Et aux USA !
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Re: Et aux USA !
La chorale embarrassante de présentateurs de télévisions locales américaines
Soixante-six chaînes ont diffusé le même texte dénonçant les « fausses informations ». Leur direction, SBG, s’est imposé comme le second relais médiatique de Trump derrière Fox News.
LE MONDE | 05.04.2018 à 06h19 • Mis à jour le 05.04.2018 à 14h47 | Par Gilles Paris (Washington, correspondant)
Imaginons que vous alliez de Pensacola (Floride) à Washington (District of Columbia), en passant par Birmingham (Alabama) et Macon (Géorgie). Le soir venu, dans votre chambre d’hôtel, vous jetez un œil sur la chaîne de télévision locale. Sur ces présentateurs et présentatrices qui inspirent la confiance parce qu’ils sont un peu comme vous, au point que vous ne seriez pas surpris de les croiser sur le parking d’à côté, ou à la table voisine de la vôtre au restaurant.
Le premier soir, sur ABC 3, Sue Straughn et Bob Solarski vous prennent à part pour vous mettre en garde. « Le partage d’informations fausses et biaisées est devenu très répandu sur les réseaux sociaux », assurent-ils. « Plus alarmant encore, certains médias publient les mêmes histoires fausses sans d’abord vérifier les faits. C’est extrêmement dangereux pour notre démocratie », poursuivent-ils. Vous éteignez la télévision, songeuse ou songeur.
Le lendemain, à Birmingham, sur ABC 33/40, vous tombez sur Sarah Snyder et Wendell Edwards, qui tiennent exactement le même discours, au mot près. A Macon, c’est au tour de Nakell Williams et d’Aaron Leedy, de FOX 24. A Washington, sur ABC 7, Autria Godfrey ne se montre pas moins alarmiste. Toujours ces « certains médias » qui ressemblent beaucoup à ceux dénoncés régulièrement par le président Donald Trump. « C’est extrêmement dangereux pour notre démocratie », répète-t-elle.
Même chose sur CBS 2, à Cedar Rapids, dans l’Iowa. Ou bien sur 2 News à Boise (Idaho). Soixante-six chaînes locales, dans vingt-neuf Etats, ont diffusé le même texte, imposé par leur direction, celle de Sinclair Broadcast Group (SBG). Un journaliste de la chaîne de sports Deadspin a publié, le 31 mars, un montage spectaculaire de ces présentateurs prononçant ces mêmes formules. Il avait été vu 8,6 millions de fois mardi soir 3 avril.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2018/04/05/la-chorale-embarrassante-de-presentateurs-de-televisions-locales-americaines_5280825_3222.html#dfdRJfF1iLJC4SuQ.99
Soixante-six chaînes ont diffusé le même texte dénonçant les « fausses informations ». Leur direction, SBG, s’est imposé comme le second relais médiatique de Trump derrière Fox News.
LE MONDE | 05.04.2018 à 06h19 • Mis à jour le 05.04.2018 à 14h47 | Par Gilles Paris (Washington, correspondant)
Imaginons que vous alliez de Pensacola (Floride) à Washington (District of Columbia), en passant par Birmingham (Alabama) et Macon (Géorgie). Le soir venu, dans votre chambre d’hôtel, vous jetez un œil sur la chaîne de télévision locale. Sur ces présentateurs et présentatrices qui inspirent la confiance parce qu’ils sont un peu comme vous, au point que vous ne seriez pas surpris de les croiser sur le parking d’à côté, ou à la table voisine de la vôtre au restaurant.
Le premier soir, sur ABC 3, Sue Straughn et Bob Solarski vous prennent à part pour vous mettre en garde. « Le partage d’informations fausses et biaisées est devenu très répandu sur les réseaux sociaux », assurent-ils. « Plus alarmant encore, certains médias publient les mêmes histoires fausses sans d’abord vérifier les faits. C’est extrêmement dangereux pour notre démocratie », poursuivent-ils. Vous éteignez la télévision, songeuse ou songeur.
Le lendemain, à Birmingham, sur ABC 33/40, vous tombez sur Sarah Snyder et Wendell Edwards, qui tiennent exactement le même discours, au mot près. A Macon, c’est au tour de Nakell Williams et d’Aaron Leedy, de FOX 24. A Washington, sur ABC 7, Autria Godfrey ne se montre pas moins alarmiste. Toujours ces « certains médias » qui ressemblent beaucoup à ceux dénoncés régulièrement par le président Donald Trump. « C’est extrêmement dangereux pour notre démocratie », répète-t-elle.
