Re: L'invasion Russe en Ukraine

[Matt]

Ukraine: le Parlement confirme Stepan Poltorak au poste de ministre de la Défense

Le Parlement ukrainien a confirmé mardi la nomination au poste de ministre de la Défense de Stepan Poltorak, jusqu'alors chef de la Garde nationale, une formation composée notamment de volontaires engagés aux côtés de l'armée contre les séparatistes prorusses dans l'Est.

Un total de 245 députés, pour un minimum requis de 226 voix, ont voté en faveur de sa nomination soumise par le président Petro Porochenko, venu en personne défendre cette candidature devant les députés.

M. Poltorak, 49 ans, devient le quatrième ministre à ce poste depuis l'arrivée au pouvoir de pro-européens à Kiev en février.
La démission de son prédécesseur, Valéri Gueléteï, acceptée par le chef de l'Etat, a également été entérinée par les députés.

M. Gueleteï, en poste depuis juillet, a été vivement critiqué par les médias et des experts. Il a notamment été jugé responsable de la défaite de l'armée ukrainienne près d'Ilovaïsk où les soldats ukrainiens se sont fait piéger fin août, perdant environ 200 combattants selon des estimations données par les médias.

M. Porochenko a déclaré aux députés que le nouveau ministre s'occuperait avant tout de "créer un système puissant de la défense" et de "reconstruire le système approvisionnement" de l'armée, dont l'état actuel est catastrophique.

"L'Ukraine a besoin de paix et seules les forces armées modernes et mobiles, bien formées et bien équipées peuvent la garantir. Je sais ce qu'il faut faire" pour les créer, a déclaré M. Poltorak devant les parlementaires aussitôt après le vote sur sa candidature.

Après le renversement en février du régime du président prorusse Viktor Ianoukovitch et l'arrivée au pouvoir des pro-européens, Poltorak a été nommé commandant des troupes du ministère de l'Intérieur. Il a gardé ce poste après la transformation en mars de cette structure en Garde nationale et l'inclusion dans ses rangs de volontaires, souvent issus de la contestation pro-européenne du Maïdan.

lorientlejour.com

L'Ukraine cherche à renforcer son armée

En dépit des pourparlers de paix, l'Ukraine cherche à dissuader Poutine d'aller plus loin après l'annexion de la Crimée et l'emprise des séparatistes prorusses dans l'Est.

L'opération «antiterroriste» dans l'Est de l'Ukraine s'est soldée par un échec, selon les analystes. (photo: AFP)

Le président ukrainien Petro Porochenko a prévenu dimanche que les soldats déployés dans l'Est devaient se préparer à «passer l'hiver dans les tranchées» et a limogé le ministre de la Défense Valéri Gueleteï. Ce dernier était accusé de revers dans l'opération militaire ayant entraîné de lourdes pertes et scellant la défaite de l'armée face aux rebelles soutenus par les troupes régulières russes. L'opération «antiterroriste» menée par Kiev depuis la mi-avril contre les séparatistes du Donbass dans l'Est «s'est conclue par une victoire incontestable de ces derniers», a estimé Philippe Migault, directeur de recherche à l'Institut français IRIS. L'expert militaire ukrainien Valentin Badrak rappelle que depuis la fin août l'armée ukrainienne, équipée d'armes usagées de troisième génération, affronte «des troupes régulières russes qui sont intervenues soudainement avec des armes modernes de la quatrième génération».

Cette défaite intervient après l'humiliante perte en mars de la Crimée occupée sans combats et annexée en mars à la Russie. «Nous ne pouvons gagner que par la voie pacifique (...) mais le pays doit être prêt au pire et capable de repousser ceux qui relancent les hostilités», a prévenu Petro Porochenko, à quelques jours d'une rencontre avec Vladimir Poutine à Milan censée consolider le cessez-le-feu conclu le 5 septembre entre Kiev et les séparatistes avec la participation de Moscou. Le chef de l'État a expliqué le remaniement au ministère de la Défense après celui dans le service des gardes-frontières par la nécessité d'augmenter «la capacité de défense» du pays. Le nouveau ministre de la Défense, Stepan Poltorak, est un militaire qui commandait jusqu'à présent la Garde nationale composée principalement de milices du Maïdan, mouvement de contestation qui a renversé en février le président prorusse Viktor Ianoukovitch et détestée en Russie.

Spéculations sur les intentions réelles de Poutine

C'est le quatrième ministre en neuf mois depuis l'arrivée au pouvoir des pro-occidentaux ce qui illustre les difficultés de cette ex-république soviétique avec son armée rongée par la corruption, mal équipée et et mal entraînée. «Un bon choix», selon l'expert militaire ukrainien Gueorgui Mantchoulenko soulignant que le général Poltorak a réussi à transformer en six mois la Garde nationale d'un «rassemblement de bataillons à une véritable armée». Il a devant lui une tâche herculéenne: motiver les militaires qui aujourd'hui «armés seulement d'une kalachnikov affrontent des chars pour 3 000 hryvnias par mois (moins de 200 euros), créer des structures militaires dans l'Est et rétablir le contrôle de la frontière», énumère Valentin Badrak. «Notre but est de montrer à Poutine que nous sommes capables de nous défendre, bâtir un mur politico-psychologique contre lui», souligne l'expert militaire Vadim Gretchaninov, président du Conseil atlantique de l'Ukraine interrogé par l'AFP.

