L'invasion Russe en Ukraine
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Re: L'invasion Russe en Ukraine
Ce n'est pas le premier, il y a (eu) aussi des problème de gaz et d'eau, bref, tous services dont a besoin la population.
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Saint-Nazaire Juppé approuve le refus de livrer les Mistral à la Russie
Alain Juppé (UMP), candidat à la primaire à droite pour la présidentielle de 2017, a estimé mercredi 19 novembre (source AFP), à propos des navires Mistral commandés par la Russie, que l'attitude de ce pays vis-à-vis de l'Ukraine n'étant "pas acceptable".
Une position qui entre en contradiction avec celle de Nicolas Sarkozy, qui avait au contraire jugé que la France devait "honorer sa parole" et livrer les navires (dont un est déjà achevé aux chantiers STX de Saint-Nazaire), car "la Russie est un partenaire naturel de la France".
"Le président Poutine a enfreint un certain nombre de règles de bonne conduite internationale, on n'envahit pas un pays voisin pour en annexer une partie, même s'il y a des raisons historiques que l'on peut évoquer. Donc, il était absolument nécessaire qu'on (les Occidentaux dont la France, NDLR) réagisse", a affirmé M. Juppé.
En Ukraine, actuellement, "il y a des armements, il y a des troupes" venues de Russie "qui vont soutenir les séparatistes", a-t-il dit.
"Ceci n'est pas acceptable et donc, tant que ce contexte est ce qu'il est aujourd'hui, je pense qu'il ne faut pas livrer ces bateaux, ce serait un contre-signal", a déclaré Alain Juppé.
Le contrat de fourniture de deux Mistral à la Russie avait été signé en 2011 par M. Juppé, alors ministre de la Défense. "A l'époque, nous avions avec la Russie des relations de confiance", a-t-il dit.
Selon l'ancien Premier ministre, la Russie est "un grand pays avec lequel il faut parler (...) mais pour lui dire que nous n'approuvons pas son attitude en Ukraine".
Et toujours concernant les Mistral:
Mistral perdant
Peut-on à la fois jouer les marchands d'armes et se poser en défenseur des grandes conventions internationales ? Autrement dit, peut-on concilier les substantiels profits d'une « diplomatie économique » avec les impératifs moraux d'une « diplomatie politique » ? Bref, peut-on vendre impunément des armes sans risquer de perdre son âme ? Tel est le dilemme posé à François Hollande avec la vente, actuellement suspendue, des navires Mistral à la Russie. Les règles du droit des affaires primeraient-elles sur celles du droit international ? À l'issue du G20 de Brisbane, François Hollande a cru bon de préciser qu'il prendra sa décision définitive sur la livraison ou non du premier Mistral « hors de toute pression, d'où qu'elle vienne ».
Il y a évidemment un côté inutilement bravache dans cette déclaration. Car il est évident que François Hollande ne va se voir imposé qu'un choix cruel entre de mauvaises solutions : privilégier l'intérêt économique national ou complaire à nos alliés en rompant le contrat avec la belliqueuse Russie.
Dans ce dossier brûlant dont il a hérité, le chef de l'État mérite pourtant une part d'indulgence. Certes, il s'est un peu piégé lui-même en annonçant, à la veille d'un sommet de l'Otan, la suspension de la livraison du premier porte-hélicoptères. Une fois de plus, en jouant la montre, il a créé du flou. Mais Nicolas Sarkozy, en dénonçant « l'attitude piteuse » du chef de l'État, a simplement oublié qu'il avait imprudemment conclu le contrat au lendemain de la guerre de Géorgie et de l'emprise russe en Abkhazie et en Ossétie du Sud. Déjà, pointaient les velléités impérialistes de Poutine confirmées en Crimée et en Ukraine.
Il ne faut pas croire que les déclarations très générales d'un glacial G20 vont amadouer Poutine. Le président russe s'est même autorisé une impudente entorse protocolaire en boudant la cérémonie de clôture pour « manque de sommeil ». C'est plutôt à la communauté internationale de ne pas se lasser endormir en reportant sur la France le poids d'une décision symbolique qu'on baptisera d'ores et déjà « Mistral perdant ».
Alain Juppé (UMP), candidat à la primaire à droite pour la présidentielle de 2017, a estimé mercredi 19 novembre (source AFP), à propos des navires Mistral commandés par la Russie, que l'attitude de ce pays vis-à-vis de l'Ukraine n'étant "pas acceptable".
Une position qui entre en contradiction avec celle de Nicolas Sarkozy, qui avait au contraire jugé que la France devait "honorer sa parole" et livrer les navires (dont un est déjà achevé aux chantiers STX de Saint-Nazaire), car "la Russie est un partenaire naturel de la France".
"Le président Poutine a enfreint un certain nombre de règles de bonne conduite internationale, on n'envahit pas un pays voisin pour en annexer une partie, même s'il y a des raisons historiques que l'on peut évoquer. Donc, il était absolument nécessaire qu'on (les Occidentaux dont la France, NDLR) réagisse", a affirmé M. Juppé.
En Ukraine, actuellement, "il y a des armements, il y a des troupes" venues de Russie "qui vont soutenir les séparatistes", a-t-il dit.
"Ceci n'est pas acceptable et donc, tant que ce contexte est ce qu'il est aujourd'hui, je pense qu'il ne faut pas livrer ces bateaux, ce serait un contre-signal", a déclaré Alain Juppé.
Le contrat de fourniture de deux Mistral à la Russie avait été signé en 2011 par M. Juppé, alors ministre de la Défense. "A l'époque, nous avions avec la Russie des relations de confiance", a-t-il dit.
Selon l'ancien Premier ministre, la Russie est "un grand pays avec lequel il faut parler (...) mais pour lui dire que nous n'approuvons pas son attitude en Ukraine".
Et toujours concernant les Mistral:
Mistral perdant
Peut-on à la fois jouer les marchands d'armes et se poser en défenseur des grandes conventions internationales ? Autrement dit, peut-on concilier les substantiels profits d'une « diplomatie économique » avec les impératifs moraux d'une « diplomatie politique » ? Bref, peut-on vendre impunément des armes sans risquer de perdre son âme ? Tel est le dilemme posé à François Hollande avec la vente, actuellement suspendue, des navires Mistral à la Russie. Les règles du droit des affaires primeraient-elles sur celles du droit international ? À l'issue du G20 de Brisbane, François Hollande a cru bon de préciser qu'il prendra sa décision définitive sur la livraison ou non du premier Mistral « hors de toute pression, d'où qu'elle vienne ».
Il y a évidemment un côté inutilement bravache dans cette déclaration. Car il est évident que François Hollande ne va se voir imposé qu'un choix cruel entre de mauvaises solutions : privilégier l'intérêt économique national ou complaire à nos alliés en rompant le contrat avec la belliqueuse Russie.
Dans ce dossier brûlant dont il a hérité, le chef de l'État mérite pourtant une part d'indulgence. Certes, il s'est un peu piégé lui-même en annonçant, à la veille d'un sommet de l'Otan, la suspension de la livraison du premier porte-hélicoptères. Une fois de plus, en jouant la montre, il a créé du flou. Mais Nicolas Sarkozy, en dénonçant « l'attitude piteuse » du chef de l'État, a simplement oublié qu'il avait imprudemment conclu le contrat au lendemain de la guerre de Géorgie et de l'emprise russe en Abkhazie et en Ossétie du Sud. Déjà, pointaient les velléités impérialistes de Poutine confirmées en Crimée et en Ukraine.
