Elections du 26 octobre
+5
richard
dovaking
Thuramir
Tibo
Matt
9 participants
Page 1 sur 2
Page 1 sur 2 • 1, 2
Elections du 26 octobre
Ca commence déjà à s'animer un peu, mais là, il y en a une qui fait fort:
Des photos intimes de la femme politique "la plus sexy au monde" dévoilées sur la toile
Après les célébrités Jennifer Lawrence et Rihanna, c'est désormais au tour d'une jolie politique ukrainienne d'être victime d'un piratage de son compte iCloud. Elle s'appelle Olga Lyulchuk (30 ans) et a vu apparaître sur les réseaux sociaux des photos d'elle nue.
Malgré les clichés volés, la principale intéressée n'en fait pas une affaire d'État. "C'est exact qu'une série de photos intimes ont été volées et circulent actuellement sur le net, mais en fait, je m'en contrefous. Le monde salue les chefs d'oeuvre de Van Gogh, Titien ou d'autres. Ils ont réalisé des beautés nues qui ont suscité l'admiration. De nos jours, les femmes qui apparaissent dénudées sont considérées comme vulgaires. Je ne comprends pas. C'est de l'art, tout simplement", a-t-elle déclaré. Non, Olga n'a pas honte de son corps et en est même fière. Certains l'ont déjà baptisée "la femme politique la plus sexy" au monde...
Membre de l'Alliance démocratique ukrainienne pour la réforme
Dans son pays natal, la diffusion des photos ne plaît pas à tout le monde. Pour cause: Olga Lyulchak est candidate pour le parti de l'ex-champion de boxe Vitali Klitschko aux élections législatives du 26 octobre prochain. La voir enflammer la toile quelques semaines avant le scrutin semble poser problème à bon nombre de personnes.
Hayden Panettiere, l'épouse du frère de Vitali Klitschko, Vladimir, a elle aussi été la cible de hackers. Des photos privées sont apparues sur le net.
7sur7.be
Autre chose que nos politiciennes occidentales.
Des photos intimes de la femme politique "la plus sexy au monde" dévoilées sur la toile
Après les célébrités Jennifer Lawrence et Rihanna, c'est désormais au tour d'une jolie politique ukrainienne d'être victime d'un piratage de son compte iCloud. Elle s'appelle Olga Lyulchuk (30 ans) et a vu apparaître sur les réseaux sociaux des photos d'elle nue.
Malgré les clichés volés, la principale intéressée n'en fait pas une affaire d'État. "C'est exact qu'une série de photos intimes ont été volées et circulent actuellement sur le net, mais en fait, je m'en contrefous. Le monde salue les chefs d'oeuvre de Van Gogh, Titien ou d'autres. Ils ont réalisé des beautés nues qui ont suscité l'admiration. De nos jours, les femmes qui apparaissent dénudées sont considérées comme vulgaires. Je ne comprends pas. C'est de l'art, tout simplement", a-t-elle déclaré. Non, Olga n'a pas honte de son corps et en est même fière. Certains l'ont déjà baptisée "la femme politique la plus sexy" au monde...
Membre de l'Alliance démocratique ukrainienne pour la réforme
Dans son pays natal, la diffusion des photos ne plaît pas à tout le monde. Pour cause: Olga Lyulchak est candidate pour le parti de l'ex-champion de boxe Vitali Klitschko aux élections législatives du 26 octobre prochain. La voir enflammer la toile quelques semaines avant le scrutin semble poser problème à bon nombre de personnes.
Hayden Panettiere, l'épouse du frère de Vitali Klitschko, Vladimir, a elle aussi été la cible de hackers. Des photos privées sont apparues sur le net.
7sur7.be
Autre chose que nos politiciennes occidentales.
Re: Elections du 26 octobre
Selon euromaidanpress.com, le FSB aurait programmé des actes terroristes le jour des élections:
Russian security services planned terrorist acts for election day in Ukraine
Russian security services planned terrorist acts for election day in Ukraine
Re: Elections du 26 octobre
L'UE veut des élections «dans tout le pays»
Bruxelles a réclamé lundi que les élections de dimanche prochain en Ukraine soient préparées «sans entrave» et «dans tout le pays».
L'Union européenne prévient déjà qu'elle ne reconnaîtra pas les scrutins organisés par les séparatistes prorusses le 2 novembre.
«Les responsables et les électeurs ukrainiens doivent pouvoir préparer les élections sans entrave, et tous les candidats doivent pouvoir faire campagne librement et en sécurité, dans tout le pays», ont insisté les 28 ministres européens à propos des législatives du 26 octobre.
«Le Conseil européen condamne de récents incidents où des candidats ont été battus et intimidés», ont ajouté les 28 dans une déclaration à l'issue d'une réunion à Luxembourg.
L'UE rappelle qu'elle «ne reconnaîtra pas» les résultats des élections organisées par les rebelles séparatistes prorusses le 2 novembre prochain, estimant que cela «perturberait» les efforts faits pour trouver une solution politique au conflit.
L'UE appelle en même temps les autorités ukrainiennes à organiser «rapidement» des élections locales dans ces zones, alors que Kiev a promis une plus grande décentralisation.
Les séparatistes prorusses des régions de Donetsk et Lougansk ont refusé de participer au scrutin du 26 octobre, annonçant l'organisation de leurs propres législatives et présidentielles.
Moscou pointé du doigt
Sur le terrain, la situation «reste fragile», a constaté Catherine Ashton, la cheffe de la diplomatie européenne, lors d'un point de presse.
Les 28 ont pointé la «responsabilité» de la Russie et ont «appelé à un retrait des groupes armés illégaux, des équipements militaires, des combattants et mercenaires» russes de l'Est de l'Ukraine.
L'UE demande aussi à la Russie à coopérer pour que l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), présidée cette année par la Suisse, puisse déployer des observateurs le long de la frontière entre les deux pays, qui échappe pour l'instant à tout contrôle de Kiev.
Une évaluation des sanctions économiques prises par l'UE envers la Russie pour son implication aux côtés des séparatistes est prévue d'ici le 31 octobre, en fonction de l'évolution de la situation.
20min.ch
Voeux pieux je pense, à cause des zozos.
Bruxelles a réclamé lundi que les élections de dimanche prochain en Ukraine soient préparées «sans entrave» et «dans tout le pays».
L'Union européenne prévient déjà qu'elle ne reconnaîtra pas les scrutins organisés par les séparatistes prorusses le 2 novembre.
«Les responsables et les électeurs ukrainiens doivent pouvoir préparer les élections sans entrave, et tous les candidats doivent pouvoir faire campagne librement et en sécurité, dans tout le pays», ont insisté les 28 ministres européens à propos des législatives du 26 octobre.
«Le Conseil européen condamne de récents incidents où des candidats ont été battus et intimidés», ont ajouté les 28 dans une déclaration à l'issue d'une réunion à Luxembourg.
L'UE rappelle qu'elle «ne reconnaîtra pas» les résultats des élections organisées par les rebelles séparatistes prorusses le 2 novembre prochain, estimant que cela «perturberait» les efforts faits pour trouver une solution politique au conflit.
L'UE appelle en même temps les autorités ukrainiennes à organiser «rapidement» des élections locales dans ces zones, alors que Kiev a promis une plus grande décentralisation.
Les séparatistes prorusses des régions de Donetsk et Lougansk ont refusé de participer au scrutin du 26 octobre, annonçant l'organisation de leurs propres législatives et présidentielles.
Moscou pointé du doigt
Sur le terrain, la situation «reste fragile», a constaté Catherine Ashton, la cheffe de la diplomatie européenne, lors d'un point de presse.
Les 28 ont pointé la «responsabilité» de la Russie et ont «appelé à un retrait des groupes armés illégaux, des équipements militaires, des combattants et mercenaires» russes de l'Est de l'Ukraine.
L'UE demande aussi à la Russie à coopérer pour que l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), présidée cette année par la Suisse, puisse déployer des observateurs le long de la frontière entre les deux pays, qui échappe pour l'instant à tout contrôle de Kiev.
Une évaluation des sanctions économiques prises par l'UE envers la Russie pour son implication aux côtés des séparatistes est prévue d'ici le 31 octobre, en fonction de l'évolution de la situation.
20min.ch
Voeux pieux je pense, à cause des zozos.
Re: Elections du 26 octobre
Ukraine: les «héros» de la guerre se lancent en politique
Blessé et capturé lors de la bataille la plus sanglante du conflit en Ukraine, Volodymyr Parassiouk brigue un fauteuil de député pour lutter contre "les traitres", comme des dizaines de "héros" de la guerre entrés en politique.
Andriï Biletski, commandant du bataillon Azov et candidat aux élections, le 19 octobre 2014 à Kiev - Genya Savilov AFP
Cet ancien homme d'affaires de 27 ans, originaire du bastion nationaliste de Lviv, dans l'Ouest, s'était rendu célèbre durant le mouvement de contestation pro-européen de Maïdan fin 2013 en sommant l'ancien président Viktor Ianoukovitch de démissionner ou il irait le chercher à la présidence.
Après le lancement en avril de l'opération militaire contre les séparatistes prorusses de l'Est, il a rejoint un bataillon de volontaires. Blessé et capturé pendant la bataille d'Ilovaïsk, qui a coûté la vie à plus de 100 soldats ukrainiens et a poussé Kiev à conclure le 5 septembre le cessez-le-feu avec les rebelles avec la participation de Moscou, il a troqué l'arme pour le verbe et mène campagne pour être élu député aux législatives anticipées de dimanche.
