L'invasion Russe en Ukraine
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Re: L'invasion Russe en Ukraine
D'accord, mais cela est négociable.tarkan a écrit:ce sont TOUS les postes frontières qu'il faut contrôler, en particulier celui d'Izvarino.
Thuramir- Messages : 3676
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Jivan, Poutine dira, sans sourciller, que ces armes ont été achetées au magasin du coin, comme il l'a dit pour ce qui s'est passé en Crimée.
Vrai qu'idéalement, il faudrait contrôler toute la frontière. Mais pas facile en ayant de face les zozos et les russes dans le dos.
Sachant que ça canarde des deux côtés . . .
Vrai qu'idéalement, il faudrait contrôler toute la frontière. Mais pas facile en ayant de face les zozos et les russes dans le dos.
Sachant que ça canarde des deux côtés . . .
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Quelques articles pour résumer la situation (et elle est loin d'être simple):
UKRAINE. "Depuis le crash, il est compliqué pour Moscou d'aider les insurgés"
nouvelobs.com
Et d'autant plus que:
La main de Moscou laisse des empreintes
lanouvellerepublique.fr
Et bien sûr, comme l'aide est moins forte:
L’armée ukrainienne engrange les succès militaires dans l’est
rfi.fr
Et résultat, enfin le machin se bouge:
Ukraine: l'UE durcit ses sanctions contre Moscou, combats intenses dans l'Est
lecourrierpicard.fr
Et comme l'Ukraine ne suffisait pas, la Russie s'est une nouvelle fois mise les USA à dos:
La tension montre entre les USA et la Russie: Moscou teste un missile de croisière
rtl.be
Pour résumer, du côté des zozos, ça va mal et la Russie n'a plus le vent en poupe.
UKRAINE. "Depuis le crash, il est compliqué pour Moscou d'aider les insurgés"
nouvelobs.com
Et d'autant plus que:
La main de Moscou laisse des empreintes
lanouvellerepublique.fr
Et bien sûr, comme l'aide est moins forte:
L’armée ukrainienne engrange les succès militaires dans l’est
rfi.fr
Et résultat, enfin le machin se bouge:
Ukraine: l'UE durcit ses sanctions contre Moscou, combats intenses dans l'Est
lecourrierpicard.fr
Et comme l'Ukraine ne suffisait pas, la Russie s'est une nouvelle fois mise les USA à dos:
La tension montre entre les USA et la Russie: Moscou teste un missile de croisière
rtl.be
Pour résumer, du côté des zozos, ça va mal et la Russie n'a plus le vent en poupe.
Re: L'invasion Russe en Ukraine
3 cartes de la situation sur le terrain:
Ca vaut ce que ça vaut.
Et une interactive:
liveuamap.com
Ca vaut ce que ça vaut.
Et une interactive:
liveuamap.com
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Encore un article intérressant:
La guerre jusqu’à la lie
Où s’arrêtera la guerre dans l’est de l’Ukraine? Rien ne semble pouvoir calmer l’ardeur des armes, tant que Moscou fait la sourde oreille aux pressions internationales.
C’est le mauvais feuilleton de l’été. Une succession d’événements dramatiques et invraisemblables qui nous plongent dans une des périodes les plus sombres de l’histoire européenne récente. Des événements que l’on pourrait presque qualifier de rocambolesques, tant ils semblent échapper à la plus élémentaire logique, s’ils n’étaient si terrifiants pour les personnes concernées.
En Ukraine, donc, le scénario du pire se poursuit. Hier, les experts néerlandais et australiens travaillant sur le site où s’est écrasé le Boeing malaisien ont dû quitter les lieux en raison des combats qui opposent les séparatistes pro-russes et les forces gouvernementales ukrainiennes. Armes lourdes à l’appui, de part et d’autre.
Rien ne semble arrêter les indépendantistes soutenus par Moscou. Ni les conséquences du tir de missile sur un avion civil, ni les pressions internationales, ni les déclarations de la commissaire de l’ONU annonçant que la destruction du vol MH17 pourrait être assimilée à un crime de guerre. De toute évidence, les notions de droit ne sont pas de nature à brider les ardeurs ou à causer des scrupules chez les insurgés qui se sentent toujours protégés par le Kremlin. Et ce ne sont pas davantage les informations livrées par les boîtes noires, selon lesquelles une forte explosion aurait causé une décompression dans l’appareil qui ramèneront les auteurs de ce tir de missile à la raison…
Non, tout indique que dans la région de Donetsk, les combats ne s’arrêteront qu’avec le tir de la dernière cartouche, du dernier missile, jusqu’à la comparution future des leaders devant le Tribunal pénal de La Haye. Comme ce fut le cas dans le passé avec la Serbie, également soutenue par Moscou.
Et pendant ce temps, la Russie interdit les importations de fruits et légumes ukrainiens, sous prétexte de problèmes sanitaires. Lorsque la guerre est en cours et que d’importants intérêts géostratégiques sont en jeu, il n’y a vraiment aucune raison de se priver du premier argument venu, même de la plus grande mauvaise foi.
lavenir.net
La guerre jusqu’à la lie
Où s’arrêtera la guerre dans l’est de l’Ukraine? Rien ne semble pouvoir calmer l’ardeur des armes, tant que Moscou fait la sourde oreille aux pressions internationales.
C’est le mauvais feuilleton de l’été. Une succession d’événements dramatiques et invraisemblables qui nous plongent dans une des périodes les plus sombres de l’histoire européenne récente. Des événements que l’on pourrait presque qualifier de rocambolesques, tant ils semblent échapper à la plus élémentaire logique, s’ils n’étaient si terrifiants pour les personnes concernées.
En Ukraine, donc, le scénario du pire se poursuit. Hier, les experts néerlandais et australiens travaillant sur le site où s’est écrasé le Boeing malaisien ont dû quitter les lieux en raison des combats qui opposent les séparatistes pro-russes et les forces gouvernementales ukrainiennes. Armes lourdes à l’appui, de part et d’autre.
Rien ne semble arrêter les indépendantistes soutenus par Moscou. Ni les conséquences du tir de missile sur un avion civil, ni les pressions internationales, ni les déclarations de la commissaire de l’ONU annonçant que la destruction du vol MH17 pourrait être assimilée à un crime de guerre. De toute évidence, les notions de droit ne sont pas de nature à brider les ardeurs ou à causer des scrupules chez les insurgés qui se sentent toujours protégés par le Kremlin. Et ce ne sont pas davantage les informations livrées par les boîtes noires, selon lesquelles une forte explosion aurait causé une décompression dans l’appareil qui ramèneront les auteurs de ce tir de missile à la raison…
Non, tout indique que dans la région de Donetsk, les combats ne s’arrêteront qu’avec le tir de la dernière cartouche, du dernier missile, jusqu’à la comparution future des leaders devant le Tribunal pénal de La Haye. Comme ce fut le cas dans le passé avec la Serbie, également soutenue par Moscou.
Et pendant ce temps, la Russie interdit les importations de fruits et légumes ukrainiens, sous prétexte de problèmes sanitaires. Lorsque la guerre est en cours et que d’importants intérêts géostratégiques sont en jeu, il n’y a vraiment aucune raison de se priver du premier argument venu, même de la plus grande mauvaise foi.
lavenir.net
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Matt a écrit:Encore un article intérressant:
La guerre jusqu’à la lie
Où s’arrêtera la guerre dans l’est de l’Ukraine? Rien ne semble pouvoir calmer l’ardeur des armes, tant que Moscou fait la sourde oreille aux pressions internationales.
C’est le mauvais feuilleton de l’été. Une succession d’événements dramatiques et invraisemblables qui nous plongent dans une des périodes les plus sombres de l’histoire européenne récente. Des événements que l’on pourrait presque qualifier de rocambolesques, tant ils semblent échapper à la plus élémentaire logique, s’ils n’étaient si terrifiants pour les personnes concernées.
En Ukraine, donc, le scénario du pire se poursuit. Hier, les experts néerlandais et australiens travaillant sur le site où s’est écrasé le Boeing malaisien ont dû quitter les lieux en raison des combats qui opposent les séparatistes pro-russes et les forces gouvernementales ukrainiennes. Armes lourdes à l’appui, de part et d’autre.
Rien ne semble arrêter les indépendantistes soutenus par Moscou. Ni les conséquences du tir de missile sur un avion civil, ni les pressions internationales, ni les déclarations de la commissaire de l’ONU annonçant que la destruction du vol MH17 pourrait être assimilée à un crime de guerre. De toute évidence, les notions de droit ne sont pas de nature à brider les ardeurs ou à causer des scrupules chez les insurgés qui se sentent toujours protégés par le Kremlin. Et ce ne sont pas davantage les informations livrées par les boîtes noires, selon lesquelles une forte explosion aurait causé une décompression dans l’appareil qui ramèneront les auteurs de ce tir de missile à la raison…
Non, tout indique que dans la région de Donetsk, les combats ne s’arrêteront qu’avec le tir de la dernière cartouche, du dernier missile, jusqu’à la comparution future des leaders devant le Tribunal pénal de La Haye. Comme ce fut le cas dans le passé avec la Serbie, également soutenue par Moscou.
Et pendant ce temps, la Russie interdit les importations de fruits et légumes ukrainiens, sous prétexte de problèmes sanitaires. Lorsque la guerre est en cours et que d’importants intérêts géostratégiques sont en jeu, il n’y a vraiment aucune raison de se priver du premier argument venu, même de la plus grande mauvaise foi.
lavenir.net
Un peu pessimiste le journaliste... Il ne suit pas l'actualité ? Faudrait lui glisser de consulter ton site et celui d'Orkenny, c'est bien plus fiable que les "conneries" qu'il peut lire ailleurs
Bon, je suis persuadé que la fin est proche. Il existe une dynamique de la victoire comme une dynamique de la défaite et les succès énormes réalisés par Kiev ces derniers jours vont hâter la chute des séparatistes. En plus ce ne sont pas des foudres de guerre. Rien à voir avec l'Armée Soviétique de Stalingrad. C'est vrai qu'en plus il n'y a plus de "commissaires politiques" un flingue à la main pour abattre le premier qui recule...
Ca va tourner en eau de boudin cette affaire. Dès qu'ils auront enfin compris que "les carottes sont cuites" ils n'auront qu'une hâte : s'habiller en civil pour essayer de rejoindre la Russie sans se faire chopper
Krispoluk- Messages : 9785
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Et sans se faire chopper . . . en Russie aussi.
Pas mal d'entres eux seront mal accueilli.
Pas mal d'entres eux seront mal accueilli.
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Premiers résultats des négociations de l'UE de ce matin:
(le reste suivra, les négociations de cet après-midi concernent le volet économique)
Ukraine: l'UE durcit ses sanctions contre Moscou, 22 civils tués
L'Union européenne passe à la vitesse supérieure dans les sanctions visant la Russie, accusée de soutenir la rébellion ukrainienne. Des hommes d'affaires russes de premier plan voient leurs avoirs bloqués. Des tirs d'artillerie ont été entendus dans le centre de Donetsk. Au moins 22 civils ont été tués dans des combats à l'arme lourde entre forces ukrainiennes et séparatistes au cours des dernières 24 heures dans l'est de l'Ukraine, au moment où les Européens renforcent leurs sanctions contre la Russie.