Il ne faut pas croire que les déclarations très générales d'un glacial G20 vont amadouer Poutine. Le président russe s'est même autorisé une impudente entorse protocolaire en boudant la cérémonie de clôture pour « manque de sommeil ». C'est plutôt à la communauté internationale de ne pas se lasser endormir en reportant sur la France le poids d'une décision symbolique qu'on baptisera d'ores et déjà « Mistral perdant ».
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Ukraine / Objectif : intégrité territoriale de l'Ukraine
Gouvernement de la République Fédérale d'Allemagne - 21/11/2014 08:05:00
La chancelière fédérale Angela Merkel a profité du sommet du G20 pour exposer une nouvelle fois l'approche du gouvernement fédéral pour surmonter la crise en Ukraine. Rien ne sera laissé de côté pour parvenir à une résolution diplomatique du conflit par le dialogue avec la Russie.
Maintenir le dialogue
Dans son discours au « Lowy Institute for International Policy » (l'Institut Lowy pour la politique étrangère), la chancelière fédérale Angela Merkel a expliqué la position du gouvernement fédéral, qui est aussi partagée au niveau européen. Mme Merkel a cité trois aspects.
« Premièrement, nous soutenons l'Ukraine sur le plan politique mais aussi économique. Deuxièmement, nous ne laisserons rien de côté pour parvenir à une résolution diplomatique du conflit par le dialogue avec la Russie. Troisièmement, nous prononcerons des sanctions économiques contre la Russie tant que cela sera nécessaire », a déclaré Angela Merkel.
Objectif : intégrité territoriale de l'Ukraine
La chancelière fédérale a réitéré la finalité de tous ces efforts, à savoir « une Ukraine souveraine et à l'intégrité territoriale préservée, qui puisse décider librement de son avenir ».
Le conflit, a poursuivi Mme Merkel, ne peut être résolu par la voie militaire. Il ne faut pas pour autant affirmer que « puisque nous ne pouvons pas le résoudre par la voie militaire, nous ne pouvons pas le résoudre du tout ».
Il ne faut pas que l'ancien mode de pensée qui s'articule autour de zones d'influence réussisse à s'imposer, a souligné la chancelière. Elle s'est interrogée sur l'influence de la Russie sur les décisions des États d'Europe orientale en matière de politique étrangère : « Il ne s'agit pas seulement de l'Ukraine, mais aussi de la République de Moldova, de la Géorgie. Si cela continue, on pourra se poser la question pour la Serbie, pour les États des Balkans... ».
Il faut du temps pour résoudre le conflit
La chancelière a souligné qu'il faut parfois être endurant en politique, et a fait référence à sa propre expérience en RDA : « Si nous ne croyons pas nos valeurs assez fortes pour s'imposer un jour, alors ce n'est plus non plus la peine de tenir nos discours du dimanche. »
La porte-parole adjointe du gouvernement fédéral Christiane Wirtz a ajouté lors de la conférence de presse gouvernementale qu'il s'agissait d'être patient. « C'est un ouvrage de longue haleine que nous avons là. » Les résultats ne peuvent être obtenus en quelques jours ou quelques heures. L'objectif est avant tout de maintenir le dialogue. Dans cette optique, les arguments de la partie adverse sont entendus afin de pouvoir y répondre.
Le ministre fédéral des Affaires étrangères à Bruxelles, Kiev et Moscou
Lors de la réunion des ministres des Affaires étrangères qui a eu lieu lundi à Bruxelles, le conflit ukrainien a été au coeur des discussions, de même que le Proche-Orient et la Libye. Le ministre fédéral des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier a précisé avant la rencontre que tout le monde s'accordait sur la nécessité d'un soutien à l'Ukraine.
« Nous sommes appelés d'urgence à travailler à la stabilisation politique et économique de l'Ukraine. Je suis également reconnaissant du fait que la Commission européenne ait émis pour cela ses premières propositions. »
Ce mardi, le ministre fédéral des Affaires étrangères poursuit ses déplacements vers Kiev et Moscou. L'objectif de ce voyage, selon M. Steinmeier, est de sonder d'éventuelles chances d'empêcher un nouveau durcissement du conflit. M. Steinmeier a ajouté : « Peut-être devrions-nous chercher de nouvelles approches pour réduire la tension présente dans les relations de l'UE avec la Russie ».
Gouvernement de la République Fédérale d'Allemagne - 21/11/2014 08:05:00
La chancelière fédérale Angela Merkel a profité du sommet du G20 pour exposer une nouvelle fois l'approche du gouvernement fédéral pour surmonter la crise en Ukraine. Rien ne sera laissé de côté pour parvenir à une résolution diplomatique du conflit par le dialogue avec la Russie.
Maintenir le dialogue
Dans son discours au « Lowy Institute for International Policy » (l'Institut Lowy pour la politique étrangère), la chancelière fédérale Angela Merkel a expliqué la position du gouvernement fédéral, qui est aussi partagée au niveau européen. Mme Merkel a cité trois aspects.
« Premièrement, nous soutenons l'Ukraine sur le plan politique mais aussi économique. Deuxièmement, nous ne laisserons rien de côté pour parvenir à une résolution diplomatique du conflit par le dialogue avec la Russie. Troisièmement, nous prononcerons des sanctions économiques contre la Russie tant que cela sera nécessaire », a déclaré Angela Merkel.
Objectif : intégrité territoriale de l'Ukraine
La chancelière fédérale a réitéré la finalité de tous ces efforts, à savoir « une Ukraine souveraine et à l'intégrité territoriale préservée, qui puisse décider librement de son avenir ».
Le conflit, a poursuivi Mme Merkel, ne peut être résolu par la voie militaire. Il ne faut pas pour autant affirmer que « puisque nous ne pouvons pas le résoudre par la voie militaire, nous ne pouvons pas le résoudre du tout ».
Il ne faut pas que l'ancien mode de pensée qui s'articule autour de zones d'influence réussisse à s'imposer, a souligné la chancelière. Elle s'est interrogée sur l'influence de la Russie sur les décisions des États d'Europe orientale en matière de politique étrangère : « Il ne s'agit pas seulement de l'Ukraine, mais aussi de la République de Moldova, de la Géorgie. Si cela continue, on pourra se poser la question pour la Serbie, pour les États des Balkans... ».
Il faut du temps pour résoudre le conflit
La chancelière a souligné qu'il faut parfois être endurant en politique, et a fait référence à sa propre expérience en RDA : « Si nous ne croyons pas nos valeurs assez fortes pour s'imposer un jour, alors ce n'est plus non plus la peine de tenir nos discours du dimanche. »
La porte-parole adjointe du gouvernement fédéral Christiane Wirtz a ajouté lors de la conférence de presse gouvernementale qu'il s'agissait d'être patient. « C'est un ouvrage de longue haleine que nous avons là. » Les résultats ne peuvent être obtenus en quelques jours ou quelques heures. L'objectif est avant tout de maintenir le dialogue. Dans cette optique, les arguments de la partie adverse sont entendus afin de pouvoir y répondre.
Le ministre fédéral des Affaires étrangères à Bruxelles, Kiev et Moscou
Lors de la réunion des ministres des Affaires étrangères qui a eu lieu lundi à Bruxelles, le conflit ukrainien a été au coeur des discussions, de même que le Proche-Orient et la Libye. Le ministre fédéral des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier a précisé avant la rencontre que tout le monde s'accordait sur la nécessité d'un soutien à l'Ukraine.
