Humour de Shevchenko
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Humour de Shevchenko
A lire et à voir sur la vidéo:
http://www.dhnet.be/sports/football/article/320115/shevchenko-pris-la-main-dans-le-sac.html
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Svoboda- Messages : 1459
Date d'inscription : 01/01/2010
Re: Humour de Shevchenko
zut on aurais pu ce faire un restau.
misterlooping- Messages : 658
Date d'inscription : 03/01/2010
Age : 50
Localisation : Aix en Provence
Re: Humour de Shevchenko
Voila ses pieds
Comme les mains des stars du cinéma devant le palais des festivals à Cannes mais ici c'est les pieds des footeux à Monaco
Comme les mains des stars du cinéma devant le palais des festivals à Cannes mais ici c'est les pieds des footeux à Monaco
Caduce62- Messages : 15213
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
Chevtchenko arrêtera en 2012
Chevtchenko arrêtera en 2012
Andreï Chevtchenko (Photo Presse-Sports), la star du football ukrainien, a annoncé vendredi sa retraite à l'issue de l'Euro 2012, qui se jouera sur ses terres. «C'est une décision définitive, sur laquelle je ne reviendrai pas», a-t-il déclaré au quotidien ukrainien Sport-Express. Le capitaine et buteur de la sélection emmenée par Juri Kalitvinzev compte à l'heure actuelle 100 sélections, pour 45 buts. Ballon d'Or France Football en 2004, le joueur a fait les belles heures du Milan AC, où il est le deuxième meilleur buteur de l'histoire du club avec 175 buts. Il évolue actuellement au Dynamo Kiev, son club formateur.
Est-ce une blague?
Andreï Chevtchenko (Photo Presse-Sports), la star du football ukrainien, a annoncé vendredi sa retraite à l'issue de l'Euro 2012, qui se jouera sur ses terres. «C'est une décision définitive, sur laquelle je ne reviendrai pas», a-t-il déclaré au quotidien ukrainien Sport-Express. Le capitaine et buteur de la sélection emmenée par Juri Kalitvinzev compte à l'heure actuelle 100 sélections, pour 45 buts. Ballon d'Or France Football en 2004, le joueur a fait les belles heures du Milan AC, où il est le deuxième meilleur buteur de l'histoire du club avec 175 buts. Il évolue actuellement au Dynamo Kiev, son club formateur.
Est-ce une blague?
Re: Humour de Shevchenko
Shevchenko : "Je n'envisage pas de raccrocher"
(FIFA.com) Lundi 4 juillet 2011
La carrière d’Andriy Shevchenko, est derrière lui mais le capitaine de l'équipe d'Ukraine préfère regarder devant. En l’occurrence vers le prochain UEFA EURO 2012, dont son pays est coorganisateur avec la Pologne. Troisième meilleur marqueur de la Ligue des champions de l’UEFA avec 67 buts derrière Raul et Filippo Inzaghi, auteur de 315 buts en 626 matchs officiels en clubs, et 45 de plus avec l’Ukraine, Schevchenko est plus qu’un joueur en Ukraine. Il est une icône.
Revenu dans son club formateur du Dynamo Kiev après avoir connu la gloire sous les couleurs de l'AC Milan, puis à un degré moindre avec Chelsea, l'élégant buteur évoque avec FIFA.com sa carrière, l'évolution du football et les chances de l'Ukraine au prochain EURO.
Mais, avant même le début de l'entretien, Shevchenko tient à démentir les rumeurs qui annoncent sa retraite après la compétition continentale. "Je n'ai jamais dit que j'arrêterai de jouer après 2012", annonce-t-il.
Andriy, vous approchez des 35 ans. Vous verra-t-on encore longtemps sur les terrains ?
Je me sens bien, encore jeune, j'ai toujours envie de jouer et je pense continuer longtemps. Bien sûr, le jour arrivera de raccrocher les crampons mais je ne sais pas encore quand j'arrêterai. J'ai encore marqué pas mal de buts cette saison. Mon objectif à court terme est le prochain EURO.
Le Dynamo Kiev a terminé à la seconde place du championnat d'Ukraine, comme la saison dernière, derrière le Shakhtar Donetsk. Est-ce une déception ?
Pas vraiment, car nous avons réussi un bon championnat en développant un football collectif. Le Shakhtar a été plus régulier surtout dans la première partie du championnat. Même si on retrouve souvent ces deux équipes en tête, le niveau de notre championnat a considérablement progressé.
Comment jugez-vous l’évolution récente du football, notamment avec la réussite de joueurs de petit gabarit ?
