Pélérinage d'Ouman
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Pélérinage d'Ouman
OUMAN (Ukraine), 9 sept 2010 (AFP) - Près de 24.000 juifs hassidiques en pèlerinage en Ukraine
Près de 24.000 juifs hassidiques, presque tous Israéliens, se sont rassemblés jeudi dans la ville d'Ouman, dans le centre de l'Ukraine, pour un pèlerinage annuel sur la tombe d'un célèbre rabbin, a-t-on appris auprès de la municipalité.
"Cette année, 23.627 personnes sont arrivées, dont environ 21.400 en provenance d'Israël et plus de 1.200 des Etats-Unis", a indiqué à l'AFP une responsable de la mairie, Janna Lozynska. "Le nombre de pèlerins progresse chaque année. En 2009, ils étaient 18.805".
Des centaines d'hommes priaient, chantaient et dansaient dans les rues des quartiers d'Ouman situés autour de la tombe de Rabbi Nahman, une des figures les plus importantes du monde hassidique, a constaté un photographe de l'AFP.
"Les célébrations se déroulent normalement, sans aucune plainte ni de la part de pèlerins, ni de la part des habitants", a assuré Petro Païevski, adjoint au maire de cette ville, située à 200 kilomètres au sud de Kiev.
Ouman se transforme une fois par an en capitale du hassidisme de Breslev, la communauté fondée par le rabbin Nahman il y a 200 ans. Des dizaines de milliers de juifs s'y réunissent au moment des célébrations de Roch ha-Chanah, le nouvel an juif.
Le recueillement sur la sépulture de Rabbi Nahman est une tradition qui provient d'un texte laissé par ce rabbin décédé en 1810. Il promettait à ses fidèles de les "sauver de l'enfer" s'ils venaient sur sa tombe au moment du nouvel an juif, qui a commencé cette année mercredi soir.
Originaire d'Ukraine et du Bélarus voisin, le hassidisme est un mouvement de juifs orthodoxes aux préceptes moraux rigoureux, qui insiste sur la communion joyeuse avec Dieu, en particulier par le chant et la danse.
Près de 24.000 juifs hassidiques, presque tous Israéliens, se sont rassemblés jeudi dans la ville d'Ouman, dans le centre de l'Ukraine, pour un pèlerinage annuel sur la tombe d'un célèbre rabbin, a-t-on appris auprès de la municipalité.
"Cette année, 23.627 personnes sont arrivées, dont environ 21.400 en provenance d'Israël et plus de 1.200 des Etats-Unis", a indiqué à l'AFP une responsable de la mairie, Janna Lozynska. "Le nombre de pèlerins progresse chaque année. En 2009, ils étaient 18.805".
Des centaines d'hommes priaient, chantaient et dansaient dans les rues des quartiers d'Ouman situés autour de la tombe de Rabbi Nahman, une des figures les plus importantes du monde hassidique, a constaté un photographe de l'AFP.
"Les célébrations se déroulent normalement, sans aucune plainte ni de la part de pèlerins, ni de la part des habitants", a assuré Petro Païevski, adjoint au maire de cette ville, située à 200 kilomètres au sud de Kiev.
Ouman se transforme une fois par an en capitale du hassidisme de Breslev, la communauté fondée par le rabbin Nahman il y a 200 ans. Des dizaines de milliers de juifs s'y réunissent au moment des célébrations de Roch ha-Chanah, le nouvel an juif.
Le recueillement sur la sépulture de Rabbi Nahman est une tradition qui provient d'un texte laissé par ce rabbin décédé en 1810. Il promettait à ses fidèles de les "sauver de l'enfer" s'ils venaient sur sa tombe au moment du nouvel an juif, qui a commencé cette année mercredi soir.
Originaire d'Ukraine et du Bélarus voisin, le hassidisme est un mouvement de juifs orthodoxes aux préceptes moraux rigoureux, qui insiste sur la communion joyeuse avec Dieu, en particulier par le chant et la danse.
Caduce62- Messages : 15059
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
Re: Pélérinage d'Ouman
Je confirme! Hier à Borispol, je pensais être à Tel Aviv ou autre aéroport international Israélien, tant il y avait de juifs.
