Et aux USA !
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Re: Et aux USA !
Krispoluk Mer 31 Jan - 12:33
Ben, vous voyez bien qu'il est finalement très bien ce Président !
L'économie américaine ne s'est jamais aussi bien portée et il désigne très clairement ses ennemis et ses adversaires...
C'était pas la peine de lui tomber sur le râble dès son élection...
On reconnait un arbre à ses fruits !
L'économie américaine ne s'est jamais aussi bien portée et il désigne très clairement ses ennemis et ses adversaires...
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Krispoluk- Messages : 9858
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Re: Et aux USA !
Thuramir Jeu 1 Fév - 14:31
Krispoluk a écrit:Ben, vous voyez bien qu'il est finalement très bien ce Président !
L'économie américaine ne s'est jamais aussi bien portée et il désigne très clairement ses ennemis et ses adversaires...
C'était pas la peine de lui tomber sur le râble dès son élection...
On reconnait un arbre à ses fruits !
Très bien pour les Etats-Unis, peut-être, mais beaucoup moins bien pour le reste de la planète et, entre autre, pour l'économie des Etats membres de l'UE, qui aura à souffrir en cas de mesures protectionnistes.
Thuramir- Messages : 3677
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Re: Et aux USA !
Krispoluk Jeu 1 Fév - 15:37
Thuramir a écrit:Krispoluk a écrit:Ben, vous voyez bien qu'il est finalement très bien ce Président !
L'économie américaine ne s'est jamais aussi bien portée et il désigne très clairement ses ennemis et ses adversaires...
C'était pas la peine de lui tomber sur le râble dès son élection...
On reconnait un arbre à ses fruits !
Très bien pour les Etats-Unis, peut-être, mais beaucoup moins bien pour le reste de la planète et, entre autre, pour l'économie des Etats membres de l'UE, qui aura à souffrir en cas de mesures protectionnistes.
Je pense que la principale menace économique ne vient pas des USA mais de la Chine... Attendons de voir la sortie de la première gamme d'avions civils chinois qui signeront l'arrêt de mort d'Airbus industries...
L'angélisme béat de l'UE vis-à-vis d'autres géants économiques mondiaux avec la signature d'accords de libre-échange est une erreur monstrueuse !
Seules les multinationales tirent les marrons du feu et font des tonnes de profits. L'Allemagne en profite aussi (pour l'instant...) avec une machine industrielle produisant pour l'exportation et des niches techniques encore inégalées... (pour combien de temps ?) Les "mauvais joueurs" économiques comme les USA ou la Chine savent parfaitement contourner les règlements internationaux afin de maintenir leurs avantages économiques intérieurs et continuer à exporter au maximum vers les pays "ouverts" (= benêts et naïfs) ex : normes chinoises labyrinthiques et incompréhensibles.
Je pense que Trump, en pensant à des mesures protectionnistes, pense en premier lieu à rééquilibrer les échanges avec la Chine qui inonde littéralement les USA d'articles "low cost" et creuse le déficit commercial US. Bon, d'un autre côté, il s'en foutent, ils ont le contrôle financier de la devise mondiale de référence ! Mais pour combien de temps encore...
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Re: Et aux USA !
Thuramir Ven 2 Fév - 0:01
Tu n'as pas tort, loin de là ! Le citoyen européen compte pour du beurre dans cette affaire.Krispoluk a écrit:
Je pense que la principale menace économique ne vient pas des USA mais de la Chine... Attendons de voir la sortie de la première gamme d'avions civils chinois qui signeront l'arrêt de mort d'Airbus industries...
L'angélisme béat de l'UE vis-à-vis d'autres géants économiques mondiaux avec la signature d'accords de libre-échange est une erreur monstrueuse !
Thuramir- Messages : 3677
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Re: Et aux USA !
Krispoluk Lun 5 Fév - 14:11
Ça m'a fait bien marrer ta carte mondiale "Trumpiste" !Caduce62 a écrit:
Et... Tellement vrai !
Une seule remarque, la Corée du Nord très mal située géographiquement mais j'ai bien compris que c'est Trump qui a dessiné la carte, hein...
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Re: Et aux USA !
Caduce62 Jeu 8 Fév - 20:25
Falcon Heavy en route pour Mars, l’odyssée de l’espace qui agace la Russie
Dans la course vers la planète rouge, la Russie est désormais distancée par les Etats-Unis. Faute de crédits suffisants, mais aussi d’« entrepreneurs un peu fous » comme Elon Musk, le patron de SpaceX.
LE MONDE ECONOMIE | 08.02.2018 à 12h24 • Mis à jour le 08.02.2018 à 16h56 |
Par Jean-Michel Bezat
Chronique. C’est Vladimir Poutine qui a dû faire la grimace. Il ne lui a pas échappé que les Etats-Unis – rival de la Russie dans l’espace depuis soixante ans – avaient lancé avec succès, mardi 6 février, la fusée la plus puissante du monde pour une mission vers Mars.
A son bord, une décapotable Tesla de couleur rouge cerise « conduite » par un mannequin habillé d’une combinaison d’astronaute. Le tout au son de Space Oddity, la chanson de David Bowie. Barnum marketing, succès technique… et victoire politique.