« Nous sommes appelés d'urgence à travailler à la stabilisation politique et économique de l'Ukraine. Je suis également reconnaissant du fait que la Commission européenne ait émis pour cela ses premières propositions. »
Ce mardi, le ministre fédéral des Affaires étrangères poursuit ses déplacements vers Kiev et Moscou. L'objectif de ce voyage, selon M. Steinmeier, est de sonder d'éventuelles chances d'empêcher un nouveau durcissement du conflit. M. Steinmeier a ajouté : « Peut-être devrions-nous chercher de nouvelles approches pour réduire la tension présente dans les relations de l'UE avec la Russie ».
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Autre son de cloche:
Exclusive: U.S. increasing non-lethal military aid to Ukraine
Medical volunteers unpack individual first aid kits similar to those used by NATO during a ceremony where they were donated by Kiev's Mayor Vitaly Klitschko in Kiev October 31, 2014.
Credit: Reuters/Valentyn Ogirenko
(Reuters) - The United States plans to increase non-lethal military assistance to Ukraine, including deliveries of the first Humvee vehicles, having decided for now not to provide weapons, U.S. officials said.
The increase in non-lethal aid to Ukraine, which is grappling with a Russian-backed separatist movement in its east, is expected to be announced on Thursday during a visit to Kiev by Vice President Joe Biden.
The officials, who spoke to Reuters on condition of anonymity, described it as an expansion of U.S. support for Ukraine's armed forces, but one that was unlikely to significantly alter the conflict.
The aid falls short of what Ukrainian President Petro Poroshenko requested during a visit to Washington in September when he appealed for lethal aid - a request echoed by some U.S. lawmakers in response to what NATO allies say is Russia's movement of tanks and troops into eastern Ukraine.
Officials in the Obama administration had said Washington believed Ukraine had enough lethal aid and the types of weaponry requested for Ukraine would be of only marginal value. They had also emphasized the need for a diplomatic outcome.
The United States and its European allies have imposed several rounds of economic sanctions on Russia for its seizure of Crimea and incursion into eastern Ukraine.
The new non-lethal aid Biden will present in Kiev includes Humvees from excess supplies in the Pentagon's inventory, as well as the delivery of previously promised radars that can detect the location of enemy mortars, officials said. They did not specify a dollar value for the assistance.
Previous non-lethal aid to Ukraine includes $53 million announced in September for military equipment such as counter-mortar detection units, body armor, binoculars, small boats and other gear for Ukraine's security forces and border guards in the east.
LONG DEBATE
President Barack Obama's administration has long debated providing weapons to the Kiev government, but has so far concluded that it might only prompt Russia to escalate its aid to the separatist rebels.
Lethal assistance "remains on the table. It's something that we're looking at," Obama's deputy national security adviser and nominee for deputy secretary of state, Tony Blinken, said at his Senate confirmation hearing on Wednesday.
In response to Blinken's comment, Russia warned the United States on Thursday against supplying arms to Ukrainian forces.
Hours before Biden was due to arrive in Kiev, Russian Foreign Ministry spokesman Alexander Lukashevich cautioned against "a major change in policy of the (U.S.) administration in regard to the conflict" in Ukraine.
U.S. Senator John McCain, an Arizona Republican, said he had not been briefed on the new non-lethal aid but called it "a continuation of the ridiculous."
"They are fighting against people with lethal weapons. They need lethal weapons to fight back. It is disgraceful and shameful that we won’t give them lethal weapons," McCain told Reuters.
(Editing by Jason Szep and Howard Goller)
Security Service of Ukraine neutralized terrorist group of DPR that had Russian citizens
Counter-intelligence unit of Security Service of Ukraine (SSU) together with units of Ukrainian Army of Ukraine captured saboteurs who attacked one of the Ukrainian checkpoints in Donetsk Region.
That group had a task to collect information about Ukrainian Army checkpoints in Donetsk Region near Telmanove and to coordinate artillery fire of the terrorists.
Also the group had an order to capture Ukrainian soldier and get elements of Ukrainian Army uniform.
The terrorist group of DPR (Donetsk People’s Republic) had 2 Ukrainian citizens, one of them had ID of a scout of a unit #08801 of Ministry of Defense of DPR. There were also 2 citizens of Russian Federation in that group who live in Voronezh and Lipetsk cities.
During the attack 3 terrorists were wounded and captured. One Russian mercenary died.
IDs of terrorists of DPR
Weapon used by terrorists of DPR
- See more at: http://ukrainerightnow.com/security-service-of-ukraine-neutralized-terrorist-group-of-dpr-that-had-russian-citizens/#sthash.HRDAMi75.dpuf
Exclusive: U.S. increasing non-lethal military aid to Ukraine
Medical volunteers unpack individual first aid kits similar to those used by NATO during a ceremony where they were donated by Kiev's Mayor Vitaly Klitschko in Kiev October 31, 2014.
Credit: Reuters/Valentyn Ogirenko
(Reuters) - The United States plans to increase non-lethal military assistance to Ukraine, including deliveries of the first Humvee vehicles, having decided for now not to provide weapons, U.S. officials said.
The increase in non-lethal aid to Ukraine, which is grappling with a Russian-backed separatist movement in its east, is expected to be announced on Thursday during a visit to Kiev by Vice President Joe Biden.
The officials, who spoke to Reuters on condition of anonymity, described it as an expansion of U.S. support for Ukraine's armed forces, but one that was unlikely to significantly alter the conflict.
The aid falls short of what Ukrainian President Petro Poroshenko requested during a visit to Washington in September when he appealed for lethal aid - a request echoed by some U.S. lawmakers in response to what NATO allies say is Russia's movement of tanks and troops into eastern Ukraine.
Officials in the Obama administration had said Washington believed Ukraine had enough lethal aid and the types of weaponry requested for Ukraine would be of only marginal value. They had also emphasized the need for a diplomatic outcome.
The United States and its European allies have imposed several rounds of economic sanctions on Russia for its seizure of Crimea and incursion into eastern Ukraine.
The new non-lethal aid Biden will present in Kiev includes Humvees from excess supplies in the Pentagon's inventory, as well as the delivery of previously promised radars that can detect the location of enemy mortars, officials said. They did not specify a dollar value for the assistance.
Previous non-lethal aid to Ukraine includes $53 million announced in September for military equipment such as counter-mortar detection units, body armor, binoculars, small boats and other gear for Ukraine's security forces and border guards in the east.
LONG DEBATE
President Barack Obama's administration has long debated providing weapons to the Kiev government, but has so far concluded that it might only prompt Russia to escalate its aid to the separatist rebels.
Lethal assistance "remains on the table. It's something that we're looking at," Obama's deputy national security adviser and nominee for deputy secretary of state, Tony Blinken, said at his Senate confirmation hearing on Wednesday.
In response to Blinken's comment, Russia warned the United States on Thursday against supplying arms to Ukrainian forces.
Hours before Biden was due to arrive in Kiev, Russian Foreign Ministry spokesman Alexander Lukashevich cautioned against "a major change in policy of the (U.S.) administration in regard to the conflict" in Ukraine.
U.S. Senator John McCain, an Arizona Republican, said he had not been briefed on the new non-lethal aid but called it "a continuation of the ridiculous."
"They are fighting against people with lethal weapons. They need lethal weapons to fight back. It is disgraceful and shameful that we won’t give them lethal weapons," McCain told Reuters.