Un homme armé du bataillon de défense Lougansk-1 contrôle les véhicules à un barrage près de Lisichansk, le 28 juillet 2014
GENYA SAVILOV
L'Union européenne a décidé mardi de bloquer les avoirs de quatre hommes d'affaires russes proche du président Poutine accusé de bénéficier de l'annexion de la Crimée ou de soutenir activement la déstabilisation de l'Est de l'Ukraine, a appris l'AFP de source diplomatique.
La décision a été prise dans la matinée au cours d'une réunion des ambassadeurs des 28 pays membres auprès de l'UE. L'UE a également décidé de sanctionner quatre entités dont une banque sous les mêmes accusations.
Les identités des personnes et des entités sanctionnées seront publiées mercredi au Journal Officiel de l'UE. La liste noire de l'UE comprend déjà 87 personnes, dont une bonne partie des membres du conseil national de sécurité russe, et 20 entités interdites de visas et dont les avoirs dans l'UE sont gelés.
L'objectif est de bloquer les investissements dans certains secteurs en Crimée et à Sébastopol, notamment la construction, les transports, les télécommunications et l'énergie, a précisé une autre source européenne proche des négociations.
Les ambassadeurs ont poursuivi leurs travaux mardi après midi avec l'examen de sanctions économiques d'envergure concernant l'accès aux marchés financiers, les ventes d'armes, les technologies sensibles dans le domaine de l'énergie et des biens à double usage militaire et civil.
Les experts n'ont pas accès au lieu du crash
Le groupe d'experts néerlandais et australiens "n'a pas quitté Donetsk pour le site du crash. Il y a actuellement trop de combats sur et autour de la route y conduisant", a indiqué le ministère dans un communiqué.
Ces scientifiques et policiers avaient déjà été contraints lundi de faire demi-tour vers Donetsk alors qu'ils tentaient de rejoindre l'endroit où se trouvent les débris du Boeing de la Malaysia Airlines, dont la destruction en vol le 17 juillet a fait 298 morts.
L'avion malaisien qui assurait la liaison Amsterdam-Kuala Lumpur a été abattu le 17 juillet, faisant 298 morts. Kiev et les Occidentaux ont presque ouvertement accusé les séparatistes et leurs protecteurs au Kremlin d'être responsables du drame. Igor Strelkov a martelé lundi que ni lui ni ses subordonnés n'avaient abattu le Boeing et que les rebelles ne disposaient pas des missiles Bouk montrés du doigt.
Les forces loyalistes ont pris le contrôle d'une partie de la zone où le Boeing de la Malaysia Airlines s'est écrasé, suscitant aussitôt les foudres de Moscou, l'ambassadeur russe aux Nations unies Vitali Tchourkine accusant Kiev de violer la résolution 2166 du Conseil de sécurité. L'ONU a réclamé une enquête "rapide, minutieuse, efficace et indépendante" sur cette tragédie, qui selon elle s'apparente à "un crime de guerre".
L'intensification des combats rend encore plus difficile l'arrivée d'experts étrangers sur les lieux du drame, où il reste toujours des débris de l'appareil ainsi que des fragments de corps. "Les chances ne sont pas très grandes" que toutes les dépouilles et tous les effets personnels retournent aux Pays-Bas, a admis lundi le chef de la police néerlandaise Gerard Bouman.
Lundi matin, un convoi d'une vingtaine de voitures y compris celles de la presse escortées par les rebelles avait quitté dans la matinée Donetsk en direction de cette zone située à une soixantaine de kilomètres plus à l'est. Mais les policiers et les experts médicaux-légaux ont finalement fait demi-tour, des explosions ayant été entendues non loin d'eux. Dimanche, les experts avaient déjà renoncé à aller sur place.
Le Premier ministre néerlandais, Mark Rutte, a appelé le président ukrainien, Petro Porochenko, pour demander l'arrêt des combats près du site, qui constituent, selon Moscou, une violation de la résolution votée à l'ONU après le drame qui a fait 298 morts. "Les militaires ukrainiens ne mènent aucun combat sur la zone de la catastrophe. Cette zone est bloquée par les terroristes", s'est défendu un porte-parole militaire ukrainien, Andriï Lyssenko.
Combats dans l'est
Sur le plan militaire, Kiev a affirmé que ses soldats étaient entrés à Chakhtarsk et
à Torez, à l'est de Donetsk, près de l'endroit de la catastrophe, et avaient repris la colline de Savour-Moguyla, tout près de là. Les rebelles ont démenti la prise de Savour-Moguyla, mais le numéro deux du gouvernement séparatiste de la République autoproclamée de Donetsk, Vladimir Antioufeev, a reconnu que "les Ukrainiens avaient pris possession d'une partie du territoire du crash".
Au nord de la région de Donetsk, les forces ukrainiennes ont également indiqué avoir reconquis la ville de Debaltseve et se préparer en vue de "libérer" le bastion rebelle de Gorlivka, où des tirs de lance-roquettes Grad ont provoqué dimanche la mort de 14 civils, dont deux enfants.
Des tirs ont encore retentit mardi à Donetsk. Le corps d'un homme gisant dans les décombres derrière un immeuble résidentiel de 10 étages fortement endommagé près du centre ville a été aperçu.
De violents affrontements ont aussi eu lieu à Gorlivka, l'un des fiefs des insurgés situé à 45 kilomètres de Donetsk. Des tirs d'artillerie y ont fait 17 morts, tous des civils, en 24 heures, qui s'ajoutent aux 13 morts de dimanche. Des maisons dans le centre-ville ont été subi des dégâts, touchées par des obus ainsi que des bâtiments administratifs. Plusieurs obus sont tombés sur
un hôpital et ont notamment endommagé la maternité.
A Lougansk, autre bastion rebelle, les autorités locales ont dénombré cinq morts parmi les civils et Kiev a évoqué des tirs aux lance-roquettes contre l'aéroport.
La Russie a une nouvelle fois accusé mardi les forces ukrainiennes d'avoir procédé à des tirs de fusils d'assaut et de lance-grenades en direction du territoire russe. "Nous demandons officiellement à Kiev d'arrêter de tirer surle territoire souverain de la Fédération de Russie", a indiqué le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.
La Russie avait déjà accusé mi-juillet Kiev d'avoir tiré des obus sur son territoire, des accusations démenties par les autorités ukrainiennes, faisant monter la tension entre les deux pays.
1110 morts
Selon l'ONU, qui a dénoncé l'utilisation d'armes lourdes des deux côtés, les combats ont fait plus de 1110 morts en plus de trois mois. Signe de l'intensité des combats lundi, les forces ukrainiennes ont accusé les séparatistes d'avoir tiré des roquettes Grad sur des habitations de Chakhtarsk. Le chef militaire des rebelles, Igor Strelkov, a de son côté évoqué la présence de plus de 200 blindés ukrainiens et évoqué "30 morts et blessés" du côté des séparatistes.
Par ailleurs, des observateurs de l'OSCE sont attendus mardi en Russie dans la région de Rostov (sud-ouest), où ils doivent se rendre à deux postes frontière avec l'Ukraine soupçonnés de servir de point de passage pour des armes livrées aux rebelles prorusses.
rtbf.be
(le reste suivra, les négociations de cet après-midi concernent le volet économique)
Ukraine: l'UE durcit ses sanctions contre Moscou, 22 civils tués
L'Union européenne passe à la vitesse supérieure dans les sanctions visant la Russie, accusée de soutenir la rébellion ukrainienne. Des hommes d'affaires russes de premier plan voient leurs avoirs bloqués. Des tirs d'artillerie ont été entendus dans le centre de Donetsk. Au moins 22 civils ont été tués dans des combats à l'arme lourde entre forces ukrainiennes et séparatistes au cours des dernières 24 heures dans l'est de l'Ukraine, au moment où les Européens renforcent leurs sanctions contre la Russie.
Un homme armé du bataillon de défense Lougansk-1 contrôle les véhicules à un barrage près de Lisichansk, le 28 juillet 2014
GENYA SAVILOV
L'Union européenne a décidé mardi de bloquer les avoirs de quatre hommes d'affaires russes proche du président Poutine accusé de bénéficier de l'annexion de la Crimée ou de soutenir activement la déstabilisation de l'Est de l'Ukraine, a appris l'AFP de source diplomatique.
La décision a été prise dans la matinée au cours d'une réunion des ambassadeurs des 28 pays membres auprès de l'UE. L'UE a également décidé de sanctionner quatre entités dont une banque sous les mêmes accusations.
Les identités des personnes et des entités sanctionnées seront publiées mercredi au Journal Officiel de l'UE. La liste noire de l'UE comprend déjà 87 personnes, dont une bonne partie des membres du conseil national de sécurité russe, et 20 entités interdites de visas et dont les avoirs dans l'UE sont gelés.
L'objectif est de bloquer les investissements dans certains secteurs en Crimée et à Sébastopol, notamment la construction, les transports, les télécommunications et l'énergie, a précisé une autre source européenne proche des négociations.
Les ambassadeurs ont poursuivi leurs travaux mardi après midi avec l'examen de sanctions économiques d'envergure concernant l'accès aux marchés financiers, les ventes d'armes, les technologies sensibles dans le domaine de l'énergie et des biens à double usage militaire et civil.
Les experts n'ont pas accès au lieu du crash
Le groupe d'experts néerlandais et australiens "n'a pas quitté Donetsk pour le site du crash. Il y a actuellement trop de combats sur et autour de la route y conduisant", a indiqué le ministère dans un communiqué.
Ces scientifiques et policiers avaient déjà été contraints lundi de faire demi-tour vers Donetsk alors qu'ils tentaient de rejoindre l'endroit où se trouvent les débris du Boeing de la Malaysia Airlines, dont la destruction en vol le 17 juillet a fait 298 morts.
L'avion malaisien qui assurait la liaison Amsterdam-Kuala Lumpur a été abattu le 17 juillet, faisant 298 morts. Kiev et les Occidentaux ont presque ouvertement accusé les séparatistes et leurs protecteurs au Kremlin d'être responsables du drame. Igor Strelkov a martelé lundi que ni lui ni ses subordonnés n'avaient abattu le Boeing et que les rebelles ne disposaient pas des missiles Bouk montrés du doigt.
Les forces loyalistes ont pris le contrôle d'une partie de la zone où le Boeing de la Malaysia Airlines s'est écrasé, suscitant aussitôt les foudres de Moscou, l'ambassadeur russe aux Nations unies Vitali Tchourkine accusant Kiev de violer la résolution 2166 du Conseil de sécurité. L'ONU a réclamé une enquête "rapide, minutieuse, efficace et indépendante" sur cette tragédie, qui selon elle s'apparente à "un crime de guerre".
L'intensification des combats rend encore plus difficile l'arrivée d'experts étrangers sur les lieux du drame, où il reste toujours des débris de l'appareil ainsi que des fragments de corps. "Les chances ne sont pas très grandes" que toutes les dépouilles et tous les effets personnels retournent aux Pays-Bas, a admis lundi le chef de la police néerlandaise Gerard Bouman.
Lundi matin, un convoi d'une vingtaine de voitures y compris celles de la presse escortées par les rebelles avait quitté dans la matinée Donetsk en direction de cette zone située à une soixantaine de kilomètres plus à l'est. Mais les policiers et les experts médicaux-légaux ont finalement fait demi-tour, des explosions ayant été entendues non loin d'eux. Dimanche, les experts avaient déjà renoncé à aller sur place.