«Je vais au Parlement pour changer le système. Seuls des jeunes gens dynamiques en sont capables», explique-t-il à l'AFP. «Mes camarades périssent dans cette guerre et non parce que l'ennemi est plus fort que nous mais à cause de la négligence et de la trahison de nos dirigeants», ajoute-t-il.
- Combattre les séparatistes -
«Nous pouvons remporter 1.000 victoires sur le front, mais nous perdrons si on nous trahit dans les hautes sphères à Kiev. Le front doit avoir sa voix au Parlement», explique un autre candidat, Andriï Biletski, commandant du bataillon Azov, composé de volontaires nationalistes.
Flanqué de deux gardes du corps, cet historien de 35 ans aux penchants nationalistes, bottes militaires aux pieds, rencontre une cinquantaine d'électeurs dans le quartier résidentiel de Kiev, Obolon, où il se présente comme candidat indépendant.
Il ne leur parle pas de politique, mais de victoires et de défaites de son bataillon, «la plus grande fierté» de sa vie. Il s'émeut, cherche ses mots lorsqu'il évoque les soldats tués.
Ce père de famille veut être élu pour «influencer le développement d'une armée efficace» et «lutter contre la corruption, racine de tous les problèmes en Ukraine».
Pour lui, le cessez-le-feu en vigueur dans l'Est est «un répit nécessaire» après «la fêlure morale» d'Ilovaïsk, mais les hostilités reprendront de plus belle au printemps.
Ne pas reprendre les combats signifierait la reconnaissance par Kiev des républiques séparatistes autoproclamées de Donetsk et de Lougansk comme le veut la Russie ce qui reviendrait à «un crise contre l'Ukraine», martèle-t-il.
- 'La mort en face' -
Andriï Teterouk, 41 ans et candidat sur la liste du Front populaire du Premier ministre Arseni Iatseniouk, pense aussi qu'il faut se préparer à une longue guerre avec la Russie de Vladimir Poutine.
Pour lui, c'est le régime prorusse renversé en février qui «a fait entrer l'Ukraine en guerre» et renouveler radicalement le Parlement en y chassant les communistes et les députés jugés trop proches de la Russie pourrait permettre de mettre fin aux hostilités tout en renforçant l'armée.
«C'est l'effondrement total de l'armée qui a permis à la Russie de prendre sans combats la Crimée et d'intervenir dans les régions de Donetsk et de Lougansk», estime ce militaire de carrière qui a participé à l'opération du maintien de la paix au Kosovo.
«La guerre ne s'arrêtera pas demain car plus de 80% des Russes soutiennent Poutine, ils pensent qu'il est légitime d'annexer les territoires», souligne-t-il. «S'il y a de nouveau au Parlement des prorusses, je devrai retourner au front rétablir l'ordre, les armes à la main».
Mykhaïlo Bondar, 40 ans, qui mène campagne à Lviv sous l'étiquette du Front populaire revient tout juste de la zone des combats où il a été blessé près de Debaltseve, l'un des points chauds dans l'Est.
Ses yeux brillent quand il parle de l'avenir de l'Ukraine et il veut «défendre» son pays sur le front politique.
«La guerre continue parce qu'il y a des généraux vénaux qui ont été enrôlés par le renseignement et les services spéciaux russes et qui continuent de donner des ordres criminels», affirme-t-il. «Il n'y a pas de coordination, ça part dans tous les sens. Je veux changer cette situation», explique-t-il.
«On m'a tiré dessus, j'ai vu la mort en face, je donne ma parole de soldat que je défendrai mon pays et mon peuple au Parlement et s'il faut, je retournerai sur le front», conclut-il.
20minutes.fr
Pas vraiment une mauvaise chose . . .
Blessé et capturé lors de la bataille la plus sanglante du conflit en Ukraine, Volodymyr Parassiouk brigue un fauteuil de député pour lutter contre "les traitres", comme des dizaines de "héros" de la guerre entrés en politique.
Andriï Biletski, commandant du bataillon Azov et candidat aux élections, le 19 octobre 2014 à Kiev - Genya Savilov AFP
Cet ancien homme d'affaires de 27 ans, originaire du bastion nationaliste de Lviv, dans l'Ouest, s'était rendu célèbre durant le mouvement de contestation pro-européen de Maïdan fin 2013 en sommant l'ancien président Viktor Ianoukovitch de démissionner ou il irait le chercher à la présidence.
Après le lancement en avril de l'opération militaire contre les séparatistes prorusses de l'Est, il a rejoint un bataillon de volontaires. Blessé et capturé pendant la bataille d'Ilovaïsk, qui a coûté la vie à plus de 100 soldats ukrainiens et a poussé Kiev à conclure le 5 septembre le cessez-le-feu avec les rebelles avec la participation de Moscou, il a troqué l'arme pour le verbe et mène campagne pour être élu député aux législatives anticipées de dimanche.
«Je vais au Parlement pour changer le système. Seuls des jeunes gens dynamiques en sont capables», explique-t-il à l'AFP. «Mes camarades périssent dans cette guerre et non parce que l'ennemi est plus fort que nous mais à cause de la négligence et de la trahison de nos dirigeants», ajoute-t-il.
- Combattre les séparatistes -
«Nous pouvons remporter 1.000 victoires sur le front, mais nous perdrons si on nous trahit dans les hautes sphères à Kiev. Le front doit avoir sa voix au Parlement», explique un autre candidat, Andriï Biletski, commandant du bataillon Azov, composé de volontaires nationalistes.
Flanqué de deux gardes du corps, cet historien de 35 ans aux penchants nationalistes, bottes militaires aux pieds, rencontre une cinquantaine d'électeurs dans le quartier résidentiel de Kiev, Obolon, où il se présente comme candidat indépendant.
Il ne leur parle pas de politique, mais de victoires et de défaites de son bataillon, «la plus grande fierté» de sa vie. Il s'émeut, cherche ses mots lorsqu'il évoque les soldats tués.
Ce père de famille veut être élu pour «influencer le développement d'une armée efficace» et «lutter contre la corruption, racine de tous les problèmes en Ukraine».
Pour lui, le cessez-le-feu en vigueur dans l'Est est «un répit nécessaire» après «la fêlure morale» d'Ilovaïsk, mais les hostilités reprendront de plus belle au printemps.
Ne pas reprendre les combats signifierait la reconnaissance par Kiev des républiques séparatistes autoproclamées de Donetsk et de Lougansk comme le veut la Russie ce qui reviendrait à «un crise contre l'Ukraine», martèle-t-il.
- 'La mort en face' -
Andriï Teterouk, 41 ans et candidat sur la liste du Front populaire du Premier ministre Arseni Iatseniouk, pense aussi qu'il faut se préparer à une longue guerre avec la Russie de Vladimir Poutine.
Pour lui, c'est le régime prorusse renversé en février qui «a fait entrer l'Ukraine en guerre» et renouveler radicalement le Parlement en y chassant les communistes et les députés jugés trop proches de la Russie pourrait permettre de mettre fin aux hostilités tout en renforçant l'armée.
«C'est l'effondrement total de l'armée qui a permis à la Russie de prendre sans combats la Crimée et d'intervenir dans les régions de Donetsk et de Lougansk», estime ce militaire de carrière qui a participé à l'opération du maintien de la paix au Kosovo.
«La guerre ne s'arrêtera pas demain car plus de 80% des Russes soutiennent Poutine, ils pensent qu'il est légitime d'annexer les territoires», souligne-t-il. «S'il y a de nouveau au Parlement des prorusses, je devrai retourner au front rétablir l'ordre, les armes à la main».
Mykhaïlo Bondar, 40 ans, qui mène campagne à Lviv sous l'étiquette du Front populaire revient tout juste de la zone des combats où il a été blessé près de Debaltseve, l'un des points chauds dans l'Est.
Ses yeux brillent quand il parle de l'avenir de l'Ukraine et il veut «défendre» son pays sur le front politique.
«La guerre continue parce qu'il y a des généraux vénaux qui ont été enrôlés par le renseignement et les services spéciaux russes et qui continuent de donner des ordres criminels», affirme-t-il. «Il n'y a pas de coordination, ça part dans tous les sens. Je veux changer cette situation», explique-t-il.
«On m'a tiré dessus, j'ai vu la mort en face, je donne ma parole de soldat que je défendrai mon pays et mon peuple au Parlement et s'il faut, je retournerai sur le front», conclut-il.
20minutes.fr
Pas vraiment une mauvaise chose . . .
Re: Elections du 26 octobre
Matt a écrit:Ca commence déjà à s'animer un peu, mais là, il y en a une qui fait fort:
Des photos intimes de la femme politique "la plus sexy au monde" dévoilées sur la toile
Après les célébrités Jennifer Lawrence et Rihanna, c'est désormais au tour d'une jolie politique ukrainienne d'être victime d'un piratage de son compte iCloud. Elle s'appelle Olga Lyulchuk (30 ans) et a vu apparaître sur les réseaux sociaux des photos d'elle nue.