(Editing by Jason Szep and Howard Goller)
Security Service of Ukraine neutralized terrorist group of DPR that had Russian citizens
Counter-intelligence unit of Security Service of Ukraine (SSU) together with units of Ukrainian Army of Ukraine captured saboteurs who attacked one of the Ukrainian checkpoints in Donetsk Region.
That group had a task to collect information about Ukrainian Army checkpoints in Donetsk Region near Telmanove and to coordinate artillery fire of the terrorists.
Also the group had an order to capture Ukrainian soldier and get elements of Ukrainian Army uniform.
The terrorist group of DPR (Donetsk People’s Republic) had 2 Ukrainian citizens, one of them had ID of a scout of a unit #08801 of Ministry of Defense of DPR. There were also 2 citizens of Russian Federation in that group who live in Voronezh and Lipetsk cities.
During the attack 3 terrorists were wounded and captured. One Russian mercenary died.
IDs of terrorists of DPR
Weapon used by terrorists of DPR
- See more at: http://ukrainerightnow.com/security-service-of-ukraine-neutralized-terrorist-group-of-dpr-that-had-russian-citizens/#sthash.HRDAMi75.dpuf
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Je viens d'avoir des nouvelles très inquiétantes de Lugansk.
Tout d'abord, il n'y a pas de nourritures, et pas d'argent. Les gens qui ont encore la chance d'avoir un travail sont payés en... Bouffe, comme en 1991 lorsque l'URSS s'est vautrée. Lorsque les gens disaient qu'ils vivaient comme en 1991, je n'osais le croire, mais c'est la vérité. Les gens qui peuvent encore se déplacer le font pour chercher de la bouffe.
Les russes n'envoient plus d'aides humanitaires. Je pense que la situation économique qui se dégrade très sérieusement chez eux fait qu'ils doivent faire des choix. Et entre la Novomerda et la Mère Patrie...
Bref, la situation humanitaire, alors que les températures deviennent négatives même en pleine journée (-1 la journée, -6 la nuit) risque d'être catastrophique.
Autre point: les débiles de Novomerda font des razzias de passeports (nationaux et internationaux) ukrainiens. Partout où ils passent, ils arrêtent des gens pour saisir leurs papiers et ainsi les contraindre à accepter les torchons de la LNR.
Sauf que... Ces papiers les condamnent à rester en LNR!!! Car l'Ukraine n'en veut pas, normal, mais même au poste frontière russe, les russes ne les laissent pas passer, "la LNR, c'est quoi çà?". En bref, la Russie y envoient ses déchets, fout le bordel, détruit tout, mais refuse d'assurer le service après vente... Ils ont fermé la frontière et ont durci les conditions d'immigration pour les réfugiés. Encore une fois, je pense que la situation économique qui est en train de flancher, et leurs conditions très attractives qu'ils avaient mis en place dans un premier temps leur coûte extrêmement cher.
En bref, les terroristes veulent condamner les derniers à rester advitae eternam à Lugansk, vu que tout le monde veut foutre le camp.
Tout d'abord, il n'y a pas de nourritures, et pas d'argent. Les gens qui ont encore la chance d'avoir un travail sont payés en... Bouffe, comme en 1991 lorsque l'URSS s'est vautrée. Lorsque les gens disaient qu'ils vivaient comme en 1991, je n'osais le croire, mais c'est la vérité. Les gens qui peuvent encore se déplacer le font pour chercher de la bouffe.
Les russes n'envoient plus d'aides humanitaires. Je pense que la situation économique qui se dégrade très sérieusement chez eux fait qu'ils doivent faire des choix. Et entre la Novomerda et la Mère Patrie...
Bref, la situation humanitaire, alors que les températures deviennent négatives même en pleine journée (-1 la journée, -6 la nuit) risque d'être catastrophique.
Autre point: les débiles de Novomerda font des razzias de passeports (nationaux et internationaux) ukrainiens. Partout où ils passent, ils arrêtent des gens pour saisir leurs papiers et ainsi les contraindre à accepter les torchons de la LNR.
Sauf que... Ces papiers les condamnent à rester en LNR!!! Car l'Ukraine n'en veut pas, normal, mais même au poste frontière russe, les russes ne les laissent pas passer, "la LNR, c'est quoi çà?". En bref, la Russie y envoient ses déchets, fout le bordel, détruit tout, mais refuse d'assurer le service après vente... Ils ont fermé la frontière et ont durci les conditions d'immigration pour les réfugiés. Encore une fois, je pense que la situation économique qui est en train de flancher, et leurs conditions très attractives qu'ils avaient mis en place dans un premier temps leur coûte extrêmement cher.
En bref, les terroristes veulent condamner les derniers à rester advitae eternam à Lugansk, vu que tout le monde veut foutre le camp.
tarkan- Messages : 718
Date d'inscription : 05/05/2014
Age : 39
Re: L'invasion Russe en Ukraine
C'est une prise en otage en règle. Venant de terroristes, c'est pas étonnant.
Le programme, c'est peut-être nourriture contre un village.
A moins que les autochtones ne décident d’éliminer eux-mêmes la vermine pour que l'armée d’Ukraine puisse reprendre le contrôle village par village.
Ce ne serait pas une violation de l'accord de Minsk puisque les contours de zones n'est toujours pas définie.
Le programme, c'est peut-être nourriture contre un village.
A moins que les autochtones ne décident d’éliminer eux-mêmes la vermine pour que l'armée d’Ukraine puisse reprendre le contrôle village par village.
Ce ne serait pas une violation de l'accord de Minsk puisque les contours de zones n'est toujours pas définie.
benoit77- Messages : 2859
Date d'inscription : 17/09/2014
Re: L'invasion Russe en Ukraine
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=839964576055933&set=a.222546604464403.67376.100001271968269&type=1&theater
Sur facebook, des séparatistes qui se sont rendu à ceux qui défendent l'aéroport
Sur facebook, des séparatistes qui se sont rendu à ceux qui défendent l'aéroport
Snafu- Messages : 32
Date d'inscription : 07/11/2014
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Peut-être que la réponse est ici.
Ca ressemble à ce qu'ils y disent . . . Malheureusement.
Ca ressemble à ce qu'ils y disent . . . Malheureusement.
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Les étudiants "réquisitionnés" pour travailler!
Tu m'étonne :
après avoir pris (volé) les voitures, le carburant, les passeports des gens et de ces faits interdits quiconque d'aller chercher sa pension ou son salaire en " zone libre"
après avoir détruit entreprises et tissus économiques
après avoir pillé les magasins et les entrepôts
après avoir créer des services d'état totalement bidons
après avoir imprimé une monnaie de singes reconnues et acceptés par personnes
après avoir mis au travaux forcé les prisonniers, les adultes
après avoir embrigadés les plus jeunes
il restait les étudiants à emmerder
et bien voilà c'est fait.
La prochaine étape le cannibalisme : faire du ragout de "trop vieux" pour nourrir leurs esclaves
Pol-pot et Staline ont enfin leurs successeurs.
http://news.liga.net/news/politics/4184966-terroristy_dnr_mobilizuyut_studentov_donbassa_v_stroyotryady.htm
Tu m'étonne :
après avoir pris (volé) les voitures, le carburant, les passeports des gens et de ces faits interdits quiconque d'aller chercher sa pension ou son salaire en " zone libre"
après avoir détruit entreprises et tissus économiques
après avoir pillé les magasins et les entrepôts
après avoir créer des services d'état totalement bidons
après avoir imprimé une monnaie de singes reconnues et acceptés par personnes
après avoir mis au travaux forcé les prisonniers, les adultes
après avoir embrigadés les plus jeunes
il restait les étudiants à emmerder
et bien voilà c'est fait.