Ce n’est certes pas l’Amérique et la NASA qui ont lancé Falcon Heavy, mais la société Space X d’Elon Musk, fondateur du constructeur de voitures électriques Tesla. En 1961, le président John Kennedy avait promis qu’un Américain marcherait sur la Lune avant la fin de la décennie ; Musk a repris le flambeau et promet de décrocher la planète rouge.
Guerre des gros lanceurs
Sa fusée est la digne héritière de la Saturn V de la NASA, qui a propulsé les astronautes de la mission Apollo. Dans la guerre des gros lanceurs, les Etats-Unis ont pris une confortable avance sur l’Europe, la Russie et la Chine, grâce à la puissance de Falcon Heavy et à la possibilité de récupérer ses boosters.
Une aventure privée ? Pas tout à fait. La NASA a apporté son excellence technologique et le gouvernement des milliards de dollars.
Ce n’est pas un hasard si, au lendemain du lancement de Falcon Heavy, le Pentagone s’est félicité de voir un nouvel acteur entrer dans la danse, même si la Falcon 9 de Space X concurrence depuis peu la fusée Delta de Boeing-Lockheed Martin. Avec plus de concurrence, les militaires américains espèrent ainsi réduire le coût de lancement de leurs satellites.
Ces avancées inquiètent et agacent les Russes. Avec l’européen Arianespace, ils formaient pendant des années un duopole sur le marché des lanceurs commerciaux. Le duo est désormais américano-européen
Dans la course vers la planète rouge, la Russie est désormais distancée par les Etats-Unis. Faute de crédits suffisants, mais aussi d’« entrepreneurs un peu fous » comme Elon Musk, le patron de SpaceX.
LE MONDE ECONOMIE | 08.02.2018 à 12h24 • Mis à jour le 08.02.2018 à 16h56 |
Par Jean-Michel Bezat
Chronique. C’est Vladimir Poutine qui a dû faire la grimace. Il ne lui a pas échappé que les Etats-Unis – rival de la Russie dans l’espace depuis soixante ans – avaient lancé avec succès, mardi 6 février, la fusée la plus puissante du monde pour une mission vers Mars.
A son bord, une décapotable Tesla de couleur rouge cerise « conduite » par un mannequin habillé d’une combinaison d’astronaute. Le tout au son de Space Oddity, la chanson de David Bowie. Barnum marketing, succès technique… et victoire politique.
Ce n’est certes pas l’Amérique et la NASA qui ont lancé Falcon Heavy, mais la société Space X d’Elon Musk, fondateur du constructeur de voitures électriques Tesla. En 1961, le président John Kennedy avait promis qu’un Américain marcherait sur la Lune avant la fin de la décennie ; Musk a repris le flambeau et promet de décrocher la planète rouge.
Guerre des gros lanceurs
Sa fusée est la digne héritière de la Saturn V de la NASA, qui a propulsé les astronautes de la mission Apollo. Dans la guerre des gros lanceurs, les Etats-Unis ont pris une confortable avance sur l’Europe, la Russie et la Chine, grâce à la puissance de Falcon Heavy et à la possibilité de récupérer ses boosters.
Une aventure privée ? Pas tout à fait. La NASA a apporté son excellence technologique et le gouvernement des milliards de dollars.
Ce n’est pas un hasard si, au lendemain du lancement de Falcon Heavy, le Pentagone s’est félicité de voir un nouvel acteur entrer dans la danse, même si la Falcon 9 de Space X concurrence depuis peu la fusée Delta de Boeing-Lockheed Martin. Avec plus de concurrence, les militaires américains espèrent ainsi réduire le coût de lancement de leurs satellites.
Ces avancées inquiètent et agacent les Russes. Avec l’européen Arianespace, ils formaient pendant des années un duopole sur le marché des lanceurs commerciaux. Le duo est désormais américano-européen
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Re: Et aux USA !
Matt Ven 9 Fév - 2:05
A noter: les deux lanceurs "auxiliaires" ont atterrit sur le site prévu.
Mais avez-vous une idée de la taille de ces fusées auxiliaires? Elles sont énormes
Mais avez-vous une idée de la taille de ces fusées auxiliaires? Elles sont énormes
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Re: Et aux USA !
Matt Mar 13 Fév - 23:36
USA - Russie : Des sénateurs démocrates font pression sur Trump pour de nouvelles sanctions
Trois sénateurs démocrates ont présenté au congrès une résolution pour exiger du président Donald Trump de nouvelles sanctions contre la Russie, en réponse à l’autorité dont le Congrès l’a massivement chargé.
Trois sénateurs démocrates ont présenté au congrès une résolution pour exiger du président Donald Trump de nouvelles sanctions contre la Russie, en réponse à l’autorité dont le Congrès l’a massivement chargé.
La mesure présentée lundi dernier, et bien que symbolique, par les sénateurs Ben Cardin, Sherrod Brown et Robert Menendez est la dernier moyen politique pour faire pression sur l'administration Trump concernant son retard dans la mise en œuvre d'un projet de loi bipartite sur les sanctions contre la Russie en réaction aux faits d’ingérence de la Russie dans l'élection de 2016 - que le président a signé seulement à contrecoeur, selon le média POLITICO.
La décision de l'administration de suspendre le mois dernier les sanctions contre les secteurs de la défense et du renseignement du gouvernement du président Vladimir Poutine ont fortement offensé les démocrates qui ont fait remarquer que le vote -qui ne comptabilisait que 5 votes contre- avait conçu les sanctions comme obligatoires :
"Le manque de sérieux manifesté par l'administration face à une menace claire pour la sécurité nationale et face à une intention du Congrès encore plus claire est alarmant et ne peut pas continuer", a déclaré Cardin dans un communiqué.
