BREXIT : england out
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Re: BREXIT : england out
Caduce62 a écrit:Je plains l'anglais moyen car l'Angleterre va devenir un équivalent de Singapour ou de Hong Kong:
- une gigantesque plate-forme financière, un paradis financier pour les traders, les mafieux et autres véreux qui vont encore plus s'enrichir
- un enfer pour ses habitants : plus de chômage car moins de travail, une hausse des prix de tous les produits tant européens que US ou du Commonwealth
Et si la Grande-Bretagne choisit de devenir un Singapour ou un Hong Kong en Europe, l'UE verrouillera les opérations financières entre la City et l'UE et tout ce qui entrera ou sortira de le Royaume-Uni sera considéré comme un paria fiscalement suspect. Bonne chance au Kong Kong européen alors !
En outre, le Royaume-Uni a laissé se développer un système de multiculturalisme des plus dangereux avec sa population immigrée. C'est ainsi que la charia est applicable en GB depuis 1982 ( cfr https://www.lalibre.be/international/la-charia-appliquee-au-royaume-uni-c-est-le-cas-depuis-1982-58287e56cd70958a9d60ccc4 ).
L'assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (c'est-à-dire le parlement des Etats membres de la Convention européenne des droits de l'homme) a pris une ferme résolution le 22 janvier 2019 sur les problèmes que pose l'application de la charia au Royaume-Uni (et ceci nonobstant une vive résistance de tous les politiciens bien pensants et repentants) : http://assembly.coe.int/nw/xml/XRef/Xref-XML2HTML-fr.asp?fileid=25353&lang=fr
Enfin, dans quelques années, le Royaume Uni ne sera plus que le Royaume désuni , le pays de Galles et l'Ecosse voulant d'en séparer (sans compter l'Irlande du Nord) !
Thuramir- Messages : 3676
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Re: BREXIT : england out
J'ai vus que Boris Jonson était positif et que cet après-midi il est entré en soins intensifs.
Re: BREXIT : england out
https://www.lefigaro.fr/international/coronavirus-boris-johnson-admis-en-soins-intensifs-20200406?fbclid=IwAR36qOG6ihBIUISZ5DCEHcCLshNDzXiuuad6sKFpONO0MlWnBnAmu8op220
Coronavirus: Boris Johnson transféré en soins intensifs
Coronavirus: Boris Johnson transféré en soins intensifs
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Re: BREXIT : england out
Et voilà une excellente leçon pour les rosbifs qui se croient au-dessus de tous de tous les autres. Ils continueront encore à crever en masse et c'est ce qu'il leur faut pour cautériser leur orgueil déplacé.
Covid-19 : 917 nouveaux décès en 24 heures au Royaume-Uni, 9 875 au total
Publié le : 11/04/2020 – 16:16
Au Royaume-Uni, 917 personnes sont décédées du Covid-19 en l'espace d'une journée, selon les chiffres communiques samedi. Une augmentation du nombre de morts qui porte le bilan total à 9 875 depuis le début de la pandémie sur le sol britannique.
La pandémie de coronavirus a fait 917 morts supplémentaires au Royaume-Uni, portant à 9 875 le nombre total de personnes décédées à l'hôpital, a annoncé, samedi 11 avril, le ministère de la Santé.
En une journée, 5 234 personnes supplémentaires ont été testées positives au Covid-19, portant à 78 991 le nombre total de personnes infectées par la maladie au Royaume-Uni.
Parmi les nouveaux décès recensés se trouve un enfant de 11 ans, a précisé dans un communiqué séparé la branche anglaise du NHS, le service de santé public britannique.
Le Royaume-Uni, qui avait tardé à suivre ses voisins européens en termes de confinement, est désormais l'un des plus violemment touchés en Europe.
L'état de santé du Premier ministre s'améliore
En convalescence après avoir contracté le coronavirus et avoir été placé en unité de soins intensifs, l'état de santé du Premier ministre britannique Boris Johnson, continue de s'améliorer, ont annoncé ses services samedi.
« Le Premier ministre continue de faire de très grands progrès », a déclaré une porte-parole du 10 Downing Street, résidence officielle et le lieu de travail de Boris Johnson.