La prochaine étape le cannibalisme : faire du ragout de "trop vieux" pour nourrir leurs esclaves
Pol-pot et Staline ont enfin leurs successeurs.
http://news.liga.net/news/politics/4184966-terroristy_dnr_mobilizuyut_studentov_donbassa_v_stroyotryady.htm
benoit77- Messages : 2859
Date d'inscription : 17/09/2014
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Encore une nouvelle violation de la Russie:
Russian Police Cars in "Donetsk" ??? via @Conflict_Report
Russian Police Cars in "Donetsk" ??? via @Conflict_Report
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Le versement des pensions sera officiellement suspendu dans le Donbass d'ici la fin de l'année. Jusqu'à maintenant, les gens pouvaient aller jusqu'en zone libre et récupérer leur pension à la banque. Dorénavant, ce ne sera plus possible.
De plus, Kiev envisage de ne plus verser les pensions de ceux qui résident hors d'Ukraine.
Des contrôles ont d'ores et déjà lieu, une famille de proche à Kharkiv a reçu un coup de téléphone de l'administration pour vérifier où ils habitaient et leur statut.
De plus, Kiev envisage de ne plus verser les pensions de ceux qui résident hors d'Ukraine.
Des contrôles ont d'ores et déjà lieu, une famille de proche à Kharkiv a reçu un coup de téléphone de l'administration pour vérifier où ils habitaient et leur statut.
tarkan- Messages : 718
Date d'inscription : 05/05/2014
Age : 39
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Kiev a aussi demandé aux banque "d'évacuer" le Donbass, déjà que les distributeurs n'étaient pas assez approvisionné . . .
Ca sent le serrage de vis, quelque chose doit se préparer.
J'ai vu aussi que les zozos demandent l'intervention de casques bleu . . .
Edit, les chemins de fer ne vont plus désservir les zones de l'ATO sous contrôle des zozos:
Hromadske.TV
Ca sent le serrage de vis, quelque chose doit se préparer.
J'ai vu aussi que les zozos demandent l'intervention de casques bleu . . .
Edit, les chemins de fer ne vont plus désservir les zones de l'ATO sous contrôle des zozos:
Hromadske.TV
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Ukraine: Les rebelles demandent l'envoi de casques bleus
Ils veulent des casques bleus . . . russes.
Ils veulent des casques bleus . . . russes.
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Kiev n'a pas besoin de reconquérir militairement, il suffit d'asphyxier comme ils le font actuellement.
Quand le Donbass sera devenu un désert stérile, il tombera tout seul... Et faut mettre le nain du Kremlin face à ses responsabilités. La Russie ne laissera pas tomber ses "frères de sang" du Donbass... On va les voir à l'oeuvre
Quand le Donbass sera devenu un désert stérile, il tombera tout seul... Et faut mettre le nain du Kremlin face à ses responsabilités. La Russie ne laissera pas tomber ses "frères de sang" du Donbass... On va les voir à l'oeuvre
Krispoluk- Messages : 9785
Date d'inscription : 03/06/2014
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Re: L'invasion Russe en Ukraine
Quand on voit l'aide russe en Crimée, c'est a se tirer une balle dans la tête A part le tourisme militaire, c'est mortel
Ok mais c'est asphyxier les pauvres, condamnés à rester prisonniers du Donbass et qui n'ont pas les moyens ou la possibilité de partir.
Les "petites gens" vont crever de faim et faute de médicaments mais Poutine s'en moque car ce sont des ukrainiens et non des russes !
Les zozos et l'armée russe continueront de piller et de s'engraisser
Ok mais c'est asphyxier les pauvres, condamnés à rester prisonniers du Donbass et qui n'ont pas les moyens ou la possibilité de partir.
Les "petites gens" vont crever de faim et faute de médicaments mais Poutine s'en moque car ce sont des ukrainiens et non des russes !
Les zozos et l'armée russe continueront de piller et de s'engraisser
Caduce62- Messages : 15059
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
Caduce62- Messages : 15059
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Localisation : chez les Ch'tis
Re: L'invasion Russe en Ukraine
C'est, malheureusement, toujours les petits qui pâtissent des gros . . .
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Gros flot d'info ce matin:
Russian insider says Putin openly planned invasion of Ukraine since 2003
"A former Russian insider says he was there when Putin began openly planning the present invasion of Ukraine back in 2003.
At a conference in Brussels this week, Andrey Illarionov, a Russian economist and former economic advisor to Vladimir Putin informed that the invasion of Ukraine has been in official planning since at least 2003.
“Since 2003. I can say that certain questions relating to the future war with Ukraine were discussed in my presence. I didn’t think the talks would really lead to a real war,” he said.
In an anguished response to the Orange Revolution a year later which brought about an ostensibly pro-Western government, Russian officials then began discussing the potential for launching a military occupation of Crimea and it’s subsequent annexation. Illarionov also discussed leaked documents which detail the operation of Russia’s future war with Ukraine."
La suite sur euromaidanpress
‘DNR’/‘LNR’: creative destruction
"The ‘DNR’ and ‘LNR,’ which were declared to be terrorist organizations by the Ukrainian Office of the Prosecutor General, are causing economic collapse on the occupied territories.
According to the State Statistics Service, industrial production in these districts has decreased by 55-80% within the past months, compared to what it was before the war.
Many of the mines, factories and much of the infrastructure suffered serious damage, some objects cannot be restored.
The overall cost of restoring Donbas, occupied by ‘DNR’/‘LNR’, may reach several dozen billion dollars. The government claims losses of 16 billion USD.
Nonetheless, there is a ray of hope: this destruction may help Ukraine.
Donbas was the ‘capital of coal mining’ in Russian and Soviet empires. However, Donbas’ ‘Golden Age’ is long gone."
La suite sur euromaidanpress
Donetsk women give terrorists two months to leave town
"In Donetsk on Monday, November 24, a protest took place against the lack of food and social security benefits by the so-called “female opposition battalion” demanding that the terrorists leave town within two months. Similar protests demanding that the Russians leave have also taken place in other cities in the Donbas, Andriy Lysenko, spokesman for the National Security Council, reported at a press briefing, November 25.
“In the temporarily occupied territories of the Donbas, resistance by the local residents is growing and becoming better organized. In particular, in Donetsk another demonstration has taken place that was organized by the so-called united women’s opposition battalion,” Lysenko said.
“Local women are outraged by the present situation where there is a lack of food and the absence of any social security from the terrorist authorities as well as the distribution of counterfeit money by the DNR authorities that no store will accept,” he added.
“The protest movement activists have given an ultimatum to the so-called prime minister of DNR demanding that (his people) get out of town within two months,” he said.
Lysenko noted that over the past several days similar protests by local residents have also taken place in Amvrosiyivka, Sverdlovsk, Chervonopartyzansk and Rovenky in the Luhansk Oblast."
La suite sur euromaidanpress
Les États-Unis "blindent" l'Europe de l'Est
L'armée américaine prévoit de positionner environ 150 chars et véhicules blindés dans plusieurs pays membres de l'Otan, dont une partie seraient stationnés dans des pays d'Europe de l'Est pour participer à des exercices, selon un général mardi. Ce projet fait partie de l'opération "Atlantic Resolve", destinée à rassurer les Etats baltes ainsi que la Pologne, inquiets des manoeuvres de la Russie en Ukraine notamment.