Des spéculations alarmistes circulaient ces dernières semaines sur les intentions de Poutine de conquérir le port stratégique ukrainien de Marioupol pour créer un couloir terrestre entre la Russie et la Crimée voire de vastes régions russophones de l'Est et du Sud de l'Ukraine. «Le meilleur moyen de se protéger contre une grande guerre avec la Russie est de se préparer à une telle guerre. Le président Porochenko semble avoir compris la nécessité d'accroître le potentiel militaire de l'Ukraine», souligne Valentin Badrak. Le Kremlin qui dément toute implication dans le conflit ukrainien a tout fait pour dissimuler les pertes de soldats russes tués dans les combats en Ukraine, mais «Poutine a peur que les mères et les épouses en province ne comprennent ses vraies intentions» en Ukraine, estime Vadim Gretchaninov. «Il ne prendra pas le risque de faire la guerre contre un pays bien entraîné en sachant que ce sera un bain de sang pour les soldats russes».

lessentiel.lu

Rien que de très logique, si tu veux la paix . . .

Le meilleur pour la fin:

L'Ukraine unie et unitaire vit ses derniers jours



Igor Korotchenko, un expert militaire russe, rédacteur en chef du magazine Nacionalnaya oborona (Défense nationale) a répondu aux questions de la Voix de la Russie.

Je vous laisse la lecture de ces mensonges.

[tarkan]

Pavel Goubarev semble en effet dans le coma. Cela se présente mal pour lui à première lecture des diverses dépêches.

Quant à l'aéroport de Donetsk, il date de l'époque de l'URSS, et il est truffé de souterrains et de passages destinés à la résistance contre un ennemi qui a conquis la surface. C'est un objectif des plus difficiles et des plus coûteux en hommes et en matériel à conquérir, et avantageux à défendre. En somme, c'est un caillou de première classe dans le soulier des militaires voulant déloger les troupes ukrainiennes.

C'est vrai cela? J'avais entendu cette info, mais vu que ça venait de sources peu fiables, je n'y ai pas cru...

[tarkan]

voilà ce que j'ai écrit chez Orkenny et que je trouve important de relayer ici:

Un de nos amis est rentré à Lugansk, il vient de nous écrire. Ce qu'il dit en substance, c'est que Lugansk est calme, et que les séparatistes règnent en maître.

Il existe une ambiance soviétique dans le sens où les séparatistes débarquent de nulle part, emmènent quelqu'un en voiture et disparaissent... Les téléphones sont sur écoute et tout le monde se méfie de tout le monde.

Notre ami souligne l'alcoolisation continue des séparatistes...

Ils ont très peur de l'hiver, car l'approvisionnement en électricité et en gaz est loin d'être continu...

Mais l'info la plus importante, c'est qu'il travaille dans l'une des nombreuses entreprises d'état. Et le directeur de cette entreprise a déclaré aujourd'hui que Kiev a refusé de payer leur salaire, et qu'il fallait qu'il enregistre l'entreprise à la LNR... On croit rêver!

Donc l'abandon de souveraineté se fait sentir concrètement. En même temps, Kiev ne va pas payer pour une portion de territoire qui échappe totalement à son contrôle.

Ma femme pense que DPR/LNR sera rattachée à la Russie dans quelques années, et je suis assez d'accord....



Depuis septembre, c'est la Russie qui paye les pensions et les salaires des fonctionnaires, de ceux qui sont restés sur place en tout cas. Ils les ont même augmenté....

[Matt]

Pavel Goubarev semble en effet dans le coma. Cela se présente mal pour lui à première lecture des diverses dépêches.

Quant à l'aéroport de Donetsk, il date de l'époque de l'URSS, et il est truffé de souterrains et de passages destinés à la résistance contre un ennemi qui a conquis la surface. C'est un objectif des plus difficiles et des plus coûteux en hommes et en matériel à conquérir, et avantageux à défendre. En somme, c'est un caillou de première classe dans le soulier des militaires voulant déloger les troupes ukrainiennes.

C'est vrai cela? J'avais entendu cette info, mais vu que ça venait de sources peu fiables, je n'y ai pas cru...

Pour Goubariev, c'est avéré, mais il semble se "remettre":


Il n'oublie pas le "bon" tee shirt!!



@RobPulseNews

Bonne nouvelle?
Les troupes russes se retirent d'Ukraine, affirme John Kerry


Ou manipulation poutinienne?

Poutine seul face aux Européens

Le président russe se rend jeudi à Milan pour un sommet Europe-Asie où il devrait revoir son homologue ukrainien, alors que la Russie reste isolée sur le plan international.

Concernant les heurts d'hier devant la Rada:

Russia’s hand suspected in Kyiv clashes


Peut-être un peu facile de voir "la main de Moscou" partout?

Au sujet du général russe tué:

Ukrainian battalion says Russian general killed in operation in Donetsk



The Ukrainian Interior Ministry’s Dnipro-1 battalion has eliminated a Russian subversive group, a terrorist nicknamed Chechen and a Russian general, the National Defence Headquarters of Dnipropetrovsk Region has reported, the Interfax-Ukraine news agency reported at 16:09 Kyiv time.

Un comparatif de l'horreur:

Five eerie similarities between “pro-Russian rebels” in East Ukraine and ISIS



In 2014, the West was faced with several major international crises, the most notable of which are the spread of ISIS in Iraq and Syria and the Moscow-backed insurgency in Eastern Ukraine, which eventually escalated into a full-blown aggression. Yet while the ISIS threat is met with a firm response, both militarily and diplomatically (air strikes and official designations as terrorists), the response to separatists fighting the Ukrainian government has been incomparably milder, going as far as appeals for a peaceful resolution of the conflict issued by world leaders. Even though the exact naming of the armed separatist groups differs significantly in Western media, the tendency is to call gunmen in Ukraine “rebels,” rather than the more negative “militants,” left to ISIS. However, there are facts that suggest that the two groups have a lot more in common than the world would like to believe.

