L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
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L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
Le Président de la Commission européenne José Manuel Barroso a débuté
aujourd'hui sa visite officielle en Ukraine. Lors de la rencontre entre le
Président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, et le dirigeant
ukrainien Viktor Yanukovych, les deux parties ont noté une progression
significative des négociations en cours entre l'Ukraine et l'UE. Les deux
dirigeants considèrent 2011 comme une année décisive qui parviendra à définir
une vision stratégique pour les relations entre l'Ukraine et l'UE dans les
années à venir.
"Je souhaite réaffirmer notre volonté politique de finaliser les
négociations sur l'Accord d'association avec l'UE. Avec M. Barroso, nous
avons eu aujourd'hui une discussion très productive à ce sujet", a déclaré
Viktor Yanukovych lors de la conférence de presse d'aujourd'hui. "Si nous
maintenons la dynamique actuelle des négociations, nous serons en mesure
d'approuver une version conjointe du document avant le prochain sommet entre
l'UE et l'Ukraine en décembre."
À son tour, le Président de la Commission européenne a déclaré : "L'année
2011 sera une année décisive entre l'Ukraine et l'UE. Nous avons beaucoup à
faire." Le Président de la Commission européenne a également fait savoir
qu'il espérait que les discussions sur l'Accord d'association se terminent
d'ici à la fin de l'année 2011.
Cette rencontre avec ce haut responsable de l'UE a aussi confirmé une
nouvelle fois que l'intégration européenne constitue la principale priorité
de la politique étrangère ukrainienne. Lorsqu'on les a interrogés sur la
relation de l'Ukraine avec l'Union douanière entre la Russie, la Biélorussie
et le Kazakhstan, les deux dirigeants ont présenté une opinion commune :
l'Ukraine ne deviendra pas membre de l'Union douanière, mais approfondira ses
relations avec ses voisins de l'Est n'affectant pas ses plans d'intégration à
l'UE.
La dernière série de discussions entre l'Ukraine et l'UE sur l'Accord
d'association a eu lieu du 4 au 8 avril 2011. Au total, l'Ukraine et l'UE ont
tenu 18 séries de discussions depuis le 5 mars 2007. L'Accord consiste
principalement en l'introduction d'une zone de libre-échange entre l'Ukraine
et l'UE. Il stipulera différents aspects de coopération économique et
scientifique entre l'UE et l'Ukraine, en plus de promouvoir et de favoriser
leur collaboration politique à venir.
Donc, il faut encore patienter . . .
Le Président de la Commission européenne José Manuel Barroso a débuté
aujourd'hui sa visite officielle en Ukraine. Lors de la rencontre entre le
Président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, et le dirigeant
ukrainien Viktor Yanukovych, les deux parties ont noté une progression
significative des négociations en cours entre l'Ukraine et l'UE. Les deux
dirigeants considèrent 2011 comme une année décisive qui parviendra à définir
une vision stratégique pour les relations entre l'Ukraine et l'UE dans les
années à venir.
"Je souhaite réaffirmer notre volonté politique de finaliser les
négociations sur l'Accord d'association avec l'UE. Avec M. Barroso, nous
avons eu aujourd'hui une discussion très productive à ce sujet", a déclaré
Viktor Yanukovych lors de la conférence de presse d'aujourd'hui. "Si nous
maintenons la dynamique actuelle des négociations, nous serons en mesure
d'approuver une version conjointe du document avant le prochain sommet entre
l'UE et l'Ukraine en décembre."
À son tour, le Président de la Commission européenne a déclaré : "L'année
2011 sera une année décisive entre l'Ukraine et l'UE. Nous avons beaucoup à
faire." Le Président de la Commission européenne a également fait savoir
qu'il espérait que les discussions sur l'Accord d'association se terminent
d'ici à la fin de l'année 2011.
Cette rencontre avec ce haut responsable de l'UE a aussi confirmé une
nouvelle fois que l'intégration européenne constitue la principale priorité
de la politique étrangère ukrainienne. Lorsqu'on les a interrogés sur la
relation de l'Ukraine avec l'Union douanière entre la Russie, la Biélorussie
et le Kazakhstan, les deux dirigeants ont présenté une opinion commune :
l'Ukraine ne deviendra pas membre de l'Union douanière, mais approfondira ses
relations avec ses voisins de l'Est n'affectant pas ses plans d'intégration à
l'UE.
La dernière série de discussions entre l'Ukraine et l'UE sur l'Accord
d'association a eu lieu du 4 au 8 avril 2011. Au total, l'Ukraine et l'UE ont
tenu 18 séries de discussions depuis le 5 mars 2007. L'Accord consiste
principalement en l'introduction d'une zone de libre-échange entre l'Ukraine
et l'UE. Il stipulera différents aspects de coopération économique et
scientifique entre l'UE et l'Ukraine, en plus de promouvoir et de favoriser
leur collaboration politique à venir.
Donc, il faut encore patienter . . .
Re: L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
L'Ukraine prête au compromis sur la zone de libre-échange avec l'UE
L'Ukraine a indiqué qu'elle était prête au compromis avec l'Union
Européenne sur la zone de libre-échange, qui constitue le principal
problème des discussions actuelles sur l'Association, selon le Premier
ministre ukrainien Mykola Azarov suite à sa réunion avec le Président de
la Commission européenne José Manuel Barroso.
La progression des discussions sur l'Association ces derniers mois a été
remarquée. Selon le Premier ministre ukrainien, 90% des dispositions de
l'accord de libre-échange ont déjà été acceptées. Les questions
essentielles pour l'Ukraine dans la zone de libre-échange sont la
production agricole et le transport routier.
Comme l'ont résumé les deux parties, la finalisation de l'Accord
d'association pour la fin de l'année 2011 reste réaliste.
<< Nous sommes près de conclure les discussions sur
l'Association. Je suis convaincu que la signature de l'Accord
d'association, qui comprend la zone d'échange libre, sera mutuellement
bénéfique et représentera un grand pas en avant pour l'Ukraine. Cela lui
permettra d'accéder à un marché de 500 millions de personnes, ce qui
représente de nombreuses opportunités nouvelles pour ce pays. De plus,
l'intégration européenne de l'Ukraine contribuera à sa modernisation.
Cela augmentera également l'attractivité du pays pour les
investissements étrangers >>, a déclaré José Manuel Barroso.
L'Ukraine pourrait également avoir besoin d'une période de
transition et de mécanismes de compensation pour les producteurs locaux
dans les secteurs prioritaires. De telles dispositions ont déjà été
prises par l'UE dans le partenariat euro-méditerranéen existant, qui
comprend des accords d'association entre l'Union européenne et neuf pays
méditerranéens (Syrie, Tunisie, Israël, Maroc, Jordanie, Égypte,
Algérie, Liban et l'Autorité palestinienne). Les dispositions de ces
accords comprennent une période de transition compatible avec l'OMC et
pouvant durer jusqu'à 12 ans selon les pays et les secteurs.
La dernière série de discussions entre l'Ukraine et l'UE sur
l'Accord d'association a eu lieu du 4 au 8 avril 2011. Au total,
l'Ukraine et l'UE ont organisé 18 séances de discussions depuis le 5
mars 2007. L'essence de cet Accord est l'introduction d'une zone de
libre-échange entre l'Ukraine et l'UE. L'Accord définira différents
aspects de coopération économique et scientifique entre l'UE et
l'Ukraine ; il promouvra et améliorera également leur collaboration
politique à l'avenir.
Finaliser, mais mettre en application?
L'Ukraine a indiqué qu'elle était prête au compromis avec l'Union
Européenne sur la zone de libre-échange, qui constitue le principal
problème des discussions actuelles sur l'Association, selon le Premier
ministre ukrainien Mykola Azarov suite à sa réunion avec le Président de
la Commission européenne José Manuel Barroso.
La progression des discussions sur l'Association ces derniers mois a été
remarquée. Selon le Premier ministre ukrainien, 90% des dispositions de
l'accord de libre-échange ont déjà été acceptées. Les questions
essentielles pour l'Ukraine dans la zone de libre-échange sont la
production agricole et le transport routier.
Comme l'ont résumé les deux parties, la finalisation de l'Accord
d'association pour la fin de l'année 2011 reste réaliste.
<< Nous sommes près de conclure les discussions sur
l'Association. Je suis convaincu que la signature de l'Accord
d'association, qui comprend la zone d'échange libre, sera mutuellement
bénéfique et représentera un grand pas en avant pour l'Ukraine. Cela lui
permettra d'accéder à un marché de 500 millions de personnes, ce qui
représente de nombreuses opportunités nouvelles pour ce pays. De plus,
l'intégration européenne de l'Ukraine contribuera à sa modernisation.
Cela augmentera également l'attractivité du pays pour les
investissements étrangers >>, a déclaré José Manuel Barroso.
L'Ukraine pourrait également avoir besoin d'une période de
transition et de mécanismes de compensation pour les producteurs locaux
dans les secteurs prioritaires. De telles dispositions ont déjà été
prises par l'UE dans le partenariat euro-méditerranéen existant, qui
comprend des accords d'association entre l'Union européenne et neuf pays
méditerranéens (Syrie, Tunisie, Israël, Maroc, Jordanie, Égypte,
Algérie, Liban et l'Autorité palestinienne). Les dispositions de ces
accords comprennent une période de transition compatible avec l'OMC et
pouvant durer jusqu'à 12 ans selon les pays et les secteurs.