Outre ce déploiement de blindés, des troupes au sol seront envoyées régulièrement pour quelques mois afin de participer à des exercices conjoints dans ces pays.
Près d'une cinquantaine de véhicules blindés sont déjà en place et une centaine de chars Abrams M1 et de véhicules de combat Bradley seront "pré-positionnés" en Allemagne, et éventuellement dans d'autres endroits, quand les troupes américaines conduiront leurs exercices conjoints avec des soldats de leurs partenaires de l'Alliance atlantique, a précisé le général américain Ben Hodges, actuellement stationné en Estonie.
"Les troupes viendront pour participer aux exercices, puis elles rentreront. L'équipement restera sur place", a ajouté ce haut gradé qui a pris il y a trois semaines la tête des forces américaines déployées en Europe.
Cet arrangement présente l'avantage d'être "beaucoup plus économique" que d'avoir à transporter les chars et véhicules blindés à travers l'Atlantique avant chaque exercice, a encore souligné le général Hodges.
Celui-ci devrait faire prochainement des recommandations sur la manière de stocker ces chars et véhicules armés parmi les pays d'Europe de l'Est membres de l'Otan.
Les Etats-Unis disposent de 29.000 soldats stationnés en permanence en Allemagne, en Italie et en Belgique, mais Washington a augmenté le nombre de ses soldats déployés temporairement dans la région pour envoyer un signal à la Russie et à ses partenaires de l'Otan.
lalibre.be
L'Allemagne montre ses muscles sur la scène internationale
Après six décennies de relative discrétion, la République fédérale a décidé de s'exprimer haut et fort. Elle s'empare du dossier russe.
L'aigle allemand ne cherche plus à cacher ses griffes sur la scène internationale. Longtemps marquée par la Seconde Guerre mondiale, la République fédérale a joué profil bas pendant plus de six décennies lors des crises politiques et diplomatiques mondiales. Malgré son statut de plus grande puissance économique de la zone euro, Berlin préférait rester en retrait derrière Paris ou Londres, qui représentaient la "voix de l'Europe" lors des grandes négociations. L'Allemagne a choisi aujourd'hui de ne plus passer par des "intermédiaires" pour faire connaître son opinion. La ministre de la Défense, Ursula von der Leyen, ne cesse ainsi de rappeler que "l'indifférence n'est pas une option" pour son pays. L'ancien secrétaire d'État américain Henry Kissinger juge, lui aussi, que "l'Allemagne est condamnée à prendre plus de responsabilités" sur la scène planétaire. Quitte à taper du poing sur la table...
La crise actuelle entre Moscou et Bruxelles montre à quel point notre voisin a perdu tous ses complexes d'infériorité ces dernières années. Lors d'un discours prononcé devant le Lowy Institute for International Policy de Sydney quelques heures après la fin du sommet du G20 à Brisbane, en Australie, Angela Merkel n'a ainsi pas hésité à tirer à boulets rouges sur la Russie. "Après les horreurs des deux guerres mondiales et la fin de la guerre froide, considérer que l'est de l'Europe reste le terrain de jeu de la Russie met en danger l'équilibre de la paix sur notre continent", a martelé la chancelière. Comme pour confirmer ses propos déjà fort peu diplomatiques, la chef du parti chrétien-démocrate (CDU) a rappelé que "la crise en Ukraine n'est pas une affaire régionale. Elle nous concerne tous." Fermez le ban... Bien décidée à empêcher Moscou d'étendre son influence à l'est de ses frontières, Angela avait convié cet été tous les dirigeants des Balkans occidentaux (Albanie, Bosnie-Herzégovine, Croatie, Kosovo, Macédoine, Monténégro, Serbie, Slovénie) à se réunir à Berlin pour parler des relations de ces nations avec l'Union européenne. Le choix même d'organiser ce forum dans la capitale fédérale et non pas à Bruxelles représentait un symbole fort de la volonté de l'Allemagne de prendre les choses en main sans passer par "la case UE".
35 conversations avec Poutine
L'éclatement de la crise financière en 2008 a éliminé la plupart des complexes dont souffraient nos voisins. Obligé de venir à la rescousse de plusieurs de ses voisins sans le sou, Berlin a décidé d'exiger des contreparties de ses "débiteurs", en les obligeant notamment à mieux contrôler leurs finances publiques. La crise ukrainienne a également encouragé Angela Merkel à jouer le rôle d'intermédiaire entre Kiev et Moscou. Depuis mars, la chancelière a ainsi eu 35 conversations téléphoniques avec Vladimir Poutine. Les bonnes performances économiques de l'Allemagne ont aussi renforcé la crédibilité de l'ancienne physicienne est-allemande qui est de surcroît la plus "ancienne" membre à siéger au Conseil européen. Les problèmes politiques et économiques en France ainsi que la montée inquiétante du FN ont enfin persuadé Berlin de ne plus passer par Paris pour faire entendre sa voix sur la scène internationale.
Pour faire avancer les dossiers qui lui tiennent à coeur, Angela Merkel a également eu l'intelligence de placer des Allemands à des postes-clés au coeur des institutions européennes. La France ne compte ainsi qu'un seul et unique chef de cabinet et un chef de cabinet adjoint dans les cabinets des commissaires de Jean-Claude Juncker, alors que notre voisin compte cinq chefs de cabinet et trois chefs de cabinet adjoints, dont le chef de cabinet du président de la Commission. Le secrétaire général du Parlement européen, le directeur du mécanisme européen de stabilité, le secrétaire général du Conseil de l'Union européenne, le patron de la Banque européenne d'investissement et le président du Parlement européen sont également tous allemands, tout comme les chefs de trois groupes politiques du Parlement européen, dont le plus important, celui des conservateurs du Parti populaire européen. L'aigle a déployé ses ailes...
lepoint.fr
Russian insider says Putin openly planned invasion of Ukraine since 2003
"A former Russian insider says he was there when Putin began openly planning the present invasion of Ukraine back in 2003.
At a conference in Brussels this week, Andrey Illarionov, a Russian economist and former economic advisor to Vladimir Putin informed that the invasion of Ukraine has been in official planning since at least 2003.
“Since 2003. I can say that certain questions relating to the future war with Ukraine were discussed in my presence. I didn’t think the talks would really lead to a real war,” he said.
In an anguished response to the Orange Revolution a year later which brought about an ostensibly pro-Western government, Russian officials then began discussing the potential for launching a military occupation of Crimea and it’s subsequent annexation. Illarionov also discussed leaked documents which detail the operation of Russia’s future war with Ukraine."
La suite sur euromaidanpress
‘DNR’/‘LNR’: creative destruction
"The ‘DNR’ and ‘LNR,’ which were declared to be terrorist organizations by the Ukrainian Office of the Prosecutor General, are causing economic collapse on the occupied territories.
According to the State Statistics Service, industrial production in these districts has decreased by 55-80% within the past months, compared to what it was before the war.
Many of the mines, factories and much of the infrastructure suffered serious damage, some objects cannot be restored.
The overall cost of restoring Donbas, occupied by ‘DNR’/‘LNR’, may reach several dozen billion dollars. The government claims losses of 16 billion USD.
Nonetheless, there is a ray of hope: this destruction may help Ukraine.
Donbas was the ‘capital of coal mining’ in Russian and Soviet empires. However, Donbas’ ‘Golden Age’ is long gone."
