi dément que précaire, comme si quelqu'un avait tranché une part dans un gateau en métal", commente le blog Whoateallthepies (en anglais), qui ajoute "attendez de voir la vue depuis le dernier rang". En effet, sur la photo partagée par un journaliste sportif russe, la vue sur le toit semble plus évidente que la vue sur l'intérieur du stade. Et les spectateurs assis là-haut ne verront probablement pas très bien non plus les éventuels écrans géants installés autour du terrain.
"Comment la Fifa a-t-elle pu accepter ?"
Un chroniqueur sportif corse se demande : "Comment la Fifa a-t-elle pu accepter un tel projet de stade ?" Un projet qui rappelle l'un des stades du précédent mondial, à Sao Paulo au Brésil, selon le Huffington Post, mais dont les tribunes extérieures avaient été couvertes, ce que ne semble pas prévoir l'Arena d'Ekaterinbourg.
Enfin, un compte twitter russophone ironise : "Si tu te sens seul, pense à cette tribune du stade d'Ekaterinbourg, qui se trouve à l'écart du stade."
Après la compétition, le stade doit retrouver sa forme classique pour les matchs de son équipe, le FC Oural.
Caduce62- Messages : 15213
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Re: World Cup 2018
future catastrophe style FurianiCaduce62 a écrit:]http://www.francetvinfo.fr/sports/foot/coupe-du-monde/coupe-du-monde-2018-ces-tribunes-installees-dans-un-stade-russe-donne-des-sueurs-froides-aux-supporters_2402654.html?%23xtor=SEC-735-%5BFacebookAdsINfo%5D
Coupe du monde 2018 : ces tribunes installées dans un stade russe donnent des sueurs froides aux supporters
Pour ajouter environ 9 000 sièges à l'Arena d'Ekaterinbourg avant le Mondial, la Russie a fait installer de très hauts gradins temporaires, à l'extérieur du stade.
Vue aérienne de l\'Arena d\'Ekaterinbourg, en Russie, le 19 août 2017.
Mieux vaut ne pas avoir le vertige. A neuf mois du coup d'envoi de la Coupe du monde 2018, en Russie, l'Arena d'Ekaterinbourg inquiète les supporters de football. Comme la plupart des douze enceintes qui doivent accueillir la compétition, le stade a subi d'importants travaux. L'Arena devait augmenter sa capacité d'accueil de 9 000 places, pour atteindre 35 696 sièges et satisfaire ainsi le cahier des charges de la Fifa. Deux très hautes tribunes, montées sur des échafaudages, ont donc été ajoutées, derrière chaque but, à l'extérieur du stade. De quoi faire bondir les fans de foot.
Certains jugent l'ouvrage "impressionnant", mais "discutable".
"Cela a l'air aussi dément que précaire, comme si quelqu'un avait tranché une part dans un gateau en métal", commente le blog Whoateallthepies (en anglais), qui ajoute "attendez de voir la vue depuis le dernier rang". En effet, sur la photo partagée par un journaliste sportif russe, la vue sur le toit semble plus évidente que la vue sur l'intérieur du stade. Et les spectateurs assis là-haut ne verront probablement pas très bien non plus les éventuels écrans géants installés autour du terrain.
"Comment la Fifa a-t-elle pu accepter ?"
Un chroniqueur sportif corse se demande : "Comment la Fifa a-t-elle pu accepter un tel projet de stade ?" Un projet qui rappelle l'un des stades du précédent mondial, à Sao Paulo au Brésil, selon le Huffington Post, mais dont les tribunes extérieures avaient été couvertes, ce que ne semble pas prévoir l'Arena d'Ekaterinbourg.
Enfin, un compte twitter russophone ironise : "Si tu te sens seul, pense à cette tribune du stade d'Ekaterinbourg, qui se trouve à l'écart du stade."