C'est vrai que ce sport est en train de changer. Ce qui compte avant tout désormais, c'est la rapidité d'exécution dans la circulation du ballon, dans la capacité de lire le jeu, le tout en s'appuyant sur un bagage technique de plus en plus pointu. Une équipe comme Barcelone a ainsi des joueurs d'un grand niveau technique, leur gabarit moins impressionnant étant largement compensé par leur capacité à accélérer le jeu. Pep Guardiola a fait un travail extraordinaire.
C'était déjà le discours de Valeriy Lobanovskyi, votre ancien entraîneur au Dynamo Kiev, pour qui la vitesse et le mouvement collectif étaient les bases du football moderne…
C'est exact. Mais pas seulement la vitesse au niveau de la course. Ce qui compte, c'est la capacité des grands joueurs à analyser la situation et a distribuer le jeu en un clin d'œil. C'est aussi la vitesse avec laquelle les joueurs des grandes équipes sont en mesure de défendre ensemble ou d'attaquer collectivement. La technique au service de la vitesse d'exécution, c'est le cocktail de base du football moderne. Développer un football collectif est indispensable. Mais si une grande équipe veut gagner quelque chose, il est nécessaire d'avoir des joueurs comme Lionel Messi ou Cristiano Ronaldo pour faire basculer le match dans les moments importants. Ce type de joueur exceptionnel doit être capable de se fondre dans le collectif, mais de faire la différence individuellement quand il l'estime possible.
Quels ont été les pires moments et les meilleurs de votre longue carrière ?
Je ne pense pas qu'une carrière soit faite de bons moments ou d'autres moins heureux. C'est l'ensemble qui fait partie du football. Ainsi, j'ai disputé quatre matches de barrages en 2002 et 2010, et nous avons été éliminés par l'Allemagne et la Grèce. Mais j'ai quand même réalisé mon rêve en disputant la Coupe du Monde en 2006 avec l'Ukraine, où nous avons été éliminés en quart de finale par l'Italie après avoir réalisé un bon parcours. Une défaite, aussi importante quelle soit, peut rendre plus fort si on a la capacité d'en tirer les enseignements.
De quel attaquant vous vous sentez le plus proche dans sa manière de jouer ?
Aujourd'hui il y a de nombreux attaquants de très haut niveau, chacun avec des caractéristiques différentes. Pour ma part, je n'ai jamais cherché à ressembler à personne. Celui qui me plaît le plus, c'est sans doute Wayne Rooney. Il bouge sans arrêt, travaille beaucoup pour l'équipe et marque des buts importants.
Avec 101 sélections, vous êtes un pilier de votre sélection, tout comme Anatoliy Tymoschuk, qui en compte 104. Qui terminera avec le plus grand nombre ?
Nous avons passé le cap des 100 matches tous les deux ce qui n'était jamais arrivé dans l'histoire de l'Ukraine. Il y a peu de chance pour que je le rejoigne car il est plus jeune que moi. Mais, je vous le répète, je compte bien continuer à jouer pour mon équipe nationale !
Quel objectif s'est fixé l'Ukraine pour l'UEFA EURO 2012 ?
Je pense que nous avons le potentiel nécessaire pour défier les favoris dans la lutte pour le titre. Le football ukrainien est en pleine progression aussi bien au niveau de ses clubs, comme le démontre notamment le parcours du Shakhtar Donetsk en Ligue des champions, que de son équipe nationale. C'est une des conséquences directes de la décision d'avril 2007 d'attribuer l'organisation de l'UEFA EURO 2012 à la Pologne et à l'Ukraine. Depuis, les clubs ont investi dans les infrastructures et dans la formation. Pour l'Ukraine, c'est l'occasion d'un développement important, non seulement pour le football mais pour le pays et la population. Je suis sûr que nous serons prêts à l'heure voulue. C'est une question d'orgueil national. Et avec un peu de chance, nous pouvons espérer le titre. La tâche des anciens de l'équipe comme Tymoshchuk, Andriy Voronin, Oleksandr Shovkoskyi et moi-même sera de soutenir nos jeunes talents et de les aider à améliorer rapidement leur niveau de jeu.
Justement, quels sont ces grands espoirs de la nouvelle vague ukrainienne ?
Taras Stepanenko du Shakhtar, Yevhen Konoplyanka du Dnipro Dnipropetrovsk, et mon coéquipier Andriy Yarmolenko représentent le futur de l'Ukraine, une génération sur laquelle reposent nos espoirs. Je suis sûr qu'ils seront à la hauteur de la situation. C'est une question d'honneur pour le pays tout entier. L'important c'est d'y croire.
Vous avez célébré la naissance de vos deux enfants en marquant. Pour Jordan, contre la Sampdoria avec l’AC Milan (1:0), et pour Kristian, avec Chelsea contre Watford (4:0). Avez-vous pensé à programmer une nouvelle naissance pour la finale de l'EURO ?
(Rires) Pas encore. Mais c'est une bonne idée...
(FIFA.com) Lundi 4 juillet 2011
La carrière d’Andriy Shevchenko, est derrière lui mais le capitaine de l'équipe d'Ukraine préfère regarder devant. En l’occurrence vers le prochain UEFA EURO 2012, dont son pays est coorganisateur avec la Pologne. Troisième meilleur marqueur de la Ligue des champions de l’UEFA avec 67 buts derrière Raul et Filippo Inzaghi, auteur de 315 buts en 626 matchs officiels en clubs, et 45 de plus avec l’Ukraine, Schevchenko est plus qu’un joueur en Ukraine. Il est une icône.
Revenu dans son club formateur du Dynamo Kiev après avoir connu la gloire sous les couleurs de l'AC Milan, puis à un degré moindre avec Chelsea, l'élégant buteur évoque avec FIFA.com sa carrière, l'évolution du football et les chances de l'Ukraine au prochain EURO.
Mais, avant même le début de l'entretien, Shevchenko tient à démentir les rumeurs qui annoncent sa retraite après la compétition continentale. "Je n'ai jamais dit que j'arrêterai de jouer après 2012", annonce-t-il.
Andriy, vous approchez des 35 ans. Vous verra-t-on encore longtemps sur les terrains ?
Je me sens bien, encore jeune, j'ai toujours envie de jouer et je pense continuer longtemps. Bien sûr, le jour arrivera de raccrocher les crampons mais je ne sais pas encore quand j'arrêterai. J'ai encore marqué pas mal de buts cette saison. Mon objectif à court terme est le prochain EURO.
Le Dynamo Kiev a terminé à la seconde place du championnat d'Ukraine, comme la saison dernière, derrière le Shakhtar Donetsk. Est-ce une déception ?
Pas vraiment, car nous avons réussi un bon championnat en développant un football collectif. Le Shakhtar a été plus régulier surtout dans la première partie du championnat. Même si on retrouve souvent ces deux équipes en tête, le niveau de notre championnat a considérablement progressé.
Comment jugez-vous l’évolution récente du football, notamment avec la réussite de joueurs de petit gabarit ?
C'est vrai que ce sport est en train de changer. Ce qui compte avant tout désormais, c'est la rapidité d'exécution dans la circulation du ballon, dans la capacité de lire le jeu, le tout en s'appuyant sur un bagage technique de plus en plus pointu. Une équipe comme Barcelone a ainsi des joueurs d'un grand niveau technique, leur gabarit moins impressionnant étant largement compensé par leur capacité à accélérer le jeu. Pep Guardiola a fait un travail extraordinaire.
C'était déjà le discours de Valeriy Lobanovskyi, votre ancien entraîneur au Dynamo Kiev, pour qui la vitesse et le mouvement collectif étaient les bases du football moderne…
C'est exact. Mais pas seulement la vitesse au niveau de la course. Ce qui compte, c'est la capacité des grands joueurs à analyser la situation et a distribuer le jeu en un clin d'œil. C'est aussi la vitesse avec laquelle les joueurs des grandes équipes sont en mesure de défendre ensemble ou d'attaquer collectivement. La technique au service de la vitesse d'exécution, c'est le cocktail de base du football moderne. Développer un football collectif est indispensable. Mais si une grande équipe veut gagner quelque chose, il est nécessaire d'avoir des joueurs comme Lionel Messi ou Cristiano Ronaldo pour faire basculer le match dans les moments importants. Ce type de joueur exceptionnel doit être capable de se fondre dans le collectif, mais de faire la différence individuellement quand il l'estime possible.
Quels ont été les pires moments et les meilleurs de votre longue carrière ?
Je ne pense pas qu'une carrière soit faite de bons moments ou d'autres moins heureux. C'est l'ensemble qui fait partie du football. Ainsi, j'ai disputé quatre matches de barrages en 2002 et 2010, et nous avons été éliminés par l'Allemagne et la Grèce. Mais j'ai quand même réalisé mon rêve en disputant la Coupe du Monde en 2006 avec l'Ukraine, où nous avons été éliminés en quart de finale par l'Italie après avoir réalisé un bon parcours. Une défaite, aussi importante quelle soit, peut rendre plus fort si on a la capacité d'en tirer les enseignements.
De quel attaquant vous vous sentez le plus proche dans sa manière de jouer ?
Aujourd'hui il y a de nombreux attaquants de très haut niveau, chacun avec des caractéristiques différentes. Pour ma part, je n'ai jamais cherché à ressembler à personne. Celui qui me plaît le plus, c'est sans doute Wayne Rooney. Il bouge sans arrêt, travaille beaucoup pour l'équipe et marque des buts importants.
Avec 101 sélections, vous êtes un pilier de votre sélection, tout comme Anatoliy Tymoschuk, qui en compte 104. Qui terminera avec le plus grand nombre ?
Nous avons passé le cap des 100 matches tous les deux ce qui n'était jamais arrivé dans l'histoire de l'Ukraine. Il y a peu de chance pour que je le rejoigne car il est plus jeune que moi. Mais, je vous le répète, je compte bien continuer à jouer pour mon équipe nationale !
Quel objectif s'est fixé l'Ukraine pour l'UEFA EURO 2012 ?
Je pense que nous avons le potentiel nécessaire pour défier les favoris dans la lutte pour le titre. Le football ukrainien est en pleine progression aussi bien au niveau de ses clubs, comme le démontre notamment le parcours du Shakhtar Donetsk en Ligue des champions, que de son équipe nationale. C'est une des conséquences directes de la décision d'avril 2007 d'attribuer l'organisation de l'UEFA EURO 2012 à la Pologne et à l'Ukraine. Depuis, les clubs ont investi dans les infrastructures et dans la formation. Pour l'Ukraine, c'est l'occasion d'un développement important, non seulement pour le football mais pour le pays et la population. Je suis sûr que nous serons prêts à l'heure voulue. C'est une question d'orgueil national. Et avec un peu de chance, nous pouvons espérer le titre. La tâche des anciens de l'équipe comme Tymoshchuk, Andriy Voronin, Oleksandr Shovkoskyi et moi-même sera de soutenir nos jeunes talents et de les aider à améliorer rapidement leur niveau de jeu.
Justement, quels sont ces grands espoirs de la nouvelle vague ukrainienne ?
Taras Stepanenko du Shakhtar, Yevhen Konoplyanka du Dnipro Dnipropetrovsk, et mon coéquipier Andriy Yarmolenko représentent le futur de l'Ukraine, une génération sur laquelle reposent nos espoirs. Je suis sûr qu'ils seront à la hauteur de la situation. C'est une question d'honneur pour le pays tout entier. L'important c'est d'y croire.
Vous avez célébré la naissance de vos deux enfants en marquant. Pour Jordan, contre la Sampdoria avec l’AC Milan (1:0), et pour Kristian, avec Chelsea contre Watford (4:0). Avez-vous pensé à programmer une nouvelle naissance pour la finale de l'EURO ?
(Rires) Pas encore. Mais c'est une bonne idée...
Caduce62- Messages : 15213
Date d'inscription : 05/01/2010
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Localisation : chez les Ch'tis
Re: Humour de Shevchenko
Ukraine Dynamo Kiev: Fracture de la mâchoire pour Shevchenko
Sorti sur blessure lors du derby face à l'Arsenal samedi dernier (2-0), Andreï Shevchenko sera éloigné des terrains pendant plusieurs semaines. Le Dynamo Kiev a en effet révélé lundi que l'international ukrainien souffrait d'une fracture de la mâchoire. "Actuellement, il est impossible de dire combien de temps il sera absent. Il doit se rendre cette semaine en Angleterre ou en Italie afin de consulter un spécialiste", a précisé le club sur son site internet. Sorti de la Ligue des champions par le Rubin Kazan, le Dynamo s'apprête à affronter les Bulgares du Litex Lovech dans le cadre du tour de barrages de la Ligue Europa.
Sorti sur blessure lors du derby face à l'Arsenal samedi dernier (2-0), Andreï Shevchenko sera éloigné des terrains pendant plusieurs semaines. Le Dynamo Kiev a en effet révélé lundi que l'international ukrainien souffrait d'une fracture de la mâchoire. "Actuellement, il est impossible de dire combien de temps il sera absent. Il doit se rendre cette semaine en Angleterre ou en Italie afin de consulter un spécialiste", a précisé le club sur son site internet. Sorti de la Ligue des champions par le Rubin Kazan, le Dynamo s'apprête à affronter les Bulgares du Litex Lovech dans le cadre du tour de barrages de la Ligue Europa.
Caduce62- Messages : 15213
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