Re: Libéralisation du régime des visas européens pour l'Ukraine

[Александр]

Ca va aider?

Belgium supports introduction of visa-free regime between Ukraine and EU 

Belgium is ready to support a positive decision on Ukraine in the issue of visa-free regime with the European Union, said Belgian Minister of Foreign Affairs Didier Reynders, according to the press service of Deputy Prime Minister for European and Euro-Atlantic integration of Ukraine Ivanna Klympush-Tsintsadze.

”Reynders confirmed that Ukraine had fulfilled all of its obligations under the Visa Liberalization Action Plan, and Belgium was ready to support a positive decision on Ukraine. This will happen as soon as the issue of a visa waiver suspension mechanism will be resolved in a trialogue between the European institutions,” the press service said.

During a meeting with Reynders, which took place in the framework of Klympush-Tsintsadze`s working visit to Brussels, she expressed her gratitude to the Belgian side for the continued support of Ukraine, its territorial integrity and sovereignty. She also informed the Belgian officuals about the situation in Ukraine, the changes as a result of large-scale reform, primarily in the areas of judiciary, fighting against corruption, and decentralization of power.

During the meeting, special attention was paid to the situation in the temporarily occupied territories of Ukraine and the status of implementation of the Minsk agreements. Ivanna Klympush-Tsintsadze expressed gratitude for Belgium having become a co-author of Ukraine`s UN resolution on human rights violations in the Russian-annexed Crimea.

The parties exchanged views on topical issues of cooperation between Ukraine and the EU.

Both sides welcomed the intensification of political dialogue between Ukraine and Belgium, including its parliamentary dimension, the mutually beneficial cooperation between the two countries within international organizations, the restoration of positive dynamics of trade and economic relations, as well as the considerable potential of bilateral cooperation in the sphere of culture.

[Thuramir]

Ca va aider?

Belgium supports introduction of visa-free regime between Ukraine and EU 

Holà, holà ! Pas si vite en besogne ! Attendons d’abord de nous assurer qu’aucun veto de la Région Wallonne, de la Région Flamande ou de la Région de Bruxelles ne vient perturber la volonté de l’Etat fédéral...  

[Matt]

Hey, tu oublies la communauté germanophone . . .     

[Thuramir]

Hey, tu oublies la communauté germanophone . . .     

Non, non, je ne l'oublie pas ! Mais, constitutionnellement, elle n'a aucun droit de veto. 

[Krispoluk]

Hey, tu oublies la communauté germanophone . . .     

Non, non, je ne l'oublie pas ! Mais, constitutionnellement, elle n'a aucun droit de veto. 

Alors pourquoi le Roi se sent-il obligé de faire ses discours en 3 langues dont l'allemand ?... Nostalgie envers Léon Degrelle et Adolf Hitler ? Désolé... le ferai plus...

Chez nous, le roi, le président François, ne fais pas de discours en breton, ni en alsacien, ni en corse

[Matt]

Ca, c'est la complexité du pouvoir en Belgique avec ses 3 régions (Flandre, Bruxelles et Wallonie), ses 3 communautés (néerlandophone, francophone et germanophone) et le gouvernement fédéral.

Mais il y a des "facilités" pour certaines communes limitrophes "de l'autre région" pour utiliser (dans un cadre très rigide) la langue d'à côté. 
Et encore, c'est remis en cause par certains flamands . . . 

Cherchez pas à comprendre, c'est "le modèle belge".

Quand je pense qu'il est LA référence au Canada pour gérer leurs propres conflits linguistiques . . . là, je les plains. 

[Александр]

All EU countries support speedy abolition of visa regime for Ukraine



The European Union supports a decision on early completion of the process for abolition of visa requirements for citizens of Ukraine and Georgia.

This has been stated in the conclusions of the European Council on Foreign Relations, an Ukrinform correspondent reports from Brussels.

"The EU Council underlines the importance of timely completion of the process of making a decision on visa liberalization for two countries - Georgia and Ukraine," the heads of Foreign Ministries of EU member countries said.

In addition, the ministers supported the possibility of opening a visa dialogue with Armenia.

[Александр]

Visa free regime with EU for Ukraine, Georgia to function since New Year - Polish ambassador



The Republic of Poland's Ambassador to Ukraine Jan Pieklo believes that in the nearest future a positive decision on the introduction of a visa free regime with the European Union (EU) for citizens of Ukraine and Georgia will be accepted.