Et je confirme aussi les chants et les danses: même dans l'avion, les stewards ont été obligé de faire assoirs les gens qui . . . dansaient. Ca faisait un peu ambiance "Rabbi Jacob". Dès le décolage, une trompette a été confisquée, mais il en fallait plus pour les arrêter les bougres.
Les pélerins métamorphosent la ville d'Ouman, qui a vu s'inscrire quelques-unes des pages les plus sombres de l'histoire des Juifs d'Europe orientale.
«Ici, c'est big shalom ! Cet endroit est unique au monde ! Quelle joie !». Pour la quatrième année consécutive, Moshe Ponte, Israélien né dans une famille de Séfarades marocains, vient se mêler à l'immense foule des pèlerins juifs venus célébrer le Nouvel An. À l'appel du schofar, la trompette traditionnelle, près de 30 000 hommes envahissent les rues. «Shanatova ! Bonne année !», lance Moshe, tout sourire.
Israël et ses querelles sont à des milliers de kilomètres. À Ouman, petite ville ukrainienne qui abrite le tombeau du rabbi Nahman de Breslev, mort il y a tout juste deux cents ans, toutes les différences s'affichent et se mélangent en une joyeuse transe. Des ultraorthodoxes aux longues papillotes, vêtus de redingotes noires et coiffés d'imposantes toques de fourrure, prient, chantent et dansent au côté de jeunes en jeans moulants, la kippa péniblement arrimée aux dreadlocks.
Tous répondent à l'appel du rabbi Nahman, un des grands penseurs du hassidisme, mouvement religieux apparu au XVIIIe siècle qui constitue aujourd'hui l'un des piliers de l'orthodoxie juive. «Ceux qui viennent sur la tombe du rabbi pour Rosh ha-Shana, lisent les psaumes rituels et font acte de charité seront sauvés de l'enfer», explique Efi, débarqué de Tel-Aviv.
Depuis cinq ans, à chaque Rosh ha-Shana, le jeune homme abandonne sa petite amie pour venir à Ouman. «Je suis complètement opposé aux codes rigoristes des orthodoxes, mais ici, curieusement, je les accepte», reconnaît Efi, en contemplant l'assemblée exclusivement masculine. Les quelques femmes qui ont fait le voyage se tiennent scrupuleusement à l'écart des festivités.
Ben Hartman, jeune reporter du Jerusalem Post, n'en revient pas : «Je rentrais d'un voyage de presse à Kiev quand j'ai rencontré des pèlerins américains à l'aéroport. Ils m'ont invité à Ouman et, depuis, je suis là, je partage une chambre minuscule avec des hommes à qui je n'aurais jamais adressé la parole en d'autres circonstances. C'est une expérience unique. Ashkénazes, Séfarades, orthodoxes, laïcs, sionistes, antisionistes… Un tel rassemblement est inimaginable en Israël !»
Une manne financière
«Si le rabbi rassemble autant de personnes différentes, c'est parce que son enseignement est basé sur la simplicité et la joie», explique Ashalom, 30 ans, un des rares hassidim à accepter de parler avec une femme. À l'ombre des saules pleureurs qui bordent le petit lac, il prie en toute quiétude avec son jeune fils, Malachie : «Pour moi, cette possibilité d'une relation heureuse avec Dieu a été une révélation. Je suis heureux que tous les Juifs, quels qu'ils soient, puissent vivre cela.»
La ville s'en voit métamorphosée. Dans la rue Pouchkine, qui descend doucement vers la vaste synagogue flambant neuve et le tombeau du tsadik (saint), chaque entrée d'immeuble, chaque cour de maison, est investie par les pèlerins qui y installent, le temps d'une semaine, écoles rabbiniques, cantines casher et bains rituels 24 heures sur 24.
Pour les habitants, ce pèlerinage est une manne financière. Un lit dans une chambrée de 12 personnes se monnaie jusqu'à 300 dollars par nuit. Les porteurs de valise peuvent empocher en 3 jours quelque 500 dollars, l'équivalent de deux mois de salaire. La Mairie se frotte les mains, et vient de signer un accord de jumelage avec la ville israélienne d'Ashkelon.