Même chose sur CBS 2, à Cedar Rapids, dans l’Iowa. Ou bien sur 2 News à Boise (Idaho). Soixante-six chaînes locales, dans vingt-neuf Etats, ont diffusé le même texte, imposé par leur direction, celle de Sinclair Broadcast Group (SBG). Un journaliste de la chaîne de sports Deadspin a publié, le 31 mars, un montage spectaculaire de ces présentateurs prononçant ces mêmes formules. Il avait été vu 8,6 millions de fois mardi soir 3 avril.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2018/04/05/la-chorale-embarrassante-de-presentateurs-de-televisions-locales-americaines_5280825_3222.html#dfdRJfF1iLJC4SuQ.99
Caduce62- Messages : 15239
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Re: Et aux USA !
AFP, publié le vendredi 06 avril 2018 à 23h18
Accusée de faiblesse face à la Russie, l'administration américaine de Donald Trump a annoncé vendredi pour la première fois des sanctions contre des "oligarques" proches de Vladimir Poutine, notamment pour les "attaques" de Moscou contre "les démocraties occidentales".
En pleine résurgence d'un climat de Guerre froide, la Russie a promis une "réponse dure" à cette "attaque antirusse" visant à "éliminer des concurrents sur les marchés".
Ces sanctions sont parmi les plus sévères depuis l'arrivée à la Maison Blanche début 2017 du président républicain, incapable de réconcilier Américains et Russes malgré ses promesses mais qui s'abstient toujours de critiquer frontalement son homologue russe.
Elles ont été prises sur la base d'une loi voulue par le Congrès pour punir la Russie notamment pour son ingérence dans les élections américaines de 2016, promulguée l'été dernier à contrecoeur par Donald Trump.
Les mesures punitives visent en tout 38 personnes et entreprises qui s'ajoutent aux 24 ciblées mi-mars en réponse à ces accusations d'ingérence électorale et à plusieurs cyberattaques. A l'époque, la décision américaine avait été jugée trop timorée par les démocrates.
Sept "oligarques" et douze entreprises qu'ils contrôlent font partie de la nouvelle liste et ne pourront plus faire affaire aux Etats-Unis, ni avec des Américains. Parmi eux, Oleg Deripaska, propriétaire du géant de l'aluminium Rusal, Igor Rotenberg et Viktor Vekselberg, acteurs du secteur énergétique tout comme Kirill Chamalov, présenté comme le gendre du président Poutine.
"Les oligarques russes qui ne font pas partie de cette première liste doivent retenir leur souffle", estime Boris Zilberman du think tank conservateur Foundation for Defense of Democracies (FDD).
Dix-sept "hauts responsables" russes sont aussi visés, dont des patrons d'entreprises publiques comme Alexeï Miller (Gazprom) ou Andreï Kostine (VTB, la deuxième banque russe) mais aussi le ministre de l'Intérieur Vladimir Kolokoltsev et le secrétaire général du Conseil de sécurité Nikolaï Patrouchev.
Plusieurs entreprises sont enfin sanctionnées, dont Rosoboronexport, chargée des exportations militaires, pour son soutien au régime syrien de Bachar al-Assad. Le conglomérat Rostec, maison-mère de cette société, a critiqué "une excuse pour écarter la Russie du marché mondial des armements".
- "Changement d'attitude" -
"Les Etats-Unis prennent ces mesures en réponse à l'ensemble des attitudes éhontées et des activités néfastes du gouvernement russe, qui se poursuivent à travers le monde", a déclaré un haut responsable de l'administration Trump à la presse, citant son rôle en Syrie, en Crimée ou en Ukraine.
"Mais, avant tout, c'est une réponse aux attaques continues de la Russie pour subvertir les démocraties occidentales", a-t-il ajouté. Moscou "a choisi d'interférer de manière répétée dans les processus démocratiques", a renchéri un autre responsable américain.
Les relations, déjà glaciales, se sont de fait encore tendues entre les deux grandes puissances rivales après l'empoisonnement début mars au Royaume-Uni de l'ex-agent double russe Sergueï Skripal, imputé par Londres à Moscou. Par solidarité avec les Britanniques, Washington a expulsé 60 diplomates russes accusés d'être des "espions" et la Russie en a aussitôt fait autant.
Selon les services de renseignement américains, le pouvoir russe a mené une opération concertée pour influencer l'élection présidentielle en faveur du milliardaire républicain, notamment à travers l'utilisation des réseaux sociaux et la diffusion de "fausses nouvelles", ce que Moscou conteste. Et les responsables du renseignement américain préviennent déjà que la Russie va aussi tenter d'influencer les élections parlementaires de novembre.
Malgré les attentes de nombreux parlementaires américains en faveur de sanctions frappant le portefeuille des "oligarques" au coeur du pouvoir de Vladimir Poutine, le Trésor américain s'était borné, fin janvier, à publier une liste de 210 hommes d'affaires et responsables politiques russes. Face au mécontentement de plusieurs élus, l'administration Trump avait dû promettre que les sanctions viendraient dans un second temps.