We are not aiming to prove the Donetsk and Luhansk Republics and the Islamic state are the same thing. There is obviously a difference in the scale of atrocities, yet the similarities suggest that a change of Western attitude may be in order.

Execution and torture videos

Probably the most shocking development in the ISIS crisis was the beheading of as many as five people, proudly videotaped and posted on the Internet. Those videos have sparked international outrage. An attempt to emulate such medieval atrocity was undertaken in the east Ukrainian town of Horlivka. The local “rebel” commander and suspected Russian intelligence operative Igor Bezler posted a video of alleged execution of two Ukrainian POWs with a threat to execute more each hour, unless Kyiv released captured separatist militants. This attempt at propaganda was later debunked by multiple sources. However, later Bezler at least once threatened to execute a British journalist attempting to interview him. Photos and videos with evidence of torture have appeared during the 6-month conflict.

However, the video channels of the militants feature videos of tortured Ukrainian POWs quite often, one of the particularly gruesome being an interrogation of a dying Aidar fighter (warning, 18+).



Humiliating prisoners on video is also widespread, as seen in the recent video published by The “Republic of Novorossiya” channel – a presumed Ukrainian volunteer fighter being [url=http://euromaidanpress.com/2014/10/11/5-eerie-similarities-between-pro-russian-rebels-in-east-ukraine-and-isis/Donetsk terrorists tie presumed Ukrainian volunteer fighter]tied to a lamp post [/url]in the East Ukrainian town of Zuhres.

Human rights abuse

While the “rebels” in Ukraine don’t have a habit of taping the worst of their atrocities, that doesn’t mean they do not happen. Human Rights Watch has documented widespread detainment and torture of civilians and members of the press by separatists. Evidence of executions has also surfaced with the discovery of a mass grave in the town of Sloviansk weeks after Ukrainian government reestablished control over the area. This widespread persecution of dissenting voices and journalists echoes ISIS activities in the captured regions of Iraq, if lacking in scale. Various evidence also suggests the separatists use human shields by establishing firing positions in residential buildings and shell residential areas to shift the blame on Ukrainian forces.

Recently, the Security Service of Ukraine (SBU) began the process of identifying locations of concentration camps and mass graves created by the militants in Donbas and even placing them on a map. The advisor to the SBU drew a parallel with the events of twenty years ago in mass concentration camps in Srebrenica (Bosnia and Herzegovina), where violent and inhumane treatment was also performed, noting that the judiciary system has been replaced by retaliatory troikas that imprison people without charge or trial, torture them in basement cellars, and execute prisoners by shooting. Former POWs tell gruesome stories of their imprisonment, and militants themselves tell of terror, racketeering, rapes during interrogations.

Religious fundamentalism

ISIS, like many other terrorist organizations, is motivated by a radical religious doctrine, attracting followers from all over the world. While ISIS’s particular brand of Islam has been condemned by Muslim clerics all over the world, they consider their religion the only true one and will not hesitate to brutally persecute followers of others. Again, we find striking similarities in the insurgency in eastern Ukraine, where one unit is actually called Russian Orthodox Army, bearing disturbing ties with ultra-orthodox nationalists in Russia-proper and being obsessed with “reconquering” of Ukraine. This fundamentalism, condemned by the Ukrainian branch of the Russian Orthodox Church, goes beyond rhetoric, with widespread evictions, kidnappings, murders and denial of worship against Protestants, Catholics and Ukrainian Orthodox worshippers independent from Moscow. According to New York Times, the rebels view “Orthodox Christianity as a force to unite these now divided Slavic lands and also their own fractured movement”.

Russian orthodox Army fighter in Donetsk. Photo from http://malorossijanin.livejournal.com

Russian orthodox Army fighter in Donetsk. Photo from http://malorossijanin.livejournal.com

Redrawing national borders

One of the striking things about ISIS is their blatant disregard of nation’s borders agreed by international law, their immediate aim being to unite Sunni-inhabited lands across Iraq and Syria. Even more outrageous are ISIS claims of the whole Muslim world evidenced by their propaganda. Likewise, the separatists in East Ukraine stretch their claims to the entirety of the historical regions of Novorossiya, currently the South-eastern regions of Ukraine, despite the population of the area being cold to the idea at best. This dismemberment of Ukraine is a part of a broader vision of a “Russian World from Vladivostok to Brest,” implying violating the territorial integrity of many post-Soviet states (including Belarus, the Baltics, and Kazakhstan) to unite all the Russian-speaking territories under one banner.

Reign of terror

The few reports that emerge from ISIS-occupied territories bring stories of strict Sharia law and lack of basic services like electricity and running water, the locals scared into submission. Likewise, the large swaths of eastern Ukraine under “rebel” control see an emerging police state turning life into a nightmare for the few remaining pro-Ukrainians there. Recently, Luhansk separatist authorities reportedly criminalized homosexuality in defense of “Christian values.” Life for separatist supporters isn’t easy either – shortages of running water, power, and even food are widespread. The humanitarian aid may not be much help, with sources reporting it being stolen and then sold in local stores.
Essentially, 2014 saw the rise of two religious fundamentalist groups aiming to redraw national borders and impose a regime of fear and persecution against minorities, characteristic with violent propaganda and threats towards the integrity of multiple countries. However, while ISIS faces a broad military coalition of European and Middle Eastern states, Ukraine is denied as much as defensive weapons to counter the threat and is expected to conduct a peace process with the very “rebels” that have been abusing and killing Ukrainians for half a year. Changing this strikingly different attitude requires more than one article, but at least the readers would be doing Ukraine a favor if they at least stop calling the terrorists “rebels.”