Une reconquête fulgurante dans une ville qui a vu s'écrire quelques-unes des pages les plus sombres de l'histoire des Juifs d'Europe orientale. En 1728, quelques années avant la naissance de rabbi Nahman, entre 20 000 et 30 000 Juifs y ont été exterminés par les Cosaques. Deux siècles plus tard, des dizaines de milliers de Juifs, qui représentaient la moitié de la population de la ville avant la Seconde Guerre mondiale, ont péri sous les balles des Einzatsgruppen. La répression soviétique et l'émigration massive vers Israël ont achevé de décimer la communauté. «Malgré cela, la prophétie du rabbi se réalise. Chaque année, nous sommes plus nombreux !», exulte Moshe.
Abreu, un homme d'affaires de Sao Paolo, découvre avec émotion le pays de son grand-père : «Pour beaucoup de Juifs, l'Europe de l'Est n'est qu'un vaste tombeau. Ils se contentent d'un aller-retour à Auschwitz. Ici, c'est différent. Enfin, nous pouvons nous réapproprier dans la joie ce que la Shoah a anéanti.»
Et je confirme aussi les chants et les danses: même dans l'avion, les stewards ont été obligé de faire assoirs les gens qui . . . dansaient. Ca faisait un peu ambiance "Rabbi Jacob". Dès le décolage, une trompette a été confisquée, mais il en fallait plus pour les arrêter les bougres.
Les pélerins métamorphosent la ville d'Ouman, qui a vu s'inscrire quelques-unes des pages les plus sombres de l'histoire des Juifs d'Europe orientale.
«Ici, c'est big shalom ! Cet endroit est unique au monde ! Quelle joie !». Pour la quatrième année consécutive, Moshe Ponte, Israélien né dans une famille de Séfarades marocains, vient se mêler à l'immense foule des pèlerins juifs venus célébrer le Nouvel An. À l'appel du schofar, la trompette traditionnelle, près de 30 000 hommes envahissent les rues. «Shanatova ! Bonne année !», lance Moshe, tout sourire.
Israël et ses querelles sont à des milliers de kilomètres. À Ouman, petite ville ukrainienne qui abrite le tombeau du rabbi Nahman de Breslev, mort il y a tout juste deux cents ans, toutes les différences s'affichent et se mélangent en une joyeuse transe. Des ultraorthodoxes aux longues papillotes, vêtus de redingotes noires et coiffés d'imposantes toques de fourrure, prient, chantent et dansent au côté de jeunes en jeans moulants, la kippa péniblement arrimée aux dreadlocks.
Tous répondent à l'appel du rabbi Nahman, un des grands penseurs du hassidisme, mouvement religieux apparu au XVIIIe siècle qui constitue aujourd'hui l'un des piliers de l'orthodoxie juive. «Ceux qui viennent sur la tombe du rabbi pour Rosh ha-Shana, lisent les psaumes rituels et font acte de charité seront sauvés de l'enfer», explique Efi, débarqué de Tel-Aviv.
Depuis cinq ans, à chaque Rosh ha-Shana, le jeune homme abandonne sa petite amie pour venir à Ouman. «Je suis complètement opposé aux codes rigoristes des orthodoxes, mais ici, curieusement, je les accepte», reconnaît Efi, en contemplant l'assemblée exclusivement masculine. Les quelques femmes qui ont fait le voyage se tiennent scrupuleusement à l'écart des festivités.
Ben Hartman, jeune reporter du Jerusalem Post, n'en revient pas : «Je rentrais d'un voyage de presse à Kiev quand j'ai rencontré des pèlerins américains à l'aéroport. Ils m'ont invité à Ouman et, depuis, je suis là, je partage une chambre minuscule avec des hommes à qui je n'aurais jamais adressé la parole en d'autres circonstances. C'est une expérience unique. Ashkénazes, Séfarades, orthodoxes, laïcs, sionistes, antisionistes… Un tel rassemblement est inimaginable en Israël !»