Avec AFP
Covid-19 : 917 nouveaux décès en 24 heures au Royaume-Uni, 9 875 au total
Publié le : 11/04/2020 – 16:16
Au Royaume-Uni, 917 personnes sont décédées du Covid-19 en l'espace d'une journée, selon les chiffres communiques samedi. Une augmentation du nombre de morts qui porte le bilan total à 9 875 depuis le début de la pandémie sur le sol britannique.
La pandémie de coronavirus a fait 917 morts supplémentaires au Royaume-Uni, portant à 9 875 le nombre total de personnes décédées à l'hôpital, a annoncé, samedi 11 avril, le ministère de la Santé.
En une journée, 5 234 personnes supplémentaires ont été testées positives au Covid-19, portant à 78 991 le nombre total de personnes infectées par la maladie au Royaume-Uni.
Parmi les nouveaux décès recensés se trouve un enfant de 11 ans, a précisé dans un communiqué séparé la branche anglaise du NHS, le service de santé public britannique.
Le Royaume-Uni, qui avait tardé à suivre ses voisins européens en termes de confinement, est désormais l'un des plus violemment touchés en Europe.
L'état de santé du Premier ministre s'améliore
En convalescence après avoir contracté le coronavirus et avoir été placé en unité de soins intensifs, l'état de santé du Premier ministre britannique Boris Johnson, continue de s'améliorer, ont annoncé ses services samedi.
« Le Premier ministre continue de faire de très grands progrès », a déclaré une porte-parole du 10 Downing Street, résidence officielle et le lieu de travail de Boris Johnson.
Avec AFP
Thuramir- Messages : 3676
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Re: BREXIT : england out
Grande-Bretagne: pire récession économique depuis 300 ans
Selon les prévisions de l’Office de responsabilité budgétaire, le pays est parti pour enregistrer sa pire récession depuis trois cents ans, avec une contraction annuelle du PIB de plus de 10 %.
Par Caroline Sallé
Publié le 14 juillet 2020 à 21:10, mis à jour hier à 09:54
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/grande-bretagne-pire-recession-economique-depuis-300-ans-20200714?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR07tYM9lROZGPPtVo1dT60N0kCjnbJHrvsMTs1rl0jSHThOTasKypuH5tU#Echobox=1594832165
L’économie anglaise est au bord du précipice. Entre mars et mai, sous l’effet de la crise liée au coronavirus, le produit intérieur brut au Royaume-Uni a plongé de 19,1 %, comparé aux trois mois précédents, de décembre à février. Et l’avenir s’annonce morose. Selon les prévisions de l’Office de responsabilité budgétaire, le pays est parti pour enregistrer sa pire récession depuis trois cents ans, avec une contraction annuelle du PIB de plus de 10 %.
De mars à mai, le secteur des services, qui représente 80 % de l’économie britannique, a reculé ainsi de près de 19 %. Celui de la construction a chuté de quasi 30 %. Une reprise de l’activité a bien été observée en mai, dans la distribution notamment, avec un record de ventes en ligne. Mais le rebond est bien trop faible (1,8 %) pour rassurer les marchés. D’autant qu’avec les restrictions aux déplacements et le confinement toujours largement en place en mai, «énormément de domaines ont vu leur activité encore décliner», observe l’Office national des statistiques.
D’après Capital Economics, cette embellie est «un premier pas décevant sur la route de la reprise et suggère que les espoirs d’un rebond rapide du confinement ne sont pas réalistes». Beaucoup doutent d’ailleurs d’une possible reprise en «V», à savoir un redressement aussi vif que la contraction a été brutale.
D’après une récente étude, les trois quarts des entreprises du pays ne seraient pas prêtes pour le Brexit
Le gouvernement, qui a déjà mis en place un plan de soutien à l’économie - l’emprunt du secteur public s’élève désormais à 322 milliards de livres - a encore fort à faire. Au choc du coronavirus s’ajoute la menace d’un Brexit sans accord. Le compte à rebours pour trouver un compromis avec Bruxelles avant l’issue de la période de transition, fin décembre, s’accélère et les négociations entre Londres et l’UE sont dans l’impasse. Pire: d’après une récente étude, les trois quarts des entreprises du pays ne seraient pas prêtes pour le Brexit. Autant dire que pour l’économie anglaise, coronavirus et Brexit pourraient bien constituer une double peine.
Selon les prévisions de l’Office de responsabilité budgétaire, le pays est parti pour enregistrer sa pire récession depuis trois cents ans, avec une contraction annuelle du PIB de plus de 10 %.
