«Nos seins sont une arme dont le pouvoir a peur»
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«Nos seins sont une arme dont le pouvoir a peur»
«Nos seins sont une arme dont le pouvoir a peur»
Les militantes du mouvement féminin d'opposition FEMEN s'affichent topless pour réclamer la destitution du chef de l'Etat, accusé d'être un goujat.
FEMEN est un mouvement d'opposition féminin, brandit la nudité comme arme politique.
En plein hiver, quatre jeunes femmes surgissent seins nus au coeur de Kiev et, sous le regard ahuri des passants, scandent des slogans contre le pouvoir ukrainien: FEMEN, un mouvement d'opposition féminin, brandit la nudité comme arme politique.
Toujours couronnées de fleurs à la mode folklorique ukrainienne, ces militantes topless ont une cible favorite: le président Viktor Ianoukovitch, accusé d'être un goujat sexiste vendu à la Russie.
La cible Ianoukovitch
Cette fois-ci, face aux journalistes captivés, elles réclament la «destitution de Ianoukovitch», le chef de l'Etat venant de créer la polémique en invitant les investisseurs étrangers à venir en Ukraine au printemps, «lorsque les femmes commencent à se dévêtir».
Accroupies face à la gare, les fesses à l'air autant que la poitrine, les quatre militantes signifient ainsi au président qu'il a «merdé», expliquent-elles.
FEMEN, qui revendique 300 militantes à Kiev, n'en est pas à son coup d'essai, devenant en trois ans un phénomène en Ukraine et se faisant connaître même à l'étranger.
A moitié déshabillées ou en tenues légères, les membres de FEMEN multiplient les actions publiques pour dénoncer la prostitution, le tourisme sexuel, ou le harcèlement dont sont victimes les étudiantes d'université en Ukraine.
Dénoncer le machisme
Car leur objectif premier est, selon la chef du groupe Anna Goutsol, de dénoncer le machisme de la société afin d'améliorer la condition féminine dans cette ex-république soviétique, dont l'actuel gouvernement ne compte que des hommes.
«Les femmes n'ont pas les mêmes droits que les hommes, beaucoup d'entre elles se marient à 20 ans et n'ont après plus de carrière ni d'indépendance financière», explique cette jeune femme de 26 ans.
Elle raconte que l'idée de manifester topless est venue un peu par hasard. Lors d'une action en 2009, les militantes avaient montré leur dos nu décoré d'un slogan. Mais un photographe les a immortalisées de face. Les clichés sont alors publiés par un grand magazine national.
«Nous avons compris que le seul moyen d'attirer le maximum d'attention sur un problème était de protester seins nus», explique Anna Goutsol.
«D'abord, les gens regardent nos poitrines, puis nos banderoles»
«Nous avons peu d'argent pour développer notre mouvement, mais nous avons nos corps, nos cerveaux et notre créativité. D'abord, les gens regardent nos poitrines, puis nos banderoles», relève-t-elle.
Leur premier grand coup intervient en février 2010. Quatre jeunes filles déjouent alors le service de sécurité du candidat à la présidentielle Viktor Ianoukovitch, dans le bureau de vote où il était attendu le jour du scrutin.
Quelques minutes avant son arrivée, elles crient face aux caméras et devant des gardes du corps perplexes : «Ca suffit de violer le pays!» et «Au secours! Au viol!».
«Nos seins sont une arme dont le pouvoir a peur.»
Depuis, leurs actions se terminent régulièrement au commissariat. «Nos seins sont une arme dont le pouvoir a peur. Les autorités ont même ordonné à la police de ne pas laisser les FEMEN se déshabiller», affirme Mlle Goutsol.
Mais pour l'écrivain Oksana Zaboujko, le mouvement «abuse» de la méthode.
«Si on organise un strip-tease à chaque occasion, on finit par ne plus voir le message politique mais juste un spectacle de filles nues», dit-elle.
D'autres soupçonnent les militantes de préparer un projet politico-commercial.
«C'est un projet très bien construit, derrière ses seins, il y a plus de cervelle qu'il n'y paraît», estime Andri Taranov, un cofondateur du groupe de communication Kwendi.
