Journée internationale de la mémoire des victimes de l'agression russe

[Caduce62]

Kyiv must create an International Day in Memory of Victims of Russian Aggression, Ukrainian commentator says



Russia's military aggression in Donbas devastated Ukrainian territories under the Russian occupation (Image: Novosti Segodnia)
http://euromaidanpress.com/2018/04/15/kyiv-must-create-an-international-day-in-memory-of-victims-of-russian-aggression-ukrainian-commentator-says/
2018/04/15 - 21:44 • ANALYSIS & OPINION, WAR IN THE DONBAS

The current conflict between Russia and the West provide an opportunity to create an International Day of Memory of the Victims of Russian Aggression in order to be “an eternal reminder to Russians both now and future generations that they must take responsibility before history for themselves and their leaders,” a Kyiv commentator says.

The conflict between Russia, on the one hand, and Ukraine and the rest of the world, on the other, is not simply a military one but rather is about symbols. Moscow has understood this with its “hybrid” war approach; it is time, the Ukrainian commentator writing under the name Setevoy Orakul says, to turn the tables on it.

Taken by Andrew Kravchenko, these stark black-and-white photos of the memorial service on February 1 in Kyiv for Ukrainian soldiers killed in and around Avdiyivka on January 29-30 convey the grief of all Ukrainians and their respect and gratitude before these Heroes, who made the ultimate sacrifice defending Ukraine from the Russian military aggression. Taken by Andrew Kravchenko, these stark black-and-white photos of the memorial service on February 1 in Kyiv for Ukrainian soldiers killed in and around Avdiyivka on January 29-30 convey the grief of all Ukrainians and their respect and gratitude before these Heroes, who made the ultimate sacrifice defending Ukraine from the Russian military aggression.
“The establishment of [such a day],” he writes in Delovaya Stolitsa, “would have enormous symbolic meaning both as a day for grieving and as opportunity to remind the world that Putin has not ended the war against our country.”

Ukraine should establish this day as a national one immediately, the commentator continues, and then work to secure its recognition at the international level much as it has done with the Holodomor. At present, “about 20 countries” recognize that this was an act of genocide “by the totalitarian Stalinist regime;” and more will in the future.

Le conflit actuel entre la Russie et l'Occident offre l'occasion de créer une Journée internationale de la mémoire des victimes de l'agression russe afin d'être «un rappel éternel aux Russes, aujourd'hui et pour les générations futures, qu'ils doivent assumer la responsabilité de l'histoire pour eux-mêmes et leurs les dirigeants », dit un commentateur de Kiev.

Le conflit entre la Russie, d'une part, et l'Ukraine et le reste du monde, d'autre part, n'est pas simplement militaire mais plutôt symbolique. Moscou l'a compris avec son approche de guerre «hybride»; Il est temps, écrit le commentateur ukrainien sous le nom de Setevoy Orakul, d'inverser les rôles.

Prises par Andrew Kravchenko, ces photographies en noir et blanc du service commémoratif des soldats ukrainiens tués à Avdiyivka les 29 et 30 janvier, à Kiev, expriment le chagrin de tous les Ukrainiens, leur respect et leur gratitude devant ces héros. qui a fait l'ultime sacrifice en défendant l'Ukraine de l'agression militaire russe. Prises par Andrew Kravchenko, ces photographies en noir et blanc du service commémoratif des soldats ukrainiens tués à Avdiyivka les 29 et 30 janvier, à Kiev, expriment le chagrin de tous les Ukrainiens, leur respect et leur gratitude devant ces héros. qui a fait l'ultime sacrifice en défendant l'Ukraine de l'agression militaire russe.

"L'établissement d'un tel jour", écrit-il dans Delovaya Stolitsa, "aurait une signification symbolique énorme à la fois comme un jour de deuil et une occasion de rappeler au monde que Poutine n'a pas mis fin à la guerre contre notre pays."

L'Ukraine devrait établir ce jour comme un jour national, poursuit le commentateur, et travailler ensuite pour assurer sa reconnaissance au niveau international, comme il l'a fait avec l'Holodomor. À l'heure actuelle, "une vingtaine de pays" reconnaissent qu'il s'agit d'un acte de génocide "du régime stalinien totalitaire" et de plus en plus de volonté à l'avenir.