Par Caroline Sallé
Publié le 14 juillet 2020 à 21:10, mis à jour hier à 09:54
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/grande-bretagne-pire-recession-economique-depuis-300-ans-20200714?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR07tYM9lROZGPPtVo1dT60N0kCjnbJHrvsMTs1rl0jSHThOTasKypuH5tU#Echobox=1594832165
L’économie anglaise est au bord du précipice. Entre mars et mai, sous l’effet de la crise liée au coronavirus, le produit intérieur brut au Royaume-Uni a plongé de 19,1 %, comparé aux trois mois précédents, de décembre à février. Et l’avenir s’annonce morose. Selon les prévisions de l’Office de responsabilité budgétaire, le pays est parti pour enregistrer sa pire récession depuis trois cents ans, avec une contraction annuelle du PIB de plus de 10 %.
De mars à mai, le secteur des services, qui représente 80 % de l’économie britannique, a reculé ainsi de près de 19 %. Celui de la construction a chuté de quasi 30 %. Une reprise de l’activité a bien été observée en mai, dans la distribution notamment, avec un record de ventes en ligne. Mais le rebond est bien trop faible (1,8 %) pour rassurer les marchés. D’autant qu’avec les restrictions aux déplacements et le confinement toujours largement en place en mai, «énormément de domaines ont vu leur activité encore décliner», observe l’Office national des statistiques.
D’après Capital Economics, cette embellie est «un premier pas décevant sur la route de la reprise et suggère que les espoirs d’un rebond rapide du confinement ne sont pas réalistes». Beaucoup doutent d’ailleurs d’une possible reprise en «V», à savoir un redressement aussi vif que la contraction a été brutale.
D’après une récente étude, les trois quarts des entreprises du pays ne seraient pas prêtes pour le Brexit
Le gouvernement, qui a déjà mis en place un plan de soutien à l’économie - l’emprunt du secteur public s’élève désormais à 322 milliards de livres - a encore fort à faire. Au choc du coronavirus s’ajoute la menace d’un Brexit sans accord. Le compte à rebours pour trouver un compromis avec Bruxelles avant l’issue de la période de transition, fin décembre, s’accélère et les négociations entre Londres et l’UE sont dans l’impasse. Pire: d’après une récente étude, les trois quarts des entreprises du pays ne seraient pas prêtes pour le Brexit. Autant dire que pour l’économie anglaise, coronavirus et Brexit pourraient bien constituer une double peine.
Caduce62- Messages : 15051
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Re: BREXIT : england out
Caduce62 a écrit:Grande-Bretagne: pire récession économique depuis 300 ans
Bien fait pour la gueule des rosbifs ! Ils ont fait chier l'UE avant de partir et après être partis, et maintenant ils se retrouvent eux-mêmes dans leur merde noire.
Thuramir- Messages : 3676
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Re: BREXIT : england out
Et beaucoup de britons regrettent déjà l'UE.
En plus, j'ai vus que le Pays de Galles était en train de voir s'il était possible de réclamer l'indépendance pour retourner dans l'UE.
Avec l'Écosse, un autre soucis pour Boris.
En plus, j'ai vus que le Pays de Galles était en train de voir s'il était possible de réclamer l'indépendance pour retourner dans l'UE.
Avec l'Écosse, un autre soucis pour Boris.
Re: BREXIT : england out
Le Royaume-Uni entre en récession : “Le cauchemar commence”
THE DAILY TELEGRAPH - LONDRES
Publié le 12/08/2020 - 12:08
Le PIB du pays s’est contracté de 20,4 % au deuxième trimestre, une première historique. Les journalistes économiques de The Daily Telegraph oscillent entre pessimisme et espoir d’une reprise rapide.
“Le Royaume-Uni s’enfonce dans une profonde récession”, déplore The Daily Telegraph. Pour la première fois depuis onze ans, le Produit intérieur brut (PIB) du pays s’est contracté lors de deux trimestres consécutifs. La faute de la pandémie de Covid-19 et de son corollaire, la paralysie de l’économie induite par le confinement décrété le 23 mars par Boris Johnson.
Entre avril et juin, la production de richesses britannique a même subi une chute de 20,4 %. “La pire baisse depuis que les statistiques sur le sujet existent.” Sur les six premiers mois de l’année, le pays est également le plus durement touché de toutes les économies avancées, derrière l’Espagne, poursuit le quotidien conservateur.