FEMEN dément, et dit avoir 700 euros pour budget mensuel, dont une partie est récoltée en vendant des toiles représentant les empreintes de seins des militantes.
Il y a débat, c'est déjà un bon point.
Maintenant, il faudrait des résultats.
Les militantes du mouvement féminin d'opposition FEMEN s'affichent topless pour réclamer la destitution du chef de l'Etat, accusé d'être un goujat.
FEMEN est un mouvement d'opposition féminin, brandit la nudité comme arme politique.
En plein hiver, quatre jeunes femmes surgissent seins nus au coeur de Kiev et, sous le regard ahuri des passants, scandent des slogans contre le pouvoir ukrainien: FEMEN, un mouvement d'opposition féminin, brandit la nudité comme arme politique.
Toujours couronnées de fleurs à la mode folklorique ukrainienne, ces militantes topless ont une cible favorite: le président Viktor Ianoukovitch, accusé d'être un goujat sexiste vendu à la Russie.
La cible Ianoukovitch
Cette fois-ci, face aux journalistes captivés, elles réclament la «destitution de Ianoukovitch», le chef de l'Etat venant de créer la polémique en invitant les investisseurs étrangers à venir en Ukraine au printemps, «lorsque les femmes commencent à se dévêtir».
Accroupies face à la gare, les fesses à l'air autant que la poitrine, les quatre militantes signifient ainsi au président qu'il a «merdé», expliquent-elles.
FEMEN, qui revendique 300 militantes à Kiev, n'en est pas à son coup d'essai, devenant en trois ans un phénomène en Ukraine et se faisant connaître même à l'étranger.
A moitié déshabillées ou en tenues légères, les membres de FEMEN multiplient les actions publiques pour dénoncer la prostitution, le tourisme sexuel, ou le harcèlement dont sont victimes les étudiantes d'université en Ukraine.
Dénoncer le machisme
Car leur objectif premier est, selon la chef du groupe Anna Goutsol, de dénoncer le machisme de la société afin d'améliorer la condition féminine dans cette ex-république soviétique, dont l'actuel gouvernement ne compte que des hommes.
«Les femmes n'ont pas les mêmes droits que les hommes, beaucoup d'entre elles se marient à 20 ans et n'ont après plus de carrière ni d'indépendance financière», explique cette jeune femme de 26 ans.
Elle raconte que l'idée de manifester topless est venue un peu par hasard. Lors d'une action en 2009, les militantes avaient montré leur dos nu décoré d'un slogan. Mais un photographe les a immortalisées de face. Les clichés sont alors publiés par un grand magazine national.
«Nous avons compris que le seul moyen d'attirer le maximum d'attention sur un problème était de protester seins nus», explique Anna Goutsol.
«D'abord, les gens regardent nos poitrines, puis nos banderoles»
«Nous avons peu d'argent pour développer notre mouvement, mais nous avons nos corps, nos cerveaux et notre créativité. D'abord, les gens regardent nos poitrines, puis nos banderoles», relève-t-elle.
Leur premier grand coup intervient en février 2010. Quatre jeunes filles déjouent alors le service de sécurité du candidat à la présidentielle Viktor Ianoukovitch, dans le bureau de vote où il était attendu le jour du scrutin.
Quelques minutes avant son arrivée, elles crient face aux caméras et devant des gardes du corps perplexes : «Ca suffit de violer le pays!» et «Au secours! Au viol!».
«Nos seins sont une arme dont le pouvoir a peur.»
Depuis, leurs actions se terminent régulièrement au commissariat. «Nos seins sont une arme dont le pouvoir a peur. Les autorités ont même ordonné à la police de ne pas laisser les FEMEN se déshabiller», affirme Mlle Goutsol.
Mais pour l'écrivain Oksana Zaboujko, le mouvement «abuse» de la méthode.
«Si on organise un strip-tease à chaque occasion, on finit par ne plus voir le message politique mais juste un spectacle de filles nues», dit-elle.
D'autres soupçonnent les militantes de préparer un projet politico-commercial.
«C'est un projet très bien construit, derrière ses seins, il y a plus de cervelle qu'il n'y paraît», estime Andri Taranov, un cofondateur du groupe de communication Kwendi.
FEMEN dément, et dit avoir 700 euros pour budget mensuel, dont une partie est récoltée en vendant des toiles représentant les empreintes de seins des militantes.
Il y a débat, c'est déjà un bon point.
Maintenant, il faudrait des résultats.
Re: «Nos seins sont une arme dont le pouvoir a peur»
Il faut reconnaitre qu'elles n'ont pas froid aux yeux !! de manifester (où sont les hommes ?). Paradoxalement, pendant ce temps en Russie, on a autre chose :
Des Russes en minijupes balaient la neige pour attirer les étrangers
Douze Russes portant des minijupes et perchées sur de hauts talons ont balayé jeudi la neige dans le centre de Saint-Pétersbourg pour protester contre le manque d'efficacité, selon elles, des services municipaux qui empêchent la venue de touristes étrangers, dont d'éventuels futurs époux.
Les protestataires maquillées comme si elles étaient invitées à une soirée, et munies de grosses pelles ont déneigé, pendant une heure par - 13 degrés Celsius, la place située devant la cathédrale de Kazan, en plein centre de l'ancienne capitale impériale.
"Nous avons remarqué que cet hiver il y avait peu de touristes à Saint-Pétersbourg et donc peu de fiancés étrangers potentiels", a expliqué Elena Frolova, âgée de 20 ans.
"Nous avons choisi cet endroit parce qu'il y a une caméra qui permet de voir sur internet ce qui se passe à Saint-Pétersbourg. Nous espérons que des étrangers nous verront et viendront", a-t-elle souligné.
L'action a également pour objectif d'"attirer l'attention des autorités sur le problème du déneigement insuffisant des rues et de la chute de blocs de glace des toits", a expliqué Nastia Prikhodko, une blonde âgée de 22 ans.
Plusieurs personnes ont trouvé la mort cet hiver à Saint-Pétersbourg, victimes de chutes de blocs de glace des toits d'immeubles.
"Les étrangers ont peur de venir à Saint-Pétersbourg et nous manquons de fiancés", s'est lamentée Mlle Prikhodko.
Des Russes en minijupes balaient la neige pour attirer les étrangers
Douze Russes portant des minijupes et perchées sur de hauts talons ont balayé jeudi la neige dans le centre de Saint-Pétersbourg pour protester contre le manque d'efficacité, selon elles, des services municipaux qui empêchent la venue de touristes étrangers, dont d'éventuels futurs époux.
Les protestataires maquillées comme si elles étaient invitées à une soirée, et munies de grosses pelles ont déneigé, pendant une heure par - 13 degrés Celsius, la place située devant la cathédrale de Kazan, en plein centre de l'ancienne capitale impériale.
"Nous avons remarqué que cet hiver il y avait peu de touristes à Saint-Pétersbourg et donc peu de fiancés étrangers potentiels", a expliqué Elena Frolova, âgée de 20 ans.
"Nous avons choisi cet endroit parce qu'il y a une caméra qui permet de voir sur internet ce qui se passe à Saint-Pétersbourg. Nous espérons que des étrangers nous verront et viendront", a-t-elle souligné.
L'action a également pour objectif d'"attirer l'attention des autorités sur le problème du déneigement insuffisant des rues et de la chute de blocs de glace des toits", a expliqué Nastia Prikhodko, une blonde âgée de 22 ans.
Plusieurs personnes ont trouvé la mort cet hiver à Saint-Pétersbourg, victimes de chutes de blocs de glace des toits d'immeubles.
"Les étrangers ont peur de venir à Saint-Pétersbourg et nous manquons de fiancés", s'est lamentée Mlle Prikhodko.
Caduce62- Messages : 15213
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
Re: «Nos seins sont une arme dont le pouvoir a peur»
Ukraine : la condition féminine
Le mythe de la femme ukrainienne, sexy, qui adorerait les étrangers est très présent dans l’imaginaire collectif européen. Celles-ci sont victimes de préjugés, émanant du fort taux de prostitution dans ce pays. Depuis de nombreuses années, des associations se battent pour la revalorisation de l’image de la femme, avec à leur tête le collectif Femen. Reste que l’évolution de la condition féminine demeure fortement soumise aux considérations affichées par les dirigeants. Alors, comment faire évoluer la mentalité d’une société lorsque le chef de l’Etat lui-même a recours à des lieux communs emplis de machisme ? C’est le reproche fait par Femen à Viktor Ianoukovitch, qui a récemment invité les investisseurs étrangers à venir en Ukraine au printemps « lorsque les femmes commencent à se dévêtir ».
Si le coût de la vie en Ukraine est sensiblement le même qu’en Europe de l’Ouest, le salaire moyen n’est que de 300 euros. Confrontées à de lourdes difficultés financières, certaines femmes n’ont d’autre choix que le recours à la prostitution. Des réseaux se développent alors, principalement en Europe de l’Ouest, et certains tour operators ont bien compris le marché que pouvait représenter le tourisme sexuel dans ce pays. Certains voyages vers l’Ukraine sont donc organisés dans le seul but de permettre aux clients de passer du temps en compagnie de prostituées. Ce pays semble apporter des facilités à l’organisation de ce type de voyages : les visas sont gratuits pour les ressortissants de l’UE et des Etats-Unis, les infrastructures sont développées, et les prix des vols et des hôtels sont très abordables.
Les femmes ukrainiennes souffrent de l’image qui est donnée d’elles, c’est pourquoi des comités de féministes tentent de renverser cette caricature.
Femen est un groupe ukrainien féministe de protestation, créé en 2008, qui s’est donné pour mission de lutter pour les droits de la femme en Ukraine ainsi que pour sa reconnaissance. Il est en effet à noter que le gouvernement de ce pays ne contient aucune femme. Les opérations menées par Femen ne passent jamais inaperçues : seins nus ou vêtues d’un simple bikini, ces féministes ont compris comment capter l’attention de leur compatriotes pour les sensibiliser à leur combat. Anna Hutson, créatrice de Femen, avoue de pas « hésiter à choquer », en utilisant une stratégie « unique de nous exprimer, basée sur la créativité, le courage, l’humour, l’efficacité ».
Mais malgré toutes ces actions de sensibilisation, il semblerait qu’un réel changement de la condition féminine en Ukraine ne puisse venir que des plus hauts responsables de l’Etat, notamment en mettant en place de sévères mesures de répression ; à l’heure actuelle, l’industrie continue d’opérer en toute impunité, et c’est ce que déplore Femen : l’amende pour une relation sexuelle monnayée est seulement de 5euros et les proxénètes ne risquent que de 3 à 8 ans de prison (et ce lorsqu’ils ne parviennent pas à corrompre les policiers).
La récente déclaration du chef de l’Etat ukrainien prouve bien à quel point l’image de la femme dans ce pays est dégradée. Les militantes de Femen ont réclamé sa démission. Celles-ci voudraient même créer un parti et accéder au pouvoir.
No comment . . .
Le mythe de la femme ukrainienne, sexy, qui adorerait les étrangers est très présent dans l’imaginaire collectif européen. Celles-ci sont victimes de préjugés, émanant du fort taux de prostitution dans ce pays. Depuis de nombreuses années, des associations se battent pour la revalorisation de l’image de la femme, avec à leur tête le collectif Femen. Reste que l’évolution de la condition féminine demeure fortement soumise aux considérations affichées par les dirigeants. Alors, comment faire évoluer la mentalité d’une société lorsque le chef de l’Etat lui-même a recours à des lieux communs emplis de machisme ? C’est le reproche fait par Femen à Viktor Ianoukovitch, qui a récemment invité les investisseurs étrangers à venir en Ukraine au printemps « lorsque les femmes commencent à se dévêtir ».
Si le coût de la vie en Ukraine est sensiblement le même qu’en Europe de l’Ouest, le salaire moyen n’est que de 300 euros. Confrontées à de lourdes difficultés financières, certaines femmes n’ont d’autre choix que le recours à la prostitution. Des réseaux se développent alors, principalement en Europe de l’Ouest, et certains tour operators ont bien compris le marché que pouvait représenter le tourisme sexuel dans ce pays. Certains voyages vers l’Ukraine sont donc organisés dans le seul but de permettre aux clients de passer du temps en compagnie de prostituées. Ce pays semble apporter des facilités à l’organisation de ce type de voyages : les visas sont gratuits pour les ressortissants de l’UE et des Etats-Unis, les infrastructures sont développées, et les prix des vols et des hôtels sont très abordables.
Les femmes ukrainiennes souffrent de l’image qui est donnée d’elles, c’est pourquoi des comités de féministes tentent de renverser cette caricature.
Femen est un groupe ukrainien féministe de protestation, créé en 2008, qui s’est donné pour mission de lutter pour les droits de la femme en Ukraine ainsi que pour sa reconnaissance. Il est en effet à noter que le gouvernement de ce pays ne contient aucune femme. Les opérations menées par Femen ne passent jamais inaperçues : seins nus ou vêtues d’un simple bikini, ces féministes ont compris comment capter l’attention de leur compatriotes pour les sensibiliser à leur combat. Anna Hutson, créatrice de Femen, avoue de pas « hésiter à choquer », en utilisant une stratégie « unique de nous exprimer, basée sur la créativité, le courage, l’humour, l’efficacité ».
Mais malgré toutes ces actions de sensibilisation, il semblerait qu’un réel changement de la condition féminine en Ukraine ne puisse venir que des plus hauts responsables de l’Etat, notamment en mettant en place de sévères mesures de répression ; à l’heure actuelle, l’industrie continue d’opérer en toute impunité, et c’est ce que déplore Femen : l’amende pour une relation sexuelle monnayée est seulement de 5euros et les proxénètes ne risquent que de 3 à 8 ans de prison (et ce lorsqu’ils ne parviennent pas à corrompre les policiers).
La récente déclaration du chef de l’Etat ukrainien prouve bien à quel point l’image de la femme dans ce pays est dégradée. Les militantes de Femen ont réclamé sa démission. Celles-ci voudraient même créer un parti et accéder au pouvoir.
No comment . . .
Re: «Nos seins sont une arme dont le pouvoir a peur»
Si les peines de 3 à 8 ans de prison étaient effectivement appliquées, les proxénètes seraient bien moins nombreux qu'actuellement.
Finalement, c'est d'abord et avant tout un problème de corruption qui gangrène la société ukrainienne. On peut prévoir les peines que l'on veut, encore faut-il qu'elles soient effectivement appliquées dans un système démocratique, sinon les lois resteront lettres mortes.
Finalement, c'est d'abord et avant tout un problème de corruption qui gangrène la société ukrainienne. On peut prévoir les peines que l'on veut, encore faut-il qu'elles soient effectivement appliquées dans un système démocratique, sinon les lois resteront lettres mortes.
Thuramir- Messages : 3677
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: «Nos seins sont une arme dont le pouvoir a peur»
Encore faut il en avoir les moyens (une police et une justice "clean").
Re: «Nos seins sont une arme dont le pouvoir a peur»
Matt a écrit:Encore faut il en avoir les moyens (une police et une justice "clean").
Nous sommes bien d'accord !
Thuramir- Messages : 3677
Date d'inscription : 11/07/2010
Localisation : Bruxelles
Re: «Nos seins sont une arme dont le pouvoir a peur»
SPIEGEL
Femen believes that sex tourism in Ukraine will continue to grow. One reason is the fact that Ukraine will co-host the European Championship football tournament with Poland in 2012.
Femen believes that sex tourism in Ukraine will continue to grow. One reason is the fact that Ukraine will co-host the European Championship football tournament with Poland in 2012.
Caduce62- Messages : 15213
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
Re: «Nos seins sont une arme dont le pouvoir a peur»
Figuring that not all the fans drawn by the tournament will only be interested in sports, Femen has drawn up a special plan of action. The group's members have prepared a tip for foreigners: "Don't frequent prostitutes. Instead, visit the Mikhail Bulgakov Museum dedicated to one of our country's greatest writers."
Caduce62- Messages : 15213
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
Les seins ne sont pas des armes !
Commentaire concernant la photo:
Ces femmes nues ou habillées feront des déjections devant une Kalashnikov pointée sur leur ventre !
Humour de Svoboda
Svoboda- Messages : 1459
Date d'inscription : 01/01/2010
Re: «Nos seins sont une arme dont le pouvoir a peur»
Au moins elles manifestent leur opinion, ce qui devient plus rare en ce moment.
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