La dernière série de discussions entre l'Ukraine et l'UE sur
l'Accord d'association a eu lieu du 4 au 8 avril 2011. Au total,
l'Ukraine et l'UE ont organisé 18 séances de discussions depuis le 5
mars 2007. L'essence de cet Accord est l'introduction d'une zone de
libre-échange entre l'Ukraine et l'UE. L'Accord définira différents
aspects de coopération économique et scientifique entre l'UE et
l'Ukraine ; il promouvra et améliorera également leur collaboration
politique à l'avenir.
Finaliser, mais mettre en application?
La Commission européenne est satisfaite de la progression des discussions sur la Zone de libre échange avec l'Ukraine
La Commission européenne est satisfaite de la progression des discussions sur la Zone de libre échange avec l'Ukraine
KYIV, Ukraine, May 17, 2011 /PRNewswire/ -- << Nous ne nous contentons pas de discuter de la possibilité de faire un
sérieux pas en avant et de signer un accord d'association, de créer une zone
de libre échange : nous y travaillons activement >>, a déclaré Stefan Fuele,
le Commissaire européen pour l'Élargissement et la Politique européenne de
voisinage, résumant la réunion avec Vasyl Dzharty, Premier ministre de la
République autonome de Crimée, Ukraine.
Le commentaire du Commissaire européen a été accompagné d'une promesse de
12 millions d'euros pour soutenir le projet conjoint de coopération en Crimée
pendant les trois jours de visite officielle du Premier ministre criméen à
Londres et à Bruxelles.
La dernière session de discussions Ukraine-UE sur la mise en place d'une
zone de libre échange entre l'Ukraine et l'UE a eu lieu du 4 au 8 avril 2011.
La zone de libre échange est au coeur de l'Accord d'association qui définit
différents aspects de coopération économique et scientifique entre l'UE et
l'Ukraine, et vise à promouvoir et à améliorer leur coopération politique à
l'avenir. L'Ukraine et l'UE ont entamé une série de négociations concernant
cet accord de libre échange profond et complet depuis le 18 février 2008.
Il y a moins d'un mois, l'Ukraine a exprimé sa volonté de trouver un
compromis avec l'Union européenne sur la zone de libre échange. Les
principales préoccupations de l'Ukraine par rapport à la zone de libre
échange concernent la production agricole et le transport automobile. Malgré
le fait qu'à la signature de l'Accord, l'Ukraine aura accès à un marché
lucratif d'environ 500 millions de personnes, une période de transition et
des mécanismes de transition pourraient être nécessaires pour les producteurs
locaux dans les secteurs prioritaires. De telles dispositions ont déjà été
inscrites par l'UE dans le partenariat euro-méditerranéen existant et
comprennent la période de transition compatible avec l'OMC allant jusqu'à 12
ans selon les pays et les secteurs.
Pendant les dernières négociations de haut niveau entre l'UE et
l'Ukraine, cette dernière a clairement démontré son intention de ne pas
devenir membre de l'Union douanière, mais d'approfondir ses relations avec
ses voisins de l'Est sans affecter les plans d'intégration de l'UE.
Prenant en compte le fait qu'un accord a déjà été obtenu sur plus de 90 %
des dispositions de l'accord de libre échange, les deux parties sont
convaincues que la signature de cet accord aura lieu avant fin 2011.
Serait temps d'arriver à cet accord.
KYIV, Ukraine, May 17, 2011 /PRNewswire/ -- << Nous ne nous contentons pas de discuter de la possibilité de faire un
sérieux pas en avant et de signer un accord d'association, de créer une zone
de libre échange : nous y travaillons activement >>, a déclaré Stefan Fuele,
le Commissaire européen pour l'Élargissement et la Politique européenne de
voisinage, résumant la réunion avec Vasyl Dzharty, Premier ministre de la
République autonome de Crimée, Ukraine.
Le commentaire du Commissaire européen a été accompagné d'une promesse de
12 millions d'euros pour soutenir le projet conjoint de coopération en Crimée
pendant les trois jours de visite officielle du Premier ministre criméen à
Londres et à Bruxelles.
La dernière session de discussions Ukraine-UE sur la mise en place d'une
zone de libre échange entre l'Ukraine et l'UE a eu lieu du 4 au 8 avril 2011.
La zone de libre échange est au coeur de l'Accord d'association qui définit
différents aspects de coopération économique et scientifique entre l'UE et
l'Ukraine, et vise à promouvoir et à améliorer leur coopération politique à
l'avenir. L'Ukraine et l'UE ont entamé une série de négociations concernant
cet accord de libre échange profond et complet depuis le 18 février 2008.
Il y a moins d'un mois, l'Ukraine a exprimé sa volonté de trouver un
compromis avec l'Union européenne sur la zone de libre échange. Les
principales préoccupations de l'Ukraine par rapport à la zone de libre
échange concernent la production agricole et le transport automobile. Malgré
le fait qu'à la signature de l'Accord, l'Ukraine aura accès à un marché
lucratif d'environ 500 millions de personnes, une période de transition et
des mécanismes de transition pourraient être nécessaires pour les producteurs
locaux dans les secteurs prioritaires. De telles dispositions ont déjà été
inscrites par l'UE dans le partenariat euro-méditerranéen existant et
comprennent la période de transition compatible avec l'OMC allant jusqu'à 12
ans selon les pays et les secteurs.
Pendant les dernières négociations de haut niveau entre l'UE et
l'Ukraine, cette dernière a clairement démontré son intention de ne pas
devenir membre de l'Union douanière, mais d'approfondir ses relations avec
ses voisins de l'Est sans affecter les plans d'intégration de l'UE.
Prenant en compte le fait qu'un accord a déjà été obtenu sur plus de 90 %
des dispositions de l'accord de libre échange, les deux parties sont
convaincues que la signature de cet accord aura lieu avant fin 2011.
Serait temps d'arriver à cet accord.
L'Ukraine confirme à nouveau que son intégration au sein de l'UE constitue sa première priorité
L'Ukraine confirme à nouveau que son intégration au sein de l'UE constitue sa première priorité
Dimanche 22 Mai 2011 à 15:30
KIEV, Ukraine, May 22, 2011 /PRNewswire/ --
L'intégration européenne demeurera la première priorité dans l'agenda de politique extérieure du pays. Cette priorité a en effet été adoptée par le Parlement ukrainien parmi ses recommandations de politique extérieure concernant la création d'une zone de libre-échange avec l'UE et d'une union douanière avec la Russie.
Comme l'indiquent ces recommandations, l'intégration européenne est définie comme l'une des premières priorités en matière de politique extérieure. Le principal objectif à court terme, d'après ce document, est la signature de l'Accord de libre-échange, qui fait partie intégrante de l'Accord d'association entre l'Ukraine et l'Union européenne. Simultanément, l'Ukraine développera des relations commerciales et économiques avec tous les autres États étrangers sur la base d'intérêts mutuels et conformément aux principes clés de la politique extérieure ukrainienne.
Par ailleurs, ce document recommande au Parlement de renforcer l'activité visant à rendre la législation ukrainienne conforme à la législation respective de l'Union européenne, ainsi qu'aux principes clés de l'Organisation mondiale du commerce, dont l'Ukraine est membre depuis 2009. Par la même occasion, le Parlement devra adopter des mesures législatives permettant le rejet de toute norme n'étant pas conforme aux lois européennes.
Les exemples des derniers succès des relations entre l'UE et l'Ukraine incluent notamment l'adoption d'un plan d'action sur le Régime sans visa en novembre 2010, s'ajoutant aux progrès significatifs des pourparlers sur l'Accord d'association. Au cours des derniers entretiens du Président de la Commission européenne Jose Manuel Barroso avec le Président ukrainien Viktor Yanukovych et le Premier ministre Mykola Azarov, il a été noté que 90 % des positions dans l'Accord de libre-échange avaient été convenus. Par conséquent, les deux parties prévoient de signer l'Accord d'association d'ici à la fin de l'année 2011.
Comme l'a indiqué dans sa déclaration la plus récente Raisa Bohatyriova, la Secrétaire du Conseil ukrainien de sécurité et de défense nationales, l'Ukraine prévoit de signer l'Accord d'association avec l'Union européenne en décembre prochain. Cette déclaration a été faite suite à son entretien avec son homologue polonais Sanislav Kozey. Il convient de noter que la Pologne prendra en charge la présidence de l'Union européenne durant le second semestre de l'année en cours.
Oui, be les visas, c'est pas encore gagné . . .
Dimanche 22 Mai 2011 à 15:30
KIEV, Ukraine, May 22, 2011 /PRNewswire/ --
L'intégration européenne demeurera la première priorité dans l'agenda de politique extérieure du pays. Cette priorité a en effet été adoptée par le Parlement ukrainien parmi ses recommandations de politique extérieure concernant la création d'une zone de libre-échange avec l'UE et d'une union douanière avec la Russie.
Comme l'indiquent ces recommandations, l'intégration européenne est définie comme l'une des premières priorités en matière de politique extérieure. Le principal objectif à court terme, d'après ce document, est la signature de l'Accord de libre-échange, qui fait partie intégrante de l'Accord d'association entre l'Ukraine et l'Union européenne. Simultanément, l'Ukraine développera des relations commerciales et économiques avec tous les autres États étrangers sur la base d'intérêts mutuels et conformément aux principes clés de la politique extérieure ukrainienne.
