Re: Union Européenne

[Krispoluk]

En UE, des "négociateurs géniaux" !   Ont voulu "tirer les prix des vaccins par le bas", résultat, les labos vendent au "mieux offrant" et nous on peut attendre ! 

C'est une politique constante chez nous. Les pénuries de medicaments faisaient la une des journaux avant l'épidemie de covid pour les même raisons. Il faut que les mechants labos soient payés le prix le plus bas pour que ça ne coute pas cher à la secu et qu'il n'y ait pas de reste à charge pour le patient.
La mentalité anticapitaliste primaire française dans toute sa splendeur, philosophie qui inspire pas mal de tes commentaires au passage

Je te rappelle simplement que les vaccins ont été négociés globalement au niveau européen. Voilà pourquoi je garde une dent contre l'Europe, même si j'en ai autant à faire valoir pour la "gouvernance française"... 

[Thuramir]

Le royaume uni a aussi fait le pari de n'injecter qu'une seule dose de l'astrazeneca. Il est trop tôt pour savoir si c'est la meilleure stratégie... Néanmoins, je te rejoins sur le fait que d'ici quelques années, le royaume uni sera surement un pays où la prospérité sera bien au-delà de celle de l'UE!
UE qui finira d'ailleurs par éclater (et pour être clair, je suis pourtant pro-européen!) car son fonctionnement actuel ne peut amener que vers sa déchéance...

J'aime ton commentaire mesuré et pertinent.  Lis l'article dont j'ai posté le lien. 
Suite à sa politique de vaccinations intelligente mais imparfaite (1 vaccination avec Astra-Zeneca) le R-U voit pourtant sa situation sanitaire s'améliorer de manière spectaculaire en comparaison de la France. CQFD ! 
Il n'y a pas d'ENA au R-U, c'est peut-être cà qui les sauve ! 

Eh bien je ne suis pas certain du tout que les rosbifs avec leur vaccination unique aient fait un bon choix décisif. L'UE a bloqué l'exportation vers le Royaume-Uni des composants de base nécessaires à la production du vaccin, de sorte que les rosbifs se trouvent dans la merde la plus noire. Si pas de de seconde vaccination dans le délai imparti, tout est à recommencer ! Autant dire que l'on tient les rosbifs par les couilles...

La preuve en est donnée par l'inquiétude nette de Boris Johnson et les propos venimeux des médias britanniques contre Macron.

Vaccination contre le Covid-19 : l'Europe durcit le ton, Boris Johnson veut éviter le blocage total

Publié le 26/03/2021 22:03 Mis à jour le 26/03/2021 22:03

Emmanuel Macron a annoncé, jeudi 25 mars, la fin de la naïveté face à la politique du laboratoire britannique AstraZeneca. Boris Johnson impose en effet que le territoire britannique soit livré en priorité. 

Face à la menace européenne du blocage des exportations de doses de vaccin vers le Royaume-Uni, Boris Johnson veut à tout prix éviter un blocage total. "Le Royaume-Uni a besoin des exportations de l’Union européenne pour poursuivre sa campagne de vaccination, explique Mathieu Boisseau, journaliste France Télévisions en duplex de Londres, vendredi 26 mars. Le mois d’avril sera particulièrement sensible : 12 millions de secondes doses à administrer : impossible d’attendre plus, et il faudra le faire sans une livraison de cinq millions de vaccins qui devaient arriver depuis l’Inde". 

Emmanuel Macron dans le viseur des médias britanniques

Le gouvernement britannique affiche toutefois une posture rassurante face à la situation, et assure qu’il n’y aura aucun retard de vaccination. "Le gouvernement a malgré tout demandé aux hôpitaux de réduire le nombre de rendez-vous pour les semaines à venir. La presse britannique est extrêmement critique à l’encontre des dirigeants européens et notamment d’Emmanuel Macron", conclut Mathieu Boisseau.



Lien vers l'info : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/vaccination-contre-le-covid-19-l-europe-durcit-le-ton-boris-johnson-veut-eviter-le-blocage-total_4348785.html

[Krispoluk]

Le royaume uni a aussi fait le pari de n'injecter qu'une seule dose de l'astrazeneca. Il est trop tôt pour savoir si c'est la meilleure stratégie... Néanmoins, je te rejoins sur le fait que d'ici quelques années, le royaume uni sera surement un pays où la prospérité sera bien au-delà de celle de l'UE!
UE qui finira d'ailleurs par éclater (et pour être clair, je suis pourtant pro-européen!) car son fonctionnement actuel ne peut amener que vers sa déchéance...

J'aime ton commentaire mesuré et pertinent.  Lis l'article dont j'ai posté le lien. 
Suite à sa politique de vaccinations intelligente mais imparfaite (1 vaccination avec Astra-Zeneca) le R-U voit pourtant sa situation sanitaire s'améliorer de manière spectaculaire en comparaison de la France. CQFD ! 
Il n'y a pas d'ENA au R-U, c'est peut-être cà qui les sauve ! 