Crimes of pro-Russian militants against civilians in Donbas: kidnapping, looting and executions

[Krispoluk]

Alors pour tous les "Fana-Mili" je sais qu'il y en a sur le forum, excellent numéro du magazine "Raids" ce mois d'Octobre. Un reportage sur les forces Ukrainiennes engagées au Donbass avec beaucoup de photos, un reportage sur l'armée Lituanienne, petite mais "costaude" et un sur les forces spéciales françaises : comment faire le même job avec du vieux matériel qui date parfois de 40 ans

En vente 6,95€ dans toutes les bonnes charcuteries

Couverture d'un numéro ancien :

[Krispoluk]

La "désoviétisation" avance à grand pas en Ukraine, merci Vova

A Poltava l'anniversaire de l'Holodomor est l'occasion de démanteler tous les monuments dédiés à Lénine.

"Débaptiser les rues, places et autres établissements d'enseignement, des personnages de l'époque totalitaire qui ont détruit le peuple ukrainien par les famines et la répression», - a déclaré à la presse le responsable des services de l'Etat régional de Poltava Victor Bugaychuka. Il a également rendu une ordonnance qui prévoit d'éliminer les reliquats de l'idéologie totalitaire de l'ex-Union soviétique dans la région.

Source : http://rus.newsru.ua/ukraine/15oct2014/leninvse.html

[Matt]

Dans le même ordre d'idée:

Putin on the Day of the Defender of Ukraine on October 14: nationalist and fascist

President Vladimir Putin condemns the fact that in Ukraine, according to today’s Order on part of President Petro Poroshenko, a new state holiday was introduced on October 14: the Day of the Defender of Ukraine, and the Day of the Defender of the Motherland on February 23 was cancelled.

When speaking at the Human Rights Council, the Russian President stated to those present that Ukraine was introducing a practically official holiday to commemorate the UPA [the Ukrainian Insurgent Army], a “nationalist, fascist organization,” and there are calls for violence against representatives of the Russian Orthodox Church, Russian media write.

As is known, today Ukrainian President Petro Poroshenko signed the order to consider October 14 the Day of the Defender of Ukraine.

This day is also an Orthodox Christian holiday, Pokrova of the Mother of God, who is considered in Ukraine to be the saint protector of the army.

On this day, Ukraine also celebrates the Day of Ukrainian Cossacks and the anniversary of the foundation of the UPA.

Mais de quoi il se mèle!!!

[Krispoluk]

T'as pas encore compris Matt, l'Ukraine C'EST PARTIE INTEGRANTE DE LA RUSSIE ! "Ukraïna nasha" !
La Russie de la frontière polonaise à Vladivostok !
Le "logiciel de lecture soviétique" a encore de beaux jours devant lui avant d'être détruit par la persistance de la réalité sur le terrain

[Matt]

Il doit comprendre que la Russie est un pays et n'est plus (lin s'en faut) l'URSS.

[Krispoluk]

Il doit comprendre que la Russie est un pays et n'est plus (lin s'en faut) l'URSS.

Ouais, mais il a bâtit toute sa politique sur ce mythe de "reconstruire l'URSS ou l'empire des tsars" et mobilisé toutes les énergies là-dessus. Il ne peut pas se déjuger face au peuple russe qui est encore hanté par cette nostalgie, mais ça le mène droit à sa perte car on ne réécrit pas l'histoire impunément !!!
Nous Français et vous Belges, nous avons eu beaucoup de mal à "digérer" la période de décolonisation en Afrique.
C'est encore plus dur pour les Russes car il n'y a pas la Méditerranée pour les séparer, CQFD 
     
Allez, je vais faire un trait d'humour (sans photos ) Mon frère, jeune officier supérieur en retraite de l'armée française vient de faire un séjour de 4 mois en RDC à Lubumbashi, ex E'ville (dans le logiciel belge ) pour mettre en place un service nouveau pour une boite française. 
Il a beaucoup bourlingué dans toute l'Afrique au cours de se carrière et ce qu'il a trouvé d'amusant chez les Congolais de Lumbu, c'est qu'ils gardent intacts deux héritages importants de la colonisation Belge : le culte de la bière et celui de la messe du Dimanche. Impossible de trouver quelqu'un en fin de journée (17h) pour bosser quand tous le monde se retrouve au bistro local ou le dimanche à l'heure de la messe : Traditions sacrées   

[Matt]

Tant qu'ils ne nous "piquent" pas nos moules frites . . .

[Krispoluk]

Le Commandant du bataillon "Azov", a déclaré que la proportion de russophones se battant sous son commandement est inférieure à 50%, le reste étant constitué de volontaires venus de toute l'Europe libre.

«Nous sommes, réellement, 50% du bataillon composé de russophones. Nous avons accueilli ces derniers mois un grand nombre de Géorgiens, Suédois, Italiens, Français, Grecs, Anglais, Irlandais, Slovaques, et tous ces gens se battent pour l'Ukraine.

Je demande à ce qu'on leur octroie la citoyenneté Ukrainienne», - a déclaré le commandant du bataillon," Azov" Andreï Biletsky.

[Krispoluk]

Tant qu'ils ne nous "piquent" pas nos moules frites . . .

Ainsi que les homards de la "République Libre de Bretagne" pour faire plaisir à Thuramir   

[Matt]

Bien du mérite pour tous ceux qui se "bougent" pour l'Ukraine.