Par ailleurs, ce document recommande au Parlement de renforcer l'activité visant à rendre la législation ukrainienne conforme à la législation respective de l'Union européenne, ainsi qu'aux principes clés de l'Organisation mondiale du commerce, dont l'Ukraine est membre depuis 2009. Par la même occasion, le Parlement devra adopter des mesures législatives permettant le rejet de toute norme n'étant pas conforme aux lois européennes.
Les exemples des derniers succès des relations entre l'UE et l'Ukraine incluent notamment l'adoption d'un plan d'action sur le Régime sans visa en novembre 2010, s'ajoutant aux progrès significatifs des pourparlers sur l'Accord d'association. Au cours des derniers entretiens du Président de la Commission européenne Jose Manuel Barroso avec le Président ukrainien Viktor Yanukovych et le Premier ministre Mykola Azarov, il a été noté que 90 % des positions dans l'Accord de libre-échange avaient été convenus. Par conséquent, les deux parties prévoient de signer l'Accord d'association d'ici à la fin de l'année 2011.
Comme l'a indiqué dans sa déclaration la plus récente Raisa Bohatyriova, la Secrétaire du Conseil ukrainien de sécurité et de défense nationales, l'Ukraine prévoit de signer l'Accord d'association avec l'Union européenne en décembre prochain. Cette déclaration a été faite suite à son entretien avec son homologue polonais Sanislav Kozey. Il convient de noter que la Pologne prendra en charge la présidence de l'Union européenne durant le second semestre de l'année en cours.
Oui, be les visas, c'est pas encore gagné . . .
Le gouvernement ukrainien approuve le plan d'intégration avec l'UE
Le gouvernement ukrainien approuve le plan d'intégration avec l'UE
Le gouvernement ukrainien a approuvé une série de mesures pour promouvoir l'intégration avec l'Union européenne (UE), a annoncé lundi le service de presse du gouvernement ukrainien dans un communiqué.
Le document vise à approfondir la coopération entre l'Ukraine et l'UE à travers des moyens de la mise en œuvre des réformes. L'objectif principal de ces changements est de créer une zone de libre-échange avec l'Union européenne et de recevoir une assistance financière de l'Europe.
Le gouvernement souhaite que l'adoption du plan va assurer l'introduction des réformes sociales et économiques au niveau national et créer une base pour la mise en oeuvre de l'accord de l'association entre l'Ukraine et l'UE à l'avenir.
Fin juin, le président ukrainien Viktor Yanoukovich avait annoncé que l'accélération de l'adhésion de l'Ukraine à l'UE était une question prioritaire pour Kiev.
Voilà Caduce, les choses avancent . . . doucement, bien sûr.
Le gouvernement ukrainien a approuvé une série de mesures pour promouvoir l'intégration avec l'Union européenne (UE), a annoncé lundi le service de presse du gouvernement ukrainien dans un communiqué.
Le document vise à approfondir la coopération entre l'Ukraine et l'UE à travers des moyens de la mise en œuvre des réformes. L'objectif principal de ces changements est de créer une zone de libre-échange avec l'Union européenne et de recevoir une assistance financière de l'Europe.
Le gouvernement souhaite que l'adoption du plan va assurer l'introduction des réformes sociales et économiques au niveau national et créer une base pour la mise en oeuvre de l'accord de l'association entre l'Ukraine et l'UE à l'avenir.
Fin juin, le président ukrainien Viktor Yanoukovich avait annoncé que l'accélération de l'adhésion de l'Ukraine à l'UE était une question prioritaire pour Kiev.
Voilà Caduce, les choses avancent . . . doucement, bien sûr.
Re: L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
Matt a écrit:Le gouvernement ukrainien approuve le plan d'intégration avec l'UE
Fin juin, le président ukrainien Viktor Yanoukovich avait annoncé que l'accélération de l'adhésion de l'Ukraine à l'UE était une question prioritaire pour Kiev.
Voilà Caduce, les choses avancent . . . doucement, bien sûr.
Oui mais il y a souvent une différence entre les échanges économiques de marchandises et les visas des personnes
Caduce62- Messages : 15238
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
Re: L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
Je ne le sais que trop bien
Re: L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
Le Commissaire européen : l’Accord d'’Association sera bénéfique pour l’Ukraine
Le Commissaire européen pour l’Élargissement etla Politiqueeuropéenne de Voisinage, ŠtefanFüle, a indiqué quels seraient les trois principaux avantages pour l’Ukraine si le pays signait l’Accord d’Association avec l’UE : des réformes fondamentales, le développement économique et l’amélioration des services publics. Cette déclaration a été rendue publique lors de la réunion du Club parlementaire Ukraine-UE qui a débuté le 5 juillet à Strasbourg, en France.
« Premièrement, elle (la signature de l’Accord d’Association) mettra l’Ukraine sur le chemin des réformes conformément à la législation européenne. Deuxièmement, elle créera de nouvelles possibilités pour le développement économique et l’investissement, et, troisièmement, elle contribuera à réaliser les ambitions très importantes partagées par les Ukrainiens concernant la mobilité et la modernisation des services publics » a déclaré Štefan Füle durant la réunion du Club parlementaire Ukraine - UE.
Pendant la réunion, le commissaire européen Štefan Füle et le Ministre des Affaires étrangères de l’Ukraine Kostyantyn Hryshchenko, actuellement Président du Comité des Ministres du Conseil de l’Europe, ont également parlé de l’importance de la coopération interparlementaire pour la mise en place des réformes mentionnées en Ukraine. « Nous espérons que le Parlement européen sera l’union de tous les amis de l’Ukraine », a noté Hryshchenko.
Le Club parlementaire Ukraine - UE a été créé en mai 2011 suite à l’initiative des membres du Parlement européen Aleksandr Mirskis, Lettonie, et Boguslaw Liberadski, Pologne. Le Club est composé de 35 membres du Parlement européen et de 33 membres du Verkhovna Rada, l’organe parlementaire ukrainien. Il faut noter que les parlementaires ukrainiens représentés sont à la fois des membres du parti au pouvoir et de l’opposition.
Les négociations au sujet de l’Accord d’Association -– un instrument de la politique européenne de Voisinage -– entre l’UE et l’Ukraine ont débuté en 2007, et les négociations sur l’Accord de Zone de libre-échange ont suivi au début de 2008. L’UE et l’Ukraine ont affirmé à plusieurs reprises leur intention de finaliser l’Accord de libre-échange avant la fin 2011.
La politique européenne de voisinage de l’Union européenne a pour objectif est d’éviter l’émergence de nouvelles lignes de division entre l’UE et ses voisins. Elle a été établie en 2004 pour renforcer la stabilité, encourager la sécurité et stimuler la prospérité dans les 16 pays voisins les plus proches : Algérie, Arménie, Azerbaïdjan, Belarus, Égypte, Georgie, Israël, Jordanie, Liban, Libye, Moldavie, Maroc, Territoires palestiniens occupés, Syrie, Tunisie et Ukraine.
C'est en route pour être finalisé.
Le Commissaire européen pour l’Élargissement etla Politiqueeuropéenne de Voisinage, ŠtefanFüle, a indiqué quels seraient les trois principaux avantages pour l’Ukraine si le pays signait l’Accord d’Association avec l’UE : des réformes fondamentales, le développement économique et l’amélioration des services publics. Cette déclaration a été rendue publique lors de la réunion du Club parlementaire Ukraine-UE qui a débuté le 5 juillet à Strasbourg, en France.
« Premièrement, elle (la signature de l’Accord d’Association) mettra l’Ukraine sur le chemin des réformes conformément à la législation européenne. Deuxièmement, elle créera de nouvelles possibilités pour le développement économique et l’investissement, et, troisièmement, elle contribuera à réaliser les ambitions très importantes partagées par les Ukrainiens concernant la mobilité et la modernisation des services publics » a déclaré Štefan Füle durant la réunion du Club parlementaire Ukraine - UE.
Pendant la réunion, le commissaire européen Štefan Füle et le Ministre des Affaires étrangères de l’Ukraine Kostyantyn Hryshchenko, actuellement Président du Comité des Ministres du Conseil de l’Europe, ont également parlé de l’importance de la coopération interparlementaire pour la mise en place des réformes mentionnées en Ukraine. « Nous espérons que le Parlement européen sera l’union de tous les amis de l’Ukraine », a noté Hryshchenko.
Le Club parlementaire Ukraine - UE a été créé en mai 2011 suite à l’initiative des membres du Parlement européen Aleksandr Mirskis, Lettonie, et Boguslaw Liberadski, Pologne. Le Club est composé de 35 membres du Parlement européen et de 33 membres du Verkhovna Rada, l’organe parlementaire ukrainien. Il faut noter que les parlementaires ukrainiens représentés sont à la fois des membres du parti au pouvoir et de l’opposition.
Les négociations au sujet de l’Accord d’Association -– un instrument de la politique européenne de Voisinage -– entre l’UE et l’Ukraine ont débuté en 2007, et les négociations sur l’Accord de Zone de libre-échange ont suivi au début de 2008. L’UE et l’Ukraine ont affirmé à plusieurs reprises leur intention de finaliser l’Accord de libre-échange avant la fin 2011.
