Et aux USA !
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Re: Et aux USA !
Caduce62 Mar 9 Avr - 12:32
S'il est élu, Donald Trump assure pouvoir mettre un terme à la guerre entre la Russie et l'Ukraine en 24 heures 
Donald Trump, candidat républicain à la présidentielle américaine, a un "plan" pour résoudre le conflit russo-ukrainien et ramener la paix en Europe. Un plan dont lui seul a le secret, mais que le Washington Post a fini par découvrir.
"Je ne peux pas vous en dire plus." Depuis plus de deux ans, la guerre fait rage en Ukraine après l'offensive russe qu'aucun dirigeant européen ou international n'a réussi à contrecarrer, malgré les nombreuses tentatives de négociations de paix entre les deux parties. Mais Donald Trump a la solution. Toutefois, il ne veut en parler à personne. S'il est élu à la tête des États-Unis en novembre prochain, le candidat républicain a assuré lors de plusieurs meetings et interviews qu'il serait capable de ramener la paix entre la Russie et l'Ukraine "en 24 heures". Selon le Washington Post, qui a enquêté sur les affirmations du républicain, ce plan secret serait très favorable à la Russie.
"Je dirai à chacun d'entre eux certaines choses que je ne dirais pas au reste du monde, et c'est pourquoi je ne peux pas vous en dire plus", avait déclaré Donald Trump dans l'émission America First de son ex-collaborateur Sebastian Gorka en mars. Des proches de l'ex-président américain ont toutefois révélé certains détails au Washington Post, lundi 8 avril, et ils sont édifiants. Donald Trump mise ainsi sur un cessez-le-feu. Avec quels leviers pour négocier ? En faisant pression sur l'Ukraine pour qu'elle cède la Crimée et le Donbass à la Russie.
Les Républicains sceptiques face au plan secret de Donald Trump
Le hic, c'est que ni l'Ukraine ni la Russie n'a fait un pas en ce sens en deux ans. Moscou entend étendre son territoire bien au-delà de la frontière du Donbass et a d'ailleurs annexé les régions ukrainiennes de Donetsk, Louhansk, Kherson et Zaporijia, rappelle le quotidien américain. Kiev, de son côté, a depuis le départ mis comme condition sine qua non à un cessez-le-feu le retrait des troupes russes en Crimée.
publié le 9 avril à 08h39, Maeliss Innocenti, 6Medias
Donald Trump, candidat républicain à la présidentielle américaine, a un "plan" pour résoudre le conflit russo-ukrainien et ramener la paix en Europe. Un plan dont lui seul a le secret, mais que le Washington Post a fini par découvrir.
"Je ne peux pas vous en dire plus." Depuis plus de deux ans, la guerre fait rage en Ukraine après l'offensive russe qu'aucun dirigeant européen ou international n'a réussi à contrecarrer, malgré les nombreuses tentatives de négociations de paix entre les deux parties. Mais Donald Trump a la solution. Toutefois, il ne veut en parler à personne. S'il est élu à la tête des États-Unis en novembre prochain, le candidat républicain a assuré lors de plusieurs meetings et interviews qu'il serait capable de ramener la paix entre la Russie et l'Ukraine "en 24 heures". Selon le Washington Post, qui a enquêté sur les affirmations du républicain, ce plan secret serait très favorable à la Russie.
"Je dirai à chacun d'entre eux certaines choses que je ne dirais pas au reste du monde, et c'est pourquoi je ne peux pas vous en dire plus", avait déclaré Donald Trump dans l'émission America First de son ex-collaborateur Sebastian Gorka en mars. Des proches de l'ex-président américain ont toutefois révélé certains détails au Washington Post, lundi 8 avril, et ils sont édifiants. Donald Trump mise ainsi sur un cessez-le-feu. Avec quels leviers pour négocier ? En faisant pression sur l'Ukraine pour qu'elle cède la Crimée et le Donbass à la Russie.