La nouvelle législation autorise toutefois M.Trump à ne pas imposer de sanctions supplémentaires. Le secrétaire au Trésor, Steven Mnuchin, a cependant déclaré depuis que son département travaillait sur de futures sanctions à l’encontre d'une liste d'oligarques russes qui étaient également requises par la loi.
Les trois sénateurs démocrates à l'origine de la résolution ont tous été fortement impliqués dans l'élaboration des projets de sanctions votées par les Etats-Unis ces dernières années.
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Re: Et aux USA !
Matt Mer 14 Fév - 13:37
Une nouvelle casserole pour Trump:
L'avocat de Trump a versé 130.000 dollars de sa poche à une actrice porno
L'avocat personnel du président américain Donald Trump a révélé avoir versé 130.000 dollars de sa poche à une actrice de cinéma pornographique ayant affirmé avoir eu une relation sexuelle avec le magnat de l'immobilier en 2006.
Dans une déclaration publiée mardi par le New York Times, l'avocat Michael Cohen n'a pas précisé les raisons de ce versement d'argent, alors que le président américain a été mis en cause à plusieurs reprises au sujet de sa conduite avec les femmes.
Les déclarations de son avocat pourraient en outre relancer les spéculations sur l'état de ses relations avec son épouse Melania, qui avait annulé en janvier un voyage à Davos en Suisse. Le président américain avait dû s'y rendre seul après les premières révélations sur sa relation avec cette actrice.
Me Cohen a précisé qu'il n'avait pas été remboursé par M. Trump de la somme versée à Stephanie Clifford, 38 ans, connue sous le nom de Stormy Daniels dans l'industrie pornographique. Le paiement était légal, a ajouté M. Cohen.
"Ni l'Organisation Trump, ni la campagne de Trump n'était partie à la transaction avec Mme Clifford, et ni l'une, ni l'autre ne m'ont remboursé ce versement, directement ou indirectement", a encore déclaré l'avocat.
Le paiement à Mme Clifford "n'était pas une contribution à la campagne (de Trump) ou une dépense de campagne de quiconque", a-t-il ajouté.
Le président américain était un simple citoyen quand sa rencontre avec l'actrice en 2006 est supposée avoir eu lieu. Il était déjà marié à l'époque avec l'ancienne mannequin slovène qui avait donné naissance à leur fils Baron quatre mois plus tôt.
La transaction avec l'actrice avait été rapportée en premier lieu le 12 janvier par le Wall Street Journal.
Dans un communiqué, la Maison Blanche avait catégoriquement démenti toute rencontre à caractère sexuel entre Donald Trump et Stormy Daniels.
"Il s'agit de vieilles infos recyclées, qui ont été publiées et démenties avec véhémence avant l'élection", a assuré un responsable de la présidence.
- Embarrassée -
Stormy Daniels a donné sa version de l'histoire dans une interview au magazine In Touch publiée seulement en janvier mais réalisée en 2011. Selon le Wall Street Journal, elle a confié en privé avoir eu des rapports sexuels avec Donald Trump en juillet 2006, en marge d'un tournoi huppé de golf près du lac Tahoe, une région touristique à cheval entre la Californie et le Nevada.
Interviewée fin janvier dans l'émission de Jimmy Kimmel sur ABC, Stormy Daniels, qui serait tenue par un accord de confidentialité, n'a rien révélé de marquant, riant de manière embarrassée et détournant constamment les questions de l'animateur.
Lors de la course à la Maison Blanche et depuis qu'il est président, M. Trump a été accusé par plusieurs femmes de harcèlement ou d'attouchements sexuels remontant à des années, des faits qu'il a niés en bloc.
Toutefois, les faits présumés ne comportent pas d'élément de contrainte.
Durant la campagne présidentielle en 2016 avait été publiée une vidéo de 2005 dans laquelle Donald Trump se vantait de pouvoir "attraper" les femmes "par la chatte" grâce à sa célébrité.
Donné pour politiquement mort après la publication en pleine campagne de cette vidéo, ou encore accusé par plusieurs femmes de les avoir harcelées ou agressées sexuellement, il a néanmoins été élu 45e président des Etats-Unis.
Dans une société encore puritaine comme la société américaine, l'adultère est mal accepté. Mais Donald Trump a déjà montré que pour lui les canons classiques de la politique ne s'appliquaient pas forcément.
L'avocat de Trump a versé 130.000 dollars de sa poche à une actrice porno
L'avocat personnel du président américain Donald Trump a révélé avoir versé 130.000 dollars de sa poche à une actrice de cinéma pornographique ayant affirmé avoir eu une relation sexuelle avec le magnat de l'immobilier en 2006.
Dans une déclaration publiée mardi par le New York Times, l'avocat Michael Cohen n'a pas précisé les raisons de ce versement d'argent, alors que le président américain a été mis en cause à plusieurs reprises au sujet de sa conduite avec les femmes.
Les déclarations de son avocat pourraient en outre relancer les spéculations sur l'état de ses relations avec son épouse Melania, qui avait annulé en janvier un voyage à Davos en Suisse. Le président américain avait dû s'y rendre seul après les premières révélations sur sa relation avec cette actrice.