La politique européenne de voisinage de l’Union européenne a pour objectif est d’éviter l’émergence de nouvelles lignes de division entre l’UE et ses voisins. Elle a été établie en 2004 pour renforcer la stabilité, encourager la sécurité et stimuler la prospérité dans les 16 pays voisins les plus proches : Algérie, Arménie, Azerbaïdjan, Belarus, Égypte, Georgie, Israël, Jordanie, Liban, Libye, Moldavie, Maroc, Territoires palestiniens occupés, Syrie, Tunisie et Ukraine.
C'est en route pour être finalisé.
Re: L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
UE : l'Ukraine veut un accord de libre-échange
Le chef de la diplomatie ukrainienne, Konstantin Grichtchenko, espère que Kiev pourra signer un accord de libre-échange avec l'Union européenne lors du prochain sommet bilatéral en décembre, dans le Financial Times Deutschland de mardi. "Je vois une possibilité pour que l'accord soit signé lors du sommet UE-Ukraine en décembre", affirme le ministre ukrainien des Affaires étrangères dans un entretien au quotidien économique.
L'Ukraine est actuellement tiraillée entre les tentatives russes de l'attirer dans une union douanière avec le Bélarus et le Kazakhstan et un accord d'association et de libre-échange avec l'UE, qui a les faveurs du président Viktor Ianoukovitch. La Pologne, qui a pris le 1er juillet la présidence tournante de l'UE, a d'ailleurs fait de la conclusion de cet accord avec son voisin une de ses priorités absolues.
C'est bien d'en avoir la volonté, mais il faut concrétiser . . .
Le chef de la diplomatie ukrainienne, Konstantin Grichtchenko, espère que Kiev pourra signer un accord de libre-échange avec l'Union européenne lors du prochain sommet bilatéral en décembre, dans le Financial Times Deutschland de mardi. "Je vois une possibilité pour que l'accord soit signé lors du sommet UE-Ukraine en décembre", affirme le ministre ukrainien des Affaires étrangères dans un entretien au quotidien économique.
L'Ukraine est actuellement tiraillée entre les tentatives russes de l'attirer dans une union douanière avec le Bélarus et le Kazakhstan et un accord d'association et de libre-échange avec l'UE, qui a les faveurs du président Viktor Ianoukovitch. La Pologne, qui a pris le 1er juillet la présidence tournante de l'UE, a d'ailleurs fait de la conclusion de cet accord avec son voisin une de ses priorités absolues.
C'est bien d'en avoir la volonté, mais il faut concrétiser . . .
L'Ukraine dans l'UE d'ici 10 ans
L'Ukraine dans l'UE d'ici 10 ans (président)
AFP Publié le 19/08/2011 à 18:28
Le président ukrainien Viktor Ianoukovitch, dont les relations avec l'Union européenne sont tendues, a assuré que son pays allait rejoindre l'UE "dans une dizaine d'années", évoquant pour la première fois un délai pour cet objectif dans un article publié aujourd'hui.
"Dans une dizaine d'années, l'Ukraine fera partie de l'Union européenne (...), j'en suis certain", a-t-il déclaré dans cet article destiné à l'influent journal en ligne Dzerkalo Tyjnia qui en a publié des extraits.
C'est la première fois que Ianoukovitch, considéré comme plutôt pro-russe, évoque un délai précis concernant l'ambition de son pays de devenir membre de l'UE.
"Nous sommes clairement déterminés quant à notre avenir. Notre choix européen est devenu la base de la politique extérieure ukrainienne", a-t-il assuré. "Nous voulons participer (...) à la construction d'une Europe unie en nous basant sur des valeurs comme la liberté, la démocratie et le droit", a-t-il ajouté.
Cette ex-république soviétique située entre l'UE et la Russie aspire depuis des années à entrer dans cette organisation, mais cette idée est loin de faire l'unanimité parmi les Vingt-Sept qui refusent même de mentionner la possibilité d'une adhésion de Kiev dans les accords de coopération avec ce pays.
Les relations entre Viktor Ianoukovitch et Bruxelles se sont tendues après l'incarcération de l'opposante Ioulia Timochenko, ex-Premier ministre jugée pour abus de pouvoir. Son placement en détention début août a été vertement critiqué par l'Occident.
Vendredi, l'UE a laissé entendre que l'affaire Timochenko entravait les négociations sur un accord d'association avec l'Ukraine, qui devaient normalement être bouclées d'ici la fin de l'année.
"Nous voulons continuer les négociations avec l'Ukraine", a déclaré Michael Mann, le porte-parole de Catherine Ashton, chef de la diplomatie de l'UE. "Mais les développements sur le terrain ne sont pas très positifs".
Ben il intérêt à s'occuper d'un certain procès politique en cours en ce moment en Ukraine.
AFP Publié le 19/08/2011 à 18:28
Le président ukrainien Viktor Ianoukovitch, dont les relations avec l'Union européenne sont tendues, a assuré que son pays allait rejoindre l'UE "dans une dizaine d'années", évoquant pour la première fois un délai pour cet objectif dans un article publié aujourd'hui.
"Dans une dizaine d'années, l'Ukraine fera partie de l'Union européenne (...), j'en suis certain", a-t-il déclaré dans cet article destiné à l'influent journal en ligne Dzerkalo Tyjnia qui en a publié des extraits.
C'est la première fois que Ianoukovitch, considéré comme plutôt pro-russe, évoque un délai précis concernant l'ambition de son pays de devenir membre de l'UE.
"Nous sommes clairement déterminés quant à notre avenir. Notre choix européen est devenu la base de la politique extérieure ukrainienne", a-t-il assuré. "Nous voulons participer (...) à la construction d'une Europe unie en nous basant sur des valeurs comme la liberté, la démocratie et le droit", a-t-il ajouté.
Cette ex-république soviétique située entre l'UE et la Russie aspire depuis des années à entrer dans cette organisation, mais cette idée est loin de faire l'unanimité parmi les Vingt-Sept qui refusent même de mentionner la possibilité d'une adhésion de Kiev dans les accords de coopération avec ce pays.
Les relations entre Viktor Ianoukovitch et Bruxelles se sont tendues après l'incarcération de l'opposante Ioulia Timochenko, ex-Premier ministre jugée pour abus de pouvoir. Son placement en détention début août a été vertement critiqué par l'Occident.
Vendredi, l'UE a laissé entendre que l'affaire Timochenko entravait les négociations sur un accord d'association avec l'Ukraine, qui devaient normalement être bouclées d'ici la fin de l'année.
"Nous voulons continuer les négociations avec l'Ukraine", a déclaré Michael Mann, le porte-parole de Catherine Ashton, chef de la diplomatie de l'UE. "Mais les développements sur le terrain ne sont pas très positifs".
Ben il intérêt à s'occuper d'un certain procès politique en cours en ce moment en Ukraine.
Re: L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
Il en est certain ?
Je présume donc qu'il est également sûr de ne plus occuper de fonction dirigeante dans dix ans.
C'est sans doute la meilleure garantie de voir l'Ukraine devenir membre de l'UE.
Je présume donc qu'il est également sûr de ne plus occuper de fonction dirigeante dans dix ans.
C'est sans doute la meilleure garantie de voir l'Ukraine devenir membre de l'UE.
Thuramir- Messages : 3677
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
Perso, lui ou un(e) autre, c'est pareil au même. Y en a pas un qui pense à l'Ukraine, seule leur poche compte.
Le jour où il y en aura un qui pensera à l'Ukraine et sa population . . . l'Ukraine sera sauvée.
En attendant . . . les poches se remplissent allègrement.
Le jour où il y en aura un qui pensera à l'Ukraine et sa population . . . l'Ukraine sera sauvée.
En attendant . . . les poches se remplissent allègrement.
Selon le Président ukrainien, les Ukrainiens ont besoin de davantage de contact humain et de coopération économique avec l'UE
Selon le Président ukrainien, les Ukrainiens ont besoin de davantage de contact humain et de coopération économique avec l'UE
Le Président ukrainien Viktor Yanukovych a déclaré qu'aussi bien l'Ukraine que l'UE avaient besoin d'élargir le dialogue humain à l'échelle du citoyen et de développer une coopération économique plus efficace. Cette déclaration a été rendue publique durant le discours officiel du Président devant les communautés ukrainienne et internationale, à la veille de la 20èmeJournée de l'indépendance ukrainienne. Le Président a nommé le modèle comme formant la base de la politique étrangère ukrainienne et des valeurs européennes - le fondement du développement à venir du pays.
Le dirigeant ukrainien a noté que l'expansion du contact humain entre les peuples ukrainien et européen était essentielle pour les Ukrainiens. Le championnat de football EURO 2012 devrait donner aux Européens une chance de découvrir l'Ukraine et aux Ukrainiens l'opportunité de communiquer avec des touristes et des amateurs de football venant des quatre coins de l'UE.
La promotion du dialogue humain entre l'Ukraine et l'UE a débuté en 2006 avec l'ouverture du dialogue sur la libéralisation des visas. Le Plan d'action vers la libéralisation des visas pour l'Ukraine visant à établir un régime sans visa pour les voyages à court terme a été adopté à la fin de l'année 2010.