THE DAILY TELEGRAPH - LONDRES
Publié le 12/08/2020 - 12:08
Le PIB du pays s’est contracté de 20,4 % au deuxième trimestre, une première historique. Les journalistes économiques de The Daily Telegraph oscillent entre pessimisme et espoir d’une reprise rapide.
“Le Royaume-Uni s’enfonce dans une profonde récession”, déplore The Daily Telegraph. Pour la première fois depuis onze ans, le Produit intérieur brut (PIB) du pays s’est contracté lors de deux trimestres consécutifs. La faute de la pandémie de Covid-19 et de son corollaire, la paralysie de l’économie induite par le confinement décrété le 23 mars par Boris Johnson.
Entre avril et juin, la production de richesses britannique a même subi une chute de 20,4 %. “La pire baisse depuis que les statistiques sur le sujet existent.” Sur les six premiers mois de l’année, le pays est également le plus durement touché de toutes les économies avancées, derrière l’Espagne, poursuit le quotidien conservateur.
Caduce62- Messages : 15051
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Re: BREXIT : england out
Caduce62 a écrit:Le Royaume-Uni entre en récession : “Le cauchemar commence”
Qui fait la malin, tombe dans le ravin. Que les rosbifs assument leur choix ! Adieu et au plaisir de jamais plus vous revoir !
Thuramir- Messages : 3676
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Re: BREXIT : england out
Royaume-Uni : des milliers de cas de Covid-19 oubliés à cause d'un vieux tableur Excel
16.000 Britanniques n'ont ainsi pas été pris en charge par le système national «Test and Trace». Et les autorités n'ont pas pu établir la liste de leurs cas contact, potentiellement infectés.
Par Claudia Cohen
Publié il y a 10 heures, mis à jour il y a 8 heures
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/royaume-uni-des-milliers-de-cas-de-covid-19-oublies-a-cause-d-un-vieux-tableur-excel-20201006?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR2J_75COkxWk5P9GZxjpGhWQgcZxNn2sBHFZQ0ERP4UJJUZWAmW86-sQ80#Echobox=1601999908
Mais hélas, des bourdes peuvent parfois se produire, et des données relatives au dépistage finissent malencontreusement par se perdre. Lundi 5 octobre, les autorités sanitaires britanniques ont dévoilé que près de 16.000 cas confirmés n'avaient pas été inclus dans les rapports nationaux sur le virus entre le 25 septembre et le 2 octobre.
Public Health England, qui comptabilise quotidiennement les nouvelles infections, précise qu'elles étaient de 10.157 le 30 septembre, et non pas de 7108 comme annoncé. Et elles étaient de 11.057 le 1er octobre, et non de 6.914. Le 2 octobre, elles atteignaient ainsi 11.754, et non pas 6.968.
De fait, 16.000 Britanniques n'ont ainsi pas été pris en charge par le système national «Test and Trace», et les autorités n'ont pas pu établir la liste de leurs cas contact, potentiellement infectés.
Un fichier Excel limité
Alors que le gouvernement Johnson évoque un «problème technique» pour justifier ce passage sous le radar, les journaux britanniques The Guardian, The Daily Mail et Sky News assurent de leur côté qu'il s'agit en réalité d'une faille d'une vieille version de Microsoft Excel de 2003, utilisé par les autorités pour compiler les données. Selon ces médias, la capacité de ces fichiers est limitée à 65.536 cas et la feuille de calcul Excel s'arrêterait alors automatiquement de télécharger les résultats des tests au-delà. Un comble lorsque l'on sait que les récentes versions d'Excel peuvent contenir près d'un million de lignes dans un seul fichier.
Face à la colère des Britanniques et des autorités locales, le ministère de la Santé tente de se défendre et assure que ces cas positifs oubliés ont tout de même été informés de leur contamination à temps et sont bien restés isolés. Mais les médias Outre-Manche restent sceptiques.
« Ce qui est arrivé, c'est qu'une partie des données a été tronquée et oubliée », a personnellement indiqué le premier ministre britannique. En pleine conférence annuelle du parti conservateur, sous fonds de tensions avec la fronde de certains députés de son propre camp, Boris Johnson a assuré que les autorités sanitaires se démenaient actuellement pour contacter les cas contacts des oubliés de la base nationale.
