La propagande
+19
steven21
Krispoluk
pyxous
richard
Александр
benoit77
Thuramir
Orkeny
Janchik
dombreizh
орис
mortimer
Matt
Caduce62
tarkan
Tkatchenko
dovaking
Snafu
Tibo
23 participants
Page 19 sur 40
Page 19 sur 40 • 1 ... 11 ... 18, 19, 20 ... 29 ... 40
Re: La propagande
Moi j'aurais plutôt écrit "Ocean of nightmares" Mais, bon...
Krispoluk- Messages : 9858
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: La propagande
Chacun son point de vue . . .
D'autres se chargent de prendre position au nom des ukrainien (du Canada):
Le Congrès russe du Canada prétend exprimer également l’opinion des Ukrainiens (sic)
Le site web du Congrès russe du Canada a publié un article sur la situation en Ukraine, un an après la signature des accords de Minsk, en prétendant également s’exprimer au nom des Ukrainiens du Canada. Il affirme que depuis la signature des accords de Minsk, ce sont les soldats ukrainiens qui violent ces accords, qu’ils attaquent régulièrement la région et que les nationalistes d’extrême droite détruisent des propriétés pour terroriser la population civile.
Le Congrès accuse les autorités ukrainiennes d’être à l’origine d’une catastrophe humanitaire dans la région, qui aurait été décrite par Porochenko comme la conséquence du blocus économique du territoire. Selon l’article, « les autorités ukrainiennes ont remis à plus tard par tous les moyens possibles l’exécution complète des exigences précisées dans les accords de Minsk ». Le Congrès rajoute que les dirigeants occidentaux, comme Obama et Merkel, auraient appelé l’Ukraine à accélérer la mise en œuvre des accords de Minsk.
Capture d’écran russiancongresscanada.org
L’article se termine par un appel au gouvernement canadien à intervenir dans cette situation en tant que médiateur. Le texte s’exprime au nom des Canadiens russes mais aussi des Ukrainiens du Canada qui carractérisent, selon l’auteur, les événements à l’Est de l’Ukraine comme une guerre civile.
Pourtant, le Congrès ukrainien du Canada a commenté cette situation autrement. En particulier, quatre jours après la déclaration du Congrès russe, des Ukrainiens du Canada ont publié un article intitulé « Deux ans de la guerre menée par la Russie contre l’Ukraine ». Il estime au contraire que les Russes ont occupé la partie orientale de l’Ukraine et appelle à soutenir l’Ukraine en fournissant des armes et en renforçant les sanctions contre la Russie. Le site web de la diaspora ukrainienne du Canada n’accuse pas le gouvernement ukrainien d’être à l’origine de la guerre. Au contraire il décrit la guerre comme une conséquence de l’intervention russe.
Capture d’ecran Ukrainian Canadian Congress
D'autres se chargent de prendre position au nom des ukrainien (du Canada):
Le Congrès russe du Canada prétend exprimer également l’opinion des Ukrainiens (sic)
Le site web du Congrès russe du Canada a publié un article sur la situation en Ukraine, un an après la signature des accords de Minsk, en prétendant également s’exprimer au nom des Ukrainiens du Canada. Il affirme que depuis la signature des accords de Minsk, ce sont les soldats ukrainiens qui violent ces accords, qu’ils attaquent régulièrement la région et que les nationalistes d’extrême droite détruisent des propriétés pour terroriser la population civile.
Le Congrès accuse les autorités ukrainiennes d’être à l’origine d’une catastrophe humanitaire dans la région, qui aurait été décrite par Porochenko comme la conséquence du blocus économique du territoire. Selon l’article, « les autorités ukrainiennes ont remis à plus tard par tous les moyens possibles l’exécution complète des exigences précisées dans les accords de Minsk ». Le Congrès rajoute que les dirigeants occidentaux, comme Obama et Merkel, auraient appelé l’Ukraine à accélérer la mise en œuvre des accords de Minsk.
Capture d’écran russiancongresscanada.org
L’article se termine par un appel au gouvernement canadien à intervenir dans cette situation en tant que médiateur. Le texte s’exprime au nom des Canadiens russes mais aussi des Ukrainiens du Canada qui carractérisent, selon l’auteur, les événements à l’Est de l’Ukraine comme une guerre civile.
Pourtant, le Congrès ukrainien du Canada a commenté cette situation autrement. En particulier, quatre jours après la déclaration du Congrès russe, des Ukrainiens du Canada ont publié un article intitulé « Deux ans de la guerre menée par la Russie contre l’Ukraine ». Il estime au contraire que les Russes ont occupé la partie orientale de l’Ukraine et appelle à soutenir l’Ukraine en fournissant des armes et en renforçant les sanctions contre la Russie. Le site web de la diaspora ukrainienne du Canada n’accuse pas le gouvernement ukrainien d’être à l’origine de la guerre. Au contraire il décrit la guerre comme une conséquence de l’intervention russe.
Capture d’ecran Ukrainian Canadian Congress
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Caduce62- Messages : 15239
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
Re: La propagande
En Allemagne aussi la guerre de la propagande russe fait rage:
http://www.bfmtv.com/international/la-russie-mene-une-campagne-pour-destabiliser-l-allemagne-958012.html
benoit77- Messages : 2859
Date d'inscription : 17/09/2014
Re: La propagande
Un article allemand sur la propagande russe dans l'UE
Lien vers les six pages de l’article
http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/putin-manipuliert-gezielte-medienkampagne-gegen-deutschland-14117555.html
http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/putin-manipuliert-gezielte-medienkampagne-gegen-deutschland-14117555-p2.html
http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/putin-manipuliert-gezielte-medienkampagne-gegen-deutschland-14117555-p3.html
http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/putin-manipuliert-gezielte-medienkampagne-gegen-deutschland-14117555-p4.html
http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/putin-manipuliert-gezielte-medienkampagne-gegen-deutschland-14117555-p5.html
http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/putin-manipuliert-gezielte-medienkampagne-gegen-deutschland-14117555-p6.html
L'article est cité ici : http://www.pravda.com.ua/rus/news/2016/03/13/7101901/
Lien vers les six pages de l’article
http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/putin-manipuliert-gezielte-medienkampagne-gegen-deutschland-14117555.html
http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/putin-manipuliert-gezielte-medienkampagne-gegen-deutschland-14117555-p2.html
http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/putin-manipuliert-gezielte-medienkampagne-gegen-deutschland-14117555-p3.html
http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/putin-manipuliert-gezielte-medienkampagne-gegen-deutschland-14117555-p4.html
http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/putin-manipuliert-gezielte-medienkampagne-gegen-deutschland-14117555-p5.html
http://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskrise/putin-manipuliert-gezielte-medienkampagne-gegen-deutschland-14117555-p6.html
L'article est cité ici : http://www.pravda.com.ua/rus/news/2016/03/13/7101901/
benoit77- Messages : 2859
Date d'inscription : 17/09/2014
Re: La propagande
http://www.smh.com.au/world/finnish-journalists-jessikka-aros-inquiry-into-russian-trolls-stirs-up-a-hornets-nest-20160310-gng8rk.html
Finnish journalist Jessikka Aro's inquiry into Russian trolls stirs up a hornet's nest
A producer of the viral Russian propaganda video I, Russian Invader reveals to Fairfax Media on Thursday that the video was secretly funded by the Russian Orthodox Church.
Soon after Jessikka Aro poked the trolls, they started to stir.
In one of the early calls, someone phoned her mobile and fired a gun.
All these horrible things [they say] have given me this feeling of fear sometimes. They stalk me all the time. They stalk everything that I do on social media.
Jessikka Aro
"[It was] a Ukrainian number," says the 35-year-old Finnish journalist. "It was like the sound of a firing gun. I tried to ask in Russian, 'Who are you? I'm listening to you,' but he didn't say anything. It was just shooting."
Jessikka Aro, a Finnish journalist who's been the subject of a sustained attack by Russian propaganda trolls ever since she started investigating them. Photo: supplied
Undaunted, she kept poking. And the growls have been getting louder.
Last spring someone sent her a text message pretending to be from her father – who died 20 years ago – telling her he was "watching her".
Another wrote a song, mocking her as a bimbo "James Bond" NATO agent with a drug habit. There is even a music video online, with Aro portrayed by an actress in a leotard and wig. It would be funny if it wasn't dripping with venom.
And just a few weeks ago there was a blog post. Someone had trawled through old court records and found a copy of Aro's 12-year-old fine for amphetamine possession, twisting it into outrageous claims of addiction and drug dealing.
Personal attacks on journalists are nothing new. But the case of Jessikka Aro is considered extraordinary by European Union officials familiar with this and other cases.
They told Fairfax Media it was a case study of Russia's escalating "information war" against the West, an increasingly sophisticated and well-resourced operation that already counts the annexation of Crimea among its successes.
Aro is an investigative journalist with Finnish Broadcasting Company Yle. All her life she has been fascinated by Russia, she says – "it's my favourite topic, really" – she finds Russian society "interesting, fascinating and also a bit scary".
Finland's history makes its bigger, stronger neighbour an enduring presence in its culture and politics.
Aro had been writing about jihadist propaganda, and noticed reports about Russia's "troll factories", reportedly Kremlin-funded set-ups pumping out fabricated news and propagandist social media commentary: regurgitated misinformation from the bowels of the internet.