La suite sur euromaidanpress
Donetsk women give terrorists two months to leave town
"In Donetsk on Monday, November 24, a protest took place against the lack of food and social security benefits by the so-called “female opposition battalion” demanding that the terrorists leave town within two months. Similar protests demanding that the Russians leave have also taken place in other cities in the Donbas, Andriy Lysenko, spokesman for the National Security Council, reported at a press briefing, November 25.
“In the temporarily occupied territories of the Donbas, resistance by the local residents is growing and becoming better organized. In particular, in Donetsk another demonstration has taken place that was organized by the so-called united women’s opposition battalion,” Lysenko said.
“Local women are outraged by the present situation where there is a lack of food and the absence of any social security from the terrorist authorities as well as the distribution of counterfeit money by the DNR authorities that no store will accept,” he added.
“The protest movement activists have given an ultimatum to the so-called prime minister of DNR demanding that (his people) get out of town within two months,” he said.
Lysenko noted that over the past several days similar protests by local residents have also taken place in Amvrosiyivka, Sverdlovsk, Chervonopartyzansk and Rovenky in the Luhansk Oblast."
La suite sur euromaidanpress
Les États-Unis "blindent" l'Europe de l'Est
L'armée américaine prévoit de positionner environ 150 chars et véhicules blindés dans plusieurs pays membres de l'Otan, dont une partie seraient stationnés dans des pays d'Europe de l'Est pour participer à des exercices, selon un général mardi. Ce projet fait partie de l'opération "Atlantic Resolve", destinée à rassurer les Etats baltes ainsi que la Pologne, inquiets des manoeuvres de la Russie en Ukraine notamment.
Outre ce déploiement de blindés, des troupes au sol seront envoyées régulièrement pour quelques mois afin de participer à des exercices conjoints dans ces pays.
Près d'une cinquantaine de véhicules blindés sont déjà en place et une centaine de chars Abrams M1 et de véhicules de combat Bradley seront "pré-positionnés" en Allemagne, et éventuellement dans d'autres endroits, quand les troupes américaines conduiront leurs exercices conjoints avec des soldats de leurs partenaires de l'Alliance atlantique, a précisé le général américain Ben Hodges, actuellement stationné en Estonie.
"Les troupes viendront pour participer aux exercices, puis elles rentreront. L'équipement restera sur place", a ajouté ce haut gradé qui a pris il y a trois semaines la tête des forces américaines déployées en Europe.
Cet arrangement présente l'avantage d'être "beaucoup plus économique" que d'avoir à transporter les chars et véhicules blindés à travers l'Atlantique avant chaque exercice, a encore souligné le général Hodges.
Celui-ci devrait faire prochainement des recommandations sur la manière de stocker ces chars et véhicules armés parmi les pays d'Europe de l'Est membres de l'Otan.
Les Etats-Unis disposent de 29.000 soldats stationnés en permanence en Allemagne, en Italie et en Belgique, mais Washington a augmenté le nombre de ses soldats déployés temporairement dans la région pour envoyer un signal à la Russie et à ses partenaires de l'Otan.
lalibre.be
L'Allemagne montre ses muscles sur la scène internationale
Après six décennies de relative discrétion, la République fédérale a décidé de s'exprimer haut et fort. Elle s'empare du dossier russe.
L'aigle allemand ne cherche plus à cacher ses griffes sur la scène internationale. Longtemps marquée par la Seconde Guerre mondiale, la République fédérale a joué profil bas pendant plus de six décennies lors des crises politiques et diplomatiques mondiales. Malgré son statut de plus grande puissance économique de la zone euro, Berlin préférait rester en retrait derrière Paris ou Londres, qui représentaient la "voix de l'Europe" lors des grandes négociations. L'Allemagne a choisi aujourd'hui de ne plus passer par des "intermédiaires" pour faire connaître son opinion. La ministre de la Défense, Ursula von der Leyen, ne cesse ainsi de rappeler que "l'indifférence n'est pas une option" pour son pays. L'ancien secrétaire d'État américain Henry Kissinger juge, lui aussi, que "l'Allemagne est condamnée à prendre plus de responsabilités" sur la scène planétaire. Quitte à taper du poing sur la table...
La crise actuelle entre Moscou et Bruxelles montre à quel point notre voisin a perdu tous ses complexes d'infériorité ces dernières années. Lors d'un discours prononcé devant le Lowy Institute for International Policy de Sydney quelques heures après la fin du sommet du G20 à Brisbane, en Australie, Angela Merkel n'a ainsi pas hésité à tirer à boulets rouges sur la Russie. "Après les horreurs des deux guerres mondiales et la fin de la guerre froide, considérer que l'est de l'Europe reste le terrain de jeu de la Russie met en danger l'équilibre de la paix sur notre continent", a martelé la chancelière. Comme pour confirmer ses propos déjà fort peu diplomatiques, la chef du parti chrétien-démocrate (CDU) a rappelé que "la crise en Ukraine n'est pas une affaire régionale. Elle nous concerne tous." Fermez le ban... Bien décidée à empêcher Moscou d'étendre son influence à l'est de ses frontières, Angela avait convié cet été tous les dirigeants des Balkans occidentaux (Albanie, Bosnie-Herzégovine, Croatie, Kosovo, Macédoine, Monténégro, Serbie, Slovénie) à se réunir à Berlin pour parler des relations de ces nations avec l'Union européenne. Le choix même d'organiser ce forum dans la capitale fédérale et non pas à Bruxelles représentait un symbole fort de la volonté de l'Allemagne de prendre les choses en main sans passer par "la case UE".
35 conversations avec Poutine
L'éclatement de la crise financière en 2008 a éliminé la plupart des complexes dont souffraient nos voisins. Obligé de venir à la rescousse de plusieurs de ses voisins sans le sou, Berlin a décidé d'exiger des contreparties de ses "débiteurs", en les obligeant notamment à mieux contrôler leurs finances publiques. La crise ukrainienne a également encouragé Angela Merkel à jouer le rôle d'intermédiaire entre Kiev et Moscou. Depuis mars, la chancelière a ainsi eu 35 conversations téléphoniques avec Vladimir Poutine. Les bonnes performances économiques de l'Allemagne ont aussi renforcé la crédibilité de l'ancienne physicienne est-allemande qui est de surcroît la plus "ancienne" membre à siéger au Conseil européen. Les problèmes politiques et économiques en France ainsi que la montée inquiétante du FN ont enfin persuadé Berlin de ne plus passer par Paris pour faire entendre sa voix sur la scène internationale.
Pour faire avancer les dossiers qui lui tiennent à coeur, Angela Merkel a également eu l'intelligence de placer des Allemands à des postes-clés au coeur des institutions européennes. La France ne compte ainsi qu'un seul et unique chef de cabinet et un chef de cabinet adjoint dans les cabinets des commissaires de Jean-Claude Juncker, alors que notre voisin compte cinq chefs de cabinet et trois chefs de cabinet adjoints, dont le chef de cabinet du président de la Commission. Le secrétaire général du Parlement européen, le directeur du mécanisme européen de stabilité, le secrétaire général du Conseil de l'Union européenne, le patron de la Banque européenne d'investissement et le président du Parlement européen sont également tous allemands, tout comme les chefs de trois groupes politiques du Parlement européen, dont le plus important, celui des conservateurs du Parti populaire européen. L'aigle a déployé ses ailes...
lepoint.fr
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Pas de russes en Ukraine hein:
Минобороны: в Украине не было российских солдат, но семьи погибших на учениях получат по 5 миллионой рублей
(Ministère de la Défense: l'Ukraine n'avait pas de soldats russes, mais les familles des victimes sur les enseignements recevra 5 millions de roubles)
Минобороны: в Украине не было российских солдат, но семьи погибших на учениях получат по 5 миллионой рублей
(Ministère de la Défense: l'Ukraine n'avait pas de soldats russes, mais les familles des victimes sur les enseignements recevra 5 millions de roubles)
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Matt a écrit:(Ministère de la Défense: l'Ukraine n'avait pas de soldats russes, mais les familles des victimes sur les enseignements recevra 5 millions de roubles)
C'est une blague ?