Une manne financière
«Si le rabbi rassemble autant de personnes différentes, c'est parce que son enseignement est basé sur la simplicité et la joie», explique Ashalom, 30 ans, un des rares hassidim à accepter de parler avec une femme. À l'ombre des saules pleureurs qui bordent le petit lac, il prie en toute quiétude avec son jeune fils, Malachie : «Pour moi, cette possibilité d'une relation heureuse avec Dieu a été une révélation. Je suis heureux que tous les Juifs, quels qu'ils soient, puissent vivre cela.»
La ville s'en voit métamorphosée. Dans la rue Pouchkine, qui descend doucement vers la vaste synagogue flambant neuve et le tombeau du tsadik (saint), chaque entrée d'immeuble, chaque cour de maison, est investie par les pèlerins qui y installent, le temps d'une semaine, écoles rabbiniques, cantines casher et bains rituels 24 heures sur 24.
Pour les habitants, ce pèlerinage est une manne financière. Un lit dans une chambrée de 12 personnes se monnaie jusqu'à 300 dollars par nuit. Les porteurs de valise peuvent empocher en 3 jours quelque 500 dollars, l'équivalent de deux mois de salaire. La Mairie se frotte les mains, et vient de signer un accord de jumelage avec la ville israélienne d'Ashkelon.
Une reconquête fulgurante dans une ville qui a vu s'écrire quelques-unes des pages les plus sombres de l'histoire des Juifs d'Europe orientale. En 1728, quelques années avant la naissance de rabbi Nahman, entre 20 000 et 30 000 Juifs y ont été exterminés par les Cosaques. Deux siècles plus tard, des dizaines de milliers de Juifs, qui représentaient la moitié de la population de la ville avant la Seconde Guerre mondiale, ont péri sous les balles des Einzatsgruppen. La répression soviétique et l'émigration massive vers Israël ont achevé de décimer la communauté. «Malgré cela, la prophétie du rabbi se réalise. Chaque année, nous sommes plus nombreux !», exulte Moshe.
Abreu, un homme d'affaires de Sao Paolo, découvre avec émotion le pays de son grand-père : «Pour beaucoup de Juifs, l'Europe de l'Est n'est qu'un vaste tombeau. Ils se contentent d'un aller-retour à Auschwitz. Ici, c'est différent. Enfin, nous pouvons nous réapproprier dans la joie ce que la Shoah a anéanti.»
Re: Pélérinage d'Ouman
KIEV, 13 sept 2010 (AFP) - Ukraine: dix pèlerins juifs expulsés vers Israël après des conflits locaux
Dix juifs hassidiques figurant parmi une vingtaine de milliers de pèlerins qui s'étaient rassemblés sur la tombe d'un célèbre rabbin en Ukraine ont été expulsés vers Israël, après des conflits avec des habitants, a indiqué lundi la police ukrainienne.
Ces Israéliens ont été expulsés d'Ukraine et interdits de séjour pendant cinq ans à la suite de deux incidents vendredi avec des habitants à Ouman (centre de l'Ukraine), a-t-elle précisé dans un communiqué cité par l'agence Interfax.
La première querelle a éclaté avec une Ukrainienne ayant loué son appartement à des pélerins. Un voisin est intervenu et a tenté d'appeller la police.
"Des hassidim (...) ont commencé à battre cet homme et l'ont poursuivi jusque dans la rue. Un passant qui a essayé de le défendre a aussi reçu plusieurs coups", a affirmé la police. Les deux hommes, des Ukrainiens, ont été hospitalisés, selon la même source.
L'autre incident s'est produite avec des fidèles d'une église évangélique à Ouman qui distribuaient des tracts et des tee-shirts vantant leur confession, une action à laquelle se sont opposés les pèlerins hassidiques, selon la même source.
Près de 24.000 juifs hassidiques, presque tous Israéliens, se sont rassemblés la semaine dernière à Ouman pour un pèlerinage annuel pendant les célébrations de Rosh Hashana, le nouvel an juif, selon la municipalité.
Des incidents entre des pèlerins et habitants locaux ne sont pas rares pendant ces festivités, mais ils sont en général peu importants.