16.000 Britanniques n'ont ainsi pas été pris en charge par le système national «Test and Trace». Et les autorités n'ont pas pu établir la liste de leurs cas contact, potentiellement infectés.
Par Claudia Cohen
Publié il y a 10 heures, mis à jour il y a 8 heures
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/royaume-uni-des-milliers-de-cas-de-covid-19-oublies-a-cause-d-un-vieux-tableur-excel-20201006?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR2J_75COkxWk5P9GZxjpGhWQgcZxNn2sBHFZQ0ERP4UJJUZWAmW86-sQ80#Echobox=1601999908
Mais hélas, des bourdes peuvent parfois se produire, et des données relatives au dépistage finissent malencontreusement par se perdre. Lundi 5 octobre, les autorités sanitaires britanniques ont dévoilé que près de 16.000 cas confirmés n'avaient pas été inclus dans les rapports nationaux sur le virus entre le 25 septembre et le 2 octobre.
Public Health England, qui comptabilise quotidiennement les nouvelles infections, précise qu'elles étaient de 10.157 le 30 septembre, et non pas de 7108 comme annoncé. Et elles étaient de 11.057 le 1er octobre, et non de 6.914. Le 2 octobre, elles atteignaient ainsi 11.754, et non pas 6.968.
De fait, 16.000 Britanniques n'ont ainsi pas été pris en charge par le système national «Test and Trace», et les autorités n'ont pas pu établir la liste de leurs cas contact, potentiellement infectés.
Un fichier Excel limité
Alors que le gouvernement Johnson évoque un «problème technique» pour justifier ce passage sous le radar, les journaux britanniques The Guardian, The Daily Mail et Sky News assurent de leur côté qu'il s'agit en réalité d'une faille d'une vieille version de Microsoft Excel de 2003, utilisé par les autorités pour compiler les données. Selon ces médias, la capacité de ces fichiers est limitée à 65.536 cas et la feuille de calcul Excel s'arrêterait alors automatiquement de télécharger les résultats des tests au-delà. Un comble lorsque l'on sait que les récentes versions d'Excel peuvent contenir près d'un million de lignes dans un seul fichier.
Face à la colère des Britanniques et des autorités locales, le ministère de la Santé tente de se défendre et assure que ces cas positifs oubliés ont tout de même été informés de leur contamination à temps et sont bien restés isolés. Mais les médias Outre-Manche restent sceptiques.
« Ce qui est arrivé, c'est qu'une partie des données a été tronquée et oubliée », a personnellement indiqué le premier ministre britannique. En pleine conférence annuelle du parti conservateur, sous fonds de tensions avec la fronde de certains députés de son propre camp, Boris Johnson a assuré que les autorités sanitaires se démenaient actuellement pour contacter les cas contacts des oubliés de la base nationale.
Caduce62- Messages : 15051
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Re: BREXIT : england out
Le Royaume-Uni pourrait manquer de dindes à Noël, faute de travailleurs saisonniers étrangers
Les professionnels britanniques de la volaille veulent obtenir du gouvernement une exemption des mesures de quarantaine sur au moins 1000 travailleurs venus d'Europe de l'Est.
Par Le Figaro avec AFP
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/covid-19-le-royaume-uni-pourrait-manquer-de-dindes-a-noel-faute-de-travailleurs-saisonniers-etrangers-20201022?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR1EQ8ClXhWyOCrIlJ20-uTEdtpm9g7JJinHHIlxm35AdvR3-yK_wNLdpZo#Echobox=1603356774
L'association britannique de la volaille a pressé mercredi le gouvernement d'accorder aux travailleurs saisonniers étrangers des exemptions des mesures de quarantaine imposées face au Covid-19, sans quoi, avertit-elle, les dindes pourraient manquer dans les assiettes de Noël.
«L'exemption proposée porterait sur au moins 1000 travailleurs saisonniers de Pologne, Roumanie, Hongrie, Bulgarie, République Tchèque et Slovaquie à la fin d'octobre» pour faire face à une «pénurie d'ouvriers basés au Royaume-Uni avec les qualifications nécessaires pour l'abattage et le traitement des volailles», plaide le British Poultry Council.