So in September 2014 she crowdsourced an article, asking Finns "to help look for trolls, [tell me,] how do the trolls act, how do they work, what is their influence in Finnish public opinion?
"I got something like 200 responses and information," she says. "I also got so much trolling."
A few days later Finnish pro-Russian activist Johan Backman got involved. Last year he was appointed the "official representative" of the Russian Institute for Strategic Studies in the Nordic countries. RISS was founded by Russian President Vladimir Putin, as a think tank/lobby group funded by the Kremlin to promote its policies and interests, domestically and in Bulgaria, Turkey, Finland and France.
But Aro says Backman was doing more than just disagreeing with her journalism.
"He started to fill the internet ... with disinformation about me being some kind of helper of the United States and Estonia and other countries' intelligence services or security and police services," Aro says. "[He was] claiming – lying – that I am collecting some kind of illegal database of Putin supporters in Finland. And that it's criminal.
"He was doing very active campaigning against me."
Fairfax Media put a list of questions to Backman but he had not responded at the time of writing.
According to a report from a Finnish news agency, police last week launched an investigation into Backman and the chief editor of a news blog, MV Online, in relation to the persecution and defamation of Aro.
Backman stirred up the trolls, Aro says. Soon after she began to receive "very disturbing messages, absurd messages, trolling messages" in Russian, English and Finnish, on the internet and by phone. And over time – as she has written more stories about their activities – they have just become worse.
"All these horrible things [they say] have given me this feeling of fear sometimes. They stalk me all the time. They stalk everything that I do on social media. They take my pictures and add them to [false blogs]."
They "repurposed" her holiday photos, they emailed editors and politicians to call for her sacking. They even stalk her friends.
At one point, one offered to "play down" the hate speech against her if she apologised and promised to stop writing about pro-Russian trolls – an offer Aro considered blackmail.
Such trolls, Aro says, are having an unhealthy impact on freedom of speech and democracy more broadly.
Aro says she has spotted some "high-profile officials" in the Finnish parliament lurking on troll groups on social media.
And she says ordinary Finns who are exposed to troll misinformation have "told me that they have started to lose touch with what is true and what is not true ... for example, in the Ukraine crisis they don't know what is a fact and what's not, because trolls mess up the conversation".
Some of those attacking her say they are just exercising freedom of political speech. Aro has no time for that argument. In fact they are trying to suppress other people's free speech through aggression, she says.
An EU official who has been studying Russian propaganda – and who spoke to Fairfax Media on condition of anonymity – says Aro's case is "quite extraordinary".
"I'm actually surprised this is happening in the EU," he says.
The amount of resources being put into an attempt to bully Aro was remarkable. "Not only money but also people. The purpose: intimidation ... to kill the debate."
However, Aro is far from the only victim, nor the only topic of pro-Russian trolling, misinformation and propaganda, the official says.
"You go through the disinformation stories around the continent and you see the very same article launched at some minor Russian blog site, then multiplied by 15, 20 different web pages and then gets back to the Russian media who can say, 'Oh, ISIS fighters have joined the Ukrainian armed forces.'
"It is organised to serve the purposes of the Kremlin."
The official says the propaganda takes different forms in different countries: in Britain it exploits the Brexit issue, in the former Soviet bloc it tries to drive a wedge between countries over Middle Eastern refugees.
Prior to Russia's annexation of Crimea, the official says, a flood of disinformation clouded claims that Russian troops had entered the Ukraine province.
"It showed that disinformation can affect our political decision-making," he says.
More recently, a claim emerged – since admitted false – that a 13-year-old Russian-German girl was raped by a Middle Eastern or North African refugee in Berlin. The claim was spread and outrage stoked by pro-Russian trolls, even sparking a protest on the streets of Berlin, and then was stirred further by the Russian Foreign Minister before the whole story was found to be a hoax.
"This is a serious problem that doesn't just affect the Ukraine or Baltic states but also a huge part of Europe," the official says.
He puts credence in a theory that the troll network is used to "road-test" conspiracy theories, seeding six or seven competing pieces of propaganda or misinformation and letting the Darwinian world of online information exchange prove which is the hardiest – which is then republished by more conventional media. It's a system applied, for example, to the shooting down of Malaysia Airlines flight MH17 in 2014.
"One of the biggest problems is we don't have a clue how much money they put into this," the official says. "We do not have clue how much media there are, how many people they target, how many people they reach. We can only guess from the results.
"The aim is not to make you love Putin. The aim is to make you disbelieve anything. A disbelieving, fragile, unconscious audience is much easier to manipulate."
But Aro says she is undaunted, going up against these foes.
"The best thing I can do is to just publish everything that happens to me. That's also what my audience wants.
"I don't want to be portrayed as some kind of crying victim. Yes, I cry sometimes, but most of the time I just do my articles and don't care."
Finnish journalist Jessikka Aro's inquiry into Russian trolls stirs up a hornet's nest
A producer of the viral Russian propaganda video I, Russian Invader reveals to Fairfax Media on Thursday that the video was secretly funded by the Russian Orthodox Church.
Soon after Jessikka Aro poked the trolls, they started to stir.
In one of the early calls, someone phoned her mobile and fired a gun.
All these horrible things [they say] have given me this feeling of fear sometimes. They stalk me all the time. They stalk everything that I do on social media.
Jessikka Aro
"[It was] a Ukrainian number," says the 35-year-old Finnish journalist. "It was like the sound of a firing gun. I tried to ask in Russian, 'Who are you? I'm listening to you,' but he didn't say anything. It was just shooting."
Jessikka Aro, a Finnish journalist who's been the subject of a sustained attack by Russian propaganda trolls ever since she started investigating them. Photo: supplied
Undaunted, she kept poking. And the growls have been getting louder.
Last spring someone sent her a text message pretending to be from her father – who died 20 years ago – telling her he was "watching her".
Another wrote a song, mocking her as a bimbo "James Bond" NATO agent with a drug habit. There is even a music video online, with Aro portrayed by an actress in a leotard and wig. It would be funny if it wasn't dripping with venom.
And just a few weeks ago there was a blog post. Someone had trawled through old court records and found a copy of Aro's 12-year-old fine for amphetamine possession, twisting it into outrageous claims of addiction and drug dealing.
Personal attacks on journalists are nothing new. But the case of Jessikka Aro is considered extraordinary by European Union officials familiar with this and other cases.
They told Fairfax Media it was a case study of Russia's escalating "information war" against the West, an increasingly sophisticated and well-resourced operation that already counts the annexation of Crimea among its successes.
Aro is an investigative journalist with Finnish Broadcasting Company Yle. All her life she has been fascinated by Russia, she says – "it's my favourite topic, really" – she finds Russian society "interesting, fascinating and also a bit scary".
Finland's history makes its bigger, stronger neighbour an enduring presence in its culture and politics.
Aro had been writing about jihadist propaganda, and noticed reports about Russia's "troll factories", reportedly Kremlin-funded set-ups pumping out fabricated news and propagandist social media commentary: regurgitated misinformation from the bowels of the internet.
So in September 2014 she crowdsourced an article, asking Finns "to help look for trolls, [tell me,] how do the trolls act, how do they work, what is their influence in Finnish public opinion?
"I got something like 200 responses and information," she says. "I also got so much trolling."
A few days later Finnish pro-Russian activist Johan Backman got involved. Last year he was appointed the "official representative" of the Russian Institute for Strategic Studies in the Nordic countries. RISS was founded by Russian President Vladimir Putin, as a think tank/lobby group funded by the Kremlin to promote its policies and interests, domestically and in Bulgaria, Turkey, Finland and France.
But Aro says Backman was doing more than just disagreeing with her journalism.
"He started to fill the internet ... with disinformation about me being some kind of helper of the United States and Estonia and other countries' intelligence services or security and police services," Aro says. "[He was] claiming – lying – that I am collecting some kind of illegal database of Putin supporters in Finland. And that it's criminal.
"He was doing very active campaigning against me."
Fairfax Media put a list of questions to Backman but he had not responded at the time of writing.
According to a report from a Finnish news agency, police last week launched an investigation into Backman and the chief editor of a news blog, MV Online, in relation to the persecution and defamation of Aro.
Backman stirred up the trolls, Aro says. Soon after she began to receive "very disturbing messages, absurd messages, trolling messages" in Russian, English and Finnish, on the internet and by phone. And over time – as she has written more stories about their activities – they have just become worse.
"All these horrible things [they say] have given me this feeling of fear sometimes. They stalk me all the time. They stalk everything that I do on social media. They take my pictures and add them to [false blogs]."
They "repurposed" her holiday photos, they emailed editors and politicians to call for her sacking. They even stalk her friends.
At one point, one offered to "play down" the hate speech against her if she apologised and promised to stop writing about pro-Russian trolls – an offer Aro considered blackmail.
Such trolls, Aro says, are having an unhealthy impact on freedom of speech and democracy more broadly.
Aro says she has spotted some "high-profile officials" in the Finnish parliament lurking on troll groups on social media.
And she says ordinary Finns who are exposed to troll misinformation have "told me that they have started to lose touch with what is true and what is not true ... for example, in the Ukraine crisis they don't know what is a fact and what's not, because trolls mess up the conversation".
Some of those attacking her say they are just exercising freedom of political speech. Aro has no time for that argument. In fact they are trying to suppress other people's free speech through aggression, she says.
An EU official who has been studying Russian propaganda – and who spoke to Fairfax Media on condition of anonymity – says Aro's case is "quite extraordinary".