Eh bien je ne suis pas certain du tout que les rosbifs avec leur vaccination unique aient fait un bon choix décisif. L'UE a bloqué l'exportation vers le Royaume-Uni des composants de base nécessaires à la production du vaccin, de sorte que les rosbifs se trouvent dans la merde la plus noire. Si pas de de seconde vaccination dans le délai imparti, tout est à recommencer ! Autant dire que l'on tient les rosbifs par les couilles...

La preuve en est donnée par l'inquiétude nette de Boris Johnson et les propos venimeux des médias britanniques contre Macron.

Vaccination contre le Covid-19 : l'Europe durcit le ton, Boris Johnson veut éviter le blocage total

Publié le 26/03/2021 22:03 Mis à jour le 26/03/2021 22:03

Emmanuel Macron a annoncé, jeudi 25 mars, la fin de la naïveté face à la politique du laboratoire britannique AstraZeneca. Boris Johnson impose en effet que le territoire britannique soit livré en priorité. 

Face à la menace européenne du blocage des exportations de doses de vaccin vers le Royaume-Uni, Boris Johnson veut à tout prix éviter un blocage total. "Le Royaume-Uni a besoin des exportations de l’Union européenne pour poursuivre sa campagne de vaccination, explique Mathieu Boisseau, journaliste France Télévisions en duplex de Londres, vendredi 26 mars. Le mois d’avril sera particulièrement sensible : 12 millions de secondes doses à administrer : impossible d’attendre plus, et il faudra le faire sans une livraison de cinq millions de vaccins qui devaient arriver depuis l’Inde". 

Emmanuel Macron dans le viseur des médias britanniques

Le gouvernement britannique affiche toutefois une posture rassurante face à la situation, et assure qu’il n’y aura aucun retard de vaccination. "Le gouvernement a malgré tout demandé aux hôpitaux de réduire le nombre de rendez-vous pour les semaines à venir. La presse britannique est extrêmement critique à l’encontre des dirigeants européens et notamment d’Emmanuel Macron", conclut Mathieu Boisseau.



Lien vers l'info : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/vaccination-contre-le-covid-19-l-europe-durcit-le-ton-boris-johnson-veut-eviter-le-blocage-total_4348785.html

Pour l'instant, en dehors du nombre de morts antécédent, il commencent à s'en sortir un peu mieux que nous... On verra bien sur la distance...

Un peu comme les américains d'ailleurs où le nombre de morts du covid est à relativiser en proportion de la population et où on joue "open bar" en Floride et en Californie actuellement...

Je ne dis pas qu'ils ont forcément raison mais je déteste les jugements à "l'emporte-pièce" de ceux qui les condamnent sans vision sur l'avenir ! 

PS : Question indiscrète Serge, d'où te vient ta détestation des britanniques ? Ta petite et mignonne correspondante anglaise qui s'est fait emballer brutalement par un copain de lycée lors d'un échange culturel ? 

[Thuramir]

Pour l'instant, en dehors du nombre de morts antécédent, il commencent à s'en sortir un peu mieux que nous... On verra bien sur la distance...

Un peu comme les américains d'ailleurs où le nombre de morts du covid est à relativiser en proportion de la population et où on joue "open bar" en Floride et en Californie actuellement...

Je ne dis pas qu'ils ont forcément raison mais je déteste les jugements à "l'emporte-pièce" de ceux qui les condamnent sans vision sur l'avenir ! 

PS : Question indiscrète Serge, d'où te vient ta détestation des britanniques ? Ta petite et mignonne correspondante anglaise qui s'est fait emballer brutalement par un copain de lycée lors d'un échange culturel ? 

Réponse à ta question : je ne déteste par les anglais, mais je m'en méfie comme de la peste. Ce n'est pas pour rien qu'on appelle le Royaume-Uni « La perfide Albion ».
Le terme « Albion » fait référence au nom que portait le pays durant l’Antiquité. Il vient du latin « alba » qui signifie blanc et qui renvoie à la couleur de la roche des falaises qui bordent la côte sud de l’île.
Quant au terme « perfide », c’est l’écrivain et évêque Bossuet qui l’aurait employé au XVIIe siècle pour désigner nos voisins et rivaux anglais.
La racine de ce mot vient du latin « perfidus », indiquant une personne « qui viole sa foi ». Ce manque de confiance pourrait remonter à la guerre de Cent Ans, et plus particulièrement à la bataille d’Azincourt (Pas-de-Calais), en 1415.
A l’issue de celle-ci, les Anglais victorieux ont massacré les soldats français qui s’étaient rendus, au détriment du code d’honneur de la chevalerie. Les deux mots ont ensuite été accolés, et l’expression s’est popularisée au XIXe siècle.
Pour ce qui est du nombre de vaccinés britanniques complets (deux fois), comme te le montrera le graphique ci-dessous, 2.775.481 britanniques ont reçu les deux doses contre 2 593 879 français, c’est-à-dire une différence minime en trois mois de temps, d’autant plus que les anglais ont commencé les vaccinations bien avant la France.
Quant au nombre de morts, ils dépassent de très loin la France…
Et quant au nombre de primo-vaccinés britanniques, c'est ce qui les rend vulnérables et la raison pour laquelle on les tient par les couilles.