«Il est impossible de former des travailleurs britanniques vu la fenêtre de temps restreinte qui reste», assure-t-il dans un communiqué reçu mercredi par l'AFP. «Si ces emplois restent vacants, cela aura un impact important sur la production et donc sur le coût de l'alimentation - ce qui implique le risque de voir des gens ne pas pouvoir» s'offrir de repas pour Noël, argumente Richard Griffiths, directeur général du British Poultry Council.
Les fêtes de fin d'année risquent déjà d'être en partie gâchées par les mesures de distanciation sociale face à la deuxième vague de coronavirus, dans le pays le plus endeuillé d'Europe par la pandémie.
La période de transition post-Brexit s'achevant fin décembre, l'organisation rappelle qu'à l'heure «où nous démarrons un nouveau chapitre hors de l'Union européenne, il est plus important que jamais de créer des mesures qui aident la productivité, la création de bons emplois et le renforcement de notre sécurité alimentaire dans un Royaume-Uni indépendant post-Brexit».
Chaque année, environ neuf millions de dindes britanniques sont vendues, mais les éleveurs de volaille font face à un contexte particulier cette année à cause de la pandémie de coronavirus, avec l'interdiction de rassemblement avec des personnes n'appartenant pas au même foyer. Si cette mesure dure jusqu'à Noël, elle pourrait réduire la demande de ces oiseaux au gabarit plus adapté aux grandes tablées, ou l'orienter vers les plus petites variétés.
Les professionnels britanniques de la volaille veulent obtenir du gouvernement une exemption des mesures de quarantaine sur au moins 1000 travailleurs venus d'Europe de l'Est.
Par Le Figaro avec AFP
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/covid-19-le-royaume-uni-pourrait-manquer-de-dindes-a-noel-faute-de-travailleurs-saisonniers-etrangers-20201022?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR1EQ8ClXhWyOCrIlJ20-uTEdtpm9g7JJinHHIlxm35AdvR3-yK_wNLdpZo#Echobox=1603356774
L'association britannique de la volaille a pressé mercredi le gouvernement d'accorder aux travailleurs saisonniers étrangers des exemptions des mesures de quarantaine imposées face au Covid-19, sans quoi, avertit-elle, les dindes pourraient manquer dans les assiettes de Noël.
«L'exemption proposée porterait sur au moins 1000 travailleurs saisonniers de Pologne, Roumanie, Hongrie, Bulgarie, République Tchèque et Slovaquie à la fin d'octobre» pour faire face à une «pénurie d'ouvriers basés au Royaume-Uni avec les qualifications nécessaires pour l'abattage et le traitement des volailles», plaide le British Poultry Council.
«Il est impossible de former des travailleurs britanniques vu la fenêtre de temps restreinte qui reste», assure-t-il dans un communiqué reçu mercredi par l'AFP. «Si ces emplois restent vacants, cela aura un impact important sur la production et donc sur le coût de l'alimentation - ce qui implique le risque de voir des gens ne pas pouvoir» s'offrir de repas pour Noël, argumente Richard Griffiths, directeur général du British Poultry Council.
Les fêtes de fin d'année risquent déjà d'être en partie gâchées par les mesures de distanciation sociale face à la deuxième vague de coronavirus, dans le pays le plus endeuillé d'Europe par la pandémie.
La période de transition post-Brexit s'achevant fin décembre, l'organisation rappelle qu'à l'heure «où nous démarrons un nouveau chapitre hors de l'Union européenne, il est plus important que jamais de créer des mesures qui aident la productivité, la création de bons emplois et le renforcement de notre sécurité alimentaire dans un Royaume-Uni indépendant post-Brexit».
Chaque année, environ neuf millions de dindes britanniques sont vendues, mais les éleveurs de volaille font face à un contexte particulier cette année à cause de la pandémie de coronavirus, avec l'interdiction de rassemblement avec des personnes n'appartenant pas au même foyer. Si cette mesure dure jusqu'à Noël, elle pourrait réduire la demande de ces oiseaux au gabarit plus adapté aux grandes tablées, ou l'orienter vers les plus petites variétés.
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Re: BREXIT : england out
Au vu où vont les choses, ce sera plutôt un petit poulet à la place de la dinde à Noël.
