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Message  benoit77 Lun 24 Oct - 19:47

"Modernisation de l'économie russe : les quatre causes d'un échec"

j'aurais mis en plus et en gros et gras :
- la corruption généralisé d'un niveau industriel.
- l'arbitraire d'une justice politisé qui peut spolier quiconque fait des affaires qui gêne ou intéresse les proches du pouvoir ou la mafia.
- une criminalité affairiste et politique.
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Message  benoit77 Lun 24 Oct - 20:14

Bon ben c'est surement le prochain "suicidé" sur la liste de "l'effaceur kadirov"
http://news.liga.net/video/politics/13269612-akter_efremov_vysmeyal_putina_stantsiya_gaaga_my_zazhdalis_vas_uzhe.htm
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Message  Matt Lun 24 Oct - 21:49

En tout cas, il ose . . .  Smile

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Message  Caduce62 Mar 25 Oct - 0:09

La moitié des Russes estiment que l'URSS a eu raison d'écraser le soulèvement de Budapest en 1956, selon un sondage du centre Levada paru jeudi, 60 ans après le début de cette insurrection.

Pas moins de 15% des sondés sont "totalement d'accord" Twisted Evil et 35% "assez d'accord" Evil or Very Mad avec l'idée que l'URSS a eu raison de réprimer cette révolte populaire contre l'Union soviétique, qui avait commencé le 23 octobre et avait été écrasée dans le sang le 4 novembre 1956 par les chars de l'Armée rouge.

La répression avait fait 2000 morts et entraîné l'exil de 200 000 Hongrois. Plus de 300 personnes avaient en outre été exécutées, dont le Premier ministre Imre Nagy.

Seuls 6% des Russes sont "totalement opposés" à cette idée, selon l'enquête du centre indépendant Levada, réalisée auprès de 1600 personnes.

Mais plus de la moitié des sondés (57%) indiquent aussi "ne rien savoir" du soulèvement de Budapest, 22% répondant "en avoir entendu parler mais ne pas pouvoir dire exactement" de quoi il s'agit. Crying or Very sad

Egalement interrogés sur les raisons de l'insurrection hongroise, 20% des répondants ont estimé qu'elle était la conséquence de "l'action subversive des pays occidentaux" et 20% le résultat "des agissements révisionnistes et anti-soviétiques des dirigeants hongrois" de l'époque.

Pour 16% des Russes, le soulèvement de Budapest était une "révolte contre-révolutionnaire" de l'opposition hongroise, seulement 15% la considérant comme "un soulèvement populaire contre l'Union soviétique".

Le 23 octobre 1956, des manifestations d'étudiants réclamant des réformes politiques prennent une telle ampleur qu'elles obligent les autorités à rappeler au pouvoir l'ancien Premier ministre Imre Nagy, un communiste modéré démis de ses fonctions en mars 1955.

Imre Nagy abolit le système du parti unique puis proclame le 1er novembre 1956 la sortie de la Hongrie du pacte de Varsovie. C'est la goutte de trop pour l'URSS, qui fait intervenir le 4 novembre huit divisions de l'Armée rouge, appuyées par l'aviation, à Budapest et dans plusieurs autres villes de Hongrie.

En 2011, le gouvernement hongrois de Viktor Orban a modifié la législation pour que les personnes soupçonnées d'avoir participé aux représailles après l'insurrection de 1956 puissent être traduites en justice.
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Message  Александр Mar 25 Oct - 13:23

S'ils avaient une vraie information, ils penseraient autrement . . .

Armée belge : Si les Russes attaquent à l'aube...

Bruits de bottes à l'Est. Poutine-la-menace divise les députés belges en "faucons" et "colombes", comme aux plus belles heures de l'ère soviétique. Et remet en lumière le cruel état de dénuement de l'armée belge.

Et en Russie ! - Page 19 3568533

L'armée belge est cruellement démunie pour riposter sur un hypothétique champ de bataille européen.

© VIRGINIE LEFOUR/BELGAIMAGE



Jobs, jobs, jobs. Zutendaal, ses sans-emploi, son domaine militaire en voie de réactivation. America is back. L'heure des retrouvailles avec l'Oncle Sam en terre limbourgeoise. L'US Army va y reprendre possession du dépôt délaissé voici plus de quinze ans. De quoi stocker à nouveau tanks, véhicules blindés et autres armes conventionnelles. Banal prépositionnement de matériel lourd, a rassuré le ministre de la Défense Steven Vandeput (N-VA) en rendant sans renâcler les clés du site aux Américains. " Cet entreposage n'a aucun lien avec un conflit ou une menace spécifiques. " Washington n'agit pas autrement en Allemagne et aux Pays-Bas. Ce réinvestissement des lieux n'a d'autre objectif que de pouvoir équiper une division blindée de 15 000 à 20 000 hommes à déployer en Europe. Sait-on jamais...



Zutendaal ne boude pas son plaisir : 200 à 250 jobs locaux à la clé, c'est toujours ça de pris. Jef Bobbaers est heureux pour ses 6 800 administrés. " Ce retour des Américains est une bonne nouvelle pour la commune et pour l'emploi ", confie le maïeur au Vif/L'Express. Merci qui ? Merci Poutine.



Le maître du Kremlin a perdu l'habitude d'être complimenté sous nos latitudes. Ses sautes d'humeur à l'Est font même jaser parmi les représentants de la Nation belge. Et les forcent à un grand bond en arrière.



" Après plus de deux décennies d'apaisement, notre sécurité et nos valeurs sont remises en cause par des forces politiques et militaires venant de l'Est et du Sud. La Russie pose question, elle a réadopté une attitude qui menace nos intérêts et notre sécurité. " A l'entame de l'été, Richard Miller, député fédéral MR, invite ses pairs à fermer une parenthèse de vingt-cinq ans et à jeter un coup d'oeil dans le rétro. Les plus âgés ou les plus capés dans l'hémicycle se rappelleront comme si c'était avant-hier de ce " bon vieux temps " de la guerre froide et sa logique frigorifiante de deux blocs surarmés, le doigt sur la détente, que séparait un rideau de fer balafrant le continent.

Et en Russie ! - Page 19 3568505

La Russie de Poutine renoue avec ses incursions de sous-marin ou de bombardiers dans nos parages. © FRED TANNEAU/BELGAIMAGE

Sous-marin et bombardiers russes de retour dans nos parages



On en serait donc là ? Moscou ne dément pas, trop heureux d'entretenir le suspense. L'Ours russe reprendrait le sentier d'une guerre froide 2.0, qu'il ne s'y prendrait pas autrement. Il arrive même que cela se passe près de chez nous : en novembre 2015, lorsqu'un sous-marin russe est repéré non loin de la côte belge, à la limite de nos eaux territoriales ; au début 2016, lorsque des bombardiers stratégiques russes s'avisent de frôler notre espace aérien. Du jamais-vu depuis la fin de la guerre froide. La Russie n'est plus soviétique mais elle y puise le goût de la provocation.



Certains députés belges sont sous le choc. A la veille d'un sommet " importantissime " de l'Otan programmé à Varsovie, Richard Miller a donc cru de son devoir de sonner le tocsin. " Les frontières de l'Otan sont inviolables. Ce fondement date de l'Alliance atlantique, il doit être remis en avant comme il a été le socle de notre sécurité commune pendant toute la guerre froide. "

Dans la coulisse, les pontes de l'Alliance font leur boulot. Ils chauffent les salles au fil de rencontres avec les élus européens, belges compris. Printemps 2015, Jamie Shea, secrétaire général adjoint de l'Otan, de passage rue de la Loi, briefe l'assistance parlementaire : " La puissance militaire a fait son grand retour en Europe et dans le monde, qu'on le veuille ou non. De nombreux Etats, même de taille moyenne, consacrent d'importants investissements aux forces armées. " La Belgique serait bien inspirée d'en faire autant.