"I'm actually surprised this is happening in the EU," he says.
The amount of resources being put into an attempt to bully Aro was remarkable. "Not only money but also people. The purpose: intimidation ... to kill the debate."
However, Aro is far from the only victim, nor the only topic of pro-Russian trolling, misinformation and propaganda, the official says.
"You go through the disinformation stories around the continent and you see the very same article launched at some minor Russian blog site, then multiplied by 15, 20 different web pages and then gets back to the Russian media who can say, 'Oh, ISIS fighters have joined the Ukrainian armed forces.'
"It is organised to serve the purposes of the Kremlin."
The official says the propaganda takes different forms in different countries: in Britain it exploits the Brexit issue, in the former Soviet bloc it tries to drive a wedge between countries over Middle Eastern refugees.
Prior to Russia's annexation of Crimea, the official says, a flood of disinformation clouded claims that Russian troops had entered the Ukraine province.
"It showed that disinformation can affect our political decision-making," he says.
More recently, a claim emerged – since admitted false – that a 13-year-old Russian-German girl was raped by a Middle Eastern or North African refugee in Berlin. The claim was spread and outrage stoked by pro-Russian trolls, even sparking a protest on the streets of Berlin, and then was stirred further by the Russian Foreign Minister before the whole story was found to be a hoax.
"This is a serious problem that doesn't just affect the Ukraine or Baltic states but also a huge part of Europe," the official says.
He puts credence in a theory that the troll network is used to "road-test" conspiracy theories, seeding six or seven competing pieces of propaganda or misinformation and letting the Darwinian world of online information exchange prove which is the hardiest – which is then republished by more conventional media. It's a system applied, for example, to the shooting down of Malaysia Airlines flight MH17 in 2014.
"One of the biggest problems is we don't have a clue how much money they put into this," the official says. "We do not have clue how much media there are, how many people they target, how many people they reach. We can only guess from the results.
"The aim is not to make you love Putin. The aim is to make you disbelieve anything. A disbelieving, fragile, unconscious audience is much easier to manipulate."
But Aro says she is undaunted, going up against these foes.
"The best thing I can do is to just publish everything that happens to me. That's also what my audience wants.
"I don't want to be portrayed as some kind of crying victim. Yes, I cry sometimes, but most of the time I just do my articles and don't care."
Caduce62- Messages : 15239
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
Re: La propagande
Un coup d'avance pour Poutine sur l'échiquier syrien
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: La propagande
Disinformation Digest
Analysis: The five principles
[*]Analysis: Sputnik vanished from the Nordic countries
[*]Analysis: Lost in translation
[*]Infographic: EU response to illegal annexation of Crimea
[*]Video: EU and Moldova meet to discuss reforms
[*]Friday fun: Sausages out!
Analysis: The five principles
[*]Analysis: Sputnik vanished from the Nordic countries
[*]Analysis: Lost in translation
[*]Infographic: EU response to illegal annexation of Crimea
[*]Video: EU and Moldova meet to discuss reforms
[*]Friday fun: Sausages out!
|
|
|
|
|
|
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: La propagande
«Vovan» et «Lexus», farceurs présidentiels russes
Par Veronika Dorman, correspondante à Moscou — 18 mars 2016 à 10:45
Vladimir Kouznetsov et Alexei Stolyarov piègent des chefs d'Etat. Ils se sont aussi fait passer pour Poutine auprès d'Elton John. Ils veulent faire rire , mais jamais aux dépens du pouvoir russe.
Si la pilote ukrainienne Nadejda Savtchenko, en grève de la faim et de la soif depuis le 3 mars, a recommencé au moins à boire, c’est grâce à deux farceurs russes. Vladimir Kouznetsov, alias Vovan, et Alexei Stolyarov, alias Lexus, ont réussi à berner l’un des avocats de la militaire, qui attend actuellement son jugement, accusée d’avoir aiguillé des tirs de mortier ayant causé la mort de deux journalistes russes dans le Donbass à l’été 2014. Au lendemain du dernier mot de l’accusée devant le tribunal de Donetsk, une petite ville du sud de la Russie, limitrophe de l’Ukraine (à ne pas confondre avec la «capitale» du Donbass), son avocat, Mark Feïguine, recevait, à la suite d’une conversation téléphonique avec un «employé de l’administration du président ukrainien» (en fait Lexus), un courrier, prétendument adressé par Petro Porochenko à Savtchenko, l’appelant à recommencer à se nourrir et lui proposant un poste ministériel après sa libération.
«Notre objectif est avant tout journalistique», assurent les deux «prankers» (terme utilisé en russe, déformation de l’anglais prankster, farceur), rencontrés dans un café moscovite. «Nous voulions que Savtchenko arrête de mettre sa vie en danger et que le président ukrainien finisse par vraiment s’intéresser à son cas, au-delà des simples déclarations.» Ils jubilent. L’avocat Feïguine fulmine. Il a d’abord publié la lettre, un simple texte tapé à l’ordinateur, sans signature ni cachet, avant de signaler le faux. Depuis, il crie au complot des services secrets russes et se répand en insultes au sujet des farceurs sur son compte Twitter.
Kouznetsov, 30 ans, allure smart et regard rieur, est originaire de Krasnodar, ville du sud de la Russie proche de la mer Noire ; Stolyarov, un gars patibulaire de 28 ans, vit toujours à Ekaterinbourg. Ils ont commencé à collaborer en 2014, quand ils ont piégé Mikhail Saakachvili, l’ancien président géorgien et actuel gouverneur d’Odessa, en se faisant passer pour le ministre de l’Intérieur ukrainien, Arsen Avakov, à la recherche de contacts au sein du département d’Etat américain pour lever des fonds afin de lutter contre la Russie.
«Elton John nous en doit une»
Leur meilleur coup à ce jour ? S’être fait passer pour Vladimir Poutine et son porte-parole, Dmitri Peskov, en appelant le chanteur britannique Elton John pour aborder les problèmes de la communauté LGBT (lesbiennes, gays, bi et trans) en Russie. Résultat : Poutine a vraiment contacté la star pop, en s’excusant pour les farceurs et proposant une vraie rencontre. «Elton John nous en doit une. Grâce à nous, il a vraiment parlé avec Poutine», s’amuse Vovan.
Stolyarov se targue aussi d’avoir tiré les vers du nez de l’oligarque ukrainien Igor Kolomoïski, en se déguisant pendant trois mois en Pavel Goubarev, le chef de la république autoproclamée de Donetsk de l’époque. «Tous les soirs, durant des semaines, nous avons parlé sur Skype. Il buvait une bouteille de whisky et commençait à me raconter des secrets d’Etat», assure Lexus, qui ressemble effectivement un peu à Goubarev, tandis que Vovan exhibe sur son iPhone une capture d’écran de ces fameuses conversations.
Les «prankers» jouissent d’une grande notoriété, mais on ne les soupçonne pas moins d’être de mèche avec les services secrets russes. Sinon, comment expliquer qu’ils arrivent à joindre au téléphone des présidents et des Premiers ministres ? «Nous avons nos méthodes de recrutement de complices, se défendent-ils. Nous savons solliciter qui il faut à chaque étape de la chaîne de communication, mais nous ne collaborons avec personne. Les services secrets ne travaillent pas comme ça.»
Discussion avec Erdogan
Explications aussi évasives que peu convaincantes. D’autant plus que leurs sujets de prédilection sont souvent liés aux tensions diplomatiques du moment. Comme ce coup de fil au président turc, Recep Erdogan, en pleine crise entre Moscou et Ankara, après la descente par l’armée turque d’un bombardier russe, en novembre. En se faisant passer pour le président ukrainien, Petro Porochenko, et son Premier ministre, Arseni Iatseniouk, Vovan et Lexus ont discuté avec Erdogan de la détérioration de ses relations avec Poutine et de son refus de présenter des excuses.
S’ils n’hésitent pas à piéger des chefs d’Etat étrangers, pas question de mettre en porte-à-faux les dirigeants russes. «Nous ne voulons pas nuire à notre pays, nous ne voulons pas que des gens mal intentionnés puissent spéculer sur nos enregistrements à des fins politiques. Nous ne nous moquerons pas de Poutine», explique très sérieusement Lexus, le plus patriote des deux, sans la moindre ironie. Vovan, de tempérament clairement plus goguenard, et se prenant visiblement un peu moins au sérieux, ajoute que «l’idée de départ est quand même de s’amuser».
Veronika Dorman correspondante à Moscou
Par Veronika Dorman, correspondante à Moscou — 18 mars 2016 à 10:45
Vladimir Kouznetsov et Alexei Stolyarov piègent des chefs d'Etat. Ils se sont aussi fait passer pour Poutine auprès d'Elton John. Ils veulent faire rire , mais jamais aux dépens du pouvoir russe.
Si la pilote ukrainienne Nadejda Savtchenko, en grève de la faim et de la soif depuis le 3 mars, a recommencé au moins à boire, c’est grâce à deux farceurs russes. Vladimir Kouznetsov, alias Vovan, et Alexei Stolyarov, alias Lexus, ont réussi à berner l’un des avocats de la militaire, qui attend actuellement son jugement, accusée d’avoir aiguillé des tirs de mortier ayant causé la mort de deux journalistes russes dans le Donbass à l’été 2014. Au lendemain du dernier mot de l’accusée devant le tribunal de Donetsk, une petite ville du sud de la Russie, limitrophe de l’Ukraine (à ne pas confondre avec la «capitale» du Donbass), son avocat, Mark Feïguine, recevait, à la suite d’une conversation téléphonique avec un «employé de l’administration du président ukrainien» (en fait Lexus), un courrier, prétendument adressé par Petro Porochenko à Savtchenko, l’appelant à recommencer à se nourrir et lui proposant un poste ministériel après sa libération.