Le Premier ministre néerlandais, Mark Rutte, a appelé le président ukrainien, Petro Porochenko, pour demander l'arrêt des combats près du site, qui constituent, selon Moscou, une violation de la résolution votée à l'ONU après le drame qui a fait 298 morts. "Les militaires ukrainiens ne mènent aucun combat sur la zone de la catastrophe. Cette zone est bloquée par les terroristes", s'est défendu un porte-parole militaire ukrainien, Andriï Lyssenko.
Combats dans l'est
Sur le plan militaire, Kiev a affirmé que ses soldats étaient entrés à Chakhtarsk et
à Torez, à l'est de Donetsk, près de l'endroit de la catastrophe, et avaient repris la colline de Savour-Moguyla, tout près de là. Les rebelles ont démenti la prise de Savour-Moguyla, mais le numéro deux du gouvernement séparatiste de la République autoproclamée de Donetsk, Vladimir Antioufeev, a reconnu que "les Ukrainiens avaient pris possession d'une partie du territoire du crash".
Au nord de la région de Donetsk, les forces ukrainiennes ont également indiqué avoir reconquis la ville de Debaltseve et se préparer en vue de "libérer" le bastion rebelle de Gorlivka, où des tirs de lance-roquettes Grad ont provoqué dimanche la mort de 14 civils, dont deux enfants.
Des tirs ont encore retentit mardi à Donetsk. Le corps d'un homme gisant dans les décombres derrière un immeuble résidentiel de 10 étages fortement endommagé près du centre ville a été aperçu.
De violents affrontements ont aussi eu lieu à Gorlivka, l'un des fiefs des insurgés situé à 45 kilomètres de Donetsk. Des tirs d'artillerie y ont fait 17 morts, tous des civils, en 24 heures, qui s'ajoutent aux 13 morts de dimanche. Des maisons dans le centre-ville ont été subi des dégâts, touchées par des obus ainsi que des bâtiments administratifs. Plusieurs obus sont tombés sur
un hôpital et ont notamment endommagé la maternité.
A Lougansk, autre bastion rebelle, les autorités locales ont dénombré cinq morts parmi les civils et Kiev a évoqué des tirs aux lance-roquettes contre l'aéroport.
La Russie a une nouvelle fois accusé mardi les forces ukrainiennes d'avoir procédé à des tirs de fusils d'assaut et de lance-grenades en direction du territoire russe. "Nous demandons officiellement à Kiev d'arrêter de tirer surle territoire souverain de la Fédération de Russie", a indiqué le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.
La Russie avait déjà accusé mi-juillet Kiev d'avoir tiré des obus sur son territoire, des accusations démenties par les autorités ukrainiennes, faisant monter la tension entre les deux pays.
1110 morts
Selon l'ONU, qui a dénoncé l'utilisation d'armes lourdes des deux côtés, les combats ont fait plus de 1110 morts en plus de trois mois. Signe de l'intensité des combats lundi, les forces ukrainiennes ont accusé les séparatistes d'avoir tiré des roquettes Grad sur des habitations de Chakhtarsk. Le chef militaire des rebelles, Igor Strelkov, a de son côté évoqué la présence de plus de 200 blindés ukrainiens et évoqué "30 morts et blessés" du côté des séparatistes.
Par ailleurs, des observateurs de l'OSCE sont attendus mardi en Russie dans la région de Rostov (sud-ouest), où ils doivent se rendre à deux postes frontière avec l'Ukraine soupçonnés de servir de point de passage pour des armes livrées aux rebelles prorusses.
rtbf.be
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Résultat des négociations de l'après-midi:
Ukraine: l'UE frappe l'économie russe, offensive loyaliste dans l'Est
Bruxelles (AFP) - Les Européens ont décidé mardi de frapper l'économie russe pour contraindre le président Vladimir Poutine d'arrêter de soutenir les forces séparatistes prorusses dans l'est de l'Ukraine où les forces loyalistes sont à l'offensive et regagnent du terrain.
Réunis à Bruxelles, les ambassadeurs des 28 ont adopté une série de mesures pour bloquer l'accès des marchés financiers européens aux firmes et aux banques russes et interdire toute nouvelle ventes d'armes et de technologies sensibles dans le domaine de l'énergie et des biens à double usage militaire et civil à la Russie.
Ils ont également décidé de bloquer les avoirs de quatre hommes d'affaires russes proche du président Poutine, accusés de bénéficier de l'annexion de la Crimée ou de soutenir activement la déstabilisation de l'est de l'Ukraine.
Les Etats-Unis préparent également de nouvelles sanctions contre la Russie, a annoncé mardi le secrétaire d'Etat John Kerry.
L'objectif de ces sanctions a été confirmé lundi par les dirigeants français François Hollande, américain Barack Obama, allemand Angela Merkel, britannique David Cameron et italien Matteo Renzi: faire pression sur le président russe pour l'amener à faire fermer la frontière russo-ukrainienne afin d'empêcher les fournitures d'armements aux séparatistes en Ukraine et les contraindre à négocier avec le pouvoir à Kiev.
C'est la première fois que l'UE s'attaque aux milieux d'affaires proches du pouvoir en Russie et c'est un signal très clair de sa détermination à réagir pour sanctionner les opérations de déstabilisation en Ukraine, a-t-on souligné.
L'UE a durci sa position depuis le crash le 17 juillet d'un avion malaisien dans l'est de l'Ukraine, attribué à un tir de missile par les séparatistes prorusses. Ce drame, qui a coûté la vie à 298 personnes dont près de 200 Néerlandais, a décidé les Européens à frapper l'économie russe, alors qu'ils étaient divisés à ce sujet.
- Le site de l'accident d'avion inaccessible -
Les forces ukrainiennes ont intensifié leur offensive ces derniers jours et ont revendiqué mardi de nouvelles prises, notamment le village de Stepanivka, à environ 80 kilomètres à l'est de Donetsk. Cette zone située entre la frontière russe et le site, où le Boeing malaisien s'est écrasé, est le théâtre de violents combats ces derniers jours.
Pour le troisième jour consécutif, les experts néerlandais et australiens ont renoncé mardi à se rendre sur les lieux de l'accident où demeurent débris et dépouilles, chaque jour qui passe rendant l'enquête sur la catastrophe aérienne plus compliquée.
Le Premier ministre néerlandais, Mark Rutte, a appelé le président ukrainien, Petro Porochenko, pour demander l'arrêt des combats près du site, qui constituent, selon Moscou, une violation de la résolution votée à l'ONU après le drame du vol MH17.
"Les militaires ukrainiens ne mènent aucun combat sur la zone de la catastrophe. Cette zone est bloquée par les terroristes", s'est défendu un porte-parole militaire ukrainien, Andriï Lyssenko.
Il a cependant ajouté que les forces ukrainiennes faisaient "tout leur possible pour libérer cette zone" et a indiqué que dix militaires ukrainiens avaient péri au cours des dernières 24 heures.
Côté russe, des observateurs de l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe) devaient se rendre mardi à deux postes frontière avec l'Ukraine soupçonnés de servir de point de passage pour des armes.
- Risques de représailles pour l'UE -
"Les dirigeants européens sont conscients des risques de représailles de la part du pouvoir en Russie, mais ils ont fait les arbitrages après un acte impardonnable et la manière dont il a été géré par le président Poutine", a affirmé à l'AFP une source proche des négociations.
Les tensions apparues depuis l'accident de l'avion malaisien ont déjà ébranlé les marchés financiers russes, qui s'étaient péniblement remis des fuites de capitaux ayant suivi l'annexion de la Crimée. Malgré la hausse des taux surprise annoncée vendredi par la banque centrale russe pour calmer la tempête, le rouble avait chuté à ses plus bas niveaux depuis deux mois mardi face à l'euro.
nouvelobs.com
Ukraine: l'UE frappe l'économie russe, offensive loyaliste dans l'Est
Bruxelles (AFP) - Les Européens ont décidé mardi de frapper l'économie russe pour contraindre le président Vladimir Poutine d'arrêter de soutenir les forces séparatistes prorusses dans l'est de l'Ukraine où les forces loyalistes sont à l'offensive et regagnent du terrain.
Réunis à Bruxelles, les ambassadeurs des 28 ont adopté une série de mesures pour bloquer l'accès des marchés financiers européens aux firmes et aux banques russes et interdire toute nouvelle ventes d'armes et de technologies sensibles dans le domaine de l'énergie et des biens à double usage militaire et civil à la Russie.
Ils ont également décidé de bloquer les avoirs de quatre hommes d'affaires russes proche du président Poutine, accusés de bénéficier de l'annexion de la Crimée ou de soutenir activement la déstabilisation de l'est de l'Ukraine.
Les Etats-Unis préparent également de nouvelles sanctions contre la Russie, a annoncé mardi le secrétaire d'Etat John Kerry.
L'objectif de ces sanctions a été confirmé lundi par les dirigeants français François Hollande, américain Barack Obama, allemand Angela Merkel, britannique David Cameron et italien Matteo Renzi: faire pression sur le président russe pour l'amener à faire fermer la frontière russo-ukrainienne afin d'empêcher les fournitures d'armements aux séparatistes en Ukraine et les contraindre à négocier avec le pouvoir à Kiev.
C'est la première fois que l'UE s'attaque aux milieux d'affaires proches du pouvoir en Russie et c'est un signal très clair de sa détermination à réagir pour sanctionner les opérations de déstabilisation en Ukraine, a-t-on souligné.
L'UE a durci sa position depuis le crash le 17 juillet d'un avion malaisien dans l'est de l'Ukraine, attribué à un tir de missile par les séparatistes prorusses. Ce drame, qui a coûté la vie à 298 personnes dont près de 200 Néerlandais, a décidé les Européens à frapper l'économie russe, alors qu'ils étaient divisés à ce sujet.
- Le site de l'accident d'avion inaccessible -
Les forces ukrainiennes ont intensifié leur offensive ces derniers jours et ont revendiqué mardi de nouvelles prises, notamment le village de Stepanivka, à environ 80 kilomètres à l'est de Donetsk. Cette zone située entre la frontière russe et le site, où le Boeing malaisien s'est écrasé, est le théâtre de violents combats ces derniers jours.
Pour le troisième jour consécutif, les experts néerlandais et australiens ont renoncé mardi à se rendre sur les lieux de l'accident où demeurent débris et dépouilles, chaque jour qui passe rendant l'enquête sur la catastrophe aérienne plus compliquée.
Le Premier ministre néerlandais, Mark Rutte, a appelé le président ukrainien, Petro Porochenko, pour demander l'arrêt des combats près du site, qui constituent, selon Moscou, une violation de la résolution votée à l'ONU après le drame du vol MH17.
"Les militaires ukrainiens ne mènent aucun combat sur la zone de la catastrophe. Cette zone est bloquée par les terroristes", s'est défendu un porte-parole militaire ukrainien, Andriï Lyssenko.
Il a cependant ajouté que les forces ukrainiennes faisaient "tout leur possible pour libérer cette zone" et a indiqué que dix militaires ukrainiens avaient péri au cours des dernières 24 heures.
Côté russe, des observateurs de l'OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe) devaient se rendre mardi à deux postes frontière avec l'Ukraine soupçonnés de servir de point de passage pour des armes.
- Risques de représailles pour l'UE -
"Les dirigeants européens sont conscients des risques de représailles de la part du pouvoir en Russie, mais ils ont fait les arbitrages après un acte impardonnable et la manière dont il a été géré par le président Poutine", a affirmé à l'AFP une source proche des négociations.
Les tensions apparues depuis l'accident de l'avion malaisien ont déjà ébranlé les marchés financiers russes, qui s'étaient péniblement remis des fuites de capitaux ayant suivi l'annexion de la Crimée. Malgré la hausse des taux surprise annoncée vendredi par la banque centrale russe pour calmer la tempête, le rouble avait chuté à ses plus bas niveaux depuis deux mois mardi face à l'euro.
nouvelobs.com
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Pour ce qui est des capitaux bloqués des quatre proches de Poutine, vu que les mesures étaient déjà annoncées en projet dans la presse depuis la semaine passée, je doute fort que ces personnes aient gardé des capitaux dans une institution financière de l'UE ou des Etats-Unis jusqu'à ce que les mesures aient été prises. Ces fonds étaient sans doute déjà repartis vers la Suisse, le Liechtenstein ou dans un des paradis fiscaux des Caraïbes.
Thuramir- Messages : 3676
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Poutine fait de plus en plus de bêtises, un avion russe a été repéré hier à Lugansk:
Над Луганськом помічені російські літаки – Селезньов
hromadske.tv
Над Луганськом помічені російські літаки – Селезньов
hromadske.tv
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Un adage qui dit bien cela : "à malin, malin et demi"Thuramir a écrit:Pour ce qui est des capitaux bloqués des quatre proches de Poutine, vu que les mesures étaient déjà annoncées en projet dans la presse depuis la semaine passée, je doute fort que ces personnes aient gardé des capitaux dans une institution financière de l'UE ou des Etats-Unis jusqu'à ce que les mesures aient été prises. Ces fonds étaient sans doute déjà repartis vers la Suisse, le Liechtenstein ou dans un des paradis fiscaux des Caraïbes.
C'est bien pour cela que je dis haut et fort que les "sanctions" annoncées di-ci de-là, ne sont que du bla-bla institutionnel et qui n'ont de portée seulement pour qui veut l'entendre et surtout le croire !
Invité- Invité
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Il faut bien voir la portée de ce qui est fait.
Vova nous dit qu'il n'en a rien à faire des sanctions.
Qu'il se passera des technologies pour développer son armement et autre.
Le hic, c'est que pour se développer, il faut toujours des $$$ ou des €€€.
Si on les lui coupe . . .
Vova nous dit qu'il n'en a rien à faire des sanctions.
Qu'il se passera des technologies pour développer son armement et autre.
Le hic, c'est que pour se développer, il faut toujours des $$$ ou des €€€.
Si on les lui coupe . . .
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Matt a écrit:Poutine fait de plus en plus de bêtises, un avion russe a été repéré hier à Lugansk:
Над Луганськом помічені російські літаки – Селезньов
hromadske.tv
Traduction correcte :
des avions russes et non un avion russe
Cordialement
Svoboda- Messages : 1459
Date d'inscription : 01/01/2010
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Oh chère dame Svoboda, content de te revoir parmis nous.
Désolé, le site en question en anglais parlait d'un avion et renvoyait sur le site de hromadske.tv.
"Seleznyov: Russian jet plane spotted over Luhansk" sans "s".
La Russie continue de bombarder l'Ukraine (et les loyalistes), une vidéo:
Обстріл позицій українських військових на кордоні з РФ
Alors que la Russie continue à masser son armée à la frontière:
U.S. Department of Defense
Les ukrainiens ont de l'humour, on le sait.
Sur une voiture :
"Looking for Killer for Putin"
Désolé, le site en question en anglais parlait d'un avion et renvoyait sur le site de hromadske.tv.
"Seleznyov: Russian jet plane spotted over Luhansk" sans "s".
La Russie continue de bombarder l'Ukraine (et les loyalistes), une vidéo:
Обстріл позицій українських військових на кордоні з РФ
Alors que la Russie continue à masser son armée à la frontière:
U.S. Department of Defense
Les ukrainiens ont de l'humour, on le sait.
Sur une voiture :
"Looking for Killer for Putin"
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Le président propose des pourparlers
Le président ukrainien a proposé mardi de tenir des pourparlers à Minsk avec la Russie sur la situation dans l'est de l'Ukraine et sur l'accès au site du crash du vol MH17.
«Petro Porochenko s'est adressé au président de la Biélorussie Alexandre Loukachenko pour lui proposer de coopérer en vue de tenir une rencontre à Minsk le 31 juillet» entre l'ancien président ukrainien Leonid Koutchma, l'ambassadeur de Russie en Ukraine Mikhaïl Zourabov et d'un représentant de l'OSCE, a annoncé la présidence ukrainienne dans un communiqué.
Ces pourparlers doivent porter sur deux questions: «la libération de tous les otages» des séparatistes et «l'accès des experts internationaux au site du crash de l'avion de Malaysia Airlines», est-il ajouté.
Pour le troisième jour consécutif, les experts internationaux ont renoncé à se rendre sur place en raison des combats.
20min.ch
Ukraine: les combats s’intensifient près de la frontière russe
Les forces gouvernementales reprennent progressivement du terrain et se rapprochent des grandes villes de la région, Donetsk et Lougansk, où sont retranchés les séparatistes. Les combats se sont également intensifiés près de la frontière avec la Russie. Les enquêteurs internationaux ont, de nouveau, décidé de ne pas se rendre sur les lieux du crash du MH17, pour la troisième journée consécutive.
Les forces loyalistes reprennent progressivement du terrain dans l'est de l'Ukraine, où la situation est très tendue. La preuve, les enquêteurs du vol MH17 ont renoncé à nouveau à se rendre sur le site du crash. Les forces ukrainiennes annoncent ce mercredi avoir repris aux séparatistes la ville d'Avdiivka, située à une dizaine de kilomètres au nord de Donetsk. Une victoire revendiquée par l'armée ukrainienne, tandis qu’elle affirme avoir subi de nouvelles attaques depuis la Russie.
L'armée ukrainienne aux prises avec des chars
Les forces loyalistes n'ont pas subi de pertes au cours de la nuit dernière, selon l'état-major ukrainien, qui précise qu'elles ont fait l'objet de plusieurs attaques, dont des tirs, venant du territoire russe. Toujours selon l’état-major ukrainien, les forces armées ukrainiennes ont été visées par une attaque à laquelle ont participé sept tanks, appuyés par d'autres véhicules militaires, qui ont traversé la frontière au sud-est de Donetsk. Par ailleurs, les forces de Kiev ont engagé des combats à Ilovaïsk, à environ 20 kilomètres à l'est de Donetsk.
Ces derniers jours les actions de militaires ukrainiens se sont intensifiées dans la zone qui s'étend de la capitale régionale, Donetsk, à la ville de Lougansk, une autre place forte des rebelles pro-russes.
Moscou sous pression
Moscou est sous le coup de nouvelles sanctions internationales de la part des États-Unis et des pays européens, elles concernent à présent des secteurs clés : l'énergie, l'armement et la finance. Il s'agit de la « phase 3 » des sanctions européennes. Elles visent à frapper l'économie russe et à lancer un signal fort au président Vladimir Poutine accusé de soutenir la rébellion dans l'est de l'Ukraine.
rfi.fr
Les observateurs de l'OSCE commencent leur mission aux postes de contrôle à la frontière russo-ukrainienne
Les observateurs de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) ont commencé à travailler le long de la frontière russo-ukrainienne, a annoncé mercredi Paul Picard, le chef de la mission de l'OSCE.
Le premier groupe d'observateurs, qui comprend quatre personnes chargées de la surveillance et trois personnes chargées du travail administratif, est prêt à surveiller les opérations aux postes de contrôle frontaliers de Gukovo et Donetsk, a précisé M. Picard cité par l'agence de presse Itar-Tass.
"Quatre observateurs travaillent déjà dans la région méridionale de Rostov en Russie. Plusieurs autres équipes de deux observateurs travailleront 24h sur 24 aux postes de contrôle. D'autres surveillants les rejoindront bientôt", a-t-il ajouté.
Au total, 15 membres de l'OSCE arriveront dans la région dans quelques jours et la mission pourrait être prolongée de plus de trois mois, selon M. Picard, qui a ajouté que les agences régionales aident les observateurs pour assurer leur sécurité.
La Russie a invité vendredi dernier les représentants de l'OSCE dans sa zone frontalière avec l'Ukraine pour mener leur enquête sur le flux présumé d'assistance militaire provenant de Russie et à destination des séparatistes pro-Russie en Ukraine.
china.org.cn
On leur montrera quoi? Des champs parce qu'on se gardera bien de montrer les sept tanks qui ont passé la frontière hier.
Des policiers russes seront employés par l'ONU et l'OSCE
Par La Voix de la Russie | Le ministère russe de l'Intérieur se propose de créer sa propre mission auprès de l'ONU et de l'OSCE.
Cela permettra aux forces de l'ordre russes de participer à la mise au point et au suivi des opérations internationales, de les contrôler, de lobbyiser les intérêts de la Russie et de consulter les colllègues étrangers sur des questions juridiques. Les experts pensent que de cette façon les policiers russes pourront aider la communauté internationale à régler la crise en Ukraine.
Cependant le ministère de l'Intérieur de Russie n'a pas encore de fondements juridiques pour envoyer ses employés à l'ONU et à l'OSCE où la Russie n'est représentée que par des diplomates.
la voix de son maître
Histoire de bien cacher la réalité et de "montrer" ce qu'on veut bien sans doute?
Le président ukrainien a proposé mardi de tenir des pourparlers à Minsk avec la Russie sur la situation dans l'est de l'Ukraine et sur l'accès au site du crash du vol MH17.
«Petro Porochenko s'est adressé au président de la Biélorussie Alexandre Loukachenko pour lui proposer de coopérer en vue de tenir une rencontre à Minsk le 31 juillet» entre l'ancien président ukrainien Leonid Koutchma, l'ambassadeur de Russie en Ukraine Mikhaïl Zourabov et d'un représentant de l'OSCE, a annoncé la présidence ukrainienne dans un communiqué.
Ces pourparlers doivent porter sur deux questions: «la libération de tous les otages» des séparatistes et «l'accès des experts internationaux au site du crash de l'avion de Malaysia Airlines», est-il ajouté.
Pour le troisième jour consécutif, les experts internationaux ont renoncé à se rendre sur place en raison des combats.
20min.ch
Ukraine: les combats s’intensifient près de la frontière russe
Les forces gouvernementales reprennent progressivement du terrain et se rapprochent des grandes villes de la région, Donetsk et Lougansk, où sont retranchés les séparatistes. Les combats se sont également intensifiés près de la frontière avec la Russie. Les enquêteurs internationaux ont, de nouveau, décidé de ne pas se rendre sur les lieux du crash du MH17, pour la troisième journée consécutive.
Les forces loyalistes reprennent progressivement du terrain dans l'est de l'Ukraine, où la situation est très tendue. La preuve, les enquêteurs du vol MH17 ont renoncé à nouveau à se rendre sur le site du crash. Les forces ukrainiennes annoncent ce mercredi avoir repris aux séparatistes la ville d'Avdiivka, située à une dizaine de kilomètres au nord de Donetsk. Une victoire revendiquée par l'armée ukrainienne, tandis qu’elle affirme avoir subi de nouvelles attaques depuis la Russie.
L'armée ukrainienne aux prises avec des chars
Les forces loyalistes n'ont pas subi de pertes au cours de la nuit dernière, selon l'état-major ukrainien, qui précise qu'elles ont fait l'objet de plusieurs attaques, dont des tirs, venant du territoire russe. Toujours selon l’état-major ukrainien, les forces armées ukrainiennes ont été visées par une attaque à laquelle ont participé sept tanks, appuyés par d'autres véhicules militaires, qui ont traversé la frontière au sud-est de Donetsk. Par ailleurs, les forces de Kiev ont engagé des combats à Ilovaïsk, à environ 20 kilomètres à l'est de Donetsk.
Ces derniers jours les actions de militaires ukrainiens se sont intensifiées dans la zone qui s'étend de la capitale régionale, Donetsk, à la ville de Lougansk, une autre place forte des rebelles pro-russes.
Moscou sous pression
Moscou est sous le coup de nouvelles sanctions internationales de la part des États-Unis et des pays européens, elles concernent à présent des secteurs clés : l'énergie, l'armement et la finance. Il s'agit de la « phase 3 » des sanctions européennes. Elles visent à frapper l'économie russe et à lancer un signal fort au président Vladimir Poutine accusé de soutenir la rébellion dans l'est de l'Ukraine.
rfi.fr
Les observateurs de l'OSCE commencent leur mission aux postes de contrôle à la frontière russo-ukrainienne
Les observateurs de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) ont commencé à travailler le long de la frontière russo-ukrainienne, a annoncé mercredi Paul Picard, le chef de la mission de l'OSCE.
Le premier groupe d'observateurs, qui comprend quatre personnes chargées de la surveillance et trois personnes chargées du travail administratif, est prêt à surveiller les opérations aux postes de contrôle frontaliers de Gukovo et Donetsk, a précisé M. Picard cité par l'agence de presse Itar-Tass.
"Quatre observateurs travaillent déjà dans la région méridionale de Rostov en Russie. Plusieurs autres équipes de deux observateurs travailleront 24h sur 24 aux postes de contrôle. D'autres surveillants les rejoindront bientôt", a-t-il ajouté.
Au total, 15 membres de l'OSCE arriveront dans la région dans quelques jours et la mission pourrait être prolongée de plus de trois mois, selon M. Picard, qui a ajouté que les agences régionales aident les observateurs pour assurer leur sécurité.
La Russie a invité vendredi dernier les représentants de l'OSCE dans sa zone frontalière avec l'Ukraine pour mener leur enquête sur le flux présumé d'assistance militaire provenant de Russie et à destination des séparatistes pro-Russie en Ukraine.
china.org.cn
On leur montrera quoi? Des champs parce qu'on se gardera bien de montrer les sept tanks qui ont passé la frontière hier.
Des policiers russes seront employés par l'ONU et l'OSCE
Par La Voix de la Russie | Le ministère russe de l'Intérieur se propose de créer sa propre mission auprès de l'ONU et de l'OSCE.
Cela permettra aux forces de l'ordre russes de participer à la mise au point et au suivi des opérations internationales, de les contrôler, de lobbyiser les intérêts de la Russie et de consulter les colllègues étrangers sur des questions juridiques. Les experts pensent que de cette façon les policiers russes pourront aider la communauté internationale à régler la crise en Ukraine.
Cependant le ministère de l'Intérieur de Russie n'a pas encore de fondements juridiques pour envoyer ses employés à l'ONU et à l'OSCE où la Russie n'est représentée que par des diplomates.
la voix de son maître
Histoire de bien cacher la réalité et de "montrer" ce qu'on veut bien sans doute?
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Il était temps:
La Verkhovna Rada se réunira jeudi à huis clos
Par La Voix de la Russie | La réunion extraordinaire de la Verkhovna Rada (parlement) d'Ukraine fixée au jeudi 31 juillet se tiendra à huis clos, a annoncé ITAR-TASS en citant le service de presse parlementaire.
Conformément à l'ordre du jour de la réunion parlementaire, les députés écouteront d'abord un rapport du ministère de la Défense Valeri Gueleteïa. Ensuite, ils examineront un plan de coupes budgétaires pour 2014, les amendements au Code fiscale, la réforme de la société publique Naftogaz d'Ukraine et la question de la Crimée.
A la fin de la réunion les députés étudieront la déclaration de démission du Premier ministre Arseni Iatseniouk.
la voix de son maître
Histoire aussi de voter le budget dont a besoin l'armée.
Selon les responsables militaires, la phase active de l'ATO pourrait être terminée dans moins d'un mois:
Активна фаза АТО може бути завершена раніше, ніж через місяць - начальник Генштабу
Là par contre, ce n'est pas une bonne nouvelle:
Le nombre des militaires russes "en hausse" à la frontière ukrainienne
Le nombre des militaires russes est "en hausse" le long de la frontière avec l'Ukraine, a affirmé ce mercredi le chef militaire de l'Otan, le général américain Philip Breedlove, lors d'une visite des troupes de l'Alliance atlantique au Kosovo.
rtbf.be
Russians have shelled South of Lugansk region with Grad, tanks and howitzers all night long
24TV.ua
Moralité:
Les dirigeants du G7 menacent de nouvelles sanctions contre la Russie
Les dirigeants du Groupe des Sept (G7) nations les plus industrialisées ont menacé mercredi de nouvelles sanctions contre la Russie alors qu'ils ont accusé Moscou de poursuivre ses actions déstabilisatrices dans l'est de l'Ukraine.
Cette menace intervient un jour après que les Etats-Unis et l'Union européenne ont dévoilé leurs sanctions généralisées visant les secteurs de la défense, de l'énergie et de la finance russes, afin de sanctionner ce qu'ils ont qualifié de soutien continu aux rebelles dans l'est de l'Ukraine à la suite du crash du vol MH17 de Malaysia Airlines le 17 juillet.
Les dirigeants du Royaume-Uni, du Canada, de France, d'Allemagne, d'Italie, du Japon, des Etats-Unis, ainsi que les présidents du Conseil européen et de la Commission européenne, ont exprimé leurs "sérieuses préoccupations" vis-à-vis "des actions continues de la Russie visant à nuire à la souveraineté, à l'intégrité territoriale et à l'indépendance de l'Ukraine."
"Nous condamnons de nouveau l'annexion illégale de la Crimée par la Russie, ainsi que ses actions destinées à déstabiliser l'est de l'Ukraine," ont-ils dit dans une déclaration publiée par la Maison Blanche. "Ces actions sont inacceptables et enfreignent le droit international", souligne le document.
"La Russie a toujours l'opportunité de choisir la voie de la désescalade, ce qui mènerait au retrait de ces sanctions," ont-ils ajouté. "Si elle ne le fait pas, cependant, nous restons prêts à intensifier encore les coûts de ses mauvaises actions."
Le ministère russe des Affaires étrangères a qualifié mercredi les sanctions occidentales de "destructives et à courte vue," avertissant qu'elles "compliqueraient davantage" les rapports entre Moscou et Washington et "créeraient une atmosphère défavorable pour les affaires internationales."
Les dirigeants du G7 ont condamné dans leur déclaration le crash du MH17 ayant provoqué la mort de tous ses 298 passagers, et exigé "une enquête internationale rapide, complète, sans obstacles et transparente."
Mercredi, les lourds combats entre les rebelles et les forces gouvernementales ukrainiennes empêchaient toujours les experts internationaux de parvenir au site du crash du MH17.
china.org.cn
Hier, la police a démentelé une cache d'arme à Kiev:
Police have detained arms dealers with a large amount of weapons in Kyiv
HromadskeTV
Ce qui me fait craindre pour l'avenir, c'est qu'au lieu d'avoir des combats "classiques", il fasse faire face au terrorisme caché.
Là, ce serait plus grave encore et bien plus difficile pour l'Ukraine.
La Verkhovna Rada se réunira jeudi à huis clos
Par La Voix de la Russie | La réunion extraordinaire de la Verkhovna Rada (parlement) d'Ukraine fixée au jeudi 31 juillet se tiendra à huis clos, a annoncé ITAR-TASS en citant le service de presse parlementaire.
Conformément à l'ordre du jour de la réunion parlementaire, les députés écouteront d'abord un rapport du ministère de la Défense Valeri Gueleteïa. Ensuite, ils examineront un plan de coupes budgétaires pour 2014, les amendements au Code fiscale, la réforme de la société publique Naftogaz d'Ukraine et la question de la Crimée.
A la fin de la réunion les députés étudieront la déclaration de démission du Premier ministre Arseni Iatseniouk.
la voix de son maître
Histoire aussi de voter le budget dont a besoin l'armée.
Selon les responsables militaires, la phase active de l'ATO pourrait être terminée dans moins d'un mois:
Активна фаза АТО може бути завершена раніше, ніж через місяць - начальник Генштабу
Là par contre, ce n'est pas une bonne nouvelle:
Le nombre des militaires russes "en hausse" à la frontière ukrainienne
Le nombre des militaires russes est "en hausse" le long de la frontière avec l'Ukraine, a affirmé ce mercredi le chef militaire de l'Otan, le général américain Philip Breedlove, lors d'une visite des troupes de l'Alliance atlantique au Kosovo.
rtbf.be
Russians have shelled South of Lugansk region with Grad, tanks and howitzers all night long
24TV.ua
Moralité:
Les dirigeants du G7 menacent de nouvelles sanctions contre la Russie
Les dirigeants du Groupe des Sept (G7) nations les plus industrialisées ont menacé mercredi de nouvelles sanctions contre la Russie alors qu'ils ont accusé Moscou de poursuivre ses actions déstabilisatrices dans l'est de l'Ukraine.
Cette menace intervient un jour après que les Etats-Unis et l'Union européenne ont dévoilé leurs sanctions généralisées visant les secteurs de la défense, de l'énergie et de la finance russes, afin de sanctionner ce qu'ils ont qualifié de soutien continu aux rebelles dans l'est de l'Ukraine à la suite du crash du vol MH17 de Malaysia Airlines le 17 juillet.
Les dirigeants du Royaume-Uni, du Canada, de France, d'Allemagne, d'Italie, du Japon, des Etats-Unis, ainsi que les présidents du Conseil européen et de la Commission européenne, ont exprimé leurs "sérieuses préoccupations" vis-à-vis "des actions continues de la Russie visant à nuire à la souveraineté, à l'intégrité territoriale et à l'indépendance de l'Ukraine."
"Nous condamnons de nouveau l'annexion illégale de la Crimée par la Russie, ainsi que ses actions destinées à déstabiliser l'est de l'Ukraine," ont-ils dit dans une déclaration publiée par la Maison Blanche. "Ces actions sont inacceptables et enfreignent le droit international", souligne le document.
"La Russie a toujours l'opportunité de choisir la voie de la désescalade, ce qui mènerait au retrait de ces sanctions," ont-ils ajouté. "Si elle ne le fait pas, cependant, nous restons prêts à intensifier encore les coûts de ses mauvaises actions."
Le ministère russe des Affaires étrangères a qualifié mercredi les sanctions occidentales de "destructives et à courte vue," avertissant qu'elles "compliqueraient davantage" les rapports entre Moscou et Washington et "créeraient une atmosphère défavorable pour les affaires internationales."
Les dirigeants du G7 ont condamné dans leur déclaration le crash du MH17 ayant provoqué la mort de tous ses 298 passagers, et exigé "une enquête internationale rapide, complète, sans obstacles et transparente."
Mercredi, les lourds combats entre les rebelles et les forces gouvernementales ukrainiennes empêchaient toujours les experts internationaux de parvenir au site du crash du MH17.
china.org.cn
Hier, la police a démentelé une cache d'arme à Kiev:
Police have detained arms dealers with a large amount of weapons in Kyiv
HromadskeTV
Ce qui me fait craindre pour l'avenir, c'est qu'au lieu d'avoir des combats "classiques", il fasse faire face au terrorisme caché.
Là, ce serait plus grave encore et bien plus difficile pour l'Ukraine.
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Il semblerait que la Rada n'ai pas accepté la démission de Yatseniouk.
ukrpravda_news
De même que la Russie bombarde à l'arme chimique sur les gardes frontière ukrainiens:
Ukrainian Mistress
10 hélicoptères russes font route depuis Rostov vers l'Ukraine:
Мищенков Андрей
Sur la carte, il me semble que, si la poche de Lugansk ne bouge pas, celle de Donetsk se réduit.
liveuamap.com
De même que la Russie envoie des BUK vers l'Ukraine:
ConflictReporter
ukrpravda_news
De même que la Russie bombarde à l'arme chimique sur les gardes frontière ukrainiens:
Ukrainian Mistress
10 hélicoptères russes font route depuis Rostov vers l'Ukraine:
Мищенков Андрей
Sur la carte, il me semble que, si la poche de Lugansk ne bouge pas, celle de Donetsk se réduit.
liveuamap.com
De même que la Russie envoie des BUK vers l'Ukraine:
ConflictReporter
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Ukraine: le Parlement rejette la démission du Premier ministre
Kiev (AFP) - Le Parlement ukrainien a rejeté jeudi la démission du Premier ministre Arseni Iatseniouk, que ce dernier avait proposée suite au refus des députés de soutenir des lois impopulaires alors que se profilent des législatives anticipées.
Seuls 16 députés ont voté en faveur de sa démission, contre 226 votes nécessaires pour valider ce départ qui aurait replongé le pays dans une nouvelle crise politique. M. Iatseniouk, un pro-occidental en poste depuis la fuite du président déchu Viktor Ianoukovitch, avait menacé de partir le 24 juillet, après la dissolution au Parlement de la coalition gouvernementale ouvrant la voie à des législatives anticipées voulues par le président.
Par ailleurs, le Parlement a entériné jeudi l'envoi sur le site du crash du vol MH17 de forces armées néerlandaises et australiennes pouvant atteindre 950 hommes, a annoncé le président du Parlement Olexandre Tourtchinov à l'issue d'un vote à huis clos.
Selon le texte des accords disponibles sur le site du Parlement, la mission néerlandaise est composée de "personnel militaire et non militaire" pouvant atteindre 700 hommes. L'Australie a le droit d'envoyer du personnel "policier, militaire et civil" jusqu'à 250 hommes.
nouvelobs.com
MH17 : les experts internationaux accueillis sur le site du crash par de fortes explosions
Les observateurs, empêchés depuis dimanche par les combats de se rendre sur les lieux, sont arrivés jeudi en début d'après-midi là où le Boeing de la Malaysia Airlines s'est écrasé, dans l'est de l'Ukraine.
À peine sont-ils arrivés, que de fortes explosions les ont accueillis. Les inspecteurs de la mission de l‘Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), qui ont atteint le site du crash du MH17, en Ukraine, n'ont eu droit qu'à dix minutes de répit pour travailler. Une série de puissantes explosions s'est produite. Une colonne de fumée noire était visible à dix kilomètres, comme le rapporte une journaliste de l'AFP.
Les observateurs de l'OSCE, accompagnés de quatre experts médico-légaux néerlandais et australiens, qui tentaient depuis quatre jours d'accéder à cette zone de l'est de l'Ukraine contrôlée par les séparatistes prorusses, ont dû employer un nouvel itinéraire pour s'y rendre. Ils sont chargés de procéder à un exercice de reconnaissance pour faciliter le travail des enquêteurs du crash du Boeing malaisien, abattu par un missile le 17 juillet dernier alors qu'il transportait 298 personnes.
Si la plupart des corps ont pu être récupérés et transférés hors du site, des restes humains et des effets personnels doivent encore être sécurisés sur place.
lefigaro.fr
L'armée suspend son offensive, les experts sur le site de l'accident du MH17
L'armée ukrainienne a suspendu jeudi son offensive contre les séparatistes prorusses dans l'est de l'Ukraine afin de faciliter l'enquête sur le site de l'accident de l'avion malaisien où sont arrivés des experts internationaux, malgré de fortes explosions à proximité.
Les inspecteurs ont enfin réussi à accéder au site après plusieurs tentatives avortées depuis dimanche à cause des combats, qui rendaient impossible l'enquête sur ce drame à l'origine d'une nouvelle escalade de la crise et de nouvelles sanctions contre Moscou.
Mais peu après leur arrivée, plusieurs explosions puissantes ont retenti à proximité, a constaté une journaliste de l'AFP.
Une colonne de fumée pouvait être vue dans la zone, à moins de dix kilomètres du site où demeurent des débris et des dépouilles des victimes du Boeing 777 abattu par un missile le 17 juillet avec 298 personnes à bord.
Après avoir reconquis plusieurs villes à proximité du lieu de la catastrophe aérienne, le commandement militaire ukrainien a pourtant assuré faire un geste de bonne volonté en décrétant «une journée de silence» dans la zone de combats à la demande du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon.
«Il y a aujourd'hui un cessez-le-feu à la demande de Ban Ki-moon et compte tenu du travail que doivent mener les experts dans la zone de l'accident de l'avion», a déclaré à l'AFP Oleksiï Dmytrachkivski, porte-parole des forces ukrainiennes.
Le drame de l'avion de la Malaysia Airlines a suscité la colère dans le monde et conduit au renforcement des sanctions contre Moscou, accusé de financer la rébellion. Les mesures occidentales frappent désormais des secteurs vitaux de l'économie russe, comme ses grandes banques publiques ou l'énergie.
Mission armée néerlando-australienne
Les enquêteurs russes, qui vont faire partie de l'équipe internationale sous l'égide des Pays-Bas, sont quant à eux arrivés à Kiev et espèrent se rendre jeudi sur le site pour examiner les débris de l'avion.
Les experts médico-légaux des Pays-Bas, qui ont perdu 193 de leurs ressortissants dans ce drame, s'étaient rendus sur le site à plusieurs reprises, mais aucun enquêteur chargé d'établir les causes de la catastrophe ne s'y est rendu deux semaines après la catastrophe pour des raisons de sécurité.
Le Parlement ukrainien a entériné jeudi le déploiement d'une mission armée néerlando-australienne qui devrait sécuriser le site et y permettre le travail des enquêteurs.
«Il est très important qu'aient été approuvés ces textes permettant un travail d'expert transparent sur les lieux de l'acte terroriste», a souligné le président ukrainien, Petro Porochenko, présent au Parlement après le vote à huis clos.
Selon le texte des accords, la mission néerlandaise est composée de «personnel militaire et non militaire» pouvant comprendre jusqu'à 700 hommes. L'Australie a le droit d'envoyer du personnel «policier, militaire et civil» comprenant jusqu'à 250 hommes.
Les députés ukrainiens ont par ailleurs rejeté la démission du premier ministre, Arseni Iatseniouk, évitant une nouvelle crise politique outre le conflit armé.
L'Ukraine «jamais en défaut»
M. Iatseniouk, un économiste apprécié en Occident, avait menacé de partir le 24 juillet, après le refus de députés de soutenir des lois impopulaires destinées à redresser les finances du pays, maintenu à flot par une aide internationale massive, et en profonde récession.
Il a depuis tempéré ces propos et accepté de rester à condition que les lois budgétaires et fiscales en question soient votées, ce qui a été fait jeudi. Les textes prévoient notamment des mesures d'économies budgétaires ainsi que de nouveaux financements pour les forces armées engagées dans l'Est.
«Aujourd'hui il y a deux nouvelles importantes pour l'économie mondiale. La première, c'est que l'Argentine a été déclarée en défaut de paiement, la seconde, c'est que l'Ukraine n'est pas en défaut de paiement et ne le sera jamais», s'est félicité M. Iatseniouk.
Sur le plan militaire, le président Porochenko a estimé que «les forces armées menaient avec succès l'offensive tous azimuts» et le chef d'état-major a déclaré que l'Ukraine comptait mettre un terme en moins d'un mois à «la phase active» de son opération militaire contre les séparatistes prorusses lancée à la mi-avril.
Mais Kiev, qui dénonce l'arrivée incessante d'armes en provenance de Russie, a demandé des explications à Moscou sur le lancement de nouvelles manoeuvres militaires impliquant des missiles sol-air S-300 dans le sud du pays, près de la frontière avec l'Ukraine.
La Russie confrontée à la suite du conflit ukrainien à la pire crise avec l'Occident depuis la fin de la Guerre froide est frappée par des sanctions économiques sans précédent.
Après les États-Unis et de l'Union européenne le groupe des pays du G7 a à son tour menacé mercredi de prendre des sanctions contre la Russie si elle refusait «de choisir la voie de la désescalade» en Ukraine.
En Grande-Bretagne, une nouvelle enquête «publique» doit s'ouvrir jeudi sur la mort de l'opposant russe Alexandre Litvinenko, un sujet de discorde entre Londres et Moscou.
lapresse.ca
Bref, la Rada garde Yatseniouk et on permet aux experts internationaux de travailler dans les meilleurs conditions.
Malgré que "ça bouge" côté russe de la frontière (encore des tirs à partir de la Russie aujourd'hui).
Kiev (AFP) - Le Parlement ukrainien a rejeté jeudi la démission du Premier ministre Arseni Iatseniouk, que ce dernier avait proposée suite au refus des députés de soutenir des lois impopulaires alors que se profilent des législatives anticipées.
Seuls 16 députés ont voté en faveur de sa démission, contre 226 votes nécessaires pour valider ce départ qui aurait replongé le pays dans une nouvelle crise politique. M. Iatseniouk, un pro-occidental en poste depuis la fuite du président déchu Viktor Ianoukovitch, avait menacé de partir le 24 juillet, après la dissolution au Parlement de la coalition gouvernementale ouvrant la voie à des législatives anticipées voulues par le président.
Par ailleurs, le Parlement a entériné jeudi l'envoi sur le site du crash du vol MH17 de forces armées néerlandaises et australiennes pouvant atteindre 950 hommes, a annoncé le président du Parlement Olexandre Tourtchinov à l'issue d'un vote à huis clos.
Selon le texte des accords disponibles sur le site du Parlement, la mission néerlandaise est composée de "personnel militaire et non militaire" pouvant atteindre 700 hommes. L'Australie a le droit d'envoyer du personnel "policier, militaire et civil" jusqu'à 250 hommes.
nouvelobs.com
MH17 : les experts internationaux accueillis sur le site du crash par de fortes explosions
Les observateurs, empêchés depuis dimanche par les combats de se rendre sur les lieux, sont arrivés jeudi en début d'après-midi là où le Boeing de la Malaysia Airlines s'est écrasé, dans l'est de l'Ukraine.
À peine sont-ils arrivés, que de fortes explosions les ont accueillis. Les inspecteurs de la mission de l‘Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), qui ont atteint le site du crash du MH17, en Ukraine, n'ont eu droit qu'à dix minutes de répit pour travailler. Une série de puissantes explosions s'est produite. Une colonne de fumée noire était visible à dix kilomètres, comme le rapporte une journaliste de l'AFP.
Les observateurs de l'OSCE, accompagnés de quatre experts médico-légaux néerlandais et australiens, qui tentaient depuis quatre jours d'accéder à cette zone de l'est de l'Ukraine contrôlée par les séparatistes prorusses, ont dû employer un nouvel itinéraire pour s'y rendre. Ils sont chargés de procéder à un exercice de reconnaissance pour faciliter le travail des enquêteurs du crash du Boeing malaisien, abattu par un missile le 17 juillet dernier alors qu'il transportait 298 personnes.
Si la plupart des corps ont pu être récupérés et transférés hors du site, des restes humains et des effets personnels doivent encore être sécurisés sur place.
lefigaro.fr
L'armée suspend son offensive, les experts sur le site de l'accident du MH17
L'armée ukrainienne a suspendu jeudi son offensive contre les séparatistes prorusses dans l'est de l'Ukraine afin de faciliter l'enquête sur le site de l'accident de l'avion malaisien où sont arrivés des experts internationaux, malgré de fortes explosions à proximité.
Les inspecteurs ont enfin réussi à accéder au site après plusieurs tentatives avortées depuis dimanche à cause des combats, qui rendaient impossible l'enquête sur ce drame à l'origine d'une nouvelle escalade de la crise et de nouvelles sanctions contre Moscou.
Mais peu après leur arrivée, plusieurs explosions puissantes ont retenti à proximité, a constaté une journaliste de l'AFP.
Une colonne de fumée pouvait être vue dans la zone, à moins de dix kilomètres du site où demeurent des débris et des dépouilles des victimes du Boeing 777 abattu par un missile le 17 juillet avec 298 personnes à bord.
Après avoir reconquis plusieurs villes à proximité du lieu de la catastrophe aérienne, le commandement militaire ukrainien a pourtant assuré faire un geste de bonne volonté en décrétant «une journée de silence» dans la zone de combats à la demande du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon.
«Il y a aujourd'hui un cessez-le-feu à la demande de Ban Ki-moon et compte tenu du travail que doivent mener les experts dans la zone de l'accident de l'avion», a déclaré à l'AFP Oleksiï Dmytrachkivski, porte-parole des forces ukrainiennes.
Le drame de l'avion de la Malaysia Airlines a suscité la colère dans le monde et conduit au renforcement des sanctions contre Moscou, accusé de financer la rébellion. Les mesures occidentales frappent désormais des secteurs vitaux de l'économie russe, comme ses grandes banques publiques ou l'énergie.
Mission armée néerlando-australienne
Les enquêteurs russes, qui vont faire partie de l'équipe internationale sous l'égide des Pays-Bas, sont quant à eux arrivés à Kiev et espèrent se rendre jeudi sur le site pour examiner les débris de l'avion.
Les experts médico-légaux des Pays-Bas, qui ont perdu 193 de leurs ressortissants dans ce drame, s'étaient rendus sur le site à plusieurs reprises, mais aucun enquêteur chargé d'établir les causes de la catastrophe ne s'y est rendu deux semaines après la catastrophe pour des raisons de sécurité.
Le Parlement ukrainien a entériné jeudi le déploiement d'une mission armée néerlando-australienne qui devrait sécuriser le site et y permettre le travail des enquêteurs.
«Il est très important qu'aient été approuvés ces textes permettant un travail d'expert transparent sur les lieux de l'acte terroriste», a souligné le président ukrainien, Petro Porochenko, présent au Parlement après le vote à huis clos.
Selon le texte des accords, la mission néerlandaise est composée de «personnel militaire et non militaire» pouvant comprendre jusqu'à 700 hommes. L'Australie a le droit d'envoyer du personnel «policier, militaire et civil» comprenant jusqu'à 250 hommes.
Les députés ukrainiens ont par ailleurs rejeté la démission du premier ministre, Arseni Iatseniouk, évitant une nouvelle crise politique outre le conflit armé.
L'Ukraine «jamais en défaut»
M. Iatseniouk, un économiste apprécié en Occident, avait menacé de partir le 24 juillet, après le refus de députés de soutenir des lois impopulaires destinées à redresser les finances du pays, maintenu à flot par une aide internationale massive, et en profonde récession.
Il a depuis tempéré ces propos et accepté de rester à condition que les lois budgétaires et fiscales en question soient votées, ce qui a été fait jeudi. Les textes prévoient notamment des mesures d'économies budgétaires ainsi que de nouveaux financements pour les forces armées engagées dans l'Est.
«Aujourd'hui il y a deux nouvelles importantes pour l'économie mondiale. La première, c'est que l'Argentine a été déclarée en défaut de paiement, la seconde, c'est que l'Ukraine n'est pas en défaut de paiement et ne le sera jamais», s'est félicité M. Iatseniouk.
Sur le plan militaire, le président Porochenko a estimé que «les forces armées menaient avec succès l'offensive tous azimuts» et le chef d'état-major a déclaré que l'Ukraine comptait mettre un terme en moins d'un mois à «la phase active» de son opération militaire contre les séparatistes prorusses lancée à la mi-avril.
Mais Kiev, qui dénonce l'arrivée incessante d'armes en provenance de Russie, a demandé des explications à Moscou sur le lancement de nouvelles manoeuvres militaires impliquant des missiles sol-air S-300 dans le sud du pays, près de la frontière avec l'Ukraine.
La Russie confrontée à la suite du conflit ukrainien à la pire crise avec l'Occident depuis la fin de la Guerre froide est frappée par des sanctions économiques sans précédent.
Après les États-Unis et de l'Union européenne le groupe des pays du G7 a à son tour menacé mercredi de prendre des sanctions contre la Russie si elle refusait «de choisir la voie de la désescalade» en Ukraine.
En Grande-Bretagne, une nouvelle enquête «publique» doit s'ouvrir jeudi sur la mort de l'opposant russe Alexandre Litvinenko, un sujet de discorde entre Londres et Moscou.
lapresse.ca
Bref, la Rada garde Yatseniouk et on permet aux experts internationaux de travailler dans les meilleurs conditions.
Malgré que "ça bouge" côté russe de la frontière (encore des tirs à partir de la Russie aujourd'hui).
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Pas beaucoup de nouvelles dans la presse ce matin . . . étrange.
Les enquêteurs sont bien sur le site du crash du MH17 et leur travail peut commencer.
Cette nuit:
Ukraine: 20 soldats tués sous les tirs rebelles
Vingt soldats ukrainiens ont été tués dans une attaque menée par les rebelles pro-russes dans l'est du pays cette nuit.
De source militaire, on précise que des vérifications sont en cours. Une unité de parachutistes a bien été visée par une attaque au mortier, mais le bilan devrait être moins lourd, a déclaré un responsable militaire.
L'attaque s'est produite près de la ville de Chakhtarsk, dans le secteur où le vol MH17 de la Malaysia Airlines a été abattu le 17 juillet dernier.
lefigaro.fr
Par contre, sur le net:
Makeshift monument to#Maidan revolution in #kiev just went up in flames
Matthew Chance
Russian air forces have violated Ukrainian airspace for 7 times last day
Новости за 24 часа
A terrorist commando shot and killed the mayor of #Dokuchaev and his driver
ConflictReporter
"Maidan" living statue in Odessa
Радіо 24
Pour le fun:
Russia's deputy PM @DRogozin in twitter: "We have different values and allies"
Dmitry Rogozin
Les enquêteurs sont bien sur le site du crash du MH17 et leur travail peut commencer.
Cette nuit:
Ukraine: 20 soldats tués sous les tirs rebelles
Vingt soldats ukrainiens ont été tués dans une attaque menée par les rebelles pro-russes dans l'est du pays cette nuit.
De source militaire, on précise que des vérifications sont en cours. Une unité de parachutistes a bien été visée par une attaque au mortier, mais le bilan devrait être moins lourd, a déclaré un responsable militaire.
L'attaque s'est produite près de la ville de Chakhtarsk, dans le secteur où le vol MH17 de la Malaysia Airlines a été abattu le 17 juillet dernier.
lefigaro.fr
Par contre, sur le net:
Makeshift monument to
Matthew Chance
Russian air forces have violated Ukrainian airspace for 7 times last day
Новости за 24 часа
A terrorist commando shot and killed the mayor of #Dokuchaev and his driver
ConflictReporter
"Maidan" living statue in Odessa
Радіо 24
Pour le fun:
Russia's deputy PM @DRogozin in twitter: "We have different values and allies"
Dmitry Rogozin
Re: L'invasion Russe en Ukraine
L'assistant de Gubarev aurait été tué par un inconnu.
lifenews.ru
Dommage, la cible a été ratée de peu . . .
Moscow declares massive reservist "gathering"/training. Mobilization?
tvzveda.ru
lifenews.ru
Dommage, la cible a été ratée de peu . . .
Moscow declares massive reservist "gathering"/training. Mobilization?
tvzveda.ru
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Là, ça vaut 10:
Ukraine: assiégés par l'armée, les séparatistes veulent bâtir leur système bancaire
lyoncapitale.fr
A vraiment se demander s'ils ont encore un brin de lucidité!
Ukraine: assiégés par l'armée, les séparatistes veulent bâtir leur système bancaire
lyoncapitale.fr
A vraiment se demander s'ils ont encore un brin de lucidité!
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Juste pour le fun, mais confirmation qu'il y a bien des militaires de l'armée régulière russe en Ukraine:
Ces selfies de soldats russes qui trahissent l’attaque de l’Ukraine
« On a tiré sur l’Ukraine toute la nuit. » Tels sont les mots écrits la semaine dernière par un jeune soldat russe sur sa page de réseau social, sur laquelle il a publié une photo de matériel militaire en rase campagne.
Quand sa publication est devenue virale, le soldat a retiré le mot « Ukraine » de la légende. Puis son compte a totalement disparu. A présent il prétend avoir été piraté et nie avoir jamais publié les photos.
La page Vkontakte originelle de Vadim Grigoriev sur laquelle le post était initialement paru n’est plus accessible, car supprimée peu après que son compte a commencé à attirer l’attention des internautes. Le post reste toutefois visible dans sa splendeur d’origine, grâce à un autre usager de VK, Vladislav Laptev, qui l’a re-posté sur son propre mur :
Capture d’écran de la publication originelle de Vadim reprise par Vladislav Laptev. Légende d’origine : « On a tiré sur l’Ukraine toute la nuit. »
Grigoriev a réagi vite, mais pas assez. Utilisant le service Peeep.us, les Twittos ont effectué une copie complète de son copte VK aussitôt que Grigoriev a commencé à rectifier ses posts.
La copie sauvegardée comporte davantage d’images de Grigoriev et de ses camarades combattants datant de fin juillet. Les légendes des photos précisent à l’occasion qu’elles ont été prises à la frontière russo-ukrainienne.
Capture d’écran d’un message antérieur sur le mur VK de Vadim Grigoriev (à partir d’une copie sauvegardée), texte au-dessus de la photo : « Nous sommes dans les champs depuis déjà deux semaines, non lavés, à la frontière avec l’Ukraine. » (capture)
Le site web russe TJournal.ru a produit une excellente collection des preuves photographiques croissantes de la présence militaire russe à la frontière ukrainienne, toutes éliminées des comptes Vkontakte appartenant à Grigoriev et ses semblables.
Les reporters de TJournal ont trouvé d’autres posts mentionnant l’Ukraine, et découvert que l’un des amis de Grigoriev sur VK avait même publié une carte de leur trajet, commencé dans la localité d’Ordjonikidzevskaïa en Ingouchie (une région russe du Nord-Caucase) et abouti au village de Pokrovske, dans l’oblast de Rostov, à la frontière avec l’Ukraine.