Malgré les clichés volés, la principale intéressée n'en fait pas une affaire d'État. "C'est exact qu'une série de photos intimes ont été volées et circulent actuellement sur le net, mais en fait, je m'en contrefous. Le monde salue les chefs d'oeuvre de Van Gogh, Titien ou d'autres. Ils ont réalisé des beautés nues qui ont suscité l'admiration. De nos jours, les femmes qui apparaissent dénudées sont considérées comme vulgaires. Je ne comprends pas. C'est de l'art, tout simplement", a-t-elle déclaré. Non, Olga n'a pas honte de son corps et en est même fière. Certains l'ont déjà baptisée "la femme politique la plus sexy" au monde...
Membre de l'Alliance démocratique ukrainienne pour la réforme
Dans son pays natal, la diffusion des photos ne plaît pas à tout le monde. Pour cause: Olga Lyulchak est candidate pour le parti de l'ex-champion de boxe Vitali Klitschko aux élections législatives du 26 octobre prochain. La voir enflammer la toile quelques semaines avant le scrutin semble poser problème à bon nombre de personnes.
Hayden Panettiere, l'épouse du frère de Vitali Klitschko, Vladimir, a elle aussi été la cible de hackers. Des photos privées sont apparues sur le net.
7sur7.be
Autre chose que nos politiciennes occidentales.
... on vote où ?
Tibo- Messages : 225
Date d'inscription : 07/05/2014
Re: Elections du 26 octobre
Mais non ! Un bulletin, cela se glisse dans la fente de l'urne.Matt a écrit:Faut trouver le têton! Euh le tampon . . .
Thuramir- Messages : 3677
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: Elections du 26 octobre
Plus sérieusement:
Ukraine : “les efforts de déstabilisation russes vont se poursuivre”
À trois jours des élections législatives en Ukraine, les premières depuis la chute de Ianoukovitch, le Premier ministre Arseni Iatseniouk a mis en garde contre de possibles tentatives de déstabilisation du scrutin par la Russie. Il s’exprimait ce jeudi lors d’une réunion des chefs des services de sécurité et des responsables électoraux.
“Il est clair que les efforts de déstabilisation de la situation vont se poursuivre de la part des Russes. Ils n’ont pas réussi leur coup pendant la présidentielle, a-t-il déclaré en faisant allusion au scrutin de mai dernier. Il y a eu des tentatives et leurs intentions demeurent.”
Il n’y a pas eu de réaction immédiate de Moscou à ces accusations. La Russie affiche officiellement une position neutre face à ces élections si l’on s’en tient aux déclarations du porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Alexander Lukashevich. “Nous espérons que les élections se tiendront selon tous les principes et les normes démocratiques et que l’Ukraine va voir le début d’une stabilisation politique progressive, a-t-il indiqué. Nous espérons aussi que le nouveau Parlement ukrainien va fournir les conditions nécessaires pour la relance de notre coopération à travers les structures parlementaires”.
Le mouvement du président ukrainien Petro Porochenko est donné favori par les sondages avec environ 30 % des voix. La lutte contre la corruption, fléau qui ronge le pays, est un thème majeur de sa campagne.
Avec AFP et Reuters
Copyright © 2014 euronews
Kiev craint des actions pro-russes lors des législatives
Artistes de rue à Kiev critiquant la présence de candidats de "l'ancien régime" aux élections législatives de dimanche. Le Premier ministre ukrainien, Iatseni Iatseniouk, a évoqué jeudi la crainte de possibles tentatives de déstabilisation par la Russie de ce scrutin. /Photo prise le 23 octobre 2014/REUTERS/Gleb Garanich (c) Reuters
KIEV (Reuters) - Le Premier ministre ukrainien a mis en garde jeudi contre de possibles tentatives de déstabilisation par la Russie des élections législatives prévues dimanche, premier scrutin parlementaire depuis la destitution de l'ex-président pro-russe Viktor Ianoukovitch en février.
Le gouvernement de Kiev a pris à cette fin des mesures de sécurité supplémentaires afin d'empêcher des "actes terroristes", a dit Arseni Iatseniouk.
"Il est clair que les efforts de déstabilisation de la situation vont se poursuivre de la part des Russes. Ils n'ont pas réussi leur coup pendant la présidentielle (de mai dernier) mais leurs intentions demeurent", a-t-il précisé lors d'une réunion des chefs des services de sécurité et des responsables électoraux.
"Nous devons mobiliser l'ensemble du système de sécurité pour empêcher toute violation du processus électoral ou des tentatives d'actes terroristes lors de ces élections", a souligné le Premier ministre.
Les gouvernements occidentaux ont soutenu les manifestations pro-européennes en Ukraine cet hiver tandis que la Russie a qualifié de coup d'Etat le renversement du régime de l'ancien président Ianoukovitch.
"En réalité, nous sommes agressés par la Russie et nous avons un défi de plus à relever -organiser les élections législatives. Le choix (des électeurs) se fera grâce aux bulletins de vote et sera une expression honnête de leur volonté et ne se fera pas par les armes", a souligné Arseni Iatseniouk.
Le ministre de l'Intérieur Arsen Avakov a indiqué que 61.000 policiers seront chargés de protéger les bureaux de vote à travers tout le pays. Parmi eux, 4.000 membres des forces spéciales seront prêts à intervenir rapidement en cas de menace terroriste.
MOSCOU RECONNAÎTRA LES RÉSULTATS
Ces élections législatives, les premières depuis le soulèvement qui a conduit à la fuite de Viktor Ianoukovitch, ne pourront pas avoir lieu dans les régions de l'Est tenues par les séparatistes pro-russes, ni en Crimée, annexée en mars par la Russie.
En conséquence, seuls 424 des 450 sièges de la Rada devraient être pourvus, les autres restant vacants.
Les insurgés de l'Est entendent quant à eux organiser leurs propres élections le 2 novembre.
A Moscou, le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Alexandre Loukachevitch, a déclaré jeudi que la Russie espérait que les élections ukrainiennes respecteraient "les normes et les principes démocratiques" et seraient suivies d'"un processus progressif de stabilisation politique", rapporte l'agence de presse RIA.
Alexandre Loukachevitch a précisé que les Russes participeraient à la mission d'observation du scrutin ukrainien conduite par l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).
Le chef de l'administration présidentielle russe, Sergueï Ivanov, a souligné pour sa part que Moscou reconnaîtrait les résultats des législatives ukrainiennes mais aussi ceux du scrutin qui sera organisé par les séparatistes dans l'est du pays.
(Richard Balmforth avec Gabriela Baczynska à Moscou; Eric Faye, Clémence Apetogbor et Guy Kerivel pour le service français)
nouvelobs.com
Ukraine : “les efforts de déstabilisation russes vont se poursuivre”
À trois jours des élections législatives en Ukraine, les premières depuis la chute de Ianoukovitch, le Premier ministre Arseni Iatseniouk a mis en garde contre de possibles tentatives de déstabilisation du scrutin par la Russie. Il s’exprimait ce jeudi lors d’une réunion des chefs des services de sécurité et des responsables électoraux.
“Il est clair que les efforts de déstabilisation de la situation vont se poursuivre de la part des Russes. Ils n’ont pas réussi leur coup pendant la présidentielle, a-t-il déclaré en faisant allusion au scrutin de mai dernier. Il y a eu des tentatives et leurs intentions demeurent.”
Il n’y a pas eu de réaction immédiate de Moscou à ces accusations. La Russie affiche officiellement une position neutre face à ces élections si l’on s’en tient aux déclarations du porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Alexander Lukashevich. “Nous espérons que les élections se tiendront selon tous les principes et les normes démocratiques et que l’Ukraine va voir le début d’une stabilisation politique progressive, a-t-il indiqué. Nous espérons aussi que le nouveau Parlement ukrainien va fournir les conditions nécessaires pour la relance de notre coopération à travers les structures parlementaires”.
Le mouvement du président ukrainien Petro Porochenko est donné favori par les sondages avec environ 30 % des voix. La lutte contre la corruption, fléau qui ronge le pays, est un thème majeur de sa campagne.
Avec AFP et Reuters
Copyright © 2014 euronews
Kiev craint des actions pro-russes lors des législatives
Artistes de rue à Kiev critiquant la présence de candidats de "l'ancien régime" aux élections législatives de dimanche. Le Premier ministre ukrainien, Iatseni Iatseniouk, a évoqué jeudi la crainte de possibles tentatives de déstabilisation par la Russie de ce scrutin. /Photo prise le 23 octobre 2014/REUTERS/Gleb Garanich (c) Reuters
KIEV (Reuters) - Le Premier ministre ukrainien a mis en garde jeudi contre de possibles tentatives de déstabilisation par la Russie des élections législatives prévues dimanche, premier scrutin parlementaire depuis la destitution de l'ex-président pro-russe Viktor Ianoukovitch en février.
Le gouvernement de Kiev a pris à cette fin des mesures de sécurité supplémentaires afin d'empêcher des "actes terroristes", a dit Arseni Iatseniouk.
"Il est clair que les efforts de déstabilisation de la situation vont se poursuivre de la part des Russes. Ils n'ont pas réussi leur coup pendant la présidentielle (de mai dernier) mais leurs intentions demeurent", a-t-il précisé lors d'une réunion des chefs des services de sécurité et des responsables électoraux.
"Nous devons mobiliser l'ensemble du système de sécurité pour empêcher toute violation du processus électoral ou des tentatives d'actes terroristes lors de ces élections", a souligné le Premier ministre.