Les Républicains sceptiques face au plan secret de Donald Trump
Le hic, c'est que ni l'Ukraine ni la Russie n'a fait un pas en ce sens en deux ans. Moscou entend étendre son territoire bien au-delà de la frontière du Donbass et a d'ailleurs annexé les régions ukrainiennes de Donetsk, Louhansk, Kherson et Zaporijia, rappelle le quotidien américain. Kiev, de son côté, a depuis le départ mis comme condition sine qua non à un cessez-le-feu le retrait des troupes russes en Crimée.
publié le 9 avril à 08h39, Maeliss Innocenti, 6Medias
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Re: Et aux USA !
Caduce62 Lun 22 Avr - 12:56
Ukraine : l’aide américaine saluée par Zelensky, l’Otan et l’Europe, mais fustigée par le Kremlin
Le Congrès américain a enfin voté, ce samedi 20 avril, une enveloppe de 61 milliards de dollars pour l’Ukraine.
Par Le Nouvel Obs avec AFP
Publié le 20 avril 2024 à 21h54, mis à jour le 21 avril 2024 à 9h08
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky et ses alliés de l’Union européenne et de l’Otan ont salué d’une même voix le vote samedi du Congrès américain en faveur d’un paquet de 61 milliards de dollars à Kiev, le Kremlin déplorant une aide qui conduira à la mort d’« encore plus d’Ukrainiens ».
Il aura fallu des mois et des mois, au grand désespoir souvent des dirigeants ukrainiens, mais le vote de samedi fut le bon à la Chambre américaine des représentants, validant un paquet d’aide militaire et financière à Kiev. Il devrait permettre à l’armée ukrainienne de reprendre son souffle face à l’armée russe, dans ce conflit à haute intensité qui a épuisé nombre de ses combattants et entamé le moral des troupes face à la poussée des forces de Moscou ces derniers mois.
Le texte adopté « sauvera des milliers et des milliers de vies », s’est félicité sur X Volodymyr Zelensky, estimant que le texte voté « maintient l’histoire sur le bon chemin ». « Il s’agit d’une aide très importante qui sera ressentie par nos soldats sur la ligne de front, ainsi que par nos villes et nos villages qui souffrent de la terreur russe », a-t-il appuyé plus tard lors de son allocution quotidienne. Son Premier ministre, Denys Chmygal, a lui salué « la solidarité » des élus américains, alors que le texte doit encore être voté par le Sénat.
Plus proche allié de Kiev, le président américain Joe Biden s’est rapidement félicité de l’adoption d’une aide « cruciale » à Kiev, au « rendez-vous de l’Histoire ».
Le Kremlin, dont l’armée est en guerre contre l’Ukraine depuis le déclenchement d’un assaut d’ampleur sur le sol ukrainien le 24 février 2022, a rapidement dénoncé le vote du Congrès américain, une décision « attendue et prévisible » à ses yeux. L’aide « enrichira davantage les États-Unis d’Amérique et ruinera encore plus l’Ukraine, en tuant encore plus d’Ukrainiens à cause du régime de Kiev », a assuré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, cité par l’agence de presse d’Etat TASS.
La porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova a elle fustigé une enveloppe militaire, qui comprend aussi de l’aide à Israël et Taïwan, qui « va exacerber les crises mondiales ». Jeudi, Dmitri Peskov avait affirmé que l’aide américaine ne pourra « en aucun cas influer » sur la situation sur le front, où la Russie est à l’offensive.
« Un jour d’optimisme » pour l’Europe
A l’issue du vote à Washington, les réactions ont rapidement afflué du côté des alliés occidentaux de Kiev, notamment au sein de l’Union européenne.
« Un jour d’optimisme » pour l’Europe, a estimé Berlin par la voix de la cheffe de la diplomatie allemande, Annalena Baerbock, après que le président du Conseil européen, Charles Michel, a lui assuré que l’Occident « envoie un message clair au Kremlin ». Le chef de l’Otan Jens Stoltenberg a pour sa part salué une aide qui « renforce notre sécurité à tous, en Europe et en Amérique du Nord ».