«Notre objectif est avant tout journalistique», assurent les deux «prankers» (terme utilisé en russe, déformation de l’anglais prankster, farceur), rencontrés dans un café moscovite. «Nous voulions que Savtchenko arrête de mettre sa vie en danger et que le président ukrainien finisse par vraiment s’intéresser à son cas, au-delà des simples déclarations.» Ils jubilent. L’avocat Feïguine fulmine. Il a d’abord publié la lettre, un simple texte tapé à l’ordinateur, sans signature ni cachet, avant de signaler le faux. Depuis, il crie au complot des services secrets russes et se répand en insultes au sujet des farceurs sur son compte Twitter.
Kouznetsov, 30 ans, allure smart et regard rieur, est originaire de Krasnodar, ville du sud de la Russie proche de la mer Noire ; Stolyarov, un gars patibulaire de 28 ans, vit toujours à Ekaterinbourg. Ils ont commencé à collaborer en 2014, quand ils ont piégé Mikhail Saakachvili, l’ancien président géorgien et actuel gouverneur d’Odessa, en se faisant passer pour le ministre de l’Intérieur ukrainien, Arsen Avakov, à la recherche de contacts au sein du département d’Etat américain pour lever des fonds afin de lutter contre la Russie.
«Elton John nous en doit une»
Leur meilleur coup à ce jour ? S’être fait passer pour Vladimir Poutine et son porte-parole, Dmitri Peskov, en appelant le chanteur britannique Elton John pour aborder les problèmes de la communauté LGBT (lesbiennes, gays, bi et trans) en Russie. Résultat : Poutine a vraiment contacté la star pop, en s’excusant pour les farceurs et proposant une vraie rencontre. «Elton John nous en doit une. Grâce à nous, il a vraiment parlé avec Poutine», s’amuse Vovan.
Stolyarov se targue aussi d’avoir tiré les vers du nez de l’oligarque ukrainien Igor Kolomoïski, en se déguisant pendant trois mois en Pavel Goubarev, le chef de la république autoproclamée de Donetsk de l’époque. «Tous les soirs, durant des semaines, nous avons parlé sur Skype. Il buvait une bouteille de whisky et commençait à me raconter des secrets d’Etat», assure Lexus, qui ressemble effectivement un peu à Goubarev, tandis que Vovan exhibe sur son iPhone une capture d’écran de ces fameuses conversations.
Les «prankers» jouissent d’une grande notoriété, mais on ne les soupçonne pas moins d’être de mèche avec les services secrets russes. Sinon, comment expliquer qu’ils arrivent à joindre au téléphone des présidents et des Premiers ministres ? «Nous avons nos méthodes de recrutement de complices, se défendent-ils. Nous savons solliciter qui il faut à chaque étape de la chaîne de communication, mais nous ne collaborons avec personne. Les services secrets ne travaillent pas comme ça.»
Discussion avec Erdogan
Explications aussi évasives que peu convaincantes. D’autant plus que leurs sujets de prédilection sont souvent liés aux tensions diplomatiques du moment. Comme ce coup de fil au président turc, Recep Erdogan, en pleine crise entre Moscou et Ankara, après la descente par l’armée turque d’un bombardier russe, en novembre. En se faisant passer pour le président ukrainien, Petro Porochenko, et son Premier ministre, Arseni Iatseniouk, Vovan et Lexus ont discuté avec Erdogan de la détérioration de ses relations avec Poutine et de son refus de présenter des excuses.
S’ils n’hésitent pas à piéger des chefs d’Etat étrangers, pas question de mettre en porte-à-faux les dirigeants russes. «Nous ne voulons pas nuire à notre pays, nous ne voulons pas que des gens mal intentionnés puissent spéculer sur nos enregistrements à des fins politiques. Nous ne nous moquerons pas de Poutine», explique très sérieusement Lexus, le plus patriote des deux, sans la moindre ironie. Vovan, de tempérament clairement plus goguenard, et se prenant visiblement un peu moins au sérieux, ajoute que «l’idée de départ est quand même de s’amuser».
Veronika Dorman correspondante à Moscou
Caduce62- Messages : 15239
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
Re: La propagande
Caduce62 a écrit:«Vovan» et «Lexus», farceurs présidentiels russes
.....
S’ils n’hésitent pas à piéger des chefs d’Etat étrangers, pas question de mettre en porte-à-faux les dirigeants russes. «Nous ne voulons pas nuire à notre pays, nous ne voulons pas que des gens mal intentionnés puissent spéculer sur nos enregistrements à des fins politiques. Nous ne nous moquerons pas de Poutine», explique très sérieusement Lexus, le plus patriote des deux, sans la moindre ironie. Vovan, de tempérament clairement plus goguenard, et se prenant visiblement un peu moins au sérieux, ajoute que «l’idée de départ est quand même de s’amuser».
Veronika Dorman correspondante à Moscou
Il est assez clair que ce ne sont pas des journalistes ni des farceurs mais des idiots utiles qui servent les seuls intérêts du Kremlin.
Il veulent dénoncer mais pas toucher à Poutine .Alors pourquoi ne piège t-il pas Tchaika et tout les autres corrompus ? réponse : parce qu'ils en croquent. ils sont des pièces du système.
benoit77- Messages : 2859
Date d'inscription : 17/09/2014
Re: La propagande
J'ai posté par ailleur cet article, parce qu'ils sont à l'origine de la fin de la grève totale de la faim de Nadiya Savchenko.
On leur doit bien ça.
On leur doit bien ça.
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: La propagande
Александр a écrit:J'ai posté par ailleur cet article, parce qu'ils sont à l'origine de la fin de la grève totale de la faim de Nadiya Savchenko.
On leur doit bien ça.
Euh... Oui... Si l'on veut, quand même
Interprétation un peu tirée par les cheveux quand même !!! Ce sont des idiots (peut-être pas si idiots que ça...) très utiles au Kremlin, l'une des tentacules indispensables à la pieuvre poutinienne :
Message :"Vous voyez bien que c'est la démocratie en Russie, car il y a même des farceurs et des humoristes !" Tu parles ! Etroitement contrôlés et même savamment dirigés par le FSB, oui
Krispoluk- Messages : 9858
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: La propagande
La propagande (censure) selon le Figaro:
Quelques exemples de mes commentaires censurés par les modérateurs du torchon
LE pont (celui de Kiev) serait finie si l’Ukraine n'avait pas un envahiseur-voleur à sa frontière Est . Vous le savez trop bien puisque nous ne cessez pas de vanter l’agression russe. Vous feriez mieux de cotiser pour les cargo 200 qui retourne à Rostov . Les familles russe endeuillés n'ont plus rien à part des menaces du FSB si elles parlent. Le pont de Crimée se construit sur le sang des russes . sur Vladimir Poutine inaugure un projet de pont entre la Russie et la Crimée
19:30, le 18
comme le guignol Graham Phillip ! fait moi rire encore !
sur Vladimir Poutine inaugure un projet de pont entre la Russie et la Crimée
18:47, le 18
En matières de travlaux bien fait, faites confiance à Poutine :
http://www.lesoir.be/408774/article/sports/jo/2014-01-22/aux-jo-pour-un-budget-multiplie-par-cinq-toilettes-sont-en-double
sur Vladimir Poutine inaugure un projet de pont entre la Russie et la Crimée
18:41, le 18/03/2016
quelle bouffonnerie ! "des russes de Crimée ont voté massivement ". Merci de cette précision : Les Russes de Crimée n'avaient pas le droit de vote en Crimée lorsque qu'elle dépendait de l’Ukraine ! Vous venez juste de fournir une énième preuve que le vote était bidon et illégal ! Merci aux idiots utiles fan du huilo.
sur Vladimir Poutine inaugure un projet de pont entre la Russie et la Crimée
18:30, le 18/03/2016
Ah ouais ! PT de rire ! c'est pour cela que des routes sont fraichement pavées puis le lendemain de la visite du mafieux au pouvoir , les russes retirent les pavés pour ne laisser qu'un chemin de terre !
sur Vladimir Poutine inaugure un projet de pont entre la Russie et la Crimée
18:25, le 18/03/2016
Jusqu'à 1918, il n'y avait jamais eu d'Ukraine au sens contemporain du terme
a pisser de rire de lire autant d'ignorance !
L’Ukraine existait 1 siècle avant
"L'Ukraine a toujours aspiré à être libre" - Voltaire, Histoire de Charles XII, 1731
et le popov il parle de culture ! je me marre! Les popovs sont des bouffons et leur fédérations une tartufferie suicidaire.
sur Ukraine: la dernière statue de Lénine abattue
19:43, le 17/03/2016
Le mal que l’Allemagne à fait à la France est aussi le fait de la Russie. Le pacte russo-germanique vous connaissez pas ? Les millions de tonnes de pétrole gaz et minerais fournis par staline à hitler pour faire fonctionner la machine de guerre nazis, vous connaissez-pas ?