Le message percole. Témoin, cet élu N-VA, Peter Buysrogge, encore ado lorsqu'a implosé le bloc soviétique, qui croit tenir les coupables d'un funeste relâchement : " Les dividendes "excessifs" de la paix et le démantèlement "irrationnel" " de la défense dans l'Union européenne depuis la chute du rideau de fer. " L'appel otanien à regarnir les arsenaux en consacrant au moins 2 % du PIB aux appareils militaires occidentaux devrait tomber sous le sens.

Partager[url=https://www.twitter.com/intent/tweet?text="Qu'on le veuille ou non, la puissance militaire a fait son grand retour en Europe et dans le monde" &url=http://www.levif.be/actualite/belgique/armee-belge-si-les-russes-attaquent-a-l-aube/article-normal-565371.html&via=LeVif][/url]
"Qu'on le veuille ou non, la puissance militaire a fait son grand retour en Europe et dans le monde"



Sauf que ces roulements de mécaniques laissent aussi de marbre. On ne la lui fait pas, au SP.A. Les socialistes flamands furent à l'avant-garde de la croisade contre le déploiement des missiles de croisière US sur le sol belge dans les années 1980, ils furent les chantres du désarmement quitte à passer pour d'irresponsables adeptes du " plutôt rouge que mort ". Ils tiennent à leur réputation. En leur nom, Dirk Van der Maelen ressort les calicots de la naphtaline.



Où çà, une menace russe ? attaque le député. La ficelle est un peu grosse : " Ces discours me rappellent le climat instauré pendant la guerre froide : on insistait sur la menace que constituait la Russie pour justifier auprès de la population une course à l'armement, alors qu'il s'est avéré par la suite que les ressources russes ne correspondaient pas à ce qui avait été prétendu. " La manoeuvre est cousue de fil blanc : " Les Etats-Unis souhaitent uniquement augmenter les moyens budgétaires mis à la disposition de l'Otan pour en faire un instrument de lutte concurrentielle avec la Chine et d'autres pays asiatiques. " Ce branle-bas de combat n'est que tissu de bobards et affaire de business.

Et en Russie ! - Page 19 3568509

Les conscrits en 1951 : la guerre froide faisait plus dans la quantité que la qualité. © PHOTO NEWS

Charles Michel : " La situation est très éloignée de celle de la guerre froide "



Et puis, il y a ceux qui sont au milieu du gué. Qui demandent à voir. Le PS qui s'interroge, avec son représentant Sébastian Pirlot, sur cette " relative fixation des pays de l'Est sur la menace russe, que je peux comprendre compte tenu du joug communiste ". Ou Georges Dallemagne, pour le CDH, qui soupçonne derrière " une certaine anxiété dans le discours " la justification d'une nouvelle escalade des moyens militaires.



Atlantistes contre pacifistes. " Faucons " face aux " colombes ". Info ou intox. Comme aux plus belles heures de la guerre froide, les députés reprennent la pose et les partis dépoussièrent leur argumentaire. Les communistes, cette " cinquième colonne " jadis accusée de rouler pour Moscou, ont disparu du décor. Mais l'ultragauche, réincarnée par le PTB, reprend le flambeau. Et la grille de lecture resservie par un de ses deux élus fédéraux, Marco Van Hees, n'a pas pris une ride : haro sur " la logique d'intervention de l'Otan et ses conséquences désastreuses. C'est l'inverse qu'il faut faire : investir dans une politique de paix et de désarmement, qui évite les interventions guerrières déstabilisatrices, qui privilégie la diplomatie et les négociations. "



>> Lire également l'article "Guerre froide, le retour"


Tout doux, camarades, à quoi bon monter dans les tours ? A la veille de rallier la grand-messe otanienne à Varsovie, début juillet dernier, Charles Michel (MR) s'est employé à faire baisser cette poussée d'adrénaline. Et le Premier ministre d'inviter à ne pas se tromper de " guerre " : " La situation politique et sécuritaire actuelle est très éloignée de celle de la guerre froide. A cette époque, une armée américaine complète était présente dans la région, deux à trois brigades belges étaient basées en Allemagne. " Pas faux. Lorsqu'ils sont invités à prendre les paris sur la nature de la menace à l'Est, les experts sont quasi unanimes à mettre en garde contre toute analogie.



Cela tombe plutôt bien. Car l'armée belge, elle, serait parfaitement incapable de soutenir une telle comparaison. En tournant la page de la guerre froide dans les années 1990, elle a résolument tourné le dos à un hypothétique champ de bataille européen. Les Russes attaquent à l'aube, et ceci n'est pas un exercice ? Mieux vaut ne pas y penser. " L'armée belge n'est absolument plus adaptée à une guerre conventionnelle en Europe. Elle est moribonde et son budget, équivalent à 0,9 % du PIB, n'a jamais été aussi bas ", constate le colonel en retraite Jean Marsia, qui fut conseiller en défense du Premier ministre Di Rupo (PS).

Et en Russie ! - Page 19 3568517

Les socialistes flamands gardent la fibre pacifiste. Au centre de la photo : Karel Van Miert et Louis Tobback lors d'une manif contre les missiles de croisière US, en 1983. © BELGAIMAGE

La puissance de feu de l'armée belge inférieure à celle de l'Estonie



L'homme des casernes n'est plus ce qu'il était. Un quart de siècle de détente Est-Ouest l'a métamorphosé. On lui a fait quitter ses quartiers en Allemagne pour rentrer au pays avec armes et bagages. Il a pris congé de toute cette belle jeunesse masculine qui devait passer dix à douze mois sous les drapeaux. Il a revu de fond en comble sa doctrine de combat et adapté son armement en conséquence. Jusqu'à perdre l'usage de la chenille, du char lourd et des grosses pièces d'artillerie, envoyés pour de bon à la casse.



La puissance de feu qui lui reste se réduit à fort peu de chose. Début 2015, face aux députés penchés sur le futur de notre défense, Joseph Henrotin, associé au Centre d'analyse et de prévision des risques internationaux, a vite fait le tour de la question. " La puissance de feu de la composante terrestre se résume à quatre chiffres : 18, 32, 24, 52. " Soit : 18 blindés AIV pourvus de canons de 90 mm, 32 blindés AIV équipés de canons de 30 mm, 24 obusiers de 105 mm et 52 mortiers de 120 mm. " Cette puissance de feu est inférieure à celle d'un Etat tel que l'Estonie et ses 1,32 million d'habitants. "



Inutile d'attendre d'une armée aussi " light " qu'elle fasse le poids devant n'importe quel rouleau compresseur. André Dumoulin, attaché de recherche à l'Institut royal supérieur de défense et chargé de cours à l'université de Liège, passe les troupes en revue : " L'armée belge n'est plus apte à intervenir dans le combat lourd. Sa compétence s'est perdue et serait extrêmement difficile à retrouver. Elle opère désormais dans une spécialisation par défaut qui, dans l'hypothèse la plus absurde d'une guerre conventionnelle, la ferait intervenir dans un rôle de support. "



C'est le moment choisi par certains pour recommander de lui rendre son cachet d'antan. Il flotte vaguement dans l'air du temps l'idée de sortir le service militaire obligatoire du frigo dans lequel il est remisé depuis 1994. D'imposer cette " école de vie " durant douze mois aux jeunes de 18 ans. L'appel sous les drapeaux redeviendrait tendance. Moins pour être capable de faire nombre face à un envahisseur, que pour favoriser le brassage social.