Ce paquet d’aide devenait « vital » pour l’armée ukrainienne, de l’aveu même de Volodymyr Zelensky, tant sur le terrain, l’Ukraine fait face à des pénuries de munitions et est dans l’incapacité de protéger l’ensemble de ses villes et de ses infrastructures énergétiques, régulièrement ciblées par les forces russes. Kiev n’a ainsi de cesse de réclamer à ses partenaires munitions et systèmes antiaériens pour contrer ces frappes, mais les divisions politiques à Washington ont ralenti les prises de décision ces derniers mois.
Du côté des Européens, ce sont les capacités de production limitées qui empêchent à ce stade de livrer notamment les obus promis à Kiev.
Les combats continuent
Samedi, les attaques se sont poursuivies sur le terrain, comme depuis près de 800 jours. L’Ukraine a déclaré que la Russie avait frappé des immeubles résidentiels à Vovchansk (nord-est), une ville située à environ cinq kilomètres de la frontière russe, faisant deux morts et deux blessés.
Parallèlement, une source de la Défense ukrainienne a déclaré à l’AFP que Kiev avait visé dans la nuit huit régions russes lors d’une attaque de drones « à grande échelle », mettant en feu un dépôt de carburant. Le ministère russe de la Défense n’a lui pas évoqué ce dépôt touché selon Kiev, indiquant toutefois avoir intercepté 50 drones ukrainiens durant la nuit, dont certains près de Moscou. Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montraient un énorme incendie faisant rage dans un dépôt de carburant de la région russe de Smolensk (ouest).
Kiev a revendiqué, le 19 avril, la destruction en vol de ce bombardier russe qui s’est écrasé en Russie, à 300 km de la frontière ukrainienne.
L’armée ukrainienne revendique avoir abattu un bombardier russe pour la première fois
L’Ukraine multiplie ses attaques contre la Russie ces dernières semaines, en visant notamment des raffineries, dans le but de perturber la chaîne logistique d’approvisionnement des troupes russes engagées sur le front.
Dans la région russe de Belgorod, le gouverneur Viatcheslav Gladkov a lui fait état dans la journée de deux morts dans des attaques de drones ukrainiens puis du décès d’une femme enceinte lors de bombardements ultérieurs.
Par Le Nouvel Obs avec AFP
Le Congrès américain a enfin voté, ce samedi 20 avril, une enveloppe de 61 milliards de dollars pour l’Ukraine.
Par Le Nouvel Obs avec AFP
Publié le 20 avril 2024 à 21h54, mis à jour le 21 avril 2024 à 9h08
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky et ses alliés de l’Union européenne et de l’Otan ont salué d’une même voix le vote samedi du Congrès américain en faveur d’un paquet de 61 milliards de dollars à Kiev, le Kremlin déplorant une aide qui conduira à la mort d’« encore plus d’Ukrainiens ».
Il aura fallu des mois et des mois, au grand désespoir souvent des dirigeants ukrainiens, mais le vote de samedi fut le bon à la Chambre américaine des représentants, validant un paquet d’aide militaire et financière à Kiev. Il devrait permettre à l’armée ukrainienne de reprendre son souffle face à l’armée russe, dans ce conflit à haute intensité qui a épuisé nombre de ses combattants et entamé le moral des troupes face à la poussée des forces de Moscou ces derniers mois.
Le texte adopté « sauvera des milliers et des milliers de vies », s’est félicité sur X Volodymyr Zelensky, estimant que le texte voté « maintient l’histoire sur le bon chemin ». « Il s’agit d’une aide très importante qui sera ressentie par nos soldats sur la ligne de front, ainsi que par nos villes et nos villages qui souffrent de la terreur russe », a-t-il appuyé plus tard lors de son allocution quotidienne. Son Premier ministre, Denys Chmygal, a lui salué « la solidarité » des élus américains, alors que le texte doit encore être voté par le Sénat.