Les gouvernements occidentaux ont soutenu les manifestations pro-européennes en Ukraine cet hiver tandis que la Russie a qualifié de coup d'Etat le renversement du régime de l'ancien président Ianoukovitch.
"En réalité, nous sommes agressés par la Russie et nous avons un défi de plus à relever -organiser les élections législatives. Le choix (des électeurs) se fera grâce aux bulletins de vote et sera une expression honnête de leur volonté et ne se fera pas par les armes", a souligné Arseni Iatseniouk.
Le ministre de l'Intérieur Arsen Avakov a indiqué que 61.000 policiers seront chargés de protéger les bureaux de vote à travers tout le pays. Parmi eux, 4.000 membres des forces spéciales seront prêts à intervenir rapidement en cas de menace terroriste.
MOSCOU RECONNAÎTRA LES RÉSULTATS
Ces élections législatives, les premières depuis le soulèvement qui a conduit à la fuite de Viktor Ianoukovitch, ne pourront pas avoir lieu dans les régions de l'Est tenues par les séparatistes pro-russes, ni en Crimée, annexée en mars par la Russie.
En conséquence, seuls 424 des 450 sièges de la Rada devraient être pourvus, les autres restant vacants.
Les insurgés de l'Est entendent quant à eux organiser leurs propres élections le 2 novembre.
A Moscou, le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Alexandre Loukachevitch, a déclaré jeudi que la Russie espérait que les élections ukrainiennes respecteraient "les normes et les principes démocratiques" et seraient suivies d'"un processus progressif de stabilisation politique", rapporte l'agence de presse RIA.
Alexandre Loukachevitch a précisé que les Russes participeraient à la mission d'observation du scrutin ukrainien conduite par l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).
Le chef de l'administration présidentielle russe, Sergueï Ivanov, a souligné pour sa part que Moscou reconnaîtrait les résultats des législatives ukrainiennes mais aussi ceux du scrutin qui sera organisé par les séparatistes dans l'est du pays.
(Richard Balmforth avec Gabriela Baczynska à Moscou; Eric Faye, Clémence Apetogbor et Guy Kerivel pour le service français)
nouvelobs.com
Re: Elections du 26 octobre
Un article virulent au sujet des élections et de la position des russes et des zozos:
UKRAINE : le refus des séparatistes et du Kremlin d’organiser les élections législatives dans l’Est est une faute et une stupidité
La démocratie, même imparfaite, n’est décidément pas la tasse de thé (ou de vodka) du pouvoir russe et des « rebelles » de l’Est ukrainien : ni les soldats du Kremlin encore présents dans quelques villes orientales de l’Ukraine et sur la frontière, ni les tenants de l’indépendance ou de l’autonomie ne vont laisser les citoyens de ces régions participer au vote pour les législatives. Une attitude qui arrange beaucoup les bandes armées qui continuent à racketter et à terroriser la population de l’Est de l’Ukraine au nom de l’indépendance ou du rattachement à la Russie. La même délinquance maffieuse se poursuit d’ailleurs dans plusieurs centres urbains de Crimée occupée, tandis que les Tatars s’y voient de plus en plus discriminés et harcelés : notamment par les bandes de Cosaques dont les propos racistes sont encore plus violents que ceux d’une partie des Russes.
Il y aura sans doute à nouveau de bonnes âmes pour justifier le refus de la démocratie, comme il y en eut pour nier la présence des armes et des forces russes pour donner un coup de main aux séparatistes ukrainiens n’ayant guère de soutien populaire. Alors que les responsables du Comité des mères de soldats de Russie ont fait savoir à de nombreuses reprises que les corps de plusieurs centaines de jeunes soldats russes avaient été discrètement rapatriés et enterrés en Russie. Pour avoir donné et prouvé, comme d’autres femmes et sa présidente Valentina Melnikova, ces informations une des responsables (Lioudmila Bogatenkova) de cette association (créée en 1989) a été récemment arrêtée et emprisonné plusieurs jours dans la région de Stavropol en dépit de ses 73 ans. Vue la poursuite des affrontements qui font des victimes de part et d’autres malgré le cessez le feu, l’arrivée des cercueils n’est pas sur le point de s’arrêter en Russie… Mais l’essentiel pour Moscou est que, même artificiellement, la plaie ukrainienne reste ouverte.
Il faudra m’expliquer, en dehors des délires habituels sur l’OTAN, le fascisme, le nazisme, la CIA, la « main » des Etats-Unis et autres « complots », pourquoi voter constitue un danger pour la démocratie et la vie d’un pays, et au nom de quoi on peut refuser de se soumettre au verdict des urnes. C’est aux ukrainiens, à tous les Ukrainiens, que revient le droit ou le devoir de faire des choix, de virer les corrupteurs et de marginaliser l’extrême-droite et ni pas aux « rebelles », ni à Vladimir Poutine ni aux Européens.
Ce refus de laisser voter n’est qu’un aveu d’extrême faiblesse et aussi une façon commode de « faire disparaitre » l’opinion de ceux des Ukrainiens de l’Est qui ne souhaitent pas se séparer de leur pays. Même s’ils sont minoritaires, une partie a quitté la région pour Kiev ou l’Ouest du pays pour fuir la répression, ils ont droit à la parole. Après tout, la plupart des scrutins organisés en Ukraine depuis une vingtaine d’années, ont vu la victoire des nationalistes de langue russe dans les provinces d l’Est ukrainien. Ils ont même porté au pouvoir plusieurs présidents ou Premier ministre.
Refuser de laisser tous les Ukrainiens voter, c’est aussi, et peut-être surtout, ouvrir une voie royale aux quelques centaines d’extrémistes ultranationalistes qui, à la mi-octobre, ont tenté de prendre d’assaut le Parlement à Kiev. Sans que l’on sache, d’ailleurs d’où sortaient ces nervis masqués, armés de barres de fer et de pavés et illustrant « miraculeusement » les sempiternelles accusations des rebelles et du Kremlin sur l’Ukraine repaire de fascistes…
politis.fr
Élections en Ukraine : intimidation et violence envers les candidats
Les Ukrainiens sont une nouvelle fois appelés aux urnes dimanche pour des élections législatives anticipées pour lesquelles les forces pro-occidentales partent largement favorites.
La campagne électorale, qui en est à son dernier jour, a déjà été marquée par de nombreux actes de violence envers les candidats.
Ce scrutin montre une nouvelle fois à quel point le pays reste divisé et sous haute tension, malgré un cessez-le-feu signé en septembre.
Slaviansk, ancien fief des rebelles prorusses dans l'est du pays, a revêtu les couleurs bleue et jaune de l'Ukraine, ne laissant aucun doute sur le retour de cette ville sous le contrôle de l'armée ukrainienne.
Toutefois, la vie est loin d'y avoir repris un cours normal. Comme beaucoup ici, la candidate Irina Dovgan a vu de près les effets dévastateurs de la guerre fratricide qui déchire l'Ukraine.
La candidate Irina Dovgan a été torturée par les séparatistes prorusses. Photo : Radio-Canada
Capturée par les séparatistes prorusses, elle a été torturée, battue et humiliée publiquement, accusée d'avoir aidé l'armée ukrainienne.
Elle ne doit sa survie qu'à des photos prises par un journaliste étranger.
« Je m'étais préparée à mourir dignement. Quand ils m'ont libérée, ils m'ont dit de me taire, mais si je me tais, ça signifie qu'ils auront gagné », explique-t-elle.
Au lieu de garder le silence, Irina Dovgan a plutôt décidé de se porter candidate aux élections législatives, afin de défendre son idéal d'une Ukraine unie et en paix.
« J'ai choisi de me battre jusqu'au bout contre ceux qui ont détruit ma vie et celle de millions d'Ukrainiens », dit-elle.
La campagne électorale qui tire à sa fin n'aura pas été facile dans cette ville divisée où chacun a peur et se méfie de son voisin.
Réaliste, Irina Dovgan ne s'attend pas à être élue, mais le fait que ces élections aient lieu à Slaviansk sera déjà, selon elle, un pas dans la bonne direction.
Ces élections législatives anticipées se déroulent dans un contexte particulièrement difficile pour cette ancienne république soviétique après la perte de la Crimée, annexée par la Russie en mars. L'est du pays est depuis lors marqué par l'insurrection des séparatistes prorusses.
ici.radio-canada.ca
La campagne électorale en Ukraine se déroule dans des conditions extrêmes (Narychkine)
Par La Voix de la Russie | La campagne électorale des élections législatives anticipées en Ukraine fixées pour le 26 octobre se déroule dans le contexte de la pression politique de la part du pouvoir, de la division de la société et de l'intimidation des gens, a déclaré le président de la Douma (chambre basse du parlement russe) Sergueï Narychkine.
Selon lui, la campagne a lieu dans des conditions extrêmes caractérisées par une profonde division de la société, une guerre civile meurtrière et une catastrophe humanitaire.
Sergueï Narychkine a souligné qu'au lieu d'une concurrence politique normale et d'un dialogue national on était en présence des persécutions politiques et de la violence physique contre les opposants, ainsi que de la fermeture des médias indésirables.
Hé oui, violence contre les pro-Ukraine par les zozos (article précédent) et silence pour les menteurs avéré . . .
Vrai qu'en Russie, tout se déroule très clairement: celui qui vote Poutine est bon et l'autre donne son vote à Poutine.