Me Cohen a précisé qu'il n'avait pas été remboursé par M. Trump de la somme versée à Stephanie Clifford, 38 ans, connue sous le nom de Stormy Daniels dans l'industrie pornographique. Le paiement était légal, a ajouté M. Cohen.
"Ni l'Organisation Trump, ni la campagne de Trump n'était partie à la transaction avec Mme Clifford, et ni l'une, ni l'autre ne m'ont remboursé ce versement, directement ou indirectement", a encore déclaré l'avocat.
Le paiement à Mme Clifford "n'était pas une contribution à la campagne (de Trump) ou une dépense de campagne de quiconque", a-t-il ajouté.
Le président américain était un simple citoyen quand sa rencontre avec l'actrice en 2006 est supposée avoir eu lieu. Il était déjà marié à l'époque avec l'ancienne mannequin slovène qui avait donné naissance à leur fils Baron quatre mois plus tôt.
La transaction avec l'actrice avait été rapportée en premier lieu le 12 janvier par le Wall Street Journal.
Dans un communiqué, la Maison Blanche avait catégoriquement démenti toute rencontre à caractère sexuel entre Donald Trump et Stormy Daniels.
"Il s'agit de vieilles infos recyclées, qui ont été publiées et démenties avec véhémence avant l'élection", a assuré un responsable de la présidence.
- Embarrassée -
Stormy Daniels a donné sa version de l'histoire dans une interview au magazine In Touch publiée seulement en janvier mais réalisée en 2011. Selon le Wall Street Journal, elle a confié en privé avoir eu des rapports sexuels avec Donald Trump en juillet 2006, en marge d'un tournoi huppé de golf près du lac Tahoe, une région touristique à cheval entre la Californie et le Nevada.
Interviewée fin janvier dans l'émission de Jimmy Kimmel sur ABC, Stormy Daniels, qui serait tenue par un accord de confidentialité, n'a rien révélé de marquant, riant de manière embarrassée et détournant constamment les questions de l'animateur.
Lors de la course à la Maison Blanche et depuis qu'il est président, M. Trump a été accusé par plusieurs femmes de harcèlement ou d'attouchements sexuels remontant à des années, des faits qu'il a niés en bloc.
Toutefois, les faits présumés ne comportent pas d'élément de contrainte.
Durant la campagne présidentielle en 2016 avait été publiée une vidéo de 2005 dans laquelle Donald Trump se vantait de pouvoir "attraper" les femmes "par la chatte" grâce à sa célébrité.
Donné pour politiquement mort après la publication en pleine campagne de cette vidéo, ou encore accusé par plusieurs femmes de les avoir harcelées ou agressées sexuellement, il a néanmoins été élu 45e président des Etats-Unis.
Dans une société encore puritaine comme la société américaine, l'adultère est mal accepté. Mais Donald Trump a déjà montré que pour lui les canons classiques de la politique ne s'appliquaient pas forcément.
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Re: Et aux USA !
Krispoluk Mer 14 Fév - 14:10
Matt a écrit:
L'avocat personnel du président américain Donald Trump a révélé avoir versé 130.000 dollars de sa poche à une actrice de cinéma pornographique ayant affirmé avoir eu une relation sexuelle avec le magnat de l'immobilier en 2006.
P'tain ! Ça revient cher du coup, hein ! Vaut mieux aller en Thaïlande ou au Brésil...
J'connais des copains qui ont payé beaucoup moins cher mais je ne donnerai pas de noms sur le forum...
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Re: Et aux USA !
Matt Mer 14 Fév - 18:26
A mon avis, c'était un "tir multiple", parce que pour un coup unique, ça fait cher.
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Re: Et aux USA !
steven21 Mer 14 Fév - 21:42
c'est plutot elle qui a fait un coup fumant.
sinon , il ne deroge pas a la regle , l'affaire monica lewinsky. a la seul difference c'est que trump n'etait pas president.
et merde , chacun fait ce qu'il veut avec son cul.
bientot on va essayer de le decridibiliser parcequ il a une calvitie , ha ben non c est deja fait.
sinon , il ne deroge pas a la regle , l'affaire monica lewinsky. a la seul difference c'est que trump n'etait pas president.
et merde , chacun fait ce qu'il veut avec son cul.
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Re: Et aux USA !
Caduce62 Ven 16 Fév - 21:14
Ingérence électorale pro-Trump : le procureur spécial Mueller inculpe 13 Russes
Par L'Obs
Publié le 16 février 2018 à 20h51
La justice américaine a inculpé 13 Russes et trois entités russes pour ingérence dans les élections et le processus politique américain, selon un communiqué du procureur spécial chargé de ce dossier, Robert Mueller, ce vendredi 16 février.
Tous les inculpés sont accusés de complot en vue de tromper les Etats-Unis, trois d'entre eux sont accusés également de fraude bancaire et cinq autres de vol aggravé d'identité, précise le communiqué. Ce complot visait "à s'ingérer dans les processus politique et électoral américains, dont l'élection présidentielle de 2016" remportée par Donald Trump, selon le document rendu public par le ministère de la Justice.
L'acte d'accusation affirme qu'Evgueni Prighozine, un allié du président russe Vladimir Poutine, a financé ce groupe ayant "pour objectif stratégique de semer la discorde dans le système politique américain" et qui a, à partir de la mi-2016, soutenu la campagne de Donald Trump et dénigré Hillary Clinton. Il aurait notamment contacté "à leur insu" des membres de l'équipe de Donald Trump.
L'équipe de Robert Mueller cherche à établir si la Russie a interféré dans l'élection présidentielle pour aider Donald Trump à battre Hillary Clinton, s'il y a eu collusion de l'équipe de campagne de Donald Trump avec la Russie et si le milliardaire a tenté de faire obstacle aux investigations.
Trois membres de l'équipe de campagne de Donald Trump, dont son ex-directeur Paul Manafort, ont été mis en accusation et l'ancien conseiller du président à la sécurité nationale Michael Flynn a reconnu avoir menti au FBI et accepté de coopérer avec la justice.
Les principaux services de renseignement - dont la CIA et la NSA - et le FBI ont déjà dénoncé l'ingérence russe dans la présidentielle de 2016, via des campagnes sur les réseaux sociaux et le piratage d'informations provenant du camp démocrate.
Par L'Obs
Publié le 16 février 2018 à 20h51
La justice américaine a inculpé 13 Russes et trois entités russes pour ingérence dans les élections et le processus politique américain, selon un communiqué du procureur spécial chargé de ce dossier, Robert Mueller, ce vendredi 16 février.
Tous les inculpés sont accusés de complot en vue de tromper les Etats-Unis, trois d'entre eux sont accusés également de fraude bancaire et cinq autres de vol aggravé d'identité, précise le communiqué. Ce complot visait "à s'ingérer dans les processus politique et électoral américains, dont l'élection présidentielle de 2016" remportée par Donald Trump, selon le document rendu public par le ministère de la Justice.
L'acte d'accusation affirme qu'Evgueni Prighozine, un allié du président russe Vladimir Poutine, a financé ce groupe ayant "pour objectif stratégique de semer la discorde dans le système politique américain" et qui a, à partir de la mi-2016, soutenu la campagne de Donald Trump et dénigré Hillary Clinton. Il aurait notamment contacté "à leur insu" des membres de l'équipe de Donald Trump.
L'équipe de Robert Mueller cherche à établir si la Russie a interféré dans l'élection présidentielle pour aider Donald Trump à battre Hillary Clinton, s'il y a eu collusion de l'équipe de campagne de Donald Trump avec la Russie et si le milliardaire a tenté de faire obstacle aux investigations.
Trois membres de l'équipe de campagne de Donald Trump, dont son ex-directeur Paul Manafort, ont été mis en accusation et l'ancien conseiller du président à la sécurité nationale Michael Flynn a reconnu avoir menti au FBI et accepté de coopérer avec la justice.
Les principaux services de renseignement - dont la CIA et la NSA - et le FBI ont déjà dénoncé l'ingérence russe dans la présidentielle de 2016, via des campagnes sur les réseaux sociaux et le piratage d'informations provenant du camp démocrate.
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Re: Et aux USA !
Caduce62 Sam 17 Fév - 1:58
Le « New Yorker » lève le voile sur une autre infidélité de Donald Trump
Le magazine à scandales « National Enquirer » aurait acheté le témoignage d’une ancienne playmate sur sa liaison extra-conjugale avec Donald Trump, dans l’intention de ne jamais le publier.
Le Monde.fr avec AFP | 16.02.2018 à 17h47 • Mis à jour le 16.02.2018 à 20h24
Selon le « New Yorker » qui publie des notes manuscrites de Karen McDougal, ancienne playmate de l’année 1998 du magazine « Playboy », elle aurait mis un terme à la relation avec Donald Trump parce qu’elle se sentait coupable.
Ronan Farrow, fils de Mia Farrow et Woody Allen et journaliste au New Yorker, auteur de l’un des deux articles qui sont à l’origine de l’affaire Weinstein, affirme, vendredi 16 février, que le magazine à scandales National Enquirer a acheté l’exclusivité du témoignage d’une ancienne playmate sur sa liaison extra-conjugale avec Donald Trump, dans l’intention de ne jamais le publier.
Aujourd’hui âgée de 46 ans, Karen McDougal – électrice républicaine qui dit avoir découvert Dieu et regrette son passé – aurait eu une liaison de neuf mois avec l’actuel président des Etats-Unis, entre 2006 et 2007, alors qu’il était marié à Melania Knauss, dont il venait d’avoir un enfant.
L’ami du président
En novembre 2016, à quelques heures du scrutin présidentiel, le Wall Street Journal avait révélé que le groupe de presse American Media Inc (AMI), éditeur notamment du National Enquirer, avait acquis, pour 150 000 dollars, l’exclusivité du témoignage de Karen McDougal.
Selon le New Yorker, le PDG d’AMI, David Pecker, qui est un ami de Donald Trump, aurait effectué cette transaction en sachant, par avance, qu’il ne publierait rien de ce témoignage dans les colonnes du National Enquirer.
« Pecker le considérait vraiment comme un ami, raconte au New Yorker Jerry George, un ancien cadre d’AMI. Nous ne publiions jamais un mot sur Trump sans son consentement. » Le groupe AMI n’a pas fait de commentaire, tandis que la Maison Blanche a fait savoir à la chaîne NBC que le président niait l’existence de cette liaison et qu’il s’agissait d’une « vieille histoire ».
Acheter le silence
Selon le New Yorker qui publie des notes manuscrites de Karen McDougal, ancienne playmate de l’année 1998 du magazine Playboy, elle aurait mis un terme à la relation avec Donald Trump parce qu’elle se sentait coupable et en raison des réflexions racistes du milliardaire.
Début janvier, le Wall Street Journal a affirmé que Donald Trump avait eu une liaison avec une actrice de films pornographiques, Stephanie Clifford, qui aurait ensuite été payée pour se taire. Mercredi, l’un des avocats du président, Michael Cohen, a confirmé l’existence d’un accord avec celle qui se fait appeler Stormy Daniels à l’écran, moyennant le versement, à l’automne 2016, de 130 000 dollars sur les deniers personnels du conseil.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2018/02/16/le-new-yorker-leve-le-voile-sur-une-autre-infidelite-de-donald-trump_5258169_3222.html#KHw6Wtc56L21FYVJ.99
Le magazine à scandales « National Enquirer » aurait acheté le témoignage d’une ancienne playmate sur sa liaison extra-conjugale avec Donald Trump, dans l’intention de ne jamais le publier.
Le Monde.fr avec AFP | 16.02.2018 à 17h47 • Mis à jour le 16.02.2018 à 20h24
Selon le « New Yorker » qui publie des notes manuscrites de Karen McDougal, ancienne playmate de l’année 1998 du magazine « Playboy », elle aurait mis un terme à la relation avec Donald Trump parce qu’elle se sentait coupable.
Ronan Farrow, fils de Mia Farrow et Woody Allen et journaliste au New Yorker, auteur de l’un des deux articles qui sont à l’origine de l’affaire Weinstein, affirme, vendredi 16 février, que le magazine à scandales National Enquirer a acheté l’exclusivité du témoignage d’une ancienne playmate sur sa liaison extra-conjugale avec Donald Trump, dans l’intention de ne jamais le publier.
Aujourd’hui âgée de 46 ans, Karen McDougal – électrice républicaine qui dit avoir découvert Dieu et regrette son passé – aurait eu une liaison de neuf mois avec l’actuel président des Etats-Unis, entre 2006 et 2007, alors qu’il était marié à Melania Knauss, dont il venait d’avoir un enfant.
L’ami du président
En novembre 2016, à quelques heures du scrutin présidentiel, le Wall Street Journal avait révélé que le groupe de presse American Media Inc (AMI), éditeur notamment du National Enquirer, avait acquis, pour 150 000 dollars, l’exclusivité du témoignage de Karen McDougal.
Selon le New Yorker, le PDG d’AMI, David Pecker, qui est un ami de Donald Trump, aurait effectué cette transaction en sachant, par avance, qu’il ne publierait rien de ce témoignage dans les colonnes du National Enquirer.
« Pecker le considérait vraiment comme un ami, raconte au New Yorker Jerry George, un ancien cadre d’AMI. Nous ne publiions jamais un mot sur Trump sans son consentement. » Le groupe AMI n’a pas fait de commentaire, tandis que la Maison Blanche a fait savoir à la chaîne NBC que le président niait l’existence de cette liaison et qu’il s’agissait d’une « vieille histoire ».
Acheter le silence
Selon le New Yorker qui publie des notes manuscrites de Karen McDougal, ancienne playmate de l’année 1998 du magazine Playboy, elle aurait mis un terme à la relation avec Donald Trump parce qu’elle se sentait coupable et en raison des réflexions racistes du milliardaire.
Début janvier, le Wall Street Journal a affirmé que Donald Trump avait eu une liaison avec une actrice de films pornographiques, Stephanie Clifford, qui aurait ensuite été payée pour se taire. Mercredi, l’un des avocats du président, Michael Cohen, a confirmé l’existence d’un accord avec celle qui se fait appeler Stormy Daniels à l’écran, moyennant le versement, à l’automne 2016, de 130 000 dollars sur les deniers personnels du conseil.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2018/02/16/le-new-yorker-leve-le-voile-sur-une-autre-infidelite-de-donald-trump_5258169_3222.html#KHw6Wtc56L21FYVJ.99
Caduce62- Messages : 15239
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Re: Et aux USA !
Thuramir Sam 17 Fév - 9:06
Caduce62 a écrit:Le « New Yorker » lève le voile sur une autre infidélité de Donald Trump
On peut ne pas aimer Trump, mais cela fait quand presse de caniveau que de fouiller la vie privée de celui-ci pour sortir des arguments drapés dans une prétendue moralité, mais qui ne volent guère haut.
Idem en France, où une certaine presse se répand en histoires sciemment fausses, ou dont l’action publique est prescrite, ou bien l’on ressort des plaintes aussi farfelues que leur auteur en vue de déstabiliser le pouvoir en place, sans compter que l'on glisse vers la dénonciation du regard concupiscent ou des supposées idées lubriques jamais exprimées mais certainement existantes (du style « Si, si, je t'assure, je l'ai lu dans son regard... »).
Si l’on veut dégoûter le citoyen de faire de la politique et de s’intéresser à la vie de la cité, il suffit de continuer de la sorte. Mais, comme a dit un ex-premier ministre belge, Paul Van Den Boeynants, « Dans la politique, quand tous les dégoûtés seront partis, il ne restera que les dégoûtants ». Et lorsqu’il ne restera plus que les dégoûtants, nous n’aurons plus le droit de dénoncer ou de changer de politiciens, et il sera trop tard pour vouloir faire marche arrière.
Thuramir- Messages : 3677
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Re: Et aux USA !
Matt Mar 20 Fév - 13:56
U.S. show of force in Black Sea message to Russia - media
Les États-Unis font démonstration de force dans la mer Noire
A U.S. military official says the decision to deploy to warships to the Black Sea was part of an effort to "desensitize Russia" to the presence of U.S. military forces in the region.
dumskaya.net
The U.S. Navy is ramping up its presence in the Black Sea as part of a bid to counter Russia's increased presence there and send a certain message to Moscow, a U.S. military official says.
It's a region that has become increasingly fraught with tensions as Russia has reinforced its military forces in the area following its seizure of Crimea from Ukraine in 2014, a move rejected by the vast majority of the international community, CNN reports.
On Saturday the Arleigh Burke-class guided-missile destroyer USS Carney joined the USS Ross in the Black Sea to "conduct maritime security operations," according to a statement from the U.S. Navy's 6th Fleet, which oversees US naval operations in the region. It is the first time two U.S. Navy warships have been in the Black Sea since July 2017.
On Sunday Russia announced its own naval deployments to the area, with the Russian Ministry of Defense issuing a statement saying that a Russian frigate, the Admiral Essen, and two patrol ships had entered the Black Sea for a series of exercises.
A U.S. military official told CNN that the decision to deploy both the Carney and the Ross to the Black Sea was part of an effort to "desensitize Russia" to the presence of U.S. military forces in the Black Sea, which sits between Eastern Europe, the Caucasus and Western Asia.
Two U.S. defense officials based in Europe told CNN that Russia is particularly sensitive to U.S. military operations in the Black Sea given recent Russian moves to militarize Crimea.
U.S. and NATO officials have accused Moscow of deploying large numbers of troops and military hardware to Crimea in recent years.
The U.S. military official told CNN that Russia was "putting in the full panoply of their weapons systems" in Crimea, saying Moscow had stood up a new Army Corps there and was deploying "a lot of their new anti-access missile systems, coastal defense, air defense" systems, in addition to the ground troops.
"You get ships up in the Black Sea, that makes them feel more threatened," the official added.
Officials say that same Russian sensitivity explains why Russian aircraft have appeared to perform more unsafe intercepts of U.S. surveillance aircraft in the area than they do in other areas.
Un responsable militaire américain a déclaré que la décision de déployer des navires de guerre en mer Noire faisait partie d'un effort visant à "désensibiliser la Russie" à la présence des Etats-Unis. forces militaires dans la région.
La Marine des États-Unis intensifie sa présence dans la mer Noire dans le cadre de la tentative de contrer la présence accrue de la Russie et d'envoyer un certain message à Moscou, une entreprise américaine dit un officiel militaire.
C'est une région qui est devenue de plus en plus tendue par les tensions puisque la Russie a renforcé ses forces militaires dans la région suite à sa prise de la Crimée de l'Ukraine en 2014, une décision rejetée par la grande majorité de la communauté internationale.
Samedi, le destroyer de missiles guidés de classe Arleigh Burke USS Carney a rejoint l'USS Ross dans la mer Noire pour "mener des opérations de sécurité maritime", selon une déclaration de la 6ème flotte américaine qui supervise les opérations navales américaines dans la région. C'est la première fois que deux navires de guerre de la marine américaine se trouvent dans la mer Noire depuis juillet 2017.
Dimanche, la Russie a annoncé son propre déploiement naval dans la région, le ministère russe de la Défense publiant une déclaration selon laquelle une frégate russe, l'amiral Essen, et deux navires de patrouille sont entrés dans la mer Noire pour une série d'exercices.
Un responsable militaire américain a déclaré à CNN que la décision de déployer le Carney et le Ross dans la mer Noire faisait partie d'un effort visant à "désensibiliser la Russie" à la présence des forces militaires américaines dans la mer Noire, située entre l'Europe de l'Est, Caucase et Asie occidentale.
Deux responsables américains de la défense basés en Europe ont déclaré à CNN que la Russie était particulièrement sensible aux opérations militaires américaines dans la mer Noire étant donné les récents mouvements russes de militarisation de la Crimée.
Des responsables américains et de l'OTAN ont accusé Moscou de déployer un grand nombre de soldats et de matériel militaire en Crimée ces dernières années.
Le responsable militaire américain a déclaré à CNN que la Russie «mettait en place toute la panoplie de ses systèmes d'armes» en Crimée, affirmant que Moscou y avait installé un nouveau corps d'armée et déployait «beaucoup de leurs nouveaux systèmes de missiles anti-accès, de défense côtière». systèmes de défense aérienne, en plus des troupes au sol.
"Vous obtenez des navires dans la mer Noire, ce qui les rend plus menacés", a ajouté le responsable.
Les responsables affirment que la même sensibilité russe explique pourquoi les avions russes ont semblé effectuer plus d'interceptions dangereuses des avions de surveillance américains dans la région que dans d'autres régions.
Les États-Unis font démonstration de force dans la mer Noire
A U.S. military official says the decision to deploy to warships to the Black Sea was part of an effort to "desensitize Russia" to the presence of U.S. military forces in the region.
dumskaya.net
The U.S. Navy is ramping up its presence in the Black Sea as part of a bid to counter Russia's increased presence there and send a certain message to Moscow, a U.S. military official says.
It's a region that has become increasingly fraught with tensions as Russia has reinforced its military forces in the area following its seizure of Crimea from Ukraine in 2014, a move rejected by the vast majority of the international community, CNN reports.
On Saturday the Arleigh Burke-class guided-missile destroyer USS Carney joined the USS Ross in the Black Sea to "conduct maritime security operations," according to a statement from the U.S. Navy's 6th Fleet, which oversees US naval operations in the region. It is the first time two U.S. Navy warships have been in the Black Sea since July 2017.
On Sunday Russia announced its own naval deployments to the area, with the Russian Ministry of Defense issuing a statement saying that a Russian frigate, the Admiral Essen, and two patrol ships had entered the Black Sea for a series of exercises.
A U.S. military official told CNN that the decision to deploy both the Carney and the Ross to the Black Sea was part of an effort to "desensitize Russia" to the presence of U.S. military forces in the Black Sea, which sits between Eastern Europe, the Caucasus and Western Asia.
Two U.S. defense officials based in Europe told CNN that Russia is particularly sensitive to U.S. military operations in the Black Sea given recent Russian moves to militarize Crimea.
U.S. and NATO officials have accused Moscow of deploying large numbers of troops and military hardware to Crimea in recent years.
The U.S. military official told CNN that Russia was "putting in the full panoply of their weapons systems" in Crimea, saying Moscow had stood up a new Army Corps there and was deploying "a lot of their new anti-access missile systems, coastal defense, air defense" systems, in addition to the ground troops.
"You get ships up in the Black Sea, that makes them feel more threatened," the official added.
Officials say that same Russian sensitivity explains why Russian aircraft have appeared to perform more unsafe intercepts of U.S. surveillance aircraft in the area than they do in other areas.
Un responsable militaire américain a déclaré que la décision de déployer des navires de guerre en mer Noire faisait partie d'un effort visant à "désensibiliser la Russie" à la présence des Etats-Unis. forces militaires dans la région.
La Marine des États-Unis intensifie sa présence dans la mer Noire dans le cadre de la tentative de contrer la présence accrue de la Russie et d'envoyer un certain message à Moscou, une entreprise américaine dit un officiel militaire.
C'est une région qui est devenue de plus en plus tendue par les tensions puisque la Russie a renforcé ses forces militaires dans la région suite à sa prise de la Crimée de l'Ukraine en 2014, une décision rejetée par la grande majorité de la communauté internationale.
Samedi, le destroyer de missiles guidés de classe Arleigh Burke USS Carney a rejoint l'USS Ross dans la mer Noire pour "mener des opérations de sécurité maritime", selon une déclaration de la 6ème flotte américaine qui supervise les opérations navales américaines dans la région. C'est la première fois que deux navires de guerre de la marine américaine se trouvent dans la mer Noire depuis juillet 2017.
Dimanche, la Russie a annoncé son propre déploiement naval dans la région, le ministère russe de la Défense publiant une déclaration selon laquelle une frégate russe, l'amiral Essen, et deux navires de patrouille sont entrés dans la mer Noire pour une série d'exercices.
Un responsable militaire américain a déclaré à CNN que la décision de déployer le Carney et le Ross dans la mer Noire faisait partie d'un effort visant à "désensibiliser la Russie" à la présence des forces militaires américaines dans la mer Noire, située entre l'Europe de l'Est, Caucase et Asie occidentale.
Deux responsables américains de la défense basés en Europe ont déclaré à CNN que la Russie était particulièrement sensible aux opérations militaires américaines dans la mer Noire étant donné les récents mouvements russes de militarisation de la Crimée.
Des responsables américains et de l'OTAN ont accusé Moscou de déployer un grand nombre de soldats et de matériel militaire en Crimée ces dernières années.
Le responsable militaire américain a déclaré à CNN que la Russie «mettait en place toute la panoplie de ses systèmes d'armes» en Crimée, affirmant que Moscou y avait installé un nouveau corps d'armée et déployait «beaucoup de leurs nouveaux systèmes de missiles anti-accès, de défense côtière». systèmes de défense aérienne, en plus des troupes au sol.
"Vous obtenez des navires dans la mer Noire, ce qui les rend plus menacés", a ajouté le responsable.
Les responsables affirment que la même sensibilité russe explique pourquoi les avions russes ont semblé effectuer plus d'interceptions dangereuses des avions de surveillance américains dans la région que dans d'autres régions.
Matt- Admin
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Re: Et aux USA !
steven21 Ven 23 Fév - 23:54
ouai , au point ou ils en sont ( bien avant trump ) , vaut mieux ca , que comme en france ou le prof n a rien entre les mains. 
faut pas se leurrer , chez nous , on y vas tout droit . plus lentement mais surement.
faut pas se leurrer , chez nous , on y vas tout droit . plus lentement mais surement.
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Re: Et aux USA !
Matt Sam 24 Fév - 1:47
Faut pas exagérer, même Trump aura bien du mal à faire passer une telle mesure, on demande tant aux enseignants que là, trop c'est trop.
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Re: Et aux USA !
steven21 Sam 24 Fév - 8:15
dans un pays ou tous le monde est armé , que faut il faire ?
pour la france je parlais surtout des agressions .
http://www.nicematin.com/faits-divers/lenseignante-reprimande-une-eleve-elle-est-agressee-par-des-mamans-a-la-sortie-de-lecole-210495
pour la france je parlais surtout des agressions .
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steven21- Messages : 3580
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