De plus, le Président Yanukovych a souligné l'importance de la coopération économique avec l'UE. Il est confiant que l'UE et l'Ukraine bénéficieront toutes deux des Accords d'association et de libre-échange.
Au cours des dix dernières années, l'Union européenne est devenue le plus important partenaire commercial de l'Ukraine. La valeur estimée des biens importés par l'Ukraine de l'UE s'élevait en 2010 à plus de 17 milliards de dollars américains, tandis que la valeur des biens exportés par l'Ukraine en UE totalisait 11 milliards de dollars américains. Par ailleurs, 75 % de la totalité des investissements directs étrangers vers l'Ukraine proviennent des pays de l'UE. L'Accord sur la zone de libre-échange prévu entre l'UE et l'Ukraine renforcera davantage cette coopération.
Cet Accord de libre-échange s'inscrit dans le cadre de l'Accord d'association entre l'UE et l'Ukraine. L'association est un instrument de la Politique européenne de voisinage - une politique étrangère de l'Union européenne dont l'objectif est d'éviter l'émergence de nouvelles lignes de division entre l'UE et ses voisins. Cette Politique a été établie en 2004 pour renforcer la stabilité, soutenir la sécurité et stimuler la prospérité dans les 16 pays voisins les plus proches.
Entre ses envies; le procès et les réactions Européennes et enfin la réalité, il y a de la marge.
Le Président ukrainien Viktor Yanukovych a déclaré qu'aussi bien l'Ukraine que l'UE avaient besoin d'élargir le dialogue humain à l'échelle du citoyen et de développer une coopération économique plus efficace. Cette déclaration a été rendue publique durant le discours officiel du Président devant les communautés ukrainienne et internationale, à la veille de la 20èmeJournée de l'indépendance ukrainienne. Le Président a nommé le modèle comme formant la base de la politique étrangère ukrainienne et des valeurs européennes - le fondement du développement à venir du pays.
Le dirigeant ukrainien a noté que l'expansion du contact humain entre les peuples ukrainien et européen était essentielle pour les Ukrainiens. Le championnat de football EURO 2012 devrait donner aux Européens une chance de découvrir l'Ukraine et aux Ukrainiens l'opportunité de communiquer avec des touristes et des amateurs de football venant des quatre coins de l'UE.
La promotion du dialogue humain entre l'Ukraine et l'UE a débuté en 2006 avec l'ouverture du dialogue sur la libéralisation des visas. Le Plan d'action vers la libéralisation des visas pour l'Ukraine visant à établir un régime sans visa pour les voyages à court terme a été adopté à la fin de l'année 2010.
De plus, le Président Yanukovych a souligné l'importance de la coopération économique avec l'UE. Il est confiant que l'UE et l'Ukraine bénéficieront toutes deux des Accords d'association et de libre-échange.
Au cours des dix dernières années, l'Union européenne est devenue le plus important partenaire commercial de l'Ukraine. La valeur estimée des biens importés par l'Ukraine de l'UE s'élevait en 2010 à plus de 17 milliards de dollars américains, tandis que la valeur des biens exportés par l'Ukraine en UE totalisait 11 milliards de dollars américains. Par ailleurs, 75 % de la totalité des investissements directs étrangers vers l'Ukraine proviennent des pays de l'UE. L'Accord sur la zone de libre-échange prévu entre l'UE et l'Ukraine renforcera davantage cette coopération.
Cet Accord de libre-échange s'inscrit dans le cadre de l'Accord d'association entre l'UE et l'Ukraine. L'association est un instrument de la Politique européenne de voisinage - une politique étrangère de l'Union européenne dont l'objectif est d'éviter l'émergence de nouvelles lignes de division entre l'UE et ses voisins. Cette Politique a été établie en 2004 pour renforcer la stabilité, soutenir la sécurité et stimuler la prospérité dans les 16 pays voisins les plus proches.
Entre ses envies; le procès et les réactions Européennes et enfin la réalité, il y a de la marge.
Re: L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
Dernière étape dans les discussions commerciales UE-Ukraine
La Commission européenne semble prête à conclure un accord commercial avec l’Ukraine d’ici la fin de l’année, tendant la main à Kiev pour lutter contre la pression croissante exercée sur le pays par la Russie. Des incertitudes subsistent toutefois.
Un représentant de l'UE, qui demandé à garder l'anonymat, a confié à EurActiv que Bruxelles s’apprêtait à conclure un accord de libre-échange lors du sommet UE-Ukraine en décembre.
« Ces derniers mois ont été une bonne période de négociations », a déclaré le représentant.
Une note interne de la Commission confirme que la dernière session de négociations entre l'UE et l'Ukraine pour l'établissement d'une « zone de libre-échange approfondie et complète », qui s'est tenue à Kiev à la fin du mois de juin, a « fait progresser plusieurs questions ouvertes ».
Štefan Füle, commissaire à l'élargissement, a tenu plusieurs réunions de haut niveau avec les autorités ukrainiennes ces dernières semaines, et devrait participer jeudi (15 septembre) à une conférence à Yalta, en Crimée, à laquelle participera également le président ukrainien, Viktor Ianoukovytch.
« Je pense qu'en décembre, l'UE et l'Ukraine signeront un traité commercial », a déclaré Amanda Paul, analyste de la politique européenne de voisinage de l'Est au sein du European Policy Centre.
Les raisons de cet optimisme renouvelé proviennent principalement du fossé qui semble s’élargir entre M. Ianoukovytch et Moscou. D'ici la fin de l'année, le prix du gaz que l'Ukraine doit payer à la Russie va en effet augmenter pour s'établir à 400 $ (285 €) pour 1 000 m³.
Kiev ne peut pas se permettre de payer une telle somme, qui est même supérieure à ce que certains pays européens paient. Moscou a proposé de réduire la facture, mais à condition que l'Ukraine renonce à une partie de son réseau de transport de gaz et rejoigne l'Union douanière récemment instaurée entre la Russie, le Kazakhstan et le Bélarus.
Même si Viktor Ianoukovytch est perçu comme très proche de Moscou, il est peu probable qu'il cède sur ces points, car « cela équivaudrait à la fin de la souveraineté de l'Ukraine et donc à la fin du pouvoir de M. Ianoukovytch », a déclaré Viktor Zamiatin, journaliste et commentateur pour plusieurs publications ukrainiennes.
C'est également pour cette raison que la position du président ukrainien s'est davantage tournée vers l'UE. Dans un commentaire publié lors du vingtième anniversaire de l'indépendance de l'Ukraine, le président a ouvertement déclaré que l'avenir de l'Ukraine était en tant que « membre » de l'Union européenne.
Questions en attente
Toutefois, de nombreuses incertitudes persistent. La pression russe peut s'avérer difficile à supporter pour l'Ukraine si elle n'est pas suffisamment soutenue par Bruxelles, or jusqu'ici, l'approche qui a caractérisé les négociations bilatérales pour approfondir la coopération s’est révélée prudente.
Les conseillers de M. Füle soulignent que « des défis ardus se profilent » selon un attaché de presse du commissaire. « Nous attendons [de l'Ukraine] d'importantes réformes nationales, notamment des normes élevées de libertés fondamentales et un Etat de droit », a ajouté l'attaché de presse.
Kiev insiste sur le fait que ses citoyens ne devraient pas devoir faire de demande de visa pour se rendre dans l'UE, mais Bruxelles a souhaité que certaines conditions soient remplies avant d’accéder à cette demande, notamment des progrès dans les réformes démocratiques et des améliorations concernant les droits de l'Homme.
D'autres Etats membres d'Europe de l'Est voient également cet accord de libre-échange d'un mauvais œil, car ils craignent une concurrence dans certains secteurs tels que l'agriculture et le secteur naissant des biocarburants européens. D’autre part, les réelles intentions de M. Ianoukovytch ne toujours pas complètement claires. Malgré ses dernières déclarations, il reste dangereusement proche de Moscou, comme l'a montré l'accord de la flotte de la mer Noire.
« Une situation qui reste dans le flou »
Le procès de l'ancienne première ministre, Ioulia Timochenko, qui devrait être jugée coupable, ne facilite pas non plus les relations UE-Ukraine. La Commission et le président du Parlement européen, Jerzy Buzek, ont vivement critiqué ce procès.
Un observateur proche des relations UE-Ukraine a affirmé que si Ioulia Timochenko était réellement envoyée en prison, il resterait « bien peu » du programme bilatéral.
Le tribunal vient d'annoncer une interruption des audiences de Mme Timochenko jusqu'au 27 septembre. Des membres du parlement ukrainien, alliés de Ioulia Timochenko, ont déclaré que le report des audiences du tribunal pourrait être une tentative de créer des conditions favorables au gouvernement ukrainien avant le sommet de l'Europe de l'Est, qui doit se tenir les 29 et 30 septembre 2011.
Les membres du parlement pensent qu'un verdict pourrait être rendu concernant l'affaire Ioulia Timochenko dès le 3 octobre 2011, dans la mesure où « la situation pourrait être laissée incertaine jusqu'au 30 septembre, jour du sommet », a écrit le Gorshenin Institute, un centre de recherche indépendant en Ukraine.
Un sondage récent a à nouveau nourri la polémique. Si les Ukrainiens demeurent en faveur d'une adhésion à l'UE dans un avenir abstrait, la plupart d'entre eux ressentent également une certaine nostalgie envers l'ex-Union soviétique, lorsque les déséquilibres sociaux et économiques étaient moins marqués qu'ils ne le sont maintenant dans le pays.
Plus que jamais, les prochains mois seront déterminants dans l'orientation de l'Ukraine, soit vers l'Est, soit vers l'Ouest, ont déclaré les diplomates.
Tiens, Yanoukovitch avait raison de se féliciter
La Commission européenne semble prête à conclure un accord commercial avec l’Ukraine d’ici la fin de l’année, tendant la main à Kiev pour lutter contre la pression croissante exercée sur le pays par la Russie. Des incertitudes subsistent toutefois.
Un représentant de l'UE, qui demandé à garder l'anonymat, a confié à EurActiv que Bruxelles s’apprêtait à conclure un accord de libre-échange lors du sommet UE-Ukraine en décembre.
« Ces derniers mois ont été une bonne période de négociations », a déclaré le représentant.
Une note interne de la Commission confirme que la dernière session de négociations entre l'UE et l'Ukraine pour l'établissement d'une « zone de libre-échange approfondie et complète », qui s'est tenue à Kiev à la fin du mois de juin, a « fait progresser plusieurs questions ouvertes ».
Štefan Füle, commissaire à l'élargissement, a tenu plusieurs réunions de haut niveau avec les autorités ukrainiennes ces dernières semaines, et devrait participer jeudi (15 septembre) à une conférence à Yalta, en Crimée, à laquelle participera également le président ukrainien, Viktor Ianoukovytch.
« Je pense qu'en décembre, l'UE et l'Ukraine signeront un traité commercial », a déclaré Amanda Paul, analyste de la politique européenne de voisinage de l'Est au sein du European Policy Centre.
Les raisons de cet optimisme renouvelé proviennent principalement du fossé qui semble s’élargir entre M. Ianoukovytch et Moscou. D'ici la fin de l'année, le prix du gaz que l'Ukraine doit payer à la Russie va en effet augmenter pour s'établir à 400 $ (285 €) pour 1 000 m³.
Kiev ne peut pas se permettre de payer une telle somme, qui est même supérieure à ce que certains pays européens paient. Moscou a proposé de réduire la facture, mais à condition que l'Ukraine renonce à une partie de son réseau de transport de gaz et rejoigne l'Union douanière récemment instaurée entre la Russie, le Kazakhstan et le Bélarus.
Même si Viktor Ianoukovytch est perçu comme très proche de Moscou, il est peu probable qu'il cède sur ces points, car « cela équivaudrait à la fin de la souveraineté de l'Ukraine et donc à la fin du pouvoir de M. Ianoukovytch », a déclaré Viktor Zamiatin, journaliste et commentateur pour plusieurs publications ukrainiennes.
C'est également pour cette raison que la position du président ukrainien s'est davantage tournée vers l'UE. Dans un commentaire publié lors du vingtième anniversaire de l'indépendance de l'Ukraine, le président a ouvertement déclaré que l'avenir de l'Ukraine était en tant que « membre » de l'Union européenne.
Questions en attente
Toutefois, de nombreuses incertitudes persistent. La pression russe peut s'avérer difficile à supporter pour l'Ukraine si elle n'est pas suffisamment soutenue par Bruxelles, or jusqu'ici, l'approche qui a caractérisé les négociations bilatérales pour approfondir la coopération s’est révélée prudente.
Les conseillers de M. Füle soulignent que « des défis ardus se profilent » selon un attaché de presse du commissaire. « Nous attendons [de l'Ukraine] d'importantes réformes nationales, notamment des normes élevées de libertés fondamentales et un Etat de droit », a ajouté l'attaché de presse.
Kiev insiste sur le fait que ses citoyens ne devraient pas devoir faire de demande de visa pour se rendre dans l'UE, mais Bruxelles a souhaité que certaines conditions soient remplies avant d’accéder à cette demande, notamment des progrès dans les réformes démocratiques et des améliorations concernant les droits de l'Homme.
D'autres Etats membres d'Europe de l'Est voient également cet accord de libre-échange d'un mauvais œil, car ils craignent une concurrence dans certains secteurs tels que l'agriculture et le secteur naissant des biocarburants européens. D’autre part, les réelles intentions de M. Ianoukovytch ne toujours pas complètement claires. Malgré ses dernières déclarations, il reste dangereusement proche de Moscou, comme l'a montré l'accord de la flotte de la mer Noire.
« Une situation qui reste dans le flou »
Le procès de l'ancienne première ministre, Ioulia Timochenko, qui devrait être jugée coupable, ne facilite pas non plus les relations UE-Ukraine. La Commission et le président du Parlement européen, Jerzy Buzek, ont vivement critiqué ce procès.
Un observateur proche des relations UE-Ukraine a affirmé que si Ioulia Timochenko était réellement envoyée en prison, il resterait « bien peu » du programme bilatéral.
Le tribunal vient d'annoncer une interruption des audiences de Mme Timochenko jusqu'au 27 septembre. Des membres du parlement ukrainien, alliés de Ioulia Timochenko, ont déclaré que le report des audiences du tribunal pourrait être une tentative de créer des conditions favorables au gouvernement ukrainien avant le sommet de l'Europe de l'Est, qui doit se tenir les 29 et 30 septembre 2011.
Les membres du parlement pensent qu'un verdict pourrait être rendu concernant l'affaire Ioulia Timochenko dès le 3 octobre 2011, dans la mesure où « la situation pourrait être laissée incertaine jusqu'au 30 septembre, jour du sommet », a écrit le Gorshenin Institute, un centre de recherche indépendant en Ukraine.
Un sondage récent a à nouveau nourri la polémique. Si les Ukrainiens demeurent en faveur d'une adhésion à l'UE dans un avenir abstrait, la plupart d'entre eux ressentent également une certaine nostalgie envers l'ex-Union soviétique, lorsque les déséquilibres sociaux et économiques étaient moins marqués qu'ils ne le sont maintenant dans le pays.
Plus que jamais, les prochains mois seront déterminants dans l'orientation de l'Ukraine, soit vers l'Est, soit vers l'Ouest, ont déclaré les diplomates.
Tiens, Yanoukovitch avait raison de se féliciter
Re: L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
Le sommet de pays participant au programme « Partenariat oriental », prévu en Pologne fin septembre, a toutes les chances de torner en scandale. Proposé en 2008 par le ministère polonais des AE avec l’appui de la Suède, ce projet vise à promouvoir la coopération de l’UE avec six Etats dans l’espace postsoviétique – Ukraine, Bélarus, Moldavie, Arménie, Azerbaïdjan et Géorgie. Mais en ce moment des doutes s’accentuent en UE quant à sa capacité de « digérer », dans l’état où elle se trouve, encore un programme d’intégration. Et aussi les pays concernés correspondent-ils ne serait-ce qu’à un minimum des critères européens requis?
Ni à Varsovie, ni à Bruxelles on n’a jamais caché que l’Ukraine était un maillon clé du programme « Partenariat oriental ». La position stratégique unique de ce pays lui permet d’être à la fois un pont et une zone tampon entre l’UE et la Russie.
Ces temps-ci l’UE ne fait pas l’unanimité concernant les perspectives de l’intégration de l’Ukraine et au sujet de ce qui se passe aujourd’hui dans ce pays.
A part des questions purement procédurales de développement du partenariat entre Bruxelles et Kiev le document sur l’association, proposé par deux hommes politiques polonais, prévoit à la fois la signature d’un accord sur l’aménagement d’une zone de libre échange entre l’UE et l’Ukraine. Varsovie y attache une importance clé dans sa politique ukrainienne. Une telle zone devra enterrer définitivement les perspectives de l’adhésion de l’Ukraine à l’Union douanière de Russie, Bélarus et du Kazakhstan, détachera Kiev de Moscou tout en rattachant solidement l’économie ukrainienne à l’espace monétaire et douanier de l’UE.
Une série d’atouts dans le jeu ukrainien de Varsovie ne jouent plus. La mise en service du gazoduc « Nord Stream » prive Kiev de possibilité de réguler le transit des hydrocarbures et de s’imposer en garant de la sécurité énergétique de l’Europe. Dans la situation présentée il est plus avantageux et naturel à l’UE d’affermir le partenariat énergétique avec la Russie et non avec l’Ukraine, ce que font déjà l’Allemagne, la France et l’Italie. Un autre facteur important touche les états d’esprit de la population en Europe même.
« La population, la société civile dans les Etats européens se montrent méfiantes envers le pouvoir. Surtout sur fond de crise financière et économique qui s’accentue en Europe. Les contribuables réclament à leurs gouvernements et à la direction d l’UE des comptes-rendus pour savoir ce qu’ils font pour alléger la situation de leurs propres citoyens, et non comment ils cherchent à financer des pays comme l’Ukraine, le Bélarus ou encore la Géorgie », dit le chef de la section de sécurité européenne à l’Institut de l’Europe auprès de l’Académie russe des sciences Dmitri Danilov.
Nombre de pays membres de l’UE, dont la France, expriment déjà publiquement leur scepticisme concernant un rapprochement avec Kiev. Ainsi, le chef de la diplomatie française Alain Juppé considère qu’en son état actuel l’Ukraine n’est pas prête à prétendre à adhérer à l’UE. La division s’accentue aussi sur la scène politique ukrainienne. En prévision du prochain sommet du « Partenariat oriental » Varsovie n’est pas donc en position d’être enviée. Le « gambit ukrainien » peut s’avérer perdant.
Caduce62- Messages : 15238
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
Re: L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
Il ne faut pas confondre le partenariat oriental avec des accords bilatéraux.
Mais vrai que l'Ukraine inspire toujours la méfiance (justifiée du reste).
Mais vrai que l'Ukraine inspire toujours la méfiance (justifiée du reste).
Re: L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
http://www.romandie.com/news/n/_Affaire_Timochenko__les_menaces_de_l_UE_sont_amorales_170920111509.asp :
Affaire Timochenko : les menaces de l'UE sont amorales
YALTA (Ukraine) - Le Premier ministre ukrainien Mykola Azarov a qualifié samedi d'amorale la menace de l'UE de renoncer à la signature d'un accord d'association avec l'Ukraine si l'opposante Ioulia Timochenko, jugée pour abus de pouvoir, n'est pas remise en liberté.
Il est non seulement pas correct, mais même amoral de lier l'intégration de l'Ukraine à l'UE au procès Timochenko, a-t-il lancé en margé d'une conférence internationale à Yalta (sud de l'Ukraine).
Je suis sûr que le bon sens va triompher et que l'accord (d'association avec l'UE) sera signé, a-t-il ajouté.
Mme Timochenko est actuellement incarcérée et jugée pour abus de pouvoir au moment où elle était Premier ministre. Selon l'accusation, l'opposante au président ukrainien Viktor Ianoukovitch a permis illégalement la signature d'accords gaziers avec la Russie et défavorables à l'Ukraine.
Or vendredi, le Commissaire européen à l'Elargissement, Stefan Füle a indiqué que l'Union européenne pourrait renoncer à conclure un accord d'association avec Kiev en raison de ce dossier, à l'issue de sa rencontre avec M. Ianoukovitch.
Si ce problème n'est pas résolu et si elle est condamnée à de la prison sur la base d'une législation qui date de l'époque soviétique, ce sera problématique, a déclaré M. Füle après une rencontre avec le président ukrainien, à Yalta (sud de l'Ukraine).
Interrogé par l'AFP sur les déclarations de M. Azarov, le Commissaire Füle a souligné que son entretien avec le président Ianoukovitch, la veille, était bien plus constructif.
J'ai été encouragé par le président qui a montré une compréhension totale de la complexité de ce problème (...) et une volonté de trouver une solution au problème, a-t-il dit.
Affaire Timochenko : les menaces de l'UE sont amorales
YALTA (Ukraine) - Le Premier ministre ukrainien Mykola Azarov a qualifié samedi d'amorale la menace de l'UE de renoncer à la signature d'un accord d'association avec l'Ukraine si l'opposante Ioulia Timochenko, jugée pour abus de pouvoir, n'est pas remise en liberté.
Il est non seulement pas correct, mais même amoral de lier l'intégration de l'Ukraine à l'UE au procès Timochenko, a-t-il lancé en margé d'une conférence internationale à Yalta (sud de l'Ukraine).
Je suis sûr que le bon sens va triompher et que l'accord (d'association avec l'UE) sera signé, a-t-il ajouté.
Mme Timochenko est actuellement incarcérée et jugée pour abus de pouvoir au moment où elle était Premier ministre. Selon l'accusation, l'opposante au président ukrainien Viktor Ianoukovitch a permis illégalement la signature d'accords gaziers avec la Russie et défavorables à l'Ukraine.
Or vendredi, le Commissaire européen à l'Elargissement, Stefan Füle a indiqué que l'Union européenne pourrait renoncer à conclure un accord d'association avec Kiev en raison de ce dossier, à l'issue de sa rencontre avec M. Ianoukovitch.
Si ce problème n'est pas résolu et si elle est condamnée à de la prison sur la base d'une législation qui date de l'époque soviétique, ce sera problématique, a déclaré M. Füle après une rencontre avec le président ukrainien, à Yalta (sud de l'Ukraine).
Interrogé par l'AFP sur les déclarations de M. Azarov, le Commissaire Füle a souligné que son entretien avec le président Ianoukovitch, la veille, était bien plus constructif.
J'ai été encouragé par le président qui a montré une compréhension totale de la complexité de ce problème (...) et une volonté de trouver une solution au problème, a-t-il dit.
Thuramir- Messages : 3677
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
Réponse de l'UE:
L'UE et l'Ukraine se déchirent sur le dossier Timochenko
L'Union européenne ne s'associera avec Kiev que si les droits de l'opposante emprisonnée depuis août sont respectés.
L'Ukraine espère un rapprochement avec l'UE. Mais les conditions dictées par les Européens mettent le président Viktor Ianoukovitch dans une position délicate, car il pourrait se trouver forcé de libérer sa redoutable adversaire, Ioulia Timochenko.
Préoccupée depuis longtemps par le dossier de l'ex-Premier ministre, incarcérée depuis août et jugée depuis juin pour abus de pouvoir, l'Union européenne a haussé le ton samedi 17 septembre en conditionnant un accord d'association avec l'Ukraine à une solution respectueuse des principes démocratiques dans l'affaire Timochenko.
"Si elle est condamnée à de la prison sur la base d'une législation qui date de l'époque soviétique, ce sera problématique", a prévenu vendredi le Commissaire européen à l'Elargissement Stefan Füle à Yalta, après s'être entretenu pendant plus de deux heures avec Viktor Ianoukovitch.
Ioulia Timochenko est accusée d'avoir signé en 2009, sans l'autorisation du gouvernement qu'elle dirigeait, des accords gaziers avec la Russie défavorables à son pays. Elle risque 10 ans de prison.
Au pied du mur
Certaines voix en Europe reprennent ouvertement la thèse de l'opposante, selon laquelle ces poursuites n'ont qu'un objectif : écarter la principale concurrente du président.
"Nous avons le sentiment qu'il y a une énorme motivation politique dans son cas (...) Nous sommes très chagrinés de voir l'Ukraine dans une telle situation", a dit au chef de l'Etat ukrainien l'eurodéputé Mario David.
Or Kiev compte beaucoup sur les retombées économiques et politiques de l'accord d'association, dont la signature est prévue en décembre. Ianoukovitch a en effet épousé cette stratégie après s'être longtemps fait l'avocat d'un rapprochement avec Moscou.
Les autorités ukrainiennes sont désormais au pied du mur, selon des analystes. Le gouvernement n'a pas trouvé d'oreille compatissante lorsqu'il minimisait les critiques européennes et justifiait les poursuites contre Timochenko.
Les pressions se multiplient
Ainsi, selon les journaux et les observateurs, le procès de l'opposante a été suspendu lundi pour au moins deux semaines pour permettre aux autorités de trouver une porte de sortie honorable. "Ils ont commencé à se rendre compte" de la gravité de la situation, a déclaré un diplomate européen sous le couvert d'anonymat.
"Début septembre, la condamnation de Timochenko à de la prison était pratiquement acquise, maintenant, ils hésitent", renchérit l'analyste Volodymyr Fessenko. D'autant que les pressions européennes se sont multipliées au moment où l'Ukraine est engagée dans un bras de fer avec Moscou sur le prix du gaz russe.
"Ils commencent à comprendre qu'une guerre sur deux fronts, à la fois avec la Russie et l'Occident, c'est très risqué", relève pour sa part le directeur du Centre de recherches politiques Penta. Or Viktor Ianoukovitch a déjà rejeté toute alliance avec la Russie, qui lui proposait des avantages gaziers si l'Ukraine intégrait l'Union douanière Russie-Bélarus-Kazakhstan.
Il pourrait donc être obligé de laisser Ioulia Timochenko, redoutable adversaire politique, revenir sur le devant de la scène juste à temps pour les législatives de 2012. "J'ai été encouragé par le président qui a montré une compréhension totale de la complexité de ce problème (...) et la volonté de trouver une solution", a ainsi assuré samedi le commissaire européen Stefan Füle.
Une solution passerait par une réforme du code pénal pour que Ioulia Timochenko ne soit plus passible de prison. Un texte en ce sens pourrait être soumis au Parlement dès la semaine prochaine, a indiqué Grygori Nemyria, un proche de l'opposante.
"Si la majorité présidentielle soutient cette décision, cela montrera qu'ils ont bien compris" le message des Européens.
Le Nouvel Observateur - AFP
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20110918.OBS0573/l-ue-et-l-ukraine-se-dechirent-sur-le-dossier-timochenko.html
Si l'Ukraine veut son accord avec l'UE, il y a intérêt à changer la loi . . .
L'UE et l'Ukraine se déchirent sur le dossier Timochenko
L'Union européenne ne s'associera avec Kiev que si les droits de l'opposante emprisonnée depuis août sont respectés.
L'Ukraine espère un rapprochement avec l'UE. Mais les conditions dictées par les Européens mettent le président Viktor Ianoukovitch dans une position délicate, car il pourrait se trouver forcé de libérer sa redoutable adversaire, Ioulia Timochenko.
Préoccupée depuis longtemps par le dossier de l'ex-Premier ministre, incarcérée depuis août et jugée depuis juin pour abus de pouvoir, l'Union européenne a haussé le ton samedi 17 septembre en conditionnant un accord d'association avec l'Ukraine à une solution respectueuse des principes démocratiques dans l'affaire Timochenko.
"Si elle est condamnée à de la prison sur la base d'une législation qui date de l'époque soviétique, ce sera problématique", a prévenu vendredi le Commissaire européen à l'Elargissement Stefan Füle à Yalta, après s'être entretenu pendant plus de deux heures avec Viktor Ianoukovitch.
Ioulia Timochenko est accusée d'avoir signé en 2009, sans l'autorisation du gouvernement qu'elle dirigeait, des accords gaziers avec la Russie défavorables à son pays. Elle risque 10 ans de prison.
Au pied du mur
Certaines voix en Europe reprennent ouvertement la thèse de l'opposante, selon laquelle ces poursuites n'ont qu'un objectif : écarter la principale concurrente du président.
"Nous avons le sentiment qu'il y a une énorme motivation politique dans son cas (...) Nous sommes très chagrinés de voir l'Ukraine dans une telle situation", a dit au chef de l'Etat ukrainien l'eurodéputé Mario David.
Or Kiev compte beaucoup sur les retombées économiques et politiques de l'accord d'association, dont la signature est prévue en décembre. Ianoukovitch a en effet épousé cette stratégie après s'être longtemps fait l'avocat d'un rapprochement avec Moscou.
Les autorités ukrainiennes sont désormais au pied du mur, selon des analystes. Le gouvernement n'a pas trouvé d'oreille compatissante lorsqu'il minimisait les critiques européennes et justifiait les poursuites contre Timochenko.
Les pressions se multiplient
Ainsi, selon les journaux et les observateurs, le procès de l'opposante a été suspendu lundi pour au moins deux semaines pour permettre aux autorités de trouver une porte de sortie honorable. "Ils ont commencé à se rendre compte" de la gravité de la situation, a déclaré un diplomate européen sous le couvert d'anonymat.
"Début septembre, la condamnation de Timochenko à de la prison était pratiquement acquise, maintenant, ils hésitent", renchérit l'analyste Volodymyr Fessenko. D'autant que les pressions européennes se sont multipliées au moment où l'Ukraine est engagée dans un bras de fer avec Moscou sur le prix du gaz russe.
"Ils commencent à comprendre qu'une guerre sur deux fronts, à la fois avec la Russie et l'Occident, c'est très risqué", relève pour sa part le directeur du Centre de recherches politiques Penta. Or Viktor Ianoukovitch a déjà rejeté toute alliance avec la Russie, qui lui proposait des avantages gaziers si l'Ukraine intégrait l'Union douanière Russie-Bélarus-Kazakhstan.
Il pourrait donc être obligé de laisser Ioulia Timochenko, redoutable adversaire politique, revenir sur le devant de la scène juste à temps pour les législatives de 2012. "J'ai été encouragé par le président qui a montré une compréhension totale de la complexité de ce problème (...) et la volonté de trouver une solution", a ainsi assuré samedi le commissaire européen Stefan Füle.
Une solution passerait par une réforme du code pénal pour que Ioulia Timochenko ne soit plus passible de prison. Un texte en ce sens pourrait être soumis au Parlement dès la semaine prochaine, a indiqué Grygori Nemyria, un proche de l'opposante.
"Si la majorité présidentielle soutient cette décision, cela montrera qu'ils ont bien compris" le message des Européens.
Le Nouvel Observateur - AFP
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20110918.OBS0573/l-ue-et-l-ukraine-se-dechirent-sur-le-dossier-timochenko.html
Si l'Ukraine veut son accord avec l'UE, il y a intérêt à changer la loi . . .
Re: L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
Il peuvent encore changer la loi en y ajoutant une sanction d'inégibilité, sans peine de prison.
A suivre...
A suivre...
Thuramir- Messages : 3677
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
L’accord d’association sur les rails
26 septembre 2011
Après trois ans de pourparlers éreintants, l'UE et l'Ukraine ont conclu leurs négociations sur leur accord d'association le 23 septembre. "C'est un énorme succès… Kiev a choisi l'Occident" remarque Rzeczpopolita, soulignant que "longtemps, on a pensé que l'Ukraine pro-russe de Victor Ianoukovitch ne voulait pas vraiment d'une intégration avec l'UE". Des rumeurs ont circulé, selon lesquelles Moscou a également promis de vendre son gaz à Kiev à des prix préférentiels si elle rejetait l'offre de resserrer les liens commerciaux et politiques avec l'Europe.
L'accord d'association UE-Ukraine qui doit être signé d'ici la fin de l'année, probablement lors du prochain sommet UE-Ukraine en décembre, prévoit la création d'une zone de libre-échange (DCFTA). Selon les termes de l'accord, Kiev va adopter l'acquis communautaire et réformer ses institutions en conformité avec les normes européennes.
26 septembre 2011
Après trois ans de pourparlers éreintants, l'UE et l'Ukraine ont conclu leurs négociations sur leur accord d'association le 23 septembre. "C'est un énorme succès… Kiev a choisi l'Occident" remarque Rzeczpopolita, soulignant que "longtemps, on a pensé que l'Ukraine pro-russe de Victor Ianoukovitch ne voulait pas vraiment d'une intégration avec l'UE". Des rumeurs ont circulé, selon lesquelles Moscou a également promis de vendre son gaz à Kiev à des prix préférentiels si elle rejetait l'offre de resserrer les liens commerciaux et politiques avec l'Europe.
L'accord d'association UE-Ukraine qui doit être signé d'ici la fin de l'année, probablement lors du prochain sommet UE-Ukraine en décembre, prévoit la création d'une zone de libre-échange (DCFTA). Selon les termes de l'accord, Kiev va adopter l'acquis communautaire et réformer ses institutions en conformité avec les normes européennes.
Caduce62- Messages : 15238
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
Re: L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
L'Europe négociera avec Kiev même si Timochenko est condamnée
lundi 10 octobre 2011 à 18h12
(Belga) L'Union européenne poursuivra les négociations de libre échange avec l'Ukraine, quelle que soit l'issue du procès controversé contre Ioulia Timochenko, a indiqué à l'agence Belga une source diplomatique belge, à l'issue d'un Conseil des ministres des Affaires étrangères des 27.
Le verdict est attendu mardi dans le procès très politisé de la principale opposante au président Viktor Ianoukovitch. Si elle est condamnée, la Haute représentante pour la politique extérieure de l'UE, Catherine Ashton, adressera une condamnation "forte" à Kiev, mais celle-ci ne sera pas assortie d'actions concrètes. Les négociations en cours visant la conclusion d'un accord d'association ne seront ainsi pas interrompues, comme le suggéraient plusieurs pays. De même, une rencontre programmée à la fin du mois entre le président de la Commission, José Manuel Barroso, et M. Ianoukovitch restera à l'agenda, quel que soit le verdict. Le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Fratini, a confirmé cette position de principe des Européens, dont il s'est réjoui. "L'Ukraine est un pays qui a vocation à collaborer avec l'UE", a insisté le chef de la diplomatie italienne. Mme Timochenko, une ancienne Première ministre, est jugée depuis juin pour avoir signé en 2009, sans l'autorisation du gouvernement qu'elle dirigeait, des accords gaziers avec la Russie défavorables à son pays, selon l'accusation. Mais les Européens soupçonnent ce procès d'être une manoeuvre destinée à écarter une concurrente gênante pour le pouvoir en place.
(MUA)
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lundi 10 octobre 2011 à 18h12
(Belga) L'Union européenne poursuivra les négociations de libre échange avec l'Ukraine, quelle que soit l'issue du procès controversé contre Ioulia Timochenko, a indiqué à l'agence Belga une source diplomatique belge, à l'issue d'un Conseil des ministres des Affaires étrangères des 27.
Le verdict est attendu mardi dans le procès très politisé de la principale opposante au président Viktor Ianoukovitch. Si elle est condamnée, la Haute représentante pour la politique extérieure de l'UE, Catherine Ashton, adressera une condamnation "forte" à Kiev, mais celle-ci ne sera pas assortie d'actions concrètes. Les négociations en cours visant la conclusion d'un accord d'association ne seront ainsi pas interrompues, comme le suggéraient plusieurs pays. De même, une rencontre programmée à la fin du mois entre le président de la Commission, José Manuel Barroso, et M. Ianoukovitch restera à l'agenda, quel que soit le verdict. Le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Fratini, a confirmé cette position de principe des Européens, dont il s'est réjoui. "L'Ukraine est un pays qui a vocation à collaborer avec l'UE", a insisté le chef de la diplomatie italienne. Mme Timochenko, une ancienne Première ministre, est jugée depuis juin pour avoir signé en 2009, sans l'autorisation du gouvernement qu'elle dirigeait, des accords gaziers avec la Russie défavorables à son pays, selon l'accusation. Mais les Européens soupçonnent ce procès d'être une manoeuvre destinée à écarter une concurrente gênante pour le pouvoir en place.
(MUA)
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Re: L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
Qui se fait encore des illusions sur l'éthique en politique ?
Thuramir- Messages : 3677
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: L'Ukraine réalise des progrès dans ses discussions d'association avec l'Union européenne
Sur quoi en politique????
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