Après la compétition, le stade doit retrouver sa forme classique pour les matchs de son équipe, le FC Oural.
benoit77- Messages : 2859
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Re: World Cup 2018
Loin de moi l'idée de défendre cette tribune dans ce stade (c'est quand même pas terrible du tout), et encore moins les choix effectués par les décideurs, mais je m'interroge sur les informations de cet article. Il y a quand même beaucoup de conditionnel et d'interprétation. On dirait du Sputnik ou du RT mais dans l'autre sens... Ou comment balancer un article qui laisse entendre que c'est du grand n'importe quoi à tous les niveaux sans donner aucun fait étayé!Caduce62 a écrit:]http://www.francetvinfo.fr/sports/foot/coupe-du-monde/coupe-du-monde-2018-ces-tribunes-installees-dans-un-stade-russe-donne-des-sueurs-froides-aux-supporters_2402654.html?%23xtor=SEC-735-%5BFacebookAdsINfo%5D
Coupe du monde 2018 : ces tribunes installées dans un stade russe donnent des sueurs froides aux supporters
Pour ajouter environ 9 000 sièges à l'Arena d'Ekaterinbourg avant le Mondial, la Russie a fait installer de très hauts gradins temporaires, à l'extérieur du stade.
Vue aérienne de l\'Arena d\'Ekaterinbourg, en Russie, le 19 août 2017.
Mieux vaut ne pas avoir le vertige. A neuf mois du coup d'envoi de la Coupe du monde 2018, en Russie, l'Arena d'Ekaterinbourg inquiète les supporters de football. Comme la plupart des douze enceintes qui doivent accueillir la compétition, le stade a subi d'importants travaux. L'Arena devait augmenter sa capacité d'accueil de 9 000 places, pour atteindre 35 696 sièges et satisfaire ainsi le cahier des charges de la Fifa. Deux très hautes tribunes, montées sur des échafaudages, ont donc été ajoutées, derrière chaque but, à l'extérieur du stade. De quoi faire bondir les fans de foot.
Certains jugent l'ouvrage "impressionnant", mais "discutable".
"Cela a l'air aussi dément que précaire, comme si quelqu'un avait tranché une part dans un gateau en métal", commente le blog Whoateallthepies (en anglais), qui ajoute "attendez de voir la vue depuis le dernier rang". En effet, sur la photo partagée par un journaliste sportif russe, la vue sur le toit semble plus évidente que la vue sur l'intérieur du stade. Et les spectateurs assis là-haut ne verront probablement pas très bien non plus les éventuels écrans géants installés autour du terrain.
"Comment la Fifa a-t-elle pu accepter ?"
Un chroniqueur sportif corse se demande : "Comment la Fifa a-t-elle pu accepter un tel projet de stade ?" Un projet qui rappelle l'un des stades du précédent mondial, à Sao Paulo au Brésil, selon le Huffington Post, mais dont les tribunes extérieures avaient été couvertes, ce que ne semble pas prévoir l'Arena d'Ekaterinbourg.
Enfin, un compte twitter russophone ironise : "Si tu te sens seul, pense à cette tribune du stade d'Ekaterinbourg, qui se trouve à l'écart du stade."
Après la compétition, le stade doit retrouver sa forme classique pour les matchs de son équipe, le FC Oural.
J'espère quand même que ça a été fait avec un peu plus de professionnalisme et moins de précipitation qu'à Furiani, et surtout qu'il n'y aura aucun incident contrairement à certaines prédictions.
lemonline- Messages : 873
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Re: World Cup 2018
Mondial 2018: à Volgograd, un stade sorti des ruines de la Seconde guerre mondiale
Il a d'abord fallu retirer les restes de soldats tombés au combat et désamorcer les bombes. Puis un stade a été érigé là où deux millions de personnes sont mortes pendant la bataille de Stalingrad (ville rebaptisée Volgograd), l'une des plus meurtrières de la Seconde guerre mondiale.
Belga
"Chaque millimètre de ce sol est gorgé de sang", explique le gouverneur de la région de Volgograd, Alexandre Botcharov. "Il n'y a pas une seule famille vivant ici, pas une seule, qui n'a pas perdu quelqu'un".
Alexandre Botcharov, comme le million d'habitants qui peuple désormais cette ville du sud de la Russie espère que le Mondial-2018 organisé par la Russie, du 14 juin au 15 juillet, permettra de transformer pour de bon cette ville martyre dont la bataille a constitué un tournant dans la guerre.