Il y a vraiment des gens qui y croient à ça ?
Snafu- Messages : 32
Date d'inscription : 07/11/2014
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Après l'Est de l'Ukraine, la Russie a essayé de s'en prendre à l'Ouest dans les Carpathes selon le même scénario:
Kremlin tried to create a new “people’s republic” in the Carpathians
Russian special services planned to undermine the situation in the Zakarpattia Oblast and implement an anti-Ukrainian scenario through the creation of a so-called “Republic of the Carpathian Ruthenia,” the Press Service of the Security Service of Ukraine (SBU) reported on its website, November 26.
The SBU has uncovered a group of people who, under the direction of Russian intelligence services, were preparing to create another artificial “people’s republic” in the region through the well-tested Kremlin method of the forced “federalization” of Ukraine. The plan called for the seizure of local government offices, military depots, and other strategic targets by the subversive groups, which were supposed to operate under the guise of so-called “local self-defense.”
During searches SBU investigators seized Russian-language documents containing detailed descriptions of anti-government actions and diversions designed to “create a tense situation in the Zakarpattia Oblast.”
The attackers were planning “intimidating acts directed at the representatives of the government, special services, and political and business circles” on specific dates, especially in November.
Documents seized by the SBU reveal that the leader of the group had already appointed himself for the highest position in the so-called pseudo-republic.
“Without any undue modesty,” he had prepared an estimate for more than $9 million to carry out the plans for the violent change of the constitutional government. He expected to receive that amount from the Russian managers of the “project,” the SBU reported.
According to the SBU, this citizen of Ukraine has fled the country and is hiding in Russia. The investigation is ongoing.
Mais:
A cornered rat: Putin starts negotiating for Ukraine
Western sanctions, the fall of oil prices, the rapid devaluation of the ruble and outflow of investments are slowly doing their ‘good deed’ for Russia. Even though Putin continues to spew nonsense that “because of the fall of the ruble, budget revenues are not only not suffering, they have even increased,” he understands that he screwed up royally. While before we heard the Kremlin’s cries about the threat of fascism, the importance of defending “compatriots” in Ukraine from the “brown Kyiv junta,” federalization and the “inefficacy” of Western sanctions; the negative tendencies in the Russian economy made the Kremlin regime honest regarding its position on Ukraine.
As a background for internal use, there is still the broken record about Ukrainian “Nazism,” however the Kremlin started launching completely different messages to the outside world, in a quite earnest and even inappropriate form. The main conditions the Kremlin now poses is abolishing the sanctions against Russia and an international guarantee that Ukraine would not become a NATO member in exchange for the Kremlin’s cessation of further confrontation of the Ukrainian situation. The statements by Russian politicians regarding the necessity to adhere to the Minsk Accords and initiate dialogue between Kyiv and the rest of Ukrainian regions (i.e. federalization) lie in the plain of “non-membership” of our country in European-Atlantic structures.
Comme l'article est long, je vous invite à le lire avec le lien en titre.
Kremlin tried to create a new “people’s republic” in the Carpathians
Russian special services planned to undermine the situation in the Zakarpattia Oblast and implement an anti-Ukrainian scenario through the creation of a so-called “Republic of the Carpathian Ruthenia,” the Press Service of the Security Service of Ukraine (SBU) reported on its website, November 26.
The SBU has uncovered a group of people who, under the direction of Russian intelligence services, were preparing to create another artificial “people’s republic” in the region through the well-tested Kremlin method of the forced “federalization” of Ukraine. The plan called for the seizure of local government offices, military depots, and other strategic targets by the subversive groups, which were supposed to operate under the guise of so-called “local self-defense.”
During searches SBU investigators seized Russian-language documents containing detailed descriptions of anti-government actions and diversions designed to “create a tense situation in the Zakarpattia Oblast.”
The attackers were planning “intimidating acts directed at the representatives of the government, special services, and political and business circles” on specific dates, especially in November.
Documents seized by the SBU reveal that the leader of the group had already appointed himself for the highest position in the so-called pseudo-republic.
“Without any undue modesty,” he had prepared an estimate for more than $9 million to carry out the plans for the violent change of the constitutional government. He expected to receive that amount from the Russian managers of the “project,” the SBU reported.
According to the SBU, this citizen of Ukraine has fled the country and is hiding in Russia. The investigation is ongoing.
Mais:
A cornered rat: Putin starts negotiating for Ukraine
Western sanctions, the fall of oil prices, the rapid devaluation of the ruble and outflow of investments are slowly doing their ‘good deed’ for Russia. Even though Putin continues to spew nonsense that “because of the fall of the ruble, budget revenues are not only not suffering, they have even increased,” he understands that he screwed up royally. While before we heard the Kremlin’s cries about the threat of fascism, the importance of defending “compatriots” in Ukraine from the “brown Kyiv junta,” federalization and the “inefficacy” of Western sanctions; the negative tendencies in the Russian economy made the Kremlin regime honest regarding its position on Ukraine.
As a background for internal use, there is still the broken record about Ukrainian “Nazism,” however the Kremlin started launching completely different messages to the outside world, in a quite earnest and even inappropriate form. The main conditions the Kremlin now poses is abolishing the sanctions against Russia and an international guarantee that Ukraine would not become a NATO member in exchange for the Kremlin’s cessation of further confrontation of the Ukrainian situation. The statements by Russian politicians regarding the necessity to adhere to the Minsk Accords and initiate dialogue between Kyiv and the rest of Ukrainian regions (i.e. federalization) lie in the plain of “non-membership” of our country in European-Atlantic structures.
Comme l'article est long, je vous invite à le lire avec le lien en titre.
Re: L'invasion Russe en Ukraine
This was #Donetsk before #Putin's goons invaded it with tanks. November 24, 2013 - first days of Donetsk #Euromaidan
No comment . . .
No comment . . .
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Là où ça vaut 10:
Les russes envoient (encore) un convoi contenant "The convoy will have loaded the following things: glass, roofing materials, food products, sugar and canned goods."
Et les russes demandent aux zozos de ne pas en voler le contenu:
Росія вимагає від бойовиків припинити розкрадання "гуманітарки" на Донбасі
A propos des tirs sur l'OSCE, ce sont les zozos (bien sûr):
Attack on OSCE Monitors in Eastern Ukraine
Juste pour rire:
Sanctions et antisanctions:
Les russes envoient (encore) un convoi contenant "The convoy will have loaded the following things: glass, roofing materials, food products, sugar and canned goods."
Et les russes demandent aux zozos de ne pas en voler le contenu:
Росія вимагає від бойовиків припинити розкрадання "гуманітарки" на Донбасі
A propos des tirs sur l'OSCE, ce sont les zozos (bien sûr):
Attack on OSCE Monitors in Eastern Ukraine
Juste pour rire:
Sanctions et antisanctions:
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