Plus proche allié de Kiev, le président américain Joe Biden s’est rapidement félicité de l’adoption d’une aide « cruciale » à Kiev, au « rendez-vous de l’Histoire ».
Le Kremlin, dont l’armée est en guerre contre l’Ukraine depuis le déclenchement d’un assaut d’ampleur sur le sol ukrainien le 24 février 2022, a rapidement dénoncé le vote du Congrès américain, une décision « attendue et prévisible » à ses yeux. L’aide « enrichira davantage les États-Unis d’Amérique et ruinera encore plus l’Ukraine, en tuant encore plus d’Ukrainiens à cause du régime de Kiev », a assuré le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, cité par l’agence de presse d’Etat TASS.
La porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova a elle fustigé une enveloppe militaire, qui comprend aussi de l’aide à Israël et Taïwan, qui « va exacerber les crises mondiales ». Jeudi, Dmitri Peskov avait affirmé que l’aide américaine ne pourra « en aucun cas influer » sur la situation sur le front, où la Russie est à l’offensive.
« Un jour d’optimisme » pour l’Europe
A l’issue du vote à Washington, les réactions ont rapidement afflué du côté des alliés occidentaux de Kiev, notamment au sein de l’Union européenne.
« Un jour d’optimisme » pour l’Europe, a estimé Berlin par la voix de la cheffe de la diplomatie allemande, Annalena Baerbock, après que le président du Conseil européen, Charles Michel, a lui assuré que l’Occident « envoie un message clair au Kremlin ». Le chef de l’Otan Jens Stoltenberg a pour sa part salué une aide qui « renforce notre sécurité à tous, en Europe et en Amérique du Nord ».
Ce paquet d’aide devenait « vital » pour l’armée ukrainienne, de l’aveu même de Volodymyr Zelensky, tant sur le terrain, l’Ukraine fait face à des pénuries de munitions et est dans l’incapacité de protéger l’ensemble de ses villes et de ses infrastructures énergétiques, régulièrement ciblées par les forces russes. Kiev n’a ainsi de cesse de réclamer à ses partenaires munitions et systèmes antiaériens pour contrer ces frappes, mais les divisions politiques à Washington ont ralenti les prises de décision ces derniers mois.
Du côté des Européens, ce sont les capacités de production limitées qui empêchent à ce stade de livrer notamment les obus promis à Kiev.
Les combats continuent
Samedi, les attaques se sont poursuivies sur le terrain, comme depuis près de 800 jours. L’Ukraine a déclaré que la Russie avait frappé des immeubles résidentiels à Vovchansk (nord-est), une ville située à environ cinq kilomètres de la frontière russe, faisant deux morts et deux blessés.
Parallèlement, une source de la Défense ukrainienne a déclaré à l’AFP que Kiev avait visé dans la nuit huit régions russes lors d’une attaque de drones « à grande échelle », mettant en feu un dépôt de carburant. Le ministère russe de la Défense n’a lui pas évoqué ce dépôt touché selon Kiev, indiquant toutefois avoir intercepté 50 drones ukrainiens durant la nuit, dont certains près de Moscou. Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montraient un énorme incendie faisant rage dans un dépôt de carburant de la région russe de Smolensk (ouest).
Kiev a revendiqué, le 19 avril, la destruction en vol de ce bombardier russe qui s’est écrasé en Russie, à 300 km de la frontière ukrainienne.
L’armée ukrainienne revendique avoir abattu un bombardier russe pour la première fois
L’Ukraine multiplie ses attaques contre la Russie ces dernières semaines, en visant notamment des raffineries, dans le but de perturber la chaîne logistique d’approvisionnement des troupes russes engagées sur le front.