A propos du retrait des troupes russes:

Les troupes russes se retirent d'Ukraine alors qu'elles n'y sont pas entrées

Vladimir Poutine l'a annoncé : les troupes russes se retirent d'Ukraine. Or selon lui et selon les observateurs bien désinformés, aucun soldat Russe n'était intervenu en Ukraine, comme cela a été répété aux pays frères tout l'été. En effet, les séparatistes Ukrainiens agissent en totale autonomie, sous le simple regard bienveillant -mais passif- de Moscou. Il faut donc expliquer comment la Russie parvient à faire sortir des soldats d'un pays où elle n'en a fait entrer aucun, ce qui en ferait d'ailleurs la première intervention militaire écoresponsable de l'Histoire.

Première possibilité : les soldats sont entrés sans ordre, avec leurs camions bourrés d'armement lourd, parce qu'il avaient un peu forcé sur la vodka. Rappelons qu'il n'y a pas d'embargo russe sur les produits alcoolisés. Toutefois, l'armée russe étant fortement disciplinée, c'est impossible, surtout avec les camions et les armes.

Seconde possibilité : les soldats russes sont entrés par erreur en Ukraine alors qu'ils faisaient des manoeuvres près de la frontière. En effet, les logiciels du GPS russe ne sont pas très au point pour le tracé des frontières, à cause de la vodka. Et là, les soldats égarés ont aimé "l'autre côté" et sont restés quelques mois parce qu'ils trouvaient l'accueil chaleureux. Ils ont aussi attendu la fin de l'été pour partir parce qu'ils avaient peur de se faire enguirlander par leurs chefs quand ils reviendraient. En effet, ils pensent qu'après des mois d'absence, leur chefs (qui se sont beaucoup inquiétés) seront plus rassurés qu'en colère en les voyant revenir. Et donc, ils leur feront des bisous au lieu de les déporter en Sibérie.

Troisième possibilité : les soldats séparatistes ukrainiens ont pris la nationalité russe, sans quitter l'Ukraine, et se sont engagés dans l'armée russe. Comme ils ne pouvaient pas atteindre les bureaux de recrutement de l'armée russe, car ces bureaux sont en Russie et les soldats en Ukraine, ils se sont inscrits dans l'armée russe par internet, sur Facebook. Ce sont donc des e-soldats likés par l'état-major russe qui ont quitté le territoire ukrainien.

Mais cela n'explique pas les armes russes que les e-soldats employaient.

Quatrième solution : il n'y avait pas de soldat russe en Ukraine, ainsi que l'a affirmé Vladimir Poutine. Maintenant que plusieurs milliers de soldats russes ont quitté l'Ukraine, comme le prétend Vladimir Poutine, le nombre de soldats russes en Ukraine est devenu négatif. Donc non nul. Donc il y a maintenant des soldats russes en Ukraine... mais ils sont négatifs. Pour vider à nouveau l'Ukraine de ses soldats russes, il faut donc en faire entrer à nouveau autant qu'il en est sorti. Ainsi, il n'y en aura plus.



desinformations.com

[Krispoluk]

J'adore ton humour (volontaire) Matt et celui (involontaire) de Poutine
Jouissif en effet, maintenant je me méfie comme de la peste du nabot du Kremlin, il peut bouleverser complètement le jeu en 24h !!!
Mais au jeu du "qui perd/gagne" il est en train de perdre à grande échelle simplement parce que l'université du KGB ne l'a pas formé aux finances internationales...(son talon d'Achille)

[Matt]

Pourvu que cette chute ne tarde pas, il y a eu assez de morts dans le Donbass . . . et ailleurs, mais on n'en parle pas (assez).

[Matt]

En attendant, peut-on craindre un nouveau Ilovaisk?

Ukraine: une centaine de soldats encerclés par des rebelles prorusses dans l'Est



Une centaine de soldats ukrainiens étaient encerclés mercredi par des rebelles prorusses dans la région séparatiste de Lougansk, dans l'est ukrainien, ont indiqué les autorités ukrainiennes.

Le gouverneur pro-Kiev de la région de Lougansk, Guennadi Moskal, a annoncé que 112 soldats ukrainiens étaient "encerclés" au lieu-dit Bakhmoutka, sur une route qui part de Lougansk vers l'ouest.

"La situation peut être qualifiée de critique", a averti M. Moskal. "Certains soldats blessés ont été faits prisonniers, dont un commandant du bataillon", a-t-il ajouté, évoquant "des tirs permanents à l'arme lourde".

Le gouverneur avait déjà fait état mardi d'intenses combats dans la zone et d'un mort dans les rangs des forces ukrainiennes.

Pour sa part l'état major ukrainien a confirmé une situation "difficile mais contrôlable" et un porte-parole militaire a démenti "un encerclement" total.

"Il reste possible d'envoyer des renforts et des armes supplémentaires", a expliqué Andriï Lyssenko lors d'une conférence de presse à Kiev.

La situation fait craindre une répétition de la bataille d'Ilovaïsk, localité stratégique de la région de Donetsk, où les forces ukrainiennes s'étaient retrouvées encerclées par les insurgés prorusses.

La bataille s'était terminée par un bain de sang avec plus de 100 morts selon un bilan officiel, et même environ 200 selon certaines sources.

Ce revers a été cité par la presse ukrainienne et les experts comme la principale raison du limogeage le week-end dernier du ministre de la Défense Valéri Gueleteï, remplacé mardi par Stepan Poltorak, chef de la Garde nationale, formation comprenant notamment les volontaires issus du mouvement de contestation proeuropéen du Maïdan.