"Personne n'a été aussi ferme face à la Russie que moi", a même tonné cette semaine le président américain. La Maison Blanche a publié vendredi un communiqué intitulé "Donald Trump se dresse contre les activités néfastes de la Russie", énumérant toutes les mesures prises par son gouvernement.
Mais le milliardaire répète aussi qu'il aimerait avoir une "bonne relation" avec Vladimir Poutine. "Cela dépendra" d'un "changement d'attitude" des Russes, a assuré vendredi la porte-parole de la Maison Blanche Sarah Sanders, précisant que Donald Trump n'avait pas renoncé à rencontrer son homologue "à un moment donné".
"Nous conseillons à Washington de se débarrasser au plus vite de l'illusion qu'il est possible de discuter avec nous en employant le langage des sanctions", a répondu la diplomatie russe depuis Moscou.
Accusée de faiblesse face à la Russie, l'administration américaine de Donald Trump a annoncé vendredi pour la première fois des sanctions contre des "oligarques" proches de Vladimir Poutine, notamment pour les "attaques" de Moscou contre "les démocraties occidentales".
En pleine résurgence d'un climat de Guerre froide, la Russie a promis une "réponse dure" à cette "attaque antirusse" visant à "éliminer des concurrents sur les marchés".
Ces sanctions sont parmi les plus sévères depuis l'arrivée à la Maison Blanche début 2017 du président républicain, incapable de réconcilier Américains et Russes malgré ses promesses mais qui s'abstient toujours de critiquer frontalement son homologue russe.
Elles ont été prises sur la base d'une loi voulue par le Congrès pour punir la Russie notamment pour son ingérence dans les élections américaines de 2016, promulguée l'été dernier à contrecoeur par Donald Trump.
Les mesures punitives visent en tout 38 personnes et entreprises qui s'ajoutent aux 24 ciblées mi-mars en réponse à ces accusations d'ingérence électorale et à plusieurs cyberattaques. A l'époque, la décision américaine avait été jugée trop timorée par les démocrates.
Sept "oligarques" et douze entreprises qu'ils contrôlent font partie de la nouvelle liste et ne pourront plus faire affaire aux Etats-Unis, ni avec des Américains. Parmi eux, Oleg Deripaska, propriétaire du géant de l'aluminium Rusal, Igor Rotenberg et Viktor Vekselberg, acteurs du secteur énergétique tout comme Kirill Chamalov, présenté comme le gendre du président Poutine.
"Les oligarques russes qui ne font pas partie de cette première liste doivent retenir leur souffle", estime Boris Zilberman du think tank conservateur Foundation for Defense of Democracies (FDD).
Dix-sept "hauts responsables" russes sont aussi visés, dont des patrons d'entreprises publiques comme Alexeï Miller (Gazprom) ou Andreï Kostine (VTB, la deuxième banque russe) mais aussi le ministre de l'Intérieur Vladimir Kolokoltsev et le secrétaire général du Conseil de sécurité Nikolaï Patrouchev.
Plusieurs entreprises sont enfin sanctionnées, dont Rosoboronexport, chargée des exportations militaires, pour son soutien au régime syrien de Bachar al-Assad. Le conglomérat Rostec, maison-mère de cette société, a critiqué "une excuse pour écarter la Russie du marché mondial des armements".
- "Changement d'attitude" -
"Les Etats-Unis prennent ces mesures en réponse à l'ensemble des attitudes éhontées et des activités néfastes du gouvernement russe, qui se poursuivent à travers le monde", a déclaré un haut responsable de l'administration Trump à la presse, citant son rôle en Syrie, en Crimée ou en Ukraine.
"Mais, avant tout, c'est une réponse aux attaques continues de la Russie pour subvertir les démocraties occidentales", a-t-il ajouté. Moscou "a choisi d'interférer de manière répétée dans les processus démocratiques", a renchéri un autre responsable américain.
Les relations, déjà glaciales, se sont de fait encore tendues entre les deux grandes puissances rivales après l'empoisonnement début mars au Royaume-Uni de l'ex-agent double russe Sergueï Skripal, imputé par Londres à Moscou. Par solidarité avec les Britanniques, Washington a expulsé 60 diplomates russes accusés d'être des "espions" et la Russie en a aussitôt fait autant.
Selon les services de renseignement américains, le pouvoir russe a mené une opération concertée pour influencer l'élection présidentielle en faveur du milliardaire républicain, notamment à travers l'utilisation des réseaux sociaux et la diffusion de "fausses nouvelles", ce que Moscou conteste. Et les responsables du renseignement américain préviennent déjà que la Russie va aussi tenter d'influencer les élections parlementaires de novembre.
Malgré les attentes de nombreux parlementaires américains en faveur de sanctions frappant le portefeuille des "oligarques" au coeur du pouvoir de Vladimir Poutine, le Trésor américain s'était borné, fin janvier, à publier une liste de 210 hommes d'affaires et responsables politiques russes. Face au mécontentement de plusieurs élus, l'administration Trump avait dû promettre que les sanctions viendraient dans un second temps.