Dans la région russe de Belgorod, le gouverneur Viatcheslav Gladkov a lui fait état dans la journée de deux morts dans des attaques de drones ukrainiens puis du décès d’une femme enceinte lors de bombardements ultérieurs.
Par Le Nouvel Obs avec AFP
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Re: Et aux USA !
Caduce62 Ven 18 Oct - 20:53
La fille d’Alexeï Navalny rejoint l’équipe de Kamala Harris en Pennsylvanie
Dasha, la fille d’Alexeï Navalny, mort dans une prison russe en février 2024, a rejoint l’équipe de campagne de la démocrate Kamala Harris dans l’État clé de Pennsylvanie.
Par Félix Pennel
Publié:16 Octobre 2024 à 12h07
Dasha Navalny, fille de l’opposant russe Alexeï Navalny, a rejoint l’équipe de Kamala Harris. Selon le journal The Times, la jeune femme de 23 ans participe à la campagne électorale de la démocrate dans l’État crucial de Pennsylvanie. Dasha Navalny a obtenu son diplôme de psychologie sociale et de sciences politiques en juin dernier à l’université de Stanford, en Californie.
Selon The Times, elle est aujourd’hui chef d’équipe à temps plein et ses fonctions semblent impliquer « la mobilisation des électeurs et la sensibilisation communautaire ». Dasha Navalny s’occuperait aussi de l’organisation des bénévoles. Selon son compte Linkedin, elle occupe ce poste depuis le mois d’août. Elle n’a fait aucune déclaration publique en faveur de Kamala Harris.
L’État de Pennsylvanie est l’un des sept états clés de l’élection présidentielle du 4 novembre dont l’issue du scrutin est plus incertaine que jamais, les deux adversaires étant au coude-à-coude avec un écart semblant encore se resserrer. Dans ce scrutin américain au suffrage indirect, la Pennsylvanie offrira une précieuse manne de 19 grands électeurs à qui l’emportera.
Kamala Harris a été en contact à plusieurs reprises ces derniers mois avec Ioulia Navalny, la mère de Dasha et la veuve d’Alexeï. La candidate démocrate l’a rencontré à Munich en février 2024, quelques heures après l’annonce de la mort de son mari dans une prison russe de l’Arctique. L’opposant à Vladimir Poutine y purgeait une peine de 19 ans de prison pour « extrémisme ».
Et en août, Kamala Harris avait aussi appelé Ioulia Navaly pour lui annoncer la libération de 16 prisonniers politiques russes Elle lui avait assuré à cette occasion qu’elle continuerait à soutenir tous ceux qui se battent pour la démocratie et la liberté. Joe Biden avait aussi rencontré Dasha et Ioulia Navalny à la Maison blanche pour les assurer de son soutien.
Dasha, la fille d’Alexeï Navalny, mort dans une prison russe en février 2024, a rejoint l’équipe de campagne de la démocrate Kamala Harris dans l’État clé de Pennsylvanie.
Par Félix Pennel
Publié:16 Octobre 2024 à 12h07
Dasha Navalny, fille de l’opposant russe Alexeï Navalny, a rejoint l’équipe de Kamala Harris. Selon le journal The Times, la jeune femme de 23 ans participe à la campagne électorale de la démocrate dans l’État crucial de Pennsylvanie. Dasha Navalny a obtenu son diplôme de psychologie sociale et de sciences politiques en juin dernier à l’université de Stanford, en Californie.
Selon The Times, elle est aujourd’hui chef d’équipe à temps plein et ses fonctions semblent impliquer « la mobilisation des électeurs et la sensibilisation communautaire ». Dasha Navalny s’occuperait aussi de l’organisation des bénévoles. Selon son compte Linkedin, elle occupe ce poste depuis le mois d’août. Elle n’a fait aucune déclaration publique en faveur de Kamala Harris.
