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Re: Blagues
myko Jeu 25 Nov - 21:57
Quelle bonne réaction avoir au volant dans cette situation :
A. Dépasser le vélo.
B. Pourquoi ?
C. Quel vélo ?
A. Dépasser le vélo.
B. Pourquoi ?
C. Quel vélo ?
myko- Messages : 196
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Re: Blagues
Krispoluk Sam 27 Nov - 18:59
Il y a un moment qu'on n'a plus fait dans la gaudriole sur le Forum alors, je vais en remettre une louche ! 
Je ne savais pas où poster ça, alors je le met en blague...
Attendu que ce n'est pas un mec honorablement connu comme Nicolas Hulot qui se livrerait à ça, quand même,
Je préfère considérer que c'est une blague qui va se dégonfler rapidement... 
Le magazine de France 2 a diffusé jeudi le témoignage de quatre femmes accusant l’ancien ministre de viol et d’agressions sexuelles. Retour sur un travail journalistique et un dispositif exceptionnels, qui ont abouti à l’ouverture d’une enquête préliminaire par le parquet de Paris.
Les révélations d’Envoyé spécial ont eu l’effet d’une bombe. Vendredi 26 novembre, le parquet de Paris a annoncé ouvrir une enquête préliminaire contre Nicolas Hulot, pour des faits de viol et d’agressions sexuelles. La veille, le magazine de France 2 rassemblait 3,8 millions de téléspectateurs (un record cette année) devant Nicolas Hulot : des femmes accusent, un remarquable travail journalistique, qui donnait la parole à quatre femmes accusant l’ancien ministre de la Transition écologique d’Emmanuel Macron de viol et d’agressions sexuelles. Trois d’entre elles ont choisi de sortir de l’anonymat pour briser un silence trop longtemps contenu. Les faits évoqués, prescrits par la loi, se seraient déroulés entre 1989 et 2008.
Le dispositif mis en place par France 2 était exceptionnel, et un débat a suivi l’émission pour accompagner les révélations. La journaliste Virginie Vilar a ainsi pu décrire son travail et préciser de quelle manière, quatre années durant, elle a accompagné ces femmes « en plusieurs étapes », expliquant que « des éléments les ont décidées à prendre la parole ». De son côté, Élise Lucet, qui s’est par ailleurs confiée à Télérama, a tenu à réaffirmer la rigueur journalistique de cette enquête ô combien sensible. Un rappel nécessaire, surtout après la prise de parole de Nicolas Hulot, qui s’était invité la veille sur le plateau de BFMTV pour fustiger « un tribunal médiatique : je suis convoqué par des journalistes transformés en procureurs juges. Je dis à Mme Ernotte “pesez bien les conséquences sur une famille, sur un homme, sur une réputation” », s’est indigné l’ex-animateur télé.
Une tentative de déminage comme en 2018, pour répondre à une accusation de viol révélée par le magazine Ebdo. Le journal revenait sur la plainte déposée en 2008 par Pascale Mitterrand pour une agression subie en juin 1997 lors d’un reportage photo qu’effectuait la jeune journaliste stagiaire, alors âgée de 19 ans, dans la villa de Nicolas Hulot en Corse. La petite fille de l’ancien président n’a pas souhaité s’exprimer dans le cadre du reportage d’Envoyé spécial.
Que disent donc les nouveaux témoignages rendus publics ce jeudi 25 novembre ? D’abord, il faut souligner que les femmes concernées étaient jeunes au moment des faits présumés. L’une d’elles était même mineure. Sylvia a en effet 16 ans lorsqu’elle dit avoir été agressée sexuellement par Nicolas Hulot, le 27 mai 1989. Son témoignage, lourd et difficile, ouvre le reportage. Nicolas Hulot, 34 ans, présentateur vedette d’Ushuaïa, anime alors l’émission Antipodes sur France Inter. Sylvia se reconnaît « dans cette personnalité médiatique, ses actions et sa cause ». L’adolescente décide de lui écrire « comme d’autres ados écrivent à un chanteur ». Elle reçoit en réponse un carton d’invitation à son émission de radio. L’animateur l’invite ensuite à prendre le petit déjeuner dans un café en face de la Maison de la radio, puis lui propose de la déposer au métro. C’est là, dit-elle, qu’il va la contraindre à lui faire une fellation. Sylvia ne peut retenir ses larmes en évoquant la scène. Sous le choc, elle va garder le silence. « Une gamine de 16 ans contre Nicolas Hulot, qui allait me croire ? » La journaliste lui demande pourquoi elle parle trente-deux ans après : « Pour me libérer. Il faut que je sorte de cette voiture. »
“Il essaye de m’embrasser, me touche les seins, l’entrejambe… Je me débats.” Cécile
Cécile, elle, a 23 ans en 1998 et travaille comme contractuelle à l’ambassade de Moscou. L’administration est sollicitée par l’Élysée en personne pour démêler un blocage aux douanes russes. Nicolas Hulot et son équipe sont retenus à l’aéroport avec leur matériel. Cécile est missionnée. « Une expérience inhabituelle de rencontrer cette personnalité très populaire, très amie avec Jacques Chirac comme on me l’a rappelé plusieurs fois. » L’affaire s’arrange. « Il était enthousiaste car j’avais sauvé son émission à 7 millions de francs, me confie-t-il. » Il l’invite à dîner au Novotel avec l’équipe avant de proposer une sortie en boîte. Un numéro de drague assez lourd pousse la jeune femme à partir. Il insiste pour partager son taxi. C’est là, dit-elle, qu’il va l’agresser. « Si tu veux, je peux t’aider à avoir un boulot à TF1 », lui aurait-il proposé à plusieurs reprises, lui glissant la main sur la cuisse. « Il se jette sur moi. Il essaye de m’embrasser, me touche les seins, l’entrejambe… Je me débats. » Cécile se souvient de l’avoir frappé au visage. « Je crois que le non était très clair, que je ne souhaitais pas avoir une relation sexuelle. » Elle parvient à sortir du taxi et à rentrer chez elle. Elle ne portera pas plainte : « Porter plainte ? À Moscou ? Contre un ami du président Chirac ? Non, je n’y ai jamais pensé… »
Claire Nouvian, militante écologiste, et une ancienne collaboratrice de TF1 préférant garder l’anonymat racontent quant à elles la même histoire. Celle d’un baiser contraint et surprise à la fin d’une réunion professionnelle. Claire Nouvian livre un souvenir d’une émission de 2008 d’Ushuaïa au Costa Rica où elle avait accompagné Nicolas Hulot. Elle s’étonne alors des confidences de l’entourage de celui qui est à cette époque la personnalité préférée de Français : « Évite les situations où tu te trouves seule avec lui et sur le bateau, ferme bien ta cabine à clé. »
“Ni de près ni de loin, je n’ai commis ces actes (...). Ces femmes mentent.” Nicolas Hulot
Nicolas Hulot n’a pas tenu à donner suite aux différentes sollicitations d’Élise Lucet. Elle a donc choisi de diffuser la dernière conversation téléphonique en date avec lui — une séquence saisissante. « On ne me foutra jamais la paix », lâche-t-il au téléphone. L’homme se dit alors bouleversé mais se défend d’avoir eu des « relations ambiguës » et confesse « des histoires sans lendemain comme tout le monde ». « Je suis anéanti par cette nouvelle », dit encore l’ex-candidat à la primaire écologiste de 2011. Une surprise pourtant pas totale puisque, comme nous l’a confié Élise Lucet, il était au courant de l’enquête de Virginie Vilar. Comme en 2018, il fustige « le tribunal médiatique » et parle de calomnie : « Ni de près ni de loin, je n’ai commis ces actes, ces affirmations sont purement mensongères. Donc ces femmes mentent. »
Depuis la diffusion de l’enquête, les politiques, si prompts à le défendre il y a trois ans, se sont montrés relativement discrets. Envoyé spécial exhume notamment une séquence de 2018 où Marlène Schiappa (alors secrétaire d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations) mettait en scène face caméra son soutien au numéro 3 du gouvernement de l’époque. Le matin du vendredi 26 novembre, la désormais ministre en charge de la Citoyenneté se montrait plus réservée : « Aujourd’hui, il y a eu une longue enquête de quatre ans. Nous avons plusieurs témoignages de femmes qui parlent de ce qu’elles disent avoir vécu. Et aujourd’hui, je souhaite que la justice puisse se saisir de cela et ouvre une enquête. » Le parquet s’en est donc saisi ce vendredi, en ouvrant une enquête préliminaire qui devra déterminer « si les faits dénoncés peuvent caractériser une infraction pénale et si, au vu de leur ancienneté, la prescription de l’action publique est acquise », selon le communiqué du parquet.
« Nous allons continuer à travailler sur ce dossier », nous a confié de son côté Élise Lucet, évoquant une suite probable à la première enquête. Elle affirme également que la prestation de Nicolas Hulot sur BFMTV a convaincu plusieurs victimes de parler. C’est le cas notamment de l’ex-animatrice belge Maureen Dor et d’une ancienne collaboratrice du présentateur d’Ushuaïa, dont le site de France TV a publié les témoignages adressés à la rédaction. De son côté, Nicolas Hulot, « écœuré », avait annoncé sur BFMTV sa décision de « se retirer de la vie publique ». L’affaire ne fait pourtant que commencer.
Dominique Strauss-Kahn et Nicolas Hulot même combat ? Ou alors, simplement le concours de celui qui a la plus grosse ?
Autre hypothèse, lors d'un reportage de l'extrême, effectué à Prypiat, Hulot s'est fait mordre par un écureuil mutant, atteint du priapisme ?
Je ne savais pas où poster ça, alors je le met en blague...
Attendu que ce n'est pas un mec honorablement connu comme Nicolas Hulot qui se livrerait à ça, quand même,
Je préfère considérer que c'est une blague qui va se dégonfler rapidement... Nicolas Hulot : après l’enquête d’“Envoyé spécial”, l’onde de choc
Le magazine de France 2 a diffusé jeudi le témoignage de quatre femmes accusant l’ancien ministre de viol et d’agressions sexuelles. Retour sur un travail journalistique et un dispositif exceptionnels, qui ont abouti à l’ouverture d’une enquête préliminaire par le parquet de Paris.
Les révélations d’Envoyé spécial ont eu l’effet d’une bombe. Vendredi 26 novembre, le parquet de Paris a annoncé ouvrir une enquête préliminaire contre Nicolas Hulot, pour des faits de viol et d’agressions sexuelles. La veille, le magazine de France 2 rassemblait 3,8 millions de téléspectateurs (un record cette année) devant Nicolas Hulot : des femmes accusent, un remarquable travail journalistique, qui donnait la parole à quatre femmes accusant l’ancien ministre de la Transition écologique d’Emmanuel Macron de viol et d’agressions sexuelles. Trois d’entre elles ont choisi de sortir de l’anonymat pour briser un silence trop longtemps contenu. Les faits évoqués, prescrits par la loi, se seraient déroulés entre 1989 et 2008.
Le dispositif mis en place par France 2 était exceptionnel, et un débat a suivi l’émission pour accompagner les révélations. La journaliste Virginie Vilar a ainsi pu décrire son travail et préciser de quelle manière, quatre années durant, elle a accompagné ces femmes « en plusieurs étapes », expliquant que « des éléments les ont décidées à prendre la parole ». De son côté, Élise Lucet, qui s’est par ailleurs confiée à Télérama, a tenu à réaffirmer la rigueur journalistique de cette enquête ô combien sensible. Un rappel nécessaire, surtout après la prise de parole de Nicolas Hulot, qui s’était invité la veille sur le plateau de BFMTV pour fustiger « un tribunal médiatique : je suis convoqué par des journalistes transformés en procureurs juges. Je dis à Mme Ernotte “pesez bien les conséquences sur une famille, sur un homme, sur une réputation” », s’est indigné l’ex-animateur télé.
Une tentative de déminage comme en 2018, pour répondre à une accusation de viol révélée par le magazine Ebdo. Le journal revenait sur la plainte déposée en 2008 par Pascale Mitterrand pour une agression subie en juin 1997 lors d’un reportage photo qu’effectuait la jeune journaliste stagiaire, alors âgée de 19 ans, dans la villa de Nicolas Hulot en Corse. La petite fille de l’ancien président n’a pas souhaité s’exprimer dans le cadre du reportage d’Envoyé spécial.
“Une gamine de 16 ans contre Nicolas Hulot, qui allait me croire ?” Sylvia
Que disent donc les nouveaux témoignages rendus publics ce jeudi 25 novembre ? D’abord, il faut souligner que les femmes concernées étaient jeunes au moment des faits présumés. L’une d’elles était même mineure. Sylvia a en effet 16 ans lorsqu’elle dit avoir été agressée sexuellement par Nicolas Hulot, le 27 mai 1989. Son témoignage, lourd et difficile, ouvre le reportage. Nicolas Hulot, 34 ans, présentateur vedette d’Ushuaïa, anime alors l’émission Antipodes sur France Inter. Sylvia se reconnaît « dans cette personnalité médiatique, ses actions et sa cause ». L’adolescente décide de lui écrire « comme d’autres ados écrivent à un chanteur ». Elle reçoit en réponse un carton d’invitation à son émission de radio. L’animateur l’invite ensuite à prendre le petit déjeuner dans un café en face de la Maison de la radio, puis lui propose de la déposer au métro. C’est là, dit-elle, qu’il va la contraindre à lui faire une fellation. Sylvia ne peut retenir ses larmes en évoquant la scène. Sous le choc, elle va garder le silence. « Une gamine de 16 ans contre Nicolas Hulot, qui allait me croire ? » La journaliste lui demande pourquoi elle parle trente-deux ans après : « Pour me libérer. Il faut que je sorte de cette voiture. »
“Il essaye de m’embrasser, me touche les seins, l’entrejambe… Je me débats.” Cécile
Cécile, elle, a 23 ans en 1998 et travaille comme contractuelle à l’ambassade de Moscou. L’administration est sollicitée par l’Élysée en personne pour démêler un blocage aux douanes russes. Nicolas Hulot et son équipe sont retenus à l’aéroport avec leur matériel. Cécile est missionnée. « Une expérience inhabituelle de rencontrer cette personnalité très populaire, très amie avec Jacques Chirac comme on me l’a rappelé plusieurs fois. » L’affaire s’arrange. « Il était enthousiaste car j’avais sauvé son émission à 7 millions de francs, me confie-t-il. » Il l’invite à dîner au Novotel avec l’équipe avant de proposer une sortie en boîte. Un numéro de drague assez lourd pousse la jeune femme à partir. Il insiste pour partager son taxi. C’est là, dit-elle, qu’il va l’agresser. « Si tu veux, je peux t’aider à avoir un boulot à TF1 », lui aurait-il proposé à plusieurs reprises, lui glissant la main sur la cuisse. « Il se jette sur moi. Il essaye de m’embrasser, me touche les seins, l’entrejambe… Je me débats. » Cécile se souvient de l’avoir frappé au visage. « Je crois que le non était très clair, que je ne souhaitais pas avoir une relation sexuelle. » Elle parvient à sortir du taxi et à rentrer chez elle. Elle ne portera pas plainte : « Porter plainte ? À Moscou ? Contre un ami du président Chirac ? Non, je n’y ai jamais pensé… »
Claire Nouvian, militante écologiste, et une ancienne collaboratrice de TF1 préférant garder l’anonymat racontent quant à elles la même histoire. Celle d’un baiser contraint et surprise à la fin d’une réunion professionnelle. Claire Nouvian livre un souvenir d’une émission de 2008 d’Ushuaïa au Costa Rica où elle avait accompagné Nicolas Hulot. Elle s’étonne alors des confidences de l’entourage de celui qui est à cette époque la personnalité préférée de Français : « Évite les situations où tu te trouves seule avec lui et sur le bateau, ferme bien ta cabine à clé. »
“Ni de près ni de loin, je n’ai commis ces actes (...). Ces femmes mentent.” Nicolas Hulot
Nicolas Hulot n’a pas tenu à donner suite aux différentes sollicitations d’Élise Lucet. Elle a donc choisi de diffuser la dernière conversation téléphonique en date avec lui — une séquence saisissante. « On ne me foutra jamais la paix », lâche-t-il au téléphone. L’homme se dit alors bouleversé mais se défend d’avoir eu des « relations ambiguës » et confesse « des histoires sans lendemain comme tout le monde ». « Je suis anéanti par cette nouvelle », dit encore l’ex-candidat à la primaire écologiste de 2011. Une surprise pourtant pas totale puisque, comme nous l’a confié Élise Lucet, il était au courant de l’enquête de Virginie Vilar. Comme en 2018, il fustige « le tribunal médiatique » et parle de calomnie : « Ni de près ni de loin, je n’ai commis ces actes, ces affirmations sont purement mensongères. Donc ces femmes mentent. »
Depuis la diffusion de l’enquête, les politiques, si prompts à le défendre il y a trois ans, se sont montrés relativement discrets. Envoyé spécial exhume notamment une séquence de 2018 où Marlène Schiappa (alors secrétaire d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations) mettait en scène face caméra son soutien au numéro 3 du gouvernement de l’époque. Le matin du vendredi 26 novembre, la désormais ministre en charge de la Citoyenneté se montrait plus réservée : « Aujourd’hui, il y a eu une longue enquête de quatre ans. Nous avons plusieurs témoignages de femmes qui parlent de ce qu’elles disent avoir vécu. Et aujourd’hui, je souhaite que la justice puisse se saisir de cela et ouvre une enquête. » Le parquet s’en est donc saisi ce vendredi, en ouvrant une enquête préliminaire qui devra déterminer « si les faits dénoncés peuvent caractériser une infraction pénale et si, au vu de leur ancienneté, la prescription de l’action publique est acquise », selon le communiqué du parquet.
« Nous allons continuer à travailler sur ce dossier », nous a confié de son côté Élise Lucet, évoquant une suite probable à la première enquête. Elle affirme également que la prestation de Nicolas Hulot sur BFMTV a convaincu plusieurs victimes de parler. C’est le cas notamment de l’ex-animatrice belge Maureen Dor et d’une ancienne collaboratrice du présentateur d’Ushuaïa, dont le site de France TV a publié les témoignages adressés à la rédaction. De son côté, Nicolas Hulot, « écœuré », avait annoncé sur BFMTV sa décision de « se retirer de la vie publique ». L’affaire ne fait pourtant que commencer.
Dominique Strauss-Kahn et Nicolas Hulot même combat ? Ou alors, simplement le concours de celui qui a la plus grosse ?
Autre hypothèse, lors d'un reportage de l'extrême, effectué à Prypiat, Hulot s'est fait mordre par un écureuil mutant, atteint du priapisme ?
Krispoluk- Messages : 9787
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Re: Blagues
Thuramir Dim 28 Nov - 10:58
La gauche caviar dans toute sa splendeur...Krispoluk a écrit:
Nicolas Hulot : après l’enquête d’“Envoyé spécial”, l’onde de choc
Thuramir- Messages : 3676
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Re: Blagues
Krispoluk Lun 29 Nov - 21:08
Il n'y a rien de plus facile que de tester la crédulité des gens...
J'étais hier a l'intermarché et j'avais acheté un grand sac de croquettes Frolic pour mon chien. J'étais dans la file pour payer quand une femme derrière moi me dit: «Vous avez un chien?»
Sur une impulsion, je lui réponds: «Non, je recommence mon régime Frolic. Encore que je ne devrais pas, vu que la dernière fois, j'ai terminé à l'hôpital. Mais j'ai perdu 25 kilos avant de me réveiller aux soins intensifs avec des tubes partout et une perfusion dans chaque bras.»
À ce moment-là, les yeux commençaient à lui sortir de la tête. J'ai donc continué avec mon invention de régime car elle avait totalement gobé le truc.
Je lui dis: «C'est facile et pas cher, il suffit de remplir ses poches avec les croquettes, et d'en manger une ou deux chaque fois que la faim se fait trop sentir».
À cet instant, je dois dire que tout le monde dans la file était fasciné par mon histoire.
Je continue: «L'emballage dit que cette nourriture est complète, donc je vais encore essayer.»
Horrifiée, elle me demande: «Quelque chose vous a intoxiqué dans cette nourriture, et c'est pour ça que vous avez terminé à l'hôpital?»
J'ai répondu: «Non, j'étais assis au milieu de la rue en train de me lécher le cul quand une voiture m'a percuté».
J'étais hier a l'intermarché et j'avais acheté un grand sac de croquettes Frolic pour mon chien. J'étais dans la file pour payer quand une femme derrière moi me dit: «Vous avez un chien?»
Sur une impulsion, je lui réponds: «Non, je recommence mon régime Frolic. Encore que je ne devrais pas, vu que la dernière fois, j'ai terminé à l'hôpital. Mais j'ai perdu 25 kilos avant de me réveiller aux soins intensifs avec des tubes partout et une perfusion dans chaque bras.»
À ce moment-là, les yeux commençaient à lui sortir de la tête. J'ai donc continué avec mon invention de régime car elle avait totalement gobé le truc.
Je lui dis: «C'est facile et pas cher, il suffit de remplir ses poches avec les croquettes, et d'en manger une ou deux chaque fois que la faim se fait trop sentir».
À cet instant, je dois dire que tout le monde dans la file était fasciné par mon histoire.
Je continue: «L'emballage dit que cette nourriture est complète, donc je vais encore essayer.»
Horrifiée, elle me demande: «Quelque chose vous a intoxiqué dans cette nourriture, et c'est pour ça que vous avez terminé à l'hôpital?»
J'ai répondu: «Non, j'étais assis au milieu de la rue en train de me lécher le cul quand une voiture m'a percuté».
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Re: Blagues
Thuramir Lun 29 Nov - 23:09
Krispoluk a écrit:Il n'y a rien de plus facile que de tester la crédulité des gens...
J'étais hier a l'intermarché et j'avais acheté un grand sac de croquettes Frolic pour mon chien. J'étais dans la file pour payer quand une femme derrière moi me dit: «Vous avez un chien?»
Sur une impulsion, je lui réponds: «Non, je recommence mon régime Frolic. Encore que je ne devrais pas, vu que la dernière fois, j'ai terminé à l'hôpital. Mais j'ai perdu 25 kilos avant de me réveiller aux soins intensifs avec des tubes partout et une perfusion dans chaque bras.»
À ce moment-là, les yeux commençaient à lui sortir de la tête. J'ai donc continué avec mon invention de régime car elle avait totalement gobé le truc.
Je lui dis: «C'est facile et pas cher, il suffit de remplir ses poches avec les croquettes, et d'en manger une ou deux chaque fois que la faim se fait trop sentir».
À cet instant, je dois dire que tout le monde dans la file était fasciné par mon histoire.
Je continue: «L'emballage dit que cette nourriture est complète, donc je vais encore essayer.»
Horrifiée, elle me demande: «Quelque chose vous a intoxiqué dans cette nourriture, et c'est pour ça que vous avez terminé à l'hôpital?»
J'ai répondu: «Non, j'étais assis au milieu de la rue en train de me lécher le cul quand une voiture m'a percuté».
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Re: Blagues
Thuramir Jeu 2 Déc - 16:22
Sur Twitter, une parodie des antivax :
« Je refuse de mettre des pneus hiver car : C’est ma voiture, mon choix, ma liberté. L’efficacité des pneus hiver n’est pas prouvée, si ce n’est par des études réalisées par les fabricants (tu m’étonnes). Ma voisine Fernande a eu un accident après avoir mis ses pneus hiver.
Certains en sont déjà à leur 3e jeu de pneus, ça prouve bien leur inefficacité.
On ne sait pas avec quoi ils sont fabriqués.
Les géants du pneu nous font peur avec l’hiver juste pour s’enrichir.
D’ailleurs, ce sont les géants du pneu qui ont inventé la neige et qui l’épandent la nuit quand vous dormez.
Si j’ai des pneus, le gouvernement peut me suivre à la trace dans la neige.
Renseignez-vous, ouvrez les yeux, cessez d’être des moutons !
Cette année, les pneus hiver, je dis non ! ».
« Je refuse de mettre des pneus hiver car : C’est ma voiture, mon choix, ma liberté. L’efficacité des pneus hiver n’est pas prouvée, si ce n’est par des études réalisées par les fabricants (tu m’étonnes). Ma voisine Fernande a eu un accident après avoir mis ses pneus hiver.
Certains en sont déjà à leur 3e jeu de pneus, ça prouve bien leur inefficacité.
On ne sait pas avec quoi ils sont fabriqués.
Les géants du pneu nous font peur avec l’hiver juste pour s’enrichir.
D’ailleurs, ce sont les géants du pneu qui ont inventé la neige et qui l’épandent la nuit quand vous dormez.
Si j’ai des pneus, le gouvernement peut me suivre à la trace dans la neige.
Renseignez-vous, ouvrez les yeux, cessez d’être des moutons !
Cette année, les pneus hiver, je dis non ! ».
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Re: Blagues
benoit77 Ven 3 Déc - 15:54
Il essuie moins bien mais on peut quand même se torcher avec !!!
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