"Personne n'a été aussi ferme face à la Russie que moi", a même tonné cette semaine le président américain. La Maison Blanche a publié vendredi un communiqué intitulé "Donald Trump se dresse contre les activités néfastes de la Russie", énumérant toutes les mesures prises par son gouvernement.
Mais le milliardaire répète aussi qu'il aimerait avoir une "bonne relation" avec Vladimir Poutine. "Cela dépendra" d'un "changement d'attitude" des Russes, a assuré vendredi la porte-parole de la Maison Blanche Sarah Sanders, précisant que Donald Trump n'avait pas renoncé à rencontrer son homologue "à un moment donné".
"Nous conseillons à Washington de se débarrasser au plus vite de l'illusion qu'il est possible de discuter avec nous en employant le langage des sanctions", a répondu la diplomatie russe depuis Moscou.
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Re: Et aux USA !
Caduce62 a écrit:La chorale embarrassante de présentateurs de télévisions locales américaines
Soixante-six chaînes ont diffusé le même texte dénonçant les « fausses informations ». Leur direction, SBG, s’est imposé comme le second relais médiatique de Trump derrière Fox News.
LE MONDE | 05.04.2018 à 06h19 • Mis à jour le 05.04.2018 à 14h47 | Par Gilles Paris (Washington, correspondant)
Imaginons que vous alliez de Pensacola (Floride) à Washington (District of Columbia), en passant par Birmingham (Alabama) et Macon (Géorgie). Le soir venu, dans votre chambre d’hôtel, vous jetez un œil sur la chaîne de télévision locale. Sur ces présentateurs et présentatrices qui inspirent la confiance parce qu’ils sont un peu comme vous, au point que vous ne seriez pas surpris de les croiser sur le parking d’à côté, ou à la table voisine de la vôtre au restaurant.
Le premier soir, sur ABC 3, Sue Straughn et Bob Solarski vous prennent à part pour vous mettre en garde. « Le partage d’informations fausses et biaisées est devenu très répandu sur les réseaux sociaux », assurent-ils. « Plus alarmant encore, certains médias publient les mêmes histoires fausses sans d’abord vérifier les faits. C’est extrêmement dangereux pour notre démocratie », poursuivent-ils. Vous éteignez la télévision, songeuse ou songeur.
Le lendemain, à Birmingham, sur ABC 33/40, vous tombez sur Sarah Snyder et Wendell Edwards, qui tiennent exactement le même discours, au mot près. A Macon, c’est au tour de Nakell Williams et d’Aaron Leedy, de FOX 24. A Washington, sur ABC 7, Autria Godfrey ne se montre pas moins alarmiste. Toujours ces « certains médias » qui ressemblent beaucoup à ceux dénoncés régulièrement par le président Donald Trump. « C’est extrêmement dangereux pour notre démocratie », répète-t-elle.
Même chose sur CBS 2, à Cedar Rapids, dans l’Iowa. Ou bien sur 2 News à Boise (Idaho). Soixante-six chaînes locales, dans vingt-neuf Etats, ont diffusé le même texte, imposé par leur direction, celle de Sinclair Broadcast Group (SBG). Un journaliste de la chaîne de sports Deadspin a publié, le 31 mars, un montage spectaculaire de ces présentateurs prononçant ces mêmes formules. Il avait été vu 8,6 millions de fois mardi soir 3 avril.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2018/04/05/la-chorale-embarrassante-de-presentateurs-de-televisions-locales-americaines_5280825_3222.html#dfdRJfF1iLJC4SuQ.99
Ben, c'est pareil en France, hein !
Durant la dernière campagne présidentielle, tous les candidats sérieux de Macron on été la cible d'attaques plus ou moins justifiées, tandis qu'un lourd voile de silence s'est posé sur les problèmes de Macron qui posent question, comme son patrimoine déclaré, "ridiculement bas" et sa campagne de financement occulte aux USA.
Il est vrai que toute la presse française (à de très rares exceptions près) roulait pour le même candidat au service du grand capital...
On assiste, en France, à la même campagne de chasse aux fake news (qui ne sont pas toujours complètement fake... )
Bon les gars, je ne veux aucunement relancer le débat des présidentielles en France, hein ! On s'est assez crêpé le chignon là-dessus mais juste dire que les mêmes causes produisent les mêmes effets et quand les "médias aux ordres" dans n'importe quel pays, s'aperçoivent qu'ils sont de moins en moins lus et écoutés et que le net et les réseaux sociaux sont en train de les dépasser, ils s'inquiètent pour leur pouvoir de faire et défaire les rois...
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Re: Et aux USA !