L’État de Pennsylvanie est l’un des sept états clés de l’élection présidentielle du 4 novembre dont l’issue du scrutin est plus incertaine que jamais, les deux adversaires étant au coude-à-coude avec un écart semblant encore se resserrer. Dans ce scrutin américain au suffrage indirect, la Pennsylvanie offrira une précieuse manne de 19 grands électeurs à qui l’emportera.
Kamala Harris a été en contact à plusieurs reprises ces derniers mois avec Ioulia Navalny, la mère de Dasha et la veuve d’Alexeï. La candidate démocrate l’a rencontré à Munich en février 2024, quelques heures après l’annonce de la mort de son mari dans une prison russe de l’Arctique. L’opposant à Vladimir Poutine y purgeait une peine de 19 ans de prison pour « extrémisme ».
Et en août, Kamala Harris avait aussi appelé Ioulia Navaly pour lui annoncer la libération de 16 prisonniers politiques russes Elle lui avait assuré à cette occasion qu’elle continuerait à soutenir tous ceux qui se battent pour la démocratie et la liberté. Joe Biden avait aussi rencontré Dasha et Ioulia Navalny à la Maison blanche pour les assurer de son soutien.
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Re: Et aux USA !
Caduce62 Ven 25 Oct - 15:01
Washington dit avoir des «preuves» de la présence de soldats nord-coréens en Russie
Par Le Figaro avec AFP
Publié le 23 octobre 2024 à 16h04, mis à jour à 21h41
Les États-Unis ont fait part mercredi, pour la première fois, de «preuves» de la présence de soldats nord-coréens en Russie devant être potentiellement mobilisés dans la guerre en Ukraine. «Nous avons la preuve que des troupes nord-coréennes se sont rendues en (..) Russie», a déclaré à des journalistes le ministre américain de la Défense Lloyd Austin, selon une vidéo de ses déclarations diffusée par le Washington Post. «Qu'est-ce qu'ils font exactement? Cela reste à voir», a-t-il ajouté. «S'ils sont cobelligérants, s'ils ont l'intention de participer à cette guerre au nom de la Russie, c'est une question très, très grave». Selon Washington, «entre le début et la mi-octobre, la Corée du Nord a déplacé au moins 3000 soldats» dans l'est de la Russie, confirmant des informations fournies par la Corée du Sud.
Le ministre américain de la Défense s'exprimait dans l'avion l'amenant en Italie où il doit participer à une réunion de ses homologues du G7. C'est la première fois que Washington évoque des preuves à cet égard, alors que les responsables américains disaient depuis plusieurs jours ne pas être en mesure de confirmer ces informations. L'Otan a également annoncé mercredi être en mesure de confirmer le déploiement de soldats nord-coréens en Russie, y voyant le risque d'une escalade dans la guerre en Ukraine.
Les soldats nord-coréens seront des «cibles légitimes» s'ils sont déployés en Ukraine, a aussi averti mercredi un porte-parole de la Maison-Blanche mercredi soir. «Nous ne savons pas aujourd'hui si ces militaires vont combattre aux côtés de l'armée russe», a indiqué John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale, en estimant qu'il s'agissait d'une «possibilité très inquiétante».
«Demandez à Pyongyang»
La Russie, accusée par Séoul, Kiev et Washington d'accueillir sur son territoire des soldats nord-coréens, a invité mercredi à «demander à Pyongyang» où se trouvent ses troupes. «Les forces armées de la République populaire démocratique de Corée existent, et où elles se trouvent ? Demandez, s'il vous plaît, à Pyongyang !», a répondu lors d'un point-presse la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, dénonçant un «battage médiatique».
Quelque 10.000 soldats nord-coréens doivent être déployés en Russie d'ici décembre, d’après Séoul. La Corée du sud avait affirmé vendredi que Pyongyang envoyait des «troupes en nombre» pour soutenir la Russie dans son offensive en Ukraine, dans le cadre d'une alliance militaire avec Moscou qui pourrait venir bouleverser l'équilibre sécuritaire dans la péninsule coréenne.