En 1961, quelques années après la mort de Staline, Stalingrad avait changé de nom pour devenir Volgograd, d'après le fleuve qui traverse la ville.
Le culte de la personnalité autour du dictateur était alors abandonné, tandis que la cité renaissait des cendres et du tapis de bombes l'ayant intégralement détruite.
Nouvelles tombes
Volgograd reste marquée par la guerre. La construction d'une enceinte de 45.000 places s'est accompagnée de nouvelles fouilles qui ont conduit à la découverte de deux corps de soldats et plus de 20 bombes non explosées.
Cela n'était pas vraiment une surprise: presque chaque nouveau projet urbain à Volgograd s'accompagne de la découverte de restes humains et de munitions. Et le stade est construit au pied de Mamaïev Kourgan, une colline stratégique théâtre de terribles batailles entre troupes soviétiques et nazies qui accueille aujourd'hui un mémorial.
"On a d'abord essayé de retrouver leur identité. Ce n'est pas facile parce que beaucoup de temps a passé. Mais au moins, on essaie de découvrir s'ils étaient membres de l'Armée rouge ou des nazis", poursuit Alexandre Botcharov.
"On décide ensuite où les enterrer, de quel côté du cimetière du mémorial de Rossokha", un village proche de Volgograd où un cimetière pour les soldats des deux camps morts au combat a été érigé. "C'est un travail quotidien pour nous", reprend M. Botcharov.
Le souvenir de la Seconde guerre mondiale est omniprésent à Volgograd, surplombée par une gigantesque statue dédiée à la bataille de Stalingrad de 85 mètres érigée au sommet de la colline qui domine le futur stade.
M. Botcharov répète que la ville sera une des plus sûres du Mondial alors qu'elle avait été la cible d'une série d'attentats à la bombe dans les transports en commun et à sa gare centrale faisant 39 morts fin 2013.
Le maire de la ville, Andreï Kossolapov, assure que ces attentats ont seulement fait de Volgograd une ville plus sûre. "Toutes les infrastructures sportives ont été placées en état d'alerte permanent", explique-t-il à l'AFP.
"Nous avons installé et continuons de le faire des caméras de vidéo-surveillance sur lesquelles on peut surveiller chaque rue", précise-t-il, ajoutant que les forces locales de sécurité "ont une grande expérience en matière de prévention des attaques terroristes".
Le 'nid d'oiseau' russe
La Volgograd Arena, construite sur les berges de la Volga, présente une ressemblance frappante, en plus modeste, avec le "Nid d'oiseau" de Pékin, stade olympique des JO-2008.
Son ingénieur en chef, Viktor Batouro, traverse avec fierté l'enceinte dont seuls quelques coups de peinture, et l'achèvement du toit protégeant les visiteurs d'une pluie rare en été dans cette région, empêchent d'être totalement opérationnel.
"En principe, vous pouvez déjà jouer au football ici", explique-t-il en embrassant du regard la pelouse déjà plantée du stade.
Les travaux ont couté 230 millions d'euros, un prix raisonnable pour un stade de football de cette taille. "Il ne vaut mieux pas essayer de dépasser le budget fédéral ces temps-ci", explique en souriant Viktor Batouro.
Se pose toutefois la question de l'utilité du stade après le Mondial. Le club local, le Rotor Volgograd, a goûté à la coupe d'Europe dans les années 1990 mais occupe aujourd'hui une piteuse dernière place, en deuxième division russe.
Un détail pour le maire Andreï Kossolapov, qui estime que les résultats sportifs sont secondaires pour les natifs d'une ville ayant connu tant de dévastation. "Nous voulons que les gens visitent ce stade, mais aussi qu'ils reviennent", explique-t-il. "Ce sera notre véritable héritage de la Coupe du monde."
Il a d'abord fallu retirer les restes de soldats tombés au combat et désamorcer les bombes. Puis un stade a été érigé là où deux millions de personnes sont mortes pendant la bataille de Stalingrad (ville rebaptisée Volgograd), l'une des plus meurtrières de la Seconde guerre mondiale.
Belga
"Chaque millimètre de ce sol est gorgé de sang", explique le gouverneur de la région de Volgograd, Alexandre Botcharov. "Il n'y a pas une seule famille vivant ici, pas une seule, qui n'a pas perdu quelqu'un".
Alexandre Botcharov, comme le million d'habitants qui peuple désormais cette ville du sud de la Russie espère que le Mondial-2018 organisé par la Russie, du 14 juin au 15 juillet, permettra de transformer pour de bon cette ville martyre dont la bataille a constitué un tournant dans la guerre.
En 1961, quelques années après la mort de Staline, Stalingrad avait changé de nom pour devenir Volgograd, d'après le fleuve qui traverse la ville.
Le culte de la personnalité autour du dictateur était alors abandonné, tandis que la cité renaissait des cendres et du tapis de bombes l'ayant intégralement détruite.
Nouvelles tombes
Volgograd reste marquée par la guerre. La construction d'une enceinte de 45.000 places s'est accompagnée de nouvelles fouilles qui ont conduit à la découverte de deux corps de soldats et plus de 20 bombes non explosées.
Cela n'était pas vraiment une surprise: presque chaque nouveau projet urbain à Volgograd s'accompagne de la découverte de restes humains et de munitions. Et le stade est construit au pied de Mamaïev Kourgan, une colline stratégique théâtre de terribles batailles entre troupes soviétiques et nazies qui accueille aujourd'hui un mémorial.
"On a d'abord essayé de retrouver leur identité. Ce n'est pas facile parce que beaucoup de temps a passé. Mais au moins, on essaie de découvrir s'ils étaient membres de l'Armée rouge ou des nazis", poursuit Alexandre Botcharov.
"On décide ensuite où les enterrer, de quel côté du cimetière du mémorial de Rossokha", un village proche de Volgograd où un cimetière pour les soldats des deux camps morts au combat a été érigé. "C'est un travail quotidien pour nous", reprend M. Botcharov.
Le souvenir de la Seconde guerre mondiale est omniprésent à Volgograd, surplombée par une gigantesque statue dédiée à la bataille de Stalingrad de 85 mètres érigée au sommet de la colline qui domine le futur stade.
M. Botcharov répète que la ville sera une des plus sûres du Mondial alors qu'elle avait été la cible d'une série d'attentats à la bombe dans les transports en commun et à sa gare centrale faisant 39 morts fin 2013.
Le maire de la ville, Andreï Kossolapov, assure que ces attentats ont seulement fait de Volgograd une ville plus sûre. "Toutes les infrastructures sportives ont été placées en état d'alerte permanent", explique-t-il à l'AFP.
"Nous avons installé et continuons de le faire des caméras de vidéo-surveillance sur lesquelles on peut surveiller chaque rue", précise-t-il, ajoutant que les forces locales de sécurité "ont une grande expérience en matière de prévention des attaques terroristes".
Le 'nid d'oiseau' russe
La Volgograd Arena, construite sur les berges de la Volga, présente une ressemblance frappante, en plus modeste, avec le "Nid d'oiseau" de Pékin, stade olympique des JO-2008.
Son ingénieur en chef, Viktor Batouro, traverse avec fierté l'enceinte dont seuls quelques coups de peinture, et l'achèvement du toit protégeant les visiteurs d'une pluie rare en été dans cette région, empêchent d'être totalement opérationnel.
"En principe, vous pouvez déjà jouer au football ici", explique-t-il en embrassant du regard la pelouse déjà plantée du stade.
Les travaux ont couté 230 millions d'euros, un prix raisonnable pour un stade de football de cette taille. "Il ne vaut mieux pas essayer de dépasser le budget fédéral ces temps-ci", explique en souriant Viktor Batouro.
Se pose toutefois la question de l'utilité du stade après le Mondial. Le club local, le Rotor Volgograd, a goûté à la coupe d'Europe dans les années 1990 mais occupe aujourd'hui une piteuse dernière place, en deuxième division russe.
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