Nouveau récit des bonnes petites habitudes ukrainiennes de bouffer à tous les râteliers :
Un oligarque ukrainien justifie un versement de 150.000 dollars à Trump en 2015
BELGA
L'oligarque ukrainien Viktor Pintchouk a réfuté jeudi avoir agi illégalement en payant 150.000 dollars à Donald Trump pour une intervention dans une conférence en 2015, qui a attiré l'attention du procureur spécial Robert Mueller.
Le procureur, qui enquête sur l'ingérence russe présumée dans la présidentielle américaine de 2016, s'est penché sur ce versement de 150.000 dollars par la fondation de Viktor Pintchouk à celle de M. Trump, selon le journal New York Times.
Interrogée à ce propos, la fondation Pintchouk a confirmé avoir versé cette somme "à la demande" de la fondation Trump pour son intervention par liaison vidéo, longue de 20 minutes, à la conférence Yalta European Strategy (YES). Cette conférence a été organisée à Kiev en septembre 2015 et avait pour mission de "promouvoir un rapprochement entre l'Ukraine et l'Occident".
"Inviter des leaders internationaux en Ukraine pour connecter le pays à l'Europe et au monde est une activité centrale de YES", a affirmé sa porte-parole, Natalia Vovk, dans une déclaration écrite à l'AFP.
"La fondation n'a pas été contactée par des représentants de M. Mueller", a précisé Mme Vovk.
Lors de son apparition par lien vidéo à cette conférence en Ukraine, passée alors largement inaperçue, M. Trump avait critiqué Barack Obama, alors à la Maison Blanche, notamment pour sa politique vis-à-vis de l'Ukraine et de la Russie.
Le président américain avait dénoncé sur Twitter "un article bidon" du NYT.
"C'était le commentateur politique Doug Schoen et non un homme d'affaires ukrainien qui m'a demandé de faire un court discours par téléphone (Skype), animé par Doug en Ukraine", a-t-il affirmé.
L'invitation à M. Trump avait bien été transmise par M. Schoen, a confirmé Natalia Vovk. L'analyste politique a un temps travaillé comme consultant pour cette fondation, selon des médias.
Cette conférence invite tous les ans des personnalités telles que l'ex-président américain Bill Clinton, l'ex-Premier ministre britannique Tony Blair ou le président turc Recep Tayyip Erdogan, alors Premier ministre.
M. Pintchouk, le quatrième homme le plus riche d'Ukraine selon le magazine Forbes, a par exemple donné plus de 13 millions de dollars à la fondation de M. Clinton depuis 2006, selon le NYT.
Un oligarque ukrainien justifie un versement de 150.000 dollars à Trump en 2015
BELGA
L'oligarque ukrainien Viktor Pintchouk a réfuté jeudi avoir agi illégalement en payant 150.000 dollars à Donald Trump pour une intervention dans une conférence en 2015, qui a attiré l'attention du procureur spécial Robert Mueller.
Le procureur, qui enquête sur l'ingérence russe présumée dans la présidentielle américaine de 2016, s'est penché sur ce versement de 150.000 dollars par la fondation de Viktor Pintchouk à celle de M. Trump, selon le journal New York Times.
Interrogée à ce propos, la fondation Pintchouk a confirmé avoir versé cette somme "à la demande" de la fondation Trump pour son intervention par liaison vidéo, longue de 20 minutes, à la conférence Yalta European Strategy (YES). Cette conférence a été organisée à Kiev en septembre 2015 et avait pour mission de "promouvoir un rapprochement entre l'Ukraine et l'Occident".
"Inviter des leaders internationaux en Ukraine pour connecter le pays à l'Europe et au monde est une activité centrale de YES", a affirmé sa porte-parole, Natalia Vovk, dans une déclaration écrite à l'AFP.
"La fondation n'a pas été contactée par des représentants de M. Mueller", a précisé Mme Vovk.
Lors de son apparition par lien vidéo à cette conférence en Ukraine, passée alors largement inaperçue, M. Trump avait critiqué Barack Obama, alors à la Maison Blanche, notamment pour sa politique vis-à-vis de l'Ukraine et de la Russie.
Le président américain avait dénoncé sur Twitter "un article bidon" du NYT.
"C'était le commentateur politique Doug Schoen et non un homme d'affaires ukrainien qui m'a demandé de faire un court discours par téléphone (Skype), animé par Doug en Ukraine", a-t-il affirmé.
L'invitation à M. Trump avait bien été transmise par M. Schoen, a confirmé Natalia Vovk. L'analyste politique a un temps travaillé comme consultant pour cette fondation, selon des médias.
Cette conférence invite tous les ans des personnalités telles que l'ex-président américain Bill Clinton, l'ex-Premier ministre britannique Tony Blair ou le président turc Recep Tayyip Erdogan, alors Premier ministre.
M. Pintchouk, le quatrième homme le plus riche d'Ukraine selon le magazine Forbes, a par exemple donné plus de 13 millions de dollars à la fondation de M. Clinton depuis 2006, selon le NYT.
Thuramir- Messages : 3677
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Re: Et aux USA !
Procès d'une call-girl bélarusse assurant avoir des révélations sur Trump
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 17/04/2018 à 09:45 Publié le 17/04/2018 à 09:36
Une call-girl bélarusse jugée aujourd'hui en Thaïlande a appelé Washington à l'aide, craignant d'être expulsée en Russie après ses menaces de révélations sur le rôle de Moscou dans les élections américaines. "Nous ne rentrerons pas en Russie parce qu'ils ont ouvert une nouvelle affaire judiciaire contre nous", a lancé Anastasia Vachoukevitch à l'AFP lors de son arrivée au tribunal, derrière les grilles de la fourgonnette de police.
"Aidez-nous, parce que nous ne comprenons pas ce qui nous arrive", a ajouté à son côté Alexandre Kirillov, meneur du groupe de "coachs sexuels" qu'ils avaient monté en Thaïlande. Anastasia Vachoukevitch, mannequin plus connue sous le pseudonyme de Nastia Rybka, a été arrêtée fin février avec un groupe de neuf autres étrangers qui organisaient des cours de "formation sexuelle" dans la station balnéaire de Pattaya.
Les accusations de la jeune femme ont attiré l'attention car c'est une escort-girl de haut vol, ayant fréquenté l'élite politique russe, qui est poursuivie en Russie pour avoir filmé Sergueï Prikhodko, vice-Premier ministre russe, sur un yacht du milliardaire Oleg Deripaska.La vidéo était devenue virale après sa publication par l'opposant russe Alexeï Navalny.
Oleg Deripaska, qui a eu des liens avec l'ancien directeur de campagne de Donald Trump, Paul Manafort, a nié toute relation avec Anastasia Vachoukevitch et Alexandre Kirillov, "gourou du sexe" à la tête du groupe d'instruction sexuelle arrêté en Thaïlande.
Au départ, il était reproché en Thaïlande à Anastasia Vachoukevitch et ses six collègues "instructeurs sexuels" de travailler sans permis de travail, mais ils doivent désormais répondre des accusations de "prostitution" et "organisation criminelle". La jeune femme a fait récemment les titres de la presse internationale après sa publication d'une vidéo sur Instagram offrant aux journalistes américains de leur livrer des révélations.
"Ils essayent de nous mettre derrière les barreaux... C'est pourquoi je suis prête à vous révéler les pièces manquantes du puzzle (...) concernant les élections américaines", dit-elle dans cette vidéo.
Par Le Figaro.fr avec AFP Mis à jour le 17/04/2018 à 09:45 Publié le 17/04/2018 à 09:36
Une call-girl bélarusse jugée aujourd'hui en Thaïlande a appelé Washington à l'aide, craignant d'être expulsée en Russie après ses menaces de révélations sur le rôle de Moscou dans les élections américaines. "Nous ne rentrerons pas en Russie parce qu'ils ont ouvert une nouvelle affaire judiciaire contre nous", a lancé Anastasia Vachoukevitch à l'AFP lors de son arrivée au tribunal, derrière les grilles de la fourgonnette de police.
"Aidez-nous, parce que nous ne comprenons pas ce qui nous arrive", a ajouté à son côté Alexandre Kirillov, meneur du groupe de "coachs sexuels" qu'ils avaient monté en Thaïlande. Anastasia Vachoukevitch, mannequin plus connue sous le pseudonyme de Nastia Rybka, a été arrêtée fin février avec un groupe de neuf autres étrangers qui organisaient des cours de "formation sexuelle" dans la station balnéaire de Pattaya.
Les accusations de la jeune femme ont attiré l'attention car c'est une escort-girl de haut vol, ayant fréquenté l'élite politique russe, qui est poursuivie en Russie pour avoir filmé Sergueï Prikhodko, vice-Premier ministre russe, sur un yacht du milliardaire Oleg Deripaska.La vidéo était devenue virale après sa publication par l'opposant russe Alexeï Navalny.
Oleg Deripaska, qui a eu des liens avec l'ancien directeur de campagne de Donald Trump, Paul Manafort, a nié toute relation avec Anastasia Vachoukevitch et Alexandre Kirillov, "gourou du sexe" à la tête du groupe d'instruction sexuelle arrêté en Thaïlande.
Au départ, il était reproché en Thaïlande à Anastasia Vachoukevitch et ses six collègues "instructeurs sexuels" de travailler sans permis de travail, mais ils doivent désormais répondre des accusations de "prostitution" et "organisation criminelle". La jeune femme a fait récemment les titres de la presse internationale après sa publication d'une vidéo sur Instagram offrant aux journalistes américains de leur livrer des révélations.
"Ils essayent de nous mettre derrière les barreaux... C'est pourquoi je suis prête à vous révéler les pièces manquantes du puzzle (...) concernant les élections américaines", dit-elle dans cette vidéo.
Caduce62- Messages : 15239
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Re: Et aux USA !
En plus pas jolie du tout ... elle ne pourrait même pas plaire à kris
pyxous- Messages : 743
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Re: Et aux USA !
hooo pas si sure que toi , avec sa bouche en cul de poule , sur les strating block
steven21- Messages : 3580
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Re: Et aux USA !
pyxous a écrit:
En plus pas jolie du tout ... elle ne pourrait même pas plaire à kris
Tu as entièrement raison Dominique...
J'ai beaucoup mieux en magasin actuellement...
Je vais t'envoyer ça en privé prochainement
Krispoluk- Messages : 9858
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: Et aux USA !
Krispoluk a écrit:pyxous a écrit:
En plus pas jolie du tout ... elle ne pourrait même pas plaire à kris
Tu as entièrement raison Dominique...
J'ai beaucoup mieux en magasin actuellement...
Je vais t'envoyer ça en privé prochainement
En chair et en os? hummm j'ai hâte !
pyxous- Messages : 743
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Caduce62- Messages : 15239
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Macron aux Etats-Unis
Les 4 moments forts de la visite
Emmanuel Macron rencontrera ensuite des étudiants de l'université George-Washington.
Don d'un chêne à Trump
A peine arrivé sur le sol américain , Emmanuel Macron devrait offrir à Donald Trump qui l'accueillera à la Maison-Blanche vers 17 heures (23 heures, heure française), un plant de chêne, symbolisant, selon l'Elyséen la "ténacité" de "l'amitié" franco-américaine".Dîner à Mount Vernon
Juste après cette séquence jardinage, les deux couples présidentiels iront, en hélicoptère présidentiel, à Mount Vernon, l'ancienne résidence de George Washington à 30 kilomètres au sud de la capitale fédérale, pour un dîner privé.Entretiens et dîner à la Maison-Blanche
La traditionnelle rencontre où les chefs d'Etats aborderont les sujets essentiels se déroulera mardi à la Maison-Blanche. Les deux présidents devraient notamment débattre de la question syrienne, de l'accord sur le nucléaire iranien, de la Corée du Nord et encore de l'accord de Paris sur le climat.Discours devant le Congrès
Mercredi, Emmanuel Macron s'exprimera devant les membres du Congrès pour un discours de trente minutes en anglais. Passage obligé, tous les présidents français reçus aux Etats-Unis se sont pliés à cette action solennelle au Capitole. Selon plusieurs médias, le président français compte insister sur l'histoire commune, les valeurs et les positions partagées par les deux pays.Emmanuel Macron rencontrera ensuite des étudiants de l'université George-Washington.
pyxous- Messages : 743
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Localisation : Normandie
Re: Et aux USA !
Pendant ce temps la les First Lady font du shopping
Il lui faut reconnaître une chose à Trumpette, il a bon goût Melania est vraiment bonne
A côté Brigitounette passe pour une...
Il lui faut reconnaître une chose à Trumpette, il a bon goût Melania est vraiment bonne
A côté Brigitounette passe pour une...
Invité- Invité
Re: Et aux USA !
Mais restons plutôt sur le côté politique de cette rencontre qui a une importance capitale pour la France et l'Europe :Pegase76 a écrit:Pendant ce temps la les First Lady font du shopping Et musée. Et alors !? Tu n'emmènes pas ta femme au boulot ?
Il lui faut reconnaître une chose à Trumpette, il a bon goût Melania est vraiment bonne expression italienne ?
A côté Brigitounette passe pour une...femme cultivée (enseignante de français) issue d'une honorable famille de commerçants d'Amiens qui fabriquent d'excellents macarons , intelligente et ne se mêlant pas de politique contrairement à Bernadette Chirac et surtout la catastrophique Mme Mittérand qui idolâtrait Castro et le communisme
Elle souhaite « lutter contre les exclusions, notamment ce qui touche au handicap, à l’éducation et à la maladie », a pris position contre les violences sexuelles et soutien la défense du patrimoine.
- on ne peut pas faire sans les américains, il faut se méfier des chinois et la Russie ne vaut plus un kopeck
- les anglais sont des bénis oui-oui qui se sont exclus avec le brexit, les autres dirigeants européens n'ont aucune puissance commerciale et militaire
Et Macron a un côté gaullien qui me plait au niveau de sa politique étrangère
Caduce62- Messages : 15239
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Re: Et aux USA !