Les États-Unis «ne savaient pas ce que serait leur mission» en Ukraine
«Des milliers de soldats nord-coréens sont en Russie pour s'entraîner», a indiqué mercredi un haut responsable américain, en ajoutant que les Etats-Unis «ne savaient pas ce que serait leur mission ni s'ils iraient se battre en Ukraine.» «S'ils le font, cela sera un indice du désarroi croissant du président Poutine dans sa guerre contre l'Ukraine. La Russie subit des pertes énormes tous les jours sur le champ de bataille», a affirmé cette source, qui a requis l'anonymat.
Et les USA vont faire quoi ????
Par Le Figaro avec AFP
Publié le 23 octobre 2024 à 16h04, mis à jour à 21h41
Les États-Unis ont fait part mercredi, pour la première fois, de «preuves» de la présence de soldats nord-coréens en Russie devant être potentiellement mobilisés dans la guerre en Ukraine. «Nous avons la preuve que des troupes nord-coréennes se sont rendues en (..) Russie», a déclaré à des journalistes le ministre américain de la Défense Lloyd Austin, selon une vidéo de ses déclarations diffusée par le Washington Post. «Qu'est-ce qu'ils font exactement? Cela reste à voir», a-t-il ajouté. «S'ils sont cobelligérants, s'ils ont l'intention de participer à cette guerre au nom de la Russie, c'est une question très, très grave». Selon Washington, «entre le début et la mi-octobre, la Corée du Nord a déplacé au moins 3000 soldats» dans l'est de la Russie, confirmant des informations fournies par la Corée du Sud.
Le ministre américain de la Défense s'exprimait dans l'avion l'amenant en Italie où il doit participer à une réunion de ses homologues du G7. C'est la première fois que Washington évoque des preuves à cet égard, alors que les responsables américains disaient depuis plusieurs jours ne pas être en mesure de confirmer ces informations. L'Otan a également annoncé mercredi être en mesure de confirmer le déploiement de soldats nord-coréens en Russie, y voyant le risque d'une escalade dans la guerre en Ukraine.
Les soldats nord-coréens seront des «cibles légitimes» s'ils sont déployés en Ukraine, a aussi averti mercredi un porte-parole de la Maison-Blanche mercredi soir. «Nous ne savons pas aujourd'hui si ces militaires vont combattre aux côtés de l'armée russe», a indiqué John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale, en estimant qu'il s'agissait d'une «possibilité très inquiétante».
«Demandez à Pyongyang»
La Russie, accusée par Séoul, Kiev et Washington d'accueillir sur son territoire des soldats nord-coréens, a invité mercredi à «demander à Pyongyang» où se trouvent ses troupes. «Les forces armées de la République populaire démocratique de Corée existent, et où elles se trouvent ? Demandez, s'il vous plaît, à Pyongyang !», a répondu lors d'un point-presse la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, dénonçant un «battage médiatique».
Quelque 10.000 soldats nord-coréens doivent être déployés en Russie d'ici décembre, d’après Séoul. La Corée du sud avait affirmé vendredi que Pyongyang envoyait des «troupes en nombre» pour soutenir la Russie dans son offensive en Ukraine, dans le cadre d'une alliance militaire avec Moscou qui pourrait venir bouleverser l'équilibre sécuritaire dans la péninsule coréenne.
Les États-Unis «ne savaient pas ce que serait leur mission» en Ukraine
«Des milliers de soldats nord-coréens sont en Russie pour s'entraîner», a indiqué mercredi un haut responsable américain, en ajoutant que les Etats-Unis «ne savaient pas ce que serait leur mission ni s'ils iraient se battre en Ukraine.» «S'ils le font, cela sera un indice du désarroi croissant du président Poutine dans sa guerre contre l'Ukraine. La Russie subit des pertes énormes tous les jours sur le champ de bataille», a affirmé cette source, qui a requis l'anonymat.
Et les USA vont faire quoi ????
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