C'est sur que non pour dire de telles âneries.
sur Ukraine: la dernière statue de Lénine abattue 19:37, le 17/03/2016
Le seul à être publié malgré la censure :
Et oui! l'Ukraine ne voulait pas payer la moitié correspondant a la corruption des russes comme Tchaika et tous les autres pourris du système Poutine.
sur Vladimir Poutine inaugure un projet de pont entre la Russie et la Crimée 18:32, le 18/03/2016
Bref, j'ai maintenant la confirmation que les modérateurs du Figaro sont clairement en faveur des commentaires des Poutinophiles qui eux sont libres d'user de tous propos , en particulier ceux cassent la France et son actuel gouvernement .
On ne s’étonnera plus que la propagande Russe rentre dans nos médias comme dans du beurre.
Quelques exemples de mes commentaires censurés par les modérateurs du torchon
LE pont (celui de Kiev) serait finie si l’Ukraine n'avait pas un envahiseur-voleur à sa frontière Est . Vous le savez trop bien puisque nous ne cessez pas de vanter l’agression russe. Vous feriez mieux de cotiser pour les cargo 200 qui retourne à Rostov . Les familles russe endeuillés n'ont plus rien à part des menaces du FSB si elles parlent. Le pont de Crimée se construit sur le sang des russes . sur Vladimir Poutine inaugure un projet de pont entre la Russie et la Crimée
19:30, le 18
comme le guignol Graham Phillip ! fait moi rire encore !
sur Vladimir Poutine inaugure un projet de pont entre la Russie et la Crimée
18:47, le 18
En matières de travlaux bien fait, faites confiance à Poutine :
http://www.lesoir.be/408774/article/sports/jo/2014-01-22/aux-jo-pour-un-budget-multiplie-par-cinq-toilettes-sont-en-double
sur Vladimir Poutine inaugure un projet de pont entre la Russie et la Crimée
18:41, le 18/03/2016
quelle bouffonnerie ! "des russes de Crimée ont voté massivement ". Merci de cette précision : Les Russes de Crimée n'avaient pas le droit de vote en Crimée lorsque qu'elle dépendait de l’Ukraine ! Vous venez juste de fournir une énième preuve que le vote était bidon et illégal ! Merci aux idiots utiles fan du huilo.
sur Vladimir Poutine inaugure un projet de pont entre la Russie et la Crimée
18:30, le 18/03/2016
Ah ouais ! PT de rire ! c'est pour cela que des routes sont fraichement pavées puis le lendemain de la visite du mafieux au pouvoir , les russes retirent les pavés pour ne laisser qu'un chemin de terre !
sur Vladimir Poutine inaugure un projet de pont entre la Russie et la Crimée
18:25, le 18/03/2016
Jusqu'à 1918, il n'y avait jamais eu d'Ukraine au sens contemporain du terme
a pisser de rire de lire autant d'ignorance !
L’Ukraine existait 1 siècle avant
"L'Ukraine a toujours aspiré à être libre" - Voltaire, Histoire de Charles XII, 1731
et le popov il parle de culture ! je me marre! Les popovs sont des bouffons et leur fédérations une tartufferie suicidaire.
sur Ukraine: la dernière statue de Lénine abattue
19:43, le 17/03/2016
Le mal que l’Allemagne à fait à la France est aussi le fait de la Russie. Le pacte russo-germanique vous connaissez pas ? Les millions de tonnes de pétrole gaz et minerais fournis par staline à hitler pour faire fonctionner la machine de guerre nazis, vous connaissez-pas ?
C'est sur que non pour dire de telles âneries.
sur Ukraine: la dernière statue de Lénine abattue 19:37, le 17/03/2016
Le seul à être publié malgré la censure :
Et oui! l'Ukraine ne voulait pas payer la moitié correspondant a la corruption des russes comme Tchaika et tous les autres pourris du système Poutine.
sur Vladimir Poutine inaugure un projet de pont entre la Russie et la Crimée 18:32, le 18/03/2016
Bref, j'ai maintenant la confirmation que les modérateurs du Figaro sont clairement en faveur des commentaires des Poutinophiles qui eux sont libres d'user de tous propos , en particulier ceux cassent la France et son actuel gouvernement .
On ne s’étonnera plus que la propagande Russe rentre dans nos médias comme dans du beurre.
benoit77- Messages : 2859
Date d'inscription : 17/09/2014
Re: La propagande
Autre exemple de servitude de nos médias poutinophiles
http://www.lepoint.fr/invites-du-point/caroline-galacteros/galacteros-la-russie-se-retire-de-syrie-ou-l-art-de-mener-la-danse-18-03-2016-2026367_2425.php
très subtile :
"Le mandat des forces russes engagées, sur requête officielle du gouvernement syrien, dans leur première opération militaire en dehors des frontières de l'ex-Union soviétique depuis la guerre d'Afghanistan (1979-1989), était en effet clair et limité : « stabiliser les autorités légitimes et créer les conditions pour la mise en œuvre d'un compromis politique »."
http://www.lepoint.fr/invites-du-point/caroline-galacteros/galacteros-la-russie-se-retire-de-syrie-ou-l-art-de-mener-la-danse-18-03-2016-2026367_2425.php
très subtile :
"Le mandat des forces russes engagées, sur requête officielle du gouvernement syrien, dans leur première opération militaire en dehors des frontières de l'ex-Union soviétique depuis la guerre d'Afghanistan (1979-1989), était en effet clair et limité : « stabiliser les autorités légitimes et créer les conditions pour la mise en œuvre d'un compromis politique »."
benoit77- Messages : 2859
Date d'inscription : 17/09/2014
Re: La propagande
benoit77 a écrit:La propagande (censure) selon le Figaro:
Quelques exemples de mes commentaires censurés par les modérateurs du torchon
On ne s’étonnera plus que la propagande Russe rentre dans nos médias comme dans du beurre.
Ouaip ! Rien d'étonnant à ce que tu te fasses censurer... T'es dans le mauvais rôle : le critique des poutinistes idolâtres Donc, dès que tu t'énerves un peu, ils te saquent...
Il y a belle lurette que je ne vais plus sur les médias français : désinformation et Cie...
Krispoluk- Messages : 9858
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: La propagande
C'est plus fort qu'eux, ils prennent tous les sujets:
Правда і «фейки» про теракти в Брюсселі
Правда і «фейки» про теракти в Брюсселі
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: La propagande
Russian Media Outlets Falsely Accuse Belarusian Brothers of Brussels Attack
News in the section 'Context' are not fakes. We publish them in order to keep you informed about events concerning the information war between Ukraine and Russia
On March 14, eight days before the terrorist attacks in Brussels, the Russian media outlet Lifenews reported (archive) that two Belarusian brothers, Ivan and Aleksey Dovbash, and an accomplice, Marat Yunusov, were planning a terrorist attack in Belgium. After terrorist attacks did take place in Belgium the following week, Lifenews doubled down, naming the brothers Dovbash and Yunusov as the “alleged” suicide bombers who attacked a metro station and airport in Brussels. Lifenews also reported (archive) that Russian security services warned Belgium of “preparations of an attack by three ISIS fighters, among whom are two brothers from Belarus.” The brothers, as Lifenews reports, fought in Syria before returning to Europe.
Soon after the attack, the Belarusian service of the Kremlin-funded Sputnik published an article (archive) citing sources from the Belarusian security services (KGB). The source reports that, “Two of the suspects — Ivan and Aleksey Dovbash — are natives of the Gomel Oblast, and the other — Marat Yunusov — is a native of Dagestan, who received Belarusian citizenship a few years ago.” Per the cited source, the brothers left Belarus for Belgium in 2008, and “one of them has definitely grown a beard.”
At first glance, it seems like Lifenews published the scoop of the century, and Belgium ignored a prophetic warning from both Russian media and security services.
However, just hours after the attack, Radio Svaboda, the Belarusian service of Radio Liberty, and Euroradio published interviews on with Aleksey and Ivan Dovbash, the “suicide bombers” named by Lifenews. “If,” as one of the brothers said, “we are suicide bombers, why are we are still alive? If we are terrorists, then why have they not arrested us?” They went on to rebut the accusation that they had traveled to Syria. Per the interviews, Aleksey Dovbash did convert to Islam, but he is far from a terrorist who fought in Syria, as Lifenews reported. The brothers even went to the police after the Lifenews accusations, but were told that the accusations were just “rumors” and that there was no suspicion against them.
Unless Radio Svaboda and Euroradio are being lied to, these brothers are innocent, and Lifenews falsely accused them of being responsible for dozens of deaths in Brussels. A survey of Russian and Belarusian media coverage of the “Belarusian terrorists” reveals that, in nearly every case, only three sources were cited: Lifenews, in their accusations against the brothers and Yunusov, Sputnik, from their report with Belarusian security services, and TUT.by (archive), a Belarusian media outlet that spoke with the brothers’ family members.
Most media outlets quickly updated their stories after the interviews on Radio Svaboda and Euroradio were published.
Considering the track record of Lifenews, which often reports breaking news to the detriment of both truth and taste, there should have been additional scrutiny of such an exact claim of the guilt of three “terrorists.” Significant praise should be given to Radio Svaboda and Euroradio for using social media to locate and reach out to the accused brothers in order to correct the irresponsible and borderline, if not outright, libelous accusations of Lifenews.
By Apic Toler, Bellingcat
News in the section 'Context' are not fakes. We publish them in order to keep you informed about events concerning the information war between Ukraine and Russia
On March 14, eight days before the terrorist attacks in Brussels, the Russian media outlet Lifenews reported (archive) that two Belarusian brothers, Ivan and Aleksey Dovbash, and an accomplice, Marat Yunusov, were planning a terrorist attack in Belgium. After terrorist attacks did take place in Belgium the following week, Lifenews doubled down, naming the brothers Dovbash and Yunusov as the “alleged” suicide bombers who attacked a metro station and airport in Brussels. Lifenews also reported (archive) that Russian security services warned Belgium of “preparations of an attack by three ISIS fighters, among whom are two brothers from Belarus.” The brothers, as Lifenews reports, fought in Syria before returning to Europe.
Soon after the attack, the Belarusian service of the Kremlin-funded Sputnik published an article (archive) citing sources from the Belarusian security services (KGB). The source reports that, “Two of the suspects — Ivan and Aleksey Dovbash — are natives of the Gomel Oblast, and the other — Marat Yunusov — is a native of Dagestan, who received Belarusian citizenship a few years ago.” Per the cited source, the brothers left Belarus for Belgium in 2008, and “one of them has definitely grown a beard.”
At first glance, it seems like Lifenews published the scoop of the century, and Belgium ignored a prophetic warning from both Russian media and security services.
However, just hours after the attack, Radio Svaboda, the Belarusian service of Radio Liberty, and Euroradio published interviews on with Aleksey and Ivan Dovbash, the “suicide bombers” named by Lifenews. “If,” as one of the brothers said, “we are suicide bombers, why are we are still alive? If we are terrorists, then why have they not arrested us?” They went on to rebut the accusation that they had traveled to Syria. Per the interviews, Aleksey Dovbash did convert to Islam, but he is far from a terrorist who fought in Syria, as Lifenews reported. The brothers even went to the police after the Lifenews accusations, but were told that the accusations were just “rumors” and that there was no suspicion against them.
Unless Radio Svaboda and Euroradio are being lied to, these brothers are innocent, and Lifenews falsely accused them of being responsible for dozens of deaths in Brussels. A survey of Russian and Belarusian media coverage of the “Belarusian terrorists” reveals that, in nearly every case, only three sources were cited: Lifenews, in their accusations against the brothers and Yunusov, Sputnik, from their report with Belarusian security services, and TUT.by (archive), a Belarusian media outlet that spoke with the brothers’ family members.
- Lenta.ru cited Lifenews (archive)
- RBC cited TUT.by, Lifenews, and Sputnik (archive)
- Ekho Moskvy reported on the “arrest” of three Belarusian citizens, citing Lifenews (archive)
- Meduza cited Lifenews, Sputnik, and TUT.by (archive)
- RIA Novosti cited Sputnik and Lifenews (archive)
- Izvestiya cited Sputnik (archive)
Most media outlets quickly updated their stories after the interviews on Radio Svaboda and Euroradio were published.
Considering the track record of Lifenews, which often reports breaking news to the detriment of both truth and taste, there should have been additional scrutiny of such an exact claim of the guilt of three “terrorists.” Significant praise should be given to Radio Svaboda and Euroradio for using social media to locate and reach out to the accused brothers in order to correct the irresponsible and borderline, if not outright, libelous accusations of Lifenews.
By Apic Toler, Bellingcat
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Caduce62- Messages : 15239
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
Re: La propagande
Encore un français:
Xavier Moreau, expert de l’Ukraine virtuelle
Xavier Moreau, expert de l’Ukraine virtuelle
«Ils ont donné le droit de parole à des légions d’imbéciles qui,
avant, ne parlaient qu’au bar, après un verre de vin et
ne causaient aucun tort à la collectivité. On les faisait
taire tout de suite alors qu’aujourd’hui ils ont le même
droit de parole qu’un prix Nobel.» –
Umberto Eco
Depuis la sortie du livre “Ukraine : pourquoi la France s’est trompée”, son auteur Xavier Moreau est souvent présenté comme « expert de l’Ukraine ». Il est fort bien accueilli par l’extrême droite pro-Poutine, mais aussi par des milieux plus fréquentables, grâce à son anti-américanisme. Certains vont même jusqu’à dire que l’ouvrage de M. Moreau présente un point de vue alternatif sur l’Ukraine, en particulier sur les événements des trois dernières années.Une première lecture montre que ce livre est une très simpliste adaptation de la propagande russe pour le public francophone, qui est, de ce fait, méprisé. Même une personne peu informée des réalités de l’Est de l’Europe pourrait y trouver un certain nombre de mensonges avérés. Une analyse plus profonde montre qu’il y a environ une information fausse ou une omission par page. Pour M. Moreau, il suffit de se réclamer du droit de présenter une vision alternative ou complémentaire pour justifier d’omissions volontaires, pour présenter des contre-vérités ou pour déformer la réalité. Cette approche est dans la droite ligne éditoriale des médias subventionnés par le Kremlin, qui accueillent M. Moreau les bras ouverts.
Un exemple caricatural de manipulation du Kremlin, que l’on trouve reprise, sans nuance, par M. Moreau dans les pages 75 et 103 de son ouvrage, est celui de l’abrogation par le Parlement ukrainien de la loi sur les langues régionales. La réalité est bien différente : il y a bien eu une tentative d’abrogation, mais la loi n’a jamais été promulguée par le président intérimaire Tourtchinov. Ce fait est, par ailleurs, une illustration de l’existence de la séparation des pouvoirs et va à l’encontre de l’affirmation que l’Ukraine est un régime sans droit.
Dans cette lignée, un autre exemple de mensonge intentionnel, dans ce livre sur l’Ukraine, est l’affirmation que « la Cour constitutionnelle (d’Ukraine) a été dissoute ». Il s’agit d’un élément important pour M. Moreau, qui en conclut qu’il n’y a plus d’institutions légitimes à Kyiv. Pourtant, cette dissolution n’a jamais eu lieu. La Cour constitutionnelle a même stipulé, le 15 mars 2014, que le « référendum » en Crimée était illégal. Mais cet élément, comme beaucoup d’autres, est dissimulé dans le livre de M. Moreau qui évite d’évoquer tout ce qui contredit la position officielle russe.
Sans surprise, l’auteur essaye de prouver dans son ouvrage que la Russie et les milices pro-russes ne sont pas impliqués dans le crash du MH17. Là encore, M. Moreau manipule les faits, en parlant, par exemple, de « quatre véhicules qui composent une équipe BUK », bien qu’un seul véhicule soit suffisant pour le fonctionnement de ce système anti-aérien.
En conclusion,
“Ukraine : pourquoi la France s’est trompée” est un exemple emblématique de désinformation visant le public francophone. Préfacé par Thierry Mariani, “l’ambassadeur officieux de la Russie en France”, il s’inscrit dans la guerre d’information que mène Poutine contre l’Ukraine mais aussi contre la France. La seule expertise que l’on peut reconnaître à M. Moreau est celle de posséder, sur le bout des doigts, le bréviaire de l’Ukraine virtuelle construite par le Kremlin.
Par Igor Reshetnyak.
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: La propagande
Représailles de la Lettonie:
Riga ferme le site local du service russe d'informations Sputnik
Les autorités lettonnes annoncé mardi la fermeture du site local du service d'informations multimédias Sputnik parrainé par le Kremlin.
"Nous ne considérons pas Sputnik comme un média crédible mais comme autre chose, un outil de propagande", a déclaré à l'AFP Raimonds Jansons, le porte-parole du ministère letton des Affaires étrangères.
M. Jansons a fait sa déclaration après que les registres nationaux des domaines internet NIC ont interdit à Sputnik d'utiliser le nom du domaine local ".lv", et ont fermé son site en Lettonie, pays où la minorité russophone représente environ un quart de la population de deux millions d'habitants.
Le ministère russe des Affaires étrangères a qualifié la décision lettonne d'exemple "flagrant de la censure", et les accusations lettonnes comme "infondées et motivées politiquement".
"Une nouvelle fois, avec l'inaction tacite des principales organisations des droits de l'homme, (Riga) ignore ses obligations conventionnelles d'assurer le pluralisme médiatique et la liberté de la parole, continuant à viser les médias russes en Lettonie", selon un communiqué officiel diffusé à Moscou.
Le ministère letton des Affaires étrangères s'était dit préoccupé par la couverture par Sputnik de la situation en Ukraine, qui remettait notamment en question l'intégrité territoriale de ce pays.
"Nous avons écrit qu'à notre avis le fait que le chef de Sputnik, M. (Dmitri) Kisselev, apparaisse sur la liste des sanctions de l'Union européenne devait être pris en compte", a ajouté M. Jansons.
Le service Sputnik avait été lancé par la Russie en 2014 avec pour l'objectif de faire entendre sa voix "alternative" à l'étranger.
Kiev et l'Occident accusent souvent Moscou de mener une "guerre d'informations" destinée notamment à justifier son intervention en Ukraine.
Cette intervention a éveillé des inquiétudes particulières dans les pays baltes qui ont recouvré leur indépendance au début des années 1990 après un demi-siècle d'occupation soviétique.
Réaction . . . de Sputnik:
Sputnik bloqué en Lettonie
L'agence Sputnik Lettonie a reçu une note officielle constatant la fermeture de son site dans le domaine national .lv.