Hors Sujet :
http://www.liberation.fr/desintox/2017/10/09/non-brigitte-macron-ne-va-pas-couter-200-000-euros-par-mois-aux-francais_1601871
Mise à jour: vendredi 10 novembre 2017
A l'occasion du vote du Budget 2018, Christophe Castaner a annoncé ce vendredi à l'Assemblée nationale que le coût des moyens alloués par l'Elysée à Brigitte Macron est de 440 000 euros par an.«Je peux vous indiquer un chiffre qui vient des services de Bercy: le coût des moyens mis à disposition du conjoint du chef de l’Etat, du fait des collaborateurs, sont de 440.000 euros. Elle bénéficiera aussi du renfort de sécurités parce que le conjoint du chef de l’Etat fait aussi l’objet d’une protection».
bon qu elle beneficie d un service de protection au meme titre que sont mari , c est normal , mais pour le reste
faut avouer egalement que c est de moins en moins occulte ( j espere , car ils sont efficaces pour trouver une parade ) , et ca , je peu que m en rejouir.
fin du hors sujet.
steven21- Messages : 3580
Date d'inscription : 12/08/2015
Age : 44
Localisation : dijon
Re: Et aux USA !
conference de presse a l instant entre trump et macron.
tres interessant , sans langue de bois , mais ont sent quand meme un leger desaccord entre les 2.
macron est vraiment tres habile et calculé avec son phrasé. et trump et plutot bourrin mais loin d etre con.
je pense que macron , on va l avoir pendant longtemps , pour le meilleur et pour le pire.
c etait plaisant a ecouter et a regarder.
par contre macron il saoule avec ses clin d oeil .
et la petite pique pour trump de la part d un journaliste francais en posant une question a macron
tres interessant , sans langue de bois , mais ont sent quand meme un leger desaccord entre les 2.
macron est vraiment tres habile et calculé avec son phrasé. et trump et plutot bourrin mais loin d etre con.
je pense que macron , on va l avoir pendant longtemps , pour le meilleur et pour le pire.
c etait plaisant a ecouter et a regarder.
par contre macron il saoule avec ses clin d oeil .
et la petite pique pour trump de la part d un journaliste francais en posant une question a macron
steven21- Messages : 3580
Date d'inscription : 12/08/2015
Age : 44
Localisation : dijon
Re: Et aux USA !
Caduce62 a écrit:
Mais restons plutôt sur le côté politique de cette rencontre qui a une importance capitale pour la France et l'Europe :
- on ne peut pas faire sans les américains, il faut se méfier des chinois et la Russie ne vaut plus un kopeck
- les anglais sont des bénis oui-oui qui se sont exclus avec le brexit, les autres dirigeants européens n'ont aucune puissance commerciale et militaire
Et Macron a un côté gaullien qui me plait au niveau de sa politique étrangère
Bon, c'est ton avis perso, hein ! Est-on encore en droit d'avoir un avis différent en France ?
Moi, j'ai trouvé cette rencontre dégoulinante d'hypocrisie et de (faux) bon sentiments... L'avenir nous dira...
Krispoluk- Messages : 9858
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: Et aux USA !
Cfr Trump qui "enlève" des pellicules sur le veston de Macron . . .
Tu es beau et tu dois le rester . . .
Tu es beau et tu dois le rester . . .
Re: Et aux USA !
Caduce62 a écrit:Mais restons plutôt sur le côté politique de cette rencontre qui a une importance capitale pour la France et l'Europe :Pegase76 a écrit:Pendant ce temps la les First Lady font du shopping Et musée. Et alors !? Tu n'emmènes pas ta femme au boulot ?
Il lui faut reconnaître une chose à Trumpette, il a bon goût Melania est vraiment bonne expression italienne ?
A côté Brigitounette passe pour une...femme cultivée (enseignante de français) issue d'une honorable famille de commerçants d'Amiens qui fabriquent d'excellents macarons , intelligente et ne se mêlant pas de politique contrairement à Bernadette Chirac et surtout la catastrophique Mme Mittérand qui idolâtrait Castro et le communisme
Elle souhaite « lutter contre les exclusions, notamment ce qui touche au handicap, à l’éducation et à la maladie », a pris position contre les violences sexuelles et soutien la défense du patrimoine.
- on ne peut pas faire sans les américains, il faut se méfier des chinois et la Russie ne vaut plus un kopeck
- les anglais sont des bénis oui-oui qui se sont exclus avec le brexit, les autres dirigeants européens n'ont aucune puissance commerciale et militaire
Et Macron a un côté gaullien qui me plait au niveau de sa politique étrangère
Bah tu les aimes bien et pas moi, comme dit Krissounet on est encore libre d’avoir une opinion différente, c’est n’est pas pour ça que je t’aime pas mon doc préféré
Invité- Invité
Re: Et aux USA !
allez viens , ont va voir maman.
steven21- Messages : 3580
Date d'inscription : 12/08/2015
Age : 44
Localisation : dijon
Re: Et aux USA !
ca en devient genant :
steven21- Messages : 3580
Date d'inscription : 12/08/2015
Age : 44
Localisation : dijon
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