[steven21]

je ne sai pas si ont peu comparer les morts des pays , au RU est ce une population vieillissante ? mal bouffe ? pauvreté ? etc.... certe c'est un outil de comparaison avec le plus haut taux de probabilité , mais peut on vraiment s'y fier ? il y a tellement de facteurs à prendre en compte....
pour en revenir a l UE , faut quand meme dire qu'elle a donné 70 millions de doses aux extra européen 

[Caduce62]

[Thuramir]

Voilà un article du Figaro qui est révélateur à la fois de l'idéologie turque d'Erdogan et du fait que Charles Michel n'est qu'un minable petit monsieur, nommé à son poste par opportunisme et machinations politiciennes.

Ursula von der Leyen à Ankara :  «Erdogan pense pouvoir tout se permettre parce que l’Europe est prête à tout lui céder »
FIGAROVOX/TRIBUNE - Aucun siège n’avait été prévu pour la présidente de la Commission aux côtés du président du Conseil européen, Charles Michel, et du président turc, Recep Tayyip Erdogan. Une attitude cohérente avec le mépris affiché du président turc envers une Europe pusillanime, analyse Céline Pina.
Par Céline Pina
Publié il y a 3 minutes, mis à jour il y a 3 minutes


La photo est cruelle, mais elle dit tout du malentendu entre l’Europe et la Turquie. On voit deux hommes, le président turc et le président du conseil européen, Charles Michels tranquillement assis en face en face sur deux fauteuils, entourés des drapeaux de la Turquie et de l’Europe, tandis que la présidente de la Commission européenne est reléguée sur un canapé, à une place inférieure. Mise en scène d’autant plus significative que d’autres photos montrent des rencontres où les deux responsables européens mâles de l’époque entouraient Erdogan à égalité de traitement. Une mise en scène sans ambiguïté sur la forme comme sur le fond face à laquelle on ne peut que rester sidérer de voir se soumettre la présidente de la commission comme son compère européen sans que l’idée de réagir ne leur traverse l’esprit. À cette photo, l’administration de l’Union européenne a donné un nom: le sofagate. Un nom qui édulcore cependant une réalité. Erdogan n’a pas commis une erreur, ni une faute, il a posé un acte politique cohérent avec son comportement à l’égard de l’Europe. Il l’a volontairement humiliée et lui a signifié ce qu’il pense de ses principes et de sa souveraineté, mettant en scène la puissance islamiste et sa légitimité à refuser d’accorder aux femmes l’égalité, et même le respect. Il le fait alors même qu’il a pourtant besoin d’un allié au moment où les USA le menacent de sanctions économiques et où il est fragilisé sur le plan national. On ne saurait mieux signifier le dédain que le sultan d’Ankara a pour la faiblesse politique de l’Europe. D’un strict point de vue pragmatique, les évènements ne lui donnent pas tort.

Ursula von der Leyen et son peu galant collègue du conseil européen ont bien eu la réponse qu’ils étaient venus chercher puisqu’il parait que la question du retrait de la Turquie de la Convention d’Istanbul sur les violences faites aux femmes était une de leur préoccupation majeure. Visiblement elle devrait le rester. Bruxelles au passage a prévenu Ankara que les droits de l’homme n’étaient pas négociables. Du coup le président turc a décidé de s’en passer, n’ayant pas l’intention d’arrêter de massacrer les Kurdes ou de cesser de persécuter ses opposants. Mais après tout, peut-être que les dirigeants européens sont repartis satisfaits et que nous devrions, au contraire, saluer les efforts de celui qui se vit comme le successeur du califat avorté de l’État Islamique. En effet, pour le président Erdogan, la place d’une femme est dans une chambre ou dans une cuisine, là elle a quand même droit au salon et au canapé.


Erdogan n’a pas commis une erreur, ni une faute, il a posé un acte politique cohérent avec son comportement à l’égard de l’Europe.

Il semble que la réunion ait duré deux heures. De quoi boire le calice jusqu’à la lie. Le problème c’est qu’à avoir de l’estomac, l’utiliser dans le sens du courage serait plus opportun. L’Europe a les moyens de rabattre un peu le caquet d’Erdogan qui sait faire profil bas quand le vent souffle. Mais pas quand l’action se résume à une communication qui voudrait imiter le roulement du tonnerre, quand elle ne met en branle que les moulins à prière de l’indignation stérile.

On aimerait également entendre le si falot et transparent Charles Michels, dont on peine à se remémorer le moindre fait de gloire ou d’habileté autre qu’au service de son propre parcours. Visiblement lui n’est pas gêné par le choix dévalorisant d’Erdogan, du moment qu’il y a un fauteuil pour lui… L’image que donne cette piteuse incarnation de l’Europe est dévastatrice. Celle-ci vient d’échouer sur la vaccination, cela laissera des traces. Lorsque l’on voit l’absence de tout réflexe politique liée à la mise en place d’un rapport de force extérieure dont font preuve les représentants de l’Europe, on ne peut que s’inquiéter de ce que sera la sortie de crise alors que la crise économique se conjuguera à la crise sociale et politique. La crise internationale en gestation en rajoutant dans la crainte des peuples. Et face à ce tableau inquiétant, que nous montre le visage de l’Europe ? Faiblesse d’incarnation, incapacité de réaction.

Le plus drôle si l’on peut dire est que le but de cette visite était de renouer des relations diplomatiques. Maintenant on sait comment le président Erdogan les envisage : lui amène les bottes, l’Europe le cirage. À la fin c’est elle qui paye et c’est lui qui a les bottes qui brillent. La symbolique est désastreuse pour l’Europe, mais au moins elle parle de la réalité : l’Europe est un pouvoir dont la faiblesse politique est en train d’impacter les pays qui la composent. C’est un des rares collectifs politiquement plus faibles sur la scène internationale que chacun de ses membres pris un à un.

Cette photo souligne la naïveté de ces gens qui croient qu’ils gouvernent et ne sont que des gestionnaires sans envergure. Ils se sont fait manipuler comme des enfants par un président roué politiquement, qui n’a pas peur de la violence et voit la guerre et la tension comme une forme de régénération. Entre la Turquie et l’Europe, le fossé est immense. Entre une Turquie qui retourne vers des formes politiques archaïques et tribales, unissant totalitarisme religieux et violence politique dans l’exercice du pouvoir et une Europe post moderne incapable de trouver la force de peser sur la scène internationale, faute d’exister politiquement aux yeux des peuples qui la composent, on se demande bien quel dialogue peut aujourd’hui s’engager. L’un ne croit qu’à la force et rêve de recréer un empire ottoman, l’autre n’a plus d’élan, plus de projets et à ce que l’on vient de constater n’a même pas de tête. Pire même le communiqué de presse qui suit ce camouflet en ajoute encore dans le ridicule. Pour expliquer sa passivité, la présidente Van der Leyen aurait décidé « de donner la priorité à la substance ». Outre le côté parfaitement abscons de la phrase, y a-t-il quelqu’un pour lui expliquer que, lorsque l’on se fait recevoir comme cela, il n’y a plus de substance, encore moins de matière ou de priorités ? Quand quelqu’un se permet de vous traiter comme cela, il pose ses conditions. Lui ne négocie pas, il impose et ne laisse même pas à la communication la possibilité d’habiller un avilissement en échange musclé de points de vue.


L’image a choqué car elle est révélatrice du déclassement de l’Europe et du mépris affiché et parfaitement assumé du président turc, pourtant en mauvaise posture économique.

Quand la mise en scène de la rencontre Europe-Turquie finit par l’humiliation d’Ursula von der Leyen, c’est déjà gênant. Mais ce qui devient dangereux aujourd’hui c’est le sentiment qu’a le frère musulman Erdogan de pouvoir tout se permettre parce que l’Europe est prête à tout lui céder. Entre son chantage aux migrants et sa petite musique sur le fait que la population d’origine turque installée en Europe lui reste inféodée et n’est pas intégrée dans sa grande majorité, il joue un jeu dangereux, laissant entendre qu’il a les moyens de déstabiliser des pays européens dont il vomit les principes universels et la réalité démocratique. Par leur passivité et leur manque de dignité, nos représentants européens semblent l’avoir parfaitement entendu et n’ont pas l’air de lui donner tort. Or l’heure est à la désunion, à la division, au séparatisme, au sein des sociétés, entre les pays, entre les nouvelles idéologies… Une Europe pusillanime, soumise et sans existence réelle sur le plan international, alors que des tensions lourdes qui travailleront longtemps le monde se dessinent, n’a pas d’avenir. Or l’Europe a aussi des atouts, qu’elle n’exploite pas, perdant son temps à organiser la concurrence sur son propre sol, jouant grandeur nature à reproduire la théorie économique du libre-échange. Ce n’est visiblement pas ce qui fait émerger un peuple ni une conscience politique. Et en termes de prospérité économique, il se trouve que depuis une bonne quarantaine d’années, la vie quotidienne se fait plus dure n’en déplaisent aux discours gouvernementaux successifs tout comme l’avenir de la classe moyenne ne cesse de se restreindre, comme son nombre d’ailleurs. L’image a choqué car elle est révélatrice du déclassement de l’Europe et du mépris affiché et parfaitement assumé du président turc, pourtant en mauvaise posture économique. De la nécessité d’abandonner l’idéologie du soft power et de la concurrence entre les Nations. Pour exister politiquement l’Europe doit être une alliance, à tous les niveaux. Cette nouvelle alliance est à forger. Mais à voir la présidente de l’Europe poussant un petit couinement étranglé, montrant que la situation ne lui a pas échappé, pour aller sagement s’asseoir jambes pudiquement croisées et serrées sur le canapé bas, on se dit que l’on n’a décidément pas le personnel politique à la hauteur des enjeux.

[Krispoluk]

Bien sûr, je ne vais pas approuver le personnage, on le connait assez !

Mais cette réaction, à la puissance de symbole, illustre parfaitement ce que les observateurs objectifs de la politique internationale savent déjà depuis longtemps : l'Europe qui se croit un géant politique n'est en fait qu'un nain, qui plus est un nain impuissant...

Poutine le sait bien depuis longtemps ! 

[Thuramir]

Bien sûr, je ne vais pas approuver le personnage, on le connait assez !

Mais cette réaction, à la puissance de symbole, illustre parfaitement ce que les observateurs objectifs de la politique internationale savent déjà depuis longtemps : l'Europe qui se croit un géant politique n'est en fait qu'un nain, qui plus est un nain impuissant...

Poutine le sait bien depuis longtemps ! 

Effectivement. La mise en scène d'Erdogan poursuivait en effet un double but qui a été atteint à cause de la muflerie et du manque d'intelligence de Charles Michel :

1. Démontrer que la femme est affectée à un second rôle ;
   
2. Diviser l'UE dans sa gouvernance, le président du Conseil européen acceptant un traitement protocolaire différencié et ne faisant pas bloc avec la présidente de la Commission de l'UE contre Erdogan en refusant ce traitement différencié ou en l'esquivant.
   

Si Charles Michel avait un semblant de savoir-vivre et d'intelligence, il aurait offert le siège à sa collègue ou aurait été s'asseoir à côté d'elle dans le divan.

[steven21]

[Caduce62]

Sommet de Batoumi : pour l'Ukraine, la Géorgie et la Moldavie il n'y a pas d'alternative à l'intégration européenne 
20.07.2021 14:35
L'adhésion à l'Union européenne est un objectif commun pour l'Ukraine, la Géorgie et la Moldavie et ces pays n'ont pas d'autre alternative, ressort-il d’une déclaration signée par les présidents de la Géorgie, de la Moldavie et de l'Ukraine lors d'un sommet qui s'est tenu dans la ville côtière géorgienne de Batoumi.
Cette information a été communiquée par Ukrinform.

« L'adhésion à l'Union européenne est l'objectif qui unit nos trois États. L'intégration européenne n'a pas d'alternative pour nos pays, et aucun tiers ne peut influencer ce choix souverain. Nous avons déjà fait des progrès significatifs dans les relations avec l'Union européenne. Par la volonté de nos peuples à faire partie de la famille européenne, nous sommes unis dans notre détermination à coopérer pour assurer la reconnaissance d'une perspective européenne pour la Géorgie, la Moldavie et l'Ukraine, qui ouvrira la voie à l'adhésion future de nos trois États à l'UE », peut-on lire dans le document.

Les dirigeants de la Géorgie, de la Moldavie et de l'Ukraine ont rencontré lundi le président du Conseil européen Charles Michel, qui a qualifié ce sommet d' « étape clé ».  Charles Michel a également souligné les « liens spéciaux » qui relient l'UE à ces trois partenaires, évoquant le travail en cours pour une « coopération plus étroite », notamment sur la mise en place de réformes.

Selon M. Michel, l'UE s'est engagée à un « programme d'investissement sans précédent » de 2,3 milliards d'euros ayant le potentiel  « de mobiliser jusqu'à 17 milliards d'euros d'investissements public et privés pour la région ».

L’Ukraine, la Géorgie et la Moldavie ont créé en mai un format diplomatique, le Trio Associé, pour coordonner leurs efforts dans leur aspiration à rejoindre l'UE.

[Caduce62]

Charles Michel : L’UE s’engage à investir 2,3 milliards d’euros dans l’économie des pays du Trio associé 
20.07.2021 17:24
L’Union européenne s'est engagée à un programme d'investissement de 2,3 milliards d'euros pour soutenir les réformes en Ukraine, en Géorgie et en Moldavie.
Cette déclaration a été faite le président du Conseil européen Charles Michel lors du sommet de Batumi.

Selon M. Michel, il s’agit d’un « programme d'investissement sans précédent » de 2,3 milliards d'euros ayant le potentiel « de mobiliser jusqu'à 17 milliards d'euros d'investissements public et privés pour la région ».

« Notre partenariat améliorera les liaisons et les infrastructures de transport. Nous investirons dans la création et le renouvellement de milliers de kilomètres de routes et de voies ferrées d'ici 2030, ce qui réduira encore plus les distances entre nos sociétés. Cet investissement de connexion permettra également d'accéder au financement pour les PME, d'accompagner la transition numérique et de soutenir une plus grande résilience climatique et sanitaire », a souligné le président du Conseil européen, avant de souligner que l’Union européenne soutient la réalisation de nombreuses réformes dans les pays du Trio associé.

« La bonne gouvernance est la clé pour débloquer les avantages que la démocratie libérale peut apporter. Cela signifie promouvoir sans hésiter l'État de droit, l'indépendance de la justice et lutter contre la corruption. Ce n'est pas seulement une nécessité politique, cela relancera également la croissance et ouvrira de nouvelles opportunités », a-t-il déclaré.

[Matt]

Mmm, je me méfie toujours de promesses de politiciens et surtout de Ch. Michel. On a eu son lot quand il était premier ministre.

[Krispoluk]

Mmm, je me méfie toujours de promesses de politiciens et surtout de Ch. Michel. On a eu son lot quand il était premier ministre.

Fallait vous le garder et pas le refiler à la gouvernance européenne ! 

Maintenant en France, dans le registre de "recasage" des copains impossibles à recaser ailleurs, on a notre lot aussi : Moscovici et Harlem Désir pour ne citer que ces deux nuls... 

[Gilles]

Mmm, je me méfie toujours de promesses de politiciens et surtout de Ch. Michel. On a eu son lot quand il était premier ministre.

Fallait vous le garder et pas le refiler à la gouvernance européenne ! 

Maintenant en France, dans le registre de "recasage" des copains impossibles à recaser ailleurs, on a notre lot aussi : Moscovici et Harlem Désir pour ne citer que ces deux nuls... 

tu oublies dominique Voynet! Actuelle directrice de l'ARS mayotte...

[Krispoluk]

Mmm, je me méfie toujours de promesses de politiciens et surtout de Ch. Michel. On a eu son lot quand il était premier ministre.

Fallait vous le garder et pas le refiler à la gouvernance européenne ! 

Maintenant en France, dans le registre de "recasage" des copains impossibles à recaser ailleurs, on a notre lot aussi : Moscovici et Harlem Désir pour ne citer que ces deux nuls... 

tu oublies dominique Voynet! Actuelle directrice de l'ARS mayotte...

Oui mais je parlais uniquement de l'administration de l'UE. 

[Matt]

Au sujet de l'UE, la Moldavie, l'Ukraine et la Géorgie ont signé un acte de volonté d'adhésion qui est la seule issue pour leur futur.

[Krispoluk]

Au sujet de l'UE, la Moldavie, l'Ukraine et la Géorgie ont signé un acte de volonté d'adhésion qui est la seule issue pour leur futur.

Ils ont beau signer un pacte à 3, la décision finale reviendra à la commission de Bruxelles et je crois qu'elle n'est pas très chaude pour accueillir de nouveaux membres... 

Pour moi, il y a aussi un problème pour la Géorgie. Si une adhésion peut se concevoir à la limite pour l'Ukraine et la Moldavie, vue la continuité territoriale, la Géorgie c'est l'Asie. C'est ouvrir la porte à d'autres pays, pourquoi pas l'Arménie, le Liban, Israel ? On n'en finit pas... 

[Matt]

D'accord avec toi, mais il y a eu des négociations, avancées, avec la Turquie d'avant Erdogan. 
Donc, on peut envisager la Géorgie comme membre.
Et comme tu dis bien, la commission n'est pas plus chaude que ça à un élargissement, même si l'UE a une commission spécifique à ce sujet. 
Je pense qu'ils ne savent pas sur quel pied danser.

[Thuramir]

D'accord avec toi, mais il y a eu des négociations, avancées, avec la Turquie d'avant Erdogan. 
Donc, on peut envisager la Géorgie comme membre.
Et comme tu dis bien, la commission n'est pas plus chaude que ça à un élargissement, même si l'UE a une commission spécifique à ce sujet. 
Je pense qu'ils ne savent pas sur quel pied danser.

Si, si, l'UE sait très bien ce qu'elle fait : elle temporise. La Turquie attend depuis 1999, date à laquelle elle a été reconnue comme candidate à l'adhésion par l'UE (Conseil européen d'Helsinki), mais elle attend toujours et elle attendra encore jusqu'à ce que les poules aient des dents !

[Caduce62]

Le Conseil de l’Union européenne a décidé de prolonger de six mois les sanctions contre la Russie pour les actions portant atteinte à l'intégrité territoriale, à la souveraineté et à l'indépendance de l'Ukraine, jusqu'au 15 mars 2022.
Selon Ukrinform, une telle décision a été publiée vendredi sur le site Internet du Conseil européen.

« Le Conseil a décidé ce jour [le 10 septembre 2021 – NDLR] de proroger pour une nouvelle période de six mois, jusqu'au 15 mars 2022, les sanctions visant les responsables d'actions compromettant ou menaçant l'intégrité territoriale, la souveraineté et l'indépendance de l'Ukraine. Les mesures restrictives existantes prévoient des restrictions en matière de déplacements, le gel des avoirs et l'interdiction de mettre des fonds ou d'autres ressources économiques à la disposition des personnes et entités inscrites sur la liste. Les sanctions continueront de s'appliquer à 177 personnes et 48 entités », indique le communiqué de presse.

[Thuramir]

Mauvais temps pour les compatriotes du père Chris ! 

Extraction de lignite : la Pologne est condamnée à une astreinte de 500.000 euros par jour
La vice-présidente de la Cour de justice de l’Union européenne a pris le 20 septembre 2021 une ordonnance contre la Pologne.
Il est reproché à la République de Pologne d’avoir manqué aux obligations qui lui incombent en vertu de l’ordonnance de la vice‑présidente de la Cour du 21 mai 2021.
Par cette ordonnance du 21 mai 2021, la vice-présidente de la Cour a ordonné à la République de Pologne de cesser immédiatement les activités d’extraction de lignite dans la mine de Turów jusqu’au prononcé de l’arrêt qui mettra fin à l’affaire C-121/21.
Il est demandé à la Cour de prendre des mesures provisoires tendant à ce que la République de Pologne soit condamnée à payer une astreinte journalière de 5 millions d’euros au budget de l’Union pour manquement à ses obligations.
Sur la demande de la République de Pologne de rapporter l’ordonnance du 21 mai 2021
Une ordonnance de référé peut être modifiée ou rapportée par suite d’un changement de circonstances. La notion de « changement de circonstances » vise notamment la survenance de tout élément d’ordre factuel ou juridique de nature à remettre en cause les appréciations du juge des référés quant aux conditions auxquelles l’octroi du sursis ou de la mesure provisoire est subordonné.
Les arguments de la République de Pologne ne constituent, pour l’essentiel, qu’une répétition ou un développement d’arguments préalablement avancés. De tels arguments ne sauraient constituer un « changement de circonstances ».
La Pologne n’étaye pas à suffisance que la cessation d’extraction de lignite dans la mine de Turów fait peser un risque réel de rupture d’approvisionnement en chauffage et en eau potable sur ses territoires. De telles affirmations ne sauraient être regardées comme un « changement de circonstances ».
La demande est rejetée.
Sur la demande de la République tchèque tendant au paiement d’une astreinte
La République de Pologne demande le renvoi de l’affaire devant la grande chambre de la Cour ainsi que l’organisation d’une audition des parties. Elle soutient que la décision d’infliger une astreinte à un État membre ne devrait pas être prise par un juge unique. Elle estime que la complexité de l’affaire requiert d’ordonner une audition des parties aux fins de statuer sur cette demande.
Le vice-président de la Cour peut déférer une affaire à la Cour afin que celle-ci l’attribue à une formation de jugement. En l’espèce, la demande d’astreinte ne comporte aucun élément de nature à requérir son attribution à une formation de jugement.
Le juge des référés peut organiser la tenue d’une audition des parties lorsqu’il estime que celle-ci est nécessaire pour statuer sur la demande dont il est saisi. Le dossier comporte des éléments suffisants pour statuer. Il n’y a pas lieu d’organiser une audition des parties.
Par l’ordonnance du 21 mai 2021, la vice-présidente de la Cour a ordonné à la Pologne de cesser immédiatement les activités d’extraction de lignite dans la mine de Turów. L’État membre n’a pas respecté cette ordonnance.
Il apparaît nécessaire de renforcer l’efficacité des mesures provisoires ordonnées par l’ordonnance du 21 mai 2021, en prévoyant l’imposition d’une astreinte à la République de Pologne aux fins de dissuader cet État membre de retarder la mise en conformité de son comportement avec cette ordonnance.
Le juge des référés demeure libre de fixer l’astreinte infligée au montant et sous la forme qu’il considère adéquats. L’astreinte fixée doit être adaptée aux circonstances et proportionnée au manquement constaté ainsi qu’à la capacité de paiement de cet État membre.
L’ordonnance du 21 mai 2021 porte sur des mesures provisoires dont le respect est nécessaire afin d’éviter un préjudice grave et irréparable à l’environnement et à la santé humaine. Il y a lieu d’ordonner à la République de Pologne de payer à la Commission une astreinte d’un montant de 500 000 euros par jour, à compter de la date de notification de la présente ordonnance à la République de Pologne et jusqu’à ce que cet État membre respecte l’ordonnance du 21 mai 2021.

[Krispoluk]

Mauvais temps pour les compatriotes du père Chris ! 