Et en Russie ! - Page 19 3568513

La puissance de feu de l'armée belge sur terre : inférieure à celle de l'Estonie. © BELGAIMAGE



Retour au service militaire : non-sens militaire et folie budgétaire



Aimable plaisanterie, militairement parlant. " Ni opportun ni faisable ni raisonnable ", riposte-t-on de divers horizons politiques. " Un service à l'ancienne supposerait de rouvrir des casernes, racheter du matériel et de l'équipement. Pure vision dans le rétroviseur, sans justification opérationnelle ", tranche André Flahaut, PS et ex-ministre de la Défense. " Il en coûterait deux milliards par an. Aberrant. Le service militaire n'a pas pour vocation d'être un outil éducationnel ", assène Denis Ducarme, chef de groupe MR à la Chambre.



Il faudrait de solides motifs pour en arriver à pareille extrémité. André Dumoulin : " Réinstaurer une garde nationale ou un service militaire civique fondé sur une formation militaire de base à suivre par les jeunes hommes et les jeunes femmes n'est pas une idée insensée. Mais aucun parti ne se risquerait à proposer un tel projet sans que la situation ne dégénère au point de le justifier. "



Aucune velléité non plus, dans le chef du ministre de la Défense, de pousser à la consommation : ce n'est plus de chair à canon dont l'armée a besoin mais de soldats professionnels, spécialisés, bien entraînés et correctement équipés. Steven Vandeput ferme la porte à la résurrection d'une institution très " belgicaine " : " A l'époque de la guerre froide, il était beaucoup plus question de quantité que de qualité. Un an de service ne suffit plus à apprendre et maîtriser les tâches et les techniques complexes propres à l'armée. "



Ce serait pure folie budgétaire alors que, relève ce spécialiste, " le maintien de quatre composantes militaires devient tout simplement impayable. La Belgique ne dispose de facto déjà plus d'une force terrestre à part entière. " Et le Premier ministre a tué dans l'oeuf toute perspective d'une remontée en puissance militaire : " Il ne sera pas possible pour la Belgique d'investir dans des forces armées terrestres mécanisées. " Casser sa tirelire pour renouveler la flotte d'avions de combat sera déjà un sacrifice bien suffisant à supporter.



Il faudra bien sortir l'argent, le nerf de la guerre. Au nom de la suédoise, Charles Michel s'est engagé et engage surtout ses successeurs à sortir la grande muette de sa grande misère et à ne plus traiter exclusivement l'armée en vulgaire variable d'ajustement budgétaire. Sans aller jusqu'à renouer avec un budget digne de la guerre froide, supérieur à 3 % du PIB. Juste assez pour hisser les moyens de la défense au-dessus de la barre du 1 % (1,3 %) d'ici à 2030. Et faire moins pâle figure parmi les cancres de la classe atlantiste.



L'opposition en a avalé son béret de rage, hurlant à l'enfumage. Mais dans les rangs de la majorité, le MR Denis Ducarme a eu des accents lyriques pour qualifier cette remilitarisation. " Enfin nous réinvestissons dans la défense nationale ! Enfin, et cela n'était plus arrivé depuis la fin de la guerre froide, nous repasserions la barre des 1 % du PIB. Nous tournons la page à vingt-cinq années de désinvestissements. " Le maître du Kremlin en tremble déjà.
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Message  Александр Mar 25 Oct - 15:02

What Can the West Do to Get Putin’s Attention?

Et en Russie ! - Page 19 20161024_umland_large
Russian President Vladimir Putin attends the Business Russia Congress in Moscow, Russia, October 18, 2016.
REUTERS/Alexander Zemlianichenko/Pool

What should be done about an increasingly aggressive Russia? The past few weeks have brought more evidence of Moscow’s moves away from international norms and law. From continued denials of complicity in the MH17 tragedy and the bombing of a humanitarian convoy in Syria, to Russian President Vladimir Putin’s recent exit from the Nuclear Security Pact with the United States, Russia’s behavior is diverging further from the rules-based consensus of the post-Cold War world. This is in spite of Western sanctions that were introduced against Moscow in 2014.

Indeed, these moderate limitations on selling certain goods and services to Russia as well as on the freedom of movement of some Russians seem to have emboldened Putin. With a new debate underway in the EU and United States on the future of the sanctions regime, there may now be a window of opportunity for significantly expanding economic measures, including financial or personal sanctions, in order to bring Russia back from the brink of military escalation. The West has powerful non-military tools for dealing with a belligerent Russia, given Moscow’s high reliance on energy exports. But increased sanctions need to be predicated on a clear metric of what they are intended to achieve.

Often discussions of these issues refer to lessons learned from earlier embargoes against other countries. What was the relative effectiveness of trade and other limitations in altering political behavior? Scholarship such as Gary C. Hufbauer’s classic Economic Sanctions Reconsidered or
recent work from Bryan Early has shown that economic sanctions have often tended to be poorly designed and, as a result, largely futile. However, past experience does not mean that sanctions are necessarily doomed.

The poor record of earlier sanctions against Iran, North Korea, or Cuba are only partly applicable to the Russian case. To be sure, Russia is, like these countries, a non-democratic state with elements of despotism and a large state-controlled sector of the economy. But its economy is more deeply integrated into global trade, finance, and investment patterns than many of the past targets of sanctions. The Russian elite is heavily Westernized and interacts in a multitude of ways with the EU and other countries or allies of the West. About half of the Russian state budget consists of income from foreign trade—above all, from revenues related to the export of crude oil.

And that makes the Kremlin unusually vulnerable to economic pressure. If the sanctions’ goal is inflicting economic damage to make foreign adventurism costlier and thus cause policy changes, there are a number of ways in which sanctions could achieve this aim. Unlike the sanctions regime currently in place, import sanctions targeted at the Achilles heel of the Russian economy—the oil trade—could make a difference and have a quick political impact.

The West could, in a first step, reduce Russia’s state income from energy exports through a reduction or outright ban of its oil imports. As a second step, it could further increase pressure by threatening to sanction, as the US once did to Iran, non-Western companies that buy oil from or transport oil for Russia, or that otherwise assist Moscow's energy trade—that is, a worldwide embargo.

A worldwide embargo would have serious repercussions for Russia’s regime. First, in view of the state budget’s massive reliance on oil trade revenues, the Kremlin’s available room to maneuver on the international stage would be reduced, and make new foreign adventures less likely. Second, because of the close relationship between the ruble’s exchange rate and Russian energy trade, the country’s entire economy would quickly dive—perhaps even at the mere announcement of import sanctions. Third, all economic actors in Moscow, whether Russian or foreign, understand the country’s overwhelming energy dependence and fear the above scenario. Not only energy traders but also other businesses would quickly adapt their economic behavior, with likely cascading effects like capital outflow, bank runs, or project cancellations.

These measures would not only trigger a major social crisis in Russia because of price hikes. They would also eventually strike at the Russian military-industrial complex. Politically Putin cannot afford to simply cut down pensions, salaries, stipends, and social subsidies in order to continue financing his instruments of hybrid war at their current level. This also makes sustained Russian counter-sanctions, such as a reduction of natural gas exports to the EU, unlikely. Once the Russian state and economy have been hit by Western import sanctions, the Kremlin would be unable to further reduce foreign trade income through prolonged counter-sanctions.

Harming the energy sector would force Moscow to make difficult choices regarding its priorities. So far, ordinary Russians have primarily felt the bite of the combined effects of oil price slumps and Western export sanctions since 2014. The elite has been relatively insulated from the effects of these economic changes. But with Western energy import reductions, insulating elite members of society from income losses would become more difficult.

Could such a strategy backfire? The economic turmoil ensuing from such sanctions could create a Russia even worse than the current version. For instance, Putin could become, or be replaced by, a more radically anti-Western and aggressive leader. However, a hypothetical Russian fascist regime would still be faced with the challenge of paying basic salaries and pensions as well as generating enough income to keep the social system intact. It is unlikely that the current regime will be replaced by one even less able to restore trade relations with the West and secure critical revenues for Russia’s embattled state budget.

Another open question is what effect these sanctions would have on energy prices globally. With the EU still suffering from aftereffects of the global financial crisis, some fear new economic disruptions from a Russian-Western trade war. However, one must remember that as recently as June 2014, almost six years after Lehman Brothers went bankrupt, Brent oil was at $112 per barrel. Only in the past two years have oil prices dropped precipitously due to increasing supply because of the shale oil revolution and other technological advances. Given the current oversupply of crude oil on the world market and the eagerness of Moscow's competitors to replace Russian energy companies on Western markets, the world economic repercussions of a reduction of EU oil imports from Siberia will thus be limited.

A more important point for debate is how to properly match future sanctions to desired outcomes. There has been insufficient articulation over the past two years of what the current modest sanctions are designed to achieve. For instance, the major sanctions introduced in summer 2014 were later linked to the fulfillment of both Minsk agreements. Oddly, the prospect of their cancelation or prolongation is now also connected to those parts of the agreements that refer to Ukraine’s domestic affairs.

More generally, will the goal of the current and future sanctions be to signal support for Kyiv’s European choice, to freeze the Russian-Ukrainian conflict, to deter Moscow from aggression elsewhere, to remove Russia from the Donbas, to end the Kremlin’s hybrid war against Ukraine, to make Putin hand back Crimea, to halt Russian humanitarian atrocities in Syria, or a combination of these? We don’t know. The unclear political rationale, underlying philosophy, and final objective of the West’s sanctions makes new decisions to tighten them difficult. There is no clear sense of when which sanctions should be regarded as having achieved their objectives.

The West has enormous economic leverage against Moscow. But before using it, it must properly understand, jointly decide, and publicly announce what precisely the sanctions are aimed at. Without such clarification, the prolongation of the old and introduction of new sanctions may induce more hardship for the Russian people but result in little change in the Kremlin’s policies.

Christopher A. Hartwell is president of the Center for Social and Economic Research in Warsaw, a non-resident associate fellow at the Institute for Euro-Atlantic Cooperation in Kyiv, and the author of Two Roads Diverge: The Transition Experience of Poland and Ukraine, published by Cambridge University Press. Andreas Umland is a senior research fellow at the Institute for Euro-Atlantic Cooperation in Kyiv and general editor of the Germany-based book series Soviet and Post-Soviet Politics and Society, distributed outside Europe by Columbia University Press. Hartwell and Umland are UkraineAlert contributors.
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Message  Александр Mer 26 Oct - 14:15

Toujours leur mainmise sur les médias:

Russia`s telecoms & IT watchdog demands blocking LinkedIn

The Russian Federal Service for Supervision in the Sphere of Telecoms, Information Technologies and Mass Communications demands that access to the world`s biggest business and employment-oriented social networking service, LinkedIn, be blocked in Russia, according to Russian daily Kommersant.

The watchdog claims that the company does not store Russian citizens` personal data on Russian-based servers, as the local law on personal data stipulates, Kommersant wrote.

It became known on October 25, 2016, that the federal service won a case against LinkedIn in Moscow`s Tagansky district court in August. The decision has not been enacted yet, and the sides are getting ready for an appeal, which will be considered by the Moscow city court on November 11.

The telecoms and IT regulator claims that reasons for checks on the social network are media reports about repeated leaks of social network users` data.

As LinkedIn has no official representation in Russia, the regulator went to court for restriction of access to the network.

According to Kommersant, LinkedIn is facing a ban on further work in Russia.

In 2015, Russian users had 5 million registered accounts on LinkedIn out of their total number exceeding 400 million.

In August 2016, LinkedIn`s Russian segment was estimated at 2.6 million users who visited the website, using mobile devices and PCs (TNS data).
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Message  Thuramir Mer 26 Oct - 20:01

Caduce62 a écrit:La moitié des Russes estiment que l'URSS a eu raison d'écraser le soulèvement de Budapest en 1956, selon un sondage du centre Levada paru jeudi, 60 ans après le début de cette insurrection.

Pas moins de 15% des sondés sont "totalement d'accord" Twisted Evil et 35% "assez d'accord" Evil or Very Mad avec l'idée que l'URSS a eu raison de réprimer cette révolte populaire contre l'Union soviétique, qui avait commencé le 23 octobre et avait été écrasée dans le sang le 4 novembre 1956 par les chars de l'Armée rouge.

La répression avait fait 2000 morts et entraîné l'exil de 200 000 Hongrois. Plus de 300 personnes avaient en outre été exécutées, dont le Premier ministre Imre Nagy.

Seuls 6% des Russes sont "totalement opposés" à cette idée, selon l'enquête du centre indépendant Levada, réalisée auprès de 1600 personnes.

Mais plus de la moitié des sondés (57%) indiquent aussi "ne rien savoir" du soulèvement de Budapest, 22% répondant "en avoir entendu parler mais ne pas pouvoir dire exactement" de quoi il s'agit. Crying or Very sad

Egalement interrogés sur les raisons de l'insurrection hongroise, 20% des répondants ont estimé qu'elle était la conséquence de "l'action subversive des pays occidentaux" et 20% le résultat "des agissements révisionnistes et anti-soviétiques des dirigeants hongrois" de l'époque.

Pour 16% des Russes, le soulèvement de Budapest était une "révolte contre-révolutionnaire" de l'opposition hongroise, seulement 15% la considérant comme "un soulèvement populaire contre l'Union soviétique".

Le 23 octobre 1956, des manifestations d'étudiants réclamant des réformes politiques prennent une telle ampleur qu'elles obligent les autorités à rappeler au pouvoir l'ancien Premier ministre Imre Nagy, un communiste modéré démis de ses fonctions en mars 1955.

Imre Nagy abolit le système du parti unique puis proclame le 1er novembre 1956 la sortie de la Hongrie du pacte de Varsovie. C'est la goutte de trop pour l'URSS, qui fait intervenir le 4 novembre huit divisions de l'Armée rouge, appuyées par l'aviation, à Budapest et dans plusieurs autres villes de Hongrie.

En 2011, le gouvernement hongrois de Viktor Orban a modifié la législation pour que les personnes soupçonnées d'avoir participé aux représailles après l'insurrection de 1956 puissent être traduites en justice.

Cela en dit surtout long sur l'absence d'imprégnation des règles démocratiques par les russes.  Twisted Evil
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Message  Caduce62 Jeu 27 Oct - 0:32

Thuramir a écrit:Cela en dit surtout long sur l'absence d'imprégnation des règles démocratiques par les russes.  Twisted Evil
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Message  Александр Jeu 27 Oct - 9:09

S'il n'y avait que ça . . . Embarassed

Red Cross not allowed to Ukrainian hostages contrary to Berlin agreements

Ukrainian President Petro Poroshenko has announced that the International Committee of the Red Cross has not been allowed to visit Ukrainian hostages contrary to the recent agreements reached by the Normandy Four leaders in Berlin, according to the presidential press service.
”Today, we`ve received an official refusal regarding the visit of representatives of the largest humanitarian mission – the International Committee of the Red Cross. Once again, they have been denied admission to our hostages,” the Ukrainian president said while accepting credentials from Ambassador Extraordinary and Plenipotentiary of the Republic of Poland to Ukraine Jan Peklo.
”This is absolutely unacceptable when such agreements are not observed,” the president said.
He also noted the inadmissibility of disregarding the agreements on the ceasefire along the contact line in Donbas, eastern Ukraine. In his words, members of the OSCE Special Monitoring Mission (SMM) to Ukraine had once again come under fire.

Poroshenko reiterated that sanctions against Russia must remain in force if the Minsk peace agreements on Donbas and undertaken commitments are not fulfilled.

He also thanked Poland for its firm and consistent position in support of Ukraine regarding the European Union`s policy of sanctions against the aggressor state that must be not only prolonged, but also enhanced and extended in case of Russia`s failure to fulfill its commitments within the Minsk process.

Russia Supreme Court doesn`t free Ukrainians Karpiuk, Klykh

Et en Russie ! - Page 19 Uaposition-featured-karpiuk_klykh

The Russian Supreme Court`s criminal judicial panel has not upheld an appeal against a Chechnya court verdict on Ukrainian citizens Mykola Karpiuk and Stanislav Klykh, who were sentenced to 22.5 and 20 years in prison, respectively, according to an UNIAN Moscow-based correspondent.

The ruling against the two Ukrainians charged with involvement in hostilities against Russian military forces during the first Chechen war was read out by a Russian Supreme Court judge, the correspondent reported.
”The verdict passed by the Supreme Court of the Chechen Republic against Karpiuk and Klykh should remain in force, and the appeal should be left unsatisfied,” the judge said.
As UNIAN reported earlier, the Supreme Court of Russia`s Chechnya in May 2016 sentenced Karpiuk to 22.5 years and Klykh to 20 years in jail. The Russian investigators claim that the Ukrainians used to form groups of mercenaries in Ukraine for fighting against Russian federal forces in Chechnya. Further, they ”found” that Karpiuk allegedly participated in the war late in 1994 and early in 1995.
Ukraine`s Justice Ministry has sent several requests to the Russian authorities for the extradition of Karpiuk and Klykh.

Russian human rights activist and member of the Moscow Public Oversight Commission to monitor compliance with the rights of prisoners Zoya Svetova announced on October 22, 2016, that Klykh, being contained in the Grozny detention center, Chechnya, at that moment, had gone mad because of the torture applied to him during the arrest and pretrial investigation.

Poroshenko calls "farce" Russian trial of Karpiuk, Klykh

Ukrainian President Petro Poroshenko instructed the Foreign Ministry and other government agencies to intensify efforts for the early release of all Ukrainian citizens illegally held in Russia.


Et en Russie ! - Page 19 1477528743-2054
Image Unian

"Today, this farce repeated once again in a Russian sham trial of Ukrainian citizens Mykola Karpiuk and Stanislav Klykh. This is despite total absurdity of charges brought against them, and despite severe health condition of Stanislav, requiring emergency medical treatment," Poroshenko wrote on Facebook.

According to the Head of State, the absurdity of the situation is emphasized by Moscow's recent refusal to hand over to Ukraine Oleh Sentsov and Oleksandr Kol'chenko, allegedly because of them having obtained Russian passports. "And this is after the Ombudswoman of the Russian Federation recognized that Kolchenko and Sentsov are citizens of Ukraine," said Poroshenko. In this regard, he instructed the Ministry of Foreign Affairs and other relevant departments to intensify efforts for the early release of all Ukrainian citizens and protection of their rights, including by strengthening international pressure on Russia.

As UNIAN reported earlier, The Russian Supreme Court's criminal judicial panel on Wednesday has not upheld an appeal against a Chechnya court verdict on Ukrainian citizens Mykola Karpiuk and Stanislav Klykh, who were sentenced to 22.5 and 20 years in prison, respectively, according to an UNIAN Moscow-based correspondent.


"The verdict passed by the Supreme Court of the Chechen Republic against Karpiuk and Klykh should remain in force, and the appeal should be left unsatisfied," the judge said. As UNIAN reported earlier, the Supreme Court of Russia's Chechnya in May 2016 sentenced Karpiuk to 22.5 years and Klykh to 20 years in jail.


The Russian investigators claim that the Ukrainians used to form groups of mercenaries in Ukraine for fighting against Russian federal forces in Chechnya. Further, they "found" that Karpiuk allegedly participated in the war late in 1994 and early in 1995.


Ukraine's Justice Ministry has sent several requests to the Russian authorities for the extradition of Karpiuk and Klykh.

U.S. intelligence names main goal of Putin`s actions

U.S. National Intelligence Director James Clapper explained the motives of Russian President Vladimir Putin, RBC reported.
”I think he is somewhat of a throwback not so much to the… Communist era or the Soviet Union but rather a throwback to the Czar era. I think he has this vision of a great Russia as a great power… It`s extremely important to him that Russia be treated, respected as a global power on par with the United States,” Clapper said during the meeting in the Council on Foreign Affairs in New York, answering the host`s question on what is really driving Vladimir Putin.
The head of the National Intelligence also said that Russia had tried to affect the outcome of the U.S. presidential election in the past. At the same time, Clapper pointed out that he considers this a minor impact, since the electoral process in the United States is decentralized and operates at the level of states and districts.

The official also spoke about the situation in the Middle East. In particular, he said that he would not be surprised if Russia hit a U.S. aircraft in case of a no-fly zone introduction over Syria. According to him, this will happen if Moscow considers any airborne object a threat to its forces on the ground.

He reminded that Russia had deployed an advanced air defense system in Syria. Russia would not so had it not planned to use it, he stressed.
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Message  Александр Jeu 27 Oct - 12:57

La Russie dévoile "Satan 2", un missile capable de raser la France  Shocked Suspect

Et en Russie ! - Page 19 Satan2

La course aux armements est enterrée depuis longtemps mais la Russie n'a pas abandonné pour autant ses travaux. La preuve avec la diffusion de la première image du "Satan 2", un engin nucléaire "capable de raser la France," affirmait déjà en mai, l'agence de presse russe Sputnik. Équipé de 12 têtes nucléaires, il surpasse largement les missiles R-36M, devenus obsolètes.

"Ce complexe stratégique est conçu pour remplir efficacement les tâches de dissuasion nucléaire des forces stratégiques russes" précise le centre balistique russe Makeïev qui a dévoilé l'image.

Le missile a une capacité de frappe de 11 000 km, pour un poids d'une centaine de tonnes et serait capable d'éviter les radars ennemis. "Les nouveautés sont avant tout électroniques, mais la puissance et le rayon d'action n'ont pas changé" estime pourtant un spécialiste américain dans le Telegraph.

Les tensions entre la Russie et les pays membres de l'Otan se sont tendues depuis plusieurs années, en raison du conflit en Ukraine mais aussi des bombardements sur Alep, très critiqués par les occidentaux.

Et en Russie ! - Page 19 Satan2

Lu sur le Daily Mail
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Message  benoit77 Jeu 27 Oct - 15:36

j'avais lu l'article en me rappelant que c'est les russes qui profère menace et en même temps c'est nous les méchants !!

là, c'est pareil au final ça va être de notre faute si les ministres russes ne font rien:
http://news.liga.net/video/world/13333362-zhiteli_zabaykalya_putinu_pensionery_golodayut_sobak_strelyayut.htm
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Message  Matt Jeu 27 Oct - 20:45

Bah, n'en sont pas à une contradiction près.
Regarde, c'est eux qui font des incursions et des manœuvres "pas très catholiques" et ont une attitude plus qu’agressive et ensuite ils se plaignent que l'OTAN réagisse.

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Message  Caduce62 Jeu 27 Oct - 22:45

AFP, publié le jeudi 27 octobre 2016 à 18h31
Affaire Ioukos: Roscosmos menace de cesser de livrer des fusées Soyouz à Arianespace tant que les 300 millions dus feront l'objet d'une saisie

L'agence spatiale russe Roscosmos a menacé jeudi de cesser de livrer des fusées Soyouz à Arianespace tant que les 300 millions d'euros dus par cette société au fabricant de lanceurs feront l'objet d'une saisie judiciaire en France dans le cadre de l'affaire Ioukos.

"Nous ne recevons pas actuellement l'argent dû par Arianespace pour notre travail. Pas d'argent, pas de produit. Nous ne pouvons travailler gratuitement", déclare le service de presse de Roscosmos interrogé par l'AFP. "Nous ne livrerons donc rien", affirme l'agence russe.

"Et ce, d'autant plus que, de notre point de vue, l'Etat français s'est exprimé, à travers le procureur de la République, en faveur des ex-actionnaires de Ioukos", ajoute-t-elle.

Dans le cadre de la procédure de compensation du démantèlement contesté du groupe pétrolier Ioukos, plusieurs biens appartenant à la Russie ont été saisis en France en juin 2015, notamment 300 millions d'euros de dettes d'Arianespace à Roscosmos.

Ces saisies découlent de la décision de la Cour d'arbitrage de La Haye en juillet 2014, annulée depuis, condamnant l'Etat russe à verser une indemnité de 50 milliards de dollars (46 milliards d'euros) aux ex-actionnaires de Ioukos.

La Russie refusant d'appliquer ce jugement, les anciens actionnaires du groupe pétrolier ont lancé des procédures dans plusieurs pays pour obtenir réparation.

Mais, en janvier et en avril, la justice française a décidé de lever la saisie des 300 millions d'euros, estimant que Roscosmos était une entité juridique séparée de l'Etat russe et que les actifs saisis n'appartenaient donc pas à la Fédération de Russie.

Toutefois la levée effective de la saisie n'a pas eu lieu car les anciens actionnaires de Ioukos ont interjeté appel.

Interrogée par l'AFP, Arianespace, société commerciale de lancement de satellites, s'est refusée à tout commentaire.

Elle effectue ses lancements depuis la Guyane française, avec les fusées européennes Ariane 5 et Vega et avec Soyouz.

La décision russe n'entravera pas la poursuite du déploiement des douze prochains satellites Galileo pour l'Union européenne. C'est en effet la fusée Ariane 5 qui doit s'en charger, à raison de quatre satellites par tir. Il doit y avoir un lancement à la mi-novembre 2016 mais aussi en 2017 et 2018.

En revanche, le planning d'Arianespace prévoit des lancements de satellites commerciaux par des fusées Soyouz dans les prochaines années.

Pour déployer l'ambitieuse constellation OneWeb (internet pour tous), un programme privé américain, Arianespace a signé en juin 2015 un contrat pour 21 vols Soyouz dont le premier était à l'origine prévu en 2017.

Depuis quelques jours, Roscosmos a haussé le ton sur le dossier Ioukos.

L'agence russe a menacé d'assigner Paris devant un tribunal arbitral si ses actifs saisis en France ne lui étaient pas rendus, selon un courrier adressé au Premier ministre français Manuel Valls.
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Message  Александр Ven 28 Oct - 9:17

J'ai volé, mais je ne veux pas payer et même je veux voler ce qui m'a été confisqué . . . Twisted Evil
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Message  Matt Sam 29 Oct - 15:47

La "récolte" continue pour la Russie:

Camouflet pour Moscou au Conseil des droits de l’homme de l’ONU

Pour la première fois, un pays membre permanent du Conseil de sécurité perd son siège au sein de cet organe.

Et en Russie ! - Page 19 5022416_6_6b8b_vitali-tchourkine-l-ambassadeur-de-la-russie_03f3240471e1519513e42fa20b6e2c8b
Vitali Tchourkine, l’ambassadeur de la Russie auprès de l’ONU, à New York, le 11 août 2016. CARLO ALLEGRI / REUTERS

L’ombre de pays « autoritaires » et de « dictatures brutales » plane sur l’ONU, selon Thor Halvorssen, le président de la Fondation des droits de l’homme. L’Arabie saoudite, l’Egypte, la Chine, l’Irak, le Rwanda et Cubaont été élus, vendredi 28 octobre, pour siéger pendant trois ans au Conseil des droits de l’homme des Nations unies, basé à Genève. Et ce malgré une très forte mobilisation de la société civile pour empêcher l’élection« du pire conseil des droits de l’homme que nous avons jamais eu », selon Stéphanie David, de la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH).

Le « pire a été évité », assure cependant un diplomate, pour qui la seule raison de se réjouir est le camouflet reçu par la Russie. C’est la première fois qu’un pays membre permanent du Conseil de sécurité perd son siège au sein de cet organe onusien chargé d’assurer « la promotion et la protection des droits de l’homme ». Il a été créé en 2006 en remplacement d’une commission dont la crédibilité était jugée « déclinante » à cause de la présence en son sein de pays considérés comme les pires violateurs des droits de l’homme.

« Un nombre incalculable d’atrocités en Syrie »

« En rejetant la réélection de la Russie […], les Etats membres des Nations unies envoient un message très fort au Kremlin pour dénoncer son soutien à un régime qui a commis un nombre incalculable d’atrocités en Syrie », s’est réjoui Louis Charbonneau, directeur de Human Rights Watch (HRW) pour l’ONU. L’ambassadeur russe Vitali Tchourkine a minimisé, quant à lui, cette gifle de la communauté internationale en l’attribuant aux « vents contraires de la diplomatie » et en assurant ironiquement que la Russie avait besoin de « faire une pause ». La Hongrie et la Croatie ont été préférées à la Russie.
Selon l’ONG UN Watch à Genève, sur les dix-sept candidats à un siège, huit auraient dû être disqualifiés car ils ne répondaient pas aux critères exigés en termes de respect des droits de l’homme : la Chine, Cuba, l’Egypte , l’Irak, la Malaisie, la Russie, le Rwanda et l’Arabie saoudite.

 Lire aussi :   Les hommes neufs de Vladimir Poutine

La réélection de Riyad était quasi assurée, car, dans son « groupe régional », il y avait autant de pays candidats – quatre – que de sièges à occuper. « Parler d’élection est un euphémisme à partirdu moment où un certain nombre de votes sont bloqués par les groupes régionaux qui ne jouent pas le jeu », estime Michel Forst, le rapporteur spécial de l’ONU sur la situation des défenseurs des droits de l’homme. Il déplore par ailleurs de ne pas avoir pu se rendre dans un grand nombre des pays élus, et notamment en Arabie saoudite, où Human Rights Watch dénonce de nombreuses violations telles que la peine de mort pour apostasie ou adultère, le chiffre le plus élevé d’exécutions publiques depuis 1995 ou encore l’amputation inscrite dans le droit pénal.

L’Arabie saoudite, « un pyromane chef des pompiers »

Hillel Neuer, le directeur d’UN Watch, a dénoncé une aberration : « Choisir l’Arabie saoudite comme arbitre des droits de l’homme, c’est comme nommer un pyromane chef des pompiers. » A la tête d’une coalition militaire au Yémen pour soutenir le gouvernement contre les rebelles houthistes, Riyad a été accusé de frapper des objectifs civils. L’ONU avait même brièvement inscrit l’Arabie saoudite sur sa liste noire des pays violant le droit des enfants, avant de la retirer sous la pression financière du royaume.

« Il y a une complaisance générale dramatique », s’insurge Stéphanie David, de la FIDH, qui s’inquiète aussi de « l’extrême polarisation de ce Conseil des droits de l’homme avec l’élection en plus des Etats-Unis et du Royaume-Uni. Les blocages du Conseil de sécurité vont être dupliqués au Conseil des droits de l’homme. La paralysie sera totale ».


  • Marie Bourreau (New York, Nations unies, correspondante) 
    Journaliste au Monde



Une future autre "récolte"?

Varsovie dénonce l'entrée en Baltique de navires russes pouvant lancer des ogives

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Le Kremlin a déjà intensifié sa présence dans la Baltique et ses avions testent fréquemment la sécurité dans l'espace aérien des alliés baltes de l'Otan. - © AFP

La Pologne a dénoncé vendredi comme "agressif et irresponsable" le déploiement récent par la Russie de deux navires de guerre dans la mer Baltique, armés de missiles de croisière à longue portée capables de transporter des ogives nucléaires. L'Otan avait confirmé mercredi que la Russie avait envoyé deux nouveaux bâtiments de combat dans cette zone.


Les dirigeants des pays de l'Otan ont approuvé en juillet des plans de présence rotative des troupes alliées dans les trois pays baltes et en Pologne pour les assurer qu'ils ne seraient pas abandonnés au cas où la Russie serait tentée de rééditer une intervention semblable à celle de 2014 en Ukraine.


Le Kremlin a déjà intensifié sa présence dans la Baltique et ses avions testent fréquemment la sécurité dans l'espace aérien des alliés baltes de l'Otan. Au début du mois, la Russie a déployé des missiles Iskander, capables de transporter des ogives nucléaires, dans l'enclave de Kaliningrad, située entre la Pologne et la Lituanie.


Moscou s'oppose avec acharnement à l'expansion occidentale dans ce qu'il continue à considérer comme son arrière-cour de l'époque soviétique, alors que l'Otan a formellement consenti en 1997 à ne pas installer de bases permanentes dans les Etats de l'ancien Pacte de Varsovie.


Le Kremlin compte créer trois nouvelles divisions dans sa région du sud-ouest et y déployer de nouvelles armes pour répondre à ce qu'il décrit comme une accumulation militaire dangereuse le long de ses frontières occidentales.

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Message  benoit77 Sam 29 Oct - 21:05

Et en Russie  ?

on fait des cadeaux aux idiots utiles : Sapir

http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/l-election-de-jacques-sapir-a-l-185982
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Message  Matt Sam 29 Oct - 23:39

Un bon coup de brosse "à lustrer".
Gare au jour de la lustration comme en Ukraine, il va finir comme d'autres à la poubelle.  Very Happy

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Message  benoit77 Dim 30 Oct - 14:31

Pourquoi Poutine plaît tant à Le Pen, Fillon ou Trump

Le 12.10.2016 à 07h10


Chacun sait que Poutine est un homme dangereux, pourtant ses admirateurs sont légion, en Europe comme aux Etats-Unis, de Trump à Fillon, de Le Pen à Mélenchon...


http://www.challenges.fr/politique/pourquoi-poutine-plait-tant-a-le-pen-fillon-melenchon-ou-trump_432438

Un commentaire mentionne un sondage de janvier 2014 (avant l'annexion de la Crimée) démontrant que la Russie de Poutine n'est pas géniale comme essai de le faire croire les trolls et autres idiots utiles:

http://www.bva.fr/data/sondage/sondage_fiche/1425/fichier_bva_pour_le_parisien-aujourdhui_en_france_-_vladimir_poutine9ef59.pdf

14% des sondés ont une bonne opinion et 84% ont une mauvaise opinion de Poutine!
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Message  Matt Dim 30 Oct - 15:08

Dans le même ordre d'idée, un sondage dans l'Est et le Sud de l'Ukraine en avril 2014 concernant le séparatisme:
Et en Russie ! - Page 19 Cv8nVWLWcAAKdr8

Pas de commentaire possible, une immense majorité pour l'Ukraine.

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Message  Александр Lun 31 Oct - 10:54

Oh, pas de bol:

Russian language knowledge declining in country’s non-Russian republics, Barinov says
Et en Russie ! - Page 19 YouMaySpeakAnyLanguage
Image: Euromaidan Press 

Despite the insistence of Moscow officials that everyone in the Russian Federation speaks Russian and that therefore support for other languages is ever less necessary, Igor Barinov, head of Russia’s Federal Agency for Nationality Affairs, says that there has been a decline in Russian language knowledge in the non-Russian republics.

That trend is undoubtedly worrisome to the center because it echoes the pattern that took place among non-Russians in the union republics in the final years of the Soviet Union and thus suggests Vladimir Putin’s confidence that the Russian language will hold his country together may be misplaced.

But Barinov’s acknowledgement almost certainly presages a new push by the center to introduce even more Russian language instruction in the non-Russian schools, something republic leaders and populations are likely to oppose and that thus sets the stage for a new round of conflict over language use and much else.

Speaking to the second All-Russian Seminar-Conference on Language Policy in Education: An Instrument for the Formation of All-Russian Civic Identity yesterday, Barinov [url=http://nazaccent.ru/content/22230-fadn-v-nacionalnyh-respublikah-snizilsya-uroven.html and ria.ru/society/20161026/1480040345.html]acknowledged[/url] that this trend away from Russian language knowledge is also notable among numerically small peoples who lack autonomy and among immigrants.

In his remarks, the nationalities chief said that
"increasingly children in non-Russian areas and among immigrants enter school without a solid knowledge of Russian and that forces the schools to devote more time to Russian language instruction at the expense of other subjects in the curriculum."


He noted that more money has to be found for pre-school Russian language instruction despite budgetary shortages, adding that pilot programs that had been introduced in some republics had been effective but have been recently eliminated because of reductions in the amount of money allocated for education.

Barinov’s words are thus another reminder of the ways in which Vladimir Putin’s military buildup is reducing rather than increasing Russia’s national integration and security, a development that he and other Russians may soon come to rue.


As Vladimir Putin sends 330,000 troops to the EU border, experts reveal just how much of a threat Russian president is to Europe

Foreign policy expert, military historian and retired general have their say on how the threat from Putin is easily manageable

THE spectre of war in Europe has become all too real as Britain sends planes, tanks and troops east to counter the threat from Russia.
Nato believes that Russia’s President Vladimir Putin has amassed 330,000 troops along the border to the EU and its allies.

Et en Russie ! - Page 19 Graphic-putin-and-forces

La suite en suivant le lien. Wink
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Message  Александр Lun 31 Oct - 14:00

L’ONG Memorial publie une liste de prisonniers politiques en Russie

Et en Russie ! - Page 19 000_dv794491_0
La prison de haute sécurité de Lefovorto, à Moscou.


A l'occasion de la journée de commémoration des victimes de la répression politique, le 30 octobre, l'ONG Memorial publie une liste de prisonniers politiques en Russie. Ces listes comprennent des gens qui ont été jugés ou sont en attente de jugement et des personnes assignées à résidence. D'après Memorial, leur nombre a doublé, passant de 50 à 102 entre 2015 et 2016. Et pour la première fois, Memorial publie une liste de personnes persécutées en raison de leurs croyances religieuses.


Avec notre correspondante à Moscou,  Muriel Pomponne

Les prisonniers de conscience sont une cinquantaine, tous musulmans, auxquels il est reproché de ne pas faire partie de structures officielles. Ce sont des adeptes du théologien décédé Saïd Nursi ou des sympathisants du groupe Hizb ut-Tahrir, interdit en Russie, mais autorisé en Ukraine. Les personnes poursuivies sont souvent des Tatars de Crimée. Memorial précise qu'aucune des personnes figurant sur ses listes n'a appelé à la violence.

La liste des prisonniers politiques comprend 52 noms de personnes victimes du caractère répressif d'une politique d'Etat. Parmi ces prisonniers politiques, Memorial évoque les Tatars de Crimée, les Ukrainiens comme le réalisateur Oleg Sentsov, où la responsable de la bibliothèque ukrainienne de Moscou.

L'ONG cite aussi les personnes qui ont exercé leurs droits à la liberté de rassemblement ou d'expression, comme les manifestants contre l'élection de Vladimir Poutine début 2012, ou comme Ildar Dadin, condamné pour avoir brandi une pancarte sans autorisation ou encore des personnes ayant exprimé une opinion sur internet. Enfin, des membres de la société civile, comme certains écologistes emprisonnés sont aussi considérés comme des prisonniers politiques.





Dans la plupart des cas ces personnes sont condamnées pour espionnage ou en vertu de l'article 41, qui comprend les accusations fourre-tout d'extrémisme, incitation à la haine, ou offense au sentiment des croyants.
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Et en Russie ! - Page 19 Empty Re: Et en Russie !

Message  Александр Lun 31 Oct - 15:12

Ils parlent de la "junte de Kiev"?