UKRAINE : le refus des séparatistes et du Kremlin d’organiser les élections législatives dans l’Est est une faute et une stupidité
La démocratie, même imparfaite, n’est décidément pas la tasse de thé (ou de vodka) du pouvoir russe et des « rebelles » de l’Est ukrainien : ni les soldats du Kremlin encore présents dans quelques villes orientales de l’Ukraine et sur la frontière, ni les tenants de l’indépendance ou de l’autonomie ne vont laisser les citoyens de ces régions participer au vote pour les législatives. Une attitude qui arrange beaucoup les bandes armées qui continuent à racketter et à terroriser la population de l’Est de l’Ukraine au nom de l’indépendance ou du rattachement à la Russie. La même délinquance maffieuse se poursuit d’ailleurs dans plusieurs centres urbains de Crimée occupée, tandis que les Tatars s’y voient de plus en plus discriminés et harcelés : notamment par les bandes de Cosaques dont les propos racistes sont encore plus violents que ceux d’une partie des Russes.
Il y aura sans doute à nouveau de bonnes âmes pour justifier le refus de la démocratie, comme il y en eut pour nier la présence des armes et des forces russes pour donner un coup de main aux séparatistes ukrainiens n’ayant guère de soutien populaire. Alors que les responsables du Comité des mères de soldats de Russie ont fait savoir à de nombreuses reprises que les corps de plusieurs centaines de jeunes soldats russes avaient été discrètement rapatriés et enterrés en Russie. Pour avoir donné et prouvé, comme d’autres femmes et sa présidente Valentina Melnikova, ces informations une des responsables (Lioudmila Bogatenkova) de cette association (créée en 1989) a été récemment arrêtée et emprisonné plusieurs jours dans la région de Stavropol en dépit de ses 73 ans. Vue la poursuite des affrontements qui font des victimes de part et d’autres malgré le cessez le feu, l’arrivée des cercueils n’est pas sur le point de s’arrêter en Russie… Mais l’essentiel pour Moscou est que, même artificiellement, la plaie ukrainienne reste ouverte.
Il faudra m’expliquer, en dehors des délires habituels sur l’OTAN, le fascisme, le nazisme, la CIA, la « main » des Etats-Unis et autres « complots », pourquoi voter constitue un danger pour la démocratie et la vie d’un pays, et au nom de quoi on peut refuser de se soumettre au verdict des urnes. C’est aux ukrainiens, à tous les Ukrainiens, que revient le droit ou le devoir de faire des choix, de virer les corrupteurs et de marginaliser l’extrême-droite et ni pas aux « rebelles », ni à Vladimir Poutine ni aux Européens.
Ce refus de laisser voter n’est qu’un aveu d’extrême faiblesse et aussi une façon commode de « faire disparaitre » l’opinion de ceux des Ukrainiens de l’Est qui ne souhaitent pas se séparer de leur pays. Même s’ils sont minoritaires, une partie a quitté la région pour Kiev ou l’Ouest du pays pour fuir la répression, ils ont droit à la parole. Après tout, la plupart des scrutins organisés en Ukraine depuis une vingtaine d’années, ont vu la victoire des nationalistes de langue russe dans les provinces d l’Est ukrainien. Ils ont même porté au pouvoir plusieurs présidents ou Premier ministre.
Refuser de laisser tous les Ukrainiens voter, c’est aussi, et peut-être surtout, ouvrir une voie royale aux quelques centaines d’extrémistes ultranationalistes qui, à la mi-octobre, ont tenté de prendre d’assaut le Parlement à Kiev. Sans que l’on sache, d’ailleurs d’où sortaient ces nervis masqués, armés de barres de fer et de pavés et illustrant « miraculeusement » les sempiternelles accusations des rebelles et du Kremlin sur l’Ukraine repaire de fascistes…
politis.fr
Élections en Ukraine : intimidation et violence envers les candidats
Les Ukrainiens sont une nouvelle fois appelés aux urnes dimanche pour des élections législatives anticipées pour lesquelles les forces pro-occidentales partent largement favorites.
La campagne électorale, qui en est à son dernier jour, a déjà été marquée par de nombreux actes de violence envers les candidats.
Ce scrutin montre une nouvelle fois à quel point le pays reste divisé et sous haute tension, malgré un cessez-le-feu signé en septembre.
Slaviansk, ancien fief des rebelles prorusses dans l'est du pays, a revêtu les couleurs bleue et jaune de l'Ukraine, ne laissant aucun doute sur le retour de cette ville sous le contrôle de l'armée ukrainienne.
Toutefois, la vie est loin d'y avoir repris un cours normal. Comme beaucoup ici, la candidate Irina Dovgan a vu de près les effets dévastateurs de la guerre fratricide qui déchire l'Ukraine.
La candidate Irina Dovgan a été torturée par les séparatistes prorusses. Photo : Radio-Canada
Capturée par les séparatistes prorusses, elle a été torturée, battue et humiliée publiquement, accusée d'avoir aidé l'armée ukrainienne.
Elle ne doit sa survie qu'à des photos prises par un journaliste étranger.
« Je m'étais préparée à mourir dignement. Quand ils m'ont libérée, ils m'ont dit de me taire, mais si je me tais, ça signifie qu'ils auront gagné », explique-t-elle.
Au lieu de garder le silence, Irina Dovgan a plutôt décidé de se porter candidate aux élections législatives, afin de défendre son idéal d'une Ukraine unie et en paix.
« J'ai choisi de me battre jusqu'au bout contre ceux qui ont détruit ma vie et celle de millions d'Ukrainiens », dit-elle.
La campagne électorale qui tire à sa fin n'aura pas été facile dans cette ville divisée où chacun a peur et se méfie de son voisin.
Réaliste, Irina Dovgan ne s'attend pas à être élue, mais le fait que ces élections aient lieu à Slaviansk sera déjà, selon elle, un pas dans la bonne direction.
Ces élections législatives anticipées se déroulent dans un contexte particulièrement difficile pour cette ancienne république soviétique après la perte de la Crimée, annexée par la Russie en mars. L'est du pays est depuis lors marqué par l'insurrection des séparatistes prorusses.
ici.radio-canada.ca
La campagne électorale en Ukraine se déroule dans des conditions extrêmes (Narychkine)
Par La Voix de la Russie | La campagne électorale des élections législatives anticipées en Ukraine fixées pour le 26 octobre se déroule dans le contexte de la pression politique de la part du pouvoir, de la division de la société et de l'intimidation des gens, a déclaré le président de la Douma (chambre basse du parlement russe) Sergueï Narychkine.
Selon lui, la campagne a lieu dans des conditions extrêmes caractérisées par une profonde division de la société, une guerre civile meurtrière et une catastrophe humanitaire.
Sergueï Narychkine a souligné qu'au lieu d'une concurrence politique normale et d'un dialogue national on était en présence des persécutions politiques et de la violence physique contre les opposants, ainsi que de la fermeture des médias indésirables.
Hé oui, violence contre les pro-Ukraine par les zozos (article précédent) et silence pour les menteurs avéré . . .
Vrai qu'en Russie, tout se déroule très clairement: celui qui vote Poutine est bon et l'autre donne son vote à Poutine.
Re: Elections du 26 octobre
Elections législatives en Ukraine : suivez ce vote clef en direct sur euronews
Vous êtes invités à rejoindre euronews live le 26 octobre alors que les Ukrainiens se rendent aux urnes pour des élections législatives anticipées. Pour suivre ces élections et les réactions minute par minute, rendez-vous sur euronews.com, nos applications et nos réseaux sociaux. Images live, analyses de nos correspondants à Kiev, Marioupol et Lviv, reportages et plus encore vous attendent.
Ce “live event” est prévu de 19h à 2h du matin, heure de Bruxelles, donc connectez-vous pour tout savoir sur ces élections qui vont dessiner l’avenir de l’Ukraine, ses relations avec l’Union européenne et le reste du monde.
Copyright © 2014 euronews
Les relations entre Kiev et Moscou enchaînées aux législatives ukrainiennes
L'article est long avec une interview de Serguei Mikheev, analyste politique et directeur du Centre de conjoncture politique, mais intéressant.
Vous êtes invités à rejoindre euronews live le 26 octobre alors que les Ukrainiens se rendent aux urnes pour des élections législatives anticipées. Pour suivre ces élections et les réactions minute par minute, rendez-vous sur euronews.com, nos applications et nos réseaux sociaux. Images live, analyses de nos correspondants à Kiev, Marioupol et Lviv, reportages et plus encore vous attendent.
Ce “live event” est prévu de 19h à 2h du matin, heure de Bruxelles, donc connectez-vous pour tout savoir sur ces élections qui vont dessiner l’avenir de l’Ukraine, ses relations avec l’Union européenne et le reste du monde.
Copyright © 2014 euronews
Les relations entre Kiev et Moscou enchaînées aux législatives ukrainiennes
L'article est long avec une interview de Serguei Mikheev, analyste politique et directeur du Centre de conjoncture politique, mais intéressant.
elections
avec l'aide des observateurs canadiens et a la maturité des ukrainiens ces élections devraient etre digne d'une votation suisse, et bonne claque dans la gueule des russkoffs.
dovaking- Messages : 52
Date d'inscription : 24/10/2014
Age : 60
Localisation : sud de la france
Re: Elections du 26 octobre
Exactement dovaking et c'est le bloc du président qui a largement gagné ces élections:
Le bloc proeuropéen remporte largement les législatives en Ukraine
Une femme vote dans une école près de la ville de Sloviansk, dans l'Est ukrainien, dimanche. Crédits photo : VASILY FEDOSENKO/REUTERS
L'Ukraine a massivement voté pour un rapprochement « irréversible » avec l'Europe
Yatseniuk devrait garder son poste de premier ministre.