Extraction de lignite : la Pologne est condamnée à une astreinte de 500.000 euros par jour
La vice-présidente de la Cour de justice de l’Union européenne a pris le 20 septembre 2021 une ordonnance contre la Pologne.
Il est reproché à la République de Pologne d’avoir manqué aux obligations qui lui incombent en vertu de l’ordonnance de la vice‑présidente de la Cour du 21 mai 2021.
Par cette ordonnance du 21 mai 2021, la vice-présidente de la Cour a ordonné à la République de Pologne de cesser immédiatement les activités d’extraction de lignite dans la mine de Turów jusqu’au prononcé de l’arrêt qui mettra fin à l’affaire C-121/21.
Il est demandé à la Cour de prendre des mesures provisoires tendant à ce que la République de Pologne soit condamnée à payer une astreinte journalière de 5 millions d’euros au budget de l’Union pour manquement à ses obligations.
Sur la demande de la République de Pologne de rapporter l’ordonnance du 21 mai 2021
Une ordonnance de référé peut être modifiée ou rapportée par suite d’un changement de circonstances. La notion de « changement de circonstances » vise notamment la survenance de tout élément d’ordre factuel ou juridique de nature à remettre en cause les appréciations du juge des référés quant aux conditions auxquelles l’octroi du sursis ou de la mesure provisoire est subordonné.
Les arguments de la République de Pologne ne constituent, pour l’essentiel, qu’une répétition ou un développement d’arguments préalablement avancés. De tels arguments ne sauraient constituer un « changement de circonstances ».
La Pologne n’étaye pas à suffisance que la cessation d’extraction de lignite dans la mine de Turów fait peser un risque réel de rupture d’approvisionnement en chauffage et en eau potable sur ses territoires. De telles affirmations ne sauraient être regardées comme un « changement de circonstances ».
La demande est rejetée.
Sur la demande de la République tchèque tendant au paiement d’une astreinte
La République de Pologne demande le renvoi de l’affaire devant la grande chambre de la Cour ainsi que l’organisation d’une audition des parties. Elle soutient que la décision d’infliger une astreinte à un État membre ne devrait pas être prise par un juge unique. Elle estime que la complexité de l’affaire requiert d’ordonner une audition des parties aux fins de statuer sur cette demande.
Le vice-président de la Cour peut déférer une affaire à la Cour afin que celle-ci l’attribue à une formation de jugement. En l’espèce, la demande d’astreinte ne comporte aucun élément de nature à requérir son attribution à une formation de jugement.
Le juge des référés peut organiser la tenue d’une audition des parties lorsqu’il estime que celle-ci est nécessaire pour statuer sur la demande dont il est saisi. Le dossier comporte des éléments suffisants pour statuer. Il n’y a pas lieu d’organiser une audition des parties.
Par l’ordonnance du 21 mai 2021, la vice-présidente de la Cour a ordonné à la Pologne de cesser immédiatement les activités d’extraction de lignite dans la mine de Turów. L’État membre n’a pas respecté cette ordonnance.
Il apparaît nécessaire de renforcer l’efficacité des mesures provisoires ordonnées par l’ordonnance du 21 mai 2021, en prévoyant l’imposition d’une astreinte à la République de Pologne aux fins de dissuader cet État membre de retarder la mise en conformité de son comportement avec cette ordonnance.
Le juge des référés demeure libre de fixer l’astreinte infligée au montant et sous la forme qu’il considère adéquats. L’astreinte fixée doit être adaptée aux circonstances et proportionnée au manquement constaté ainsi qu’à la capacité de paiement de cet État membre.
L’ordonnance du 21 mai 2021 porte sur des mesures provisoires dont le respect est nécessaire afin d’éviter un préjudice grave et irréparable à l’environnement et à la santé humaine. Il y a lieu d’ordonner à la République de Pologne de payer à la Commission une astreinte d’un montant de 500 000 euros par jour, à compter de la date de notification de la présente ordonnance à la République de Pologne et jusqu’à ce que cet État membre respecte l’ordonnance du 21 mai 2021.

Et les allemands qui sont de loin, les plus gros pollueurs d'Europe depuis le redémarrage de leurs centrales à lignite ultra-polluantes pour remplacer les centrales nucléaires non-polluantes, continuent de nous asphyxier en toute légalité sans que personne n'y trouve à redire !   

Deux poids, deux mesures avez vous dit ? 

[Thuramir]

Et les allemands qui sont de loin, les plus gros pollueurs d'Europe depuis le redémarrage de leurs centrales à lignite ultra-polluantes pour remplacer les centrales nucléaires non-polluantes, continuent de nous asphyxier en toute légalité sans que personne n'y trouve à redire !   

Deux poids, deux mesures avez vous dit ? 

Mais non ! Pas de lignite et, partant, pas de centrale à lignite à défaut de carburant...

[Matt]

J'ai vus aux infos que la court suprême de Pologne a placé la constitution avant les accords avec l'UE.
Normalement, ces accords doivent être transposé en droit national si je ne m'abuse.

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