Malgré l'instauration d'un cessez-le-feu le 5 septembre, les combats, s'ils ont baissé en intensité, se sont poursuivis dans certains points chauds, dont l'aéroport de Donetsk.

Selon M. Lyssenko, les forces ukrainiennes y ont subi deux tentatives d'assaut de la part des séparatistes, qui de leur côté affirment contrôler les lieux.

A l'issue d'un entretien mardi avec son homologue russe Sergueï Lavrov à Paris, le secrétaire d'Etat américain John Kerry avait exigé l'arrêt des tirs autour de cet aéroport international qui avait été reconstruit à neuf pour l'Euro de football en 2012 mais a été depuis dévasté par des mois d'intenses combats.

rtl.be

[Matt]

Déstabilisation vous avez dit:

Protests of enlisted servicemen near Verkhovna Rada set up by Russian FSB



The recent protests of enlisted National Guard servicemen near the Ukrainian Parliament  were set up by the 18th center of the Russian FSB (Russian Security Service) via the social network VKontakte, said Markiyan Lubkivskyi, adviser to the Head of the SBU (Security Service of Ukraine). He spoke on air to Channel 5 about the involvement of Russian secret services in organizing the October 13-14 riots, LB.ua reported.

“We know how the 18th center of the FSB works. We know very well those who develop such operations. Information was disseminated in social networks calling for illegal protests, with appeals to the public and to the international community to oppose the ‘Nazi march’ and ‘banderite lawlessness,’” said Lubkivsky.

At the same time, according to Lubkivsky, the SBU working together with the Ministry of Interior were able to prevent larger-scale actions.

“The geography of these so-called protests was to have been much wider. These actions would have covered not only Kyiv but also Kharkiv, Kherson, Mykolayiv, Zaporizhzha, Odesa, Vinnytsia, Dnipropetrovsk and Pavlohrad. These actions were actually supposed to be massive,” he stated.

The advisor to the SBU Head urged internet users not to use the social network VKontakte because the Russian special services are operating through it.

Pfffffffffffff

[Matt]

Et commentaire version russe:

Un troisième Maïdan prêt à éclater à Kiev (experts)

Ukraine: les processions aux flambeaux contraires aux décisions du Tribunal de Nuremberg (responsable)

Politique Poutine: Le vaccin contre le nazisme s'est affaibli en Europe

Drame humain et effondrement économique : la guerre en Ukraine en 5 chiffres


Coûteux en vies humaines, le conflit en Ukraine entre nationalistes et séparatistes pro-russes prend aussi sa dîme sur l'économie des deux pays. | AP/Dmitry Lovetsky

3 360 morts
L'ONU a présenté un bilan, le 8 octobre dernier, du nombre de personnes tuées depuis le début du conflit en Ukraine il y a six mois. Après la « trêve » signée le 5 septembre dernier, 331 personnes ont trouvé la mort, selon le rapport du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme, qui arrête son décompte un mois plus tard.

375 792 déplacés
Selon l'ONU, qui cite les services d'urgence ukrainiens, le conflit a entraîné le déplacement de 375 792 personnes dans le pays. Celles qui sont rentrées chez elles font face à des difficultés considérables, puisqu'un grand nombre de maisons ont été détruites ou endommagées.

Près de 40 000 PME
des régions de Donetsk et Louhansk ont dû cesser leurs activités à cause des combats, ce qui a privé des milliers de personnes de leurs revenus.

Mercredi 15 octobre, le ministère des finances a averti que l'économie ukrainienne subirait cette année une contraction de 8 % à 9 % de son produit intérieur brut. Le conflit dans l'Est, région la plus industrielle, aggrave encore la crise que traverse le pays.

Plus de 21 milliards d'euros
C'est le montant de l'aide accordée par le Fonds monétaire international (FMI). La Banque centrale ukrainienne a indiqué jeudi 16 octobre que le FMI allait envoyer une mission dans le pays « fin octobre, début novembre » pour évaluer la nécessité d'augmenter son plan de sauvetage.

Kiev a déjà adopté des mesures drastiques, avec hausse du prix du gaz et gel des retraites.

52 roubles pour un euro
Conséquence indirecte de ce conflit, dans lequel intervient la Russie, le rouble dévisse et réalise des contre-performances historiques. La devise russe, qui s'échangeait au niveau de 46 roubles pour un euro il y a trois mois, cote au plus bas face à la monnaie unique : il faut plus de 52 roubles pour un euro désormais.

lemonde.fr

[Matt]

Ukraine: Intenses combats à l'aéroport de Donetsk



Les combats entre forces ukrainiennes et séparatistes prorusses se poursuivaient de manière intense ce jeudi autour de l'aéroport de Donetsk, avec des tirs réguliers de roquettes, de mortiers et d'artillerie, ont constaté des journalistes de l'AFP sur place.

Cet aéroport international reconstruit à neuf pour l'Euro de football en 2012, dévasté par des mois de combats, est l'un des principaux points de tension qui persistent entre les deux camps, qui en revendiquent le contrôle, malgré le cessez-le-feu décrété le 5 septembre. Un drapeau ukrainien flotte sur le plus ancien des deux terminaux, ont constaté des journalistes de l'AFP.