"We believe that from the New Year Ukraine and Georgia will have a visa free regime," Pieklo said a briefing in Kharkiv on Tuesday.

He said that the introduction of a visa free regime for Ukraine won’t provoke a migrant crisis in the EU.

"Poland demonstrates that millions of Ukrainians in Poland is not a migrant disaster like the one that occurred in Germany. It is possible to do in such a way to benefit both for Ukraine and Poland," Pieklo said.

He also said that only those who have biometric passports will be able to use a visa free regime.

[Александр]

La preuve que ça avance:

EU Commission offers new measures to enter Schengen zone


International travelers wait to have their passports checked (Getty Images)

Citizens from countries that enjoy visa-free travel in the EU are suggested to pay a fee 
       

The EU commission has come up with a proposal to charge non-EU citizens, who enjoy visa-free travel in the EU, an EUR 5 fee for entry to the Schengen zone.

The suggested scheme would cover roughly 30 million people who enter the EU every year from 60 visa-waiver countries, including the US, Canada, New Zealand and Australia.

This list could soon include others such as Ukraine and Georgia, which are in the process of being approved.

The proposed measure, which would include post-Brexit Britain, aimed at tightening the bloc's border security.

Under the plan, anyone entering the EU from a visa-waiver country would have their details run against databases, including those of international police organisations Interpol and Europol, as well as the Schengen Information System used by security agencies to monitor border entry. Once granted, permission to enter the zone would last for five years. Under-18s would not face a charge.

The system could be launched in 2020 if it gets a quick approval from EU member states and the European parliament.

[Thuramir]

La preuve que ça avance:

EU Commission offers new measures to enter Schengen zone


The system could be launched in 2020 if it gets a quick approval from EU member states and the European parliament.

En "2020", et uniquement si tous les Etats membres de l'UE et le parlement européen approuvent le texte en question : tu trouves que cela avance ? Sans doute avons-nous une conception différente du mot "avancer".

[Krispoluk]

Je pense qu'il est question de 2 mesures différentes :

- Le "sans visa" pour l'Ukraine et la Géorgie dont on nous dit qu'il devrait entrer en vigueur en janvier 2017

- Et la taxe de 5€ pour tous les pays soumis au régime "sans-visa" en 2020.

[Thuramir]

Je pense qu'il est question de 2 mesures différentes :

- Le "sans visa" pour l'Ukraine et la Géorgie dont on nous dit qu'il devrait entrer en vigueur en janvier 2017

- Et la taxe de 5€ pour tous les pays soumis au régime "sans-visa" en 2020.

Oui, c'est en effet cela, mais cela n'a rien de rapide quant à la seconde mesure. Plus de trois ans pour instaurer une taxe unique de 5,00 euros, c'est consternant d'inefficacité !

[Krispoluk]

Oui, je suis bien d'accord avec toi !

De plus on peut s'interroger sur l'utilité d'une telle mesure et son rendement économique réel !!!

On va encore mettre en place une usine à gaz pour percevoir une "taxette" ridicule et embaucher nombre de fonctionnaires très bien payés pour la gérer : je vois le truc d'ici, ça va coûter 2 ou 3 fois plus de fric que ça va en rapporter...  

Z'ont vraiment rien d'autre à foutre à Bruxelles pour inventer des trucs aussi ridicules !  

Après on s'étonnera que de plus en plus de citoyens européens soient mécontents de la gestion de l'UE !!!

[Matt]

Vous oubliez un détail, c'est 5 euros pour 3 années d'entrée dans Shengen. 
Taxe purement symbolique.

. . .

[travellergillou76]

Vous oubliez un détail, c'est 5 euros pour 3 années d'entrée dans Shengen. 
Taxe purement symbolique.

. . .

Ça c'est du lourd.
Ça serait un signe politique très fort à destination de l’Ukraine.

[Александр]

La "modération" a frappé.

Réunion aujourd'hui sur le sujet:

Сьогодні Рада ЄС розгляне питання безвізу для України – джерело

(Aujourd'hui, le Conseil examinera (le régime) sans visa pour l'Ukraine - la source)

[Caduce62]

Bruxelles veut contrôler qui entre et qui sort de l'Union européenne

Un système de contrôle, baptisé Etias et qui s'inspire du système américain Esta, s'appliquera à partir de 2020 à tous les étrangers exemptés de visa.
DE NOTRE CORRESPONDANTE À BRUXELLES, LORELINE MERELLE
Publié le 17/11/2016 à 10:47 | Le Point.fr

Cela ne devrait pas arranger les affaires des millions de touristes américains, australiens, japonais ou encore colombiens – la liste comporte plus d'une cinquantaine de nationalités – qui, chaque année, franchissaient jusqu'ici gratuitement les portes de l'espace Schengen, sans autres formalités administratives que la présentation de leur passeport. Invoquant les impératifs sécuritaires liés à la crise migratoire et aux attentats de Paris et de Bruxelles, la Commission européenne a proposé ce mardi de taxer leur entrée de 5 euros par personne, hormis pour les moins de 18 ans, et de leur faire remplir un formulaire électronique de « préadhésion », à travers une plateforme répondant au nom d'Etias. Un acronyme qui ne cache rien de ses origines.

Etias se voudra être, en effet, le nouveau petit frère du système américain Esta, qui existe depuis huit ans, ou encore de celui d'Eta en Australie, datant de 1996. Mais la Commission assure ne pas avoir suivi à la lettre le modèle anglo-saxon. D'abord, parce que l'accès à l'Union européenne restera moins cher que pour les États-Unis, par exemple, qui exigent le déboursement de 14 dollars par personne.
Même à ce prix, le système sera « autosuffisant » et « rentable », promettent ses architectes sous la pression des restrictions budgétaires. Les coûts de sa création, estimés à 212,1 millions d'euros, et ses coûts annuels de fonctionnement, 85 millions, seront compensés par les gains réalisés, avec près de 30 à 40 millions de demandeurs Etias attendus par an.
« Il y aura moins de paperasse et ça ira bien plus vite »

Par ailleurs, le dispositif sera moins lourd que celui de ses homologues anglo-saxons. « La liste [des questions posées] est la plus courte en son genre », explique un haut responsable européen qui assure que l'Union européenne demandera le « strict minimum » avec seulement 27 champs à remplir dans le formulaire. Mais quand même. Un touriste colombien se verra ainsi demander son occupation actuelle, son état de santé ou encore son niveau d'éducation.
Autant d'informations qui sont jugées nécessaires pour évaluer les risques que représente la personne qui entre dans les 26 pays de l'espace Schengen sans passer par le régime des visas. « Si nous voulons que l'Europe reste ouverte, il faut que nous nous assurions que nos frontières extérieures soient vérifiées à tous les niveaux », explique le Grec Dimítris Avramópoulos, commissaire chargé de la Migration et des Affaires intérieures.
En invoquant l'argument sécuritaire, la Commission veut couper court aux inquiétudes des défenseurs de la protection des données qui se font déjà entendre pour dénoncer « une nouvelle collecte des données au niveau européen de plus en plus disproportionnée », selon les mots de l'eurodéputé vert allemand Jan Philipp Albrecht. Mais Bruxelles cherche aussi à tranquilliser le secteur touristique, qu'une telle proposition alarme. La Commission le promet : la contrainte, jugée « minime » pour les touristes, sera compensée par des queues moins longues aux frontières grâce au caractère électronique du système. « Il y aura moins de paperasse et ça ira bien plus vite », assure ainsi Dimítris Avramópoulos.
Un système d'évaluation « qui ne sera pas d'emblée efficace »

L'argument ne convainc qu'à moitié le secteur déjà touché par les contrôles renforcés aux frontières après les attentats. Tom Jenkins, le directeur britannique de l'Association du tourisme européen (ETOA), fait part de son scepticisme sur la mesure et craint que le coût de l'entrée n'aille croissant dans les années à venir. Il n'est d'ailleurs pas le seul Britannique à se faire du souci à propos d'un projet qui pourrait coûter cher aux ressortissants du Royaume-Uni lorsque le Brexit sera effectif.
Mais les Britanniques peuvent se rassurer : l'ouverture du système Etias n'est pas prévue avant 2020, selon la Commission, qui s'attend d'ores et déjà à de longues discussions dans les salles des deux législateurs européens, au conseil des ministres comme au Parlement, mais aussi à un temps de mise en œuvre avant qu'il ne soit efficace. Mettre en place un tel système va, en effet, bien au-delà de l'ouverture d'une simple plateforme internet. Il faut en ainsi mettre en place une centrale de collecte des données et définir de nombreux algorithmes qui devront juger instantanément si telle ou telle personne est plus « à risque » pour la sécurité européenne qu'une autre.
Un système d'évaluation « qui ne sera pas d'emblée efficace parce qu'il se conçoit en réseau », explique Pierre Berthelet, chercheur à l'université de Pau et spécialiste de la sécurité intérieure. S'il n'y a pas des bases suffisamment alimentées par les gardes-frontières et policiers ou des outils suffisamment modernes pour pouvoir analyser ces données, l'identification de la personne s'avère très difficile.

Or tout est encore en phase de discussion. Le système Etias n'est qu'une petite parcelle du paquet de mesures qui a pour objectif de moderniser les frontières européennes mais aussi de savoir « qui » exactement entre et sort du territoire européen. L'Union européenne, sous la double pression d'une nouvelle vague annoncée de djihadistes en Europe et de la crise migratoire, cherche en effet à renforcer son arsenal sécuritaire et sa collecte des données. Dans ce paquet, la proposition d'un « système d'entrée et de sortie » va dans le même sens et vise à ce que chaque garde-frontière – qu'il soit slovaque ou français – puisse prendre l'image et les empreintes des étrangers qui entrent et sortent de l'Union. L'entreprise controversée est estimée à plus de 500 millions d'euros et viendrait compléter le système Etias.
Une autre proposition est attendue pour améliorer l'alimentation des bases policières, qui servent à analyser l'ensemble des données collectées. « Plus les services vont collecter des informations, plus ils vont développer des profils détaillés, plus ils seront efficaces », affirme le chercheur, qui se demande cependant si l'Union européenne et les États-Unis n'ont pas une « surconfiance » dans les outils informatiques.

[Krispoluk]

Quelle connerie, mais quelle connerie !!!

On va "mieux contrôler les personnes qui entrent dans l'UE..." Ils se foutent de la gueule de qui, là ??? On a laissé entrer 1 million d'immigrés illégaux sans contrôle (dont une infime partie relève du droit d'asile pour motif politique) et on va emmerder les américains, les japonais et les australiens qui font vivre notre tourisme !

C'est sûr que parmi les terroristes ayant causé les attentats ou les migrants de la jungle de Calais, c'était bourré d'américains et de japonais  

Ca s'arrange pas à Bruxelles...

[Александр]

Préfère ne rien dire sur le sujet.
Raison pour laquelle j'ai oeuvré sur mon post d'hier soir.

EU Committee discusses visa-free regime for Ukraine


European Commission building (GettyImages)

EU Committee of Permanent Representatives gathers to vote for the start of negotiations between the EU Council and the European Parliament on visa liberalization for Ukraine 
       

The Committee's, or Coreper, agenda includes discussing regulations on exemptions from visa requirements - namely, for Ukraine. The second part of the meeting will be dedicated to the preparation of EU-Ukraine summit, planned on November 24. 

The Verkhovna Rada, Ukraine's parliament, on November 16, 2016, passed draft resolution No. 5394 as a whole, appealing to the governments of the European Union member states, the European Parliament and the Council of the European Union for the introduction of visa-free travel for citizens of Ukraine.

Read more Verkhovna Rada appeals to EU on free visa travel

On October 5, the Committee discussed the same topic concerning Georgia - and voted to support the move to provide the visa-free regime. 

Meanwhile, the European Union plans to implement the temporary internal border control for three months. The visa-free regime with Ukraine will start functioning only after this plan starts to take effect. 

Watch more EU Commission offers new measures to enter Schengen zone

On November 15, EP President Martin Schulz said the European Parliament was ready to the lifting of a visa regime for the Ukrainians.
 
Read more Further delaying of visa-free regime implementation is unacceptable - Ukraine's Foreign Ministry

President Petro Poroshenko during his Sweden visit emphasized that Ukraine had completely fulfilled all the criteria to obtain the visa-free regime with the European Union. 

[Александр]

Visas: Council agrees its negotiating position on visa liberalisation for Ukraine


[*]17/11/2016

[*]15:35

[*]Press release

[*]675/16

[*]Home Affairs

[*]Foreign affairs & international relations

17/11/2016 | 15:35
Press contacts
Joaquín Nogueroles Garcia
Press officer (Home Affairs; Counter-terrorism coordination)
+32 22812074[url=#][/url]
+32 473854991[url=#][/url]


On 17 November, the Permanent Representatives Committee (Coreper) agreed, on behalf of the Council, a negotiating position on visa liberalisation for Ukraine. It confirmed the Commission proposal to provide for visa-free travel for EU citizens when travelling to the territory of Ukraine and for citizens of this country when travelling to the EU, for a period of stay of 90 days in any 180-day period.

The Council takes the view that the entry into force of visa liberalisation for Ukraine should be at the same time as the entry into force of the new suspension mechanism.

On the basis of this mandate, the presidency will start negotiations with the European Parliament.

"By giving its green light today, the Council has demonstrated its commitment to visa-free travel for citizens of Ukraine, taking into account that all requirements have been met. Credible reform is the right path and should be encouraged. I am also delighted that our decision is able to send a positive message in the run up to the EU-Ukraine Summit on 24 November."

Peter Javorčík, Permanent Representative of Slovakia to the EU, and President of the Permanent Representatives Committee

Background

In December 2015 the Commission concluded that Ukraine had met all the benchmarks for the exemption of the visa requirement. On 20 April 2016 the Commission published the proposal for visa liberalisation.

Once the new visa regime for Ukraine is agreed with the Parliament and formally adopted, it will  move the country from Annex I of Regulation 539/2001 (countries whose nationals need a visa to enter the Schengen area) to Annex II of the same regulation (visa free countries), thus providing for visa-free travel for EU citizens when travelling to the territory of Ukraine and for citizens of this country when travelling to the EU, for a period of stay of 90 days in any 180-day period.

In the context of the current migratory situation in the European Union and taking into account the Commission's proposals for visa liberalisation of Georgia, Ukraine, Turkey and Kosovo and the discussions with member states, the Commission decided on 4 May 2016 to present a proposal to amend Regulation 539/2001 to revise the current suspension mechanism.

The main objective of the revised regulation is to strengthen the suspension mechanism. It does this by making it easier for member states to notify circumstances which might lead to a suspension, by enabling the Commission to trigger the mechanism on its own initiative, and by tasking the Commission to send an annual report to the European Parliament and Council on the extent to which visa-exempt third countries continue to meet the necessary criteria.

The possible grounds for suspension have been extended and the use of the mechanism will also be facilitated by shortening reference periods and deadlines in order to allow for a faster procedure.
[*]
The discussions between the Parliament and the Council on the visa suspension mechanism are still ongoing.

Ireland and the United Kingdom will not be subject to the application of these measures, in accordance with the protocols annexed to the EU treaties. The visa regime of these member states remains subject to their national legislation.

• Regulation 539/2001 (consolidated version)
  
• Download as pdf
  

[Александр]

Et ben, vous dormez?

Les Ukrainiens bientôt dispensés de visas pour les courts séjours dans l'UE

Les Ukrainiens n’auront bientôt plus besoin de visas pour voyager dans l’Union européenne. Les 28 viennent de tomber d’accord sur le principe mais attention, cet levée de visa ne concerne que les séjours de moins de 3 mois.

Avant l’entrée en vigueur de la mesure, l’Europe doit mettre en place un mécanisme de “frein d’urgence”. Un système permettant de geler rapidement les exemptions de visas si trop de voyageurs restent dans l’Union après leur séjour ou si le pays d’origine refuse de réadmettre ses ressortissants.

Le Parlement européen doit encore approuver la mesure. Mais c’est d’ores et déjà un signal positif envoyé à l’Ukraine qui cherche à se rapprocher de Bruxelles depuis l’annexion de la Crimée par la Russie en 2014. Un sommet UE-Ukraine se tiendra la semaine prochaine.

[Krispoluk]

Et ben, vous dormez?

Les Ukrainiens bientôt dispensés de visas pour les courts séjours dans l'UE

Ca fait un an qu'on se réveille, qu'on se rendort, qu'on se réveille, qu'on se rendort...

[Александр]

Bonne nuit alors  
S'cuse moi de t'avoir réveillé.     

[Krispoluk]

Bonne nuit alors  
S'cuse moi de t'avoir réveillé.     

Pas de quoi ! J'ai l'habitude...

[richard]

Saint Thomas prie pour les ukrainiens.

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