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Re: BREXIT : england out
Brexit : l’UE et le Royaume-Uni saluent un accord "équilibré" obtenu in extremis.
https://www.marianne.net/politique/union-europeenne/brexit-lue-et-le-royaume-uni-saluent-un-accord-equilibre-obtenu-in-extremis?utm_medium=Social&utm_source=Twitter&Echobox=1608828203#xtor=CS2-5
https://www.marianne.net/politique/union-europeenne/brexit-lue-et-le-royaume-uni-saluent-un-accord-equilibre-obtenu-in-extremis?utm_medium=Social&utm_source=Twitter&Echobox=1608828203#xtor=CS2-5
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Re: BREXIT : england out
Brexit : Londres est parvenu à répliquer la quasi-totalité des accords commerciaux européens.
https://www.lesechos.fr/monde/europe/brexit-londres-est-parvenu-a-repliquer-la-quasi-totalite-des-accords-commerciaux-europeens-1276524#xtor=RSS-52
https://www.lesechos.fr/monde/europe/brexit-londres-est-parvenu-a-repliquer-la-quasi-totalite-des-accords-commerciaux-europeens-1276524#xtor=RSS-52
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Re: BREXIT : england out
Boris Johnson se décide à frapper les Russes de «Londongrad»
Par Arnaud De La Grange
Publié il y a 4 heures, mis à jour il y a 2 heures
Plusieurs oligarques et des banques, dont l’argent, souvent d’origine douteuse, irrigue depuis la chute de l’URSS la capitale britannique et sa finance, sont visés par des sanctions.
L’édifice est emblématique du Londres victorien. À quelques pas de Westminster, sa façade majestueuse domine la Tamise, et on le retrouve sur les photos des touristes comme dans les livres d’histoire. Whitehall Court a en effet connu d’illustres heures. Lors de la Première Guerre mondiale, il a servi de siège au Secret Intelligence Service, l’ancêtre de l’actuel MI6. Le bâtiment a aussi eu ses résidents célèbres. Parmi ceux-ci, on compte George Bernard Shaw, H.G. Wells, William Gladstone, lord Kitchener et le grand-duc Michel Alexandrovitch de Russie. L’exemple de ce dernier a été suivi par d’autres Russes, dont les investissements londoniens sont mis en lumière par la crise ukrainienne. À Whitehall Court, l’ancien vice-premier ministre de Poutine, Igor Chouvalov, posséderait deux appartements. Au nom d’une compagnie qu’il dirige avec sa femme et pour une valeur de plus de 11 millions de livres, selon la presse.
https://www.lefigaro.fr/international/boris-johnson-se-decide-a-frapper-les-russes-de-londongrad-20220223?utm_medium=Social&utm_campaign=echobox&utm_source=Facebook&origine=VWT16001&fbclid=IwAR2HP5e1BiuyZYmDqwxqGMwTMwpvbcj6trFCgr7KG6GVYx6BOgrCdhpsT0A#Echobox=1645642396
Par Arnaud De La Grange
Publié il y a 4 heures, mis à jour il y a 2 heures
Plusieurs oligarques et des banques, dont l’argent, souvent d’origine douteuse, irrigue depuis la chute de l’URSS la capitale britannique et sa finance, sont visés par des sanctions.
L’édifice est emblématique du Londres victorien. À quelques pas de Westminster, sa façade majestueuse domine la Tamise, et on le retrouve sur les photos des touristes comme dans les livres d’histoire. Whitehall Court a en effet connu d’illustres heures. Lors de la Première Guerre mondiale, il a servi de siège au Secret Intelligence Service, l’ancêtre de l’actuel MI6. Le bâtiment a aussi eu ses résidents célèbres. Parmi ceux-ci, on compte George Bernard Shaw, H.G. Wells, William Gladstone, lord Kitchener et le grand-duc Michel Alexandrovitch de Russie. L’exemple de ce dernier a été suivi par d’autres Russes, dont les investissements londoniens sont mis en lumière par la crise ukrainienne. À Whitehall Court, l’ancien vice-premier ministre de Poutine, Igor Chouvalov, posséderait deux appartements. Au nom d’une compagnie qu’il dirige avec sa femme et pour une valeur de plus de 11 millions de livres, selon la presse.
https://www.lefigaro.fr/international/boris-johnson-se-decide-a-frapper-les-russes-de-londongrad-20220223?utm_medium=Social&utm_campaign=echobox&utm_source=Facebook&origine=VWT16001&fbclid=IwAR2HP5e1BiuyZYmDqwxqGMwTMwpvbcj6trFCgr7KG6GVYx6BOgrCdhpsT0A#Echobox=1645642396
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