Echanges de tirs réguliers

Durant la matinée et le début d'après-midi ce jeudi, les échanges de tirs étaient toujours réguliers entre les deux camps, aux positions figées à moins de 200 mètres de distance. Les forces séparatistes tiraient au mortier, au lance-roquettes et à la mitrailleuse lourde. L'armée ukrainienne répondait avec des salves de roquettes multiples Grad et des obus de canons d'artillerie.
Selon le commandant Guivi, un des deux leaders séparatistes qui dirigent la bataille de l'aéroport, l'armée ukrainienne a reçu récemment des renforts à Peski, localité voisine située à une dizaine de kilomètres au nord-ouest du front. «On s'attend à une attaque à tout moment», a-t-il déclaré. «Ils ont toujours leurs pièces d'artillerie à Avdiivka (autre ville situé à 8 kilomètres au nord-est) et Peski. Ils ont même amené de nouvelles (roquettes) Grad et des Ouragan (roquettes de plus gros calibre) à Peski», a-t-il ajouté.

«Les derniers jours étaient plutôt calmes mais hier (mercredi), ils ont tiré des Ouragan. Ils ont touché les faubourgs de la ville, des bâtiments ont été détruits. On n'a eu heureusement aucun mort à déplorer dans nos rangs mais il y a eu des blessés légers parmi la population civile», a-t-il poursuivi. A l'issue d'un entretien avec son homologue russe Sergueï Lavrov mardi à Paris, le secrétaire d'Etat américain John Kerry avait exigé l'arrêt des combats pour le contrôle de l'aéroport.

Tous le monde veut la fin des combats:

Urkaine-Paris et Berlin réclament le respect de l'accord de Minsk

François Hollande et Angela Merkel ont plaidé jeudi à Milan pour le respect de la trêve prévue dans l'accord de Minsk passé début septembre entre

l'Ukraine, la Russie et des séparatistes pro-russes. 

    De la pleine application de cet accord dépendra notamment la livraison à la Russie par la France de l'un des deux porte-hélicoptères commandés par Moscou, que Paris a suspendu en
attendant une amélioration de la crise ukrainienne. 

    Ce dossier fera l'objet, vendredi matin à Milan, d'un mini-sommet réunissant les présidents russe et ukrainien Vladimir Poutine et Petro Porochenko, ainsi que le président français, la
chancelière allemande et le Premier ministre britannique, David Cameron. 

    Le président du Conseil européen, Herman Van Rompuy, celui de la Commission, José Manuel Barroso, le nouveau chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, ainsi que le président du Conseil italien, Matteo Renzi, assisteront à ce rendez-vous organisé en marge du 10e sommet Europe-Asie. 

    "Il est du devoir de la Russie de mettre en oeuvre le plan de Minsk. Malheureusement, il y a de grands manquements", a déclaré Angela Merkel à son arrivée. 

    La chancelière doit s'entretenir en particulier à Milan avec les présidents russe et ukrainien.  

    François Hollande a déclaré pour sa part que le respect du cessez-le-feu, violé quotidiennement sur le terrain, restait l'une des conditions pour que la France accepte de livrer les
Mistral, construits sur les chantiers navals de Saint-Nazaire.

    François Hollande exige pour ce faire que "le cessez-le-feu soit entièrement respecté en Ukraine et que le plan de règlement de la crise, l'accord de Minsk, soit intégralement appliqué".

    Le président français doit se prononcer à ce sujet à la fin du mois, après les élections législatives prévues en Ukraine le 26 octobre.

[Matt]

De nouveau les mensonges poutiniens:

L'OTAN n'a pas constaté de retrait des troupes russes en Ukraine


Selon l'OTAN, les quelque 17'000 soldats massés à la frontière ukrainienne ne se sont pas retirées, malgré l'annonce de Vladimir Poutine. [Marko Djurica - Reuters]

Malgré l'annonce du président russe Vladimir Poutine samedi, l'OTAN assure jeudi ne pas avoir constaté de mouvements significatifs des troupes russes à la frontière ukrainienne.

L'OTAN n'a pas constaté "de mouvements majeurs et significatifs" confirmant l'annonce par le président russe Vladimir Poutine d'un retrait de 17'600 soldats russes déployés le long de la frontière ukrainienne, a indiqué jeudi un responsable militaire.

Vladimir Poutine avait ordonné samedi le retrait des troupes russes déployées depuis cet été à la frontière avec l'Ukraine, à la veille d'une semaine d'intense activité diplomatique autour de la crise ukrainienne. Le secrétaire d'Etat américain John Kerry avait confirmé cette décision mardi.

Vendredi matin, Vladimir Poutine doit rencontrer le président ukrainien Petro Porochenko en marge d'un sommet à Milan.

Menace sur le gaz

Par ailleurs, Vladimir Poutine a averti jeudi lors d'une visite officielle en Serbie que si l'Ukraine prélevait une partie des livraisons de gaz russe pour faire face à la pénurie, Moscou réduirait ses fournitures à l'Europe "en conséquence".

Le président a aussi mis en garde contre toute pression sur la Russie.

Réunion sur le gaz le 21 octobre

La Russie a coupé mi-juin ses livraisons de gaz à l'Ukraine qui refuse la hausse des prix imposée par le géant gazier russe Gazprom dans le contexte de la crise entre Kiev et Moscou. Et selon Moscou, le pays a accumulé 5,3 milliards de dollars d'impayés.

Une réunion trilatérale pour régler le contentieux gazier opposant la Russie et l'Ukraine doit se tenir le 21 octobre à Bruxelles.

rts.ch

Hier à Milan, Merkel et vova se sont rencontré (longtemps 2h30):

Version russe:
Ukraine: sérieuses divergences entre Poutine et Merkel



Version occident:
Discussion et « divergences » persistantes entre Merkel et Poutine



Pour une fois, les deux types de médias sont d'accord. Remarquable!!!