GRU (Russian military intelligence), were in contact with the MNA, a Hungarian neo-nazi organization

Members of the Russian military intelligence service, the GRU (Main Intelligence Agency) were in contact with the MNA (”Magyar Nemzeti Arcvonal”, Hungarian National Front), a neo-nazi organization, index.hu reported.

According to the sources, even Russian diplomats have participated in the airsoft drills organized by the gang of Gyorkos, of which the Hungarian intelligence services and military counter-intelligence also knew, according to index.hu.

The National Bureau of Investigation (”Nemzeti Nyomozo Iroda”, the Hungarian FBI) was supposed to search Istvan Gyorkos`s house earlier this week, but when the officers showed up at his home the 76-years-old man opened fire at them, and a 46-years-old police officer died in the shooting immediately.


Et en Russie ! - Page 19 Magyar-nemzeti-arcvonal

Russian diplomats and members of the Russian military intelligence, the GRU have been around the Hungarian militant subculture for years, albeit not only around MNA. This started well before the eruption of the Russian-Ukrainian conflict. The Russians were trying to do it in a smart, less ostentatious way.

Events and activities like relic hunts (of WWII weapons) and flea markets related to that proved to be useful occasions for establishing and maintaining such relations.

In most cases, radical people and groups used by the Russians do not even know that they are being indirectly manipulated and influenced. The most ideal ones are the wacky, useful idiots because they are the easiest to influence and to convince them to commit violent actions. 

See also: Congress of European Nazi parties in St Petersburg, Russia

The GRU has units not only for regular intelligence tasks, but for special operations too (like diversion and deep intelligence penetration): the so-called ”little green men” appearing without identification in Crimea were also partly from this agency. Spetnaz, the notorious Russian elite military formation was also founded by the GRU.

As several ”advisers” of the KGB sat in the building of the Ministry of Home Affairs` III/I Directorate, i.e. the Hungarian socialist civilian intelligence, the 2nd Directorate of the General Staff of the Hungarian People`s Army (MNVK) – the Hungarian military intelligence – operated through a similar symbiosis with the GRU. After the democratic transition, the 2nd Directorate of MNVK was succeeded by the military intelligence of the democratic Hungarian republic, the Military Reconnaissance Office (KFH), while the Military Security Agency (KBH) became the successor of the Soviet-inspired III/IV Directorate of the Ministry of Home Affairs. In 2012, Orban`s government integrated the military intelligence and counter-intelligence agencies, establishing the Military State Security Agency from KFH and KBH.

A foreign intelligence officer active before 1989 said to Index.hu that in the Socialist era, there was an extraordinarily high level of cooperation between the Soviet and Hungarian agencies which is regarded as unthinkable today. 

See also: How Russia has prepared for aggression against Ukraine for 10 years. Instruments of hybrid war: diplomacy, media and culture

Foreign Minister Peter Szijjarto stated in an interview in August to Index.hu that he has no knowledge of foreign diplomats having been expelled from the country due to espionage since 2010, and ”surely not” after him taking office in 2014. The attitude of the Hungarian government is unique, since news about Russian spies masked as diplomats being declared as persona non grata in other countries of the region, for instance in Romania or the Czech Republic, could be heard on a yearly basis.

However, the issue didn`t emerge in Hungary, not even in the case of Bela Kovacs`s alleged spy activities, who, if he really was spying for the Russian, did not conspire with himself alone.
”As far as I know, the expulsion of Russian or other foreign diplomats was out of question. I wasn`t even asked whether I would suggest any similar action or not” – said Szijjarto to Index.hu, and he also claimed that ”the current Russian ambassador is the second one since I am the foreign minister, but we didn`t touch upon the issue with any of them.”
The Czech counter-intelligence (BIS) has disclosed its yearly report in September, according to which the Russian services were the most active in the previous year (again), as they have been in every year since the outbreak of the crisis in Ukraine. The report states that their primary goal is to spread Russian disinformation and propaganda in the Czech media and internet, to subvert the unity of NATO and EU, and to increase Russian influence over the Czech energy sector.

See also: Czechs set up unit to counter perceived propaganda threat from Russian

The Hungarian counter-intelligence agency (Constitution Protection Office) on the other hand, does not issue similar reports anymore. Specific statements about Russian activities in the country are made mainly by politicians, however, the validity of these statements cannot be checked. For instance, former prime minister Ferenc Gyurcsany recently talked about that according to his knowledge, there are 600-800 Russian secret agents operating in Hungary, twice as much as under his administration. 
See also: Italian far-right collaborators openly admit breaking law in Russian-occupied Crimea

Feraient bien de se taire Exclamation
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Message  Александр Lun 31 Oct - 16:15

Bien dans les habitudes du guébiste, ne pas respecter les règles et accords internationaux:

Putin signs into law suspension of U.S.-Russia deal on plutonium disposal

Et en Russie ! - Page 19 385867154
Putin's nuclear blackmail (Collage by Daily Star / Twitter)

Kremlin appears to use nuclear disarmament as a new bargaining chip in U.S.-Russia disputes over Ukraine and Syria 
       

Russian President Vladimir Putin on Monday signed a law on suspending the U.S.-Russia intergovernmental accord on disposing surplus plutonium originally intended for use in nuclear weapons.

Earlier this month the document was approved by the both houses of the Russian legislature.

Putin submitted a draft law to the parliament on October 3 after having signed a relevant decree. The Kremlin explained it was taking that action in response to unfriendly acts by Washington.
Apart from the direct provisions on suspending the plutonium deal, the law lists the conditions for the possible resumption of the agreement.

They include Washington lifting the sanctions imposed on Russia over Ukraine, paying compensation to Moscow for the sanctions, and reducing the U.S. military presence in NATO member states in Eastern Europe to the levels they were 16 years ago when the agreement was negotiated.

The scrapped deal committed both countries to disposing of at least 34 tonnes of weapons-grade plutonium, enough to make almost 17,000 nuclear weapons.

Il cherche la provocation?
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Message  Matt Lun 31 Oct - 18:23

Oui; si l'on croit ce sondage:

La moitié des Russes craignent une Troisième guerre mondiale

Près de la moitié des Russes craignent que les tensions entre la Russie et l'Occident autour du conflit syrien ne provoquent une Troisième guerre mondiale, selon un sondage du centre indépendant Levada publié lundi.

Et en Russie ! - Page 19 2432947
Sukhoi Su-25 Frogfoot russes, dans le ciel russe. en août 2015 © Reuters

Selon ce sondage réalisé la semaine dernière dans 48 régions, 48% des Russes ont déclaré redouter que "l'aggravation actuelle des tensions entre la Russie et l'Occident dégénère en une Troisième guerre mondiale".

En juillet, 29% seulement des personnes interrogées redoutaient un conflit global.
Quelque 52% des Russes disent soutenir les frappes aériennes russes en Syrie, même si 32% estiment qu'elles ont affecté de manière négative l'image de la Russie sur la scène internationale.

Seulement 26% des personnes interrogées ont exprimé un sentiment négatif concernant ces frappes aériennes.

La Russie fait intervenir son aviation depuis le 30 septembre 2015 sur le territoire syrien pour soutenir son allié, le président Bachar Al-Assad, affirmant ne frapper que des "cibles terroristes", notamment celles du groupe Etat islamique. Mais les Occidentaux accusent les Russes de frapper les opposants au régime syrien et des infrastructures civiles, notamment à Alep, ravagée par des bombardements.


Interrogés pour savoir si la Russie doit "continuer d'intervenir dans ce qui se passe en Syrie", 49% ont répondu "oui", contre 28% de "non".


Depuis son déclenchement en 2011, le conflit en Syrie a fait plus de 300.000 morts et provoqué le déplacement de plus de la moitié de la population.

Pas à dire, c'est "encourageant" . . .  Embarassed

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