Ivan Jerebtsov a publié cette photo d’un itinéraire entre l’Ingouchie et la frontière russe avec l’Ukraine – son compte a lui aussi été fermé, mais cette capture d’écran demeure. (Image aimablement autorisée par tjournal.ru)
La plupart de ces preuves sont évidemment indirectes, rien ne désigne explicitement les forces russes engageant le combat avec les Ukrainiens par-dessus la frontière—à part le post supprimé de Grigoriev.
Vadim Grigoriev apparaît dans le journal télévisé du soir de la chaîne Rossia-24 channel le 24 juillet 2014.
Le lendemain de son accession à la célébrité en ligne suivie de sa disparition de VK, Grigoriev est apparu au journal télévisé du soir, sur la chaîne d’Etat Rossia 24, pour clamer qu’il n’avait pas posté les photos incriminées. Il a affirmé qu’il n’avait pas écrit sur sa page depuis plus d’un mois, et qu’il ne s’était pas rendu compte que quelqu’un y ajoutait des photos :
Si la page de Grigoriev a été effacée des serveurs de VK, des posts similaires continuent à apparaître de-ci de-là en ligne, où ils sont aussitôt immortalisés en captures d’écran par des usagers diligents de médias sociaux. Cette semaine même, des utilisateurs de Twitter ont réalisé des captures d’écran d’un autre soldat russe racontant en ligne avoir envoyé des missiles Grad en Ukraine.
La journaliste de BBC Ukraine Myroslava Petsa a publié cette capture d’écran de la page VK de Mikhaïl Tchougounov (le post originel, à présent supprimé, date du 11 juillet) :
Un nouveau jour, un nouveau soldat de Russie se vante d’attaquer l’Ukraine (Texte sur la capture d’écran : « Avec les Grads vers l’Ukraine… »)
Fiodor Morkvo a enregistré les commentaires sous un précédent post de Tchougounov :
capture d’écran
Encore des soldats russes qui se vantent sur les réseaux sociaux qu’ils sont en route pour l’Ukraine (Texte sur la capture d’écran : « l’Ukraine nous attend, artilleurs ! »)
D’autres jeunes soldats russes, impatients de faire étalage de leurs aventures à la frontière ukrainienne, seront probablement découverts, feront le buzz, avant de comprendre la nécessité de supprimer leurs comptes.
Certains pourraient bien être bidonnés, mais s’il n’y en a qu’un seul d’authentique, RuNet aura déterré la preuve concrète d’une agression russe contre le territoire de l’Ukraine. Chaque nouveau militaire assez imprudent pour avoir publié « bombardé l’ennemi » va-t-il se défendre avec « mon compte a été piraté » ? Les autres vont-ils résister à l’envie de prendre ce selfie traîtreusement géolocalisé ?
Post scriptum : Les autorités russes prennent déjà, semble-t-il, des dispositions pour éradiquer les selfies militaires narcissiques. Le 29 juillet, les médias russes ont rapporté que Vadim Soloviov, député communiste à la Douma, travaille à des modifications de la loi fédérale sur le service militaire qui interdiraient en substance aux appelés de poster sur les réseaux sociaux toutes photos représentant du matériel militaire ou des armes. Les informations hautement sensibles relayées par de telles images, estime le parlementaire, sapent la sécurité de l’Etat et « pourraient être utilisées par les médias occidentaux pour des provocations. » Soloviov précise que les soldats resteront autorisés à utiliser l’Internet pour la correspondance personnelle. De toutes façons, défendent les spécialistes russes, les Etats-Unis ont bien déjà des règles similaires pour leur armée.
nouvelobs.com et rue89.com
Ces selfies de soldats russes qui trahissent l’attaque de l’Ukraine
« On a tiré sur l’Ukraine toute la nuit. » Tels sont les mots écrits la semaine dernière par un jeune soldat russe sur sa page de réseau social, sur laquelle il a publié une photo de matériel militaire en rase campagne.
Quand sa publication est devenue virale, le soldat a retiré le mot « Ukraine » de la légende. Puis son compte a totalement disparu. A présent il prétend avoir été piraté et nie avoir jamais publié les photos.
La page Vkontakte originelle de Vadim Grigoriev sur laquelle le post était initialement paru n’est plus accessible, car supprimée peu après que son compte a commencé à attirer l’attention des internautes. Le post reste toutefois visible dans sa splendeur d’origine, grâce à un autre usager de VK, Vladislav Laptev, qui l’a re-posté sur son propre mur :
Capture d’écran de la publication originelle de Vadim reprise par Vladislav Laptev. Légende d’origine : « On a tiré sur l’Ukraine toute la nuit. »
Grigoriev a réagi vite, mais pas assez. Utilisant le service Peeep.us, les Twittos ont effectué une copie complète de son copte VK aussitôt que Grigoriev a commencé à rectifier ses posts.
La copie sauvegardée comporte davantage d’images de Grigoriev et de ses camarades combattants datant de fin juillet. Les légendes des photos précisent à l’occasion qu’elles ont été prises à la frontière russo-ukrainienne.
Capture d’écran d’un message antérieur sur le mur VK de Vadim Grigoriev (à partir d’une copie sauvegardée), texte au-dessus de la photo : « Nous sommes dans les champs depuis déjà deux semaines, non lavés, à la frontière avec l’Ukraine. » (capture)
Le site web russe TJournal.ru a produit une excellente collection des preuves photographiques croissantes de la présence militaire russe à la frontière ukrainienne, toutes éliminées des comptes Vkontakte appartenant à Grigoriev et ses semblables.
Les reporters de TJournal ont trouvé d’autres posts mentionnant l’Ukraine, et découvert que l’un des amis de Grigoriev sur VK avait même publié une carte de leur trajet, commencé dans la localité d’Ordjonikidzevskaïa en Ingouchie (une région russe du Nord-Caucase) et abouti au village de Pokrovske, dans l’oblast de Rostov, à la frontière avec l’Ukraine.
Ivan Jerebtsov a publié cette photo d’un itinéraire entre l’Ingouchie et la frontière russe avec l’Ukraine – son compte a lui aussi été fermé, mais cette capture d’écran demeure. (Image aimablement autorisée par tjournal.ru)
La plupart de ces preuves sont évidemment indirectes, rien ne désigne explicitement les forces russes engageant le combat avec les Ukrainiens par-dessus la frontière—à part le post supprimé de Grigoriev.
Vadim Grigoriev apparaît dans le journal télévisé du soir de la chaîne Rossia-24 channel le 24 juillet 2014.
Le lendemain de son accession à la célébrité en ligne suivie de sa disparition de VK, Grigoriev est apparu au journal télévisé du soir, sur la chaîne d’Etat Rossia 24, pour clamer qu’il n’avait pas posté les photos incriminées. Il a affirmé qu’il n’avait pas écrit sur sa page depuis plus d’un mois, et qu’il ne s’était pas rendu compte que quelqu’un y ajoutait des photos :
Quand Grigoriev a appris que la photo devenait virale, son premier soupçon, dit-il, était que son compte avait été piraté, et il a demandé à sa famille de suspendre le compte.« C’est la première fois que j’entends ça. Je ne peux pas savoir… Je suis allé sur Vkontakte il y a peut-être un mois. Ça fait très longtemps. Aujourd’hui, en ce moment précis, je ne sais rien. »
Grigoriev a dit que les photos prétendûment prises la semaine dernière remontaient à plusieurs mois au moins. (Les photos de la frontière ukrainienne ont probablement été prises par un iPhone, que Grigoriev dit ne pas avoir eu sur lui fin juillet).« Peut-être il a été piraté. J’ai entendu qu’il arrive que Vkontakte soit piraté. Souvent, dit-on. Peut-être il a été piraté… J’ai appeIé mes parents, ma soeur, et leur ai dit de bloquer la page. Et ils ont tout enlevé. »
Si la page de Grigoriev a été effacée des serveurs de VK, des posts similaires continuent à apparaître de-ci de-là en ligne, où ils sont aussitôt immortalisés en captures d’écran par des usagers diligents de médias sociaux. Cette semaine même, des utilisateurs de Twitter ont réalisé des captures d’écran d’un autre soldat russe racontant en ligne avoir envoyé des missiles Grad en Ukraine.
La journaliste de BBC Ukraine Myroslava Petsa a publié cette capture d’écran de la page VK de Mikhaïl Tchougounov (le post originel, à présent supprimé, date du 11 juillet) :
Un nouveau jour, un nouveau soldat de Russie se vante d’attaquer l’Ukraine (Texte sur la capture d’écran : « Avec les Grads vers l’Ukraine… »)
Fiodor Morkvo a enregistré les commentaires sous un précédent post de Tchougounov :
capture d’écran
La rédactrice en chef de Hromadske TV Olga Tokariuk a également publié plusieurs captures d’écran de divers utilisateurs de VK avec le même genre de preuve :« - Départ…
- Vers où ?
- Vers où ?
- Vladimir, l’Ukraine !
- Mikhaïl, à quoi bon ?
- Vitali, il faut croire que c’est dur pour les nôtres sans nos Grads
- Mikhaïl, pas de mauvais tour aux nôtres, tire avec précision ! ») »
Encore des soldats russes qui se vantent sur les réseaux sociaux qu’ils sont en route pour l’Ukraine (Texte sur la capture d’écran : « l’Ukraine nous attend, artilleurs ! »)
D’autres jeunes soldats russes, impatients de faire étalage de leurs aventures à la frontière ukrainienne, seront probablement découverts, feront le buzz, avant de comprendre la nécessité de supprimer leurs comptes.
Certains pourraient bien être bidonnés, mais s’il n’y en a qu’un seul d’authentique, RuNet aura déterré la preuve concrète d’une agression russe contre le territoire de l’Ukraine. Chaque nouveau militaire assez imprudent pour avoir publié « bombardé l’ennemi » va-t-il se défendre avec « mon compte a été piraté » ? Les autres vont-ils résister à l’envie de prendre ce selfie traîtreusement géolocalisé ?
Post scriptum : Les autorités russes prennent déjà, semble-t-il, des dispositions pour éradiquer les selfies militaires narcissiques. Le 29 juillet, les médias russes ont rapporté que Vadim Soloviov, député communiste à la Douma, travaille à des modifications de la loi fédérale sur le service militaire qui interdiraient en substance aux appelés de poster sur les réseaux sociaux toutes photos représentant du matériel militaire ou des armes. Les informations hautement sensibles relayées par de telles images, estime le parlementaire, sapent la sécurité de l’Etat et « pourraient être utilisées par les médias occidentaux pour des provocations. » Soloviov précise que les soldats resteront autorisés à utiliser l’Internet pour la correspondance personnelle. De toutes façons, défendent les spécialistes russes, les Etats-Unis ont bien déjà des règles similaires pour leur armée.
nouvelobs.com et rue89.com
Re: L'invasion Russe en Ukraine
Oui, oui, j'ai vu le type à Odessa cette semaine (dans le parc à côté de la rue Derybasivska), tout doré mais il ne tenait plus le bouclier, juste une pomme pour se faire photographier avec les touristes. Mais il était impressionnant de réalisme quand il prenait une pose de statue. Le côté amusant, c'est qu'il avait des écouteurs dans les oreilles pour écouter de la musique pendant qu'il posait.Matt a écrit:"Maidan" living statue in Odessa
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