Hier, Porochenko à signé la loi sur le status du Donbass:

Ukraine: la loi sur le statut du Donbass, un pas dans le bon sens (insurgés)

Et ils pensent que ça donne un status aux républiques des zozos!!

De nouveau le bâton est sorti:

Crise ukrainienne : Poutine menace de couper le gaz à l’Union européenne

Pas une bonne façon de procéder . . .

[Matt]

A n'en pas douter:

Polish journalist: many people in Donetsk do not share separatist views 



Polish General will reform Ukraine’s army on behalf of NATO

Ce serait pas mal sans aucun doute.

Une "interview" en pleine action:


https://twitter.com/tombreadley/status/522814243767603200

Mais les "journalistes" les font toutes:

Pres. Poroshenko attacked in Milan by a brazen RU journo from a vile propaganda TV channel

[Matt]

Ukraine : dans le Donbass, la trêve entravée

Le scrutin législatif du 26 octobre sera difficile à organiser dans les parties du territoire tenues par les séparatistes prorusses.

La suite sur lefigaro.fr

L’Union européenne doit prendre ses responsabilités dans la reconstruction de l’Ukraine

Ukraine: Une rencontre entre Poutine, Hollande, Merkel et Porochenko

Il semble que ce mini-sommet soit terminé, réactions des deux côtés:
Discussions polies entre la Russie et l'Ukraine, mais aucune avancée



Pour la première fois depuis leur poignée de main si commentée fin août en Biélorussie, les présidents russe et ukrainien Vladimir Poutine et Petro Porochenko, se sont retrouvés à Milan en marge du 10^e sommet euro-asiatique en présence des principaux dirigeants européens. Une première réunion, cordiale et courte, s'est faite sous l'égide du président du conseil italien Mateo Renzi, qui s'est voulu « positif », tout en reconnaissant qu'il n'y a pas eu d'avancées réelles sur la situation dans l'est de l'Ukraine.

« Evidemment, il y a encore beaucoup de divergences, c'est normal (...), mais je voudrais souligner la volonté réelle de trouver une solution et je suis vraiment positif après cette rencontre. »

Vladimir Poutine s'est contenté de qualifier la rencontre de « bonne et positive ». Selon Matteo Renzi, François Hollande a confirmé que la France proposait de participer, par le moyen de drones notamment, au contrôle des frontières sur le terrain. Une autre réunion, réunissant les deux chefs d'Etat en présence de M. Hollande et Angela Merkel, doit avoir lieu en milieu de journée.

« SÉRIEUSES DIVERGENCES »
Interrogé jeudi soir après le début du sommet, M. Porochenko, qui accuse Moscou de soutenir les séparatistes qui sévissent dans l'est de l'Ukraine, a dit n'attendre qu'une seule chose de sa rencontre avec M. Poutine : « La paix et la stabilité » en Ukraine.

Si le niveau des violences a diminué dans le Donbass, les armes ont continué de parler. Selon un décompte de l’ONU du 8 octobre, 331 personnes y ont été tuées depuis l'instauration d'un cessez-le-feu – régulièrement violé. Les combats pour le contrôle des ruines de l’aéroport de Donetsk, un des principaux point de tension entre les deux camps, sont toujours particulièrement violents et auraient même gagné en intensité depuis trois jours. Et les séparatistes, tout en assurant ne pas être responsables des violations, affirment avoir repris le contrôle de 38 localités dans la région.

  Comment ils font alors?

« SÉRIEUSES DIVERGENCES  »

Personne ne s'attend au demeurant que ce sommet à forte valeur diplomatique n'accouche d'une sortie de crise. Mais il s'agit tout de même de la première fois depuis l'annexion de la Crimée par la Russie, en mars, qui avait conduit l'Union européenne et les pays du G7 à imposer des sanctions contre Moscou, que Vladimir Poutine rencontre l'ensemble des dirigeants européens.
Un peu plus tôt vendredi, le président russe avait discuté avec la chancelière allemande Angela Merkel, avec qui il existe toujours de « sérieuses divergences (...) concernant la genèse du conflit intérieur ukrainien », avait indiqué le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

M^me Merkel, qui s'est déjà entretenue avec M. Porochenko, a estimé que « c'est à la Russie de fournir la contribution décisive pour une désescalade ». M. Poutine a mis en garde les Européens contre de « grands risques » de perturbations des livraisons de gaz cet hiver, faute d'accord dans le conflit gazier entre la Russie et l'Ukraine. Un autre problème qui sera mis sur la table lors de négociations, mardi à Bruxelles, entre Russes et Ukrainiens.

lemonde.fr

Et côté russe:
Crise ukrainienne: "importants progrès" lors de la rencontre de Milan (Renzi)

Un pas important a été réalisé lors des discussions sur l'Ukraine à Milan, a déclaré vendredi aux journalistes le premier ministre italien Matteo Renzi à l'issue d'un petit déjeuner de travail  réunissant le président russe Vladimir Poutine, son homologue ukrainien Piotr Porochenko et des leaders européens.

"Nous avons fait un pas important dans la discussion sur l'Ukraine (…). Nous considérons qu'il est important d'impliquer la Russie dans la résolution des problèmes internationaux", a indiqué le chef du gouvernement italien.

On appelle ça tronquer la vérité, non?

[Matt]

Même si les européens afichent un optimisme:

Ukraine: optimisme européen et amertume russe après un mini-sommet à Milan

Ukraine: le président peu optimiste sur la crise

Il y a une nouvelle rencontre en cours depuis 13h.

[Caduce62]

A voir aussi :
https://informnapalm.org/2333-gum-razvorovat/
même si Google traduction déconne un peu 

[Contenu sponsorisé]