Dix juifs hassidiques figurant parmi une vingtaine de milliers de pèlerins qui s'étaient rassemblés sur la tombe d'un célèbre rabbin en Ukraine ont été expulsés vers Israël, après des conflits avec des habitants, a indiqué lundi la police ukrainienne.
Ces Israéliens ont été expulsés d'Ukraine et interdits de séjour pendant cinq ans à la suite de deux incidents vendredi avec des habitants à Ouman (centre de l'Ukraine), a-t-elle précisé dans un communiqué cité par l'agence Interfax.
La première querelle a éclaté avec une Ukrainienne ayant loué son appartement à des pélerins. Un voisin est intervenu et a tenté d'appeller la police.
"Des hassidim (...) ont commencé à battre cet homme et l'ont poursuivi jusque dans la rue. Un passant qui a essayé de le défendre a aussi reçu plusieurs coups", a affirmé la police. Les deux hommes, des Ukrainiens, ont été hospitalisés, selon la même source.
L'autre incident s'est produite avec des fidèles d'une église évangélique à Ouman qui distribuaient des tracts et des tee-shirts vantant leur confession, une action à laquelle se sont opposés les pèlerins hassidiques, selon la même source.
Près de 24.000 juifs hassidiques, presque tous Israéliens, se sont rassemblés la semaine dernière à Ouman pour un pèlerinage annuel pendant les célébrations de Rosh Hashana, le nouvel an juif, selon la municipalité.
Des incidents entre des pèlerins et habitants locaux ne sont pas rares pendant ces festivités, mais ils sont en général peu importants.
Caduce62- Messages : 15059
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
UMAN septembre 2011
Bonjour,
Nous pensions passer par UMAN en septembre. mais je me dis que ce n'est peut ^tre pas un bon plan d'y tomber pendant le pèlerinage juif. On risque de dormir dans le parc!! j'ai essayer de trouver la date pour 2011 mais je n'y arrive pas. Donc HELP!!!
Merci
Nous pensions passer par UMAN en septembre. mais je me dis que ce n'est peut ^tre pas un bon plan d'y tomber pendant le pèlerinage juif. On risque de dormir dans le parc!! j'ai essayer de trouver la date pour 2011 mais je n'y arrive pas. Donc HELP!!!
Merci
simone- Messages : 18
Date d'inscription : 08/08/2011
Re: Pélérinage d'Ouman
simone a écrit: j'ai essayer de trouver la date pour 2011 mais je n'y arrive pas. Donc HELP!!!
Merci
Lors de la fête solennelle de Roch Hachana, le nouvel an juif, des milliers d'hassidim effectuent généralement un pèlerinage sur la tombe du fondateur de leur mouvement, Rabbi Nahman, à Ouman soit thériquement les jeudi 29 et vendredi 30 septembre 2011
(sous réserve !!)
http://www.calj.net/roshhashana
Caduce62- Messages : 15059
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
Re: Pélérinage d'Ouman
Euh, l'an passé c'était plus tôt.
Me suis retrouvé à Borispol . . . en Israël, tant il y en avait et des pas triste.
Si mes souvenirs ne sont pas (trop) mauvais, c'était mi septembre.
Me suis retrouvé à Borispol . . . en Israël, tant il y en avait et des pas triste.
Si mes souvenirs ne sont pas (trop) mauvais, c'était mi septembre.
Re: Pélérinage d'Ouman
Matt a écrit:Euh, l'an passé c'était plus tôt.
Me suis retrouvé à Borispol . . . en Israël, tant il y en avait et des pas triste.
Si mes souvenirs ne sont pas (trop) mauvais, c'était mi septembre.
C'est normal car ce n'est pas une date fixe, exactement comme les fêtes de Pâques pour les chrétiens.
Le calendrier suivant :
http://www.calj.net/intro
permet de connaitre ces dates car c'est un peu compliqué
Caduce62- Messages : 15059
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 61
Localisation : chez les Ch'tis
Re: Pélérinage d'Ouman
effectivement d'après le calendrier c'est fin septembre. Donc j'y serai déjà passé.
simone- Messages : 18
Date d'inscription : 08/08/2011
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