Le bloc proeuropéen remporte largement les législatives en Ukraine
Une femme vote dans une école près de la ville de Sloviansk, dans l'Est ukrainien, dimanche. Crédits photo : VASILY FEDOSENKO/REUTERS
L'Ukraine a massivement voté pour un rapprochement « irréversible » avec l'Europe
Yatseniuk devrait garder son poste de premier ministre.
Re: Elections du 26 octobre
Ukraine : satisfaction à l’Ouest et scepticisme à l’Est après les législatives
Que l’on se trouve à Kiev ou dans les régions contrôlées par les séparatistes pro-russes, les réactions après les législatives d’hier sont évidemment bien différentes. Dans la capitale ukrainienne, par exemple, le changement que laisse supposer le résultat est majoritairement très bien accueilli puisqu’il correspond à une partie des revendications de la population.
“Je suis satisfait parce que j’ai voté pour le parti de Porochenko, dit Oleksandr Kutsenko, résident de Kiev de 60 ans. Je crois en sa capacité à diriger, à obtenir des résultats. Il fait tout pour le peuple. C’est pour cela que je l’apprécie vraiment.”
“C’est plutôt logique que ce soit le parti du président qui domine, parce qu’il n’y avait pas vraiment d’alternative parmi les candidats. Je trouve qu’on n’avait pas un choix suffisamment large”, estime quant à elle Maria Svitelska, qui étudie dans la région de Kiev.
Mais quand on rejoint l’Est du pays déchiré par la guerre civile, et notamment Donetsk, fief des insurgés, le scepticisme et la prudence sont davantage de rigueur.
“Mon avis, c’est que le gouvernement de Kiev devrait arrêter de se battre et commencer à construire un Ukraine solide pour que les régions de Louhansk et Donetsk aient envie de revenir d’elles même au sein de ce nouvel Ukraine indépendant”, réagit Sergey Troyanovskiy, résident de Donetsk.
Pour la plupart des habitants des régions de l’Est où le scrutin n’a pas pu être organisé, la priorité, c’est de faire cesser la guerre civile. Une guerre qui, après une accalmie pendant le scrutin, a repris de plus belle aujourd’hui.
Copyright © 2014 euronews
La Russie salue une victoire des partisans de la "paix" en Ukraine
Les législatives en Ukraine, remportées par des partis pro-occidentaux, consacrent la victoire des partisans de la "paix", a estimé lundi un vice-ministre russe des Affaires étrangères.
La Russie a salué lundi le résultat des élections législatives de dimanche en Ukraine. Ce scrutin consacre la victoire des partisans d'un "règlement pacifique" du conflit, a estimé lundi un vice-ministre des Affaires étrangères, Grigori Karassine.
"Le bilan officiel des élections n'a pas encore été dressé (...), mais il est déjà clair que les partis qui sont en faveur du règlement pacifique de la crise ukrainienne ont obtenu la majorité", a déclaré Grigori Karassine. Il s'agit des "forces politiques plus ou moins raisonnables (...), qui n'appellent pas au recours direct à la force pour résoudre le problème", a-t-il précisé.
Accords de paix
"C'est une nouvelle possibilité pour eux de revenir aux accords de paix, en premier lieu ceux de Minsk" sur l'instauration du cessez-le-feu, conclus le 5 septembre avec la participation de la Russie, a ajouté Grigori Karassine.
Plusieurs pays européens ont également salué ces résultats, notamment au sein de l'ancien bloc soviétique.
Ukraine-Les observateurs de l'OSCE satisfaits des législatives
KIEV, 27 octobre (Reuters) - Les élections législatives organisées dimanche en Ukraine ont été pluralistes et démocratiques, estiment les observateurs de l'Organisation pour
la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).
"Les élections ont marqué une étape importante sur la voie des ambitions démocratiques de l'Ukraine, conformément à ses engagements internationaux", s'est félicité lundi Kent Harstedt, coordonnateur spécial de l'OSCE.
"Il y a eux de nombreux points positifs dans le processus, notamment une commission électorale efficace, une concurrence importante qui a laissé un vrai choix aux électeurs et un respect global des libertés fondamentales", a-t-il poursuivi, saluant la transparence des opérations de vote et du dépouillement.
Le diplomate s'est également dit satisfait du déroulement de la campagne, qui a toutefois été émaillée selon lui de manoeuvres d'intimidation et de menaces à l'encontre de candidats ou de membres du personnel électoral.
Hormis quelques irrégularités, les opérations de vote se sont bien déroulées, a quant à elle estimé Dorist Barnett, membre de l'Assemblée parlementaire de l'OSCE. Elles n'ont pu avoir lieu dans certaines circonscriptions, mais cela ne remet pas en cause leur validité, a-t-elle ajouté.
L'OSCE avait dépêché près d'un millier d'observateurs venant de 43 pays, a précisé Kent Harstedt.
Que l’on se trouve à Kiev ou dans les régions contrôlées par les séparatistes pro-russes, les réactions après les législatives d’hier sont évidemment bien différentes. Dans la capitale ukrainienne, par exemple, le changement que laisse supposer le résultat est majoritairement très bien accueilli puisqu’il correspond à une partie des revendications de la population.
“Je suis satisfait parce que j’ai voté pour le parti de Porochenko, dit Oleksandr Kutsenko, résident de Kiev de 60 ans. Je crois en sa capacité à diriger, à obtenir des résultats. Il fait tout pour le peuple. C’est pour cela que je l’apprécie vraiment.”
“C’est plutôt logique que ce soit le parti du président qui domine, parce qu’il n’y avait pas vraiment d’alternative parmi les candidats. Je trouve qu’on n’avait pas un choix suffisamment large”, estime quant à elle Maria Svitelska, qui étudie dans la région de Kiev.
Mais quand on rejoint l’Est du pays déchiré par la guerre civile, et notamment Donetsk, fief des insurgés, le scepticisme et la prudence sont davantage de rigueur.
“Mon avis, c’est que le gouvernement de Kiev devrait arrêter de se battre et commencer à construire un Ukraine solide pour que les régions de Louhansk et Donetsk aient envie de revenir d’elles même au sein de ce nouvel Ukraine indépendant”, réagit Sergey Troyanovskiy, résident de Donetsk.
Pour la plupart des habitants des régions de l’Est où le scrutin n’a pas pu être organisé, la priorité, c’est de faire cesser la guerre civile. Une guerre qui, après une accalmie pendant le scrutin, a repris de plus belle aujourd’hui.
Copyright © 2014 euronews
La Russie salue une victoire des partisans de la "paix" en Ukraine
Les législatives en Ukraine, remportées par des partis pro-occidentaux, consacrent la victoire des partisans de la "paix", a estimé lundi un vice-ministre russe des Affaires étrangères.
La Russie a salué lundi le résultat des élections législatives de dimanche en Ukraine. Ce scrutin consacre la victoire des partisans d'un "règlement pacifique" du conflit, a estimé lundi un vice-ministre des Affaires étrangères, Grigori Karassine.
"Le bilan officiel des élections n'a pas encore été dressé (...), mais il est déjà clair que les partis qui sont en faveur du règlement pacifique de la crise ukrainienne ont obtenu la majorité", a déclaré Grigori Karassine. Il s'agit des "forces politiques plus ou moins raisonnables (...), qui n'appellent pas au recours direct à la force pour résoudre le problème", a-t-il précisé.
Accords de paix
"C'est une nouvelle possibilité pour eux de revenir aux accords de paix, en premier lieu ceux de Minsk" sur l'instauration du cessez-le-feu, conclus le 5 septembre avec la participation de la Russie, a ajouté Grigori Karassine.
Plusieurs pays européens ont également salué ces résultats, notamment au sein de l'ancien bloc soviétique.
Ukraine-Les observateurs de l'OSCE satisfaits des législatives
KIEV, 27 octobre (Reuters) - Les élections législatives organisées dimanche en Ukraine ont été pluralistes et démocratiques, estiment les observateurs de l'Organisation pour
la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).
"Les élections ont marqué une étape importante sur la voie des ambitions démocratiques de l'Ukraine, conformément à ses engagements internationaux", s'est félicité lundi Kent Harstedt, coordonnateur spécial de l'OSCE.
"Il y a eux de nombreux points positifs dans le processus, notamment une commission électorale efficace, une concurrence importante qui a laissé un vrai choix aux électeurs et un respect global des libertés fondamentales", a-t-il poursuivi, saluant la transparence des opérations de vote et du dépouillement.
Le diplomate s'est également dit satisfait du déroulement de la campagne, qui a toutefois été émaillée selon lui de manoeuvres d'intimidation et de menaces à l'encontre de candidats ou de membres du personnel électoral.
Hormis quelques irrégularités, les opérations de vote se sont bien déroulées, a quant à elle estimé Dorist Barnett, membre de l'Assemblée parlementaire de l'OSCE. Elles n'ont pu avoir lieu dans certaines circonscriptions, mais cela ne remet pas en cause leur validité, a-t-elle ajouté.
L'OSCE avait dépêché près d'un millier d'observateurs venant de 43 pays, a précisé Kent Harstedt.
Re: Elections du 26 octobre
svp ou sont passés tous les ukrainiens qui rabachent sans relache que c etait mieux avant
D habitude je leur demande si avant ils allaient en Egypte en vacances , ils me répondent non en Crimée gratuitement
D habitude je leur demande si avant s ils avaient une voiture un télephone portable ils me répondent non mais le phone et les transports étaient gratuits
Pourtant hier ils n ont pas voté pour les communistes
D habitude je leur demande si avant ils allaient en Egypte en vacances , ils me répondent non en Crimée gratuitement
D habitude je leur demande si avant s ils avaient une voiture un télephone portable ils me répondent non mais le phone et les transports étaient gratuits
Pourtant hier ils n ont pas voté pour les communistes
richard- Messages : 2304
Date d'inscription : 01/01/2010
Age : 70
Re: Elections du 26 octobre
Et bien lui (Dark Vador), n'a pas pu voter. Je ne sais pour quelle raison.
Re: Elections du 26 octobre
Tout simplement parce qu'il a refusé d'ôter son casque dans le bureau de vote et que la présidente dudit bureau ne pouvait vérifier si son visage correspondait à celui de son passeport. Refus parfaitement justifié.Matt a écrit:Et bien lui (Dark Vador), n'a pas pu voter. Je ne sais pour quelle raison.
Thuramir- Messages : 3677
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: Elections du 26 octobre
Bref, juste une idiotie de sa part . . .
Ukraine: soutenir la nouvelle Élite politique
Il y a beaucoup de raisons pour l’Europe de se réjouir de la tenue réussie des élections législatives en Ukraine, et de leur résultat. Les raisons qui paraissent les plus évidentes – dont la « victoire des pro-européens » – sont sans doute les plus faibles. Il ne faut pas se laisser tromper par la satisfaction des dirigeants ukrainiens quant au fait que ce sont les partis dits pro-européens qui ont remporté la majorité : le seul penchant pro-européen de la nouvelle élite politique ukrainienne n’est pas une garantie en soi que leur présence au pouvoir sera favorable à l’Union européenne.
L’aspect le plus important de cette élection est qu’elle entraîne un renouvellement significatif de la classe politique de ce pays, puisé amplement dans la société civile qui s’est construite et affirmée au travers du mouvement Maïdan. Le mouvement comme tel ne s’est pas matérialisé en une organisation politique unique, mais a généré plusieurs partis aux orientations idéologiques variées, une part des activistes ayant intégré les rangs d’organisations politiques existantes. L’avenir dira si cette irrigation, qui nourrit plutôt qu’elle ne remplace les dirigeants de l’époque précédente, s’avérera plus efficace que si le Maïdan s’était transformé en une puissante organisation unique, qui aurait pu imposer un renouvellement radical de la classe politique. Mais l’essentiel est là : le vote des Ukrainiens dimanche a pesé en faveur de l’émergence d’un personnel politique plus crédible.
Il lui faudra du courage : pas pour se défendre face à la Russie – même si pour cela, il en faut – ni pour prendre des décisions « pro-européennes », mais pour doter l’Ukraine d’un système politique qui lui permettra de prendre les bonnes décisions pour l’Ukraine elle-même. Pas plus que l’intérêt apparent de l’Ukraine ne coïncide avec celui de la Russie, il ne coïncide avec celui de l’Union européenne. Mais à l’inverse : une Ukraine gouvernée d’une façon moderne, démocratique et inclusive – c’est-à-dire européenne – ne peut que servir aussi les intérêts des deux pôles géostratégiques dont elle constitue aujourd’hui la charnière.
La responsabilité de l’Europe, qui en ouvrant les bras à l’Ukraine a suscité les attentes qui ont produit le Maïdan mais aussi la riposte russe, reste énorme. L’aide financière, économique et stratégique de l’UE à l’Ukraine reste vitale. Mais elle doit s’accompagner d’un soutien désintéressé à la formation et l’accompagnement de la nouvelle élite politique, qui aura l’intelligence et la subtilité nécessaires pour effectuer les bons choix.
lesoir.be
Très bonne analyse je trouve.
Le tribunal russe refuse de libérer la pilote ukrainienne Savtchenko
Le tribunal Basmanny de Moscou a prolongé jusqu’au 13 février la garde à vue de la pilote militaire ukrainienne Nadejda Savtchenko, accusée de complicité du meurtre des journalistes russes en Ukraine, selon RIA Novosti.
L’audience du tribunal a eu lieu en l’absence de l’accusée, car elle est en train de subir actuellement l’expertise psychiatrique à l’institut Serbski de Moscou.
Savchenko qui n’a jamais fait de la politique, mais elle a toutes les chances de devenir députée de la Verkhvna Rada. Se trouvant à la tête de la liste du parti Batkivchtchina (Patrie), elle a effectué une très bonne performance lors des élections législatives du 26 octobre, aux cotés de Ioulia Timochenko et Igor Loutsenko.
la voix de son maître
Elle a été élue et donc, la Russie détient un député ukrainien en prison après l'avoir acapturée en Ukraine et transférée en Russie.
Belle leçon de démocratie poutinienne!!
Ukraine: soutenir la nouvelle Élite politique
Il y a beaucoup de raisons pour l’Europe de se réjouir de la tenue réussie des élections législatives en Ukraine, et de leur résultat. Les raisons qui paraissent les plus évidentes – dont la « victoire des pro-européens » – sont sans doute les plus faibles. Il ne faut pas se laisser tromper par la satisfaction des dirigeants ukrainiens quant au fait que ce sont les partis dits pro-européens qui ont remporté la majorité : le seul penchant pro-européen de la nouvelle élite politique ukrainienne n’est pas une garantie en soi que leur présence au pouvoir sera favorable à l’Union européenne.
L’aspect le plus important de cette élection est qu’elle entraîne un renouvellement significatif de la classe politique de ce pays, puisé amplement dans la société civile qui s’est construite et affirmée au travers du mouvement Maïdan. Le mouvement comme tel ne s’est pas matérialisé en une organisation politique unique, mais a généré plusieurs partis aux orientations idéologiques variées, une part des activistes ayant intégré les rangs d’organisations politiques existantes. L’avenir dira si cette irrigation, qui nourrit plutôt qu’elle ne remplace les dirigeants de l’époque précédente, s’avérera plus efficace que si le Maïdan s’était transformé en une puissante organisation unique, qui aurait pu imposer un renouvellement radical de la classe politique. Mais l’essentiel est là : le vote des Ukrainiens dimanche a pesé en faveur de l’émergence d’un personnel politique plus crédible.
Il lui faudra du courage : pas pour se défendre face à la Russie – même si pour cela, il en faut – ni pour prendre des décisions « pro-européennes », mais pour doter l’Ukraine d’un système politique qui lui permettra de prendre les bonnes décisions pour l’Ukraine elle-même. Pas plus que l’intérêt apparent de l’Ukraine ne coïncide avec celui de la Russie, il ne coïncide avec celui de l’Union européenne. Mais à l’inverse : une Ukraine gouvernée d’une façon moderne, démocratique et inclusive – c’est-à-dire européenne – ne peut que servir aussi les intérêts des deux pôles géostratégiques dont elle constitue aujourd’hui la charnière.
La responsabilité de l’Europe, qui en ouvrant les bras à l’Ukraine a suscité les attentes qui ont produit le Maïdan mais aussi la riposte russe, reste énorme. L’aide financière, économique et stratégique de l’UE à l’Ukraine reste vitale. Mais elle doit s’accompagner d’un soutien désintéressé à la formation et l’accompagnement de la nouvelle élite politique, qui aura l’intelligence et la subtilité nécessaires pour effectuer les bons choix.
lesoir.be
Très bonne analyse je trouve.
Le tribunal russe refuse de libérer la pilote ukrainienne Savtchenko
Le tribunal Basmanny de Moscou a prolongé jusqu’au 13 février la garde à vue de la pilote militaire ukrainienne Nadejda Savtchenko, accusée de complicité du meurtre des journalistes russes en Ukraine, selon RIA Novosti.
L’audience du tribunal a eu lieu en l’absence de l’accusée, car elle est en train de subir actuellement l’expertise psychiatrique à l’institut Serbski de Moscou.
Savchenko qui n’a jamais fait de la politique, mais elle a toutes les chances de devenir députée de la Verkhvna Rada. Se trouvant à la tête de la liste du parti Batkivchtchina (Patrie), elle a effectué une très bonne performance lors des élections législatives du 26 octobre, aux cotés de Ioulia Timochenko et Igor Loutsenko.
la voix de son maître
Elle a été élue et donc, la Russie détient un député ukrainien en prison après l'avoir acapturée en Ukraine et transférée en Russie.
Belle leçon de démocratie poutinienne!!
Re: Elections du 26 octobre
La queue entre les jambes?
Moscou et Kiev doivent préserver leur amitié (Poutine)
La Russie et l'Ukraine doivent préserver les traditions de fraternité unissant leurs peuples, a déclaré mardi le président russe Vladimir Poutine à l'occasion du 70ème anniversaire de la libération de l'Ukraine des troupes nazies.