D'après le document qui évoque une demande déposée par le ministère letton des Affaires étrangères, l'"enregistrement du nom de domaine sputniknews.lv viole les conditions du décret du Conseil de l'Union européenne relatif aux mesures restrictives en lien avec la menace à l'intégrité territoriale, à la souveraineté et à l'indépendance de l'Ukraine".
Le document indique qu'une violation des normes du décret en question pourrait entraîner des poursuites judiciaires, conformément au Code pénal de la République de Lettonie.
"Sputnik en langue lettone n'a jamais violé un seule paragraphe de la législation en vigueur en Lettonie et dans l'Union européenne. La fermeture de notre ressource dans le domaine national.lv témoigne de la censure directe exercée par les autorités lettones", a déclaré la rédactrice en chef de Sputnik Margarita Simonian.
"Ainsi, les autorités lettones violent directement le droit d'un média de collecter et de diffuser l'information", a souligné Mme Simonian.
L'agence Sputnik est un service d'information multimédia lancé par la Russie en novembre 2014. A l'heure actuelle, Sputnik possède des sites dans plus de 30 langues.
Selon l'agence de presse Delfi, Sputnik est considéré en Lettonie comme un "instrument de propagande" car il fait partie de l'agence d'information internationale Rossiya Segodnya dirigée par Dmitri Kisselev qui figure sur la liste des personnalités russes sujettes aux sanctions de l'Union européenne.
Le 17 février dernier, le directeur du Centre d'excellence de l'Otan pour la communication stratégique Jānis Sārts a accusé la Russie de chercher à déclencher une guerre hybride contre la Lettonie, ce qui était selon lui susceptible d'entraîner "des opérations de combat réelles". A titre d'exemple, M.Sārts a alors cité "les projets de propagande RT et Sputnik".
Les commentaires sont comme on peut l'imaginer.
Riga ferme le site local du service russe d'informations Sputnik
Les autorités lettonnes annoncé mardi la fermeture du site local du service d'informations multimédias Sputnik parrainé par le Kremlin.
"Nous ne considérons pas Sputnik comme un média crédible mais comme autre chose, un outil de propagande", a déclaré à l'AFP Raimonds Jansons, le porte-parole du ministère letton des Affaires étrangères.
M. Jansons a fait sa déclaration après que les registres nationaux des domaines internet NIC ont interdit à Sputnik d'utiliser le nom du domaine local ".lv", et ont fermé son site en Lettonie, pays où la minorité russophone représente environ un quart de la population de deux millions d'habitants.
Le ministère russe des Affaires étrangères a qualifié la décision lettonne d'exemple "flagrant de la censure", et les accusations lettonnes comme "infondées et motivées politiquement".
"Une nouvelle fois, avec l'inaction tacite des principales organisations des droits de l'homme, (Riga) ignore ses obligations conventionnelles d'assurer le pluralisme médiatique et la liberté de la parole, continuant à viser les médias russes en Lettonie", selon un communiqué officiel diffusé à Moscou.
Le ministère letton des Affaires étrangères s'était dit préoccupé par la couverture par Sputnik de la situation en Ukraine, qui remettait notamment en question l'intégrité territoriale de ce pays.
"Nous avons écrit qu'à notre avis le fait que le chef de Sputnik, M. (Dmitri) Kisselev, apparaisse sur la liste des sanctions de l'Union européenne devait être pris en compte", a ajouté M. Jansons.
Le service Sputnik avait été lancé par la Russie en 2014 avec pour l'objectif de faire entendre sa voix "alternative" à l'étranger.
Kiev et l'Occident accusent souvent Moscou de mener une "guerre d'informations" destinée notamment à justifier son intervention en Ukraine.
Cette intervention a éveillé des inquiétudes particulières dans les pays baltes qui ont recouvré leur indépendance au début des années 1990 après un demi-siècle d'occupation soviétique.
Réaction . . . de Sputnik:
Sputnik bloqué en Lettonie
L'agence Sputnik Lettonie a reçu une note officielle constatant la fermeture de son site dans le domaine national .lv.
D'après le document qui évoque une demande déposée par le ministère letton des Affaires étrangères, l'"enregistrement du nom de domaine sputniknews.lv viole les conditions du décret du Conseil de l'Union européenne relatif aux mesures restrictives en lien avec la menace à l'intégrité territoriale, à la souveraineté et à l'indépendance de l'Ukraine".
Le document indique qu'une violation des normes du décret en question pourrait entraîner des poursuites judiciaires, conformément au Code pénal de la République de Lettonie.
"Sputnik en langue lettone n'a jamais violé un seule paragraphe de la législation en vigueur en Lettonie et dans l'Union européenne. La fermeture de notre ressource dans le domaine national.lv témoigne de la censure directe exercée par les autorités lettones", a déclaré la rédactrice en chef de Sputnik Margarita Simonian.
"Ainsi, les autorités lettones violent directement le droit d'un média de collecter et de diffuser l'information", a souligné Mme Simonian.
L'agence Sputnik est un service d'information multimédia lancé par la Russie en novembre 2014. A l'heure actuelle, Sputnik possède des sites dans plus de 30 langues.
Selon l'agence de presse Delfi, Sputnik est considéré en Lettonie comme un "instrument de propagande" car il fait partie de l'agence d'information internationale Rossiya Segodnya dirigée par Dmitri Kisselev qui figure sur la liste des personnalités russes sujettes aux sanctions de l'Union européenne.
Le 17 février dernier, le directeur du Centre d'excellence de l'Otan pour la communication stratégique Jānis Sārts a accusé la Russie de chercher à déclencher une guerre hybride contre la Lettonie, ce qui était selon lui susceptible d'entraîner "des opérations de combat réelles". A titre d'exemple, M.Sārts a alors cité "les projets de propagande RT et Sputnik".
Les commentaires sont comme on peut l'imaginer.
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: La propagande
Russian Propaganda Trying To Destabilize Germany
What You Need To Know:
✓ Russian propaganda is playing a big role in trying to destabilize the European Union;
✓ “If you watch Russian television in Germany you really get the impression that Germany is nearly a failed state and that Europe is sinking down under this massive aggression of the refugees;”
✓ “Germany plays a key role in the sanctions and Germany plays a key role generally in the politics towards Russia. And I think Putin is tired of Merkel and he would love to get rid of her.”
✓ While Kremlin propaganda can be seen as responsible for instilling messages of fear into Germany’s Russian-speaking population, Reitschuster thinks that Germany is responsible for many of its problems when it comes to reporting on refugees.
According to journalist Boris Reitschuster, Russian propaganda is playing a big role in trying to destabilize the European Union, especially when targeting an estimated 3-4 million Russian-speakers in Germany about the refugee crisis. “If you watch Russian television in Germany you really get the impression that Germany is nearly a failed state and that Europe is sinking down under this massive aggression of the refugees and there will be soon Islamization of Europe and they even call it ‘the End of Europe and some apocalyptic images are shown.”
Reitschuster, who was based in Russia for over two decades since 1989, goes on to say that given Germany’s strong role in politics towards Russia, he believes that Putin is trying to weaken his opponents, split up the European Union, so that Russia can deal with each country individually: “I think, Germany plays a key role, because Germany with it’s 80 million population and with very strong chancellor from Eastern Germany, who knows how KGB is working, who knows Eastern Europe, Germany plays a key role in the sanctions and Germany plays a key role generally in the politics towards Russia. And I think Putin is tired of Merkel and he would love to get rid of her.”
While Kremlin propaganda can be seen as responsible for instilling messages of fear into Germany’s Russian-speaking population, Reitschuster thinks that Germany is responsible for many of its problems when it comes to reporting on refugees. In Cologne, for example, German police lied in their police report, saying everything was quiet a day after the attack, something many German media outlets failed to pick up on. “And if you wouldn’t have hidden these lies then Russian propaganda would not be so effective now…Many people lost their confidence in the police so I think it’s not only a Putin’s crisis but also a crisis of our democracy.”
Hromadske’s Nataliya Gumenyuk spoke to Boris Reitschuster, journalist and former Moscow Bureau Chief of “Focus” in March of 2016 in Kyiv.
By Tanya Bednarczyk, Hromadske international
What You Need To Know:
✓ Russian propaganda is playing a big role in trying to destabilize the European Union;
✓ “If you watch Russian television in Germany you really get the impression that Germany is nearly a failed state and that Europe is sinking down under this massive aggression of the refugees;”
✓ “Germany plays a key role in the sanctions and Germany plays a key role generally in the politics towards Russia. And I think Putin is tired of Merkel and he would love to get rid of her.”
✓ While Kremlin propaganda can be seen as responsible for instilling messages of fear into Germany’s Russian-speaking population, Reitschuster thinks that Germany is responsible for many of its problems when it comes to reporting on refugees.
According to journalist Boris Reitschuster, Russian propaganda is playing a big role in trying to destabilize the European Union, especially when targeting an estimated 3-4 million Russian-speakers in Germany about the refugee crisis. “If you watch Russian television in Germany you really get the impression that Germany is nearly a failed state and that Europe is sinking down under this massive aggression of the refugees and there will be soon Islamization of Europe and they even call it ‘the End of Europe and some apocalyptic images are shown.”
Reitschuster, who was based in Russia for over two decades since 1989, goes on to say that given Germany’s strong role in politics towards Russia, he believes that Putin is trying to weaken his opponents, split up the European Union, so that Russia can deal with each country individually: “I think, Germany plays a key role, because Germany with it’s 80 million population and with very strong chancellor from Eastern Germany, who knows how KGB is working, who knows Eastern Europe, Germany plays a key role in the sanctions and Germany plays a key role generally in the politics towards Russia. And I think Putin is tired of Merkel and he would love to get rid of her.”
While Kremlin propaganda can be seen as responsible for instilling messages of fear into Germany’s Russian-speaking population, Reitschuster thinks that Germany is responsible for many of its problems when it comes to reporting on refugees. In Cologne, for example, German police lied in their police report, saying everything was quiet a day after the attack, something many German media outlets failed to pick up on. “And if you wouldn’t have hidden these lies then Russian propaganda would not be so effective now…Many people lost their confidence in the police so I think it’s not only a Putin’s crisis but also a crisis of our democracy.”
Hromadske’s Nataliya Gumenyuk spoke to Boris Reitschuster, journalist and former Moscow Bureau Chief of “Focus” in March of 2016 in Kyiv.
By Tanya Bednarczyk, Hromadske international
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: La propagande
Attention français vous êtes prévenu:
Russia Today : allo Paris, ici Moscou
Russia Today : allo Paris, ici Moscou Illustration Laurent Blachier
Porte-voix du Kremlin à l’étranger et très proche de l’extrême droite, RT existe déjà dans l’Hexagone sous la forme d’un site internet. Le média projette de lancer une version française de la chaîne télé.
Suivre le lien pour la totalité de l'article, ça fait 4 fois que j'échoue à le poster. RT se défend déjà.
J'adore leur "comité d'éthique".
Russia Today : allo Paris, ici Moscou
Russia Today : allo Paris, ici Moscou Illustration Laurent Blachier
Porte-voix du Kremlin à l’étranger et très proche de l’extrême droite, RT existe déjà dans l’Hexagone sous la forme d’un site internet. Le média projette de lancer une version française de la chaîne télé.
Suivre le lien pour la totalité de l'article, ça fait 4 fois que j'échoue à le poster. RT se défend déjà.
J'adore leur "comité d'éthique".
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Re: La propagande
Comment "retourner" une info?
Des radicaux ukrainiens détruisent un mémorial improvisé à Odessa
En Ukraine, des nationalistes radicaux ont retiré les fleurs et les rubans de Saint-Georges déposés devant la Maison des syndicats à Odessa par des militants du mouvement AntiMaïdan.
Près de 20 militants d'AntiMaïdan, mouvement créé en réaction aux manifestations pro-européennes de Maïdan (place de l'Indépendance) à Kiev, se sont retrouvées devant la Maison des syndicats d'Odessa où 48 personnes avaient péri dans un incendie criminel le 2 mai 2014, et y ont déposé des fleurs et des rubans de Saint-Georges afin de commémorer le 72ème anniversaire de la libération d'Odessa de l'occupant allemand.
En réponse, quelques centaines de radicaux se sont dirigés vers la Maison des syndicats où ils ont renversé les Feux éternels allumés là par les personnes venues commémorer, brûlé les fleurs et les rubans de Saint-Georges (utilisés en Russie pour commémorer la Victoire sur le nazisme et considérés comme symboles de la Russie en Ukraine) et complétement détruit le mémorial improvisé, rapporte le journal locale Doumskaya.
© Photo. Capture d'écran Youtube
Des radicaux ukrainiens détruisent un mémorial improvisé à Odessa
Cet incident a été précédé par d'autres affrontements entre des radicaux nationalistes et des militants d'AntiMaïdan.
Le 2 mai 2014, 48 membres et partisans du mouvement Antimaїdan ont trouvé la mort dans un incendie criminel à Odessa après s'être réfugiés dans la Maison des syndicats dans le sillage de leur confrontation avec les manifestants pro-européens. Plus de 250 personnes ont été blessées dans la tragédie.
Odessa a été libérée de l'occupation nazie par l'Armée rouge en avril 1944 lors de l'offensive Dniepr-Carpates. L'occupation de la ville par les armées roumaines alliées de l'Allemagne a débuté en 1941. Les forces roumaines et allemandes ont assassiné près de 100.000 Juifs à Odessa durant l'occupation de la cité.
Vrai que le ruban de St George est typquement ukrainien . . .
Des radicaux ukrainiens détruisent un mémorial improvisé à Odessa
En Ukraine, des nationalistes radicaux ont retiré les fleurs et les rubans de Saint-Georges déposés devant la Maison des syndicats à Odessa par des militants du mouvement AntiMaïdan.
Près de 20 militants d'AntiMaïdan, mouvement créé en réaction aux manifestations pro-européennes de Maïdan (place de l'Indépendance) à Kiev, se sont retrouvées devant la Maison des syndicats d'Odessa où 48 personnes avaient péri dans un incendie criminel le 2 mai 2014, et y ont déposé des fleurs et des rubans de Saint-Georges afin de commémorer le 72ème anniversaire de la libération d'Odessa de l'occupant allemand.
En réponse, quelques centaines de radicaux se sont dirigés vers la Maison des syndicats où ils ont renversé les Feux éternels allumés là par les personnes venues commémorer, brûlé les fleurs et les rubans de Saint-Georges (utilisés en Russie pour commémorer la Victoire sur le nazisme et considérés comme symboles de la Russie en Ukraine) et complétement détruit le mémorial improvisé, rapporte le journal locale Doumskaya.
© Photo. Capture d'écran Youtube
Des radicaux ukrainiens détruisent un mémorial improvisé à Odessa
Cet incident a été précédé par d'autres affrontements entre des radicaux nationalistes et des militants d'AntiMaïdan.
Le 2 mai 2014, 48 membres et partisans du mouvement Antimaїdan ont trouvé la mort dans un incendie criminel à Odessa après s'être réfugiés dans la Maison des syndicats dans le sillage de leur confrontation avec les manifestants pro-européens. Plus de 250 personnes ont été blessées dans la tragédie.
Odessa a été libérée de l'occupation nazie par l'Armée rouge en avril 1944 lors de l'offensive Dniepr-Carpates. L'occupation de la ville par les armées roumaines alliées de l'Allemagne a débuté en 1941. Les forces roumaines et allemandes ont assassiné près de 100.000 Juifs à Odessa durant l'occupation de la cité.
Vrai que le ruban de St George est typquement ukrainien . . .
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Caduce62- Messages : 15239
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
Re: La propagande
Jalousie!!
Fake: Transcarpathia Demands Autonomy from Kyiv
On April 7 Russian news website Lenta.ru published a news item claiming that the Transcarpathian region of Ukraine was demanding autonomy.
The source of this claim is an April 5 Transcacarpathian oblast council decision in which regional representatives are allegedly “demanding that Transcarpathia be recognized as a special self-governing administrative territory and that the country’s constitution should be amended without delay to reflect this.”
The Transcarpathian regional council as well as local media dismissed this claim as a fake. Such a proposal was in fact forth by regional councilor and member of the Opposition Block Alexander Ledida. During the presidency of Viktor Yanukovych, Ledida was a member of the ruling but now defunct Party of Regions and held the post of regional governor. Ledida’s proposal was rejected by the regional legislature.
The Transcarpathian regional council voted in a completely different decision whose text was published on the council’s official site. The document makes no mention of autonomy or demands for constitutional amendments about the region’s status.
The council’s decision calls for constitutional and legal amendments in order to decentralize governance and allow regional administrations to assume greater powers in building an effective system of local self-rule and financial responsibility in accordance with the European Charter of Local Self Government
The Transcarpathian Regional Council calls for accelerating decentralization and regional financial responsibility and does not at all advocate autonomy or special regional status.
Fake: Transcarpathia Demands Autonomy from Kyiv
On April 7 Russian news website Lenta.ru published a news item claiming that the Transcarpathian region of Ukraine was demanding autonomy.
The source of this claim is an April 5 Transcacarpathian oblast council decision in which regional representatives are allegedly “demanding that Transcarpathia be recognized as a special self-governing administrative territory and that the country’s constitution should be amended without delay to reflect this.”
The Transcarpathian regional council as well as local media dismissed this claim as a fake. Such a proposal was in fact forth by regional councilor and member of the Opposition Block Alexander Ledida. During the presidency of Viktor Yanukovych, Ledida was a member of the ruling but now defunct Party of Regions and held the post of regional governor. Ledida’s proposal was rejected by the regional legislature.
The Transcarpathian regional council voted in a completely different decision whose text was published on the council’s official site. The document makes no mention of autonomy or demands for constitutional amendments about the region’s status.
The council’s decision calls for constitutional and legal amendments in order to decentralize governance and allow regional administrations to assume greater powers in building an effective system of local self-rule and financial responsibility in accordance with the European Charter of Local Self Government
The Transcarpathian Regional Council calls for accelerating decentralization and regional financial responsibility and does not at all advocate autonomy or special regional status.
Александр- Messages : 5390
Date d'inscription : 23/03/2010
Localisation : Leuven, België
Page 19 sur 40 • 1 ... 11 ... 18, 19, 20 ... 29 ... 40
Sujets similaires
» propagande de l'URSS et propagande de la Russie de Poutine: éléments de continuité et de rupture
» La propagande
» Propagande soviétique et poutinienne
» ACCORD DE MINSK le 12 février 2015
» Média: assourdissant silence contre abjecte propagande
» La propagande
» Propagande soviétique et poutinienne
» ACCORD DE MINSK le 12 février 2015
» Média: assourdissant silence contre abjecte propagande
Page 19 sur 40
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum