En Biélorussie
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Re: En Biélorussie
Gilles a écrit:Krispoluk a écrit:Caduce62 a écrit:EffectivementKrispoluk a écrit:Rodomontades et Loukaconneries habituelles !Yoda a écrit:Source ISW Le 01/05/2023
Les éléments de manœuvre biélorusses continuent de mener des exercices en Biélorussie.
Le ministère biélorusse de la Défense (MoD) a annoncé le 1er mai que la dernière étape de l’exercice tactique de la brigade est en cours.
Le secrétaire du Conseil de sécurité biélorusse, le lieutenant-général Alexander Volfovich, a déclaré le 29 avril que les brigades biélorusses s’entraînaient pour des opérations offensives, défensives et spéciales et qu’un ensemble de mesures visant à transférer les brigades du temps de paix au temps de guerre était en cours depuis quelques semaines.
Volfovich a affirmé qu’il est nécessaire pour toutes les forces biélorusses de maintenir leur état de préparation au combat en raison de la situation militaro-politique actuelle aux frontières de la Biélorussie.
Les biélorusses n'ont participé à AUCUNE guerre donc sont totalement inexpérimenté au combat !
En face, il y a les forces de défense territoriale ukrainiennes, qui ont l'expérience surtout après avoir bloqué des troupes d'élites russes et qui n'attendent que de leur faire une sodom... militaire bien profonde
La Biélorussie n'attaquera JAMAIS l'Ukraine mais Poutine la force à faire de la gesticulation pour immobiliser des troupes ukrainiennes dans le Nord !
Cela ne change rien à la puissante réserve de contre-attaque ukrainienne prévue. De toutes façons, ils doivent garder un minimum de troupes territoriales à la frontière pour parer à toute éventualité (russe).
Je serais moins catégorique à ta place...
On prend les paris ? 200€ d'enjeu ! Et oui ! Quand on contredit, il faut avoir le courage d'aller jusqu'au bout de son opinion !
Krispoluk- Messages : 9858
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Localisation : Chez les Ch'tis
Re: En Biélorussie
Source ISW le 02/05/2023
Le président biélorusse Alexandre Loukachenko a tenu une réunion du Conseil de sécurité biélorusse pour discuter de la sécurité et des mesures de protection des frontières le 2 mai.
Loukachenko a réitéré la rhétorique de longue date dans laquelle il a qualifié de provocateur un prétendu renforcement militaire occidental près des frontières biélorusses.
Le président biélorusse Alexandre Loukachenko a tenu une réunion du Conseil de sécurité biélorusse pour discuter de la sécurité et des mesures de protection des frontières le 2 mai.
Loukachenko a réitéré la rhétorique de longue date dans laquelle il a qualifié de provocateur un prétendu renforcement militaire occidental près des frontières biélorusses.
Yoda- Messages : 265
Date d'inscription : 19/01/2023
Age : 71
Localisation : Dauphiné France
Re: En Biélorussie
un Océan de sang! Bien trop grave pour jouer!Krispoluk a écrit:
On prend les paris ? 200€ d'enjeu ! Et oui ! Quand on contredit, il faut avoir le courage d'aller jusqu'au bout de son opinion !
Yoda- Messages : 265
Date d'inscription : 19/01/2023
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Re: En Biélorussie
Yoda a écrit:un Océan de sang! Bien trop grave pour jouer!Krispoluk a écrit:
On prend les paris ? 200€ d'enjeu ! Et oui ! Quand on contredit, il faut avoir le courage d'aller jusqu'au bout de son opinion !
"L'océan de sang" s'est déjà produit en Biélorussie avec la répression féroce qui a suivi l'élection présidentielle confisquée en 2020 !
Une entrée en guerre de la Biélorussie serait réglée en 1 semaine, vu la faible motivation et importance de son armée et de la "libération populaire" qui suivrait la chute de Louka.
Tu es pour le maintien au pouvoir des dictateurs en Europe ?
Krispoluk- Messages : 9858
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: En Biélorussie
Source ISW Le 03/05/2023
Le ministère biélorusse de la Défense (MoD) a annoncé que les forces biélorusses commenceront la prochaine étape d’un contrôle complet de l’état de préparation au combat à une date non précisée en mai.
Le ministère de la Défense biélorusse a affirmé que les forces biélorusses stationnées à Grodno, dans l’oblast de Brest et dans l’oblast de Minsk participeront à cette nouvelle phase de la vérification de l’état de préparation.
Le ministère de la Défense biélorusse a également affirmé qu’il n’appellerait pas plus de 1 000 réservistes dans le cadre de la vérification de l’état de préparation.
Le ministère de la Défense biélorusse a également affirmé que la vérification de l’état de préparation comprenait la formation de milices populaires et l’exécution de tâches de combat pour maintenir la loi martiale.
Le ministère de la Défense biélorusse a affirmé que les forces aérospatiales russes et les forces aériennes et de défense aérienne biélorusses effectueraient des patrouilles conjointes dans l’espace aérien biélorusse.
Le ministère biélorusse de la Défense (MoD) a annoncé que les forces biélorusses commenceront la prochaine étape d’un contrôle complet de l’état de préparation au combat à une date non précisée en mai.
Le ministère de la Défense biélorusse a affirmé que les forces biélorusses stationnées à Grodno, dans l’oblast de Brest et dans l’oblast de Minsk participeront à cette nouvelle phase de la vérification de l’état de préparation.
Le ministère de la Défense biélorusse a également affirmé qu’il n’appellerait pas plus de 1 000 réservistes dans le cadre de la vérification de l’état de préparation.
Le ministère de la Défense biélorusse a également affirmé que la vérification de l’état de préparation comprenait la formation de milices populaires et l’exécution de tâches de combat pour maintenir la loi martiale.
Le ministère de la Défense biélorusse a affirmé que les forces aérospatiales russes et les forces aériennes et de défense aérienne biélorusses effectueraient des patrouilles conjointes dans l’espace aérien biélorusse.
Yoda- Messages : 265
Date d'inscription : 19/01/2023
Age : 71
Localisation : Dauphiné France
Re: En Biélorussie
Biélorussie : l'ex-journaliste dissident Protassevitch "gracié" par le président Loukachenko
L'ex-journaliste dissident biélorusse Roman Protassevitch, arrêté il y a deux ans après l'interception spectaculaire d'un avion de ligne au Bélarus et condamné début mai à huit ans de prison, a été gracié, a rapporté lundi l'agence officielle Belta.
"Je viens de signer les documents appropriés attestant que j'ai été gracié", a déclaré à Belta M. Protassevitch, 28 ans, ancien rédacteur en chef du média d'opposition Nexta qui avait joué un rôle clé dans la contestation du pouvoir en 2020.
Il avait été arrêté le 23 mai 2021, après l'interception par un avion de chasse bélarusse du vol Ryanair le conduisant d'Athènes à Vilnius.
Source : https://www.rtbf.be/article/bielorussie-l-ex-journaliste-dissident-protassevitch-gracie-par-le-president-loukachenko-11201310
L'ex-journaliste dissident biélorusse Roman Protassevitch, arrêté il y a deux ans après l'interception spectaculaire d'un avion de ligne au Bélarus et condamné début mai à huit ans de prison, a été gracié, a rapporté lundi l'agence officielle Belta.
"Je viens de signer les documents appropriés attestant que j'ai été gracié", a déclaré à Belta M. Protassevitch, 28 ans, ancien rédacteur en chef du média d'opposition Nexta qui avait joué un rôle clé dans la contestation du pouvoir en 2020.
Il avait été arrêté le 23 mai 2021, après l'interception par un avion de chasse bélarusse du vol Ryanair le conduisant d'Athènes à Vilnius.
Source : https://www.rtbf.be/article/bielorussie-l-ex-journaliste-dissident-protassevitch-gracie-par-le-president-loukachenko-11201310
Gilles- Messages : 2455
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Re: En Biélorussie
Biélorussie : « Anticiper un changement de régime n’est pas un travail utopique ou vain »
Tribune
Frédéric Petit
Député MoDem
Dans une tribune au « Monde », le député MoDem Frédéric Petit insiste sur la nécessité, tant pour l’émancipation des Biélorusses et des Ukrainiens que pour la sécurité de l’Europe, de travailler à l’avenir démocratique du pays avec l’opposition à Alexandre Loukachenko, ce dernier ne tenant que grâce au soutien de la Russie.
Publié le 08 août 2023 à 21h00 Temps de Lecture 3 min. Read in English
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Article réservé aux abonnés
Le 9 août 2020, lors du vote ayant conduit à la réélection d’Alexandre Loukachenko, les Biélorusses, emmenés par un trio de femmes extrêmement courageuses – les opposantes Svetlana Tsikhanovskaïa, Veronika Tsepkalo et Maria Kolesnikova –, tentaient de faire tomber « la dernière dictature d’Europe ». La terrible répression menée par le pouvoir, fort bien aidé et soutenu par celui de Moscou, qui lui envoya ses forces de sécurité, brisa cet élan démocratique et poussa à l’exil des milliers de citoyens qui rêvaient d’avoir la possibilité de choisir l’avenir de leur pays.
Lire aussi le récit : Article réservé à nos abonnés En Biélorussie, un climat de terreur généralisé
Trois ans plus tard, des milliers de prisonniers politiques croupissent toujours dans les infâmes geôles du régime biélorusse, tandis que le pays est plus que jamais dépendant de son voisin russe et « occupé » par ses forces armées, selon le terme de Svetlana Tsikhanovskaïa. Des armes nucléaires russes vont être déployées sur le sol biélorusse, en contradiction totale avec la Constitution, et Wagner, cette milice criminelle, se déploie déjà rapidement sur son territoire.
Les sanctions économiques européennes prises jusqu’ici à l’encontre du régime de Loukachenko – après des épisodes de répression sanglante comme le détournement de l’avion Ryanair pour arrêter un journaliste opposant au régime ou l’immonde trafic de migrants organisé par Minsk pour déstabiliser la Pologne, la Lituanie et la Lettonie – ne peuvent être notre seule réponse à ces attaques plus récentes contre notre modèle et nos valeurs.
Utile au Kremlin
Pour des raisons stratégiques, la Biélorussie devient de mois en mois un territoire indispensable pour la guerre de Poutine en Ukraine, et une menace pour les Ukrainiens en cas d’une nouvelle invasion russe par le nord. D’un point de vue politique, le pays est primordial dans le narratif de Poutine et de son « monde russe ».
Lire aussi la tribune : Article réservé à nos abonnés Biélorussie : « Le problème Loukachenko est inextricablement lié au problème Poutine »
Loukachenko, qui pendant des années a semblé vouloir résister aux pressions du président russe et a même rêvé de devenir le tsar de Biélorussie et de Russie, se révèle aujourd’hui un véritable serviteur des ambitions du Kremlin. Politiquement et économiquement fragilisé depuis trois ans, le pouvoir biélorusse ne doit sa survie qu’au bon vouloir de Moscou.
Cours en ligne, cours du soir, ateliers : développez vos compétences
Découvrir
Alors, que faire face à un régime aussi utile à Poutine ? Dans un premier temps, plus que de décider de nouvelles sanctions, il serait pertinent de veiller à la bonne application des sanctions déjà décidées. Leurs contournements sont encore trop nombreux. Dans un second temps, il faut mettre le paquet dans notre soutien à l’opposition biélorusse. Incarnée par Svetlana Tsikhanovskaïa, elle s’est bien structurée et a proclamé un gouvernement en exil. Les institutions européennes et nationales doivent avoir des échanges réguliers avec ce gouvernement et les responsables politiques qui le composent.
Anticiper le changement
C’est pourquoi, par une résolution votée en janvier 2022 à l’unanimité à l’Assemblée nationale, j’ai pris l’initiative de créer un groupe d’études à vocation internationale entre les députés français et les représentants de la Biélorussie démocratique. Nous sommes la première institution européenne à avoir pris cette décision. D’autres devraient emboîter le pas. Il est primordial de commencer à préparer ensemble l’après-Loukachenko et la sortie du pays de cette zone grise entre l’Union européenne et la Russie.
La transition d’un régime autocratique et d’une administration autoritaire héritée du soviétisme vers une société et une gouvernance démocratiques ne se fera pas naturellement et sans un intense travail commun. Nous devons aussi préparer conjointement le pays à la libéralisation de l’économie – sans répéter les « erreurs » commises en Pologne ou en Hongrie à la chute du communisme – ou encore aux enjeux énergétiques et numériques.
Lire aussi la tribune : Article réservé à nos abonnés Bernard Guetta : « Il faut cesser de penser à négocier les frontières de l’Ukraine à la place des Ukrainiens »
Faire de la prospective ou anticiper un changement de régime en Biélorussie n’est pas un travail utopique ou vain. Le pouvoir de Loukachenko est faible ; il ne tient qu’avec le soutien du régime de Poutine qui, lui-même, s’affaiblit depuis le début de la guerre en Ukraine. Si le régime biélorusse s’effondre, le pays doit sortir de cette zone grise aux portes de l’Europe dans laquelle Loukachenko et Poutine veulent l’enfermer depuis tant d’années. Ses habitants méritent de vivre en démocratie, et nous devons les y préparer. Soutenir l’opposition biélorusse, c’est aider l’Ukraine ; aider l’Ukraine, c’est aussi soutenir l’opposition biélorusse. Nous devons avoir ces deux éléments à l’esprit « pour leur liberté, et la nôtre ».
Frédéric Petit est député (MoDem) de la 7e circonscription des Français établis hors de France (Allemagne, Europe centrale et Balkans). Il est président du groupe d’études à vocation internationale sur la Biélorussie à l’Assemblée nationale.
Frédéric Petit (Député MoDem)
Tribune
Frédéric Petit
Député MoDem
Dans une tribune au « Monde », le député MoDem Frédéric Petit insiste sur la nécessité, tant pour l’émancipation des Biélorusses et des Ukrainiens que pour la sécurité de l’Europe, de travailler à l’avenir démocratique du pays avec l’opposition à Alexandre Loukachenko, ce dernier ne tenant que grâce au soutien de la Russie.
Publié le 08 août 2023 à 21h00 Temps de Lecture 3 min. Read in English
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Le 9 août 2020, lors du vote ayant conduit à la réélection d’Alexandre Loukachenko, les Biélorusses, emmenés par un trio de femmes extrêmement courageuses – les opposantes Svetlana Tsikhanovskaïa, Veronika Tsepkalo et Maria Kolesnikova –, tentaient de faire tomber « la dernière dictature d’Europe ». La terrible répression menée par le pouvoir, fort bien aidé et soutenu par celui de Moscou, qui lui envoya ses forces de sécurité, brisa cet élan démocratique et poussa à l’exil des milliers de citoyens qui rêvaient d’avoir la possibilité de choisir l’avenir de leur pays.
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Trois ans plus tard, des milliers de prisonniers politiques croupissent toujours dans les infâmes geôles du régime biélorusse, tandis que le pays est plus que jamais dépendant de son voisin russe et « occupé » par ses forces armées, selon le terme de Svetlana Tsikhanovskaïa. Des armes nucléaires russes vont être déployées sur le sol biélorusse, en contradiction totale avec la Constitution, et Wagner, cette milice criminelle, se déploie déjà rapidement sur son territoire.
Les sanctions économiques européennes prises jusqu’ici à l’encontre du régime de Loukachenko – après des épisodes de répression sanglante comme le détournement de l’avion Ryanair pour arrêter un journaliste opposant au régime ou l’immonde trafic de migrants organisé par Minsk pour déstabiliser la Pologne, la Lituanie et la Lettonie – ne peuvent être notre seule réponse à ces attaques plus récentes contre notre modèle et nos valeurs.
Utile au Kremlin
Pour des raisons stratégiques, la Biélorussie devient de mois en mois un territoire indispensable pour la guerre de Poutine en Ukraine, et une menace pour les Ukrainiens en cas d’une nouvelle invasion russe par le nord. D’un point de vue politique, le pays est primordial dans le narratif de Poutine et de son « monde russe ».
Lire aussi la tribune : Article réservé à nos abonnés Biélorussie : « Le problème Loukachenko est inextricablement lié au problème Poutine »
Loukachenko, qui pendant des années a semblé vouloir résister aux pressions du président russe et a même rêvé de devenir le tsar de Biélorussie et de Russie, se révèle aujourd’hui un véritable serviteur des ambitions du Kremlin. Politiquement et économiquement fragilisé depuis trois ans, le pouvoir biélorusse ne doit sa survie qu’au bon vouloir de Moscou.
Cours en ligne, cours du soir, ateliers : développez vos compétences
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Alors, que faire face à un régime aussi utile à Poutine ? Dans un premier temps, plus que de décider de nouvelles sanctions, il serait pertinent de veiller à la bonne application des sanctions déjà décidées. Leurs contournements sont encore trop nombreux. Dans un second temps, il faut mettre le paquet dans notre soutien à l’opposition biélorusse. Incarnée par Svetlana Tsikhanovskaïa, elle s’est bien structurée et a proclamé un gouvernement en exil. Les institutions européennes et nationales doivent avoir des échanges réguliers avec ce gouvernement et les responsables politiques qui le composent.
Anticiper le changement
C’est pourquoi, par une résolution votée en janvier 2022 à l’unanimité à l’Assemblée nationale, j’ai pris l’initiative de créer un groupe d’études à vocation internationale entre les députés français et les représentants de la Biélorussie démocratique. Nous sommes la première institution européenne à avoir pris cette décision. D’autres devraient emboîter le pas. Il est primordial de commencer à préparer ensemble l’après-Loukachenko et la sortie du pays de cette zone grise entre l’Union européenne et la Russie.
La transition d’un régime autocratique et d’une administration autoritaire héritée du soviétisme vers une société et une gouvernance démocratiques ne se fera pas naturellement et sans un intense travail commun. Nous devons aussi préparer conjointement le pays à la libéralisation de l’économie – sans répéter les « erreurs » commises en Pologne ou en Hongrie à la chute du communisme – ou encore aux enjeux énergétiques et numériques.
Lire aussi la tribune : Article réservé à nos abonnés Bernard Guetta : « Il faut cesser de penser à négocier les frontières de l’Ukraine à la place des Ukrainiens »
Faire de la prospective ou anticiper un changement de régime en Biélorussie n’est pas un travail utopique ou vain. Le pouvoir de Loukachenko est faible ; il ne tient qu’avec le soutien du régime de Poutine qui, lui-même, s’affaiblit depuis le début de la guerre en Ukraine. Si le régime biélorusse s’effondre, le pays doit sortir de cette zone grise aux portes de l’Europe dans laquelle Loukachenko et Poutine veulent l’enfermer depuis tant d’années. Ses habitants méritent de vivre en démocratie, et nous devons les y préparer. Soutenir l’opposition biélorusse, c’est aider l’Ukraine ; aider l’Ukraine, c’est aussi soutenir l’opposition biélorusse. Nous devons avoir ces deux éléments à l’esprit « pour leur liberté, et la nôtre ».
Frédéric Petit est député (MoDem) de la 7e circonscription des Français établis hors de France (Allemagne, Europe centrale et Balkans). Il est président du groupe d’études à vocation internationale sur la Biélorussie à l’Assemblée nationale.
Frédéric Petit (Député MoDem)
myko- Messages : 196
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Re: En Biélorussie
International 05/01/2024 06:45
En Biélorussie, Alexandre Loukachenko signe une loi qui plonge un peu plus le pays dans la dictature
Le président biélorusse a désormais une immunité à vie contre les poursuites. Il a aussi posé des conditions impossibles pour se présenter à l’élection présidentielle.
Par Le HuffPost
INTERNATIONAL - Un peu plus de pouvoir pour lui et un peu moins de liberté pour son pays. Le président biélorusse Alexandre Loukachenko a signé ce jeudi 4 janvier une loi lui garantissant une immunité à vie, et mettant des bâtons dans les roues à ses opposants qui souhaiteraient se présenter aux futures élections présidentielles, rapporte Associated Press (AP).
Comme l’explique l’agence américaine, ce texte s’applique en théorie à tous les présidents et leurs proches. Dans la réalité, Loukachenko a fait cette loi pour son gain personnel alors qu’il règne sur la Biélorussie depuis juillet 1994, presque 30 ans.
Dans le détail, seuls les citoyens biélorusses qui ont vécu dans le pays pendant ces 20 dernières années et n’ont jamais eu de permis de résidence à l’étranger peuvent désormais se présenter à la présidentielle. La prochaine élection est prévue en 2025. Une manière pour le dictateur d’empêcher l’opposition, qui s’est réfugiée en dehors des frontières pour échapper à la prison, de le défier.
Par ailleurs, les membres de sa famille auront droit à la protection d’État et à un accès médical toute leur vie, mais auront aussi accès à une assurance-vie et santé jusqu’à leur décès. Enfin, Alexandre Loukachenko deviendra un membre permanent de la chambre haute du Parlement s’il démissionne.
En 2020, des manifestations monstres contre le président aujourd’hui âgé de 69 ans avaient éclaté après sa réélection pour un sixième mandat. Des milliers de personnes avaient été arrêtées et emprisonnées, voire torturées.
Source : https://www.huffingtonpost.fr/international/article/en-bielorussie-alexandre-loukachenko-signe-une-loi-qui-plonge-un-peu-plus-le-pays-dans-la-dictature_227901.html
En Biélorussie, Alexandre Loukachenko signe une loi qui plonge un peu plus le pays dans la dictature
Le président biélorusse a désormais une immunité à vie contre les poursuites. Il a aussi posé des conditions impossibles pour se présenter à l’élection présidentielle.
Par Le HuffPost
INTERNATIONAL - Un peu plus de pouvoir pour lui et un peu moins de liberté pour son pays. Le président biélorusse Alexandre Loukachenko a signé ce jeudi 4 janvier une loi lui garantissant une immunité à vie, et mettant des bâtons dans les roues à ses opposants qui souhaiteraient se présenter aux futures élections présidentielles, rapporte Associated Press (AP).
Comme l’explique l’agence américaine, ce texte s’applique en théorie à tous les présidents et leurs proches. Dans la réalité, Loukachenko a fait cette loi pour son gain personnel alors qu’il règne sur la Biélorussie depuis juillet 1994, presque 30 ans.
Dans le détail, seuls les citoyens biélorusses qui ont vécu dans le pays pendant ces 20 dernières années et n’ont jamais eu de permis de résidence à l’étranger peuvent désormais se présenter à la présidentielle. La prochaine élection est prévue en 2025. Une manière pour le dictateur d’empêcher l’opposition, qui s’est réfugiée en dehors des frontières pour échapper à la prison, de le défier.
Protection totale et impunité
Pour se protéger, il ne s’arrête pas là. Le texte ajoute que l’allié de Vladimir Poutine « ne pourra pas être tenu responsable des actions commises en lien avec l’exercice de ses pouvoirs présidentiels », même s’il n’est plus à la tête du pays.Par ailleurs, les membres de sa famille auront droit à la protection d’État et à un accès médical toute leur vie, mais auront aussi accès à une assurance-vie et santé jusqu’à leur décès. Enfin, Alexandre Loukachenko deviendra un membre permanent de la chambre haute du Parlement s’il démissionne.
En 2020, des manifestations monstres contre le président aujourd’hui âgé de 69 ans avaient éclaté après sa réélection pour un sixième mandat. Des milliers de personnes avaient été arrêtées et emprisonnées, voire torturées.
Source : https://www.huffingtonpost.fr/international/article/en-bielorussie-alexandre-loukachenko-signe-une-loi-qui-plonge-un-peu-plus-le-pays-dans-la-dictature_227901.html
Gilles- Messages : 2455
Date d'inscription : 16/02/2019
Re: En Biélorussie
C'est de la dictature à la nord-coréenne !!Gilles a écrit:International 05/01/2024 06:45
En Biélorussie, Alexandre Loukachenko signe une loi qui plonge un peu plus le pays dans la dictature
Le président biélorusse a désormais une immunité à vie contre les poursuites. Il a aussi posé des conditions impossibles pour se présenter à l’élection présidentielle.
Caduce62- Messages : 15238
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Localisation : chez les Ch'tis
Re: En Biélorussie
https://www.lemonde.fr/international/article/2024/01/31/en-bielorussie-le-regime-de-loukachenko-procede-a-une-nouvelle-vague-de-repression_6214025_3210.html?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR0HlST41YFpnTeA5AokZ7x_4csLcz2OJEZMaWm-7UGQFhV8io10puXhhYk#Echobox=1706695495
En Biélorussie, le régime de Loukachenko procède à une nouvelle vague de répression
Les services de sécurité biélorusses ont mené des raids à l’échelle nationale visant les anciens prisonniers politiques et leurs proches. Plus de 160 personnes ont été arrêtées, interrogées ou ont vu leur domicile fouillé.
Par Faustine Vincent
Publié le 31 janvier 2024 à 11h00
Alexandre Loukachenko fait place nette avant les élections législatives, prévues le 25 février. Le dirigeant autoritaire biélorusse a orchestré ces derniers jours une nouvelle vague de répression visant les anciens prisonniers politiques et leurs proches. Les services de sécurité biélorusses du KGB ont mené des raids à l’échelle nationale. Selon l’ONG biélorusse de défense des droits humains Viasna, plus de 160 personnes ont été arrêtées, interrogées ou ont vu leur domicile fouillé. Ces perquisitions visent « des parents et des proches de prisonniers politiques ou d’anciens prisonniers politiques qui ont été récemment libérés et sont restés en Biélorussie », a affirmé l’organisation.
La police cherche notamment des traces de comptes en banque à l’étranger. Les perquisitions ont commencé le 23 janvier et seraient liées à l’aide fournie par des organisations en exil, qui soutiennent financièrement les familles de détenus, selon Viasna. Marina Adamovitch, épouse du militant emprisonné Mikalaï Statkevich, a ainsi été détenue pendant quinze jours. Avant elle, Tatsiana Sieviaryniec, la mère du leader de l’opposition emprisonné Paval Sieviaryniec, a été arrêtée et libérée dans l’attente de son procès à Vitebsk, même si les accusations portées contre cette femme de 69 ans restent floues.
La Biélorussie compte plus de 1 500 prisonniers politiques, et de nouvelles arrestations surviennent chaque jour. Les familles peinent à subvenir aux besoins de leurs proches, détenus dans des conditions extrêmement rudimentaires. Elles disent dépenser au moins 60 à 100 dollars (55 à 90 euros) pour chaque visite d’un avocat, et 158 dollars par colis de nourriture et d’effets personnels, alors que le salaire moyen est d’environ 582 dollars mensuels. Soutenir un prisonnier condamné peut leur coûter plus de 2 000 dollars par an, a calculé le service biélorusse de Radio Liberty.
En Biélorussie, le régime de Loukachenko procède à une nouvelle vague de répression
Les services de sécurité biélorusses ont mené des raids à l’échelle nationale visant les anciens prisonniers politiques et leurs proches. Plus de 160 personnes ont été arrêtées, interrogées ou ont vu leur domicile fouillé.
Par Faustine Vincent
Publié le 31 janvier 2024 à 11h00
Alexandre Loukachenko fait place nette avant les élections législatives, prévues le 25 février. Le dirigeant autoritaire biélorusse a orchestré ces derniers jours une nouvelle vague de répression visant les anciens prisonniers politiques et leurs proches. Les services de sécurité biélorusses du KGB ont mené des raids à l’échelle nationale. Selon l’ONG biélorusse de défense des droits humains Viasna, plus de 160 personnes ont été arrêtées, interrogées ou ont vu leur domicile fouillé. Ces perquisitions visent « des parents et des proches de prisonniers politiques ou d’anciens prisonniers politiques qui ont été récemment libérés et sont restés en Biélorussie », a affirmé l’organisation.
La police cherche notamment des traces de comptes en banque à l’étranger. Les perquisitions ont commencé le 23 janvier et seraient liées à l’aide fournie par des organisations en exil, qui soutiennent financièrement les familles de détenus, selon Viasna. Marina Adamovitch, épouse du militant emprisonné Mikalaï Statkevich, a ainsi été détenue pendant quinze jours. Avant elle, Tatsiana Sieviaryniec, la mère du leader de l’opposition emprisonné Paval Sieviaryniec, a été arrêtée et libérée dans l’attente de son procès à Vitebsk, même si les accusations portées contre cette femme de 69 ans restent floues.
La Biélorussie compte plus de 1 500 prisonniers politiques, et de nouvelles arrestations surviennent chaque jour. Les familles peinent à subvenir aux besoins de leurs proches, détenus dans des conditions extrêmement rudimentaires. Elles disent dépenser au moins 60 à 100 dollars (55 à 90 euros) pour chaque visite d’un avocat, et 158 dollars par colis de nourriture et d’effets personnels, alors que le salaire moyen est d’environ 582 dollars mensuels. Soutenir un prisonnier condamné peut leur coûter plus de 2 000 dollars par an, a calculé le service biélorusse de Radio Liberty.
Caduce62- Messages : 15238
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Localisation : chez les Ch'tis
Re: En Biélorussie
Kiev met en garde la Biélorussie qui «masse un nombre significatif de soldats» à sa frontière
Par Le Figaro avec AFP
Publié hier à 21:45, mis à jour il y a 12 heures
L'Ukraine a accusé dimanche son voisin la Biélorussie, proche allié de la Russie, de «masser» des troupes à leur frontière et a mis en garde Minsk contre d'éventuels «actes inamicaux». Le ministère ukrainien des Affaires étrangères a indiqué avoir repéré que le pays voisin «masse un nombre significatif de soldats (...) dans la région de Gomel, près de la frontière nord de l'Ukraine, sous couvert de manoeuvres».
«Nous avertissons les responsables biélorusses de ne pas commettre d'erreur tragique sous la pression de Moscou, et nous pressons ses forces armées de cesser ses actes inamicaux et de retirer les forces de la frontière de l'Ukraine à une distance supérieure à la distance de tir des systèmes du Belarus», a ajouté la diplomatie ukrainienne dans un communiqué. Kiev a affirmé avoir enregistré la présence de combattants de la milice Wagner, dont certains sont hébergés par la Biélorussie après l'échec de la rébellion de leur chef l'année dernière.
L'Ukraine a prévenu que les exercices militaires dans la zone frontalière constituaient une menace pour la «sécurité mondiale» en raison de la proximité de la centrale nucléaire de Tchernobyl, site de la pire catastrophe nucléaire au monde. «Nous soulignons que l'Ukraine n'a jamais entrepris et n'entreprendra jamais d'actions inamicales à l'encontre du peuple biélorusse», a ajouté le ministère des affaires étrangères.
Un nouveau drone missile ukrainien
Dimanche soir, Volodymyr Zelensky a revendiqué dimanche des «avancées» dans la région russe de Koursk et la prise de deux villages, plus de deux semaines après avoir lancé une offensive.
«Je viens de parler au commandant-en-chef Oleksandre Syrsky, et il y a des avancées de nos troupes dans la région de Koursk. D’un à trois kilomètres. On a pris le contrôle de deux villages de plus», a déclaré Volodymyr Zelensky dans son message quotidien, ajoutant que des combats étaient «en cours dans un autre village».
La veille, le dirigeant ukrainien avait également affirmé que les forces ukrainiennes avaient testé avec succès un nouveau «drone missile», le «Palianytsia», «beaucoup plus rapide et plus puissant» que les drones dont elles disposent actuellement.
Par Le Figaro avec AFP
Publié hier à 21:45, mis à jour il y a 12 heures
L'Ukraine a accusé dimanche son voisin la Biélorussie, proche allié de la Russie, de «masser» des troupes à leur frontière et a mis en garde Minsk contre d'éventuels «actes inamicaux». Le ministère ukrainien des Affaires étrangères a indiqué avoir repéré que le pays voisin «masse un nombre significatif de soldats (...) dans la région de Gomel, près de la frontière nord de l'Ukraine, sous couvert de manoeuvres».
«Nous avertissons les responsables biélorusses de ne pas commettre d'erreur tragique sous la pression de Moscou, et nous pressons ses forces armées de cesser ses actes inamicaux et de retirer les forces de la frontière de l'Ukraine à une distance supérieure à la distance de tir des systèmes du Belarus», a ajouté la diplomatie ukrainienne dans un communiqué. Kiev a affirmé avoir enregistré la présence de combattants de la milice Wagner, dont certains sont hébergés par la Biélorussie après l'échec de la rébellion de leur chef l'année dernière.
L'Ukraine a prévenu que les exercices militaires dans la zone frontalière constituaient une menace pour la «sécurité mondiale» en raison de la proximité de la centrale nucléaire de Tchernobyl, site de la pire catastrophe nucléaire au monde. «Nous soulignons que l'Ukraine n'a jamais entrepris et n'entreprendra jamais d'actions inamicales à l'encontre du peuple biélorusse», a ajouté le ministère des affaires étrangères.
Un nouveau drone missile ukrainien
Dimanche soir, Volodymyr Zelensky a revendiqué dimanche des «avancées» dans la région russe de Koursk et la prise de deux villages, plus de deux semaines après avoir lancé une offensive.
«Je viens de parler au commandant-en-chef Oleksandre Syrsky, et il y a des avancées de nos troupes dans la région de Koursk. D’un à trois kilomètres. On a pris le contrôle de deux villages de plus», a déclaré Volodymyr Zelensky dans son message quotidien, ajoutant que des combats étaient «en cours dans un autre village».
La veille, le dirigeant ukrainien avait également affirmé que les forces ukrainiennes avaient testé avec succès un nouveau «drone missile», le «Palianytsia», «beaucoup plus rapide et plus puissant» que les drones dont elles disposent actuellement.
Caduce62- Messages : 15238
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
Re: En Biélorussie
Krispoluk a écrit:Yoda a écrit:un Océan de sang! Bien trop grave pour jouer!Krispoluk a écrit:
On prend les paris ? 200€ d'enjeu ! Et oui ! Quand on contredit, il faut avoir le courage d'aller jusqu'au bout de son opinion !
"L'océan de sang" s'est déjà produit en Biélorussie avec la répression féroce qui a suivi l'élection présidentielle confisquée en 2020 !
Une entrée en guerre de la Biélorussie serait réglée en 1 semaine, vu la faible motivation et importance de son armée et de la "libération populaire" qui suivrait la chute de Louka.
Tu es pour le maintien au pouvoir des dictateurs en Europe ?
Avoir le courage de ses opinions, assis dans un fauteuil, une bière bien fraîche à la main, serait de l'autre main sur le clavier à écrire simplement "prendre un pari" ?
Je me souviens avoir lu sur ce forum "il n'osera pas [Poutine] passer la frontière" ....... c'était avant le 24 février 2022.
Depuis, c'est un pied de nez qu'il fait à l'Europe, déstabilisant certains Etats par une propagande mensongère, quand d'autres prennent déjà position.
"Dictateurs" en Europe ? "Certains" dénoncent tel celui qui nous dirige, et pire, feraient tout pour mettre en place un Parti qui est allé chercher un financement chez Vladimir, serait la panacée.
Je suis de l'avis de Yoda, trop de sang versé pour "prendre un pari", pour cela il y a le Loto National ou les champs de courses.
Ces derniers jours, j'avais pu voir sur la Croisette, et je ne comprenais pas très bien la pensée des gens du cru envers "ces réfugiés ukrainiens". Depuis, j'ai revu ma pensée, non pas envers ces réfugiés, mais sur "le visible" de la Riviera Azuréenne.
Je comprends qu'il est "normal" de vouloir sauver sa peau, mais comment pouvoir le faire sans moyens financiers ?
Des plaques d'immatriculations UA sur des véhicules ne laissant que peu de doute sur la classe[sociale] aisée du propriétaire, quand une autre, sans moyens ou par conviction de Liberté, sera restée sur le "terrain" risquant sa vie.
Combien de vies sacrifiées en ayant eu une "simple" pensée qu'il n'oserait pas.
En 40, ils[ukrainiens] sont tombés sur les champs de batailles pour notre liberté, ils étaient soviétiques par force, mais ukrainiens avant tout.
Et nous sommes là à lire, à commenter, la souffrance d'un peuple ...... et à "oser" prendre des paris ?
Il fallait "oser" le dire.
jivan- Messages : 119
Date d'inscription : 07/10/2015
Age : 98
Re: En Biélorussie
la Biélorussie détruit un drone russe qui survolait son territoire
La Biélorussie a abattu un drone de son allié russe qui survolait son territoire dans la nuit de mercredi à jeudi. L’engin avait sans doute été lancé pour exploser en Ukraine.
Par Félix Pennel
Publié:29 Août 2024 à 14h38
Il s’agirait d’une première.
L’armée de l’air bélarusse a abattu un drone russe qui survolait son territoire dans la nuit de mercredi à jeudi, peu avant 4 heures.
Selon Belarusian Hajun project (BHP), un groupe qui analyse la Biélorussie, il s’agissait d’un drone suicide Shahed, de conception iranienne et massivement utilisé par Moscou pour frapper les villes ukrainiennes.
Le Belarus fait ce que la Pologne est incapable de faire putler est-il content ?
La Biélorussie a abattu un drone de son allié russe qui survolait son territoire dans la nuit de mercredi à jeudi. L’engin avait sans doute été lancé pour exploser en Ukraine.
Par Félix Pennel
Publié:29 Août 2024 à 14h38
Il s’agirait d’une première.
L’armée de l’air bélarusse a abattu un drone russe qui survolait son territoire dans la nuit de mercredi à jeudi, peu avant 4 heures.
Selon Belarusian Hajun project (BHP), un groupe qui analyse la Biélorussie, il s’agissait d’un drone suicide Shahed, de conception iranienne et massivement utilisé par Moscou pour frapper les villes ukrainiennes.
Le Belarus fait ce que la Pologne est incapable de faire putler est-il content ?
Caduce62- Messages : 15238
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
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