"Nos pères et grands-pères défendirent conjointement, courageusement et avec dévouement la liberté et l'indépendance de notre partie (…). Nous devons préserver avec précaution les brillantes traditions d'amitié et d'aide mutuelle qu'ils nous ont léguées", lit-on dans le télégramme de félicitations du dirigeant russe diffusé par le service de presse du Kremlin.
M.Poutine juge "extrêmement important" d'inculquer aux jeunes générations des "valeurs patriotiques", et de contrer "toute tentative de faire renaître l'idéologie nazie, d'attiser la haine interethnique et de falsifier notre histoire commune".
Le chef du Kremlin a également souhaité "la paix et la prospérité" au "peuple frère" ukrainien.
Ce n'est pas le premier changement de discours, donc méfiance . . .
Ukraine : le leader de Pravy Sektor, parti ultranationaliste, élu député
Dmytro Iaroch, dirigeant du parti ultranationaliste ukrainien Pravy Sektor, le 8 mars à Kiev. | AFP/YURY KIRNICHNY
L'ennemi juré du Kremlin, Dmytro Iaroch, dirigeant du mouvement ultranationaliste paramilitaire ukrainien Pravy Sektor, a été élu député à l'occasion des législatives anticipées, dimanche 26 octobre.
L'homme de 43 ans a remporté l'élection au scrutin majoritaire dans une circonscription de la région russophone de Dnipropetrovsk d'où il est originaire, selon un résultat officiel quasi définitif.
Son parti a quant à lui obtenu moins de 2 % des voix au niveau national alors qu'il faut plus de 5 % pour être représenté au Parlement.
« NATIONALISTE, MAIS PAS FASCISTE »
Pravy Sektor est un mouvement décrit par M. Iaroch comme « nationaliste, mais pas fasciste », qui a acquis une grande popularité auprès des manifestants à Kiev en s'illustrant pendant les violents affrontements entre contestataires et forces de l'ordre, faisant pleuvoir pavés et cocktails Molotov sur les policiers. Le parti revendique l'héritage controversé des nationalistes ukrainiens de la deuxième guerre mondiale.
Certains de ses membres se battent actuellement aux côtés des troupes ukrainiennes qui défendent l'aéroport de Donetsk, l'un des points chauds sur le front de l'Est, où Kiev lutte contre la rébellion séparatiste prorusse.
En Russie, Dmytro Iaroch est poursuivi pour « incitation au terrorisme » et Moscou a émis un mandat d'arrêt international contre lui.
lemonde.fr
Question, il est élu, mais son parti ne peut avoir de représentant?
Moscou et Kiev doivent préserver leur amitié (Poutine)
La Russie et l'Ukraine doivent préserver les traditions de fraternité unissant leurs peuples, a déclaré mardi le président russe Vladimir Poutine à l'occasion du 70ème anniversaire de la libération de l'Ukraine des troupes nazies.
"Nos pères et grands-pères défendirent conjointement, courageusement et avec dévouement la liberté et l'indépendance de notre partie (…). Nous devons préserver avec précaution les brillantes traditions d'amitié et d'aide mutuelle qu'ils nous ont léguées", lit-on dans le télégramme de félicitations du dirigeant russe diffusé par le service de presse du Kremlin.
M.Poutine juge "extrêmement important" d'inculquer aux jeunes générations des "valeurs patriotiques", et de contrer "toute tentative de faire renaître l'idéologie nazie, d'attiser la haine interethnique et de falsifier notre histoire commune".
Le chef du Kremlin a également souhaité "la paix et la prospérité" au "peuple frère" ukrainien.
Ce n'est pas le premier changement de discours, donc méfiance . . .
Ukraine : le leader de Pravy Sektor, parti ultranationaliste, élu député
Dmytro Iaroch, dirigeant du parti ultranationaliste ukrainien Pravy Sektor, le 8 mars à Kiev. | AFP/YURY KIRNICHNY
L'ennemi juré du Kremlin, Dmytro Iaroch, dirigeant du mouvement ultranationaliste paramilitaire ukrainien Pravy Sektor, a été élu député à l'occasion des législatives anticipées, dimanche 26 octobre.
L'homme de 43 ans a remporté l'élection au scrutin majoritaire dans une circonscription de la région russophone de Dnipropetrovsk d'où il est originaire, selon un résultat officiel quasi définitif.
Son parti a quant à lui obtenu moins de 2 % des voix au niveau national alors qu'il faut plus de 5 % pour être représenté au Parlement.
« NATIONALISTE, MAIS PAS FASCISTE »
Pravy Sektor est un mouvement décrit par M. Iaroch comme « nationaliste, mais pas fasciste », qui a acquis une grande popularité auprès des manifestants à Kiev en s'illustrant pendant les violents affrontements entre contestataires et forces de l'ordre, faisant pleuvoir pavés et cocktails Molotov sur les policiers. Le parti revendique l'héritage controversé des nationalistes ukrainiens de la deuxième guerre mondiale.
Certains de ses membres se battent actuellement aux côtés des troupes ukrainiennes qui défendent l'aéroport de Donetsk, l'un des points chauds sur le front de l'Est, où Kiev lutte contre la rébellion séparatiste prorusse.
En Russie, Dmytro Iaroch est poursuivi pour « incitation au terrorisme » et Moscou a émis un mandat d'arrêt international contre lui.
lemonde.fr
Question, il est élu, mais son parti ne peut avoir de représentant?
Re: Elections du 26 octobre
Article pas très compréhensible ! A éclaircir.Matt a écrit:
Ukraine : le leader de Pravy Sektor, parti ultranationaliste, élu député
Dmytro Iaroch, dirigeant du parti ultranationaliste ukrainien Pravy Sektor, le 8 mars à Kiev. | AFP/YURY KIRNICHNY
L'ennemi juré du Kremlin, Dmytro Iaroch, dirigeant du mouvement ultranationaliste paramilitaire ukrainien Pravy Sektor, a été élu député à l'occasion des législatives anticipées, dimanche 26 octobre.
L'homme de 43 ans a remporté l'élection au scrutin majoritaire dans une circonscription de la région russophone de Dnipropetrovsk d'où il est originaire, selon un résultat officiel quasi définitif.
Son parti a quant à lui obtenu moins de 2 % des voix au niveau national alors qu'il faut plus de 5 % pour être représenté au Parlement.
« NATIONALISTE, MAIS PAS FASCISTE »
Pravy Sektor est un mouvement décrit par M. Iaroch comme « nationaliste, mais pas fasciste », qui a acquis une grande popularité auprès des manifestants à Kiev en s'illustrant pendant les violents affrontements entre contestataires et forces de l'ordre, faisant pleuvoir pavés et cocktails Molotov sur les policiers. Le parti revendique l'héritage controversé des nationalistes ukrainiens de la deuxième guerre mondiale.
Certains de ses membres se battent actuellement aux côtés des troupes ukrainiennes qui défendent l'aéroport de Donetsk, l'un des points chauds sur le front de l'Est, où Kiev lutte contre la rébellion séparatiste prorusse.
En Russie, Dmytro Iaroch est poursuivi pour « incitation au terrorisme » et Moscou a émis un mandat d'arrêt international contre lui.
lemonde.fr
Question, il est élu, mais son parti ne peut avoir de représentant?
Thuramir- Messages : 3677
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: Elections du 26 octobre
Il y avait un double scrutin dimanche : un scrutin de liste à la proportionnelle + un scrutin uninominal dans des circonscriptions territoriales. Donc un candidat pouvait se faire élire sur son nom dans une circonscription et son parti ne pas être représenté car sa liste n'a pas atteint la barre fatidique de 5%. C'est donc le cas de Iaroch. Je crois qu'ils doivent être 2 ou 3 de Pravy Sektor a avoir été élus ainsi dans des circonscriptions territoriales.
Krispoluk- Messages : 9858
Date d'inscription : 03/06/2014
Localisation : Chez les Ch'tis
Re: Elections du 26 octobre
Bonjour,
une carte détaillée des résultats des élections.
J'ai réussi à repérer le bloc Porochenko, le front démocratique, le parti du maire de Lviv, le bloc d'opposition de Boïko, mais pour le reste, je galère un peu. Je serais curieux de connaître la signification de la légende grise.
Quelqu'un peut aider à traduire ?
une carte détaillée des résultats des élections.
J'ai réussi à repérer le bloc Porochenko, le front démocratique, le parti du maire de Lviv, le bloc d'opposition de Boïko, mais pour le reste, je galère un peu. Je serais curieux de connaître la signification de la légende grise.
Quelqu'un peut aider à traduire ?
Tkatchenko- Messages : 89
Date d'inscription : 25/08/2014
Re: Elections du 26 octobre
Les gris je crois que c'est résultat autre ou non communiqué.
Tibo- Messages : 225
Date d'inscription : 07/05/2014
Page 1 sur 2 • 1, 2
Sujets similaires
» Elections du 17 et 25 Octobre
» Le président de l'Ukraine rencontre les membres de l'opposition pour garantir la transparence des élections du 31 octobre
» Election du 25 octobre
» Et après?
» Elections en Ukraine
» Le président de l'Ukraine rencontre les membres de l'opposition pour garantir la transparence des élections du 31 octobre
» Election du 25 octobre
» Et après?
» Elections en Ukraine
Page 1 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum